Tumgik
#est-ce que c’est normal
minivirgo · 1 year
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mon toro fait un concert à m*ntréal ce soir et lui et son ami reviennent le soir-même mais genre . ils vont conduire dans la tempête à 1h du matin ……
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hedgehog-moss · 1 year
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You are my hero for using the phrase 'perfidious Albion' in your tags. What is the French obsession with Alexandrine meter?
:) Well it's just that for a very long time France considered the 12-syllable verse known as the alexandrine to be the pinnacle of versification. For your poetry or play to be considered high literature it had to be in alexandrines (I was recently reading an English jstor article about translations of Shakespeare in the early 19th century and it went “[French translator] prefers to translate in verse, which means, of course, in alexandrines.” Of course!) We've moved on now and they’re out of style, but we’re still secretly fond of them I think. We were held hostage by alexandrines for so long a lot of French people still have a Stockholm-syndrome preference for their specific flow over other kinds of poetic metre.
They left a strong legacy in our language too—a lot of French sayings / proverbs are alexandrine verses because they’re excerpts from classical theatre and poetry (e.g. “A vaincre sans péril on triomphe sans gloire” from Corneille; “La raison du plus fort est toujours la meilleure” from La Fontaine; “Qui veut voyager loin ménage sa monture” from Racine; “Chassez le naturel, il revient au galop” from Destouches, “Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage” from Boileau...)
The alexandrine had a long golden age, from the Classicists to the Parnassians (mid-17th to late 19th century)—the Romantics in between were advocating for a kind of “free verse” but it still meant alexandrines and pretty rigid ones at that! (Victor Hugo’s “J’ai disloqué ce grand niais d’alexandrin” was subversive—but it’s still an alexandrine.) Their verse was only considered rebellious because it ignored some of the many rules that went into a perfect classical alexandrine (e.g. no overflow, 4 rests per line, rhyme purity must be respected when it comes to mute consonants, no liaison between the last word of an alexandrine and the first word of the next, the hemistiches of two successive alexandrines mustn’t rhyme, no prepositions or other tool words at the end of a hemistich, etc. etc.)
Then in the 19th century we liberated ourselves from the tyranny of the alexandrine after Verlaine shot them dead (insert Rimbaud joke) by doing things like placing the caesura on the 3rd syllable of a 5-syllable word (“WTF”—Racine) or ending an alexandrine in the middle of a word and treating the first half of the truncated word like a legit rhyme, which made all the Classicists roll over in their grave.
I really like alexandrines personally! I admit they can sound plodding after a while especially with classical rhymes, but they have such a soothing flow. I also love that they are often French at its Frenchest. By which I mean, there are some gorgeous alexandrines that are genuinely the French language at its best and most graceful, and then you have those that can’t help but highlight how absurd our syntax can get.
My favourite types of alexandrines are the ones with a diaeresis in each hemistich because saying them normally feels like walking down the street, while saying them as an alexandrine feels like doing a figure skating routine (e.g. in Racine, “La nation chérie a violé sa foi”); the ones with an AB-BA structure (“Et le fuyant sans cesse incessamment le suit”), the ones with a ternary structure (“Je suis le ténébreux, le veuf, l’inconsolé”, “Je renonce à la Grèce, à Sparte, à ton empire”) and the ones where 1 word sprawls over an entire hemistich (“Voluptueusement dans cette paix profonde...”).
The worst alexandrines imo are the ones that force you to acknowledge how many tiny grammatical bricks are involved in the building of a French sentence. Orally we tend to squish them together so we can forget about them but the merciless alexandrine will demand that you mortify yourself pronouncing all of them, e.g. “O nuit, qu’est-ce que c’est que ces guerriers livides ?” (thank you Victor Hugo for this ignominy) (<- here’s an alexandrine), or “Si ce que je te dis ne se dit pas ainsi”... “Ce que je te (...) ne se” is a horrible succession of words by poetical standards but wait I’ve got worse!
Tu m’as pris mon trésor et t’étonnes tout bas De ce que je ne te le redemande pas
“De ce que je ne te le”—see? French at its Frenchest.
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thedenmdy · 2 months
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Accessibilité, design, codage… : par où commencer pour le (re)design de mon forum ? (1/2)
Bonjour, c'est mon premier post, et comme prévu, il est trop long pour rentrer en un seul message ! 😁
Je sors de ma cave pour contribuer à ma manière aux dernières conversations de la sphère au sujet des capacités des admin et créateur.rices lorsqu’il s’agit d’avoir la main sur l’interface et l'accessibilité de leurs forums rpg.
Disclaimer :
Ce n’est pas poussé très loin, c’est plutôt un vrac de questions et d’amorces de réflexion des premières étapes du UX design et du design thinking, qui font partie de mon travail au quotidien.
Outre les quelques ressources en fin de post, tout mon blabla ne propose évidemment pas de tutoriels pratiques sur des thèmes précis, principalement parce que les questions évoquées n’auront peut-être pas les mêmes réponses d’un forum ou d’un admin à l’autre.
C'est un processus de pensée qui guide un long travail, et ce que j'écris ici ne règlera aucun vrai problème par magie. Surtout, je n’ai pas la science infuse ni l'ambition d'écrire une bible ! Il est fort possible que ça ne vous parle pas du tout, que vous ne soyiez pas d'accord, ou que ce ne soit pas très clair. Mais si ça peut en aider quelques un.e.s à s’organiser pour se lancer dans des améliorations qui auront même juste un tout petit peu plus de sens pour l’expérience utilisateur, alors tant mieux ❤️
Attention : c’est long. Je sais. C’est un de mes plus gros problèmes… (j'angoisse déjà avant de poster, send help). Je ne prétend pas non plus incarner un parfait exemple de ce que je prêche (mon forum a aussi son lot de jolis problèmes ! - j'y reviendrai en fin de post).
Mais également, si il y a la moindre chose que vous jugez mal formulée ou pouvant prêter à confusion sur l’intention ou le sens, n’hésitez pas à me le faire remonter et je tâcherai de revoir ma rédaction ou de clarifier si nécessaire !
Constat Initial
Dans le monde des forums rpg, nous ne sommes pas tous.tes égaux.les en termes de connaissances et de maîtrise de ce que ça nous demande comme compétences. C’est normal - c’est un hobby, nous ne sommes pas tous.tes du métier, et croyez moi - même l’être, ça ne veut pas toujours dire grand chose… (je bosse au Japon. vous avez vu la tronche du site web lambda au Japon ?! bref, voilà .)
Pour ces mêmes raisons, on tombe tout naturellement facilement dans le vortex de la course aux dernières modes et des design principalement motivés par une simple recherche d’esthétique - pour son propre fun sans se prendre la tête avant tout, ce qui est très bien en soi et le droit de chacun.e, mais peut-être pas toujours adapté à une utilisation en communauté !
À constater les choses sur lesquelles on semble accorder le plus d’attention dans les conversations actuelles, et en tant que professionnelle irl, il y a une chose qui m’a frappée : à mon sens, on ne prend peut-être pas les choses dans le “bon” ordre. Attention, les guillemets sont là non pas pour dire que l’accessibilité n’est pas la priorité, au contraire, c’est l’objectif ultime ! - c’est la manière dont on essaie de régler le problème du manque d’accessibilité qui me semble parfois pas toujours très efficace.
Hier, c’était le fameux plug-in Userway, aujourd’hui, une taille de texte - demain, peut-être encore autre chose ! Tant mieux : ça met en lumière des petites actions qui contribuent à une amélioration collective. Mais si toutes ces initiatives sont évidemment importantes, uniquement se concentrer sur une action isolée sans réfléchir pourquoi on la fait, essentiellement, c’est un peu comme mettre un pansement sur une fracture ouverte.
Toutefois, et parce que rien n'est tout blanc ou tout noir, si tu n’as pas beaucoup de temps ni de ressources (ou d'envie) à investir dans un gros redesign qui n’est pas donné à tout le monde, tout ce blabla ne te sera pas très utile - auquel cas, en effet, se concentrer sur les actions tangibles simples et les “quick fix” mentionnés à de nombreuses reprises par mes collègues seront la meilleure option pour améliorer l’accessibilité de ton forum ! Ce ne sera peut-être pas vraiment profond, et ça n’apportera peut-être que des solutions temporaires, mais c’est déjà mieux que de ne rien faire du tout.
Pour celleux qui sont prêt.es ou ont envie de faire un plus ou moins gros ménage de printemps et de prendre le problème à la racine, je vous partage simplement quelques lignes de pensée de la manière dont, personnellement, je réfléchis à mes modifications, ou à la construction de tout produit d’un point de vue UX.
Commencer le processus de UX Design
L’UX Design est une approche user-centric qui doit s’appliquer à tous les produits et services interactifs et numériques. Son objectif est de concevoir une expérience utilisateur optimale en se basant sur les besoins de celui-ci.
Source : La Grande Ourse
Pour t’aider à prendre toute décision quant à comment réaménager ton forum, il est crucial de se mettre dans la peau de celleux qui l’utilisent au quotidien pour comprendre leurs besoins et leurs problèmes.
Ça implique tes membres, qui ont un certain angle de vision du forum, mais aussi toi, en tant que staff, qui peut aussi bénéficier de ces modifications pour te simplifier la vie par la même occasion. Toi aussi, tu es un.e utilisateur.rice !
Ces besoins te permettront ensuite d’extraire tes objectifs et de définir ce qui est vraiment important pour les atteindre, tout en établissant un ordre de priorité selon l’importance du problème.
Compatir : Qui ?
Pour qui est-ce que tu veux proposer ton forum ? Quelle est la cible principale de ces modifications, pour qui les fais-tu ?
C’est le U de UX : on design pour les Utilisateurs avant l’esthétique. Les réponses au “qui” sont sans doute assez faciles dans le monde des forums rpg : les membres en priorité, bien que le fun des staff soit aussi important dans le cadre d’un hobby. Mais les membres constituent néanmoins la majorité lambda des utilisateurs, et te permettent d’avoir des avis divers et moins biaisés par rapport à l’interface et l’utilisation “classique” de ton forum.
Pose leur des questions ! Prépare toi peut-être à des critiques plus ou moins délicates (on se sait), mais qui sont des critiques tout de même - de toutes manières, si tu lis ce texte, à ce stade, tu devrais être prêt.e à les entendre (ou du moins, la plupart d’entre elles - et à condition qu'elles arrivent au bon moment).
Tu recevras aussi peut-être des avis personnels, des avis divergents de la vaste majorité, ou des choses qui relèvent plus des goûts et des couleurs, mais c’est normal ! Tout retour, même un retour avec lequel tu n’es pas d’accord personnellement, vient forcément de quelque part. Si tu ne peux évidemment pas satisfaire absolument tout le monde, c’est parfois très intéressant de discuter pour essayer de comprendre d’où ces avis viennent.
Note tout ça sans essayer de rien justifier ou négocier, ce n’est pas le moment - ensuite, ce sera à toi de trier les retours utilisables et constructifs pour l’expérience de la communauté des opinions peut-être plus subjectives.
Compatir : Pourquoi ?
Quels sont tes objectifs ? Pourquoi remets-tu en question l’interface de ton forum ? Pourquoi est-ce que tes membres te font tel ou tel retour ? D’où viennent ces critiques ? Est-ce que tu les comprends ? Mais aussi, pourquoi ton forum est-il ce qu’il est actuellement ? Pourquoi as-tu fait les choix qui l'ont mené où il en est aujourd'hui ?
C'est un peu vaste, mais l'idée est de remettre en question les habitudes qu’on a intégrées depuis des années dans la communauté. On veut ici comprendre avant tout pourquoi (et pour qui) on cherche des solutions, plutôt que d'appliquer des principes généralistes sans vraiment savoir pourquoi on en a besoin.
La réponse au “pourquoi” semble évidente en surface - l’inclusion, of course, pour la question d’accessibilité, mais pas que. Se demander pourquoi à chaque étape te permet de faire le tri dans tes priorités d'abord et prendre confiance en ta démarche et tes modifications - et, ensuite, plus factuellement, de te débarrasser de ce qui n’est pas réellement utile pour ton forum !
Définir : Quoi ?
(feur, sans doute)
Quels sont les principaux problèmes soulevés sur ton forum ? Que veux-tu réparer ou améliorer en priorité ? Quelles ressources peux-tu aussi allouer à cette initiative ?
C’est le moment d’évaluer tes capacités et ton temps libre, pour t’aider à établir des priorités et un plan d’attaque ! Les retours de tes membres dans la question précédente peuvent t’aider aussi à déterminer ce qui est important et sur quoi te concentrer en premier si jamais tu es indécis.e ou si tu as un temps libre limité.
En tant que joueur.se, quelles actions est-ce que je fais au quotidien sur mon forum, quelles informations ou fonctions me sont utiles en priorité chaque jour ?
En tant que joueur.se, quelles difficultés est-ce que je rencontre lorsque je navigue ou utilise mon forum actuellement ? Est-ce qu’il y a des petites choses qui me frustrent lorsque j’utilise le forum, qui m'empêchent de créer/écrire librement, ou qui me dissuadent de passer plus de temps dessus ?
En tant qu’admin ou modérateur.rice, quelles difficultés est-ce que je rencontre lorsque j’administre/je modère mon forum ? Qu’est-ce qui me prend le plus de temps au quotidien ?
Pèse aussi le pour et le contre de chaque fonction de ton forum : est-ce que ce script supplémentaire apporte réellement une vraie plus-value pour l’effort nécessaire, ou est-ce que je peux m’en débarrasser facilement pour ne pas entâcher l’efficacité des autres fonctions plus essentielles ? Si une fonction est peu utile et implique beaucoup d’efforts de mise en place/ralentit ton forum, alors peut-être qu’il vaut mieux la laisser de côté dans un premier temps.
On arrive ensuite au questionnement final avant de remonter ses manches et attaquer la construction, mais ce sera pour le prochain post...
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Helpless part 43, however much we fear the truth we must face it
Hi, I guess I'm doing this now...? Will gave it to me with the second Heartstopper book, I don't really know what I'm doing but I guess I'm meant to write down my thoughts sooooo..... I hate myself, I wish I was dead, I'm a freak, I can't even fucking eat for fucks sake what the fuck is wrong with me, the only good part if my life right now is Will an he's bound to leave soon enough. Fuck I wish I had a fag on me but I already know I won't get away with that in the infirmary, it's not that bad but it makes me feel so fucking useless, maybe if I shadow travelled back to my cabin I could get some, Will would fucking murder me but I might do it.
Here is a list of reasons I hate myself because that seems fucking productive:
1. I'm a fag that deserves to burn in Hell
2. I'm dependent on drugs before I can drive (legally)
3. I can't fucking eat like a normal fucking person
4. I hurt everyone I touch
5. I'm a fucking twig
6. I can't even use my fucking powers now that's how pathetic I've gotten
7. I'm a freak
8. I nearly betrayed everyone
9. I'm a shit brother to Hazel
10. I managed to make my own sister hate me
11. I'm a demigod
12. I can't just be fucking happy for once
13. I over think every fucking thing
14. I need my fucking mouth washed out with soap
15. The Catholic Church
I could say more but I don't think I have time for that, I'm gonna go and think about how I can kill myself while locked up in this place
Fuck is my only thought right now, kill me (PLEASE)
Bianca, mi dispiace, mi dispiace di essere quella di cui hai sempre dovuto prenderti cura, quella che hai praticamente cresciuto solo per riaverla. Vorrei essere morto al posto di te, ogni singolo giorno lo vorrei, vorrei poter essere buono come un fratello maggiore che eri per me per Hazel. Vorrei non essere una fottuta delusione, vorrei che tu non dovessi unirti alla Caccia per allontanarti da me. Spero che ti sia piaciuto essere rinato. Mi dispiace tanto per tutto.
Putain, je n’ai pas écrit en français depuis un certain temps, alors voyons si je me souviens encore comment le faire, si mon orthographe est décente, c’est seulement parce que j’ai passé environ une heure à écrire ces conneries, donc vous devriez toujours être déçu. Qu’est-ce que j’écris ? Aucune putain d’idée, mais j’ai déjà lu Heartstopper trois fois aujourd’hui et je pense que c’est trop gay, même pour moi, de le lire plus que cela en moins de cinq heures. Kayla est venue avec de la nourriture plus tôt, aucune idée de l’endroit où se trouve Will et je n’ai toujours pas mangé de merde parce que c’est à quel point je suis inutile.
I really wish I had a smoke right now, but I know I can't, I feel so fucking stressed for too many fucking reasons and my heads been pounding for hours, Kayla gave me a panadol a few hours ago but that did fucking nothing so yeah struggling to not hit my head repeatedly on a wall out of pain. I don't know why but I can't stop thinking about those nights when I was what, twelve? Probably because of the nightmares, I'm fucking useless aren't I? I couldn't even stop it from happening to Hazel, I'm fucking pathetic. Gods I can't wait to get out of this place, I love Will but I don't know how much longer I can take of this place. The bright lights shining into your eyes so much it gives you a headache, the scent of rubbing alcohol filling the room, the plain white walls that feel trapping, everything feels wrong. I know why I'm here, no one trust's me alone, the part they forgot to mention is that I'd be better off dead. I already know Leo, Piper and Jason talked shit about me on the Argo II, I know they all wanted to leave me in that jar, I know that to Percy and Annabeth I'm nothing more than a burden, I fucking hate myself and so do they so why can't they just let me fucking die?
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Guys the bold means it’s written, was gonna do underline but that doesn’t work in tumblr xx
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vertalligatorus · 19 days
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nos chants en écho (ii)
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C’est généralement dans le gris et le brouhaha qu’elle vous trouve, l’île aux échos. Un flyer rédigé à la main à demi détaché d’un vieux mur décrépi, une annonce radio prodiguée par une voix nasillarde qui crépite ou encore une carte postale à l’aspect vieilli qui se glisse entre deux retards de paiements. Elle s’invite toujours là où vous l’attendez le moins, là où vous en avez le plus besoin. L’invitation est toujours différente, comme conçue spécialement pour vous — sans que votre nom y figure pourtant. Elle se présente toujours comme une coïncidence, ne s’impose jamais ; alors libre à vous de l’ignorer ou de prendre votre téléphone et de composer le numéro, seule constante qui y figure toujours. C'est l'Amiral qui décroche à chaque heure du jour et de la nuit. Il vous crie par-dessus les bruits de la mer agitée qu’il attendait votre appel et lorsque quelques heures plus tard vous posez le combiné votre bouche est sèche et votre valise à demi faite. Depuis le continent — ne vous avisez pas de mentionner lequel une fois arrivé.e sur l’île — il faut plusieurs heures pour la rejoindre. La mer est toujours capricieuse mais l'Amiral affirme qu’il amène toujours ces passagers à bon port. Puis le soleil finit par percer la brume et alors, les contours de l'île se dessinent devant vous. Et alors que vos pieds rejoignent la terre ferme, vos oreilles commencent à bourdonner; petit à petit il se fait entendre : L'Écho de l'île. Mais le bourdonnement ne vous inquiète pas plus que les nombreuses fleurs qui poussent en plein hiver, les animaux étrangers que vous apercevez en forêt ou encore ce nuage qui semble en permanence suivre votre voisin d'en face... Parce qu'arriver ici c'est embrasser l'étrangeté de l'île, accepter que les règles du normal ne cessent de se tordre, au plus grand plaisir des habitants loufoques de ce lopin de terre aux allures fantastiques...
NOS CHANTS EN ÉCHO. 🦪🐚🐮🌊
@jaamjaam (poupa), douce mélancolie. (ena), @adoko (pau) et moi vous présentons la deuxième version de notre très cher forum low fantasy!! nous avons en effet remanié un peu le fond et désormais, la magie est un peu plus forte à Brambles. Pendant ce temps, une tempête souffle fort et la pluie s'apprête à faire déborder les rivières...
— fc réels — pas de minimum de rps par mois, ni de mots — moodboard
comme promis, j'ai utilisé les merveilleuses textures de @carpathesknight my dear, i miss u<333 merci d'avoir créé ce pack je vais le saigner pour mes prochains avatars et devenir encore + d4rk. bref!! n'hésitez pas à nous rejoindre, à très vite!!
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iranondeaira · 5 months
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Dans son livre "Promenades en bord de mer et étonnements heureux", Olivier de Kersauson parle de son amour de la mer et, plus largement, de son amour de la vie.
« Vieillissant, je ne me dis pas que les promenades en bord de mer seront de moins en moins nombreuses mais je me dis que les attaques de la nostalgie vont se faire de plus en plus fréquentes. Et c’est normal car j’ai plus de passé que d’avenir, donc dans l’équilibre de mon psychisme, il y a davantage de choses faites que de choses à faire. La tentation est grande de se laisser rattraper par le souvenir. Mais je veux encore me fabriquer des moments et non pas en revivre. Le jour où je vais disparaître, j’aurai été poli avec la vie car je l’aurai bien aimée et beaucoup respectée.
Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis.
Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés.
Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir.
Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité !
Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre. »
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fieriframes · 4 months
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[In the pale dust I have discerned signs that frighten me.]
X - Mars Éditions
Sur le voyage du retour de Londres à Paris, j'ai lu Nuit Sans Fin encore et encore. C'était un livre très court; juste 9 poèmes étranges, chacun accompagné d'une photo encore plus étrange. Les première et dernière pages se composaient uniquement d'un triangle, un blanc et un noir. Les poèmes décrivaient une sorte de voyage à travers le monde souterrain. Des rituels magiques et une mythologie élaborée qui n'était pas facile à comprendre. Le vocabulaire était très compliqué; beaucoup de mots inconnus ou démodés. 
Par exemple, la première poème, simplement intitulé I:
Pour se réadapter Ces nombreuses hyènes Qui tout blêmit disparaissent doucement
Je ne sais pas comment l'expliquer, mais j'ai compris sans comprendre. Ce livre pourrait révéler quelque chose, mais quoi ? Je ne savais pas. Après l'avoir lu en boucle pendant quelques jours sans progresser, je me suis rendu compte que le nom de l'éditeur était bien sûr mentionné au dos du livre. J'ai trouvé leur numéro de téléphone et j'ai décidé de les appeler.
Mars Éditions, bonjour ?
Oui bonjour, je vous appelle parce que j'ai une question sur l’un de vos livres; Nuit Sans Fin.
Pas de problème, comment puis-je vous aider ?
J'ai beaucoup de questions, en fait. Tout d'abord, je me demandais si vous saviez qui l'a écrit ?
Malheureusement, non. Je ne pense pas que cette information soit connue.
Ah, vraiment ? Tellement bizarre. Mais plus curieusement, il n'y a pas de date de publication dans le livre, c'était publié quand initialement ?
La première édition date de 2017, mais je pense que les poèmes sont beaucoup plus vieux. Il y a environ 300 ans, probablement.
Je ne comprends pas. Normalement, un livre comme ça comprend une sorte d'explication; un avant-propos, n'importe quoi. C'est intéressant que vous l'ayez publié juste comme ça, sans contexte ni sans aucune autre information.
Oui, en fait…(longue pause)
Vous êtes toujours là?
Oui. En fait c’est un peu difficile à expliquer. On est une entreprise familiale. L’entreprise a été fondée en 1869 par mon arrière-arrière-grand-père qui s'intéressait aux livres obscurs et mystérieux. Mon arrière-grand-mère, qui a repris l'entreprise, n'était pas différente.
Mais le livre Nuit Sans Fin est beaucoup plus récent et a sûrement été publié récemment?
C'est vrai, mais les circonstances sont compliquées.
Compliqué ?
Oui, après le décès de Michal, l'entreprise était déjà dirigée par sa petite-fille Ray depuis de nombreuses années. Mais il y avait des instructions très détaillées dans son testament à propos de ce livre.
Des instructions?
Comment le publier, quelles informations inclure, quelles photos utiliser, les photos du livre sont évidemment beaucoup plus récentes que les poèmes. Même la date exacte de la publication.
En quoi est-ce si important ?
1er Février, 2017. Le 555e anniversaire de Jean Trithème, ou Johannes Trithemius si vous voulez.
Trithème ?
Un personnage très intéressant. Il était un abbé bénédictin allemand célèbre pour ses découvertes en cryptologie, pour ses chroniques, mais aussi comme ésotériste.
Quel était le lien entre Michal et Trithème ?
En fait, le premier livre que Mars Éditions a publié était une réédition de Stéganographie, son ouvrage le plus connu. Ce livre se présente comme un traité d'angéologie d'inspiration kabbaliste, avec des explications pour communiquer sur de longues distances avec les esprits. À l'intérieur de ce livre, Trithème cachait de nombreux secrets. Il a effectivement inventé la cryptologie, l'art de cacher des informations.
Quel type d'informations ?
Je suis désolé, je dois prendre un autre appel. Au revoir.
Juste comme ça, je suis resté silencieux.
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lounesdarbois · 23 days
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"Article intéressant mais je vous promets que nombre de nationalistes français métissés ne trouvent pas vos propos de nationalisme racial pan-européen, poivré dans quelques articles ici et là, drôle. Ce sont des gens qui se savent trahi. C’est la trahison qui leur incite le plus et quand ils voient qu’après avoir été trahi par les réseaux vétérotestamentaires cosmopolites à la Kalergi, puis par la nouvelle gauche, puis par des influenceurs du nationalisme auparavant français mais finalement racialiste pan-européen, ce seront ces derniers qui se prendront des bombes, innovatrices, mais nuisibles et violentes, des nationalistes français trahis. L’élément est dorénavant planté. Les bombes et autres armes de vengeance commencent déjà à se faire contempler. Ca va finir très mal."
Cher "anonyme".
Le ton de demi-menace et les termes "inciter", "bombes", "armes de vengeance" rendent votre démarche curieuse. Cette équivoque est le privilège des anonymes et la pente naturelle des lettres anonymes.
Est-ce que vous suivez mon parcours? E&R est composé pour 1/3 de banlieusards et métis patriotes comme moi. Depuis 15 ans j'espère en l'avènement d'une classe "racailles patriotes" pour simplifier, comme le furent autrefois corsaires et flibustiers sur les mers pour le compte du Roi. Hommes durs, fraternels, collectifs, et par-dessus tout LOYAUX envers le pays. Ni ratonneurs ni racailles. Loyauté envers le pays c'est loyauté envers les lignées patrilinéaires des hommes de la souche du pays, qui nous ont précédé, qui ont façonné le pays, qui en ont fait ce merveilleux potentiel, cette table toute prête à laquelle nous venons nous asseoir. Les Desouche ont la préséance dans un ordonnancement national. C'est normal. Nul ne récuse la préséance des Desouche en Italie, Tunisie, Thaïlande etc. Voyez comme la Tunisie a expulsé sa 1ère invasion de migrants en 2023! Patriotisme = loyauté = gratitude. Tout le reste est idéologie, névrose, manipulation.
Je viens de Grenoble ultra-gauchiste bordéleux corrompu, j'y ai appris la vie. Je ne suis pas un Français de souche et rallie la France car je n'ai qu'elle, cela par gratitude, par souvenir de tout ce qu'elle m'a donné de Charité, de Beauté, de grandeur et j'aimerais que nos "nationalistes français métissés" dont je fais partie, s'occupent, dans un contexte de racisme anti-Blanc banalisé, de modérer les invectives de certains "métis" attentistes. Les diatribes des Noah, Booba sont des appels à la destruction par métissage et agression et sont i-nac-cep-tables. Le discours de haine de soi de certains bobos Blancs comme Sylvie Laurent, Molard etc doit être critiqué par les Blancs ET les métis unis. "L'humoriste en paix", je ne l'aime pas. Dans les moments cruciaux il a toujours pris la voie facile. L'affaire Obono… Assez de ce "métissage" qui ne tolère les Blancs de France que comme corvéables, métissables dociles réceptacles.
Cher "anonyme" seuls des métis patriotes loyaux (comme vous et moi), sont opportuns pour contredire durement de tels propos. Quand des Blancs le font, le mot magique "raciste" met fin au débat. Nous les métis devront faire face à une autre mise en danger qui sont les références à la "harka" et au "bountisme", j'y reviendrai en détail c'est important.
Je ne suis pas moi un de ces types qui chie sur les Blancs ou au contraire qui appelle à la violence contre tel ou tel autre en restant en retrait.
Nous sommes Français par la bonté des Français qui ne le savent même pas et se croient coupables de tous les maux. Il faut répondre au bien par le bien. Nous ne devons AUCUNE LOYAUTÉ à des partis communautaires quels qu'ils soient: ni chinois du 13e ni LFI ni likoudnik ni antillais ni espagnol ni franmac ni rien de tout ça. Ils n'ont rien fait pour nous, ils sont incapables par eux-mêmes de produire, de servir, d'ordonner, d'apaiser. Quand il y arrivent c'est par la souche française pré-existante. Ils ne sont pas la vraie substance qui souffre, qui paie, qui porte le pays. Par exemple qui en France produit la nourriture ? Les 1% d'agriculteurs blancs persécutés, suicidés de désespoir sans personne pour les aider, accablés de moqueries, d'impôts et d'ingratitude alors qu'ils sont les plus utiles, les plus bosseurs, les moins payés, et pourtant les plus directement issus des plus anciennes lignées populaires françaises.
J'aime Bassem. Et des gars, des bons gars, maghrébins bac+5 m'ont dit "Mais pourquoi tu le relaies c'est une caillera il nous enfonce". Ce n'est pas ainsi qu'il convient de regarder les choses leur ai-je dit. Il faut pour le pays des bac+5 spécialisés et précis oui mais aussi des patriotes de rue, ouvriers, avec émotion directe. J'espère que Bassem fasse un jour de la politique car c'est sa vocation profonde: passer de blogueur "leader d'opinion" à "Grand frère des Français patriotes et traditionnels d'origine immigrée". Mais je prends mes distances quand soudain malgré 10 ans de d'expérience il dit soudain à un gars assez connu "sale gw** de merde". La voie facile du racisme anti-Blanc dans un contexte d'invasion massive constitue une aggravation du déséquilibre. Je suis pour l'équilibre, l'ordre, la tranquillité de l'ordre qui est la définition même de la Paix. Quand on est immigré, écraser les Français de souche conduit par Justice Immanente à se faire ensuite écraser par d'autres immigrés plus récents, ça se vérifie à chaque génération depuis les premiers Italiens de 1960. Aimer les Français de souche rendra la paix au pays et à tous les hommes dans le pays. Les Français de souche doivent sortir de la haine de soi vendue par la Canaille au pouvoir. Et les non-Blancs comme vous et moi doivent aider ces Blancs à s'aimer eux-mêmes. Et nous le faisons non servilement dans un esprit mondain mais pour le pays, pour la "chose en soi" comme disait Kant.
À bien y réfléchir je vous remercie de votre message et des menaces voilées qui s'y trouvent car je dois dévoiler un manifeste qui s'appelle "Vous avez dit bounty?" que j'ai en réserve depuis longtemps et vous m'en rappelez l'urgence.
Cordialement,
Lounès Darbois
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Quelques considérations sur le rôle des experts dans nos "démocraties"…
«Tous les experts sont médiatiques-étatiques, et ne sont reconnus experts que par là.
Tout expert sert son maître, car chacune des anciennes possibilités d’indépendance a été à peu près réduite à rien par les conditions d’organisation de la société présente.
L’expert qui sert le mieux, c’est, bien sûr, l’expert qui ment.
Ceux qui ont besoin de l’expert, ce sont, pour des motifs différents, le falsificateur et l’ignorant.
Là où l’individu n’y reconnaît plus rien par lui-même, il sera formellement rassuré par l’expert.
Il était auparavant normal qu’il y ait des experts de l’art des Étrusques ; et ils étaient toujours compétents, car l’art étrusque n’est pas sur le marché.
Mais, par exemple, une époque qui trouve rentable de falsifier chimiquement nombre de vins célèbres, ne pourra les vendre que si elle a formé des experts en vins qui entraîneront les caves à aimer leurs nouveaux parfums, plus reconnaissables. (…).
On sait, par exemple, combien l’expert en météorologie médiatique, qui annonce les températures ou les pluies prévues pour les quarante-huit heures à venir, est tenu à beaucoup de réserves par l’obligation de maintenir des équilibres économiques, touristiques et régionaux, quand tant de gens circulent si souvent sur tant de routes, entre des lieux également désolés ; de sorte qu’il aura plutôt à réussir comme amuseur.» (Guy Debord)
Quand l'anthropologue demande s'il y a des cannibales dans la région, l'indigène répond non, et quand l'anthropologue lui demande comment il peut en être sûr, l'autre sourit en lui disant qu'il a mangé le dernier.
Chaque notion, pour se réaliser, doit se fonder sur le principe antagoniste qui s'en trouve par là même refoulé, le sujet de l'énonciation n'a de cesse de vouloir disparaître derrière son énoncé, comme un agent contrariant ou un témoin gênant qu'il convient d'escamoter, à l'instar du "proton pseudos", le mensonge originel constitutif de l'ordre même du langage, et de toute "réalité" déjà constituée.
Dans l'idée de démocratie, ce qui est refoulé, c'est l'obscénité inhérente au pouvoir politique, et c'est ainsi qu'il faudrait entendre que la démocratie est un système "à venir", non encore atteint, non encore réalisé, et seul le souci constant d'un "toujours plus de démocratie" va dans le sens de la démocratie, en opposition radicale au pouvoir des politiciens "professionnels", au culte médiatique des "personnalités", bref des "experts".
À propos des ex-pères, remarquons avec Lacan que: «le propre des objets de l’expérience, c’est précisément de laisser de quelque côté - comme dirait Monsieur de La Palice - tout ce qui dans l’objet y échappe. C’est pour cela que, contrairement à ce qu’on croit, «l’expérience», la prétendue expérience est à double tranchant. C’est à savoir que quand vous vous fixez sur l’expérience pour résoudre une situation historique par exemple, les chances sont tout aussi grandes d’erreur et de faute grave que du contraire, pour la très simple raison que par définition, si vous vous fixez sur l’expérience, c’est justement par là que vous méconnaissez l’élément nouveau qu’il y a dans la situation»…
Hippocrate l’avait déjà énoncé: «La vie est courte, l'art est long, l'occasion fugitive, l'expérience trompeuse, le jugement difficile».
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lerefugedeluza · 6 months
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Bon.
Pour être en adéquation avec ce que je dis dans ma vidéo sur l’échec, j’ai décidé qu’à partir de maintenant j’essayerai tout ce que je veux essayer même si je sais que je vais être parfaitement nulle (ce qui est parfaitement normal).
Donc aujourd’hui je me suis mise au tricot avec ma maman. Je tâtonne mais c’est beaucoup trop satisfaisant de voir les choses avancer mailles après mailles.
J’ai décidé de commencer en faisant des bonnets parce que ça a pas l’air trop difficile comme pièce (hâte de vous dire que je me trompais et que c’est super dur) et qu’il commence à faire vraiment froid.
Voilà. Bon week-end à tous !
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lisaalmeida · 1 month
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Lettre à ma Solitude...
Ma chère,
Ça fait longtemps que j’ai envie te parler,
Est-ce que j’ai le droit de m’adresser à toi directement ?
Je sais que je ne t’ai pas habituée à ça,
J’imagine que ma familiarité soudaine t’incommode
et que ce tutoiement te surprend.
Je le sais en fait, je te connais bien.
À vrai dire, on se ressemble beaucoup toi et moi.
Mais aujourd’hui il me semble important
de faire ce pas vers toi.
Je crois que j’ai beaucoup de choses à te dire
et que j’ai déjà trop attendu.
Allez, fais pas cette tête !
Ce n’est pas comme si on ne se connaissait pas.
Ça fait bientôt vingt-trois ans qu’on cohabite.
Je conçois que cette lettre va te paraitre un peu étrange, comme aux autres qui la liront d’ailleurs.
On ne parle pas souvent de toi ici.
À vrai dire, quand il s’agit de toi,
le sujet est un peu tabou.
La plupart des gens te présentent comme un monstre
à abattre ou une maladie incurable.
Ils sont prêts à toute sorte d’arrangement pour t’éviter.
Je m’étonne de leur entêtement,
Je m’en irrite parfois.
Quand je sors des arguments en ta faveur,
On me répond que c’est si triste d’être seul.
On me parle de ces mamans célibataires
qui galèrent ou des SDF,
de ces gens au chômage, à la retraite.
Tu sais, ces vieux qui meurent tout seuls chez eux,
qu’on ne remarque qu’un an après à cause de l’odeur. Pourtant, ton prénom, quand il sort de ma bouche,
n’a rien à voir avec tout ça.
Je crois qu’ils te confondent avec l’abandon
ou l’isolement, avec une sorte de manque.
Pour moi, tu représentes avant tout un retour à soi.
Un appel à découvrir ses désirs, ses rêves, sa liberté.
Une pause dans ces relations qui sont toujours plus compliquées, dans ce monde qui s’essouffle,
cette société qui s’effrite.
Très tôt, on nous éduque à vivre ensemble, à jouer ensemble, à travailler ensemble.
On nous inculque le compromis,
la patience, on nous apprend à communiquer,
à mentir surtout.
On nous convainc que tu es incompatible avec le bonheur, avec l’amour, et que, contrairement au dicton,
il vaut mieux être avec n’importe qui, plutôt que seul.
Alors j’ai essayé moi aussi.
De faire partie d’un groupe,
d’une communauté, d’un couple.
J’ai passé des années à supporter des compagnies
que je jugeais ennuyeuses pour me sentir acceptée, normale.
Le plus généralement parce qu’on me le demandait et que ça inquiétait ma mère de me voir avec toi. Mais la vérité c’est que je me sens bien plus seule en soirée, entourée par le monde, les lumières, les sons. Je me mêle aux autres, je parle avec ces gens, je me sens vraiment bien parfois, mais souvent, d’un coup, j’ai le sentiment d’être seule au monde. J’ai l’impression que nos paroles sont insensées, tellement superficielles, et qu’il n’y a aucun espoir que l’on se comprenne un jour. Ça t’ai déjà arrivé à toi aussi ?
On rabâche sans cesse les mêmes propos stériles, entendus à la télé, dans les médias, sortis de la bouche des plus cons de ce monde.
On s’emporte les uns contre les autres pour des broutilles et on évite soigneusement les vrais sujets.
Je crois qu’à vivre continuellement en groupe on finit par régresser intellectuellement.
On laisse les autres réfléchir à notre place,
parce que c’est plus simple sur le moment.
Mais avec les années on perd tout esprit critique. Comment veux-tu qu’on soit capable de tolérance,
de jugement, si l’on n’est même pas aptes
à nous faire nos propres idées ?
Malgré ça, je m’interroge :
est-ce que je suis folle ?
Est-ce que je suis la seule à te trouver belle,
et plutôt positive ?
Est-ce que ça fait vraiment de moi quelqu’un d’asocial
de passer du temps avec toi ?...
Net
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alexar60 · 9 months
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Un oeil fermé
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Quand Mattéo entra dans la bibliothèque, je me demandais s’il déconnait. Je regardais son air ahuri. Il paraissait complètement perdu comme s’il était choqué.
Il y a une dame dans la cours, dit-il.
Et ? réagis-je.
C’était normal de voir des gens se promener dans la cours. Le campus n’était pas fermé et il n’était que 20h. De plus, en hiver, la nuit tombe toujours tôt. Mattéo m’observait encore  avec un regard perdu. Il ne savait pas comment expliquer. Il cherchait les bons mots. Certainement pour ne pas nous choquer ou, pour qu’on interagisse au plus vite.
Elle a un œil qui pisse le sang et l’autre est fermé. Elle marche dans la cours. Je crois qu’elle a besoin d’aide.
Aussitôt, Sophie, ma collègue se précipita vers la porte d’entrée. Elle regarda à gauche puis à droite. Mais elle ne remarqua pas cette étrange femme. Dès lors, elle rentra en fronçant les sourcils.
Es-tu certain d’avoir bien vu ? questionna-t-elle.
Le jeune homme soupira. Il répondit qu’effectivement, il s’était surement trompé. Toutefois, son visage montrait une certaine inquiétude. Il retourna à sa place mais eut du mal à se remettre à étudier. Les autres étudiants ne s’intéressèrent pas à lui. Ils lisaient, prenaient des notes…Bref, ils préparaient leur examen partiel.
Je restais derrière mon bureau et enregistrais les livres rendus. Puis je les rangeais dans des casiers en fonction de leur classification. En même temps, je m’amusais à connaitre quelle catégorie avait le plus de succès dans la journée. Je me souviens que c’était l’histoire de l’art. Curieux, car il n’y avait pas de section histoire de l’art dans l’université.
Tout-à-coup, un cri retentit dans la salle. Je courus voir de quoi il s’agissait. J’entendais des ‘chuts’ des étudiants les plus proches de la porte. Seulement, tout le monde, c’est-à-dire, la vingtaine d’élèves restèrent muets en découvrant la femme dressée derrière la baie vitrée.
Elle portait un chignon. Sa taille longiligne et tordu déformait son corps. On aurait cru un mannequin fabriqué avec un grand cintre. Elle portait un bouquet de fleurs. Mais surtout, le plus horrible : du sang coulait de son œil gauche, tandis que le droit restait fermé. Le sang se mêlait à sa robe noire, son décolleté brunissait atrocement. Elle ne semblait pas avoir mal. Peut-être était–elle juste droguée ? Pendant que les étudiants la regardaient avec inquiétude, Sophie retourna vers la porte après m’avoir demandé d’aller chercher la trousse à pharmacie, et d’appeler des secours.
Je courus récupérer une boite contenant le minimum médical lorsque j’entendis hurler :
Elle n’a pas d’œil !
En effet, la jeune femme venait d’ouvrir sa paupière droite, dévoilant un trou béant. Les jeunes se sentirent mal, quelques filles hurlèrent. Et soudain, un énorme fracas provint en même temps qu’un hurlement glacial. J’entendais les bruits de verre rebondir sur le carrelage de la grande salle. Je restais dans la pièce utilisée comme salle de repos à me demander quoi faire.
La porte demeurait entre-ouverte. Cependant, je ne pouvais rien voir de ce qui se passait. J’entendais simplement quelques pas résonner dans la bibliothèque. Mais ce qui me choqua fut le silence long, pénible, angoissant. Un silence anormal car ils étaient encore nombreux à étudier dans cette salle. J’avais soudainement froid. Et plus je tendis l’oreille, plus j’entendis une voix douce, une voix de femme triste :
Et un…et deux.
Elle se tut tout en claquant ses talons sur le carrelage, puis elle recommença :
Et un…et deux.
Personne ne réagissait, personne ne parlait. Je n’osais pas signaler ma présence. Il y avait quelque-chose d’horrible dans sa façon de marcher. De même, il y avait de la terreur dans sa façon de parler et de toujours répéter :
Et un…et deux…Et un…et deux…Et un… et deux.
Sans faire de bruit, j’approchai de la porte. Je voulais voir. Je voulais comprendre. Et je l’ai vue. La dame marchait entre les étudiants. Sa figure rayonnait de grâce malgré son atroce blessure à l’œil. Elle gardait toujours le droit fermé. Cependant elle savait où elle avançait, évitant de marcher sur les corps étendus.
Je regardais les étudiants. Ils ne bougeaient plus. Ils ne remuaient pas. Je n’arrivais pas à voir s’ils respiraient, si leur poitrine gonflaient et dégonflaient. La dame se positionna devant une jeune fille. Elle sortit une des fleurs de son bouquet avant de l’enfoncer dans l’œil gauche.
Et un…
Puis, elle se pencha, et à l’aide de ses doigts longs et pointus, elle arracha le second œil en disant :
Et deux…
Elle marcha vers une nouvelle victime. Et elle recommença son manège :
Et un…et deux.
Je ne pouvais rester. Cette chose à l’apparence humaine avait réussi à tuer les étudiants d’un seul cri terrifiant. Je ne me voyais pas intervenir pour la combattre. Je fermais la porte le plus doucement possible afin de l’empêcher de grincer. Malheureusement, il n’y avait pas de fenêtre. Alors, je me cachais bêtement sous la table dans le noir complet. C’était le seul endroit possible. J’espérais qu’elle n’entrerait pas, qu’elle ne remarquerait pas ma présence. Et toujours cette douce voix pourtant horrible :
Et un…et deux…et un…et deux…
Plus j’écoutais, plus je réalisais qu’elle approchait. Je sentais mon cœur battre à cent à l’heure. Je sentais sa présence derrière la porte. Hélas, je ne voyais rien, si ce n’est une silhouette sous la porte, à cause de la lumière du hall. La poignée bougea…la porte s’ouvrit dans un silence absolu. Une lumière apparut rapidement cachée par une longue forme noire. Je me sentais paralysé par sa présence dans la pièce.
Le spectre marcha en claquant ses talons. Il s’arrêta brusquement devant la table. Je restais assis, les jambes recroquevillées pour protéger mon visage. Je ne voulais pas lever la tête. Je fermais les yeux, je retenais ma respiration et attendis. Mon sang se glaçait soudainement. Elle demeurait immobile telle une statue de glace. Puis elle sortit en fermant la porte.
Je restais toute la nuit, sans dormir dans le noir complet, et dans cette position fœtale. J’avais peur de l’entendre revenir ou de la revoir. J’avais peur qu’elle me crève les yeux. Le silence dura jusqu’au matin.
Il y eut d’abord des cris. Puis, il y eut des sirènes. Il y eut des voix, de nombreuses voix. Et la porte s’ouvrit, la lumière s’alluma. Un homme vêtu d’un uniforme de policier me regarda avant de m’adresser la parole. Je n’ai pas répondu à sa question. Je suis resté muet, le visage blême, les yeux remplis de fatigue et de peur. Avec un de ses collègues, il m’aidèrent à me relever. Puis, des pompiers m’ont assisté et installé sur un brancard
J’ai juste eu le temps de voir, les yeux posés sur la table. Tous les yeux arrachés me regardaient, ils me dévisageaient comme s’ils cherchaient à me culpabiliser d’être le seul survivant. Et lorsque je sortis de la bibliothèque j’entendis un policier dire à son collègue :
Il est bon pour l’hôpital psychiatrique. Mais comment et pourquoi a-t-il fait tout ce carnage ?
J'ai mis longtemps avant de fermer l'oeil et d'arrêter de répéter: 'et un...et deux'.
Alex@r60 – août 2023
Histoire très légèrement inspirée d’une légende urbaine coréenne appelé : one two, one two.
Artwork par Josephine Cardin
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Très vite dans ma vie il a été trop tard. À dix-huit ans il était déjà trop tard. Entre dix-huit et vingt-cinq ans mon visage est parti dans une direction imprévue. À dix-huit ans j’ai vieilli. Je ne sais pas si c’est tout le monde, je n’ai jamais demandé. Il me semble qu’on m’a parlé de cette poussée du temps qui vous frappe quelquefois alors qu’on traverse les âges les plus jeunes, les plus célébrés de la vie. Ce vieillissement a été brutal. Je l’ai vu gagner un à un mes traits, changer le rapport qu’il y avait entre eux, faire les yeux plus grands, le regard plus triste, la bouche plus définitive, marquer le front de cassures profondes. Au contraire d’en être effrayée j’ai vu s’opérer ce vieillissement de mon visage avec l’intérêt que j’aurais pris par exemple au déroulement d’une lecture. Je savais aussi que je ne me trompais pas, qu’un jour il se ralentirait et qu’il prendrait son cours normal. Les gens qui m’avaient connue à dix-sept ans lors de mon voyage en France ont été impressionnés quand ils m’ont revue, deux ans après, à dix-neuf ans. Ce visage-là, nouveau, je l’ai gardé. Il a été mon visage. Il a vieilli encore bien sûr, mais relativement moins qu’il n’aurait dû. J’ai un visage lacéré de rides sèches et profondes, à la peau cassée. Il ne s’est pas affaissé comme certains visages à traits fins, il a gardé les mêmes contours mais sa matière est détruite. J’ai un visage détruit.
L’Amant de Marguerite Duras
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jeanchrisosme · 2 months
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Vous n’êtes pas toujours fort tous les jours, et ce n’est pas grave. Je sais que parfois vous vous sentez tellement épuisé par votre vie et que vous ne pouvez tout simplement pas trouver le courage de vous battre pour vos batailles silencieuses. Je sais que parfois vous pensez que la vie est injuste envers vous et que vous voulez juste arrêter de vivre. Et je sais que parfois on se sent si faible qu’on n’a même pas envie de se réveiller tous les matins. Je veux que vous sachiez que ce n’est pas grave. Vous n’avez pas besoin de vous forcer à être fort lorsque vous êtes déjà en train de vous effondrer. C’est normal d’être vulnérable parfois. Vous n’avez pas besoin de vous faire croire que vous allez bien, même si la vérité est que vous êtes loin d’être bien. Vous n’êtes pas toujours fort tous les jours, et ce n’est pas grave. Parfois, il suffit de respirer et de se reposer. Faites une pause pendant un moment et soyez vulnérable. Aucun problème. Même la personne la plus forte pleure quand elle est fatiguée. Je veux que vous sachiez que vous n’avez pas besoin de cacher toutes vos peurs et votre tristesse juste pour avoir l’air fort devant tout le monde. Ce n’est pas grave de ne pas être fort. Il n’y a pas de mal à admettre que vous n’en pouvez plus. Et un jour, j’espère que vous vous rendrez compte que, que vous soyez fort ou non, vous êtes toujours digne.
Shiori X
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selidren · 2 months
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Printemps 1917 - Champs-les-Sims
3/7
Avec cela, mes enfants ne cessent de grandir. Il semble être fini le temps où une étreinte et quelques mots gentils pouvaient les rassurer. Ils nous percent à jour mieux que personne, et s'engouffrent dans nos failles quand nous n'y prenons pas garde. J'ai à présent toutes les peines du monde à leur expliquer le comportement singulier de leur père, surtout à ma petite Cléo qui se révèle chaque jour plus sensible. Garder un visage impassible et mimer la totale confiance est une épreuve de chaque jour, car les questions qu'elles me posent me plongent parfois dans la plus grande panique. Que répondre parfois ? La vérité serait bien trop dure. Elle n'a que dix ans.
Transcription :
Cléopâtre « Maman ? »
Albertine « Oui ma chérie ? »
Cléopâtre « Si je te pose une question, tu ne te fâcheras pas ? »
Albertine « Non, bien sur que non. Pourquoi tu pense cela ? »
Cléopâtre « Parce que ce n’est pas forcément une question gentille. »
Albertine « Si tu la pose correctement, je me demande pourquoi je me fâcherais. »
Cléopâtre « Bon d’accord. »
Cléopâtre « Pourquoi est-ce que Papa accorde plus de temps à Noé qu’à moi ? »
Albertine « Et qu’est-ce qui te fait croire cela ? »
Cléopâtre « J’écris toujours les lettres les plus longues. Je lui raconte mes journées, je lui demande des nouvelles de lui et de ses camarades, je lui raconte aussi les conversations bizarres que Antoine a avec Grand-Mère dans le jardin. Noé, elle, fait des lettres plus courtes, et quand je les lis, je ne les trouve pas tellement détaillées. Pourtant, quand il nous répond, il écrit plus de choses à Noé qu’à moi. On le voit à la taille des courriers. »
Albertine « Je ne pense pas que ce soit si grave que tu le penses. »
Cléopâtre « Maman, je le vois bien ! Quand il est là, c’est à peine si il me regarde. »
Albertine « Tu ne crois pas que tu exagère un peu ? »
Cléopâtre « Bon peut-être, mais c’est vrai ! Quand Noé parle, il lui accorde plus d’attention qu’à moi, comme si ce qu’elle avait à dire était plus important ou intéressant ! Je ne suis pas intéressante moi ? »
Albertine « Si, bien sur que tu es intéressante ma chérie. Tu écris de jolies histoires et tu nous raconte toujours des choses si drôles aux repas. Tu sais, on peut aimer ses enfants sans forcément beaucoup le montrer. »
Cléopâtre « Tu dis ça parce que tu es amoureuse de Papa, c’est tout. J’ai demandé à Antoine car j’ai l’impression qu’il s’en fiche ou qu’il trouve que c’est normal. Mais Sélène aussi elle l’a vu tu sais ? On est pas bêtes Maman. »
Albertine « Bien sûr que vous n’êtes pas bêtes. Grand-Mère a bien l’habitude de se vanter d’avoir enfanté une famille de brillants esprits non ? Mais dis-moi, qu’a répondu ton frère ? »
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ascle · 2 months
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Les « memes » québécois
Il y a de ces moments d’anthologie, lorsque quelqu’un passe à l’histoire, volontairement ou non, grâce à une vidéo virale.
Le Quebec ne fait pas exception à la règle. Plusieurs vidéos se sont taillées une place de choix dans nos répliques, discussions, expressions du quotidien.
Afin de ne pas rester pantois devant un « sauf une fois au chalet » lancé par un Québécois, voici quelques uns des « memes » les plus populaire au Quebec et leur origine. (Vous pouvez retirer votre cerveau à partir d’ici vous n’en n’aurez plus besoin)
La palourde royale!
Probablement la vidéo plus connue au Quebec parce que tout le monde en a entendu parlé. De 7 a 77 ans comme on dit.
Contexte: Il s’agit d’un extrait d’une émission de cuisine. Normalement, les 2 animateurs discutent d’affaire de gars comme l’épilation du torse tout en faisant un gaspacho. Sauf que cette fois-ci, l’émission porte sur la palourde royale. Si vous n’avez pas déjà un p’tit sourire en coin c’est parce que vous n’avez jamais vu une palourde royale. Ils ont invité un chef afin d’apprendre à apprêter, nettoyer, cuisiner le mollusque. Le problème c’est que… les 2 pauvres gars ont un fou rire incontrôlable et aucun des deux n’arrive à reprendre son sérieux alors que le p’tit chef reste beaucoup trop premier degré.
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Sauf une fois au chalet
C’est un bel exemple de vidéo qui s’est transformée en expression.
Contexte: Philippe Hamelin, 93 ans est jugé pour inceste. Le problème c’est qu’à la sortie du palais de justice après avoir clamé son innocence, notre bon vieux monsieur y va d’une déclaration aux journalistes dont son avocat se serait bien passé. « J’ai jamais touché à mes filles… sauf une fois au chalet » !!!!!!
Cette phrase est alors instantanément passée à la postérité et est maintenant portée à toutes les sauces pour avouer à demi mot quelque chose qu’on a fait ou dit.
Exemple: j’ai jamais pensé kidnapper Carole, sauf une fois au chalet.
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La grosse dinde noire
A première vue, une dinde sauvage n’a rien d’excitant. Mais mettez la même dinde sauvage dans le salon d’une pauvre madame et un journaliste prêt à tout pour tuer la une et on se retrouve avec une pièce d’anthologie.
« A ça r’venir la grosse dinde noire »
En 2016, une dame raconte au journaliste sa mésaventure avec une dinde sauvage qui a défoncé une fenêtre de son salon et, paniquée, s’est soulagée intestinalement parlant un peu partout avant de repartir.
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Update! En février dernier, une autre dinde sauvage a fait la une après avoir poursuivi un homme qui l’avait un peu cherché relançant la saga de la grosse dinde noire. Comme quoi… elle avait bien raison! Elle est revenue la grosse dinde noire ^^.
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Un peu ouais
Restons dans le caca! Un gars au resto qui visiblement n’a pu se retenir et son ami, au lieu de l’aider, film le désarroi. Parce qu’on aura beau dire, tu peux être Brad Pitt, le Président ou l’homme le plus fort au monde, si tu te chies dans les culottes… ben tu t’es chié dans les culottes.
L’expression « un peu ouais » est resté comme la trace brune dans ses culottes. Elle est utilisée pour évoquer un agacement.
Exemple: Est-ce que je vous saoule à parler de Carole tout le temps? Un peu ouais! (C’est un très mauvais exemple pcq Carole es fucking parfaite et on n’en parle jamais assez!)
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Le p’tit bum
Il s’en passe des choses dans les palais de justice québécois. Yollande! Awwhh la charmante Yollande! Cette dame sympathique se rend à son procès. Son crime? Des jeunes l’auraient coupée en voiture et elle a décidé de les éduquer et de foncer dans leur voiture avec la sienne. Au delà du fait qu’on ne se fait pas justice soi-même, notre chère Yollande se pointe au tribunal complément bourrée et explique les faits aux journalistes. Un moment magique!
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Pas l’temps d’niaiser!
Contexte: un événement est organisé dans un bar et une jeune reporter essaie de recueillir les impressions des jeunes venus fêter. Elle n’a pas été déçue! Elle tombe sur un mec complètement bourré qui déclare « tequila, Heineken, pas l’temps de niaiser » que l’on pourrait « traduire » par « Je prends ma tequila et une Heineken en même temps, j’ai pas de temps à perdre ».
La vidéo est devenue virale, il n’en fallait pas plus pour que l’expression s’inscrive dans la culture populaire québécoise en version longue ou courte.
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J’ai l’doua!
Alors déjà je commence par un avertissement: même nous, Québécois, faut s’accrocher pour comprendre le mec 🤣.
Contexte: un homme a décide de faire un remblai (illégal) chez lui. Plainte des voisins, un journaliste se pointe chez l’homme en question et on détecte quand même rapidement que ses souliers s’attachent avec du velcro. Il déclare alors au journaliste qu’il est dans son droit (j’ai l’doua). Encore une fois, cette expression prend le langage populaire lorsqu’on veut se défendre de quelque chose.
Exemple: Ascle! Arrête de tout le temps parler de Carole. (Ascle) J'ai l’doua!
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Bonne fête Kevin!
C’est bien connu, prenez un mec individuellement ça va, mais mettez plusieurs mecs ensemble et le quotient intellectuel su groupe se divise par le nombre de participant. Ajoutez un peu d’alcool…
Contexte: c’est l’anniversaire de Kevin. On essaie de lui faire un sympa vidéo pour lui offrir nos vœux, mais on dirait que personne ne connaît Kevin 🤣🤦‍♀️.
Il est maintenant de coutume lors de l’anniversaire de quelqu’un, idéalement si cette personne ne s’appelle pas Kevin, de gueuler « bonne fête Kevin ».
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