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#souvenir d’enfance
edithmtl-artmavie · 1 year
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Le 1er thème du Inktober52, édition 2023, était « build » (construire).
Habituellement, le défi Inktober se déroule au mois d’octobre: un dessin à l’encre par jour, pendant 31 jours, selon le thème dévoilé un jour à la fois. Le Inktober52, lui, dévoile un nouveau thème à chaque semaine de l’année… j’ai décidé de commencer l’édition 2023 du défi le 10 mars, et de le faire à partir du 1er thème. J’ai donc été en mode « rattrapage » pendant plusieurs jours!
Donc, pour ce 1er thème, ce qui m’est venu tout de suite en tête a été le dessin d’une « coupe de mur détaillée »; c’est ce qu’on appelle de la déformation professionnelle 😅 Puis, j’ai pensé à ce que j’ai aimé construire et m’est revenu en mémoire mon tout premier casse-tête 3D, une jolie maison victorienne. C’est ce qui m’a inspiré ce dessin.
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grapefruitspit · 2 years
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j’ai une nuque brune foncée en dépendant d’où on vient ça peut être très laid
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visual-sandwich · 10 months
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William Kurelek, Reminiscences of Youth [Souvenirs d’enfance], 1968. Techniques mixtes sur panneau dur, 125.1 x 149.5 cm.
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les-larmes-d-eros · 3 months
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- Woman Walking In A Forest, Childhood Memory #1
- Bound 03
Série Metamorphosis, par Elizabeth Heyert
Heyert emmène le spectateur dans un voyage fascinant dans les mondes transcendants de ses sujets qui, après avoir été hypnotisés dans son studio par un hypnothérapeute qualifié, sont ensuite photographiés nus, mettant en scène des souvenirs d’enfance ou se transformant émotionnellement en animaux, oiseaux ou autres créatures uniques de leur fantasmes subconscients.
Dans sa conversation avec la journaliste et historienne Lesley M. M. Blume, Heyert explique pourquoi il était important de photographier ses sujets sans vêtements. «J’avais l’impression que c’était déjà assez difficile de voir quelqu’un dans un état de transe sans se laisser distraire par les vêtements… Je voulais que ce soit primal, et jusqu’aux os. C’était beaucoup demander à quelqu’un, mais j’avais un nombre surprenant de sujets volontaires. Elle a choisi d’imprimer les photos utilisant la techniques du cyanotype, estimant que les bleus riches et profonds créeraient un environnement non spécifique mais évocateur.
Puis, en contrepoint époustouflant et extrême, Heyert a également photographié des personnes qui atteignent la transcendance en se laissant momifier et immobilisés. Contrairement aux sujets sous hypnose, qui sont nus dans tous les sens du terme, les corps enveloppés sont intentionnellement cachés afin que la personne à l’intérieur reste un mystère, ses profondes expériences intérieures étant laissées à l’imagination du spectateur. De spectaculaires photographies analogiques en noir et blanc, rendues dans le livre en trichrome, ainsi que des couleurs de photogravures rarement vues, invitent notre compréhension de l’humanité.
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noha003 · 20 days
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Bon, je me lance en rangeant ma bibliothèque, je retombe sur un livre d'enfance que j'avais l'habitude de lire quand j'étais gosse : "Les Mots de Zaza". (Petite parenthèse, en regardant ses tenues, waouh, les tricots, les motifs magnifiques, j'en ai même fait des fan art lol)
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Bref, revenant au livre, je le relis et inconsciemment, je deviens comme la protagoniste. Genre, le personnage de Zaza fait plein de collections d'objets, mais surtout de mots. Le livre est assez marrant, mais je m'arrête là le concernant. Ce qui m'intéresse, c'est que, comme la souris, j'ai aussi commencé plein de collections random, notamment la collection de vidéos de danse. Bon, avec des applications comme TikTok et compagnie, c'est sûr que j'en ai pour des heures, que dis-je, des tonnes de vidéos. Mais pas spécialement. Je collectionne un type de vidéo où ça danse, certes, mais il y a une vibe différente qui me parle plus à MOI. C'est clairement subjectif, mais des danses qui ont une certaines essence palier à une joie voire nostalgie, quelque chose de plus qu'une danse en elle-même, provoque toute une vibe que j'arrive à déceler, qui se trouve au-delà d'une chorégraphie. Je pense qu'un exemple serait plus compréhensible que des mots, parce que moi même je m'y perd.
En 2016, à madison Square Garden un event de fou c'est organisé par le kanye West le jour où ça a lâché "life of Pablo" purée qu'est que j'aurais aimé être là bref. cette vidéo correspond grave au mood dont j'essaye de parler depuis 25 lignes.
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Depuis je suis enquête de collecter toute ces vidéos, photos bref toute chose en rapport avec ce sentiment nostalgique et joyeux.
Un soir, comme à mon habitude, je traînais sur YouTube et j'ai découvert un pilote de dessin animé qui ne s'est jamais réalisé, mais qui a été posté en ligne : c'est "Kitty Bobo". J'ai regardé l'épisode et même si le scénario n'est pas ouf, en vrai, j'ai kiffé l'animation. J'aime l'idée de personnages évoluant dans un univers new-yorkais. En fait, j'ai adoré la vibe du dessin animé, ça m'a replongé dans la période où jme tuais aux films d’eddy Murphy ou the Wayans Brothers (en gros mon enfance !) et je ne sais pas ce dessin animé m’a tout autant parlé (j’ai surtout un kiff pour le perso de graphitti).
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petit fanart de l'épisode:)))
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et je sais pas pour vous mais en se moment j’aime collecter tout ces souvenirs d’enfance, d’instant de vie qui plus est ce sentiment à été encore plus appuyé quand je regardais la web série « Samuel » d’ARTE (FONCEZ LA VOIR SI CE N’EST PAS ENCORE FAIT !!!)
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Et pareil, j’ai eu envie d'écrire une web série. Là, j'en suis à la prémices, (autrement dit je n’ai encore rien). Je veux que de la vibe, cette fameuse essence, soit plus présente au cœur du projet avec de la musique et tout, (on a tous ce sentiment, j'en suis sûr). mais c'est trop subjectif pour pouvoir jouer sur tous les terrains. Et j'avoue, j'ai surtout envie d'être égoïste et de le faire surtout pour moi. Je pense que c'est un gage de qualité.
Le problème avec moi c’est que j’ai trop d’ambitions, je suis du genre à vouloir travailler dans l’ombre pendant des années, drop mon projet, en mode jvais tous les chokbar. Mais le truc c’est que cette forme ne fonctionne que quand t’es connu et je ne suis littéralement personne lol. En plus de ça, je suis la première à apprécier suivre un artiste durant ses débuts, le voir évoluer et en être fière quand il/elle atteint le sommet. alors je vais poster ici toute mon évolution dans mon projet mes coup de mou comme mes réussite. juste laisser une trace pour moi. Une sorte de journal intime mais public mdrr :)))
bizoux on se revoie au prochain update
noha, 1er mai 2024
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redlabopedagogique · 1 month
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#La Petite école : un oeuf, une rose trémière, un bougainvillier, un hortensia et un cosmos.
En Pologne à Pâques on décore des œufs préalablement cuits. Pourquoi pas en faire en céramique pour que Louison puisse les garder comme souvenir sur les années. Et pourquoi pas aussi pour les enfants de la Petite école. Pour cette année c’est trop tard, nous sommes à la veille de Pâques. La céramique demande du temps : faire le moule, attendre qu’il sèche, faire un tirage, le cuire … puis le peindre. Je m’y prends trop tard. Ce sera pour l’année suivante. Je fais donc le moule cette semaine. Je trouve toujours ça très beau comme objet. 
Jeudi matin
Il est là sous mes yeux, les deux parties du moule et le positif à l’intérieur, l’orignal d’une longue série à venir, dans plusieurs mois, presqu’une année entière, pour nos prochains enfants.
À l’atelier cette après-midi du même jour, Soma, Zahra, Emanuel et Mohammad sont avec moi pour faire leur fleur. Une rose trémière, un bougainvillier, un hortensia et un cosmos. Ils découpent, concentrés. Ils s’alternent pour aller voir Julie. Ils s’échangent des blagues que je ne comprends pas toujours, des sourires. Soma murmure « doucement, un petit peu, bonjour, je parle le Dari, très bien, ça c’est qui… » Mohammad lève la tête, la regarde, puis se remet à sa branche de bougainvillier. 
Vendredi
C’est la fête c’est l’anniversaire d’Amadou. En rentrant du parc Mohammad et lui se parlent en arabe, ils rigolent ensemble. Derrière Zahra rigole aussi timidement. Je dis à Amadou « Mais Amadou tu comprends si bien l’arabe ? » « Oui oui Madame » me sourit-il. « Et Zahra, tu comprends aussi? ». Oui me hoche-t-elle de la tête en souriant aussi.
« Alors ça c’est une école incroyable je leur réponds, tous les enfants comprennent et nous les grands on comprend plus rien ». Ils explosent de rire.  
Vendredi soir
« Coucou Maya,
Cette chanson m’a tout de suite fait penser à toi, à vous. Pour plusieurs raisons, d’abord c’est Antony and the Johnson’s, deusio il est question d’enfance, et ce que j’adore c’est qu’il parle de lui, garçon, et aussi des filles.
Donc il envisage une frontière ténue entre les unes et les uns. Puis troisièmement, c’est une belle chanson pour Louison et aussi pour Gaston qui je suis sûre l’entendra d’où il est.
J’écoute la chanson à ma fenêtre, une mésange se pose sur la branche juste devant moi, prend dans son bec toute la mousse qu’elle peut, pour aller plus loin construire son nid, qui accueillera bientôt, ses oeufs de l’année. 
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Collage «Souvenirs d’enfance »
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garadinervi · 11 months
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Georges Perec, W ou le souvenir d’enfance, Les Lettres Nouvelles, Denoël, Paris, 1975 [Librairie Amélie Sourget, Paris]
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« Aussi loin que je remonte dans mes souvenirs d’enfance, je n’ai jamais rien voulu faire d’autres qu’écrire des livres et vivre des aventures. À l’adolescence, ce fut plus précis encore : écrire toutes sortes de livres et vivre toutes les aventures possibles et imaginables.
En vérité, je suis donc né le 21 janvier 1974, le jour où, encore mineur, j’ai sauté hors des rails et me suis enfui vers l’Amérique du Sud, afin de faire de ses rêves une réalité : marier pour toujours aventure et littérature - jusqu’à « épuiser le champ du possible ». C’était la vie que je voulais et c’est ainsi qu’elle a commencé. Par une délivrance. La suite est allée de soi, jusqu’à aujourd’hui, et le but n’a jamais varié : qu’il y ait surabondance d’aventures, de littérature, et de vies plurielles – au risque de se perdre.
Sinon, à quoi bon … »
Patrice Franceschi
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edithmtl-artmavie · 1 year
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Le 2e thème proposé pour le Inktober52, édition 2023, était « puppet » (marionette).
Les premières qui me sont venues en tête sont bien entendu celles de Passe-Partout! Et oui, je suis de la génération Passe-Partout… la « vraie » version! ;)
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aurevoirmonty · 3 months
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« Aussi loin que je remonte dans mes souvenirs d’enfance, je n’ai jamais rien voulu faire d’autres qu’écrire des livres et vivre des aventures. À l’adolescence, ce fut plus précis encore : écrire toutes sortes de livres et vivre toutes les aventures possibles et imaginables. En vérité, je suis donc né le 21 janvier 1974, le jour où, encore mineur, j’ai sauté hors des rails et me suis enfui vers l’Amérique du Sud, afin de faire de ses rêves une réalité : marier pour toujours aventure et littérature - jusqu’à « épuiser le champ du possible ». C’était la vie que je voulais et c’est ainsi qu’elle a commencé. Par une délivrance. La suite est allée de soi, jusqu’à aujourd’hui, et le but n’a jamais varié : qu’il y ait surabondance d’aventures, de littérature, et de vies plurielles – au risque de se perdre. Sinon, à quoi bon … »
Patrice Franceschi
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alexar60 · 1 year
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Transylvanie express (Épilogue)
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Tous les épisodes sont disponibles ici.
Audrey sortit rapidement de la gare. Elle attendit avec patience tout en observant les alentours. Elle cherchait du regard quelque-chose de précis. Et ce quelque-chose était un homme, celui qu’elle avait aperçu sur le précédent quai. Il marchait portant un sac à dos, ses mains tenaient les bretelles à hauteur de la poitrine. Il avait un peu moins de quarante ans, elle avait un but.
Elle savait comment faire pour ne pas être repérée, se fondant littéralement dans les murs. Elle n’était plus qu’une ombre se baladant à la vue du soleil et de tous. Aussi, personne ne réalisa que la silhouette noire n’avait pas de propriétaire. Elle suivit le quarantenaire content de rentrer chez lui. Il sifflotait gentiment.
Le reste de la journée se passa sans qu’il n’aperçoive la jeune femme. Elle resta cachée dans une armoire puis dans un coin de la chambre. Elle attendit patiemment, écoutant les discussions plus ou moins personnelles. Elle s’imprégna de sa vie, de sa famille. Il était marié et avait deux beaux et jeunes enfants. Lorsque son épouse partit coucher les petits, elle approcha avec subtilité, sans faire de bruit. Confortablement installé dans son canapé, il était passionné par le film, une vieille série noire déjà vu maintes fois.
Lentement, elle se positionna dans son dos. Puis elle approcha la tête afin d’humer le parfum de sa prochaine victime. Soudain, le froid l’envahit. Dès lors, il tourna la tête pour vérifier que la porte-fenêtre du balcon était bien fermée. Il entendit sa femme raconter une histoire aux enfants avant de se reconcentrer sur la télévision. Elle s’imprégna de son odeur. Alors, elle comprit pourquoi il était si attirant. Puis, elle retourna dans la chambre du couple.
La patience demeurait être son fort. Elle attendit qu’il se couche. Il embrassa sa femme puis il s’endormit. Elle maudit l’épouse pendant sa lecture, laissant logiquement la lumière allumée. Elle attendit une petite demi-heure, le temps d’un chapitre ou deux. Enfin, la nuit entra dans la pièce. Aussitôt, elle sortit bien qu’elle savait que la rivale ne dormait pas encore. Mais ce n’était pas grave. Elle approcha doucement de l’homme, absorba de nouveau son odeur. Et assurée qu’il était dans un profond sommeil, elle s’allongea lentement contre lui, pour entrer dans son rêve…plus précisément, pour diriger son rêve.
Il savait que le château était ensorcelé ; il était là pour vaincre une malédiction. Il marcha dans les couloirs à la recherche d’un démon. Juste avant, il avait ordonné à ses hommes d’occuper les lieux. Certains surveillaient les jardins pendant que d’autres inspectaient les salles. Il se retrouva seul après avoir grimpé des escaliers. Une porte l’intrigua car il ne l’avait pas vu durant son dernier passage. Du coup, il l’ouvrit rapidement s’engouffrant brutalement dans une chambre.
Il n’y avait rien de dangereux. C’était une banale pièce comme on en trouvait dans les musées. Quelques tableaux accrochés aux murs décoraient l’endroit. Une jeune femme dormait sur un lit, tournant le dos au visiteur. Il approcha, admira ses cheveux bouclés. La couleur châtain, l’odeur de lilas et de caramel n’étaient pas commune. Au contraire, elles ravivèrent de vieux souvenirs. Alors, il se permit d’admirer le visage de la dormeuse. Il resta stupéfait en reconnaissant une amie d’enfance.
-          Marina ? C’est bien toi ? s’exclama-t-il.
Elle ouvrit lentement les paupières, puis elle releva la tête. Un sourire éclatant se figea sur son visage blanc. Il avait toujours aimé ses yeux bleus. Il avait craqué pour elle à cause d’eux quand ils étaient au collège. Elle tendit les bras pour réclamer un câlin.
-          C’est toi, Maël ? Tu es venu me sauver ? demanda-telle avant d’ajouter : Serre-moi dans tes bras, j’ai si froid !
Dès lors, il s’exécuta constatant que sa peau était glacée. Ils restèrent enlacés pendant un long moment. Elle sanglotait, murmurait des mots doux. Elle se confiait en parlant de ses inquiétudes. Il répondait qu’elle n’avait rien à craindre. Alors, elle l’embrassa, d’abord sur l’épaule, puis sur maladroitement sur le menton. Son geste rappela à Maël un souvenir égaré dans sa mémoire tout en réveillant le désir.
Désormais, il était à sa merci. Elle avait déjà oublié Yannick Ridel. Il n’avait été qu’un moment, une victime qui s’en est sorti. Parce qu’elle a voulu l’épargner. Il n’avait pas été le premier pour qui, elle ressentit de l’amour. Et il sera vite oublié dès qu’elle aura goûté à cet homme.
Lentement, elle déshabilla Maël, tâtant ses muscles, écoutant les battements de son cœur, et frôlant du bout des doigts les principales veines  de son cou, la partie la plus sensible et la plus charnelle. Elle embrassa son amant qui s’évanouit de plaisir. Elle le caressait, le suçait, elle jouait avec lui de haut en bas.
On ne voyait rien dans l’obscurité. La femme de Maël s’endormit sans remarquer la présence fantomatique d’un succube. Le monstre grimpa sur son mari. Elle le caressa du bout de ses griffes, elle avança la bouche faisant sortir une langue de serpent. Tout –à-coup, elle s’étendit entièrement sur son buste pressant ainsi ses poumons. Il n’arrivait plus à respirer. Alors, elle ouvrit la bouche pour aspirer lentement la petite flamme à l’origine de son âme.
Dans son rêve, l’amour se déchainait dans une passion torride. Maël réalisait qu’il était encore amoureux de Marina, et enfin, il pouvait l’aimer. Tantôt, elle le dominait, tantôt c’était lui qui gérait les ébats. La passion dictait le songe jusqu’à ce qu’il découvre qu’il n’avait plus de jambe. Son corps avait fusionné avec celui de Marina ! Immédiatement, il hurla cherchant à se débarrasser d’elle. Mais elle riait, continuant à le baiser. La peau de la jeune femme s’écailla, une odeur putride remplaça le parfum de lilas et caramel. Il hurla, hélas, rien de sortit de sa bouche. Plus il paniquait, plus il criait et plus il suffoquait. Il chercha un peu d’air, écartant les lèvres. Il exposa son cou, elle en profita de suite.
Ses dents déformées et pointues arrachèrent la gorge du malheureux. Le sang gicla sur le lit, sur le visage du monstre et sur les murs. Elle se délectait de cette vie prise. Il n’était pas question qu’il résiste ni qu’elle le prenne en affection. Il était question de faire son job ; il était condamné, et elle était venue pour la sentence.
Maël ne bougea pas, il ne sentit pas le poids du succube sur son ventre. Elle inspira la dernière étincelle de vie. Il mourut enfermé dans son cauchemar. Elle resta encore quelques instants allongée sur le corps encore chaud de sa proie. Audrey reprit lentement forme humaine tout en restant invisible aux yeux de la femme qui dormait toujours. Elle l’observa un peu.
-          Tu vivras encore longtemps, susurra-t-elle.
En réponse, la veuve soupira tout en restant endormie. Alors, le succube se releva et glissa jusqu’à la porte. Elle traversa l’appartement et sortit, pleine d’énergie, heureuse d’avoir le goût de la vie sur le palais. Elle marcha dans la rue. Curieusement, son ombre n’apparut pas sous la lumière d’un lampadaire. Elle  regarda le ciel. Elle sourit, elle avait oublié Yannick qui lui avait donné tant de mal et tant de plaisir. Elle s’éloigna du lieu de son crime. Étrangement, elle n’aimait pas voir les cadavres froids au matin. Plus tard, Maël sera déclaré décédé à cause d’une embolie pulmonaire.
Pendant ce temps, notre héros éteignait la lumière de son nouveau logement. C’était une chambre dans un dortoir. Il venait d’écrire le premier chapitre d’une nouvelle sur son ordinateur : Ses mémoires de voyage à bord de l’express du Transylvanie.
Fin
Alex@r60 – février 2023
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captaincrochetfr · 11 months
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Une souris 🐭 et un short 🩳 … 👀
Un sacré défi à réaliser 🥰 surtout quand c’est un souvenir d’enfance, on cherche à faire le plus ressemblant possible ♥️
J’espère vraiment que vous l’aimerez 😍
( inutile de vous le présenter 😜 )
—————————🇬🇧🇺🇸——————————
A mouse 🐭 and a short 🩳 … 👀
A big challenge to achieve 🥰, especially when it’s a childhood memory, we try to make as much as possible ♥️
I really hope you’ll like him 😍
( It’s unnecessary to present him to you 😜)
🄿🄰🅃🅁🄾🄽 - 🄿🄰🅃🅃🄴🅁🄽 : @captaincrochetfr
👉🏻 Etsy : https://www.etsy.com/fr/listing/1492219306/
👉🏻 Ravelry : https://www.ravelry.com/patterns/library/amigurumi-mickey-mouse-3
👉🏻 Makerist : https://www.makerist.fr/patterns/amigurumi-mick-y-la-souris
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alain-keler · 5 months
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Journal d'un photographe. Samedi 30 décembre 2023.
Rue de Rivoli, jeudi 21 décembre 2023.
Les fêtes approchent à pas de géants. Il pluviote sur Paris. Devant le fameux Bazar de l’hôtel de ville, en face de l’Hôtel de ville, l’original, une foule incessante arpente les trottoirs. Les lumières de la ville se reflètent dans les vitrines. 
Noël, ce sont des souvenirs d’enfance, l’attente, le matin. Un jour ce fut un train électrique, mais mon père s’en amusa plus que moi. Il avait commencé à travailler comme apprenti à dix ans.
 Et il n’avait jamais eu de cadeaux.
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marie-swriting · 10 months
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C'est Pas Juste - Steve Rogers
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Drabble Masterlist
Résumé : Steve ne comprend pas pourquoi tu pleures la mort d'un certain Jack.
Warnings : grossesse, mention de la fin du Titanic, fluff, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 995
Version anglaise
Tu éteins la télé alors que de grosses larmes coulent sur tes joues. Tu n'essayes même pas de les essuyer pendant que tu poses le bol de pop corns sur la petite table devant toi. Alors que ta respiration se fait de plus en plus saccadée, tu caresses ton ventre de femme enceinte de cinq mois, espérant que ça va t’aider à te calmer. Steve apparaît dans le salon et accourt vers toi en entendant tes sanglots. Il te prend dans ses bras et tente de te calmer, en vain. 
-Y/N, qu’est-ce qui se passe ? demande-t-il, inquiet.
-C’est pas juste, Steve, murmures-tu, les lèvres tremblantes. Il méritait pas de mourir. 
-Qui est mort ?
-Jack ! t’écris-tu comme si c’était évident. Il aurait dû vivre. Il aurait dû avoir une longue et heureuse vie avec Rose. Ils méritaient d’être heureux ensemble. Ils s’aimaient. Pourquoi est-ce qu’ils ont pas fait plus attention à ce maudit iceberg ? Tout aurait pu être évité. Et puis, il y avait de la place sur cette putain de planche !
Steve ne réagit pas à ton juron, trop préoccupé par ton état émotionnel. Ignorant quoi dire, il continue à caresser ton dos. Il ne sait pas qui sont Jack et Rose, mais il devine qu’ils sont des proches, car tu es totalement bouleversée. Tu sanglotes encore dans ses bras pendant une dizaine de minutes jusqu’à ce que l’arrivée de Sam et Bucky vous interrompent.
-Wow, qu’est-ce qu'il se passe ici ? 
Pour répondre à la question de Sam, Steve hausse les épaules pour montrer qu’il est tout aussi perdu. En entendant la voix de tes amis, tu te sépares de ton mari. Tu t’excuses indiquant que tu as besoin de mouchoirs laissant les trois hommes ensemble.
-C’était quoi ça ? questionne Bucky, perdu. 
-Je crois que l’un de ses amis est décédé. Un certain Jack.
-Tu le connais ? 
-Non, répond Steve à Sam. Ils étaient peut-être amis d’enfance ? suppose-t-il, tentant de donner du sens à ce que tu lui as dit. En tout cas, il serait mort à cause d’un iceberg et il aurait laissé derrière lui sa partenaire du nom de Rose. Elle a aussi dit qu’il y avait de la place sur la planche.
-Quoi ? demande Bucky, comprenant encore moins la situation. 
En comprenant la réelle raison de tes pleurs, Sam ne peut s’empêcher d’exploser de rire. Les deux super-soldats le regardent, choqués de voir Sam s’esclaffer à l’annonce d’un décès. Sam continue de rigoler pendant quelques minutes. Quand il arrive enfin à se calmer, Sam tape amicalement l’épaule de Steve.
-C’est pas son ami, Steve, lui assure-t-il avec un sourire.
-Quoi, tu le connais, ce Jack ?
-J’arrive pas à croire que j’ai oublié de te dire de le regarder. Jack, Jack Dawson, ça vient du film Titanic, informe Sam.
-Pourquoi est-ce que ce nom me dit quelque chose ? s’interroge Bucky, cherchant dans ses anciens souvenirs.
-C’est pas le bateau qui avait coulé en 1912 ? Ma mère m'en avait parlé, déclare Steve à son ami d’enfance.
-Oui, c’est ça !
-Bref, les coupe Sam, ils ont fait un film sur cette tragédie en 1997 et il y a une histoire d’amour entre Jack et Rose. Jack meurt à la fin alors que Rose vit sa vie comme Jack lui avait dit de le faire. Et à en juger par les popcorns sur la table, je dirais que Y/N vient tout juste de terminer de le regarder, explique-t-il, en montrant le bol.
-Attends, elle est dans cet état à cause d’un film ? Steve questionne. 
-Les hormones, se moque Bucky.
-Ce film détruit tout le monde, lui rétorque Sam, presque outré. Toi aussi, tu serais en train de chialer, malgré tes airs de grincheux qui déteste la vie.
-J’en suis pas si sûr.
Bucky et Sam partent alors en débat tandis que Steve s’éloignent de ses amis pour te retrouver dans ta chambre. En ouvrant la porte, il te voit assise sur ton lit, un mouchoir en main. Il vient à tes côtés et met son bras autour de tes épaules.
-Comment tu vas ? demande-t-il d’une voix douce.
-Je m’en remettrai comme à chaque fois que je vois ce film, déclares-tu en reniflant. Je viens de réaliser que tu ne dois même pas savoir de quoi je t’ai parlé.
-Sam m’a tout expliqué. Mais je ne vais pas mentir, je me suis inquiété, j’ai vraiment cru que t’avais perdu un ami, t’informe Steve, te faisant rire.
-Désolée, j’étais juste tellement triste par rapport à la fin et avec mes hormones, j’ai l’impression que c’est pire. 
-Tant que personne n'est mort, affirme Steve d’un air léger et tu tournes vers lui, vexée.
-Jack est mort, Steve ! Fictionnel ou pas, sa mort est sérieuse.
-Pardon, s’excuse-t-il en se retenant de rire. Quand tu auras accouché de notre magnifique bébé, commence Steve en touchant ton ventre, on regardera le film ensemble. Par contre, Sam et Bucky risquent de s’incruster, car Sam pense que Bucky va pleurer et Bucky ne pense pas que ça sera le cas.
-C’est vraiment des enfants, pouffes-tu en levant les yeux au ciel. 
-Ça fait un entraînement. 
Steve pose ses lèvres sur les tiennes et vous vous embrassez pendant quelques instants jusqu’à ce que Sam et Bucky apparaissent dans ta chambre bruyamment, vous demandant une réponse à leur dispute. Steve roule des yeux alors que tu rigoles face à leur gaminerie.
Finalement, moins de cinq mois plus tard, pendant que votre bébé dort, Steve, Sam, Bucky et toi organisez une soirée spéciale Titanic. Même sans tes hormones de femme enceinte, tu pleures dès le moment où le Titanic heurte l’iceberg alors que Steve et Sam commencent à pleurer quand Rose est dans le canot avant qu’elle saute pour retrouver Jack. Quant à Bucky, il reste silencieux toute la fin du film, mais quand vous rallumez la lumière, vous pouvez voir ses yeux rouges et ses joues mouillées. Sam tend sa main à Bucky et avec agacement, il lui donne un billet de vingt dollars.
Drabble Masterlist
{This is my side blog so I'll be answering comments under the username @marie-sworld}
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lesoleilseranoir · 10 months
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185
J’écris des mots qui s’accrochent
sous mes paupières en méchancetés,
dans une symétrie boiteuse
je me souviens :
les dents solides et
bien alignées par la nature découvertes
par un sourire souple et surplombé
de quelques cheveux fous,
image au goût d’enfance quand
un sourire voulait dire tout
et ne cachait rien -
angoisse asphyxiante de monter en épingle
quelques mauvais souvenirs et pourtant
j’ai sous la plante la morsure quotidienne
des coquilles sur lesquelles j’ai toujours
marché ;
est-il le monstre de ma poésie ?
j’ai des clous au bout des doigts
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