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#Émotions
vhscorp · 4 months
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Toutes les émotions qu’on a tues et enfouies en soi finissent toujours par resurgir, tels de vieux spectres ou d’anciens démons qui hantent nos esprits jour après jour…
V. H. SCORP
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lerefugedeluza · 27 days
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Je suis pleine d'émotions. Et parfois, quand la vie me secoue, je déborde. Pendant longtemps, j'ai eu du mal à l'accepter, et je faisais tout pour ne plus rien ressentir. J'avais honte de mes larmes, de ma colère, de mes fous rire que je jugeais trop bruyants, de mes sanglots que je trouvais trop envahissants. Ça m'a pris plus de 25 ans pour accepter mes émotions. J'ai fait cette vidéo pour partager en quelques phrases le chemin que j'ai parcouru jusqu'ici, en espérant que mes images et mes mots sauront apaiser ceux qui, comme moi, ont des émotions très envahissantes ♡ N'oublions pas que les émotions sont le sel de la vie et que sans elles, toutes nos expériences nous paraîtraient bien fades. Apprenons donc à vivre avec elle plutôt qu'à essayer de les combattre ou les contrôler ! Je vous souhaite plein d'émotions à tous, des hauts comme des bas, mais plus de fleurs que d'épines ♡ Pour m'aidez : aimez, commentez, partagez & abonnez-vous ♡ DES BISOUS !
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basilepesso · 13 days
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REM, Murmur and Carnival of Sorts, Live 1 983 (USA)
Absolument (le son du live 1 est moins bon que celui du 2).
Ca fait toujours bizarre de voir Stipe avec ses superbes cheveux...
Murmur est très particulier dans la discographie du groupe, production extrêmement nette et sans fioritures, avec une basse qui sonne magnifiquement et est très audible, quasiment comme dans Violent Femmes.
Mike Mills est probablement un des meilleurs bassistes des 80's, sinon plus. Son jeu au médiator est ce qui donne ce son, en plus de la marque de sa basse.
Comme le dit ce remarquable texte anglais de Decade 7787, l'histoire de la production du disque est intéressante puisque le groupe a cessé la collaboration avec le 1er producteur, jugé trop perfectionniste.
Basile Pesso, 13 avril 2 024 avec le double live (Fb)
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"On this date in 1983, R.E.M. released their debut studio album MURMUR, (April 12, 1983).
NOTE: The video here features RADIO FREE EUROPE from MURMUR and CARNIVAL OF SORTS (the third song on the band's 1982 debut EP Chronic Town)
40 years after its original release, MURMUR is still fascinating in its eerie sense of musical space.
Back in 1983, REM were most often compared to the Byrds, and thanks to Peter Buck's ringing guitar on songs like ‘Talk About The Passion’, ‘Catapult’, or ‘Sitting Still’, along with Michael Stipes' lead vocals over soaring harmonies, it was easy to see why.
But that was merely one influence, and a misleading one at that, because with no one source dominating, R.E.M. faintly recalled a host of mid-'60s L.A. bands from The Leaves to "underground” faves like Kaleidoscope, David Lindley's first band. R.E.M. might have thoroughly transformed their influences but the result sounded both familiar and wholly original.
Murmur's oddness was affecting because it wove itself around structures and riffs that sounded familiar – a strange system hum, for instance, winds itself up into the catchiest opener, RADIO FREE EUROPE.
In these efforts, Buck's guitar solos were capable of breaking through the mix and soaring, and any band that could come up with melodies this rich knew a thing or two about pop music.
The lyrics, however, were a flight of ideas from the mind of a meditative 23-year-old. Trying to unravel them, it still feels as though you're divining the deepest of riddles for meaning.
“Early sessions for the album with Stephen Hague, the synth-pop producer who later worked on New Order's True Faith, were quickly rejected, and American producers Mitch Easter and Don Dixon were brought in instead,” wrote Jude Rogers for Word in 2009.
“They seemed to understand that although REM had the rhythms of rock, the jangle of the Byrds and the raw grit of Gang Of Four in their belly, they also needed to create a sound-world of their own. Easter and Dixon brought in strange noises – bangs and bells — and recorded instruments at varying distances from the microphone, so you couldn't place where the ghostly figures were coming from.”
“At the album's centre point, like a pearl in an oyster, is a song that tells us as much about REM today as the REM that existed a quarter of a century ago. This is 'Perfect Circle', a masterpiece of simple melody and melancholy, and one of the few REM songs to be attributed mainly to the band's former drummer, Bill Berry, who also wrote most of 'Everybody Hurts'.”
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9-alex-9 · 6 months
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plexussolaire · 11 months
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Come back
Ce matin, l’ennui. Et les jours qui s’allongent dans une nouvelle sérénité. Je me suis tue longtemps. J’ai cru devoir dissocier des parts de moi-même, les comparer, les soupeser, les caresser aussi, lesquelles avaient les couleurs de la peur, les autres du chagrin. Prendre une à une ces douces bandes et les lisser le long de ma paume. Les voir, et simplement se taire. Taire le balancement exiguë de la pensée, pour ne sentir que la piqûre, ou le frottement des épines le long de l’échine. Parler me semble encore un peu dérisoire, ou bien intrusif. La mue s’opère encore en fond, qui sait s’il ne faut pas quand même respirer à travers ? Que dire d’une transformation dont on doute à chaque instant des bienfaits ? Que dire des mouvements de reculs et projections, des obsessions manifestes et nombreuses ; que faire des angoisses infinies de ne pas savoir qui l’on est, ce qu’on devrait être ou faire, du temps qu’on a perdu à pleurer dans sa chambre, à maudire le monde entier, du temps perdu à s’en vouloir soi-même de n’avoir pas été assez, d’avoir eu trop peur.
Ce matin, la peur, donc. Mais la peur de l’ennui qui nous fait croire qu’on a creusé dans sa vie un sillon trop profond qu’on ne pourra jamais combler. Croire fort qu’encore une fois les choix qui ont été faits étaient vains, qu’on se retrouve à nouveau, sans retour possible, dans les bras de la solitude promise, en échec, à l’abandon, au bout d’un chemin douloureux qui n’a pas vraiment de borne. La peur s’apitoye sur ton corps fatigué, jamais satisfait, jamais vraiment heureux, parfois en paix. Autrefois tu écrivais pour freiner la course de ces grandes douleurs. Autrefois tu écrivais, et on te demandait quand est-ce que tu trouvais le temps. Autrefois tu écrivais, et puis tu t’es tue.  
Respirer. Refuser l’abîme. Refuser la souffrance fabriquée par les croyances maternelles. L’ennui que tu ressens est aujourd’hui comme fenêtre, une ouverture : oui, ça y est, c’en est la preuve, tu es enfin en sécurité. Tu sens en toi suffisamment d’espace pour revenir quand tu sens l’effroi t’embraser. Tu as le luxe de t’ennuyer. Ouvre les yeux sur l’espace qui t’entoure, sans les oeillères de la survie pour étouffer les petits chemins et les détours futiles. C’est l’heure du come back. Tu peux aller jouer maintenant. Tu peux risquer, gambader, te faire une frayeur, revenir. Le temps n’est plus un problème. Prend les poignées des portes qu’on te pointe du doigt, et prononce une formule tout droit sortie du fond de la sagesse humaine. Elle tient en trois lettres.
Ose.
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loup-venant · 1 month
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Je nais peut-être pas le physique de la norme. Comme d'autres naissent charretier ou page. D'après les critères des uns, mon apparence s'apparente d'avantage au rat malade des rues sales de la basses ville qu'à celui d'un courier dont le panache n'a d'égal que la verve de son cavalier.
Cavalier qui, à défaut des joues creusées et les côtes saillantes, arbore le dodu des jours de festins et qui, dans sa course dépose un sourire à qui le veut bien. Et si ici, les rats sont respectés, je n'en ai pas même le privilège. Puisqu'à mon passage, l'indifférence servie aux rongeurs laisse place au dégoût que je lis dans leurs yeux et essuie sur mes manches crasseuses.
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06bobby02 · 2 months
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Certaines personnes sont cruels
Il rabaisse les gens au quotidien
Il ne retienne que les fautes essentielles
Alors que nos exploits nous retiennent
Avec eux c'est toujours pareil
Nous sommes inutiles Nous ne valons rien
Ils nous font subir des blessure incorporels
Comme si nous n'étions pas humains
La douleur et émotionnelle
Cette émotion qui est la tienne
Nous gardons des séquelles
De toutes ces expériences malsaines
Mais ils n'auront jamais une parcelle
De tout l'espoir que je détiens
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lafeedelaverite · 10 days
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Fais un pas vers l'inconnu et laisse les curiosités de la vie te surprendre.
Parfois, des schémas ou des lieux familiers peuvent nous apporter un sentiment de confort et de sécurité. C’est pourquoi il peut être difficile de se défaire de ses habitudes et d’essayer de nouvelles choses. Mais, chaque fois que nous nous ouvrons à de nouvelles possibilités, nous nous sommes, de ce qui nous inspire et nous motive. Il s’agit peut-être de tenter un nouveau passe-temps ou de…
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vd0r · 1 month
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1er-monde · 1 month
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vhscorp · 7 months
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Le talent d’un photographe, c’est de parvenir à communiquer dans ses photos toutes les émotions qui l’ont poussé à les prendre…
V. H. SCORP
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leszackardises · 6 months
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Voici les premières images du film Inside Out 2!
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uneessencesensible · 6 months
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1.. 2.. 3.. et 4/5 🖼️🎨🖌️
Thème : dessins dans le style mangas/émotions Date : août - novembre 2023
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basilepesso · 7 months
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Ouvrir cet article édifiant même si très mal traduit de l'anglais.
Comme l'autre jour pour le cas de l’éléphanteau en Afrique du Sud, la mère ourse n'est pas foutue de mettre l'ourson sur son dos, ou de trouver une solution comme font les lions qui prennent leur petit dans la gueule pour, par exemple, le mettre en lieu sûr en forêt ou dans une grotte.
Non, il fallait qu'elle le laissât à la merci des voitures en plein milieu d'une route, et c'est un policier qui sauva petit ourson. Les photos montrent l'âme d'enfant du policier et de son collègue, l'ourson dans leurs bras, heureux d'avoir sauvé un bébé. Basile Pesso, 27 septembre 2 023 (Fb) Article d'"Epique Intéressantes" : "Un policier aperçoit un ourson malade coincé sur la route et risque sa vie pour le sauver"
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le-souffle-de-lame · 9 months
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Ah! Le STRESS du travail et du quotidien.
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plexussolaire · 1 year
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Tenir ta main
Longtemps je me suis tournée vers l’adolescente que j’étais en n’y voyant qu’une étrangère. Un être vil et mal formé, la voix un peu aigüe, un peu criarde, qui pleure souvent et se plaint tout le temps. Longtemps je lui en ai voulu d’avoir fait des choix et pris des chemins qui m’ont mené à un endroit dans ma vie qui ne fait pas sens, d’avoir choisi la compagnie de personnes qui n’étaient pas bonnes pour moi, des actions qui m’amenaient à ma désolation. Je lui en voulais, d’avoir été si faible, si veule, de ne pas avoir saisi sa chance comme les autres, d’avoir loupé des opportunités fructueuses. Je ressens encore la honte et la douleur qu’elle a ressenti sans véritable distance. Je ressens de la colère quand cette plaie se rouvre. Je n’arrive pas à la comprendre, et je porte sur elle le regard qu’on portait sur moi : une chose pénible et bruyante, inintéressante, qui ne mérite pas d’être aimée tant elle est bizarre, et chiante, et empêche tout le monde d’être tranquille. Une chose qu’on laisse seule et dont on se moque dès qu’elle ouvre la bouche. Une chose qui crève en silence entre les murs épais de sa chambre des heures durant et qui ne fait rien pour y remédier.
A cause d’elle, je gèle tous les après-midi. A cause d’elle je crois que je ne vaux rien, que je ne sais rien faire de mes dix doigts, que je ne m’intéresse à rien. Que je suis gauche, et qu’au fond je n’apprends jamais à bien faire quelque chose car je n’en suis pas capable. A cause d’elle je remets tout au lendemain, et je sens des larmes envahir mon ventre quand il faut réparer quelque chose ou apprendre quelque chose que je ne sais pas faire. Ma colère à son égard à quelque chose de viscéral : je suis prise d’animosité farouche quand je devrais la prendre contre moi.
Ce regard est injuste. Cette animosité n’est pas la mienne, mais celle qu’elle a subi, et subit encore à travers moi. Parce que l’adolescente a été blessée au plus profond de son être, au fond d’une plaie ouverte depuis dix ans qui pourrissait et brûlait déjà en silence. Elle s’est retrouvée seule dans le noir, pendant cinq ans, avec une lame replantée chaque jour, dans la même plaie, chaque heure, sans amour pour lumière. Et je vais choisir aujourd’hui de la remercier avec la révérence la plus basse qui puisse exister, parce qu’elle a été pour la deuxième fois de sa vie brisée avec une violence inénarrable, et puis elle a survécu. Parce que les choix qui ont été faits et qui nous déplaisent, sont ceux d’une jeune fille qui devait survivre envers et contre tout, sans aide, sans soutien, persuadée de fautes qu’elle n’avait pas commises, et qui venaient de toutes parts. Une jeune fille a survécu au travers d’heures plus douloureuses les unes que les autres, (à ce moment de l’écriture, j’ai voulu changer la musique comme si j’étais sur l’ordinateur depuis lequel elle écrivait à tout prix pour respirer). Elle a survécu pour que je me retrouve ici, aujourd’hui, en sécurité, dans un appartement que j’aime et qui m’appartiens, avec un chat qui se repose dans un coin de la pièce, près de la fenêtre, à deux doigts d’aller prendre une douche bien chaude pour aller retrouver mon amie un peu plus tard. Je la remercie d’avoir survécu pour ce moment-là, et pour tous les moments de joie et de connexion qui colorent les journées à venir. Comme une mère qu’on oublie dans un coin de la photo, je la remercie d’avoir été présente, et d’avoir avancé quoiqu’il en coûte, vers la vie. Je rendrai l’animosité à qui elle appartient, et lui verserait sur les épaules l’amour à grands flots qu’elle méritait depuis l’enfance.
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