Tumgik
#wattpad os
emiebritonstudio · 9 months
Text
OS Zervis : "De l'ombre à la lumière"
Je vous partage un OS que j'ai écris il y a quelque temps sur le couple Zeref x Mavis de Fairy Tail. je l'ai écrit il y a un petit moment lors du concours hiver de Fairy Tail en décembre 2018.
J'avais choisi de mettre en avant un couple souvent placé au second plan des fictions sur Fairy Tail. Le thème imposé était le Nouvel An. Je me suis donc inspiré de la légende du Nouvel An chinois pour écrire cette histoire.
N'hésitez pas à me faire part de vos avis en fin de lecture ! ;)
Bonne lecture,
Emie <3
Tumblr media
Le sifflement de la brise hivernal est l'unique son qui parvient aux oreilles de Mavis, tel un chant pour guider ses gestes dans chacune de ses tâches. La poussière de la pièce lui titille les narines. Cependant, elle s'y est habituée avec le temps. Fille d'un modeste marchand, elle a toujours eu le souvenir de prendre soin du logis. Il en est ainsi depuis le décès prématuré de sa mère et cela lui convient.
Le soleil entame sa descente vers l'horizon, inondant le logis, grossièrement taillé en pierre, de sa couleur rouge orangé. La jeune fille s'accoude un instant contre le manche du balai. Ses prunelles d'un vert intense se perdent vers l'extérieur. Même si elle s'est accoutumée à sa situation, elle ne peut s'empêcher de s'interroger sur le monde qui l'entoure et ce que doit être la vie au-delà de l'enceinte de son village.
La curiosité est un vilain défaut. Elle en a conscience. Son père, Makarov, lui à souvent répéter. Cependant, il ne peut arrêter les rêves de la belle Mavis de s'envoler dans son esprit. Une question toute particulière lui trotte en tête depuis l'arrivée du mois de décembre. Pourquoi ne fêtent-ils jamais la fin de l'année ?
En réfléchissant à une éventuelle réponse, l'adolescente se mord la lèvre inférieure. Ce sujet est tabou dans son village. Elle a bien essayé de trouver des réponses parmi les livres de leur humble bibliothèque religieuse. Mais rien ne pouvait lui fournir les explications qu'elle attendait. Un long soupir franchit ses lèvres malgré elle. La jeune fille est coupée dans son élan par le claquement de la porte d'entrée. Elle arbore un fin sourire avant de faire face au nouvel arrivant.
- Bonjour père ! La journée a été bonne ?
- Autant que les autres, mon enfant.
- Vous devez être fatigué.
- En effet. Pourrais-tu commencer la préparation du repas pendant que je me débarbouille ?
- Bien sûr.
Sans plus de discussion, Mavis s'évapore à travers le couloir qui la mène à la cuisine. Une cascade de cheveux blonds retombe sur ses hanches aux rythmes de ses pas. Elle empoigne quelques légumes de leur réserve personnelle afin de faire une soupe bien épaisse pour leur tenir chaud. Elle resserre le nœud de son tablier par-dessus sa robe rose pâle. Elle ne possède aucun chichi. Leur famille ne peut se le permettre.
Alors que la cuisson du plat mijote, son père fait son apparition. Il s'installe autour de la table. Le silence entre eux fait réfléchir la jeune fille. Pouvait-elle lui confier ses interrogations ? Au point où elle se trouvait, il est son unique espoir de trouver des réponses. Résigner, elle rassemble quelques mots dans son esprit afin de froisser le moins possible son géniteur.
- Père ?
- Oui ma fille ?
- Je m'interrogeais sur la journée d'aujourd'hui.
- Eh bien ? qu'a-t-elle de particulier ?
- Rien en apparence. et c'est bien ce qui m'étonne. Il s'agit du dernier jour de l'année.
- Et donc ?
- J'ai lu que dans des contrées voisines, il est normal d'organiser un banquet, un bal ou une fête afin de célébrer l'année à venir. Mais il ne s'est jamais rien passé à Magnolia.
Les propos de sa fille font grimacer Makarov. Il préféra se concentrer sur le remplissage de leurs bols de riz qui accompagnera leur bouillon. Son expression renfrogner interpella la jeune fille qui prit sur elle en attendant sa réponse. Bien qu'elle la jugeait déjà inutile.
- Tu ne devrais pas réfléchir à ce genre de chose. Ta curiosité te perdra.
- Il y a vraiment une raison à cela ?
- Ce ne sont pas tes affaires.
-Je vous en pris, père, répondez-moi !!
-Il en est hors de question que tu t'approches de près ou de loin à cette histoire !!! Tu pourrais bien être sa prochaine victime sur la liste.
- "Sa prochaine victime" ? À qui ?
Makarov rumine dans sa moustache. Il en a déjà trop dit et il a conscience que sa fille ne voudra pas en rester là. Sous le poids pesant du regard de Mavis, le vieil homme finit par soupirer, résigner à dévoiler davantage sur ce qui pèse sur les épaules des villageois.
- Très bien. Je t'en ai déjà trop dit. Prends place à mes côtés et je vais tout te raconter.
Sans plus de cérémonie, Mavis serre leurs assiettes avant de s'installer autour de la table au côté de son géniteur. Elle appuie ses iris dans les siennes afin de s'assurer qu'il ne se dérobe pas en si bon chemin.
- Il y a très longtemps, un démon a commencé à sévir dans les parages. Il est immortel et diabolique. La créature est en demande de sang et de chair humaine. Aussi loin que les anciens du village se souviennent, il est toujours apparu dans la nuit du 31 décembre à minuit, réclamant un jeune humain en offrante en l'échange de la prospérité du village.
- Mais c'est ignoble !!
- C'est pourquoi tous les habitants se réfugient chez eux, de peur d'être choisis comme prochaines victimes.
Makarov met un point final à son récit, laissant Mavis perdu dans ses songes. Le vieil homme rompit le silence au son des coups de cuillère dans son assiette. La jeune fille reste de marbre. Une créature telle que le décrit son père peut exister ? Une telle inhumanité peut être réelle ?
La jolie blonde secoue la tête de droite à gauche en se forçant à finir son plat. Il lui est inconcevable de croire au bon fondement de cette histoire. Elle ne peut s'y résoudre. Son père sort finalement de table, mettant une nouvelle fois à mal le fil de ses réflexions.
- Bien. J'espère que cela te coupera toute envie d'assouvir ta curiosité.
- Bien entendu, père.
- Très bien, allons nous coucher. Demain sera un autre jour.
"Un autre jour comme les autres" ne put s'empêcher de pensée Mavis. Toutefois, elle garde cette réflexion pour elle-même. Après avoir fini la vaisselle et s'être débarbouillée, elle se rend d'un pas lent vers sa chambre. Elle jette un rapide coup d'œil à son reflet dans l'unique fenêtre au-dessus de son lit. Le ciel désormais noir et étoilé domine le village.
Les questions affluent à nouveau dans son esprit. Elle doit coûte que coûte en trouver les réponses. Elle ne pourra jamais trouver le sommeil. Déterminé, Mavis ouvrit sa fenêtre. Malgré ses pieds dénudés, elle la chevauche pour rejoindre la rue. Une chance qu'elle soit au rez-de-chaussée.
La jeune fille jette un dernier coup d'œil en direction de la maisonnette en murmurant un faible "désolé" comme pour se donner bonne conscience. Ses pieds percutent les pavés froids jusqu'à s'éloigner vers la forêt avoisinante. Elle sait qu'elle ne peut se fier qu'à son instinct. Mavis enchaîne les directions sans savoir réellement si elle est sur le bon chemin pour trouver cette créature.
À bout de souffle, elle s'écroule sur le sol neigeux après avoir eu sa cheville prise au piège dans une racine d'arbre. Ces derniers, maigres et sans feuilles, créent des ombres froides et effrayantes. Mavis a la chair de poule. Elle souhaite se relever afin de s'éloigner de là. Mais une douleur à sa cheville la cloue au sol. En y jetant un coup d'œil, elle aperçut une égratignure ensanglantée et bleutée qui ne lui inspire pas confiance.
L'adolescente siffle entre ses dents. Elle déchire un pan de sa robe afin de se créer un bandage de fortune. Toutefois, elle n'a pas le temps de le finir. Comme attiré par l'odeur de son sang, une ombre fait lever le vent autour d'elle. Mavis se raidit face à la présence inconnue. Elle prit sur elle pour rassembler tout son courage, alors que ces prunelles émeraudes s'agitent autour d'elle.
- Qui est là ? Qui êtes-vous ?
Un souffle est son unique réponse. La jolie blonde fronce les sourcils vers la source. Elle plisse les yeux alors qu'une silhouette se dessine entre les arbres.
- Êtes-vous ce démon dont a peur mon village ?
- Peut-être bien.
- Je ne te veux aucun mal. Je veux juste comprendre. Pourquoi fais-tu tout ça ?
- Tu es bien bavarde pour un sacrifice humain.
Sans plus de discours, le démon sortit d'entre les arbres. Il accourt sur sa proie. Celle-ci n'a d'autre choix que de placer ses mains devant son visage en guise de protection. Mavis ferme les yeux, attendant son heure. Mais à sa grande surprise, aucune griffe ne vient déchirer sa chair, aucun croc ne vient briser ses os.
Bercée par l'unique lumière de la lune et le calme de la nuit, la jeune fille finit par entrouvrir ses paupières. Elle retient un Cri en voyant le front du démon reposer contre sa paume. Ses yeux normalement rouges sont clos, donnant à son visage une expression plus apaisée. Malgré les deux cornes sur son crâne, les écailles sur son corps et ses griffes longs et pointus, il avait presque l'air humain. Des pics d'une chevelure couleur corbeau s'agitent avec la légère brise.
Puis, comme étreinte par une force qui la dépasse, Mavis sent sa vision être aveuglée par une lumière aussi blanche que les plumes des anges. Des images défilent sous ses yeux. Elle raconte une histoire. Pas la sienne, celle du démon. Une force l'appelle. Un pouvoir plus grand que tout ce qu'elle aurait pu imaginer dans ses rêves les plus fous. Un nom s'impose à elle telle une évidence.
- Zeref.
Comme pour répondre à son appel, la créature ouvre brutalement les yeux, coupant leur échange psychique. Cependant, quelque chose à changer dans l'atmosphère. Le démon garde ses distances, observant la jolie blonde qui vient d'anéantir des siècles d'errances et de cruelles habitudes. Le goût du sang lui donne soudain une sensation fade et amère. Que lui avait-elle fait ?
- Je suis désolée.
L'intervention de Mavis l'oblige à se concentrer à nouveau sur sa présence. Son regard le transperce. Il peut y déceler une lueur remplie de compassion. Son cœur se tord dans sa poitrine, lui rappelant la présence de cet organe qui l'a tant fait souffrir. Cela fait des siècles qu'il ne connait que la peur dans le regard de ces victimes.
- Je comprends que tu en veux aux habitants de notre village. Ils ont tué ta famille en croyant qu'ils étaient des mages. Tes parents et ton petit frère...
- Ils devaient payer !! S'écrit-il en la coupant.
- Mais tu n'aurais pas dû laisser la noirceur prendre le dessus. Tuer des innocents ne les ramènerait pas.
- À quoi bon ?! Comment pourrais-je avoir encore foi en l'humanité ? Celle-ci même qui m'a tout pris.
- Grâce au pardon.
La répartie de Mavis coupe celle de son interlocuteur. Surpris, il la laisse s'approcher de quelques pas supplémentaires dans sa direction.
- Tu dois pouvoir leur pardonner. Ainsi qu'à toi même. Dans le fond tu t'en veux de n'avoir pas pu les sauver.
- J'aurais aussi dû périr dans les flammes à leur côté.
- Une nouvelle année s'annonce et il est temps de prendre les bonnes résolutions, de faire table rase du passé et de regarder vers l'avenir.
Pour appuyer ses mots, Mavis dépose une main sur l'épaule du démon. Cependant, celui-ci prend peur à son contact. Il se retire aussi sec en repartant aussi vite qu'il est venu à travers les bois. Ses pas accélèrent comme pour fuir cette fille aux allures angélique. Il a perdu l'envie dans faire son repas du jour.
Elle n'est pas comme les autres. Il en est persuadé. Quelque chose en elle, une force magique, lui a permis de lire dans son esprit aussi facilement quand ouvrant un livre. Elle est comme encerclée d'un halo de lumière, contrastant avec la noirceur de son âme. Cette opposition le terrifie. Ses pas ralentissent au fur et à mesure de ses réflexions. Il sent ses forces s'amoindrir pour la première fois de son existence. Il accorde un coup d'œil à ses mains tremblantes sous ses yeux. Il n'a pas le temps de comprendre que les cloches de l'église du village sonnent les premiers coups de minuits.
La mélodie du clocher accentue les tremblements dans tout son être. Ses jambes ne le portent plus. Il s'écroule à genoux, trouvant uniquement la force de couler un regard vers le ciel. Un sentiment de joie et d'effervescence englobe le village. Il écarquille les yeux en contemplant les premiers éclats de feu d'artifice. Les habitants ont dû s'apercevoir qu'aucune perte n'est a déplorer, qu'aucune silhouette machiavélique ne les poursuit. La magie des lumières donne un élan de féerie. Puis, une petite voix résonne dans sa tête. Il reconnait le timbre fluet de la jolie blonde.
"Je crois en toi et en l'avenir"
Un nouveau halo de lumière l'entour. Il ne parvient pas à comprendre ce qui lui arrive. Sa malédiction arrive-t-elle enfin à son terme ? Son cœur se gonfle, rien que d'y penser. Son organe vital tambourine de plus en plus fort dans sa cage thoracique comme pour le faire sentir un peu plus vivant, un peu plus humain. Alors que ses prunelles s'illuminent, sa peau pâle retrouve un aspect humanoïde. Ses griffes et ses cornes se rétractent. Le démon est poussé par le sommeil. Recroqueviller à même le sol, la lumière termine son œuvre en levant la malédiction, retirant toute trace démoniaque du corps de l'ancien villageois meurtri par la vie.
Mavis regagne son village, les bras baltant et l'esprit encore tout embrouiller par cette rencontre. Toutefois, elle est vite ramenée au présent. Des chants et des danses s'animent autour d'un immense feu de bois sur la place du village. Intriguée, elle trottine jusqu'aux banderoles colorées. Elle peine à croire en distinguant les visages enjoués des habitants qui étaient si craintifs le matin même.
Mavis fend la foule afin de retrouver son vieux père. Ce dernier est assis sur un banc en bois, sa canne reposant aux creux de ses paumes, observant avec entrain la farandole. Il tape sa canne en rythme. Makarov coupe tout mouvement en croisant le regard de sa fille. Il grimace en comprenant d'un seul regard qu'elle y est pour quelque chose dans ce changement. La jeune fille prit place à ces côtés, une expression coupable peignant son visage.
- Je n'ai pas pu m'en empêcher.
- Oh oui je sais bien. Et dans le fond c'est peut-être mieux ainsi.
- Pourquoi ?
- Nous pouvons enfin fêter l'arrivée de la nouvelle année. Le démon n'est pas venu. Aucune vie n'a été perdue.
- Je pense que c'était surtout un homme tourmente qui avait besoin de se sentir compris.
Sans comprendre le réel sens de ces propos, Makarov clôture leur discussion. Il se concentre sur la nouvelle musique. Il s'agit d'une valse permettant aux couples de se former. Seule, Mavis observe les regards langoureux échangés. Puis, de l'autre côté de la foule, elle distingue une silhouette toute particulière. Un jeune homme d'environ son âge fait son apparition. Des cheveux ébène, soigneusement lissés, lui donnent un air de gentil homme.
Un soupçon d'éclat rouge dans ses prunelles lui confirme, ce que son cœur lui crier. Zeref fendit la foule jusqu'à elle sans attirer l'attention. Il arbore une tenue sobre et ses traits de démons ont disparu. Sans quitter le regard de sa sauveuse, il s'incline en tendant une main dans sa direction. Elle lui adresse un doux sourire avant de la saisir. Telle sa lumière qui éclaire les ombres de son passé, Mavis lui montre les pas afin de reprendre confiance en lui et en l'humanité.
Tumblr media
Pour ceux qui souhaite lire d'autre OS, voici le lien de mon livre d'histoire courte dispo sur Wattpad : Cliquez ici
3 notes · View notes
quebraram · 6 months
Text
Eu sei que é algo clichê, mas esse ano dei mesmo de cara com o meu lado mais feliz e o meu lado mais triste. E é meio deprimente perceber que a felicidade foi efêmera, enquanto a tristeza está grudada em mim até o exato momento.
— O meu nome é solidão, D. Quebraram.
283 notes · View notes
blur0se · 6 months
Text
Ladynoir either a) drunkenly getting married or b) oblivio situation where they get married in the middle of it this causes an identity reveal and now theyre both married and in a prpr situation
31 notes · View notes
yeebertum · 3 months
Text
Tumblr media
art for my wattpad story!! yeeberday_o3o on wattpad!!
18 notes · View notes
soleberlandieri · 1 month
Photo
Tumblr media
Non posso non essere me - Non posso non essere me (on Wattpad) https://www.wattpad.com/1439560133-non-posso-non-essere-me?utm_source=web&utm_medium=tumblr&utm_content=share_reading&wp_uname=ChiccaTiaKiki Ecco, nonna, lo so, sei venuta per cambiarmi. Non hai abbandonato la speranza di vedermi fingere; malgrado siano passati vent'anni, ancora ci provi. [...] Ricordi quel giorno, nonna? La strada sabbiosa incendiata dal tramonto? La stessa che ha inghiottito per sempre i miei genitori. Tuo figlio. Hai presente, nonna, quando hai iniziato a voler sostituire mamma e papà con le più insignificanti stupidaggini? [...] Avrei dovuto dirti la verità. Renderti partecipe, senza remore, delle mie intenzioni. Hai ragione tu, mi manca il fegato, quello di sfoggiare la peggiore austerità senza starci tanto a pensare. Non ce l'ho fatta a dirti che i tuoi genitori non sarebbero mai tornati. Non prima di aver messo a punto la Tecnica della Resurrezione, almeno. [...] Imperdonabile errore. Ho iniziato ad avvedermene il giorno del tuo primo scempio, l'atroce diligenza che ti ho visto mettere nell'impeccabile marionetta umana mi ha lasciata orripilata e senza parole. Senza gesti o soluzioni. Un mostro geniale di cui non riuscivo a capacitarmi.
2 notes · View notes
torchiiko · 3 months
Note
I posted the Mettaton x Merfolk!Reader fanfic!! :3
wahooo!! ill definitely check it out once im done figuring out if i can stream :3
2 notes · View notes
lcrosabooks · 2 years
Text
Então você achou que eu não escreveria uma putariazinha Heleonardo?
Olá meus queridos! Você estão bem?
Se você veio aqui do capítulo 21 e tá frustrado por causa do "Se amaram a noite toda", não fique! Eu resolvi escrever uma putariazinha para vocês que querem muito um momento de intimidade entre Helena e Leonardo.
Importante salientar, contudo, algumas coisas:
Esse trecho se passa em 2017 e, portanto, dois anos depois da história inicial. É possível que ele contenha alguns spoilers leves da trama.
Sim, esse trecho é um porn without plot. Não tem nada aqui que acrescente à trama original, é pura e simplesmente sexo. Se você não gosta de hot, é só você não ler, mas uma vez que leu, esteja ciente do que vai encontrar aqui.
O sexo aqui narrado é um BDSM leve. Não tem nada muito pesado nessas linhas, mas pode ser que alguns momentos aqui narrados, que tratam de dominação/submissão, sejam um pouco desconfortáveis para algumas pessoas. Estejam avisados.
E a Raquel? Vou fazer um trecho da Raquel sendo feliz também, meninas, não me esqueci dela não.
O Léo só é malvado na cama mesmo, viu, menines? Fora dela ele é um príncipe, não aceitem homens que são cruéis com vocês fora do fetiche (mesmo porque aí é abuso) e também não topem o que não quiserem na cama. A Helena gosta de tudo isso, eu garanto a vocês.
Todos os personagens aqui retratados são maiores de idade e consentiram em participar do ato.
Não sei se é necessário dizer, mas, para todos os efeitos, esse trecho é +18 e não deve ser lido por pessoas menores de idade.
Os personagens não usaram camisinha porque isso é uma história fictícia e eles só vão contrair IST ou ter filho se eu quiser, mas a vida real não depende do meu gosto, então, menines, encapem o boneco. Você não quer doenças na xerolyne/Malaquias e nem uma gravidez indesejada, quer?
Divirtam-se! 
***
Embora tivesse adquirido outros interesses — e um emprego! — Leonardo seguia um grande fã de histórias em quadrinhos. Em seu novo volume, o rapaz se entretinha com as aventuras de Jon Kent; Batman era seu preferido, mas ainda assim o super-homem tinha um espaço singular no coração do garoto.
Decidiu dormir na casa de Júlia naquele sábado. Leonor havia se tornado um tanto quanto implicante depois que o jovem Cavalcanti reatara seu relacionamento com Helena, mas aos poucos amadureceu a ideia. Não que ela adorasse ver seu neto aos beijos com uma garota tão — nas palavras dela — desengonçada, mas ao menos trocava mais de duas palavras com o casal sem insinuações maldosas. Leonardo acreditava no poder do tempo, e, como sempre, ele curaria tudo. 
Júlia e Ana Paula, as pessoas que dividiam moradia com Helena, estavam fora naquele dia em específico. Tiraram o sábado para ir a uma grande festa no coração da cidade, algo regado a álcool e drogas que Leonardo não estava nem um pouco animado em participar. Helena, carinhosa como sempre, entendeu os apelos do garoto e também decidiu-se por permanecer em casa, optando por tirar algum tempo livre com o rapaz. Eles eram um casal muito diferente, mas, ao mesmo tempo, combinavam bastante. 
Dessa forma, apenas Leonardo se encontrava estirado na cama que Helena usava para passar suas noites. A namorada estava já há algum tempo no banheiro, e provavelmente havia acabado com toda a água de Labramar somente naqueles quarenta minutos debaixo do chuveiro. Quem demora quarenta minutos para se banhar? 
— Leo! — Ela gritou, ainda dentro do box. — Você viu o meu desodorante? 
Leonardo desviou os olhos da revista em quadrinhos por um segundo. Olhou ao seu redor e procurou pelo item; Havia um tubo em cima da escrivaninha, próxima ao notebook.
— Está aqui! — berrou ele de volta. — Acho que você esqueceu dentro do quarto. 
Embora tivesse dito aquilo sem segundas intenções, nada pôde preparar Leonardo para a cena que se decorreu em seguida. Abraçada pelo vapor do box, Helena emergiu de fora do banheiro, completamente nua e molhada, com os cabelos úmidos presos por uma toalha. E Leonardo, o maior admirador de sua mulher, estava completamente hipnotizado por aquele corpo maravilhoso que invadia seu campo de visão. 
— Obrigada por… — E logo se deu conta de que o olhar de Leonardo se perdia em seus quadris, tão bem esculpidos por uma força divina. — O que o senhor está olhando, hein? 
O rapaz esfregou os olhos mais uma vez. Deus, dois anos de namoro e ele ainda não conseguia encarar sua deusa de forma natural!
— Cara, você é muito… — Faltavam a ele palavras. — Muito gostosa. Eu não tenho palavras para descrever o que estou vendo, meu deus do céu… 
Helena riu suavemente e passou uma língua por entre os lábios. Ocorreu a Leonardo que talvez aquela aparição desprovida de roupas não tenha sido tão acidental assim; a garota, como de costume, tinha um prazer nada sutil provocá-lo com suas belas e abundantes curvas. 
— Desse jeito até parece que você nunca viu… — Malandra, Helena ergueu uma sobrancelha, retirando a toalha que envolvia seus cabelos ruivos molhados. 
Leonardo se levantou. A HQ era muito boa, mas havia algo mais importante ainda à sua espera. Vestindo seu pijama de bolinhas e suas pantufas do homem-aranha, o garoto presenteou Helena com um beijo sereno e doce. 
— Nunca canso de me surpreender. — E piscou, deslizando as mãos pelos seios fartos com que a namorada fora presenteada. 
Helena correspondeu às carícias. Desabotoou o pijama de Leonardo e esfregou suas mãos pelo peito definido que o garoto havia recém adquirido. Ela apreciava os magrelos, mas não ia reclamar do ganho de peso obtido por Leonardo nos últimos meses. Ele estava absolutamente delicioso com o novo corpo.
— Sabe… — Leonardo, sendo mais alto que Helena, a analisava de cima para baixo. — Acho que eu quero te comer hoje. Mas não igual a todos os outros dias…
A moça se interessou. Leonardo não era muito inovador na cama, por mais que ela adorasse experimentar coisas novas.
— Hum? — Helena esfregou seu corpo no de Leonardo. Sorrateira como uma cobra, a garota o despiu de sua camisa e deixou seu torso nu.
— Eu quero… — E abaixou o tom de voz, deixando com que apenas um sussurro maldoso chegasse nos ouvidos de Helena. — Ser o seu dono.
Ela sorriu com a proposta. Não era de hoje que ansiava por um Leonardo mais ousado na cama; Por vezes, seu lado masoquista aflorava e Helena tornava-se completamente submissa.
— Pois bem, meu mestre. — E lançou uma piscadela. — Estou às suas ordens.
Leonardo sorriu com o canto da boca. Estalou um selinho leve nos lábios de Helena e, no momento seguinte, era um homem completamente novo.
Suas feições eram sérias e ele parecia disposto a humilhar Helena de todas as formas possíveis.
— Ajoelhe-se — ordenou, a voz severa. 
Helena obedeceu ao comando do seu dominador. Ajoelhou-se em frente ao rapaz e o encarou no fundo de seus olhos, aguardando as próximas ordens.
Leonardo, que não era tão inocente quanto parecia, abaixou a calça e expôs seu membro viril duro e latejante. Ele explodia de prazer; uma gosma densa escapava da glande, deixando Helena completamente sedenta pelo genital do seu namorado.
— Você sabe o que fazer, sua vadia. — Ele segurou o próprio pênis pela base e o balançou em frente ao rosto de Helena. — Chupe ele todinho. E não deixe escapar uma gota.
Um arrepio correu pelo corpo da garota. Embora gostasse do Leonardo bonzinho, estava sendo deveras interessante conhecer aquele Leonardo.
— Seu desejo é uma ordem, meu homem — disse, completamente fissurada pela rigidez de seu amado.
E, sabendo que aquele era o seu maior talento, Helena passou a língua da base do pênis de Leonardo, quase na região do saco escrotal, até sua glande, saboreando cada gota da gosma que o envolvia. Poucas coisas eram mais belas que o órgão de Leonardo: Grande, grosso, repleto de veias pulsantes. O rapaz realmente tinha um grande potencial inexplorado.
Sem avisar, Helena abocanhou o órgão de Leonardo, fazendo movimentos de vai e vem com os lábios. Com as mãos, Helena massageava os testículos do garoto, o que era um carinho muito bem vindo; embora tentasse manter a severidade, poucas coisas mexiam mais com Leonardo do que o boquete de Helena.
Os gemidos secos que escapavam dos seus lábios eram o combustível que a moça precisava. Helena aumentou o ritmo, apreciando o sabor de Leonardo em todos os seus níveis. Dado momento, seu mestre decidiu recuperar o controle e puxou Helena pelos cabelos, conduzindo os seus movimentos.
Helena sentia-se completamente úmida ao ver seu namorado dominá-la totalmente. Com os dedos dele presos na raiz de seu couro cabeludo, a dor que a moça sentia ao ser conduzida era deliciosa; a acendia como uma fagulha num mar de álcool.
Quando Leonardo gozou, Helena se prontificou a engolir seu sêmen, sem deixar escapar um mililitro sequer, assim como ele havia ordenado; a moça era uma submissa obediente. Quando sorveu a última gota, Helena retirou o pênis do amado de sua boca e limpou os resquícios do orgasmo de seu rapaz com as costas da mão.
Leonardo sorriu. Observou os olhos penetrantes de sua garota e deslizou o polegar pelo queixo de Helena; ela era bela demais para este mundo, e com aquele olhar apaixonado se tornava ainda mais bonita.
Sem avisos prévios, Leonardo acertou uma palmada no rosto da namorada. Helena fechou os olhos quando foi atingida, mas, ainda assim, sorriu. Nada disse, mas ele era muito bom em interpretar linguagem corporal; bateu mais duas ou três vezes no belo rostinho de sua amada e, quando ela esperava o quarto golpe, Leonardo ergueu seu rosto pelo queixo.
— Como é que se diz, hein? — e deslizou o polegar pelos lábios vermelhos de Helena. — Vamos, sua safada, eu quero ouvir.
— Obrigada, mestre — disse, alucinada de prazer. Estava louca para receber mais alguns tapas no rosto ou até mesmo na bunda. — Muito obrigada.
Leonardo a largou. Observou o olhar malicioso de Helena aos seus pés, ansiando por mais uma ordem de seu homem. O pênis do rapaz ainda estava flácido, mas a beleza de Helena era surreal; bastou apenas esfregá-lo por alguns segundos até que o instrumento se tornasse rígido novamente.
Mas, ao contrário do que Helena desejava, Leonardo não iria penetrá-la. Não agora. Segurando seu membro na mão direita, o rapaz tomou o caminho da mesinha de cabeceira. Abriu a gaveta com um só golpe e revelou seus brinquedinhos: Um plug, um tubo de lubrificante, uma venda, algemas. Ele adoraria ter mais itens para satisfazer Helena, mas, por hora, poderia iniciar com aqueles.
Os olhos da moça brilharam apenas em vislumbrar os brinquedos sexuais de Leonardo. Ela era louca para explorar coisas novas, e ele estava dando à sua amada exatamente o que ela queria.
Nada como ser uma mulher realizada na cama, afinal.
— De quatro. Com a bunda virada para mim. — O Leonardo autoritário era tão mais interessante que o Leonardo bonzinho… — Agora, putinha.
Helena obedeceu. Ela sempre obedecia; a palavra de Leonardo era, para ela, lei. Dobrou sua coluna, expondo suas redondas e abundantes nádegas para Leonardo, e levou as mãos para trás. Sabia o que viria em seguida.
— O que vai fazer? — perguntou, mais por curiosidade do que por medo.
Leonardo não respondeu de prontidão. Vendou a namorada, prendeu suas mãos com a algema, unidas rente às suas costas. Quando desprendeu atenção para o último brinquedinho, o rapaz finalmente se pronunciou:
— Você é uma putinha, Helena — disparou, lambuzando o plug com lubrificante. — E do que as putinhas gostam?
Helena não respondeu. Manteve sua bochecha apoiada no chão frio, incapaz de conter a umidade que escorria por suas coxas.
— Não sei, meu mestre.
— Putinhas gostam de apanhar na bunda e usar o cu. — E introduziu o plug na sua cavidade anal. Uma jóia vermelha se projetava para fora. — Você vai agradecer a cada tapa. E é bom agradecer direito.
— Como quiser, meu homem. — Já havia tido experiências anais antes, mas nenhuma a deixou tão excitada. Helena se sentia uma verdadeira vagabunda, e adorava ser a prostituta particular de Leonardo. 
O rapaz não começou seus golpes de imediato. Contemplou a bunda polpuda de Helena por alguns longos segundos; como era bela, macia e rechonchuda! Deslizou a palma de sua mão por toda a superfície quente daquelas nádegas, sentindo Helena suspirar a cada segundo.
Um corpo desses é digno de uma escultura, pensou Leonardo. 
Deliciando-se com o pensamento que o inspirava, Leonardo desceu sua mão pesada pela primeira vez. O corpo de Helena tremeu por inteiro e ela gemeu baixinho, talvez de dor, talvez de prazer. Sua vulva expelia filetes grossos de seu mel, e era possível que Helena jamais tivesse presenciado tamanho êxtase antes.
— Obrigada, meu mestre. — Obediente, Helena agradeceu, deslizando a língua pelos lábios. Estava louca para sentir sua bunda arder em chamas.
O pau de Leonardo também era uma boa métrica do quão prazerosa sua fantasia de dominação estava sendo. Quando ele o enterrasse em Helena, não haveria ninguém capaz de tirá-lo de lá, mas por enquanto…
Mais um tapa, esse mais forte que o primeiro. Helena deixou escapar um gritinho agudo, e um sorriso sádico se rascunhou nas feições de Leonardo. Ela agradeceu de prontidão; seu êxtase era crescente.
No terceiro tapa, Leonardo tomou seu tempo. Apalpou as nádegas de Helena por alguns segundos, sentindo sua textura, e demorou um pouco até acertá-la novamente. Quando o fez, sua mão pesada deixou a marca na pele branca da namorada, um belo sinal de Leonardo de que aquela garota era sua e jamais deixaria de sê-lo.
— Obrigada, meu mestre. — Ela continuava repetindo, apesar da dor lancinante que irradiava pelo seu corpo. 
Leonardo a estapeou ainda cinco ou seis vezes em cada nádega, dissipando a tensão entre um golpe e outro com carícias muito bem coordenadas. Ele sabia o que estava fazendo, era um verdadeiro mestre na arte da dominação. Quando terminou, a bunda de Helena estava vermelha, quente e sensível, suficientemente preparada para que ele tomasse o seu próximo passo. 
— Vou te penetrar agora — anunciou, a voz austera. — Não onde você quer, eu suponho. Não que faça diferença, porque…
— Eu sou uma puta — adivinhou ela. — E putas não escolhem.
Com um sorriso satisfeito, Leonardo assentiu.
— Você aprende rápido. — E logo lambuzou o próprio pênis com uma vasta quantidade de lubrificante.
Helena entendeu onde o rapaz queria chegar. Empinou a bunda apenas para que ele se divertisse com o seu cu. Leonardo retirou lentamente o plug da entrada da moça, permitindo que todos os seus músculos sentissem a saída do apetrecho; Quando o objeto abandonou o corpo de Helena, Leonardo levou seus dedos ao ânus de sua amada.
Ele não inseriu o pênis de imediato. Para acostumar o reto de Helena com a penetração, Leonardo deixou dois de seus dedos entrarem e saírem do buraco apertado. Já haviam explorado o ânus um do outro em diferentes ocasiões, mas jamais haviam se penetrado com um pênis ou objetos fálicos.
Para tudo se tem uma primeira vez, Leonardo pensou. 
E posicionou-se no lugar adequado, a ferramenta brilhando com a quantidade de KY. Só então o garoto deu-se conta do quão dotado era; A entrada da moça parecia tão estreita para o diâmetro de seu órgão genital…
Leonardo engoliu em seco. Não queria machucá-la ou fazê-la sofrer, mas também não queria desfazer a fantasia que havia feito ambos delirarem. Como lidaria com este dilema?
Ao levar seu pênis para o ânus de Helena, o jovem encontrou certa resistência; mesmo com o órgão muito bem lubrificado, seu tamanho impedia que a penetração fosse perfeita. De início, o rapaz apenas pincelou a glande pela entrada de Helena, inserindo-a e tirando, mas quando decidiu adentrar com o corpo do pênis, ouviu um lamúrio de sua amada e temeu não estar proporcionando-lhe prazer.
— Helena? — Leonardo mordeu o lábio. O rapaz galante de sempre ainda estava ali. — Está doendo? Você quer que eu pare?
Helena não respondeu de imediato. Suspirou fundo, manteve-se com o rosto apoiado no chão frio. Leonardo hesitou; talvez fosse melhor parar com isso e dar a ela um pouco de carinho, afinal. Seu personagem dominador havia passado dos limites.
Contudo, a resposta da moça contrariou suas expectativas:
— O personagem, Léo — pediu, ainda rendida. — Volte para o personagem. Eu estava me consumindo de tesão.
Leonardo balançou a cabeça e voltou a encarar a sua genitália. Ela ainda estava rígida, forçando espaço dentro do reto de Helena.
— Putinhas como você devem sentir dor. — E bateu com a palma da mão na nádega macia à sua frente. — Eu vou comer o seu cu como você merece: Com desprezo e brutalidade.
Helena sorriu. Tinha um prazer sórdido pela dor; adorava sentir seu ânus se abrindo para acomodar a enorme ferramenta de Leonardo.
— Sim, meu mestre. — Como um mantra, ela repetiu. — Sou uma vadia suja. Mereço ser usada apenas para a manutenção do seu prazer.
E, incendiado por aquela simples frase, Leonardo agarrou os quadris de Helena e deixou que seu órgão sexual adentrasse ainda mais dentro da garota. Via-se, pelo comprimir de seus lábios, que a dor sentida era crescente, mas o tesão era óbvio com o escorrer de sua vagina.
Embora não fosse tão bruto e cruel quanto alegou ser, Leonardo não demorou muito até ter toda a sua ferramenta enterrada no cu de Helena. A bunda da garota devorava seu pênis como se estivesse sedenta por sexo; o rapaz então bombeou seu membro para dentro e fora do ânus da namorada, deixando que ela gemesse com vontade e prazer.
Embora fosse um dominador cruel, Leonardo também era misericordioso às vezes. 
— Você está no seu dia de sorte hoje, putinha — lançou ele, sem interromper seus movimentos. — Não serei tão mau desta vez.
— Mestre… — A umidade de Helena chegava ao chão. Ela estava completamente extasiada. — Eu estou aqui para serví-lo.
Leonardo estocou por longos minutos no cu de Helena, aumentando seu ritmo e deixando que os músculos da região se acostumassem com seu órgão, e, por fim, gozou, soltando um berro grave e preenchendo a cavidade anal da garota com seu leite. Só então percebeu o quanto estava cansado e seu corpo estava rígido; sua primeira experiência com sexo anal fora incrivelmente deliciosa.
Mas ele não havia terminado ainda, sabia que não. Enquanto o ânus de Helena gotejava sua semente, Leonardo sabia que teria de preenchê-la mais uma vez. Seu pênis, contudo, se recusava a ficar ereto, mostrando os sinais da exaustão após dois orgasmos seguidos.
A ansiedade consumia seu ser. Ele precisava ganhar tempo, precisava pensar naqueles belos seios e naquela bunda imensa para conseguir manter-se rígido novamente, mas nada funcionava. Não poderia deixar Helena sem o Gran Finale, permitir que ela saísse daquele quarto frustrada.
E, ao ver seu esperma escorrendo da entrada de Helena até o chão, Leonardo teve a ideia que o faria conseguir os segundos que precisava. 
Ele iria humilhá-la mais um pouquinho, já que ela estava adorando.
— Putinha… — E apontou para as gotas brancas que manchavam o chão. — Eu disse nem uma gota. Não desperdice a semente do seu homem. 
Helena ergueu uma sobrancelha. Sabia onde ele queria chegar.
Sem emitir uma palavra, a garota moveu seu corpo de frente para o rapaz e lambeu as gotas de esperma do chão. Esfregou-se nos azulejos com vontade, saboreou o gosto da semente de Leonardo. Ela era uma completa vagabunda, devassa, dada aos prazeres da carne; e, como toda vagabunda, merecia ser tratada como tal.
Leonardo era um pouco sádico. Vendo sua amada humilhando-se aos seus pés, sua ferramenta se tornou rígida novamente, pronta para arrancar de Helena mais um orgasmo delicioso. E ele estava louco para fazê-la sofrer da maneira mais excitante possível.
Sem delongas, Leonardo tirou as algemas que envolviam seus punhos e fez um sinal para que Helena se deitasse na cama. Ela assim fez, com a barriga para cima, expondo os seios fartos que tinha para o seu mestre.
— O que vai fazer, meu homem? — questionou, passando a língua pelos lábios. Leonardo agarrou o próprio pênis e o deslizou pela vulva de Helena.
— Eu vou te comer — Encarando-a de cima a baixo, Leonardo foi firme. — Vou te comer como a puta que você é. 
Helena sorriu e agarrou o lençol com a ponta dos dedos, esperando pela investida de Leonardo. Ela logo veio, e o rapaz penetrou sua vagina de uma só vez, arrancando de Helena um gemido que balançou as paredes.
Ele prosseguiu naquele vai-e-vem frenético, masturbando sua amada com os dedos, fazendo com que ela se contorcesse de prazer. Helena fechou os olhos, permitiu-se sentir o momento; Leonardo era muito bom conduzindo, fazendo com que suas coxas úmidas se chocassem com a virilha da garota, e não havia nada capaz de parar a onda de prazer que Helena estava sentindo. 
Em gemidos compassados, Helena tremia na cama. O namorado também permitiu-se uma viagem naquele corpo maravilhoso, apreciando os seios que balançavam, as nádegas macias que cediam ao impacto de um corpo com o outro. Leonardo não foi contido nos impulsos vocais; uma veia latejava em sua têmpora, e ele fazia o máximo para que todos os seus músculos estivessem em sintonia com os de Helena.
Juntos, os dois chegaram ao seu ápice. Leonardo deixou que seu esperma — agora bem mais transparente — escorresse pela cavidade de Helena, e Helena deixou o membro de Leonardo úmido com seu gozo. Quando finalmente pôde se dar ao luxo de encerrar o ato, o rapaz suspirou fundo e se deu conta do quão cansado estava; seus cabelos cacheados estavam úmidos com o esforço e o torpor tomava conta de seu corpo todo. Leonardo estava exausto, mas feliz; aquele momento entre ele e sua garota era um dos mais preciosos que já havia tido em sua vida. 
O garoto deitou-se junto a Helena na estreita cama de solteiro que ornamentava o quarto da moça. Ambos se agarraram carinhosamente, trocando selinhos suaves, e o Leonardo de sempre estava de volta: Amoroso, carinhoso, gentil. Fora da cama, o rapaz era um verdadeiro gentleman. 
— Está tudo bem? — Ele sussurrou, aspirando o aroma dos cabelos encaracolados de Helena. 
A moça, como havia de se esperar, sorriu.
— Não poderia estar melhor. — E piscou. 
— Você está sentindo dor? — Não se arrependia de nada que fizera; contudo, não era de sua intenção causar desconforto à amada. Dela, só queria arrancar prazer e orgasmos. 
— Digamos que… — Helena aninhou seu rosto rente ao pescoço do rapaz. — É uma dor gostosa. A melhor dor que eu já senti. 
Leonardo sorriu. Envolveu seus braços no tronco de Helena e arrancou dela um beijo doce. 
— Eu mandei bem? — Era uma das inseguranças do menino. Jamais havia tido outra mulher; Helena, ao contrário, já deitara em outras camas. 
Contudo, ela não parecia estar insatisfeita com a performance de Leonardo. 
— Demais. Eu estou adorando a sua fase fetichista. — Helena brincou com os pêlos no peito do rapaz. — Sempre soube que havia um verdadeiro dominador dentro de você.
Leonardo sorriu novamente, satisfeito. Não era o maior expoente do BDSM, mas poderia se aprimorar nisso, caso satisfizesse sua amada.
— Mudando um pouquinho de assunto… — Ela mordeu o lábio de forma sugestiva. — Quando a gente vai transar em público?
Leonardo arregalou os olhos. 
— Você quer… Você quer… — Talvez isso fosse um pouco demais para o garoto tímido que mal havia saído do papai-e-mamãe. — Helena, isso é crime!
— Eu mexo os meus pauzinhos. — Piscou. — Mas não se sinta obrigado a aceitar se não quiser. Eu só quero que você esteja confortável. 
— Eu… Eu… — Ele estava um pouco assustado, não tinha como negar. — Eu preciso amadurecer a ideia, tudo bem? 
Helena afagou os cachos de Leonardo e o beijou suavemente nos lábios. 
— Como quiser, querido — disse. — Eu quero explorar o nosso prazer junto com você. 
Leonardo sorriu e, puxando o queixo de Helena para cima, a presenteou com um beijo tenro e singelo. Ela era a melhor namorada do mundo e o garoto era muito sortudo por estar desbravando o mundo do prazer sexual com ela.
9 notes · View notes
yatgb · 2 years
Text
I kinda wanna write x readers
7 notes · View notes
igelmanz · 1 year
Text
I just got an email, notifying me that someone has left a comment on an old story of mine that I wrote on Wattpad when I was like 12...
4 notes · View notes
inhyeoong · 3 days
Text
𝑈𝑁 𝑃𝐼𝐸𝐷 𝐷𝐴𝑁𝑆 𝐿'𝐴𝐵𝐼𝑀𝐸
Tumblr media
UN PIED DANS L'ABIME
« Les souvenirs les plus amers reviennent toujours, aussi infatigables que les vagues des mers déferlantes sur le sable ; jusqu'à ronger votre peau du sel des larmes. »
tw ! : harcèlement, suicide (abordé de manière allusive) © tous droits réservés, INHYE0NG
Tumblr media
prélude ;;
Il est là. Encore. Son regard fixé sur Ha-na, qui s'obstine à ne pas tourner la tête et se concentrer sur l'horizon nappé d'une fumée grise qui s'échappe des usines, se mêlant aux nuages. Jun-ho continue de la suivre en silence, légèrement ralenti par l'écume qui s'enroule autour de ses chevilles, mouillant le bas de son pantalon. Un pied dans l'eau sombre des abîmes, l'autre avec elle. Sa chemise froissée et son pantalon décoloré à force d'être secoués par le vent, l'eau et le sel. Il a jeté son cartable à la mer, balancé ses secrets du haut d'une falaise.
  Les pas de Ha-na dans le sable humide sont vite effacés par les vagues, ne laissant aucune trace de son passage. Encore une journée banale au lycée. Encore et toujours lui sur le chemin du retour. Sans un mot, elle se détourne et part vers la digue, n'ayant pas adressé la moindre attention à Jun-ho. Il ne bouge pas, la suivant du regard jusqu'à ce qu'elle atteigne sa petite maison juste en face de la mer, et claque la porte derrière elle.
— Je suis rentrée, dit-elle sans vraiment se soucier que ses parents l'aient entendue ou non, se déchaussant rapidement.
  Le pas lourd, la jeune fille monte les escaliers pour s'enfermer dans sa chambre, se débarrassant de son sac de cours qu'elle laisse traîner par terre dans un coin. En tournant la tête pour s'installer à son bureau, elle observe un instant la vue sur la mer depuis sa fenêtre. Ha-na peut apercevoir la silhouette de Jun-ho, qui attendra indéfiniment, sans bouger d'un poil. D'un geste rageur, elle tire violemment les rideaux, une sueur froide lui coulant le long de l'échine.
0 notes
moonlightcrizz · 10 months
Text
Sangue Real ㅡ 01
https://www.wattpad.com/story/328626972?utm_source=android&utm_medium=link&utm_content=story_info&wp_page=story_details_button&wp_uname=moonchildd-_&wp_originator=xNbGw8qZXiiFm15NKrKD0bFg5%2Fy6d97c0XcaCtq6roXr6tLz4CBH5ypOvDcgqabITQEnHjEO97EjmvAgMcozBZuq%2FrqMqpHkzsIXfzfUygTLigHKF2E6OidlSdrzWrEB
0 notes
alexandrejcfjr · 2 years
Text
Não acredito... Fan-fic...
Não acredito… Fan-fic…
Eu fiz uma fan-fic! Bleh! Que nojo de mim mesmo… Mas não seria qualquer fan-fic, mas uma sátira de Senhor dos Anéis e do que seria de Saruman se o Anel nunca tivesse sido destruído. É só um pequeno conto, rápido e engraçado. Aí embaixo está uma preview e também uma sinopse; só clicar na seta para o lado! Divirta-se!
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
eaigarotaperdida · 2 years
Text
0 notes
hotmomrry · 9 months
Text
— Crosses and cells
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Viver na penitenciária de Halden carregando o peso de seus crimes nas costas, não era fácil. Louis não acreditava em salvação, muito menos em Deus, até que precisou pagar todos os seus pecados com Harry, a freira que visitava a penitenciária em busca de salvar almas pecadoras.
Essa one refere-se muito ao nome de Deus e Jesus em vão. Caso não se sinta confortável, não leia.
Contém: Somnofilia, leves CNC, inocência, perda de virgindade (e menção a sangue), hierofilia (fetiche em objetos ou figuras religiosas), manipulação e outras coisas.
Hpussy (Harry mulher)
Essa one não está revisada, então perdão por qualquer erro ou algum aviso esquecido. Ela também está disponível no Wattpad.
Palavras: 10k
Boa leitura!
📿
"A tragédia é uma representação não da maldade, mas do sofrimento que faz parte da condição humana." - Martha Nussbaum
Nos mitos, licantropia está associada a transformação de seres humanos em lobos. Tal como homem-lobo, ou lobisomem.
Derivado da história de Lycaon, na mitologia grega, não se passa de um conto, cujo alguns ainda acreditam.
Lycaon desafiou Zeus, alimentando-o com carne humana, apesar da idolatria que possuía pelo deus grego. Entretanto, pagou por sua insolência ao ser cruelmente transformado em um lobo. De rei da Arcádia à um predador que ocupa o topo da cadeia alimentar.
Lobos são caçadores ágeis e persistentes, dispostos a correr riscos para garantir sua subsistência.
Seres humanos são predadores traiçoeiros, predispostos a matar sua própria raça em busca de créditos inválidos. Aliás, a lenda do lobisomem pode ser constantemente contada, mas ainda ocultam o detalhe de que todos possuem um resquício de um lobo fementido dentro de si.
Talvez o sangue, os gritos de incentivo, o suor que molhava as roupas laranjas surradas, o calor que esquentava a pele branca a cada segundo e aquele incansável sorriso devasso, fossem o suficiente para explicar a traição de uma matilha.
Louis havia feito Charles pagar, e faria muito mais quando seu rosto fosse examinado e descobrissem que seu nariz estava quebrado.
Era o evento do ano. As sirenes estavam ligadas, as bandejas de plástico da última refeição colidiam com as mesas de ferro brilhantes, os guardas tentavam a todo custo tirar um homem de dois metros de cima do tão combalido Louis.
Não deveria ser tão difícil se contar com o fato de que Louis Tomlinson não havia mexido um dedo desde que fora jogado no chão. Apenas seus lábios, apenas seus olhos. Eles sorriam sadicamente, os dentes tão fodidamente aparentes que eram manchados pelas gotículas de sangue que desciam de seu rosto.
Os guardas retiraram-o do chão gélido, puxando-o por seu braço onde a manga do macacão estara rasgada, exibindo a tatuagem do cervo ao lado de uma cicatriz que corria por seu ombro até o final do desenho detalhado.
Seu último olhar para trás fora para garantir que Charles Davidson estava sendo levado para a maldita solitária, e que só sairia de lá quando sua pele em decomposição fosse comida pelos ratos e seus filhos estivessem beirando a morte por conta da velhice. Ele piscou para o homem, dando um xeque-mate final em toda aquela confusão.
— Detento, confirme seu nome completo e idade. — A segurança da enfermaria falou rigidamente, tirando o crachá da roupa de Louis para que pudesse validar.
— Ah, vamos lá, Rose. Você já está cansada de me ver por aqui e meu nariz está doendo. — O guarda atrás de seu corpo apertou seu pulso. Ninguém possuía muita paciência com ele. — Louis Sánchez Tomlinson, 30 anos.
A entrada foi liberada e Louis notou quando Rose deixou escapar o ar de seus pulmões. Na noite em que passou na enfermaria desfrutando de sua companhia, a ruiva deixou escapar que o sotaque mexicano na voz grossa a fazia enlouquecer. Por esse motivo, Louis não conteve suas palavras ao pé de seu ouvido enquanto calmamente ela gozava em seu pau e chorava conforme não conseguia impedir a porra branquinha de sair de dentro de si.
Seu pai costumava dizer que o encanto da família Tomlinson era ser um Sánchez.
Todavia, não era tanta sorte carregar esse sobrenome.
De geração para geração, os Sánchez comandavam o maior esquema de tráfico de drogas da América Latina. Apesar de serem procurados nós países a fora, eram uma lenda no México. Todos conheciam, todos sabiam, ninguém dedurava. Muito pelo contrário, o sonho de muitas mães era que seus filhos se casassem com última geração da família, composta por Louis, Charlotte e Angeline.
E, apesar de estar preso na Europa - mais especificamente, Noruega -, as cartas em sua correspondência eram incessantes. Após o primeiro julgamento por seus crimes, todos vinham atrás de um pedaço seu.
Um pedaço de seu coração ou, literalmente, o seu coração. Após o primeiro julgamento por seus crimes, todos vinham atrás de um pedaço seu.
Um pedaço de seu coração ou, literalmente, o seu coração.
Aquela noite foi um pouco diferente das demais. A visita de Rose fora somente para entregar sua comida enquanto ele se recuperava. Havia quebrado um nariz, e suas reclamações de forma perturbadora direcionadas às enfermeiras fizeram com que elas relatassem para a direção tudo o que era lhes contado.
Charles incentivou a briga. Charles começou. Charles o ameaçou enquanto socava seu nariz.
E a notícia mais feliz que recebeu veio pela manhã. A enfermeira que coletava seu sangue para os exames gerais fofocava sobre os acontecimentos da penitenciária. Pelo jeito, Charles havia sido transferido para o centro de imigração, e a essa altura não poderia nem mesmo participar do funeral de sua esposa.
📿
Havia um detalhe em Halden que muitos poderiam chamar de paraíso. Porque talvez realmente fosse o paraíso das prisões, mesmo que, vivendo nela, só houvesse as listas dos piores criminosos do mundo.
Todos estavam ali, fingindo viver uma vida normal, deitando em suas camas limpas, tomando seus chás da tarde, recebendo visitas de familiares nos chalés espalhados no campo da penitenciária, desfrutando até mesmo de estudos para saírem dali ligados ao mundo exterior. Todavia, não era como se diminuir 5 anos da pena de alguns fosse adiantar alguma coisa. 5 anos de 40 era muito, mas 5 anos de 5 perpétuas fazia Louis rir.
Prisões humanizadas serviam para mostrar que eles ainda valiam a pena, que ainda tinham a oportunidade de sair dali sendo alguém. Mas também serviam para os malditos ricos não se desacostumarem de uma vida fácil.
Por isso, Louis fazia o favor de não tornar a vida de ninguém fácil. Ele tinha a garantia de que ficaria ali para sempre, assim como tinha a garantia que, independente do que fizesse, não seria mandado para uma prisão onde os ratos são seus melhores amigos e os cobertores são jornais em decomposição de 2017.
Após o café, naquela manhã, tudo estava mais tranquilo.
Todos eram mandados para uma ducha, as roupas novas eram entregues e o kit de higiene era reposto. Alguns homens pareciam crianças animadas com suas bolsinhas transparentes e a toalha branca em seus ombros. Enquanto Louis apenas verificava se, no lugar de seu fio dental, haviam colocado as pílulas que estava contrabandeando.
— Prestem atenção. — A voz feminina vinha dos auto-falantes espalhados pela prisão. Olhando para cima, todos viam a diretora debruçada na mesa de comandos, a boca perto do microfone e um sorriso em seus lábios.
Desde que ganhou sua promoção, a mulher não parava de sorrir, muito menos de falar. Louis a odiava, principalmente por agir como um maldito anjo na frente de todos enquanto chupava o pau do patriarca da família Sánchez. Havia uma grande repulsa presa na garganta de Louis, enquanto ela tentava o comprar agindo como uma madrasta, mesmo sendo alguns anos mais nova.
— Hoje receberemos a visita de algumas freiras da Catedral de Santo Olavo. Elas vieram de Oslo para fazer uma boa ação. — Dizia animada. A única parte interessante da notícia era que, provavelmente, eles estariam livres de suas tarefas. — Sejam educados, comportem-se e aproveitem um dia muito abençoado!
De todas as ideias toscas que Marie tinha, essa foi, de longe, a pior. Ninguém estava interessado em ver velhas desfilando com seus terços e suas bíblias.
— Chefe, podemos participar? — Tristan era o mais novo, não estava ali há muito tempo. Os olhos azuis inocentes, a pele pálida e os pequenos cachos loiros em sua cabeça enganavam a quem olhasse.
Ele havia colocado fogo em sua casa apenas pela satisfação de ouvir seu pai e sua mãe clamando por socorro. Em boatos, diziam que suas preces ao lado de fora da casa foram direcionados a Deus, em busca de perdoar a alma dos que queimavam lentamente dentro de sua antiga residência.
— Vá. Estão todos liberados hoje, enquanto estas perras estão aqui. — Bufou irritado, esperando que todos saíssem da mesa onde estavam sentados.
A falação no refeitório estava tirando a paciência de Louis. Os homens pareciam animados, apesar de serem apenas animais enjaulados. Alguns já estavam com suas mãos juntas em orações, outros olhavam suas bíblias e agradeciam ao bom Deus pelo dia.
Todavia, como se Jesus tivesse passado na frente deles, todos ficaram calados. As freiras entravam pela grande porta entre a área de revista e o pátio principal - que chamavam de refeitório. Em seus hábitos, elas entravam enfileiradas, sorrisos em seus rostos, o terço no pescoço por fora da roupa, os cabelos bem cobertos pelo véu escuro e as sapatilhas pisando com calma no chão limpo.
Elas tinham disciplina, mas pareciam ter muita fé também.
Fé de evangelizar pessoas perdidas. Era uma graça ver nos rostos mais velhos e, até mesmo, nos mais novos, aquela esperança de que estavam mudando alguma coisa.
Ainda sentado na última mesa do refeitório, Louis apoiou seus pés por cima da mesma, cruzando os braços em seu peito apenas para ver aquela cena patética. O palito de dente dançava em sua boca, sendo mordiscado em troca da vontade de fumar, enquanto seus olhos percorriam cada movimento das mulheres.
Elas eram como presas indo direto aos seus predadores.
Mas, em meio a organização, havia uma garota desengonçada. Primeiro, havia sido esquecida para trás enquanto tentava arrumar o véu em sua cabeça. Depois, suas pernas longas corriam para a fila, e as mãos enluvadas com renda branca seguravam em seus seios para que eles não balançassem durante o percurso.
Ela era incrivelmente bonita.
As maçãs de seu rosto estavam avermelhadas, tão pigmentadas quanto os lábios gordinhos. O nariz que se mexia lentamente na pontinha a cada sorriso animado era harmônico com os olhos verdes rútilos, tão fofo como os dentes de coelho que chamavam a atenção.
Louis enrugou a sobrancelha ao ver que, ao sair da fila para ir até os detentos, o braço coberto fora segurado rudemente pela primeira mulher — e mais velha. Entre as sete meninas, ela parecia ser a líder, beirando seus 60 anos e óculos na ponta no nariz que faziam-a se tornar ainda mais assustadora.
De cabeça baixa, a freira voltou para o final da fila, respirando fundo algumas vezes enquanto seus dedos seguravam a cruz do terço em seu pescoço.
Seus olhos estavam tão focados nela, em suas respirações profundas, em seus dedos trêmulos. Tudo o que conseguia imaginar era a mulher se acalmando em seu corpo.
Louis não era religioso, mas mostraria à ela diversas formas de agradecer ao seu Deus.
Várias das freiras se espalhavam pelo lugar. Uma delas havia um carrinho com bíblias, distribuindo com um sorriso. Sua freira apenas andava hesitante pelo lugar, recebendo olhares feios da Madre. Ela se aproximou de Jensen, sentado ao seu lado e acariciando inocentemente suas costas.
Jensen fora um dos primeiros a chegar ali, e provavelmente seria um dos primeiros a morrer por conta de sua idade.
A diversão dele? Era envenenar homens e depois empalhar seus corpos. No "Museu de Corpos" em seu porão, foram encontrados mais de 20 homens empalhados, com idades entre 20 e 50 anos. Apesar de tudo, Louis o achava um senhor gentil, e ótimo no dominó.
Ele era tão gentil que escutava cada palavra da freira, mesmo sendo abertamente ateu. Havia um sorriso genuíno nos lábios nos dentinhos de coelho, falando com entusiasmo sobre a bíblia. Não estavam muito distantes de Louis, o que facilitava seu entendimento sobre o versículo que citava.
Aquilo durou mais tempo do que Sanchéz suportava. No entanto, ao final, Jensen ganhou um beijo em sua bochecha e um panfleto que a freira havia escrito à mão.
Louis não costumava se assustar, muito menos fugir de seus problemas. Ele só não conseguia suportar o caminhar feliz em sua direção, deixando claro que sentaria ao seu lado.
— Senhor Sanchez! — Ela falava contagiante, lendo no crachá pendurado no pescoço dele. — Muito prazer, eu me chamo Harry. Harry Styles. — Estendeu a mão. Louis não apertou, fazendo-a recuar aos poucos.
— Mirar, no me interesa la palabra de Dios, corazón. — Falou rápido, na intenção dela aceitar que eles não falavam a mesma língua.
— Oh! Podemos hablar tu idioma. — E não adiantou nenhum protesto. Lá estava Harry, sentada ao seu lado, exalando um perfume doce de maracujá. — Cómo estás? — Questionou animada.
— Porra, você é mesmo insistente, não é? — Sua voz não era irritada, apesar do descontentamento. Mas aquilo fez Harry se afastar um pouco, parecendo assustada.
— Desculpa... Me perdoa. — Engoliu a seco. Os olhos verdes pareciam brilhar, mas agora por suas lágrimas que os enchiam.
Louis não estava ligando para o seu choro. Não ligava para o seu sofrimento. Mas mulheres chorando eram dramáticas, escandalosas e desnecessárias. Massageando sua têmpora, aproximou a mão do joelho coberto da freira.
— Mirar, eu não deveria ter falado isso. — Limpou a garganta, ainda acariciando seu joelho. — Só não estou interessado em Deus. — Mas, talvez, estivesse interessado nela.
— Não. Está tudo bem. Eu só... — Olhou para a mão de Louis encostando em si. - Fico muito animada com essas visitas. A madre Carrie já disse que preciso melhorar isso. — Suspirou. — Você pode não me tocar assim, por favor?
Louis afastou sua mão no mesmo instante. Ela ajeitou o hábito em seu joelho, tirando de sua pequena bolsinha um panfleto com escritas à caneta. Era fofo, com muitos corações, muitas mensagens motivacionais e o seu número, caso alguém precisasse de uma visita. Fora gentil de sua parte, tão gentil quanto as covinhas em suas bochechas.
— Deus está com você, Sanchez. Mesmo que não acredite nele. — Louis riu, concordando.
— Me chame de Louis, okay? — Tirou o palito de seus lábios, lendo com calma o cartão.
— Tudo bem... — Ela voltou a se aproximar. — Veja, Louis. Se um dia você quiser mudar de opinião sobre a palavra Dele, você pode me ligar. Ou se não tiver visitas, estarei disposta a vir.
— Claro, por supuesto. — Molhou os lábios, vendo como Harry mordiscava o seu inferior nervosamente. — Aliás, preciso que o pecado saia de mim, não acha?
— Se estiver disposto a se limpar, eu irei engolir cada gota do seu pecado. Mamãe diz que eu sou como uma enviada de Deus. Eu posso curar qualquer um. — A forma inocente como dizia aquilo mostrava que realmente não havia maldade em sua cabeça.
Isso fodia complemente com Louis. Porque ela falava que iria sugar cada gota de seu pecado com um sorriso no rosto, enquanto seus dedos apertavam o crucifixo e as pernas comportadas se cruzavam por baixo da mesa. Sanchéz planeava em sua cabeça o que havia por baixo daquele hábito, se os peitinhos intocáveis o fariam se deprecar tanto quanto Harry clamava pelo seu Senhor.
— Claro, acredito nisso. Já me sinto até mais convencido de aprender sobre. — Mentiu, sorrindo. — Deseja conhecer nossa capela?
O brilho de Styles pareceu voltar. As mãos batendo palmas animadas fizeram um sorriso brotar nos lábios do homem. Ele não estava feliz por sua felicidade, muito menos animado para entrar dentro da capela da penitenciária pela primeira vez. Era só a pequena felicidade de vê-la levantar sem jeito e, inconsequente, rebolar a cada passo que dava.
Louis foi logo atrás, olhando para o lado que sentiu olhos queimando suas costas. Era Tristan. Olhava confuso, parecendo decepcionando quando, com seus dedos, o mais velho simulou uma vagina, passando a língua entre eles.
No mesmo momento Harry se virou sorridente, entrelaçando seu braço ao de Louis, como se não tivesse medo ou nojo de si. Ela nem mesmo se tocou da cena anterior, falando apenas que deveriam andar mais rápido.
Harry Styles era de outro mundo, um mundo onde Louis queria conhecer para ver se havia mais dela por lá.
— Me conte mais sobre você, Louis. — Sua falação começou. Já estavam do lado de fora, caminhando pela grama até a capela não muito distante.
— Não vejo nada de interessante para saber. Me conte sobre você. Resumidamente.
— Ah, claro! Eu tenho vinte anos, nasci na Inglaterra, meus pais participam ativamente da igreja, então meu sonho era virar freira. — Deu um pulinho, mas não desgrudava do braço do homem. — Já passei por muitos países, sabia? Estou aqui na Noruega já faz alguns meses... Mas acho que não quero ir embora. — Suspirou tristonha.
— Então não vá. É um ótimo lugar, morei aqui por dois anos, antes de ser preso. — Harry riu baixinho, fazendo Louis também rir.
— Qual sua idade? Você é de qual país? — Questionou.
— Tenho trinta e cinco, e sou do México. — Ela pareceu surpresa, parando os dois antes de entrar na capela.
— Eu sempre quis ir ao México! Mas a mamãe dizia que iriam me traficar, ou eu acabaria envolvida com drogas. Isso é horrível, acho que ela está errada! — Ao mesmo tempo que suas palavras eram para Louis, pareciam ser para si mesma. Uma conversa confusa. Harry era confusa.
Louis apenas afastou a porta da pequena capela, deixando Harry entrar antes. Seguiu o corpinho a sua frente, vendo o olhar admirado pelo bom cuidado do lugar.
Apesar dos passos curtos, Styles parou de forma estática no meio da capela, parecendo se concentrar em algo. O barulho aumentava gradativamente, deixando-os confusos, até que a visão de Brandon e Tyler saindo do quartinho de pertences surgiu.
Eles iam desajeitados por trás do púlpito sagrado, Brandon segurava o namorado em seus braços com força, não medindo esforços para entrar e sair de dentro. Era uma imagem insana, engraçada para alguns, excitante para outros. Já para Harry, parecia ser assustadora.
Os homens não notavam a presença dos dois, nem mesmo quando estavam se apoiando no púlpito para que falicitasse os movimentos, enquanto Tyler mordia o ombro do outro homem, contendo seus gemidos.
— Harry, vamos embora. — Sussurrou, tentando privar sua voz do eco que fazia ali dentro.
A garota não se movia, não piscava, nem mesmo respirava.
Libertinagem aos olhos de Harry deveriam-a matar por dentro. A pequena conclusão dá-se ao fato de que, em alguns segundos, as orbes verdes estavam molhadas, deixando que lágrimas quentes, pesadas e dolorosas escapassem de seus olhos.
Enquanto, para Louis, o sexo era algo incrível, libertador, prazeroso, para Harry era, simplesmente, dilacerante pecar. Quando ela pôde de mexer, fora apenas para pegar o terço em seu pescoço, o enrolar em sua mão e amassar em seu peito, acima de seu coração.
Não restava opções a Sanchéz, a não ser cobrir os olhos úmidos e a puxar dali, correndo com seu corpo paralisado.
Ao lado de fora, Harry abraçou Louis.
O abraço pode ser a forma mais pura de confiança, mas também a chave mestra do medo. Desabar em um abraço é como ter a segurança de que não irá ser levado pela correnteza.
— Harry, o que aconteceu? — Era muito tarde para Louis se livrar.
— E-eu... — Respirou fundo, caindo novamente no choro. — eu não sei. Eu nunca tinha visto isso, Lou. — Louis enrugou o cenho ao ouvir o apelido. Ele odiava apelidos. — Eles estavam violando a casa do senhor! — Respondeu tão decepcionada e brava, afastando-se para olhar nos olhos azuis.
— Aqui não tem muitas opções de privacidade.
Harry pareceu não gostar daquilo, saindo de perto de seu corpo.
— Eles vão para o inferno, Louis. — Ao mesmo tempo em que parecia sentir pena, ela aparentava sentir raiva.
— Você não vai, certo? Então por que se preocupar com os outros? — Riu.
Louis não entraria naquela discussão sobre o inferno.
Aliás, se Deus é amor, por que ele defenderia a punição eterna? Por que, de alguma forma, o inferno seria um local de tortura após a morte quando, na terra, todos convivem com seus próprios demônios?
Afinal, o inferno, quem faz, são as pessoas que habitam a terra.
— Eu preciso me livrar disso! — Gritou, esperneando.
— Não há do que se livrar, Harry. — Tentou o acalmar.
— Eu estou doente, eu estou muito doente, Louis. — Dizia desesperada.
Quando, naquela tarde, Harry saiu correndo pelo jardim segurando gentilmente em sua intimidade, Louis percebeu que a doença era apenas excitação.
E então, mesmo inconsequentemente, nos próximos dias Louis se tocava no chuveiro pensando no quão molhada a freira havia ficado, se a calcinha com o cheiro doce teria ido para o lixo, se ela pensava no quão gostoso seria um pau a fodendo.
Mesmo não sendo convertido a Deus, Louis ansiava converter Harry ao pecado.
📿
O doce e o amargo. O frio e o quente. Extremos opostos que se completam.
Doce e quente pode ser descrito de forma confusa para alguns. Mas a doçura nos lábios, a doçura no olhar, a doçura no palato combinam com o conforto quente. Dias quentes, um café quente, cálido abaixo das cobertas. É um encaixe, um quebra-cabeça perfeito.
Louis não costumava conhecer a sensação do doce e quente. Era tudo tão morno ou frio. Pessoas mornas, climas mornos, comidas mornas, estratégias frias, lugares frios. Misturado com o amargo, a combinação era perfeita, mas imperfeita aos que vivenciavam.
A palavras doce lebrava-o de Harry. Seu perfume feminino, o toque feminino, o abraço quente e confortável. Ou aquele olhar, tão meloso, convincente e puro. Dava-lhe a vontade de segurar em suas mãos, deslizar sua língua, fazê-la ferver ainda mais em seus dedos.
Cerca de 1 mês havia se passado; as freiras ainda apareciam na penitenciária, as bíblias ainda eram lidas, orações ainda eram feitas e Harry ainda estava ali. A diferença era que, durante as três visitas durante o mês, Harry só falava com Louis para ler um versículo. Ela havia ficado fria, graus tão baixos quanto a temperatura ao lado de fora. Se esforçasse um pouco mais, Harry nevaria por seus ouvidos e narizes.
Na quarta visita, Harry não apareceu. Ela não estava desengonçada no final da fila, seus olhos inocentes e a risada tímida não estavam mais ali. Dessa vez, outra freira substituía seu lugar. Aparentava estar na mesma faixa de idade que Styles, mas certamente, mais extrovertida. E se Louis não estivesse enganado, ela olhava para os caras sentados no refeitório como um belo prato de comida.
Ele estara certo, na verdade. Em menos de dez minutos desde a chegada, a mulher se sentou ao seu lado. Ela acariciou sua perna, riu escandalosamente, leu um versículo devagar e perguntou, com os olhos pingando luxúria, se Louis estava disposto a foder sua garganta em algum canto escuro.
Com toda repulsão e enfurecimento, Sanchez a fez engasgar diversas vezes, até que estivesse pedindo para parar enquanto batia em suas coxas e chorava lágrimas salgadas. Aquela mulher era um erro, algo que não deveria estar ali. Ela era uma substituta barata, um demônio vestido de diabo, um pecado já cometido.
Louis não queria ser apenas um servo de tentações. Ele queria estar nos sonhos de Harry e ser chamado de Incubus, estar na frente de Harry e ser chamado de tentação em carne e osso, estar dentro do hábito de Harry e ser chamado seu.
Ele precisava daquela voz, daquele corpo, daquela alma, e daquela inocência derramando sangue em seu corpo e saliva em seus lábios. Necessitava da dança entre o pecado e a vontade de rezar ao final de um sexo quente. Ser devoto a Harry, ser devoto ao seu corpo.
Tirando o papel enfeitado do bolso de sua camisa, Louis comprou uma ficha para o telefone. Não sabe-se quantas vezes ele respirou fundo até que fosse corajoso o suficiente para discar o número nas teclas de metal e ouvisse tocando.
"Essa ligação está sendo feita diretamente da Penitenciária Halden, direcionada ao nome do registro como Harry Styles."
A voz da segurança falava. Eles estavam sempre ali redirecionando ligações e monitorando as conversas. Não demorou muito para que a linha da segurança ficasse quieta, sendo substituída por uma voz doce e calma, que parecia sorrir com seus lábios roseos.
— Louis? No que posso ajudar? — Para Louis, era como um sonho.
— Ey corazón... — Sussurrou, sentindo o peso sair de seu peito. — Cómo estás? No viniste hoy. — A voz era rouca e baixa. Sua testa estara encostada na parede, enquanto os olhos fechados focavam em cada palavrinha dita, e até mesmo em sua respiração.
— Eu estou ótima, Louis! — Por mais que o homem desejasse ouvir que ela estava mal, que estava com saudade, que fora obrigada a não estar ali hoje, não foi o que aconteceu.
— Pensei que a veria hoje. Aconteceu alguma coisa?
— Oh, claro que não! Mas o padre precisava de algumas de nós para acompanhá-lo até um hospital em Oslo. Passamos toda a manhã orando enfermos e comemorando a recuperação de um paciente. — Harry aparentava estar tão feliz com aquele feito. Aquela felicidade genuína o excitava.
— Estará aqui na semana que vem? — Houve um silêncio, junto a um pigarreio e um soar nervoso de seus lábios.
Alguma coisa estava acontecendo, mas Louis ainda não tinha entendido bem. Segundos se passaram, os olhos azuis encontraram os do segurança que ficara um pouco afastado dos telefones. Ele o olhava desconfiado, enquanto o detento apenas se concentrava em Harry.
— Sigues en la llamada? — Questionou se Harry permanecia ali, por conta do silêncio.
— Sim, estou aqui. — Respirou fundo. — A Madre me proibiu de voltar a fazer as visitas com elas. Disse que eu não agrego em nada.
— Ela está mentindo, corazón. — Falou um pouco alto e alterado. — Aconteceu mais alguma coisa?
— Não importa...
— Claro que importa, diga. — Ordenou. Harry parecia agitado.
— Eu confessei ao padre sobre o que vimos na igreja, ele me bateu algumas vezes para que o Senhor me perdoasse.
Louis estava irado. A ligação poderia estar em silêncio da parte de Harry, apesar de Sanchéz respirar fundo e resmungar alguns palavrões, mas não tão alto para que Harry não escutasse. Se encontrasse aquele homem, ele o faria engolir seu próprio pênis.
Quem, nesse mundo, se achava bom o suficiente para punir Harry? Aquela garota de alma tão limpa e pura sendo manchada por açoites de um pecador nato, que se esconde atrás de uma roupa enquanto tortura mulheres por seu próprio prazer. Era inadmissível.
— Veja, Harry. — Segurou o telefone firme em suas mãos. — Solicite uma visita íntima comigo. Eu estou disposto a aprender aquilo que Deus têm para nos ensinar.
A notícia veio como uma rajada de felicidade para Harry.
— Deus! Eu não consigo acreditar nisso. — Gritou animada. — Estarei fazendo a solicitação nesse instante, Louis. Será uma longa jornada.
Rindo, Sanchez apenas desligou o telefone, colocando-o no gancho. Harry estara vindo o ensinar, mas não tão bem quanto ele a ensinaria.
📿
A forma como o sol acordava na Noruega era, de certa forma, renovador. Acompanhado da melancolia do frio com pequenos raios quentes, os detentos estavam sempre em um ótimo humor para o banho de sol, agasalhados com toucas, casacos e suas meias grossas. Do pátio principal era possível acompanhar a neve deterretendo abaixo de seus pés, assim como pingando gotas geladas em suas cabeças ao que escorria das paredes.
Apesar de nascer sempre da mesma forma, o sol veio de uma forma diferente para Louis, naquele dia. Ele havia passado toda a manhã esperando em seu quarto, na esperança de que os guardas chamasse-o logo. Aliás, na noite passada, avisaram que Harry Styles estaria em Halden, apenas para uma visita íntima com ele.
Trajando o macacão rotineiro e um sorriso largo, os guardas levaram-o até o chalé depois da hora do almoço, com as alegações de que precisaram de um grande protocolo para tocar em Harry e fazer a revista em seu corpo.
Claro, Harry jamais deixaria com que alguém violasse seu corpinho.
Fora surpreendente para Louis entrar no chalé. Durante os anos de prisão, ele jamais havia tido uma visita íntima. Sua família, na maior parte das vezes, apenas o ligava ou mandava cartas. Era compressível, já que a maioria estava sendo caçado pela polícia.
Quando seus pés estavam dentro da pequena casinha, ele respirou aquele ar doméstico. Estavam longe da prisão, longe do cheiro de homens, longe do cheiro de aprisionamento, e perto do cheiro da liberdade. Outros chalés cercavam o local, mas a privacidade era incrível. O escolhido para os dois era composto por uma sala com sofá, poltrona, uma televisão, uma mesa para refeições e uma pequena cozinha, além do banheiro em uma porta visível.
A decoração era completo em cores chamativas, e a estrutura completamente de madeira. Era quentinho, confortável e aconchegante.
O guarda orientou tudo o que havia para orientar, colocando-o sentado em uma poltrona enquanto buscava por Harry.
Não demorou muito para que o cheiro doce adentrasse o local. Mesmo virado de costas para a porta, reconhecia aquele caminhar delicado. Os guardas trancaram a porta e logo estavam a sós.
Louis não se moveu, esperando até que Harry estivesse em sua frente. Trajando o mesmo hábito, um sorriso feliz e uma bíblia em sua mão, os olhos atentos encontraram as orbes azuis, esticando a mão para cumprimentá-lo.
— Louis, é ótimo vê-lo novamente. — A garota entusiasmada apertou sua mão com delicadeza, sentando-se nó sofá de frente para ele. As pernas comportadas estavam juntas, com a bíblia apoiada nelas por cima do pano preto.
— Digo o mesmo.
— Bom, nosso tempo aqui não é muito longo, então devemos começar. — Sugeriu.
— Claro. Pode começar. — De forma em que Harry encolheu seu corpo, Louis andava em sua direção, sentando-se ao seu lado no sofá de três lugares.
Harry demorou demasiados segundos até que estivesse abrindo a bíblia e encontrando um dos livros que leria. As unhas perfeitamente cortadas passavam pela folha, até que se concentrasse em boas palavras. Louis observava em silêncio, apenas aspirando seu cheiro gostoso.
— Ore comigo, Louis. — O corpo, antes virado para frente, se moveu um pouco para a direção do detento, trazendo a mão de Louis para que estivessem junto a sua.
O "Pai Nosso" deslizava por seus lábios. As pálpebras trêmulas estavam fechadas, os cílios escuros tocando as maçãs vermelhas de suas bochechas. Louis acompanhava a oração, arrastando as mãos até que sentisse a calidez da pele alheia.
— Amém. — Harry pronunciou, parecendo tão satisfeita a cara expressão que concedia ao outro.
— Amén. — Sussurrou Louis.
As mãos foram separadas, e a freira se afastou um pouco de seu corpo.
— Você gostaria de desabafar seus pecados para que possamos orar por eles?
— Eu mal saberia por onde começar... — O maior pecado dele, naquele instante, era desejar sua mão por baixo daquela roupa.
— Por que está aqui, Louis? Digo, na prisão.
Sanchez respirou fundo, levando a cabeça para o lado em uma encenação ao que fingia estar abalado com a pergunta. Styles tocou seu ombro, arrastando os dedos por cima do macacão laranja. Parecia tão triste com a pergunta que fizera.
— Eu passei tanto tempo da minha vida vendendo drogas, Harry... A minha família é dona do maior cartel de drogas da América Latina. — Fungou. — Eu não quero mais fazer isso.
— Você se arrepende, Louis? Olhe para mim. — Os olhos azuis lamentáveis olharam no rosto da freira, vendo a pena que continha ali.
— Eu me arrependo.
— Então Deus perdoará você, querido. — Sorriu, tocando o peito do homem, bem acima de seu coração. — Está disposto? — Louis assentiu, tocando a mão dela por cima de seu coração.
Com a voz tão firme, Harry começou a ler uma passagem bíblica.
"O que encobre as suas transgressões nunca prosperará, mas o que as confessa e deixa, alcançará misericórdia". Foi o que Louis ouviu antes que as lágrimas saíssem de seus olhos. Eram rios, onde Harry passava a navegar com seus dedos trêmulos. Ela parecia tão nervosa, mas tão destemida.
— Está sentindo em seu coração, Louis? Você sente a presença do nosso senhor nessa sala? — Louis concordava tão rápido, respirando fundo quando a olhou nos olhos.
Um farsante nato trajando um sorriso grande.
— Eu não consigo me concentrar, Harry. — Uma lufada de ar deixou sua boca. — Preciso tocar em você para me concentrar.
— O que você está dizendo, Louis?
— Deixe-me tocar seu corpo para estar ainda mais perto do Senhor. — Harry parecia assustada.
— Toque minha mão, eu não posso negar seu pedido. — Dizia inocente, os olhos grandes esperançosos.
— Eu preciso tocar seu corpo por baixo da roupa. — O choro voltou. — Eu sou tolo, me perdoe...
Louis se afastou, levantando-se e se distanciando de uma Harry confusa. Seu rosto parecia se perguntar o que estara acontecendo. A bíblia foi deixada na mesa de centro e seu corpo também se levantou, mas permanecendo no mesmo lugar.
— É pecado, Lou. Você não pode tocar o meu corpo.
— Minha intenção era apenas aprender e ser perdoado, corazón. — O pulso se arrastou pelas bochechas, limpando as lágrimas que molhavam o rosto. — Minha professora me deixava chupar os peitos dela enquanto me ensinava.
Harry arfou surpresa, as bochechas coradas como tomates recém colhidos.
— Eu irei para o inferno, já aceitei o destino.
As palavras eram manipuladoras e sujas, Louis estava jogando sozinho, porque Harry não fazia ideia da potência daquele jogo de azar. Era uma garota perdida que desejava salvar aqueles que não podiam ser salvar. Ela respirava fundo enquanto olhava para Louis sem saber o que fazer.
— Você não irá para o inferno, Lou. Eu não permitirei isso. — A voz suave tentou acalma-lo.
Foi então, em apenas um piscar de olhos, que o olhar maldoso encontrou os dedos de Harry. Os dígitos desabotoavam os botões do hábito, deslizando o zíper logo em seguida. A pele esbranquiçada ja era visível conforme Styles tirava a roupa, deslizando-a pelos seus braços e dobrando-a no canto do sofá.
O véu preto ainda cobria seu cabelo, e Louis questionava qual seria a cor dos fios. Agora, os braços tímidos tentavam esconder seu lindo corpo, assim como o sutiã bege e a calcinha da mesma cor escondiam seus peitos e sua intimidade.
— Qué estás haciendo, corazón?
— Você pode tocar em mim, caso isso o faça se concentrar. — Sorriu tímida. — Podemos continuar?
Louis sorriu vitorioso, concordando. As pernas longas se sentaram novamente no sofá, enquanto o homem voltava para onde estava. Harry tinha a bíblia em suas mãos, enquanto Louis aproximava os lábios da pele macia, deixando beijos em sua clavícula. A alça deslizou pelo ombro largo, deixando exposto um de seus seios.
Ele era gostoso, grande e com o biquinho rosado. A pele estara arrepiada, automaticamente deixando o mamilo enrijecido. O polegar acariciou ao redor de sua aréola, fazendo com que Harry engolisse a seco.
— Você vai mamar? — A pergunta de Harry era inocente, com seus olhinhos focados nos movimentos e sua mão apertando a bíblia com força.
— Eu estou salivando por esse peitinho, corazón. — Louis sussurrou sorridente, segurando o biquinho entre seus lábios e começando a mamar com vontade.
Ele encarava Harry, que tomava coragem de continuar a ler os versículos separados na bíblia. A mão de Louis adentrou a outra parte do sutiã, amassando-o em seus dedos, esfregando a palma pelo biquinho e se tocando do exato momento em que Harry cruzou suas coxas, apertando-as uma contra a outra.
— “Se dissermos que não temos pecado, enganamo-nos a nós mesmos... — Harry engasgou quando os dentes finos puxaram o mamilo, mordendo-os com tamanha força que fez o corpo da mulher se erguer. Talvez fosse o primeiro gemido de Harry, tão desconexo e alto, gritado e apreciado. — e a verdade não está em nós.” — O final da passagem bíblica saiu em gritos e prantos, Styles chorava, as gotas grossas pingando no rosto de Louis.
— Ele irá me perdoar, Harry? — Louis afastou seus lábios roseos, descendo a mão pelo corpo semi nu, segurando firme na cintura modelada. — O Senhor está vendo como eu estou me esforçando?
— E-ele... — A respiração ofegante, os peitos quase se esfregando no rosto barbado e seus dedos amassando as páginas que seguravam. — Deus está o perdoando, você consegue ouvir bem minhas preces?
Sanchez sorriu, piscando lentamente ao concordar.
Harry passou a rezar baixinho, Louis conseguia identificar como um "Ave Maria". Sua boca caminhava até o outro seio, marcando a pele e chupando com gosto. A sucção forte fazia com que gemidos surgissem em meio às preces, enquanto Louis era devoto aos peitos em sua boca.
— Deus, perdoe-o, ele está tentando buscar a paz, o perdão, a remissão de seus pecados. — Era excitante a forma que Harry tinha seus olhos fechados, sua cabeça tombada para trás no encosto do sofá e os lábios abertinhos fazendo suas orações.
— Por que está fechando suas pernas? — Perguntou, pressionando os dígitos em seu quadril e colocando ainda mais do peito em sua boca.
— Está doendo. Minha intimidade dói muito.
— Como no dia em que você viu a cena da igreja? — Harry abriu seus olhos assustada, assentindo envergonhada. — Não a chame de intimidade, corazón. É sua bucetinha, não soa melhor?
Louis afastou lentamente as coxas, ajoelhando entre suas pernas. A freira pressionava sua mão na própria barriga, tentando aliviar a vontade de tocar a buceta molhadinha. A lubrificação escorria na calcinha, deixando-a manchada.
Ele apareciou verdadeiramente, beijando as gordurinhas em sua barriga, mordendo a pele, beijando o pequeno caminho de pêlos até sua calcinha.
— Leia mais, eu vou resolver seu problema. Preciso me concentrar em suas palavras, elas já tocam meu coração. — Consentindo imediatamente, Harry abriu mais suas pernas.
Os dedos tatuados brincaram com o tecido grosso, tirando-o do corpo com facilidade, mesmo que o tecido agarrasse as coxas grossas. A visão da mulher bem aberta, usando apenas seu sutiã que estara solto em seu corpo e o véu que escondida seu cabelo, era fodidamente quente. Caso ela tivesse um cigarro entre seus lábios, Louis já teria chegado ao orgasmo.
Sua intimidade parecia intocada. Os lábios grossos, o contorno rosinha e com pêlos ralos, o melzinho escorria da entrada apertada e o clitóris aparentava estar vermelho de tesão. Louis deslizou apenas o polegar por toda a buceta, encharcado-a com a lubrificação. O corpo relaxado de Harry, ganhou tensão.
— Ainda dói... — Reclamou, gemendo quando a saliva cuspida de Louis atingiu seu pontinho. — Acho que não deveríamos mais fazer isso. — As pernas fecharam, expulsando Louis.
— Você é tão linda, Harry... A sua bucetinha é linda, as suas pernas são lindas. — Respirou fundo. — Mas claro, se você acha que não devemos, talvez não seja certo.
— Você me acham mesmo linda? — Sorriu envergonhada.
— Sim, claro. E tudo o que eu queria, era fazer você se sentir bem. — Molhou seus lábios com a ponta da língua. — Tudo bem, eu arranjarei outra freira para limpar meus pecados e receber alguns toques.
Encarando o rosto envergonhado, Sanchez notou quando os olhos encheram de lágrimas tristes. Se estivesse dentro da sua cabeça, talvez o sentimento principal a se sentiria seria confusão. Harry parecia tão confusa, tão em dúvida de seus próximos passos, mas tão excitada conforme esfregava suas coxas apressadamente.
— Arranjará outra para chamar de linda? — Ela soluçou, permitindo que as gotículas salgadas descessem por suas bochechas. Os lábios tremiam, parecendo tão abalada e desconecta daquele mundo.
— Talvez eu deva, não acha? — As pernas longas pareciam abrir inconscientemente, fazendo com que, novamente, o homem se encaixasse ali.
Dessa vez, ele subiu por seu corpo, deixando um beijinho abaixo de seu seio ainda úmido, e subindo selares até seu queixo.
— Não... Não faz isso, Louis. — O choro era desesperador. Com um sorriso cafajestes em seus lábios e a ponta de seu nariz acariciando o rosto alheio, o homem lambeu suas lágrimas, que atingiam seu palato com um gosto delicioso de excitação e sofrimento.
Estando por cima de seu corpo, Louis apoiava o joelho entre suas pernas, socando-o em movimentos brutos contra a intimidade molhada. Harry gritou, tremendo conforme, de forma rápida, o joelho coberto com a calça laranja era socado contra seu clitóris.
— Está doendo! — Ela gritou, agarrando nos abraços apoiados nas laterais de seu corpo, quase que penetrando seus dedos na pele tatuada. — M-mais, Lou. — Seus olhos bonitos foram rolados dentro de suas pálpebras, mal conseguindo encarar as orbes azuis.
— Corazón... — Sussurrou rindo. — Gusta que te maltraten? — Ele podia sentir o calor, gozo e a forma como ela se contraia em seu joelho, assemelhando-se a uma adolescente que acabou de descobrir os prazeres de se esfregar em uma superfície. — Vamos, vagabunda, comece a orar para mim.
Em um ato repentino, Harry estava se livrando do véu em sua cabeça, deixando com que cachos amassados caíssem sob seus ombros. Eram longos, castanhos e, ao suspirar fundo, Louis descobriu que cheiravam a baunilha.
— Senhor, ensinai-me a ser generosa. Ensinai-me a servir-Vos como Vós mereceis. — Ela rezava, assim como fora ensinado na igreja durante os últimos anos. A diferença é que, ao invés de estar cercada de pessoas, ela estava cercada de estímulos. — A ofertar sem calcular os custos; a lutar sem reparar nas feridas. — A respiração descontrola a fazia se perder, enquanto Louis era tão insistente em pressionar o joelho contra seu pontinho.
O pau de Louis pulsava com aquela imagem, marcando completamente sua roupa e a cabecinha vermelha apertada no elástico na calça. Ele abaixou a calça até que apenas a glande estivesse aparecendo. Harry que estara prestes a falar, foi calada quando a mão bruta agarrou seus fios e a fez brutalmente beijar a glande molhada.
— Quero que você prove do meu gosto. Eu serei sua óstia, Harry. — Falou convencido, sentindo a boquinha deixar beijinhos e lambidas. — E no dia em que eu gozar dentro de você, serei seu vinho.
Jogando-a novamente contra o sofá, ele abriu ainda mais as pernas esbranquiçadas em sua direção, curvando-se para chupar sua bucetinha.
A língua corria peloe grandes lábios e chupava os pequenos, mamando forte em seu clitóris e ouvindo os gritos escandalosos.
— Diga, Harry, a quem você irá idolatrar? — Sua mão firme a estapeou em sua xotinha, deixando-a ainda mais vermelha.
— A você! — E aquilo soou como um grito desesperador, vindo de um orgasmo logo em seguida. O melzinho escorria, lambuzava seu corpo e a boca de Louis.
A língua molinha lambia, enquanto tentava penetrar, mas sentia-se apertado. Quando. desistiu, por um resmungo de Harry, ele a deixou no sofá.
Harry estara completamente destabilizada, com suas pernas abertas, sua mão acariciando o biquinho de seu peito e os olhos fechados. A respiração ofegante afundava sua barriga, e o corpo ainda sofria alguns espasmos. Sua freira estara acabada, destruída e complemente gozada.
— O que eu fiz? — A pergunta saiu baixa, mas não desesperada. Ela parecida genuinamente curiosa.
— Você sentiu tanto prazer, gostou tanto de ser chupada que gozou. — Louis se aproximou novamente do corpo, sentando-se na ponta do sofá. Os dígitos deslizavam pela barriga ofegante.
— Isso foi muito bom, Lou.
— Mas você não pode contar para ninguém, okay? — Harry assentiu, deixando um risinho escapar. — É um segredo nosso, e se o padre souber, ele irá bater em você. E aí, eu serei obrigado a matá-lo. — Um beijinho foi deixado no rosto cansado.
Enquanto Harry parecia pegar no sono, Louis se levantou devagar, ajeitando a ereção em sua calça e arrumando a bíblia jogada no chão. Ele saiu em passos lentos, mas ao chegar na porta, ouviu um resmungo.
— Sanchez... — O chamou, fazendo com que ele virasse. — Você pode me tocar sempre que quiser orar. Não precisa pedir, Deus está permitindo.
Com aquilo, Louis apenas riu e saiu do chalé.
📿
Em uma liberação de hormônios, adrenalina e emoções, o medo é uma resposta do organismo a uma estimulação aversiva. Um pequeno susto no esconde-esconde pode levá-lo até mesmo a um ataque cardíaco, enquanto ameaças sérias podem apenas fazê-lo acelerar o coração.
Mas até onde o medo é real?
Até onde o medo não se passa apenas de um medo crônico ou um gatilho que se tornou maior do que realmente é?
Quando, na noite anterior da próxima visita de Harry, Louis o ligou e recebeu apenas um choro incessante com palavras desconexas, ele tentou explicar que o medo era superficial, uma invenção dos filmes de terror para que o público temesse espíritos e pessoas.
Louis não gritou, não alterou sua voz e não se irritou ao que Harry desligou em sua cara.
No próximo dia, Harry não apareceu.
E então, durante as próximas duas semanas, Harry também não apareceu. As ligações eram rejeitadas, as cartas voltavam para a penitenciária e as visitas das freiras eram sempre incompletas.
Ele já estava ficando cada vez mais impaciente, a cada toque rejeitado na ligação, Louis batia fortemente o seu punho contra o telefone, não suportando mais a espera daquele tratamento de silêncio.
Foi durante uma aposta no dominó com Jensen que Louis usou a ficha registrada no nome do senhor para ligar. Dessa vez, Harry não rejeitou.
— Jensen! Quanto tempo. — Sua voz era completamente entusiasmada, tão doce e alegre. Louis queria chorar de saudade.
— Harry, me escute. No cuelgues el teléfono, corazón. — Ele pediu baixo e calmo. A linha ficou em completo silêncio, nada além da respiração alterada da garota. — Quero que você esteja aqui amanhã. Em suas palavras, eu poderia tocar você sempre que quisesse orar.
Era sujo, ele sabia. Mas se fosse necessário matar um batalhão para ter Harry ali, ele faria.
— Você não vai decepcionar Deus, não é? — Ela continuava não respondendo. — Você é uma freira tão esforçada, vai mesmo me deixar na mão? Vai me deixar ir para o inferno por egoísmo?
— Não. — Foi um sussurro, tão calminho e quase um silêncio.
— Então marque a visita para amanhã de manhã, teremos muito o que fazer.
A garota fungava do outro lado, ele conseguia ouvir bem, e imaginava os olhinhos segurando suas lágrimas. Ela deveria estar linda, pronta para dormir e com o pequeno coração batendo fortemente.
Os dois desligaram, sem mais palavras.
Na manhã seguinte aconteceu exatamente o que Louis esperava. O sol ainda não havia nascido quando retiraram-o de sua cela e levaram-o até um chalé. Era diferente dessa vez. O guarda que o guiou parabenizou seu ótimo trabalho de algumas semanas atrás, dizendo que uma cama seria muito melhor para os dois.
Seu punho ganhou tensão, pensando se ele havia visto sua garota nua, todavia, desistiu de questionar assim que a porta fora aberta e a figura de Harry sentada na mesa de jantar apareceu em sua visão.
A cabeça baixa não permitia que Louis encontrasse seus olhos, mas os dedos emluvados com renda batendo incessantemente contra a mesa de madeira, deixavam claro seu nervosismo. Em nenhum momento ele desejou que Harry temesse sua presença, só que agora estava em uma situação controversa à sua vontade.
Não houve um abraço, um cumprimento, um sorriso. Era apenas um silêncio, como se o mundo a sua volta estivesse no mudo. Apesar de desejar a falta de audição, ele sabia que Harry apenas não estava falando, nem mesmo respirando perto dele.
— Eu quero me explicar, Harry. — Sentou-se ao seu lado na mesa. — Eu posso fazer isso?
— Explique-se para Deus, Louis.
O homem respirou fundo, olhando a sua volta. Era um lugar aconchegante, com uma cama de casal na extremidade oposta da mesa, uma televisão, a cozinha em frente a eles e sacolas de papel com o café da manhã dos dois.
— Mas eu quero que você ouça, que você me perdoe. — Tentou tocar sua mão, sendo rejeitado.
— Por que você me chama aqui se não está disposto a ser perdoado por Ele? — Louis não tinha palavras na ponta da língua, perdendo-se ainda mais quando os olhos opacos encontraram os seus.
— Eu estou.
— Então ore, Louis. Peça perdão. — A cadeira fora afastada, fazendo com que o homem se assustasse.
As mãos cobertas abriram a bolsa de crochê pendurada no escoto da cadeira, retirando uma pequena bíblia, um terço de madeira com uma e uma cruz média, normalmente utilizada para pendurar nas paredes.
— Reze o terço, Louis. Bolinha por bolinha. A bíblia é para você ler e a cruz para você pendurar em sua cela. — A voz não parecia tão abalada quanto na última ligação que tiveram. Harry parecia um pouco mais firme, talvez por Louis ir tanto contra sua fé.
— Certo. Eu farei isso. — Ele abriu a bíblia. — Você irá me perdoar?
— Se Deus o perdoar, quem sou eu para não fazer o mesmo? — Com um pequeno sorriso doce, Harry passou a desabotoar seu hábito, abrindo-o como da última vez. Os sapatos pretos também foram retirados, deixando apenas as meias brancas. O véu, assim como a roupa, saiu de sua cabeça, sendo dobrado na cadeira.
O corpo angelical fora livrado do sutiã e de sua calcinha. Louis estara perplexo, mas não tanto quando Harry se sentou na mesa, ao lado da bíblia e abriu suas pernas. Ela não estava molhada, muito menos parecia excitada. Era como um brinquedo para que o detento mantesse sua concentração.
Com seus dedos ágeis, Sanchez tocou as coxas leitosas, acariciando enquanto, com a outra mão, segurava o terço.
— Senhor, eu peço perdão por ter cometido diversos pecados. Eu peço perdão por não ter sido alguém bom.
— Diga em voz alta tudo aquilo que você fez.
— Eu peço perdão por matar, por perseguir e por alimentar meus lobos com a carne dos meus inimigos.
— Você se orgulha disso, Louis? — Ela perguntou, segurando o pulso de Louis e levando a mão até sua intimidade. — Se orgulha de mandar com que pessoas me persigam?
O terço era segurado fortemente em sua mão, enquanto seus olhos fechados faziam-o se controlar de seus sentimentos.
Afinal, quem realmente era Louis?
Para Harry, ele fora apenas mais um pecador que caiu por prazeres, pelas drogadas, pela necessidade.
Para o mundo, para a mídia e para os juízes de seus casos, Louis fora um psicopata, como gostavam de chamar.
Todas as suas obsessões durante a vida tornaram-o doente pelas pessoas pessoas que se apaixonava. Ele perseguia como se fosse uma atividade normal, afastava todos aqueles ao redor de seu alvo e, no final, se estivesse cansado o suficiente, apenas dava um fim na vida.
Era nítido em sua mente o momento em que foi acusado de ser um stalker, com sua psiquiatra o diagnosticando com o perseguição obsessiva. Dois anos depois, seu imóvel no interior da Noruega fora encontrado com seus três lobos de estimação se alimentando de carne humana.
A notícia durou alguns anos, até que a família Sanchez abafasse todo o caso.
Quando Harry conversou com ele noites atrás, ela dizia estar com medo após pesquisar seu nome na internet, e também encontrar um homem tirando fotos suas na igreja. Louis riu e explicou que o medo era superficial, que ele não era da forma que ela estava lendo.
Alguns dias depois, o padre que insistia em bater em Harry, apareceu morto e crucificado.
— Fala para o senhor, Louis. Fala que você se arrepende de ser insano! — Ela gritou, forçando os dedos dele em seu clitóris.
Lobos e seres humanos são traiçoeiros. Harry era apenas uma presa nas mãos de seu caçador.
— Do que você me chamou, Harry? — Ele perguntou calmo, apreciando a reação dolorosa que Harry teve ao que um dedo estava dentro dela.
— Você é insano, maluco, doido, Louis. — Dizia tentando expulsar o dedo de seu interior. Louis, com um sorriso brincando em seus lábios, segurou firme o terço, antes de o desferir no rosto de Harry.
— E você está ficando molhada com isso, corazón. Não está? — O peito da mulher subia e descia ofegante, seu rosto marcado estará virado, enquanto as pernas se apoiavam na mesa, deixando-a ainda mais aberta.
O terço de madeira atingiu novamente o rosto ferido, em uma sequência de gritos e que saiam dos lábios grossos e o barulho do objeto contra a pele. Mais um dedo a penetrou, forçando cada vez mais no buraquinho apertado.
— O meu corpo é um templo do Senhor, Louis! — Chorosa, suas palavras saíram gritadas. — Você não pode me machucar.
A gargalhada maldosa fora ouvida, enquanto o terço espancava seus peitos. Ela parecia bambear, com suas mãos cobertas escorregando na mesa de madeira e rosto sem direção para onde ir. Sempre que o virava, Louis batia ainda mais forte.
— Para de tentar expulsar meus dedos, vagabunda. — Ele forçou ainda mais, fazendo-a cair de costas na mesa. A bucetinha estara molhada, encharcando os dedos de Louis sempre que ele ia e vinha com mais força, fodendo-a de forma gostosa e apertada.
Mesmo gritando entre dor e prazer, ela tentou expulsar Louis mais uma vez, contraindo e forçando para que ele saísse de dentro dela. Quando Louis realmente retirou, o corpo relaxou e ela se livrou de suas luvas, tocando seu clitóris em uma massagem gostosa. Ele tinha consciência de que ela sentir falta de ser preenchida, ou não estaria se abrindo ainda mais e se contraindo no nada.
— Eu não posso tocar o templo de Deus, não é? — Riu, desferindo o terço com força no meio de suas pernas, fazendo-as tremer e Harry choramingar. — Mas ele pode. — Não foi uma pergunta, soou como uma afirmação completamente convicta. — Esse seu "Deus" pode comer sua buceta com a porra do pau imaginário dele, mas eu só posso gozar imaginando o seu gosto.
Harry sussurrava algo não entendível, com sua pele se arrepiando completamente quando Louis passou a acariciar. A diferença era que, ao invés dos dedos molhados, a madeira da cruz deslizava por sua pele, tocando seu pontinho e descendo por toda a intimidade, até estar penetrando-a. Seu quadril se ergueu e sua bucetinha se contraia em volta da madeira. A figura de Jesus crucificado em metal tocava seu clitóris, fazendo-a gemer ainda mais alto.
— O Senhor está comendo você, amor. Ele está comendo antes que eu encha você com o meu gozo. — Harry voltou a apoiar suas mãos na mesa e a erguer seu corpo, olhando para Louis. A expressão de prazer em seu rosto era insana, com os lábios abertinhos proferindo o quão gostoso aquilo era, enquanto sentia a buceta virgem sangrar na cruz, misturando-se com a lubrificação. — Eu não sou generoso? — Aproximou-se do rosto suado, capturando seus lábios para um beijo desajeitado.
— Mais forte, por favor. — Ela sussurrou, segurando firme no cabelo de Louis e rebolando na cruz ainda mais forte.
Ela era insana, a ponto dos peitos pularem com a força em que ela se arriscava em sentar na madeira.
— Eso, corazón, siéntate más fuerte — Os gemidos de Harry pareciam cortar sua garganta, e o aperto no cabelo de Louis demonstrava a vontade que ela estava de chegar em seu ápice.
Os dedos desengonçados brincavam com seu pontinho, beliscando-o para conseguir gozar. Quando Louis meteu uma última vez, Harry gozou na cruz.
Ela jogou no corpo do homem no mesmo instante em que ele retirou o objeto de dentro dela, abraçando seu pescoço e envolvendo as pernas em sua cintura, gemendo no pé de seu ouvido quando a ereção tocou a buceta dolorida.
Foi o tempo dela deitar na cama e ter seu corpo coberto para estar adormecendo.
Sanchez a deixou se recuperar, vendo a vista da janela enquanto tomava seu café da manhã que fora deixado ali. Vez ou outra Harry soltava um resmungo, mudando de posição na cama. Louis apenas olhava e sorria, enquanto o tempo passava.
Aproximava-se das onze da manhã quando Louis se deitou ao seu lado, puxando o corpinho para si. Os lábios desceram por sua pele, beijando seu maxilar, chupando sua clavícula e tirando o lençol de seus peitos para que pudesse chupar. Harry parecia atender aos toques, gemendo o nome de Louis.
Ele chupou seu seio, mamando até que sua mão que contornava a xotinha sentisse molhar. Louis acariciou devagar, sabendo que deveria estar sensível, e ao que o toque parou, ele conseguiu ouvir a voz mansinha.
— Continua... — Sussurrou, ainda apreciando seu sono.
Cansado de rejeitar suas ereções, Louis se livrou de sua roupa, punhetando seu pau com agilidade. Ele tocou a cabecinha inchada, molhando seus dedos e os levando até a os lábios entreabertos. Harry chupou devagar e ele forçou ainda mais, abrindo a boquinha alheia.
Ajoelhado na cama, guiou seu pau até a boca gostosa, adentrando-a aos poucos enquanto sentia a língua deslizar pelo comprimento. Forçou em sua garganta, estocando en movimentos lentos e prazerosos. O revirar de seus olhos fora inevitável depois de tantas noites imaginando como seria. Ela engolia cada centímetro, fechando seus lábios nas veias.
Quando Louis começou a forçar ainda mais em sua boca, os olhinhos verdes abriram, não tão confusos, mas com as pupilas dilatadas. Perdida no que fazer, Harry chupou a glande, mamando e passando sua língua pelo prepúcio.
— O que eu posso fazer pra você melhorar, Lou? — Louis acariciou seu rosto, puxando-a por seus cabelos até que ela estivesse com a cabeça tombada na ponta da cama. — Isso dói. — Reclamou manhosa pelo puxão.
— Fique quietinha que eu vou melhorar, okay? E a abre a boca. — Ela sorriu, deixando a boca aberta enquanto Louis estava em pé na sua frente, com o pau sujando seu queixo.
Ele meteu dentro da boquinha sem dó, sentindo as vibrações da garganta apertarem seu caralho. Fodendo a boca fortemente, podia ver a elevação na garganta alheia, apertando seus seios com excitação enquanto Harry apertava a elevação com seus dedos.
Se aquele era o inferno e aquela sua condenação, Louis desejava pecar ainda mais para pagar os pecados fodendo a boca gostosa de Harry. A saliva quente que envolvia seu pau também escorria por seu queixo e por suas bochechas, e os olhos marejados pareciam pedir para parar, apesar de Harry só engolir ainda mais.
A mão que antes estara em seu peito agarrou o nariz da garota, não permitindo que ela respirasse, e então os pés agoniados batessem na cama fortemente, até que Louis estivesse enchendo sua garganta com a porra quente.
— Engole tudo. — Ele mandou, saindo devagar e levantando Harry para que ela não ficasse tonta.
— Eu... não aguento mais, Lou. — Tossiu, engolindo a porra presa em sua garganta.
As bochechas coradas e o rosto suado faziam jus as suas palavras, mas era a vez de Louis se aliviar.
— Não seja egoísta, Harry. Deus não gosta de menininhas egoístas. — Acusou.
— Não estou sendo. — Fez um biquinho.
— Você deixou o Senhor aproveitar de você, e eu não posso?
— Eu não disse isso... Você pode! — Tentava contornar a situação, voltando a abrir suas pernas.
— Mas disse que estava muito cansada para me ter. — Voltou para a cama, deitando Harry e beijando seus lábios. — Eu sei que você é muito boa pra mim. — Ela assentiu, ficando tímida.
Louis encostou os peitos fartos em seu peitoral, passando a perna de Harry por cima da sua e encaixando a glande na entrada de sua bucetinha. Com um beijo em seus lábios, ele entrou de uma só vez nela, começando movimentos fortes.
— Dói muito... — Ela sussurrou contra os seus lábios. — Mas é tão, tão, tão gostoso. — Movimentou seu quadril contra o pau de Louis, com ele saindo e entrando de uma forma tão bruta, mas tão terna.
— Eu não quero que ninguém toque no que é meu, Harry. Está entendendo?
— Sim, senhor. — Sorriu, deslizando as unhas pelas costas alheias e segurando em seu braço tatuado.
Louis levantou a perna dela segurando em sua coxa, deixando-a ainda mais aberta pra ele foder seu buraquinho. Estocando, sentia as unhas afundarem em sua pele e ele se contrair. Os olhares se encontraram quando ela apreciava com admiração a cena explícita do pau sendo completamente engolido por sua xotinha, molhado com seu mel.
— É lindo, não é? — Louis questionou, rindo. Ela apenas se agarrou ao seu corpo, gozando fortemente em um squirt que, na tentativa de expulsar Louis de dentro dela, ele agarrou em sua bunda, amassando a carne forte enquanto mantinha-se fodendo a buceta até que estivesse gozando.
A dor misturada com prazer fora deixada em uma mordida forte de Harry em seu pescoço, com ele permanecendo agarrado a ela deixando beijos molhados em seu ombro.
Espero que tenham gostado, porque ela me agradou bastante! Não esqueçam de falar o que acharam e que as minha ask está sempre aberta para críticas, ideias, etc. Obrigada por lerem e até a próxima! 🩷🥹☝🏻
607 notes · View notes
cmoundiamante · 3 months
Text
THE COLOR VIOLET ✦ S.JY
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
pairing ex bf!jake x afab!reader
summary He never imagined he would meet her again, and no matter how much he tried to ignore her, because of his kindness he found himself trapped in his ex’s lips again.
genre smut but kinda angst at first (mdni pls), university au, one shot.
warnings mentions of alcohol, smoke and drugs, riki owns a tobacco company, teasing, pet names (pretty, little one, idiot.), car sex, dirty talk, degradation, masturbation, orgasm denial, blowjob, unprotected sex, missionary, squirting, aftercare.
a/n hello everyone, this is my first post here on tumblr!! first of all, i wanna clarify that this os is also found in wattpad but in spanish and with an oc as protagonist, but here i decided to pair Jake with the reader. english is not my first language so pls be kind (: any correction will be considered, not only to improve reading but also for my learning ^^ hope u like it
wc +7k
Tumblr media
With the greatest freedom in the world, he gripped the steering wheel with both hands, started the car, and moved forward.
On the day that car had been given away, it was the day to take advantage of the opportunity to go to college for the first time completely independently.
The university he attended had a parking lot at the front of the large establishment, so he decided to leave it near the exit so he wouldn't have to walk far when he left. To his surprise, his best friends were arriving and waiting for him at the entrance, sitting on the tiles that maintained a large plantation of flowers in the back. Jay was smoking a cigarette, Heeseung was sitting next to him with his phone, and Sunghoon was standing swinging on himself, wearing Prada sunglasses that blocked him from the sun's rays.
"Look who's here!" Jay shouted inadvertently that caught the attention of several people around, receiving looks of displeasure or surprise. “Now you'll be our chauffeur."
"Nice car, dude." Sunghoon complimented. Jake knew that the car he owned wasn't even close to the cars Sunghoon owned. Among the many cars he had in his garage, he came with the most monstrous truck he owned, the RAM 1500. It attracted too much attention, but for his social status it was something very simple.
Heeseung, realizing that Jake had arrived, shook his hand in greeting. "Are you coming on Friday?" was the first thing that came out of his mouth. "What happens on Friday?"
"Daddy's boy's gonna have a party," Jay said, throwing the cigarette butt on the wet grass behind him. Sunghoon gave him a bad look, disapproving of his joke. "Do I have to bring anything?"
"Just your presence," Heeseung replied, Jake nodded. He hadn't been out for a long time, he didn't have very good memories of the times he went to fraternity parties. That's why he didn't like to go out, much less dance, it wasn't his forte. Most likely, he'll sit in a corner, walk around the place, lock himself in the bathroom to smoke, or just follow his friends for the five hours he's stuck there. Still, his answer was unexpected. “See you there.”
Tumblr media
It was not an hour since he had arrived at that party, and it was too boring for his liking. He couldn't wait to leave.
Jay hasn't left the kitchen since arriving at Sunghoon's mansion, playing bartender, tending to guests who ordered drinks. Heeseung was in charge of leaving the bottles of alcohol that arrived at the house in the pantry, but from time to time he left his post to go to the big room and dance with one of the girls from the university. Sunghoon, host of the meeting, didn't worry about the disasters that could happen in his house, he could cover any expenses and his house would be as good as new.
Jake, on the other hand, didn't have such a leading role in that party, he rotated from the kitchen to the dance floor, and so on. The only thing he drank was a half-liter bottle of beer, although the alcohol did not fascinate him, the sour taste it left was felt too much and he did not like it, but from time to time he did not refuse to drink at least one. Jake's real addition was tobacco, he could smoke two boxes of cigarettes a day. This started the same way he was at the time, at the parties that Sunghoon was hosting.
Last year, one of Hoon's friends who had recently entered college brought a kit that assembled cigarettes and a bag of tobacco. Jake was surprised to see younger people wading into these dirty worlds. The owner of that substance began to hand out cigarettes as if they were candy. Some said no, some said yes, and Jake was one of the victims who agreed to try. Jake wasn't happy with his habit at all, but the times he tried to quit it he would come back to it as if it were a failed love.
He lit up a Marlboro and landed on the kitchen window, exactly where Jay was experimenting with alcohol.
"Why did you have to stand right here?" He complained, taking a disposable cup near him, and pouring an unknown liquid into it. "Hey, stop standing there doing nothing and do me a favor, can you get me vodka?" He put some ice on it and then went to the kitchen counter to hand it to the person who asked for it. Jake reluctantly listened to Jay. The butt of the cigarette made contact with his lips again to free both of his hands, the Australian opened the pantry and took out a Smirnoff, then returned to his place and gave it to Jay. "Thank you, bro. Can I?” Without pointing or looking, Jake already knew he was referring to the cigarette, so he didn't deny it and took it out of his mouth to let him at least take a puff. Jay didn't stop doing his work as he inhaled the smoke from that cigarette, pulling out cups, putting ice on it, pouring liquids.
Jay took away the last entertainment he had, so he tried, for the first time all night he plucked up the courage to go out on the dance floor and dance or what he liked best, which was to find a girl to take out all the stress. He was absent in the kitchen and the loud music resounded and made his whole body vibrate, with his vision somewhat clouded by the dim light of the place he began to look for Hoon's friend, Riki.
Jake spotted the cloud of smoke in a corner of the house, that's when he recognized the group. Riki did not see him arrive because he was talking calmly with his group, a group which it should be noted that being much closer to the Japanese, they were much more familiar with herbs. Jake shook Riki's shoulder slightly, catching his attention.
"Dude, long time no see!" he took the cigarette out of his mouth to avoid burning Jake and hugged him gently, walked away and the first action his mouth managed to do is to gesticulate his typical phrase. “Want some?” lifting the beam between his fingers. Jake snatched it from his hand and took a puff.
"Jay took mine from me, thank you." Riki chuckled under his breath as Jake glanced at Riki's friends. He raised his hand slightly in greeting. “That idiot... If he wants some he know he just could come and ask me, I've got his favorite in the truck." He patted Jake on the back. “How is your life going? Do you still studying, Buddy?”
"Hey, I didn't come here for you to ask me about college." "I bet you came here to get cigarettes, you scoundrel." he joked, as always. "If you don't want to talk about college, that's fine, but something I found out is that a friend of yours is hanging around here." Riki took the cigarette out of his mouth when he saw Sim's confused face, taking advantage of the fact that he was a little stunned by his words. "She's dancing on the dancefloor, she looks fucking amazing." Riki's sight sneakily peeks through Jake's shoulders, who turned around to try to at least find out how she looked like physically, but it was impossible between so many heads. “Don’t know who do you mean.”
"Doesn't matter." He almost finished his cigarette, the moment the burning brushed his fingers, he threw the cigarette butt at the plant that decorated the house, Jake recognized it, it was Sunghoon's mother's favorite plant that he had brought from France. "I'll go dancing with some chick, see ya, man." and at the moment he least expected it, he was completely alone, Riki's friends left at the moment when they paid the least attention to them, so he wasn't going to feed his boredom, he went back to the kitchen.
This time, Heeseung was collaborating with Jay by making drinks. Jake thought about joining, but he didn't empathize at all with the smell coming out of the bottles, so he just watched.
"You're finally here," Heeseung said when he saw the youngest in the kitchen again. “Missed me?" Joked.
"Not that much, and why the fuck do you smell like marijuana?" Jake clicked his tongue, shrugging off the inopportune question, avoiding to answer. "Guess who was ordering drinks around here." Jay kept doing the work for which he had come to that party, regardless of the fact that Heeseung had finished his work.
"Who are you talking about? Riki told me the same thing.” Now the one who clicked his tongue was Heeseung.
"You were with Riki? No wonder you smell like that." Hee pulled a Corona out of the beer crate on the counter. He liked Riki, he thought he was cool, but he didn't like hanging out with him at parties.
"Okay, don't beat around the bush anymore. Who was here?” He spoke to him with a serious countenance. Heeseung couldn't start speaking because of a female scream coming from the bar.
"Heeseung, another one!" Jake's ears were sweetened by that familiar voice, that voice he hadn't heard in a long time, perplexed by the woman's tone he took a while to turn around to get a better look at her. He already knew what the others were talking about.
"It's weird you haven't seen her all night," referring to you, who were yelling from the bar for Heeseung to replenish your drink
You both were two years together, meeting each other in college, plus you had some mutual friends, Jay was on that list. The reason for your separation was not known by absolutely anyone, you guys promised not to divulge anything about your relationship out of respect for the other, the only thing that is known is that you ended on good terms, but neither of you continued to have contact with the other, both went your separate ways. Jake didn't miss you at all, he wasn't able to go through your relationship again.
Your eyes hadn't connected his dark eyes. "Thank God," Jake thought. In that moment of discomfort the only place he could hide was the pantry, which blocked any kind of view from the bar. The pantry was neither that big nor that small, but it had a small window that showed out the private neighborhood in which Sunghoon lived, wet from the dew that was falling. So he took the opportunity to surround himself among the solitude, food packages, cans of tomatoes and bottles of alcohol that were arriving and took the box of cigarettes out of his hoodie pocket.
"Shit," he growled, when he opened the box he found that he only had two cigarettes left, which for this long night, were not going to be enough. He grabbed one of the cigarettes and placed it in his mouth and then lit it. In moments of anxiety or discomfort like these, it calmed him down.
Having broken up on good terms didn't take away from the fact that he didn't want to see you, for some reason it caused a pressure in his chest to find you, much more knowing that you had already moved on.
Loneliness stopped accompanying Jake when the light of the wet moon was no longer the only one that illuminated him, the light of the kitchen appeared on the other side, with Jay watching him from the door. “Don’t hide from her anymore”
"He saw everything, too, what’s next?," he thought. He threw his head backwards, almost bumping it into one of the shelves, but he did it slowly so that the impact would not be painful. "Bro, I don’t like to see you like this just for a woman.” Jay took a few steps, going into the pantry to give Jake some encouragement. “I was so much better knowing she wasn't here.”
"Bro, you've really got to move on." Jake took a puff on his cigarette. "Just wanna get out of here, Jongseong." Jake almost ran out of the pantry, but Jay followed him at a calmer pace, but caught up with him, before leaving the kitchen, he stopped him for the last time. “Take this” He grabbed Jake's hand and planted something in it, it was a bag with some narcotics inside. “Enjoy, Boy” Without asking what it was, Jake left the house, the last thing he cared about was knowing what that shit was. The luxurious doors of the house were already open, surrounded by some young people, some kissing, some smoking, others taking drugs, it was none of his business. As soon as he was no longer covered by a roof, the damp took over.
He started looking for his car keys, slapping his hands in his hoodie pocket, but there was nothing in it. He forcibly turned around to have to enter the mansion again, but it wasn't necessary when he found the woman he didn't want to see in front of him again, casually with his keys her hand. This time your eyes did meet Jake's, making shivers down his spine.
“Jay told me to give you this.” Jake hesitated a couple of times before grabbing the keys, he wanted as little physical contact as possible. “Thanks” He replied, trying not to sound so mean. He grabbed the keys without touching your hand at all and turned around again, but again, it was not possible, it was impossible to escape “Jake,” when he heard his name come out of your mouth he camouflaged all nervousness with seriousness, turning around and resounding a "Hm?" in response. "Why did you leave when I was asking for a drink?" Jake's move away was in vain, because you had stayed close to him again.
"I'd gone to the pantry." for some reason he took the few seconds of silence he had left to look at you closely, but you seemed quite mysterious to him wearing a black coat to cover yourself from the cold. Getting no response, he was about to turn around, but again the escape was unsuccessful.
“Guess you finally get it.” you said looking at the car keys. “Which one is it?” “Fiat MOBI.” Jake was still staring at you, and for the first time in many months he managed to be the one to ask you something. “Are you gonna stay?”
"I don't think so, i get a headache after drinking so much, I can't stand the music." You let out a faint laugh laughing at yourself. "I'll get an Uber."
“Your house is far away from here, won't you be charged dearly?”
"I don’t care about the cost right now, just wanna get home and sleep." when he sees you take out your cell phone and enter the Uber app, he can't restrict himself to giving you a seat in his car so you can get home safely, after all, he still appreciate you, right? "I can give you a ride," he said, finally. "No need, it’s okey." You smiled gently, thanked the action.
"I'm not happy not knowing you're safe at home." Jake's gesture for you to follow him was extremely understandable to your reasoning. He started walking leaving you a few meters behind him, but constantly making sure you were following him, he arrived at the Sunghoon’s parking lot, who had given him permission to park his car next to his.
He unlocked the car doors and turned to look at you, how you had felt shame and guilt for having him take you home. Jake opened the passenger door, waiting for you to dare to enter. “Are you coming?” With the embarrassment you had, you could only respond with a smile. Timidly, you accepted Jake's offer, sitting in the passenger seat waiting for the Aussie to get on the other side.
The town where Sunghoon lived was much farther from the university, so Jake had to drive down the road, braving the fierce rain that intensified as the car moved forward. The music wasn't enough, the awkward silence was too loud to mute the songs playing on the radio, and no matter how hard Jake tried to ignore it, he couldn't keep it up for long.
“What had you asked for to drink?” He asked, keeping his eyes on the highway. “Just orange juice with wine.” You looked out the car window, neither of you wanted to look each other in the eye. “Did you drink?” “Just a beer.”
“Right, you don't drink much.” even though you had broken up with him, you still remembered Jake's tastes. This made him hide his smile by resting his arm against the car window and covering it with his hand. "Hey, this car is so nice, I like the color," referring to the color violet. “It was chosen by my father.”
“Did he buy it for you?” Jake nodded. “For my birthday.” "That's nice." Jake felt goosebumps when he felt your eyes eating him alive, he couldn't see you at that moment but he swore that because of the sensation and his intuition, you didn't take your eyes off him.
"What are you looking at?" confronted you. "Can't I?" The fact that he wasn't even looking at you generated things for you, plus you subconsciously accepted that you were staring at him for a while. You always said it: "My hottest ex was Sim Jake", a saying that you still hold to this day, and you dared to say that your separation could have done good for him since he became more handsome than he was before. “I asked first.”
"At you." your nervous tone doesn't go unnoticed. "How direct." "You know I'm not lying," you said nonchalantly. "Not like you do."
"That's what you think, pretty." The comment you said made Jake feel some anger, but he didn't show it, he just got serious and picked up speed. "Pretty, huh?" You crossed your legs and leaned one arm against the car window, starting to make a big deal out of your crimson red nails. "You didn't even talk to me like that when we were together, how many prudes did you practice with?" If you wanted to fight, he was going to fight. "With Riki's sister," he replied, referring to your best friend. "I can't believe it, do you like Japanese girls now?"
"I never said I liked her." "Then what do you like now? What's your new ideal type?" he didn't know at what point you had lost your embarrassment, but he liked this side of you better than the girl you were before you got in the car. The thunder that resounded throughout the country cooperated with her to make the scene more gloomy.
"I didn't change my ideal type." Your eyes went from his face, to his veiny hands squeezing the steering wheel. "Do you still like Asians? I found out that you mess with those to forget me... I don't think it works for you." he finally sneered.
"Don't make too much fun because the one who went to hide in the pantry to see me was you." "What does that have to do with it?" "You still love me, Jake.” The new smile that was forming on Jake was dissolving again, and he felt his whole insides vibrate as he felt your mouth very close to his ear. "I love you a little too, Jakey." the nickname was too much to tease him, Jake pushed you away. "If you don't want us to end up with the whole car on top of us, then behave, please."
"Did I make you nervous? I like to see you like that." He liked it, he liked it too much, but he couldn't. "I'm not afraid of crashing, but you could throw the car to the side of the road."
"For what?" "To stop going around and fuck me." how little patience you had that you didn't even want to wait until you got to either of your house. But Jake took it seriously. He threw the car to the side of the road nimbly with a bit of rudeness, thanking all the gods who made him arrive at that moment on a straight floor. Before throwing his seat back, he captured your lips that had been begging for him since long before he had set foot in Sunghoon's house.
The lights out and the starry night gave it a touch of uncertainty, neither of you could see the other, only feel, and a unique experience was born between the two of you, not lived before. Your soft feminine sighs protested to come out in the middle of that kiss, so Jake let you take a deep breath as he attacked your neck. With his free hand, he opted to grab the lever on the side of the seat and pull it back. He pulled away from your neck, he too was agitated by the excitement he had. He patted her lap twice, waiting for you to obey him. No sooner said than done, you did.
First you got rid of your long black coat, revealing Jake a classic dress of the same color, close to the body, with long sleeves, and a square neckline. Your neck was decorated with a silver necklace, raised in beauty by a small pearl. No matter how much he loved that dress, Jake wouldn't refuse to rip it off. You wanted to talk, but Jake was sure it was going to be a comment to make fun of him and how little composure he was having now. He caught your lips again, this time sticking his tongue into your oral cavity, placing both hands on your hips protected by the silk of the dress, which was slowly lifting, leaving your lower part more exposed. Jake's hands pressed against your body, causing your crotches to rub, but not by much. Your hands made a necklace, and you caressed the back of his neck, satiating Jake's hunger even more.
A back-and-forth kissing match formed between the two of you, not to mention the desire you had for each other, even more knowing that you had done it before, but even though you had already been together this was a very different case and felt like one, increasing the excitement of the moment. Jake's hands pierced the thick fabric of the dress, his fingers brushing the thread of your panties finally making contact with your bare thighs. "Seems like you missed me." You caught him off guard as you pulled away from the kiss. You'd already kissed him, but you needed to convince him to take it to the next level. "You look prettier when you're quiet."
"If I'd kept quiet, do you think we'd be like this now?" the little air that that kissing section had left you you were trying to get back into that small space between action and dialogue. "So stop talking shits and keep kissing me."
"Who do you think you are to talk to me like that?" You rolled your eyes thinking that because of the heat Jake might listen to you. "Your ex-girlfriend who's under the heat. You're the only one who can help me now."
"What if I don't wanna help you?" Shit, he did want to help, but his arrogance was stronger. "I won't be able to help you with this." You drew imaginary hearts on top of Jake's already formed bundle. "I'll have to masturbate in front of you, not gonna wait until I get home," he swallowed dry. "Also..."
"Touch yourself." he interrupted. "I hope this is the last time you make fun of me, if you continue like this you will regret your actions." Your hands lifted your dress higher and higher. "Can I?" trying to giving you help, however it didn't do him much good since in the blink of an eye, your dress was in the passenger seat. Your faces were still very close to the point that your breaths collided, the smell of tobacco mixed with the smell of alcohol, but your noses rubbed against each other didn't stop Jake from taking a look down and appreciating your body being illuminated by the little light coming from the highway.
"You're wearing a lot of clothes." "Undress me if you want to see me." His finger began to play with the fabric of your bra, without taking his gaze off your body. "Okay, I get it, I have to do all the work myself." You rolled your eyes "I'm pinned down below you, little one." however, you obeyed, ditching Jake's white hoodie, using the perfect excuse to touch his abs above the thin fabric of his shirt. You were depositing your clothes on the mountain you had made on the seat next to you.
Letting his black T-shirt aside for later, he unbuttoned his jeans and pulled down his fly. Between the vision that there was in that car, and the little space that the fly of the jeans allowed to see, you managed to see an aura of humidity in his gray boxers, in addition to the relief formed by his erect masculinity. You bit down on your lower lip. For your surprise, you stopped focusing on Jake and found out that you were soaked too, so you did the work you had pending, touching yourself for him. You threw your torso back, crushing the steering wheel of the car with your back, then you put a hand in your panties and repeatedly brushed your with the moisture that your core had emanated, but Jake was annoyed that you did it obstructing the view, however he did not stop enjoying it. Heavy gasps struggled to come out of your mouth, which when you felt the touch of your icy fingers against your sensitive core, generated such chills that you made a satisfying sway with your pelvis.
"Who are you so soaked up for?" Jake's deep voice was planned to make you more excited, you let out the first moan of the gasp combo. Unconscious, he put his hand to his crotch, which was hard as rock. "For... you.” You threw your head back, while with your free hand you held on to the first thing you had within reach to regulate your spasms. Jake pulled his member out of his boxer and it bounced as he was released, with one hand touching your thigh and the other caressing his needy part, the precum that had come out of his member helped him to have a better rhythm. Jake was making grunts, you were moaning more and more frequently.
"Look at you, a girl as cute as you coming back to her knees for her ex." You sped up your movements. "Who would be so idiot as to do so?" "You're just… as idiot as I am." You gasped between words, your eyes rolling as you used to, you kept having the same habits. Jake's hand that was on your thigh, quickly landed on your neck, not as strong but enough to leave you gasping for air. "Say that again."
"You're a fucking idiot, Sim." you growled to the rhythm of your legs shaking, you weren't far from cuming. Jake realized this and stopped masturbating to rip your hand off your private part, cutting off the stimulation thread you had done for the past few minutes. "I was about to cum, what the fuck are you doing?"
Jake's swift movement caused both of your wrists to be handcuffed by his giant hands on your lower back. "You don't deserve to cum." your breathing remained agitated throughout the act, you hadn't noticed the way Jake was, so when you looked down and found his member uncovered, you already knew what was waiting for you. "And you're going to take care of what you caused." "Of course."
And when he least expected it, he would find himself in his pants down with his hands gently holding your hair, growling your name at how well you were doing your job. You started by gently lapping the tip, and slowly you got deeper and deeper into Jake's length. What you couldn't take you stimulated with your hand, but it wasn't your first time doing it, much less with him, so you already had the ability to take it all.
"You're doing so fucking good." The hands that held your hair press against your head so that their member sinks deeper and deeper into your throat. "This way you still think I'm an idiot?" you didn't answer him because you were still focused on what you were doing, but loyally listening to every word that came out of Jake's mouth, who was trying to show himself immune to your mouth movements. "Just wait for this fucking idiot to break you in two and make you feel like you never did." Tears streaming down your cheeks glistened under the dim light in the car.
It seemed strange to you. He had never behaved that way when you had sex, he wasn't a person who denigrated you, he was much gentler and cared about your pleasure more than his. But no complaints came out of your mouth, you didn't dare to say anything when you knew well that you were loving it. Jake began to squirm. "If you want me to have mercy on you, you'd better keep it up." and to start torturing him a little you stopped speeding up the pace, being slower, but squeezing your oral cavity.
Your knees were already red from the upholstery of the car, however that is not the only pain you felt, there was also the need between your legs and your throat that cried out for goodness. Jake, as gentle as he tried to be in his attempt to grab your hair, sensing that he was close he clenched his fist resting on your head to draw you closer to him. He untied the knot in his stomach and let out a heavy sigh to fill into your mouth, which received the ejaculation without leaving a trace of stain anywhere.
"My knees hurt." Jake ran his thumb over wipes of saliva resting on your restless chin, which couldn't stop taking puffs of air. "Backseat." both of you tried to get to the backseat as best you could, although it took a while you managed to get there, all to have a little more space. You lied down, forcing Jake to kneel on the seats, in revenge for how your knees had turned out.
Something he had noticed as soon as he saw you lying down was that your bra and panties had disappeared, showing your breasts and your entrance. He spread your legs to leave him a good panoramic view, not only of your entrance, but of your entire body. His dick was still erect, and he was patting it against your femininity, which was sensitive with arousal and desire. As much as he wanted to start, he threatened, deciding to give you a reward for the wonders you had done to him before. His thumb wandered from your entrance to his core, collecting your juices to moisturize the area and make it much more pleasurable.
"Jake..." You moaned to tease him, your back arching with each touch of Jake. Jake stretched his body while he was inches away from you, who kept swaying to the rhythm of the movements that your pussy felt. Out of inertia you clung to Jake's neck, leaving your mouth very close to his ear so that he could hear all kinds of noise coming out of your mouth. "I missed..." Your voice trembled, and by a sudden groan you could not finish your sentence. "You missed…" As his thumb exerted force on your, his remaining fingers massaged your entrance, threatening to enter.
“...Your fingers." you concluded the sentence, finally encouraging Jake to stick a finger inside you "Do you like that? this is what you wanted to feel, right?" The touch and penetration were not the same thing, because of Jake's finger you let out a moan different from all the others, one with more intensity. Your slender hands grabbed the arm Jake was holding on to keep from falling on top of you, making a big difference between the sizes of both body parts. The fieriness that ran through your body resulted in small scratches on Jake's muscular arms. He wasn't far behind feeling butterflies in his stomach, he stuck another finger in. "For God’s sakes, Jaeyun." your anxious face heated Jake's body, your eyes closed tightly and mouth half-open struggling with screams stuck in your throat.
"If that's how you feel with my fingers, I don't even want to imagine how you'll feel when I fuck you." He licked his lips as his fingers moved in and out to make contact with your sweet spot. "I need you to do it." the tip of his cock brushed against your stomach, he prayed to go a little lower to finally make you both feel good, but not yet. "Do you really want it?" you nodded as best you could. "Use your words."
"Yes," you whispered in Jake's ear. "Need you inside me." The thrusts of his fingers began to be very hard, but it did not compare to the roughness he could give you with his whole body, so without giving you time to react he replaced his fingers with his member. On the side of both of you, the main moans clashed against the other, contrasting the good timing that made you feel that step. "Now do you love me?" your moans come out like a siren, but the melody Jake heard promised to be eternal.
That question made him question himself a lot of what he was doing, because it was the main cause of your separation, the fact that Jake didn't love you anymore. In his defense he didn't know what he wanted at that moment, his emotional blocks were something he had already treated and it hadn't consumed him for a long time, but at that time it was such symptoms that made you decide to break up with him because you felt alone in a couple that consisted of two people. He spent the first few weeks as he normally did in his daily life, but when he realized that he had lost the woman he loved, he fell into a hole that he thought was bottomless. He suffered it, it was a constant daily mourning to realize everything that had happened between the two of you, because the times he tried to leave he would come back to you as if you were cigarettes, then his friends recommended the best option, therapy.
"I've always loved you, Y/N." he groaned, thinking that the answer was going to be avoided, he didn't want to have such a conversation much less after what they were doing. "At the time you didn't seem to do it" Lust didn't stop him from making him feel bad about what you were saying, so he simply brought both of your legs together, pulling them to the side and resting them on his shoulders, and with his free hand he covered your mouth pressing so that no sound was made, creating harder thrusts. Unfortunately for your bad luck, you guys were interrupted in the middle of the act. Jake rolled his eyes, unchained his burly arm from your legs, searching the front seats for his jeans, where his cell phone was located. Seeing who the unexpected call was, Jay's contact appeared on the screen. Putting more pressure on your mouth, without choking you, he answered the call, imitating a calm, slowed tone.
"Bro, let's have an after party at Jungwon's house, wanna come?" he bit his lip. "Where and what time?" "At Wilson St. 155 at 5 A.M. I promise Y/N will not show up." Jake laughed under his breath hearing your name and seeing in the scene that his eyes were watching. "Don't worry about her, she's here with me. We'll be there." "Jake, what the he-?” and hung up, throwing his cell phone to the seats in front, actually, he fluttered it not even knowing where it might land, but the padded upholstery cushioned the fall. Your gaze became suspicious, wanting to know what had happened to with that call and why you had been mentioned. Jake's thrusts didn't slow down at any point, uncovering your mouth and placing the same hand with which he forbade you to breathe on your tits.
"Why did you mention me?" you asked moaning. Something Jake hadn't realized was that you had started touching your clit on your own. "Jay invited us to an after party, we could still have fun there." His hand was going over spaces of your body that he hadn't touched for more than a year. From your mouth, it went over your neck, then he gave your breasts a little attention and played with the hardened nipples, your abdomen that kept getting puffs of air, and ended up massaging your soft thighs. “Fucking ninfo.”
"If you could feel how tight you are." you stuck him back to your body, feeling his warmth in the car's compacted temperature, your long fingernails making contact with Jake's back muscles, which felt the shape of the stiletto dig into his sensitive skin. "Jake..." You looked into his eyes for a moment. Your body was stiff because you were about to cum, but one of your limp hands made its way to the back of Jake's neck, feeling his sticky skin from the sweat that originates from his pores. "I'm close."
He couldn't contain his modesty when he obeyed your words, whenever he bordered on the limit he didn't think about how the other person could take it, and not only does it influence sexually. The impact of his pelvis made constant noises, and it became more frequent when he began to focus more on your ejaculating. He couldn't imagine having to go through a situation like this. The thought that he had already moved on made him feel stronger, and he didn't know if he had let himself be carried away by the heat, but he wanted to make sure that he didn't do it because he missed you, despite his unconscious telling himself otherwise. A wet current between his legs snapped him out of his thoughts as he withdrew his cock from inside you.
The body fatigue he got ended with him sitting in the same place where his knees stepped, instead, the only thing you got was embarrassment when you saw how Jake moved away from you, and as much as you didn't want to show it, you covered yourself with your legs, making Jake realize this. Both of you were on either end of the back seat, but he wasn't going to let this stay that way. "Come here." his hands patted his lap. With some distrust you approached him, resting your wet legs on his and your head on Jake's shoulder. Your breasts swayed up and down from the puffs of air you two had to take to catch your breath. Jake with the hand he had on your back started caressing it to give you a little confidence after what happened. "Did you like it?" you were grateful that Jake broke the silence, however you still couldn't look him in the eye.
"It was the best fuck you ever gave me." Jake chuckle and gave you a kiss on your forehead. Whatever relationship he had with you, you weren't just any woman in his eyes and he wasn't going to treat her like one. "I don't know whether to take it as a compliment or an insult." You separated yourself from him a bit and in front of Jake you started to get dressed again, you two had more plans later on. "How lucky that the seat is made of leather," you said looking at the squirt you had made, laughing and at the same time concentrating on fastening your bra correctly.
"It's a sign that you had a great time, isn’t it?" As he stared at your squirt, he didn't see his underwear coming on his face. "Get dressed." so quick were you to dress so tactically in mere seconds. You went to the front seat, where your heels were, to put them on. "What time is it?" Jake, somewhat confused by the sudden attitude you acquired, began to imitate your actions. "4:15 A.M., we still have an hour's drive, so hurry up." You looked in the rearview mirror and started fixing your disheveled hair, then started rummaging through your coat pockets to pull out a lipstick and start neatizing the mess you created. "If we get there before five-thirty, I'll let you do whatever you want to me in the bathroom of Jungwon's house."
Tumblr media
148 notes · View notes
soleberlandieri · 2 months
Photo
Tumblr media
Quella nostra primavera - Quella nostra primavera (on Wattpad) https://www.wattpad.com/1424289558-quella-nostra-primavera?utm_source=web&utm_medium=tumblr&utm_content=share_reading&wp_uname=ChiccaTiaKiki Kushina x Mikoto; KushiMiko. OS AU anni Ottanta. Dal testo: "Senti, Mikoto" appena finito il gelato, Kushina abbassa gli enormi occhi blu imbarazzata "Devo chiederti un favore. Cioè... è una stupidaggine e potresti anche prendermi in giro per il resto dei miei giorni." "A che servono le amiche?" Mikoto non perde mai l'espressione ridente "Dimmi tutto." [...] "Allora te lo ripeto, a che servono le amiche?" Kushina non ha mai visto il volto dell'amica così sereno, radioso, non riesce a staccarsi dal magnetismo degli occhi neri. Le mani di porcellana di Mikoto si allungano, afferrano lievi le sue. Kushina nota, per la prima volta, che Mikoto ha la pelle simile alla seta. Forse la detonazione che Kushina sente nel petto non è nient'altro che il vigore della primavera, il sangue le circola meglio in ogni cellula, con forza. Il cattivo umore è ormai bandito dal mondo, per sempre. I tempi bui sono passati per non tornare mai più.
2 notes · View notes