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#Pierre Seron
tomoleary · 3 months
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Pierre Seron “Des souris et des petits hommes” Mice and the Little Men (1989)
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ivo-oz · 2 months
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🩸🩸🩸
ℌ𝖊𝖊𝖇𝖊𝖘 : 𝕲𝖊𝖓𝖊𝖘𝖊
〖chapitre 3 〗 Attention, ce texte sera peut-être modifié à l'avenir afin de le perfectionner
Dans un sursaut, mes yeux s'ouvrent dans une salle sombre au mur de pierre. Toujours à genoux, je constate que ma situation n'a nullement changé. Les mains clouées à la froideur de la pierre, le sang s'échappant lentement des plaies béantes, peignant ainsi la pierre en rouge.
C'est drôle, il m'a fallu deux jours pour ne plus y penser. Les premiers jours se sont remplis de cris et de pleur. Ridicule ! La futilité de cette douleur me rend tellement honteuse.
Les blessures que je porte en moi sont plus grandes que ses clous. Il est vrai que c'est la première fois que je suis confronté à de tels châtiments physiques, mais j'aurais dû me réjouir.
Je ne penserai pas que l'humilier devant les représentants du royaume le pousserait à me souhaiter autant de mal. J'aurais préféré garder la mobilité de mes mains. Mais bon, si c'est le prix à payer.
Non, ne crie pas, ce n'est pas de la douleur.
Quelle image de moi j'aurais si je me réabandonne à cette facilité ? J'ai subi plus grave, plus longtemps. Ce ne sont que des plaies, elles s'effaceront. Mes vraies blessures, elles n'ont pas cicatrisé et pourtant, je les supporte. Succomber à de telles frivolités serait juste dévalorisant. La vraie douleur n'aurait plus de sens.
Un grincement métallique interrompit ma somnolence. La porte est ouverte. J'ai beau être dos à elle, je peux quand même sentir le son des talons frapper la pierre dans ma direction. Un son grave, puis aigu, grave et encore aigu. Une paire de bottes désassorties. Ho, c'est Fides qui a été chargé de me libérer.
Vous êtes en retard. J'en pouvais plus de lutter contre le sommeil pour m'éviter de m'ouvrir la peau davantage.
Tout en entrant dans mon champ de vision, Fides arrache les clous qui bloquaient mes mains.
Je n'ai pas crié, j'ai pu me contenir haha, mon sourire partit immédiatement quand je découvris les énormes trous béants que contenaient mes mains dorénavant. On peut y voir à travers.
J'ai . . .
C'est répugnant mon dieu.
Mes mains
qu'es que . . . comment . . .
mon dieu.
—Mes excuses, Père Inhonoris a tardé à me donner les clés.
— Vous pouvez me soigner ?
— Je n'ai pas ces compétences, un médecin vous sera assigné dans deux jours.
— Vous vous moquez de moi, mes plaies vont rester ouvertes pendant cinq jours en tout. Je ne pourrai plus jamais écrire.
— Vous m'envoyez navrer, mademoiselle.
Un ange passe.
— Navrée ‽ Vraiment ‽ Ôte-moi ce mot de ta bouche quand tu me parles ! Mais quel genre de soutien hypocrite, tu penses me faire avaler ! Ça ne sert à rien de me mentir si mon état ne t'inspire que de l'apathie !
Le souvenir de mes mains perforées aurait presque pu être oublié si mon sang ne s'était pas mis à accélérer dans mes veines. Mon cœur hurle dans ma tête, m'obligeant à me taire.
—Avez-vous du temps à m'accorder ? J'aurais besoin de coudre mes plaies. Bien sûr, je ne voudrais pas abuser de votre gentillesse. Vous pouvez déléguer le travail à un de vos collègues si c'est trop demandé. J'espère que je n'ai pas manqué de politesse, vous savez, trois jours sans pouvoir pleinement dormir me font perdre pas mal de notions. Comme la clémence par exemple.
— Pardonnez-moi Je m'exécute.
Toute pressée, elle s'engouffre dans l'ouverture de la porte. Elle ne m'aide même pas à monter... Haha, elle doit avoir peur de demander . . . Haaaa, j'en avais besoin tout de même.
Je sens l'air frais de la pièce effleurer les cavités de mes mains. Le sang a arrêté de couler et fait maintenant place au vertige et à la fatigue.
Ho, le temps, et puis qu'est-ce que c'est au final ? Tant pis si le soleil sera couché quand j'aurai atteint la fin des escaliers.
3 minutes après, Fides accourut pour m'éviter un malaise sur les marches et se mit à m'aider à atteindre ma chambre.
— N'ayez crainte, nous serons bientôt à vos appartements.
Mes yeux balaient le sol et les murs comme un pendule oscillant entre le conscient et l'inconscient. Un pendule se stoppant net lorsqu'une certaine odeur lui parvient. Odeur de café . . . de miel. Cela me sortit de mon vertige.
Hum
11h
Il est 11 heures, grand-père doit être dans son bureau.
— Que faites-vous ? Votre chambre se situe dans le couloir gauche.
— Ne me crois pas si bête. Je vais simplement dire bonjour à Papi.
— Vous entendez vous, c'est lui qui vous a châtié. Ne l'humiliez pas davantage, il risquerait de vous bannir.
— Tu n'es pas convaincante, cesse de mentir, bon sang.
Boitant en direction de la porte, je finis ma route en m'affalant sur la poignée de la porte. Haha, tant pis pour la surprise.
Je pousse la porte en m'aidant difficilement de mon épaule, mes mains étant inutilisables. Grand-père est juste derrière. L'encadré de la porte dévoile progressivement son visage et les émotions qui le parcourent quand il découvre le mien.
L'iris de ses yeux dilaté, la rigidité qu'adopte son corps. Toute cette attention pour moi. Il s'efforce d'être calme et ça m'est tellement jouissif.
Pourquoi est-il aussi surpris ? Pensait-il me soumettre ? Tu ne me connais pas assez. Que pense-t-il de moi ? Que penserait Inhonoris Cornecuus ? Toute sa vie et son existence ont servi à bâtir cet empire, à se hisser au rang de roi. Être à son niveau est la seule motivation qui me pousse à me faire violence dans mes études. Enfin, avec les blessures, ça va être plus compliqué. En marchant ou plutôt vacillant vers lui, le sang pulsant dans mes mains m'empêche de continuer. Aucun de mes muscles actifs ne m'épargne de douleur.
Finalement, je ne sais que dire, mon esprit m'échappe, des idées, des bribes me viennent, mais les paroles demeurent insaisissables.
Je lève faiblement ma main et avec un grand sourire, le plus beau que je puisse faire, je le salue avant qu'un voile noir ne mette fin à mon geste.
SUITE (un jour . . . ) PRECEDENT
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sillygoose067 · 29 days
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Over the 7 Seas
Ch. 13
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Charles Leclerc x Reader
The next morning, Marie asks you how your date went. You tell her that it was everything you had ever dreamed of.  
On the other side, Charles reads your text over and over again. Thank you for the best first date ever. His heart does this thing where it can’t decide whether or not to skip a beat or flutter faster. 
He’d thought that you’d flake on him once you understood the repercussions you might face for engaging in a relationship with him. But you surpassed all of his expectations and had agreed to face anything together. He stared at the profile picture he’d taken of you. You had been so immersed in the surroundings while you walked that you hadn’t even noticed him pull out his phone and snap a photo. His thumb traced over your face, your eyes filled with amazement, your tresses blowing in the gentle breeze, your beautiful smile. A smile of his own creeps upon his face. 
“Oi Charles!”, calls Lando. No reply. 
“You should give up now. He’s hopelessly in love with that new girl. I’ve been trying to get his attention for the past 5 minutes”, Pierre tells him. 
“Oh yes, loverboy is officially lost”, agrees Carlos jokingly. 
Max finally walks up to where Charles is sitting and snaps his fingers in front of his face. Charles flinches and sits upright. 
“Are you going to be joining us for paddle today, or are you going to continue daydreaming about your new girl?”
Charles scrambles to his feet and grabs his paddle. He liked the sound of that. His girl. Yes. He couldn’t wait until he could call you his. 
“Y/n, do you mind watching Leila while I go out with Lando tonight?”
“Never Marie! How could I ever not want to spend time with this beautiful fairy!”, you reply while facing a very energetic Leila. She squeals and giggles at you. 
“Merci mon amie!” And then you hear the door slam shut. 
“Well missy, it’s just you and me now. Just you wait, we’ll have the time of our lives! Nous serons tous les deux imparables!” (The two of us will be unstoppable!) The toddler just claps her hands and begins bouncing in her seat. 
You play with her for a couple of hours, then when you're feeling drained, you decide to sing her to sleep. 
When she’s down, you head back into the living room and pick up your phone. 3 unread messages 
You open your messages app. It’s Charles. 
Hey Chéri, I was just thinking about you. Sorry I couldn’t text you today. I was out with the boys playing paddle. 
Well, you were also thinking about him. All the time. Ever since you’d returned from the date. Guilty as charged. 
I’d like to take you out again. Is this Wednesday around 2pm a good time?
You scroll down some more. 
J’aimerais vraiment vous montrer ma collection de voitures au musée (I would really love to show you my car collection at the museum). You can refuse of course, Chéri. I understand that you have a busy schedule. 
You smile at his thoughtfulness and begin replying to each of his messages individually. 
I think I should be free then. J’aimerais voir votre collection, Charles (I would love to see your collection, Charles). 
I’ve been thinking about you too. 
You go to unsend the last message, but just then, he sends you a heart emoji. You’re filled with warmth. You send him one back. 
Charles is filled with the same warmth when he receives your messages. He can’t wait to take you to see his cars the coming Wednesday. 
… 
When Marie returns, her lips are swollen and her hair looks slightly messier than when she first left. “Ooooh looks like someone got some action!”, you wiggle your eyebrows at her. 
She falls back against the back of the sofa dramatically and lets out a great big sigh of contentment. “He told me he didn’t care that I had a child, or about my past. That he was interested in staying for the long run. And then he kissed me”. She lets out another sigh and bites her lip. You let her revel in the memories of her night. “He kissed me and it was so good Y/n. You don’t understand. To be kissed with that much passion… I’d be lying if I said I hadn’t missed it all these years.”
You’re filled with happiness as you witness your best friend get a taste of what was in store for her in the future. A future that she deserved by all means. You made a mental note to have a talk with Lando later regarding not breaking her heart and hurting her, etc.
When Marie returns freshly showered and changed, ready for bed, you tell her about your plans for Wednesday.  “Girl, Lando was telling me how Charles was spacing out a lot this morning during their paddle game. Apparently mans was so out of it, it took more than 15 minutes to get him back into the game”. She looks pointedly at you. “He’s whipped, I’m telling you. Secure that man, or don’t, he’s not going anywhere without you”.
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 61
Je me suis réveillé le samedi matin au creux des bras de Marc. J'appréciais ce moment sachant que nous avions ajouté au vendredi de " relâche " le samedi matin.
Je glissais vers le pied de lit jusqu'à pouvoir lui sucer la bite. Encore molle, je la décalottais et suçais le gland comme un bonbon attirant le sang pour faire bander l'ensemble. Il raidit sans se réveiller. Je commençais alors une vraie pipe, le suçant bien sur tout ses 22cm, léchant les couilles rasées. Quand j'ai senti ses mains bloquer ma tête et que ses reins se sont mis en mouvement j'ai su qu'il était réveillé. Il ma limé la gorge jusqu'à me servir un petit déjeuner de son cru ! trop bon !! Une fois que ma langue a tout bien nettoyé, je suis remonté sur lui et lui ai roulé une pelle. A son tour il s'est mis à me sucer. C'est pas souvent même si je sais qu'il ne déteste pas ça. Alors que je me vidais, il garda tout en bouche pour me le faire partager dans un baiser " gluant ".
Après une bonne douche et un petit déjeuner conséquent, nous nous sommes attelés à la préparation de notre méga touze. Les invités étaient prévus d'arriver vers 15/16h. Pelouse tondue vendredi PM, piscine nickel, baisodrome de l'étage, salle de muscu et donjon prêts, je vérifiais les approvisionnements en Kpotes et gels et je refaisais le plein des tiroirs et des coupes. Je faisais particulièrement attention au donjon où la présence de nombreux godes rendrait la consommation importante.
Nous serons 17. J'avais réussi à joindre Kev, qui ferait un détour sur le chemin de La Palmyre où il allait passer des vacances " fructueuses ". Un actif de plus ne sera pas de trop pour satisfaire les nombreux trous en manque.
Pour le samedi soir BBQ + salades du traiteur et glaces. Le dimanche un brunch servi à partir de midi et le soir buffet froid (du traiteur aussi).
14h00 : sous la douche nous nous câlinons gentiment. 14h30 : je saute dans quelques vêtement décents et avec la voiture de Marc fait du ramassage. Je passe cherche Ric, son père sort me saluer et me passer sa " pension ". Pierre nous rejoint, il me donne le " mot " de son père et chez Jean, JB est arrivé. Ils rejoignent Pierre à l'arrière. Jean fait les présentations. 15h 30 : Nous arrivons dans la cour de la maison en même temps que les 3 motards. Je débarque mon petit monde avant de ranger la voiture. Quand je les rejoint tous, Eric me traite de chauffeur de ramassage scolaire.
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J'embrasse Phil et Luc que nous avons pas vu depuis quelques temps. Ils sont superbes, bronzés. Les présentations continuent. Je prend JB par le bras et l'intègre dans le groupe. Comme on se connaît déjà tous, il n'est pas encore à l'aise ! Je pousse tout le monde vers la terrasse et la piscine. En aparté, je demande à Ric de veiller à ce que JB ne soit pas seul et le charge de le brieffer un minimum. Bruno et Arnaud arrivent du fond du jardin et je repars devant la maison accueillir nos russes, Seb et Nicolas. Comme Kev arrive aussi, je parts fermer le portail, isolant la propriété de tout risque d'intrusion imprévue.
Je retrouve le groupe sur la terrasse. Les premiers arrivés sont déjà dans l'eau. JB encore en slip parle avec Eric. Je présente Kev à tout le monde. Cette année il a les cheveux mi long et les regards qu'il essuie sont loin d'être innocents.
Marc demande l'attention de tous et prévient que pour éviter tout risques, toutes les sodo sans exception seront faites sous kpotes, et que toute kpote usagée devra être déposée dans les petites poubelles disséminées partout. Il prévient aussi que la piscine n'est pas une baignoire dons on ne s'en sert pas pour se laver du sperme. Pour cela, il y a suffisamment de douches à dispo.
Je rejoins nos deux blacks et je fais glisser le slip de JB sur ses chevilles avant de l'entraîner dans la piscine. Nous y retrouvons les plus jeunes en train de se chercher. Bientôt nous sommes rejoints par les " vieux ". Les corps bougent, glissent les uns contre les autres, s'attrapent. Kev n'a pas mis longtemps à entrer dans le jeu et je le vois s'accaparer Pierre. Je me rapproche d'eux et glisse à son oreille qu'avec Pierre, c'est 100% précautions et plan douceur. Il me dit Ok avant de lui rouler une pelle. De tous les cotés c'est roulage de patin et massages de bites. Marc calme le jeu en proposant la visite des lieux de " perdition ". Nous sortons tous de l'eau, chacun trouvant un drap de bain pour s'essuyer. Chaussés de Tongs, les serviettes ceinturées sur les reins (pour Jean et Ric réduites à une largeur tellement mini que l'on voit leurs couilles), Marc entraîne le groupe en exploration. Passage au sous sol, pour certains découverte de la salle de muscu, de ses spécificités (sling, anneaux au sol) et de sa salle d'eau attenante. A l'étage la baisodrome avec ses deux grands lits placés au centre avec le mur et le plafond de glace. Il en profite pour ouvrir les chambres qui sont à leur disposition. Et nous traversons la cour pour accéder au donjon. J'entre en premier avec JB et Kev les seuls qui ne connaissent pas les lieux. J'éclaire d'un coup et si Kev est surpris, c'est surtout un sourire connaisseur que je vois sur son visage, dans ses yeux défilent toutes les positions qu'il va tirer pouvoir tirer de l'aménagement. Les autres nous rejoignent et je passe par les sanitaires puis monte avec les deux nouveaux à l'étage. JB n'ouvre pas la bouche mais son sexe soulève le drap de bain. Au moins il n'est pas traumatisé.
Quand nous retournons à la piscines certains sont ralentis, n'ayant pu attendre pour se faire sucer. Avec Ric, Phil et Luc, j'étale tout autour de la piscine les matelas de bronzage, puis avec leur aide je ramène de la cuisine les boissons. Alcoolisées, non alcoolisées, reconstituantes, Red Bull... Je mets la musique en passant dans le salon. La fête peut commencer ! (enfin pour certain c'est déjà le cas !). Marc s'est approché de JB et le rassure sur ce qui va ce passer. Il est libre de tout et surtout de dire non quand il ne veut pas. Il le prend par sa bite raidie au maximum et appelle Ric pour le sucer. Un attroupement se fait autour d'eux quand Ric se place sur la table basse sur le dos et demande à JB de la lui mettre dans la bouche. JB s'exécute à genoux. Nous voyons les cm entrer dans la bouche puis soulever le larynx de Ric. Habitué à la grosse bite de son paternel, il n'a pas grand mal à lui avaler ses 27 premiers cm. Kev ne revient pas des capacités de Ric. Il me demande qui c'est. Je lui explique brièvement son cas restant discret sur le fait que son mec est son père, mais lui assurant qu'il était formaté régulièrement à 27 x 7. Comme JB n'ose aller plus loin, Marc se positionne derrière lui et pousse son bassin pour le faire entrer entièrement. Ric encaisse. C'est ce qu'il sait faire le mieux (et en plus il aime !).
Il se retire comme le rouge monte au visage de Ric. Il se tourne vers nous autres et avec un sourire qui lui éclaire le visage, il nous dit que c'est la première fois que ça lui arrive ! nous éclatons tous de rire. Personne ne connaît une gorge plus profonde que celle de Ric ! D'une voix rauque, Ric lui réclame sa bite. Enchanté, JB la lui redonne. Le cercle se disloque et des groupes se font. Marc est toujours derrière JB à le conseiller. Je note toutefois qu'il lui a gentiment mis 2 doigts dans le cul. Je rejoins Kev et Pierre. Ce dernier à 4 pattes entre les cuisses de Kev suce avec application les 21cm. Je lui réitère mon conseil et le prévient que Pierre nous accompagnera en vacances à La Palmyre. Kev se tourne vers moi, il me dit le kiffer grave et me demande si il pourra venir le voir alors. Je lui dis que tout dépendra de Pierre, si il le veut bien. Je reste avec eux et me plaçant derrière Pierre lui bouffe son petit cul. Je tiens à passer le premier pour le détendre. C'est chose faite 10mn plus tard, enkpoté pour une fois, je le pénètre délicatement pendant qu'il continu à sucer Kev. Ça ne fait pas 5mn que je le lime que Kev me demande la place. Il est bandé au maxi et n'en peut plus d'attendre. Il me remplace et prend autant de précaution que moi à enculer Pierre. Je me suis couché sur son coté et je prends ses lèvres pour lui rouler une pelle. Je lui demande si il aime la bite de Kev. Il me dit qu'elle lui fait du bien, qu'il n'a pas mal. Je les quitte et rejoint les jumeaux. En 69 ils se font enculer, Tic par Bruno et Tac par Nicolas. Je continu plus loin et tombe sur Igor qui encule Arnaud alors que Luc se fait Seb qui lui même sodomise Jean. Je m'intercale entre Igor et Arnaud, accueillant la bite " jumelle " de celle de Marc dans mon cul et entrant sans difficulté la mienne dans le trou préparé d'Arnaud. A coté de nous, Eric plonge sa queue dans le cul de Phil. Les groupes se font et se défont au fil du temps. Après une heure environ, le seul à avoir éjaculé est JB. Il n'a pu résister à l'exigence de la gorge de Ric et à couvert son torse de sperme. Je fais signe à Eric et nous accompagnons JB et Ric aux sanitaires de la salle de muscu. Tous les 4 nous nous douchons. Eric s'occupe de Ric et moi de JB. Sa bite se redresse comme si il ne venait pas de juter. Une fois bien propre, je m'agenouille et prend une bonne partie des 30cm dans la bouche. Ric à mes cotés fait de même sur la teub d'Eric. Après un bouchonnage rapide, nous nous retrouvons sur les tatami. Après quelques positions scabreuses, nous nous retrouvons en brochette. Ric se fait enculer par JB que j'encule tout en me prenant Eric dans le cul ! Bon, très bon même !! Alors que nous sommes proche de l'explosion, Eric nous dit de tous juter sur JB. On se désaccouple et JB sur le dos recoit les premières giclées de sperme alors qu'il se branle. Ric est le dernier et lui envoi son sperme blanc sur ses pecs. Alors JB explose et envoi le sien sur son visage et ses cheveux. Je ramasse d'un doigt celui qui est sur ses joues et son front et lui met dans la bouche. il n'hésite pas et me suce les doigts avidement.
Alors que nous prenons une nouvelle douche, nous voyons arriver le reste du groupe. Kev a le bras possessivement posé sur les épaules de Pierre. Je leur cède ma place et en riant lui dit que Pierre est à tout ceux qui veulent de lui et que lui accepte. Il sourit, relève le menton de Pierre et lui roule un gros patin avant de le pousser sous la douche. Nous discutons en matant la demi douzaine de mec se laver. Je lui dit que si il commence comme ça avec Pierre, quand nous serons tous à La Palmyre, il ne va pas gagner grand chose pendant nos 3 semaines de vacances. Il me dit que c'est pas possible qu'il a besoin du fric qu'il gagne à faire le gigolo pour financer son année d'étude.
Nous nous retrouvons tous un peu plus tard à prendre l'apéro sur la terrasse. Nous allumons le BBQ et 1heure plus tard, ponctuée de pipes plus ou moins menées à terme, nous commençons à diner.
JARDINIER
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jeanchrisosme · 8 months
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Il doit y avoir quelqu’un dans ce monde qui accepte mes imperfections , mes folies, mes indiscrétions, ma rébellion, mon excès d’émotion. Je le saurai… » (Fernanda Mello) Ah, si l’amour parfait était une certitude, quelle serait la beauté d’aimer et combien de pleurs seraient évités. Non, l’amour n’est pas toujours réciproque. Non, nous ne serons pas toujours le choix de la personne que nous choisissons. Faire face à cette impasse sera l’une des traversées les plus douloureuses auxquelles nous serons confrontés. Parfois, nous avons tellement d’amour à donner, nous avons tellement à partager, nous voulons faire tant de choses avec quelqu’un, mais il se peut que ce quelqu’un ne veuille pas la même chose, ou le fasse, mais avec quelqu’un d’autre que nous. L’amour n’est pas toujours juste, de notre point de vue, car ça fait mal de voir que l’amour n’est pas réciproque. Ça fait très mal. Il en va de même pour les personnes pour lesquelles nous avons la plus grande affection. Souvent, nous désirons l’amitié de ceux qui n’ont pas la même affection pour nous. Personne ne peut expliquer pourquoi certaines personnes attirent notre affection, tout comme il n’est pas possible d’expliquer la non-réciprocité de ce sentiment chez certains d’entre nous . Et nous souffrirons, tant pour les amis qui ne veulent pas être nos amis que pour les amours qui ne veulent pas être nos amours. La question est de savoir comment gérer les moments où nous ne serons pas choisis par qui nous voulions, quand cela ne prendra pas la forme d’une douleur aimante. Nous nous sentirons très mal, nous pleurerons et parfois même, nous serons désespérés, parce que le rejet apporte le désespoir et sape notre estime de soi, nous pouvons nous sentir laids, méprisables, indignes d’amour. Ce sera un voyage douloureux, jusqu’à ce que nous puissions comprendre qu’il y a toujours quelqu’un qui a besoin d’amour – de notre amour. Nous devons ressentir la douleur, pleurer et traverser la tempête, cependant, peu importe combien cela fait mal, l’espoir et la lutte seront nécessaires, car la tristesse trompe l’esprit, vole les rêves et emporte les espoirs qui ne devraient jamais nous quitter. La douleur disparaîtra pour chacun d’entre nous au bon moment, cependant nous devons faire attention de ne pas nous attacher à la pierre sur laquelle on trébuche et à quelque chose qui n’en vaut pas réellement la peine et nous fait souffrir inutilement. Alors, croyez-moi : le véritable amour viendra à vous au bon moment.
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source : @cheminer-poesie-cressant​
il faudra nous reconnaître ; il faudra réapparaitre ; nous ne serons plus là et pourtant il faudra engendrer de la lumière ; juste pour pousser plus loin le jour, juste pour renverser la fin des possibles ; retrouver l’abolition de la frontière   
© Pierre Cressant
(jeudi 29 décembre 2022)
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aurevoirmonty · 6 months
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« La grande marche de destruction mentale va continuer. Tout sera nié. Tout deviendra objet de croyance. C'est une position raisonnable de nier l'existence des pierres dans la rue ; ce sera un dogme religieux de l'affirmer. C'est une thèse rationnelle que nous vivons tous dans un rêve ; ce sera une preuve de santé mentale mystique de dire que nous sommes tous éveillés. Des incendies seront allumés pour témoigner que deux et deux font quatre. Des épées seront tirées pour prouver que les feuilles sont vertes en été. Nous serons acculés à défendre, non seulement les incroyables vertus et le bon sens de la vie humaine, mais quelque chose de plus incroyable encore : cet immense et impossible univers qui nous regarde en face. Nous nous battrons pour des prodiges visibles comme s'ils étaient invisibles. Nous regardons l'herbe impossible et les cieux avec un étrange courage. Nous serons de ceux qui ont vu et qui ont pourtant cru. »
G.K.Chesterton,"Hérétiques".
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selidren · 1 year
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Eté 1901 - Champs-les-Sims
21/25
Parfois je pense à ce qu’il verra là-bas. Et j’en éprouve une pointe de jalousie. Il pourra contempler des merveilles dont je n’ai jamais vu que quelques photographies ou alors dessins qu’il m’a montré, les yeux rendus luisants par la passion. Pour l’instant, je ne peux me permettre de partir aussi loin pour plusieurs moi, mais peut-être un jour pourra t-il m’emmener. Les rôles s’inverseront et il sera mon guide.
Transcription :
Constantin : J’avoue que c’est intriguant et motivant.
Martial : Et vous aurez l’occasion d’en voir autant qu’il vous plaira, peut-être même assez pour vous en dégouter à vie. Ces chers égyptiens n’ont eu de cesse d’écrire jusqu’à ce que tous leurs murs soient recouverts de hiéroglyphes.
Constantin : Jamais je ne me lasserai de tout ceci. 
Martial : Ce n’était qu’une image jeune homme.
Martial : Mais il y a bien sur autre chose que les textes. Voir les sites de votre propre oeil et en grandeur nature est plus que nécessaire. La topographie des lieux nous apprend autant de choses, sinon plus, que les inscriptions en elles-mêmes. Et au-delà de l’intérêt proprement scientifique, je pense que vous saisirez le grand frisson qui a fait que tant d’autres avant nous puis après nous serons subjugués par les monuments des anciens. 
Constantin : Je ne saisis pas trop Monsieur. 
Martial : Chaque chose en son temps mon garçon. 
Constantin : Cela semble vous tenir à coeur. Expliquez moi.
Martial : Imaginez donc... l’immensité du désert toute en nuances dorées et cuivrées, les ombres et les pierres aiguisées par le soleil couchant. L’élégante magnificence de ces constructions polies par les vents sableux, dont la couleur subsiste parfois, et qui donne un bref aperçu de la grandeur disparue des ruines qui se dressent devant soi. Le silence enfin, avec juste le chuintement du vent qui parvient aux oreilles. 
Constantin : Cela a l’air merveilleux. Je n’en puis plus d’attendre.
Martial : Et ce n’est rien mon jeune ami. Mes quelques mots ne sont rien en comparaison de vivre réellement cette expérience par soi-même. Il y a un sentiment d’être hors du temps, comme si son cours s’était interrompu. J’espère que vous parviendrez à voir ce que je vois. 
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frisquette27 · 1 year
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J'avais prévu de poster vendredi dernier, ne jamais mettre de deadline car c'était toujours comme ça que l'on a plein d'autre chose à faire pfff.
Bon voici enfin le chapitre 19 de ET SI .. (j'aurais mis le temps quand même)
Toujours les mêmes avertissements : rappel de tentative de suicide, SMUT etc ...
UN GRAND MERCI à ceux qui suivent ma p'tite histoire et UN GRAND MERCI pour tous vos commentaires (Ils me donnent le courage de continuer)
ET SI …
Chapitre 19 : Si je savais qui croire
Elle était tétanisée, complètement affolée la Reine ne savait que faire, elle rêvait de pouvoir prendre ses jambes à son cou et s’enfuir à l’opposé de la femme devant elle. Mais malheureusement son corps ne lui répondait plus, elle restait donc la devant elle, à sa merci comme une proie. Aucun son ne sortait de sa bouche, Dame Mevanwi comprit immédiatement le trouble de la Reine, elle en était enchantée, elle avait du pouvoir sur cette femme, elle allait donc en abuser.
Prenant un air doux et une voix mielleuse à la limite de la caricature.
« Ma Reine, quel plaisir de vous revoir » dit-elle en s’approchant, se permettant même de lui prendre la main « J’avais tellement peur de ne plus vous revoir après notre discussion, j’étais particulièrement mal de vous avoir fait de la peine »
Guenièvre ne pouvait pas lui répondre, elle en tremblait, des brides de leur dernière conversation tournait dans sa tête en boucle, elle ne pouvait en oublier aucun mot.
« Ne restons pas là » Mevanwi lui prit le bras et l’entraina doucement avec elle « Allons dans les jardins, nous serons plus au calme pour discuter »
Les deux femmes s’installèrent sur un banc en pierre auprès d’un magnifique parterre de jasmin d’hiver jaune, Mevanwi avait choisi cet endroit précis car elle savait que la reine avait voulu que l’on n’y plante des fleurs rouges mais Arthur avait préféré mettre des fleurs jaunes car cet endroit était fait pour les passions inavoués et elle savait parfaitement que c’était à elle qu’il pensait. Elle avait bien choisi le lieu car elle vit le regard de la Reine sur le parterre de fleurs et elle perçu le désarroi de cette dernière. Parfait, son plan fonctionnait, elle prenait plaisir peut être un plaisir malsain mais c’était amusant de détruire cette femme, un petit sourire s’étira sur ses lèvres.
« Comment allez-vous ? » commença-t-elle mais comme Guenièvre restait silencieuse, elle poursuivit « Vous n’êtes partie que quelques jours mais j’étais très inquiète, je pensais que vous aviez disons tourné la page et j’étais contente pour vous. Le Roi ne vous a pas laissé le choix a ce que j’ai pu comprendre »
Guenièvre réagit enfin, interloqué par les mots de son ancienne amie
« Comment ça je ne comprends pas ? Pourquoi le Roi ne m’aurait pas laissé le choix »
« Pour être très honnête avec vous, votre départ la certainement contrarié, vous comprenez les apparences, disons que l’alliance avec votre famille est importante pour le royaume et j’imagine que votre relation à évolué sur le plan physique »
« Comment …vous …qu’est ce qui vous fait supposer de telle .. »
Mevanwni posa la main sur la jambe de la Reine.
« Je le sais car le Roi veut un héritier et pour le citer il n’a pas le choix de se taper l’autre grosse gourdasse » mentit elle.
« Non Arthur n’a pas dit ça ! »
« Je suis vraiment désolé mais très honnêtement est ce vraiment la première fois, je comprends que vous deviez rester, votre statue de Reine et votre devoir envers le Roi mais vous méritez que l’on vous aime ou au moins que l’on vous respecte »  
Guenièvre ressentit une pression au niveau du cœur, elle avait du mal à respirer, non ce n’était pas possible pas après la nuit dernière pourtant la petite voix qui ne cesser de la tourmenter lui rappelait qu’il y a quelques jours à peine son mari ne pouvait pas la voir en peinture. Elle retenait ses larmes, elle ne pouvait pas pleurer devant cette femme. Elle se leva brusquement et partit dans les jardins laissant Mevanwi seule sur le banc sans un mot pour cette dernière.
« Voilà » murmura-t-elle « Trop facile, elle se dirige directement dans mon piège »
Et quel piège, le Chevalier Blanc attendait sagement au bout du chemin l’arrivée de sa belle. Tout d’abord soucieux de la voir en pleurs, il se rappela les consignes précise de sa complice. Il devait rester concentré sur sa mission et essayer de charmer sa bien-aimée.
« Ma Reine, que vous arrive-t-il ? Etes-vous blessée ? »
Elle s’arrêta net devant lui, honteuse d’avoir été vu en train de pleurer mais étrangement contente d’être tombé sur son ami. Car oui après tout c’était avant tout son confident en déplaise à son mari.
« Seigneur Lancelot, je suis désolé »
« Ne soyez pas désolé ma Reine, dites-moi ce qu’il a encore fait »
« Rien ..il n’y a rien je suis juste un peu à fleurs de peau parfois, ne vous tracassez pas pour des broutilles »
« Mais ce ne sont pas des broutilles, Guenièvre, je suis persuadé qu’il a encore était trop loin, je ne connais bien notre Roi et les sentiments qu’il vous porte »
Trop c’était trop pour elle, tout le monde savait que son mari la méprisait et elle était là à croire que peut être il y avait une chance entre eux. Elle fondit en larmes devant le chevalier ne retenant plus ses sanglots. Devant la fragilité de la jeune femme, Lancelot en profita pour la prendre dans ses bras et lui murmurer des mots d’encouragements. Elle mit plusieurs minutes à se calmer, en reprenant un tant soit peu de constance, elle se défit de son étreinte et lui proposa de se promener, oubliant les recommandations de son mari. A ce moment, rien ne comptait plus que de retrouver la légèreté de sa relation avec le chevalier, il avait toujours été là dans les moments difficiles et il était tellement agréable avec elle. Ils passèrent donc l’après-midi dans les jardins à discuter de chose et d’autre, Guenièvre en oublia son chagrin. Le chevalier lui raconta sa vie dans la forêt, la faisant rire parfois avec des anecdotes plus incongrues les unes que les autres. Elle sentait ses regards amoureux et elle avait du mal à savoir comment se comporter avec lui, maintenant elle connaissait ses sentiments pour elle et même s’il n’était pas réciproque, elle se demandait toutefois si elle n’avait pas été amoureuse d’Arthur est ce qu’elle aurait succomber au charme de Lancelot. Après tout, il était bel homme, intelligent, romantique, il correspondait plus à son idéal masculin que son mari. Mais voilà, elle était amoureuse d’un homme râleur souvent bougon et terriblement attirant. Ils avaient perdu la notion du temps au point qu’ils ne se décidèrent à rentrer que lorsque le jour commençait à laisser place au crépuscule.
La journée avait été longue, trop longue pour le Roi qui avait enchainé les réunions les unes derrière les autres, leurs lots de problème avaient définitivement fini d’agacer Arthur. Alors qu’il n’avait qu’une seule chose en tête, retrouver sa femme qu’il avait vu pour la dernière fois de la journée au petit déjeuner. Arthur était frustré, tout d’abord il avait été interrompu par ses beaux-parents le matin même alors qu’il passait un moment merveilleux avec sa femme, puis elle s’était carrément barrée de leurs petits déjeuner le laissant seul encore avec ses beaux-parents. Il avait passé la journée à apprendre que les hommes dans ce château tournaient autour de Guenièvre d’ailleurs plus il y pensait plus il trouvait qu’il avait été trop clément avec le seigneur Calogrenant, et pour couronner le tout il n’avait pas vu ou même aperçu sa femme de tout le reste de la journée. Alors oui, il était frustré et se dirigeait d’un pas déterminé vers la salle de repas car même s’il devait se coltiner encore le couple royal de Carmèlide, il allait enfin retrouver sa femme. C’est donc avec un sourire sur le visage qu’il ouvrit la porte de la salle à manger, sourire qu’il perdit immédiatement quand il ne vit dans la pièce que ses beaux-parents déjà attablés.
« Non mais bon sang c’est pas possible, elle est où encore !! »
« Franchement ça vous arrive de temps en temps d’être aimable, on voit que ça vous fait vachement plaisir de nous voir » dit sa belle-mère d’un ton acerbe
« Non mais laissez-le, il cherche encore la p’tite d’ailleurs moi aussi j’aimerais bien savoir où elle est fourrée celle-là »
« Ben c’est pas à moi qu’il faut demander ça, c’est une vrai anguille cette gamine, tout le monde la vue mais personne ne sais où elle est, j’ai autre chose à faire que jouer à cache-cache avec elle »
Arthur s’était attablé complétement dépiter, regardant dans le vague son assiette. La porte s’ouvrit et il releva la tête immédiatement la tête dans l’espoir de voir sa femme apparaitre et malheureusement ce n’était qu’une servante qui apportait les plats. Encore déçu il souffla et rebaissa son regard sur la table.
« Non mais vous allez pas faire la gueule en plus, déjà que d’habitude vous êtes pas très jouasse comme bonhomme mais alors là on atteint le summum »
« Non mais je viens de vous dire de lui foutre la paix, qu’est-ce que vous ne comprenez pas ! »
« Merci beau-père »
« Allez-y vous ! Prenez sa défense tant qu’on y est, ce qui faut pas entendre sérieux, il y a quelques jours encore il pouvait pas la blairer la p’tite et là monsieur fait la gueule quand il la voit pas »
« Faut savoir à la fin, moi je trouve que c’est mieux, je préfère qu’il fasse la tronche parce qu’il ne la voit pas que quand il se foutait ouvertement de sa tronche »
« Hé oh je suis là je vous rappelle, et puis d’abord je me foutais pas de sa tronche »
Le couple se tourna vers le roi et le regardèrent d’un air septique relevant tout les deux un sourcil de surprise, la situation en été presque comique de voir ses beaux-parents réagirent à l’unisson.
« Heu je veux bien prendre votre défense mais ne nous prenez pas pour des jambons, bientôt vous allez dire que vous avez été toujours prévenant avec elle »
« Oh oui bientôt il va nous sortir qu’ils ont toujours eu une belle histoire d’amour » rajouta Dame Séli d’un ton sarcastique.
« Non mais c’est plus compliqué que ça et puis d’abord mêlez-vous de vos fesses, ça me fera des vacances !! »
« Ah mais vous rêvez les yeux grand ouverts mon p’tit bonhomme je vous le dis tout de suite, si vous pensiez qu’on été sur votre dos ben vous allez voir le changement, c’était de la nioniotte jusqu’à présent »
« Super ça annonce une bonne ambiance en perspective pendant les repas, trop chouette je me languis !! »
« Ouais mais alors faite pas trop le malin quand même, je ne vous rappelle pas dans quel état vous avez mit ma fille, je veux bien essayer d’être tolérant et ce n’est franchement pas dans ma nature mais je vais vraiment avoir du mal à oublier que j’ai failli perdre ma fille par votre faute !» dit le seigneur Leodagan en fixant durement son gendre.
Tout penaud Arthur, s’enfonça dans son siège, baissa les yeux et ne pipa plus un mot. Le repas fut alors silencieux, extrêmement silencieux voir gênant.
Elle avait réussi à éviter le repas, elle n’avait pas mangé de la journée mais elle se sentait euphorique de pouvoir maitriser quelque chose dans sa vie. Pour éviter son mari, elle décida de prendre un bain pour ne pas se rendre directement dans sa chambre. Elle n’était pas prête à le voir, le chagrin que lui avait provoqué sa conversation avec Mevanwi était encore bien trop présent, elle ne savait pas comment elle allait réagir en le voyant. A sa grande surprise la porte de la salle de bain avait été condamné et ce fût un serviteur qui lui indiqua la direction de la nouvelle salle de bain. Il faisait déjà nuit noire quand elle rentra dans son bain, c’était donc à la lueur des bougies qu’elle examina ses poignets. L’eau était bien chaude et parfumé pourtant la vision de ses marques lui rappelait cruellement la nuit où son désarroi avait pris le dessus. Elle se rappelait la sensation de la lame froide sur sa peau cependant elle n’avait aucun souvenir de la douleur de son acte juste de la libération qu’elle avait ressenti. Est-ce qu’un jour elle oublierait ? Est-ce elle lui pardonnerait un jour ou même arriverait elle seulement à se pardonner elle-même ? Perdu dans ses pensées elle n’entendit pas la porte s’ouvrir, ni la servante se rapprocher.
« Madame, veux-t-elle qu’on lui change son eau, elle doit être froide maintenant »
En regardant la servante qui venait de s’adresser à elle, Guenièvre vit de la peur dans son regard. Pourquoi cette femme avait-elle l’air effrayé, elle tremblait légèrement.
« Non je vous remercie, je vais sortir de mon bain. Pourriez vous me passer la serviette derrière vous s’il vous plait »
La servante ne bougeait pas et fixait toujours la reine.
« Vous êtes nouvelle, vous ai-je déjà vu ? »
« Oui…oui madame » répondit elle avec un soubresaut dans la voix « c’est moi qui vous ai aidé à passer votre robe ….cette nuit-là ! »
« Ah !  Je comprends ! comment vous vous appelez ? »
« Nessa, madame »
« Nessa pourriez-vous me passer la serviette derrière vous que je puisse sortir »
« Oui madame »
Elle lui tendit la serviette.
 « Dites-vous n’allez pas recommencer ! »
Guenièvre secoua la tête, elle se sécha rapidement et demanda à la servante de l’aider à se vêtir, elle posa une main rassurante sur l’épaule de la jeune femme.
En rentrant dans sa chambre le Roi avait espéré la retrouver mais toujours pas de Guenièvre. Il commençait fortement à s’inquiéter, il voulut partir à sa recherche quand la porte s’ouvrit laissant place à sa femme. Sans lui laisser le temps de réagir, il la prit dans ses bras et fondit littéralement sur ses lèvres. Il aurait voulu juste effleurer ses lèvres pour l’embrasser doucement mais il était bien trop frustré pour cela, le baiser était passionné. Ses lèvres étaient douce chaude, il pourrait mourir s’il s’arrêtait. Prise dans le moment ses mains glissèrent sur ses épaules nues, sentant la peau fraiche sous ses doigts, puis il plaqua une de ses mains au creux de reins pour l’attirer contre lui. Il commença à caresser son dos, envoyant des frissons dans la colonne vertébrale de la jeune femme, qui instinctivement se colla encore plus à son mari. Il grogna dans sa bouche de plaisir.  Les mains de sa femme étaient partout, maudissant les vêtements qui séparait leurs peaux l’une de l’autre. Ils s’embrassèrent ainsi pendant plusieurs minutes, savourant leurs goûts, les sensations que produisaient leurs gémissements respectifs, les plongeant dans une douce torture. Respirant à peine Arthur les entraina vers leurs lits, Guenièvre s’affairait à lui enlever ses couches de vêtements qui lui interdisait l’accès à sa peau. Elle ne pensait à plus rien, oublié la conversation avec Mevanwi, oublié ses doutes sur la sincérité de son mari, oublié les marques sur ses poignets seul Arthur comptait à ce moment-là, sa peau, son parfum, ses mains sur elle.
Ils tombèrent sur le lit sans que leurs lèvres ne se séparèrent, Arthur se positionna sur sa femme et entreprit de lui enlever sa robe alors que sa bouche parsemait son cou de baiser. Il finit par lui déchirer sa robe et la jeta à travers la pièce en rageant.
« Trop compliqué vos tenues, vous allez rester toute nue tout le temps maintenant ! »
Elle rit et enfouie sa main dans la chevelure de son époux dans un geste tendre, avec un petit sourire mutin. 
« Ah bah je vais faire sensation à me promener toute nue dans le château »
« Même pas vous y penser »grogna -il
La main toujours dans ses cheveux elle attira sa bouche contre la sienne, ils s’embrassèrent à nouveau désespérément, gémissant de plaisirs alors que leurs langues se caressaient. Ils étaient collés l’un à l’autre, poitrine contre torse, leurs peaux se rencontraient enfin. Les mains de la jeune femme montaient et descendaient le long de son dos. Elle pouvait sentir le désir de son mari pressé contre son bassin, il lui faisait perdre la tête. Elle écarta les jambes laissant Arthur se placer entre ses cuisses. Le pouvoir qu’elle possédait sur lui la stupéfiait juste en bougeant son bassin contre lui, elle la sentait bien son impatience dans ses caresses, dans ses baisers, dans ses gémissements. Autant il lui faisait totalement perdre la tête autant elle aussi elle avait ce pouvoir sur lui.
« Décidément, vous êtes encore trop habillé mon ami » lui murmura t elle à l’oreille d’une voix suave.
Il comprit qu’elle faisait référence à son pantalon, et comme si ses mots étaient magiques, il s’en débarrassa rapidement faisant sourire sa femme devant son empressement.
Alors que leurs corps nus se rencontrèrent enfin Guenièvre ressenti que c’était une évidence entre eux et alors que son mari lui relevait légèrement les cuisses pour la faire sienne.
« Ah je dérange peut-être ? »
Stoppé dans son action, Arthur se retourna vivement vers l’intrus tout essayant de couvrir sa femme. Devant lui la Dame du Lac.
« Non mais vous êtes pas bien ! ça vas pas non ! mais BARREZ VOUS ! »
« Ben non je voulais juste voir comment elle allez quand même »
« Non mais vous êtes sérieuse là »
« Oui elle va comment du coup ! »
« Je vais bien merci mais disons que là c’est pas vraiment le moment de papoter »
Arthur s’était couvert lui aussi, elle lui avait coupé l’envie.
« Ah mais vous faites plus semblant de ne pas me voir, ah ben c’est bien vous lui avez dit, ça sera plus simple »
« J’ai un peu gaffé mais maintenant du coup ça sera plus facile pour parler »
« Ah c’est clair ! déjà que c’est le bazar quand je dois venir si en plus faut gérer quand lui apparaitre parce que cela vous met mal à l’aise »
« Ah parce que là ça met pas mal à l’aise » grogna t il
« Oh mais c’est bon, de toute façon vous n’aviez pas vraiment commencé »
« Non mais j’avoue que moi aussi j’aurais préféré que vous n’apparaissiez pas maintenant »
« Ah ben je suis désolé, je voulais vraiment savoir comment vous alliez car c’est un peu le bazar là-haut depuis que vous avez essayait de ..enfin vous voyiez quoi »
« Oh je suis vraiment désolé, je ne voulais vraiment pas vous ennuyer, je ne pensais pas que … »
« Non mais ça va dis donc, vous ne voulez pas que je vous fasse apporter des tisanes et des p’tit gâteaux pour que vous puissiez papoter tranquille non plus ! »
« Ah maintenant que vous dites, pourquoi pas »
« Non mais certainement pas ! Cassez-vous »
« Oh ben ça vas quand même si je dérange je m’en vais »
« C’est ça oui faite ça donc, BARREZ VOUS »
La Dame du Lac s’éclipsa sans demander son reste. Laissant le couple royal enfin seul, Arthur n’attendit pas son reste et fondit immédiatement sur les lèvres de sa femme.
« On en était où sinon »
A l’abri de tous dans un couloir, Lancelot avait rejoint sa complice et lui faisait un rapport détaillé de son après-midi avec la Reine.
« Il faut que vous soyez plus tactile avec elle, il faut être plus direct »
« C’est plus facile à dire qu’a faire comment voulez vous que je m’y prenne »
Pour joindre l’acte à la parole, Mevanwi prit la main du chevalier caressant langoureusement de son autre main la joue, puis la nuque de ce dernier. Elle se rapprocha et colla son corps à cet homme qu’elle trouvait néanmoins désirable, leurs lèvres s’arrêtèrent à quelques millimètres l‘une de l’autre.
« Et là vous l’embrassez » murmura-t-elle
« Montrez-moi » lui répondit le chevalier.
Le château s’était endormi paisiblement, pourtant les alliances se rapprochait dangereusement et le piège risquait de se refermer très vite mais sur qui ?
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triste-guillotine · 1 year
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CAUCHEMAR “Rosa Mystica” LP 2022 (”S'éveillant de sa crypte couverte de mousse, Cauchemar est de retour avec une nouvelle offrande, mélangeant Doom traditionnel sombre et Heavy Metal vigoureux hanté par l'éclat spectral des orgues et les incantations ancestrales d’Annick Giroux”)
“La route de l'enfer s'ouvre devant nous Nos chevaux de fer répandent la foudre Nous somme l'épée qui coupera la rose Qui seule peut sceller le tombeau de l'aube À travers les siècles, nous avons erré Embrassant la mort comme une voie sacrée Semant la misere, affittato la faux Élevant pierre par pierre le tombeau de l'aube Quand le messager sortira du noir Nous, à ses côtes, serons seuls à voir Le monde qui s'embrase Tel un grand flambeau Refermant le sceau du tombeau de l'aube”
1. Jour de colère 2. Rouge sang 3. Notre-Dame-sous-terre 4. Danger de nuit 5. Rosa Mystica 6. Le tombeau de l'aube 7. Volcan 8. La sorcière
Chansons par Cauchemar. “Notre-Dame-sous Terre” d’après Fulcanelli. “Volcan” d’après le comte de ­Lautréamont, guitare et refrain composés par Joel Ladouceur. Solo par Alan Jones dans ­“Volcan”. Solo par Chany Pilote dans “La sorcière”. ­Enregistré en août 2021 au studio No Man’s Land, Gatineau, Québec. Dessins de la pochette par Valeria Sakseeva. Graphisme par ­Annick ­Giroux.
https://cauchemar.bandcamp.com/
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tomoleary · 3 months
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Pierre Seron “Les petits hommes” becomes “Los Hombrecitos” in Spanish.
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janelher · 2 years
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« Hommage à Pierre Dac »
Nous avions un accord
Répétait le violoniste
Mais l'accordéoniste n'était pas d'accord
Cet accord que nous violons
Était déjà tacite au premier abord
Ce qui m'agace, c'est cette farce,
Notre face que nous voilons
Nous ne l'avions pas volée, encore,
Cette note infiniment triste
Les points d'orgue élégants existent
Carillons au réveillon, morsures à répétitions,
On se piste
Les musiciens persistent à défier le sort
Mais la portée de leur faux pas
Les amènent toujours trop tôt vers la mort
Faut pas trembler de tout son corps
Quand ses efforts sont sincères
La loi des plus forts lacère les cœurs à l'unisson
Qui battent la mesure, à mesure de leurs frissons
En reprenant en chœur les blessures du diapason
Nous ne serons jamais raccord
Déplore un cor sinistre
Car les optimistes entre eux se dévorent
Et le décor trop élitiste
Rend pessimiste le moindre artiste qui s'en sort
Nous n'avons qu'à éclore
En orchestre intégriste
Lâcher du leste en dernier ressort
Être allergique aux faiblesses terrestres
En sourdine ce qui nous blesse
Éclectiques, électriques,
Notre bonne mine dépend de nos gestes
Les musiciens persistent à défier le sort
Mais la portée de leur faux pas
Les amènent toujours trop tôt vers la mort
Faut pas trembler de tout son corps
Quand ses efforts sont sincères
La loi des plus forts lacère les cœurs à l'unisson
Qui battent la mesure, à mesure de leurs frissons
En reprenant en chœur les blessures du diapason
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yes-bernie-stuff · 7 hours
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Ta véritable identité
"Je ne suis pas à la hauteur."
"Je ne suis pas assez intelligent."
"Je ne suis pas assez fort."
"Je ne suis pas à la hauteur."
Chaque jour, nous sommes bombardés de mensonges tentant de nous convaincre que nous ne sommes pas équipés pour suivre Jésus. Chaque fois que nous échouons, nos doutes surgissent et nous rappellent que nous serons toujours faibles, que nous ne ferons jamais l'expérience de cette liberté à laquelle Jésus nous rend éligibles. Pourtant, les Écritures nous rappellent que c'est la puissance divine de Jésus qui nous donne tout ce dont nous avons besoin pour vivre une vie pieuse. Grâce à cette force, lorsque nous chutons, nous pouvons toujours nus relever.
C'est dans notre faiblesse que la puissance de Dieu se manifeste parfaitement (2 Corinthiens 12:9). Par la puissance du Christ, rien ne peut maintenir son emprise sur nous: ni la peur, ni l'inquiétude, ni le doute, ni l'échec, ni le découragement, ni la solitude, ni la difficulté, ni la douleur.
En Jésus, nous avons tout ce dont nous avons besoin pour combattre tout ce qui tente de s'emparer de notre identité véritable.
La parole de Dieu est vivante, efficace et plus acérée qu'une épée à deux tranchants. Elle discerne les pensées et les intentions de nos cœurs. Elle provient de Dieu et nous corrige, nous enseigne et nous encourage. La parole de Dieu éclaire nos voies.
La parole de Dieu est remplie de rappels concernant notre identité véritable. Elle te rappelle que…
Tu as de la valeur parce que tu es un enfant de Dieu. (Jean 1:12, 1 Jean 3:1)
Tu peux te réjouir dans la souffrance puisque Christ a souffert pour toi. (1 Pierre 4:12-19, Jacques 1:2-4)
Tu es profondément aimé, et tu peux aimer les autres tout comme tu as été aimé. (Jean 15:9-14)
Rien ne peut te séparer de l'amour de Dieu. (Romains 8:37-39)
Lorsque tu comprends qui tu es, c'est alors que tu peux réellement réaliser toutes choses grâce à la force du Christ.
Commence donc à mettre en pratique la vérité vivifiante disponible dans la Bible. Ainsi, tu pourras passer du statut de victime à celui de vainqueur. Reconnais pleinement qui tu es en Christ.
Et la prochaine fois qu'une situation décourageante se présentera, ou qu'une pensée alarmante te viendra à l'esprit, souviens-toi que tu peux la surmonter grâce à la puissance divine de Jésus qui est à l'œuvre en toi et à travers toi. Tu n'as pas à traverser cette vie seul; tu n'as pas été créé pour cela.
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christophe76460 · 12 days
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Faut t’il être pauvre pour entrée au paradis ?
Les riches ne serons t’ils pas sauvez ?
Si tu est riche tu est cuit, pas de paradis, pas royaume pour toi, ton argent est ta mort spirituelle
Que dit la sainte bible ?
Ensemble lisons le en
Mathieu 19 versets 19 a 30
Le jeune homme lui dit : « Tout cela, je l'ai observé. Que me manque-t-il encore ? »
21 Jésus lui dit : « Si tu veux être parfait, va, vends ce que tu possèdes, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans les cieux. Puis viens, suis-moi ! »
22 A cette parole, le jeune homme s'en alla tout triste, car il avait de grands biens.
23 Et Jésus dit à ses disciples : « En vérité, je vous le déclare, un riche entrera difficilement dans le Royaume des cieux.
24 Je vous le répète, il est plus facile à un chameau de passer par un trou d'aiguille qu'à un riche d'entrer dans le Royaume de Dieu. »
25 A ces mots, les disciples étaient très impressionnés et ils disaient : « Qui donc peut être sauvé ? »
26 Fixant sur eux son regard, Jésus leur dit : « Aux hommes c'est impossible, mais à Dieu tout est possible. »
27 Alors, prenant la parole, Pierre lui dit : « Eh bien ! nous, nous avons tout laissé et nous t'avons suivi. Qu'en sera-t-il donc pour nous ? »
28 Jésus leur dit : « En vérité, je vous le déclare : lors du renouvellement de toutes choses, quand le Fils de l'homme siégera sur son trône de gloire, vous qui m'avez suivi, vous siégerez vous aussi sur douze trônes pour juger les douze tribus d'Israël.
29 Et quiconque aura laissé maisons, frères, soeurs, père, mère, enfants ou champs, à cause de mon nom, recevra beaucoup plus et, en partage, la vie éternelle.
30 Beaucoup de premiers seront derniers et beaucoup de derniers, premiers.
Comme on peut le constaté, vaut mieux ne pas étres riche si on veux avoir la vie éternelle, et entré dans le royaume, il est impossible a un riche de ce monde de perdition d’entré dans le royaume de D,ieu a ce que nous dit Jésus lui-même,
Non pas que Jésus christ D,ieu fermera la porte au riche, mais comme on le vois dans le verset 22 (A cette parole, le jeune homme s'en alla tout triste, car il avait de grands biens) la fermeture ce fait du coté du jeune homme riche, il baisse la tète et s’en va, tout triste, mais ne renonce pas a ces biens, a ces richesses, pourtent il voulez vraiment entré dans le royaume, et il en était tout proche, mais juste a la porte, qui est Jésus lui-même, il fais demis tour, et s’en va,
Voila la triste réalité, les riche de ce monde de perdition ne son pas prêt a quittez leur richesse, leur fortune, leur petit confort, pour gouté a la paille humide de la pauvreté, qui est pourtent le seul passage obligé pour entré dans le cœur de Jésus christ D,ieu qui est la seul porte d’accée au royaume de D,ieu
Le verset 26 est très intéressant, et nous donne une indication de poids (Fixant sur eux son regard, Jésus leur dit : « Aux hommes c'est impossible, mais à Dieu tout est possible. »
Ce qui veux dire que les hommes ne peuve pas avoir accès au royaume par eux même, ils ne peuve pas y entrée par leur seul volonté, quelque soit leurs efforts,
mais a D,ieu, tout est possible, et que si D,ieu le veux, alors tu y entrera, l’homme entre au paradis si D,ieu le veux, quelque soit ses actes bon ou mauvais,
le verset 29 est le plus importent pour nous donner la plus importente des indication pour étres sauvez (Et quiconque aura laissé maisons, frères, soeurs, père, mère, enfants ou champs, à cause de mon nom, recevra beaucoup plus et, en partage, la vie éternelle.
Donc tout est claire, riche ou pauvre, si tu n’est pas prêt a te détaché des choses de ce monde pervers de perdition pour suivre jésus christ D,ieu, alors tu est cuit, mais alors la, cuit de chez cuit, comme une saucisse griller sur le BBQ
Alors frère, sœur, détache toi de ce monde, pour t’attaché a Jésus christ D,ieu, et la porte du royaume te sera grandement ouverte
Amennn !
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omagazineparis · 2 months
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Maison bourgeoise : charme et histoire
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Bienvenue dans notre article dédié aux maisons bourgeoises, des demeures qui incarnent à la fois le charme d'antan et l'histoire riche qui a façonné notre patrimoine architectural. Dans cet article, nous vous emmènerons à la découverte de ces magnifiques résidences bourgeoises, mettant en lumière leur élégance, leur histoire captivante et leur rôle dans la société d'aujourd'hui. Élégance intemporelle Les maisons bourgeoises sont célèbres pour leur élégance intemporelle. Leur architecture raffinée se distingue par des lignes harmonieuses, des façades en pierre ou en brique, et des détails architecturaux exquis. Ces demeures sont souvent dotées de grandes fenêtres qui laissent entrer la lumière naturelle, créant ainsi une atmosphère chaleureuse et accueillante. À l'intérieur, l'élégance se poursuit avec des hauts plafonds, des moulures décoratives et des parquets en bois précieux. Chaque pièce est soigneusement conçue pour refléter le goût raffiné de ses habitants, créant ainsi une ambiance luxueuse et confortable. A lire aussi : Une table basse pour salon : dénicher le bijou qui sublimera votre maison ! Une histoire fascinante Les maisons bourgeoises ont une histoire fascinante qui remonte à plusieurs siècles. Elles étaient à l'origine la résidence de la bourgeoisie, une classe sociale émergente à l'époque médiévale. Ces maisons étaient le symbole de la réussite économique et sociale, et elles reflétaient le désir de leurs propriétaires de s'affirmer dans la société. Au fil des siècles, les maisons bourgeoises ont évolué pour devenir des symboles de l'architecture classique. Elles ont été le témoin de nombreux événements historiques et ont traversé les époques, conservant leur charme et leur prestige. Modernité et confort Bien que les maisons bourgeoises évoquent le passé, elles ont su s'adapter aux besoins modernes. De nombreuses propriétés ont été rénovées pour inclure des équipements contemporains, offrant ainsi un équilibre parfait entre tradition et confort. Les vastes jardins et les espaces extérieurs permettent de profiter de la nature tout en étant en plein cœur de la ville. Les intérieurs spacieux offrent un cadre de vie idéal pour les familles et les amateurs d'art de vivre. Les maisons bourgeoises continuent d'être prisées pour leur capacité à offrir un mode de vie élégant et fonctionnel. Investissement et Patrimoine Investir dans une maison bourgeoise, c'est investir dans un patrimoine. Ces demeures sont souvent situées dans des quartiers prestigieux et conservent leur valeur au fil du temps. Posséder une maison bourgeoise est un symbole de statut social et un héritage que l'on transmet de génération en génération. En conclusion, les maisons bourgeoises sont bien plus que des habitations. Elles sont le reflet de notre histoire, l'incarnation de l'élégance architecturale, et une opportunité d'investissement précieuse. Vivre dans une maison bourgeoise, c'est s'immerger dans le charme et l'histoire qui ont façonné notre culture. Si vous êtes intéressé par l'acquisition d'une maison bourgeoise ou souhaitez en savoir plus sur ce type de propriété exceptionnel, n'hésitez pas à nous contacter. Nous serons ravis de vous accompagner dans cette aventure. Read the full article
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jubaunetwork · 6 months
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Dose Divine, quel est votre histoire? En Aout 2017, après que certains membres aient quitté l'orchestre Eben-Ezer d'Haïti. L'idée de monter un groupe par amour pour la musique évangélique nous à motivée. Nous nous sommes assis, et avec la bénédiction divine, le projet intitulé "Dose Divine" a pu être concrétisé. Nous avons choisi un nom qui est assez inhabituel, mais aussi accrocheur. Après différentes propositions de la part des membres du groupe, nous en sommes finalement venus à "Dose Divine". Une "Dose" est une mesure, une portion de quelque chose essentielle pour toute personne malade ayant besoin d'une guérison pour une bonne santé. Divine amène le coté spirituel dans la dose. Neuf personnalités dont Aliette DONISTIN et Thavelie M. JACQUES qui sont chanteuses composent le groupe. Samuel VOLTAIRE est guitariste, Wilner JULIEN et Handy sont batteurs, Wendresky CHOULOUTE est gonguiste, Frantz JOACHIM est bassiste, Wheguy PIERRE est le Maestro et Robert NELSON occupe le poste de Président. Pour quel fléau avez-vous préparé la dose “PARDONE'M”? Ce single est une réponse au problème croissant du divorce dans la communauté ecclésiale. Cette piste est destinée à sensibiliser et à inciter les couples à agir avec intelligence, à s'aimer et à pardonner. Car, bien qu'ils écoutent régulièrement la parole et prient Dieu, les taux de divorce parmi les chrétiens sont étonnamment élevés. Selon les membres du groupe, les couples évangéliques mettraient davantage l'accent sur la spiritualité que sur le bien-être de chaque partenaire. Malheureusement, "le divorce" est un faux pas fréquent que les couples chrétiens commettent fréquemment. L'objectif de Dose Divine est de rappeler aux gens l'importance des relations interpersonnelles. Discographie de Dose Divine En 2018, nous avons sorti notre première musique titrée : " PIWO" Nous avons réalisé notre premier grand concert au Rendez-vous 33, le 29 septembre 2018 En 2019 nous avions sorti une musique titré "FWAYE KRETYEN". Cette musique a été une révélation pour plusieurs et a valu au groupe une grande popularité. Ce qui nous a fait avoir plusieurs contrats de prestations. En 2020, nous avons sorti "ENPOTE" et nous avons fêté notre 3ème anniversaire au Vivano à Pétion ville. En décembre 2021, nous avons sorti un autre single à caractère social titre "JOU PAM" pour les personnes qui fêtent leurs anniversaires. 2022 nous avons sorti 3 musiques: "M PRAL KONTAN" en mars, "PI BON ZANMI" en aout et en décembre "PITOL TE TOUTAN". Agenda 2023 de Dose Divine Pour l'année 2023, nous avons sorti un nouveau single pour les couples titré "PARDONE'M" mais ce n’est pas tout. Nous sortirons un album LIVE au mois de mars 2023 avec 6 musiques qui sont; "ENPÒTE", "FWAYE KRETYEN", "PI BON ZANMI M", "PIWO", "PARDONE'M" et "GIDE M". Nous avons l'intention d'organiser un concert au Cap-Haïtien, bien que la date exacte soit encore incertaine en raison des problèmes de sécurité actuels. Nous mettons tout en œuvre pour que cela se produise rapidement. Visiter les détenus en prison est un moyen efficace de répandre l'Evangile. Nous avons l'intention d'utiliser cette méthode dans le cadre de nos activités d'évangélisation. Nous sommes impatients de célébrer le 6e anniversaire du groupe avec un concert incroyable. Espérons que nous serons en mesure d'accueillir l'événement d'ici la fin du mois d'août en 2023. Novembre 2023 est la date fixée pour la sortie de notre album de 10 titres. Nous prévoyons de le dévoiler en déposant un clip vidéo qui servira de support promotionnel pour la sortie. #gospel #music #worship #praise #news #musique #évangélique
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