Tumgik
#écrivaine
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Elle s'appelait Phillis, parce que c'était le nom du bateau qui l'avait amenée et Wheatley, qui était le nom du marchand qui l'avait achetée. Elle est née au Sénégal 🇸🇳.
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A Boston, les négriers la mettent en vente : "Elle a sept ans! elle sera une bonne jument !" Elle a été sentie, nue, par de nombreuses mains. A treize ans, elle écrivait déjà des poèmes dans une langue qui n'est pas la sienne. Personne ne croyait qu'elle en était l'auteur. A l'âge de vingt ans, Phillis a été interrogée par un tribunal de dix-huit hommes éclairés en robes et perruques. Elle devait réciter des textes de Virgile, Milton et quelques passages de la bible et elle devait aussi jurer que les poèmes qu'elle a écrits, n'étaient pas plagiés. D'une chaise, elle a fait son long examen, jusqu'à ce que le tribunal l'accepte. C'était une femme, elle était noire, elle était déportée et elle était poète. Philis Wheatley, a été la première écrivaine afro-américaine à publier un livre aux États-Unis.
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carbone14 · 20 days
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Nahui Olin - 1924
Photo de Edward Weston
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edgarmoser · 1 year
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joséphine baker 1906 - 1975
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joséphine baker - bobino 1975
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thatsoanjie · 7 months
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Undoing.
At first glance, he wasn’t anything spectacular. He was ordinary looking, would probably pass in a crowd with no one taking a double look at him. Her friends told her he really just looked like any other dude there was out there, but there were some things about him that held her eye indefinitely.
She wasn’t the type to gravitate towards a man by the size of his muscles, or altitude-suffocating height, or even by any particular sense of style.
What stood out to her about him were his eyes.
Eyes that held intimate truths. Eyes that, when they looked her way, could slow down the earth’s rotation without even trying. Those deep steel blue eyes had a sadness to them that one couldn’t quite understand. They were tainted with an anomalous melancholy that one could feel just from looking at them briefly. Eyes that spoke so much, whispered, screamed without him even opening his mouth. Eyes she could get lost in for eternities, had she had the time.
And then there was his smile. That sort of lopsided, awkward show of perfectly lined teeth tethering between a grin and a smirk that was more taunting than inviting. A smile that could hold her on the edge of her seat, or put her to her knees if he so chose. To most, he didn’t appear to be the authoritative type ; he normally refused to be placed above his peers. But to her, he was the moon to her vacillating tides. He seemed to know precisely the effects his gravity had on her, and he used it to his full advantage. She knew resisting the temptation would prove itself futile, as she tried to have done so many times, without avail. His presence was a test ; a challenge, beckoning her closer, demanding she opens herself to him.
He wasn’t just her safe space ; he was her undoing. He was the one who saw her when she felt invisible to the people she loved most. His arms cradled her tired, sobbing body as she lost herself to her tempestuous sea of thoughts time and time again. He called her beautiful, and meant it, when she felt her most repulsive. He was an unwavering, supportive presence when she couldn’t be there for herself. He showed up. He showed up in ways her kin failed to do consistently. He quieted her nights, and inhibited her dreams. He never made her feel like her presence, being or spirit were ever too much, as she so deserved.
All of that in it of itself, has its merit. He’s proved countlessly how able he was not only to handle her, but to take in her entire being effortlessly. To see her soul completely bared and stepping back only to admire its wholeness. To sit with her in her darkness and offering to be the stars to her endless skies. To offer not only shelter from her own storms, but solace and reprieve as his love was a hearth to her empty lighthouse. He didn’t save her, and he certainly did not fix her, but he saw her for what she was, and he loved every part of her for it.
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nordiamus · 7 months
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Mon projet du moment!
Renaissance est un light novel de fantasy historique, type isekai/réincarnation. Des mentions de l'univers d'H2S, mon livre de JdR, sont présente, mais il n'est absolument pas nécessaire de le connaître pour lire l'histoire. Tous vos commentaires seront les bienvenus.
Actuellement publié sur l'Atelier des Auteurs!
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Victor
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— Ma femme elle voulait accoucher dans l’eau. C’est vrai hein, c’est vrai de ouf. Dans certaines maternités, ils font ça. Mais comme elle a jamais été enceinte, elle a pas pu réaliser son rêve. Aujourd’hui, on n'est plus ensemble, parce que tu vois, elle m’a quitté. Elle adorait l’eau mais elle supportait pas l’alcool, et comme je bois que ça, de l’alcool, ça l’a fait fuir. Enfin bref, voilà quoi. Hey, Brigitte, au fait, tu sais que j’étais beau gosse quand j’étais jeune ? — T’es pas encore tout à fait vieux. — Non mais quand j’étais tout jeunot, tout minot comme dirait mon ami Gillou, au sortir de l’adolescence quoi. J’étais vraiment beau gosse hein, de ouf ! Le mec dont toutes les meufs rêvent au lycée, que toutes les meufs regardent, eh ben, c’était moi. Je t’assure. Je les faisais toutes tomber, comme des mouches. J’étais un bourreau des cœurs. Tu peux pas savoir comment je plaisais, Brigitte, de ouf. — Oh mais j’imagine. — Y a que ma femme qui a fini par me résister. C’était au moment où j’étais plus irrésistible, sauf pour le pinard. Je lui résiste pas non plus à vrai dire : moi et le pinard c’est une grande histoire d’amour. Mais c’est pas le pinard qui accouchera de mon enfant dans l’eau.
Victor, il devait avoir moins de 40 ans mais on lui en donnait 60. Je le crois quand il me dit qu’ils les faisaient toutes craquer dans une autre vie. Au milieu de son visage usé, de son teint verdâtre et sa peau burinée par un soleil trop ardent, il avait gardé le regard intact d’une beauté flamboyante. Ses yeux bleus d’une intensité déstabilisante était comme la preuve de sa majesté perdue.
— Trop belles tes baskets Toto ! Mais c’est qu’elles sont flambant neuves en plus ! — Ouais, ils sont sympas chez Emmaüs. Bon, d’habitude ils me refilent que des godasses trop petites ou trop grandes, ou trop moches, mais là franchement j’ai eu de la chance, je peux me la péter.
Il avait sorti une énième cannette de bière de son immense de sac en plastique de supermarché. Et comme de sa main tremblante il avait cassé la languette en voulant l’ouvrir, il a sorti de sa sacoche toute rafistolée un coupe-ongle, a sélectionné la lime à ongles tranchante et a fait un trou dans le toit d’aluminium. De la mousse a giclé et il a continué à parler. — Tu sais ce que je voudrais de ouf moi, Brigitte, quand je serai vieux, mais vraiment plus vieux, tu sais ce que je voudrais de ouf ? — Non, balance, qu’est-ce que tu voudrais de ouf ? — Je voudrais faire comme toi, écrire. Écrire des beaux livres pour faire rêver les enfants. — Ben vas-y mon gars. Attends pas d’être trop vieux. Fais-le maintenant. — Ben ouais, de ouf, de ouf. Faut que je le fasse maintenant. Mais demain, parce qu’aujourd’hui j’ai trop bu, le brouillard c’est pas un super co-auteur. — Fais-le maintenant Victor. Aujourd’hui. Demain, c’est incertain. Le meilleur moment de la vie, c’est maintenant. Tiens, prend cette feuille et ce stylo. Avec ça tu peux refaire le monde et la vie, et faire rêver n’importe qui, petits et grands, écrire le passé, le futur et même le présent. Pas demain Victor, aujourd’hui, maintenant, tout de suite. Quand tu seras trop vieux, eh ben, tu seras trop vieux. Et ce sera une excellente excuse pour pas t’y mettre. — Merci Brigitte, tu déchires de ouf. Bon, je vais y aller, ça fait une heure que je te raconte ma vie, je parle trop. — Écris mon pote, écris. — Merci de m’avoir écouté en tout cas Brigitte, et bonne soirée ! — Allez, bonne soirée. Et j’te préviens, reviens pas si t’as pas écrit ! Et lève le coude sur la boisson. Je vois bien ta tête : je sais, c’est pas facile. Ça te paraît même impossible. Mais si t’y arrives, j’suis sûre qu’elle reviendra, ta gonzesse, et vous l’aurez cet enfant qui va naître dans l’eau. — C’est trop tard, Brigitte. — C’est jamais trop tard Victor, jamais trop tard.
// Dédé ANYOH //
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isolinia · 1 year
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J’aimerais devenir romancière, mais comment créer un monde, une histoire et des personnages originaux et inspirants ? C’est impossible, car à mes yeux ils existent déjà. Je veux bien sûr parler de Genshin Impact.
Alors, à défaut, j’écris des fanfictions. Certes, je ne pourrai jamais les vendre car c’est interdit par la loi, et je ne deviendrai jamais écrivaine, mais au moins cela me permet de vivre mon rêve par procuration.
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les-toupies-h · 11 months
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« L'écriture, c'est comme un iceberg, avec un dixième émergé. La partie émergée, c'est le premier roman. Ensuite, il y a le deuxième, le troisième... A chaque roman, on va plus profond. » Edna O'Brien
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notesdebord · 2 years
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Une autre histoire courte débarque à vos portes! Suivez Alfonse alors qu'il revisite la cité de son enfance et fait la rencontre d'une jolie demoiselle~
3569 mots Temps de lecture : 14 minutes
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ayanna-tired · 2 years
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Sortir de sa cage...
Comme j'aimerais pouvoir sortir de ma cage…
Sortir des peurs qui m'obligent à me terrer ici, dans cette chambre, sans sortir. Prendre ma vie en main, m'autoriser à espérer un avenir… voir 'demain'. Sortir de cette transe, ces angoisses constantes, la peur de mon ombre. Me lier aux autres, enfin. M'envoler et pouvoir voyager. Aller loin, choisir.
Comme j'aimerais, être libre, libre d'aller plus loin que la pensée. Prendre des risques, bouger, avancer. Grandir. Enfin.
Comme j'aimerais pouvoir sortir de ma cage, et me libérer de cette prison dorée. C'est confortable ici, on prend soin de moi, je ne manque de rien… si ce n'est de l'air pur… et de moi-même. Je voudrais être en colère, hurler qu'on me laisse sortir… mais la seule personne qui me retienne, c'est moi.
Je suis la seule à avoir la clef… la seule à pouvoir m'enlever, m'envoler… et pourtant… pourtant… je rêve…
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Je voudrais m'acheter une paire d'aile, et partir où je le souhaite. Je voudrais un nid, chaud, sécurisant… j'aimerais pouvoir me lier aux autres, cesser d'avoir peur…
Je voudrais tellement… tellement m'élancer… prendre le risque d'avoir quelque-chose à perdre ; Prendre le risque d'aimer, et l'être également en retour… Sortir de sa cage
Prendre le risque d'exister…
Et peut-être, un jour, mourir sans plus avoir de regret…
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Je voudrais trouver la clef, je voudrais quitter la sécurité, cette prison dorée
Je voudrais m'autoriser à avancer…
Faire un pas, puis un autre… enfin… pour de bon… et ne plus jamais reculer.
Je voudrais m'envoler, et voir ceux qui me sont précieux prendre leur envole à mes côtés. Comme j'en rêve… d'un vole vers le réel… en leur présence… toujours… vers demain…
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Ayanna
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Les lignes se courbaient, dans la splendeur des liés et déliés. Le son de la plume sur le papier, l'odeur de l'encre fraîche... Au-delà des mots et des phrases qui ne m'était dédié ; J'admirais ce geste aussi doux qu'une caresse.
J'aurais pu passer des heures à contempler ce rituel. Mais la plume s'envola laissant place à des arabesques et des formes rondes. Cette lettre avait vu se produire un élan si sensuel. Au-delà d'être magnifié, l'écriture, c'est le dessein d'une créativité féconde.
Oui, je passais des heures à t'observer écrire, Mon amour créatif.
~écrit de mon amour~
Loréa Pesnicki, Lundi 06 Mars 2023.
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carbone14 · 2 months
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Nancy Cunard - 1925
Photo de Curtis Moffat
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edgarmoser · 1 year
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colette 2018, affiche
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pepitoblack · 2 years
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📷 La porte de la maison de Colette * #colette #écrivaine #actrice #journaliste #porte #cœur #bnw #bnwpic #beauté #poétique #foto_blackwhite #worldbnw #fotopepitoblack #moment_in_bnw #tv_blackandwhite #monochrome (à Saint-Sauveur-en-Puisaye) https://www.instagram.com/p/ChCNu9eKXOt/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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nftonwriting · 1 year
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Amelie Nothomb ...
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J'ai été amenée à lire ce chef d'œuvre en seulement 4h. dans une période de stress et tristesse profonde, elle est apparu. Amelie en me permettant et m'autorisant à lire ses écrits. Cet écrit en particulier. j'ai aussi été choquée. En si peu de temps, droit vers le commencement, je me suis senties emporter dans une autre dimension. A voyager aussi, peut-être en Island loin de paris. Je me sentais vivre. Et quand bien même Diane le personnage principale et sa famille vivent en France.
Et même pire ! Quand j'ai finis ces 4 heures relaxantes, la dernière phrase, je ne pouvais plus sentir mes mains, mon corps. Pas que je souffrais, non en aucun cas. Mais je fantasmais à l'idée de lire un autre livre de cette autrice. Je priais éventuellement.
Merci à Amélie Nothomb, qui m'a donnée le goût des livres, des nouvelles, d'écrire pour soi et surtout des poèmes de la vie, des récits court, et des classiques à casse-tête. On pourrait se dire "parle-t-elle de Stieg Larsson ou de entretien avec le diable comme thriller?"
Bye !
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margaulem · 3 hours
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La guerre mondiale contre les femmes, podcast à écouter
très beau podcast en 4 épisodes, à écouter, à partager.
L’autre jour, en rentrant de la région parisienne, je me suis dit : tiens, plutôt que d’écouter de la musique, je pourrais peut-être finir d’écouter le podcast passionnant « La guerre mondiale contre les femmes », une série en 4 épisodes diffusés par l’émission LSD sur France Culture. C’est Jak qui me l’avait conseillé. Il me connaît bien. Réellement passionnant. C’est la première fois que…
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