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#survivre
vhscorp · 3 months
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Ce qui est terrible dans la dépression, c’est d’avoir un esprit qui aspire de toutes ses forces à disparaitre dans un corps qui lutte pour survivre…
V. H. SCORP
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lerefugedeluza · 2 months
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youtube
Nouvelle vidéo ♡ 
Je lance un nouveau concept de vidéo : Phœnix. 
À partir d’une interview et de bouts d’images de la vie quotidienne de l’interviewé(e), j’essaie de montrer que malgré les souffrances et les épreuves traversées, le bonheur est toujours possible et la vie vaut le coup d’être vécue ! 
Pour ce premier épisode et rebondir sur ma vidéo précédente,  Alexandre a accepté de parler du harcèlement et de l'homophobie qu'il subissait au lycée. 
Je vous laisse regarder, n'hésitez pas à mettre des commentaires bienveillants sous la vidéo, il les lira tous et ça lui donnera de la force ♡ 
Pensez à partager, ça aide beaucoup ! 
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septembre éternise ce qui ne tient pas ; de là sa fulgurance artistique, son souffle magique sur tout ce qui brille, son éloquence parmi les scènes qu’il ranime ; et même si nous savons que derrière il n’y a qu’une illusion, nous croyons en son don de survie ; la magie ne fait pas de miracle, elle existe juste pour ensorceler les regards
(samedi 24 septembre 2022)
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plexussolaire · 1 year
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Tenir ta main
Longtemps je me suis tournée vers l’adolescente que j’étais en n’y voyant qu’une étrangère. Un être vil et mal formé, la voix un peu aigüe, un peu criarde, qui pleure souvent et se plaint tout le temps. Longtemps je lui en ai voulu d’avoir fait des choix et pris des chemins qui m’ont mené à un endroit dans ma vie qui ne fait pas sens, d’avoir choisi la compagnie de personnes qui n’étaient pas bonnes pour moi, des actions qui m’amenaient à ma désolation. Je lui en voulais, d’avoir été si faible, si veule, de ne pas avoir saisi sa chance comme les autres, d’avoir loupé des opportunités fructueuses. Je ressens encore la honte et la douleur qu’elle a ressenti sans véritable distance. Je ressens de la colère quand cette plaie se rouvre. Je n’arrive pas à la comprendre, et je porte sur elle le regard qu’on portait sur moi : une chose pénible et bruyante, inintéressante, qui ne mérite pas d’être aimée tant elle est bizarre, et chiante, et empêche tout le monde d’être tranquille. Une chose qu’on laisse seule et dont on se moque dès qu’elle ouvre la bouche. Une chose qui crève en silence entre les murs épais de sa chambre des heures durant et qui ne fait rien pour y remédier.
A cause d’elle, je gèle tous les après-midi. A cause d’elle je crois que je ne vaux rien, que je ne sais rien faire de mes dix doigts, que je ne m’intéresse à rien. Que je suis gauche, et qu’au fond je n’apprends jamais à bien faire quelque chose car je n’en suis pas capable. A cause d’elle je remets tout au lendemain, et je sens des larmes envahir mon ventre quand il faut réparer quelque chose ou apprendre quelque chose que je ne sais pas faire. Ma colère à son égard à quelque chose de viscéral : je suis prise d’animosité farouche quand je devrais la prendre contre moi.
Ce regard est injuste. Cette animosité n’est pas la mienne, mais celle qu’elle a subi, et subit encore à travers moi. Parce que l’adolescente a été blessée au plus profond de son être, au fond d’une plaie ouverte depuis dix ans qui pourrissait et brûlait déjà en silence. Elle s’est retrouvée seule dans le noir, pendant cinq ans, avec une lame replantée chaque jour, dans la même plaie, chaque heure, sans amour pour lumière. Et je vais choisir aujourd’hui de la remercier avec la révérence la plus basse qui puisse exister, parce qu’elle a été pour la deuxième fois de sa vie brisée avec une violence inénarrable, et puis elle a survécu. Parce que les choix qui ont été faits et qui nous déplaisent, sont ceux d’une jeune fille qui devait survivre envers et contre tout, sans aide, sans soutien, persuadée de fautes qu’elle n’avait pas commises, et qui venaient de toutes parts. Une jeune fille a survécu au travers d’heures plus douloureuses les unes que les autres, (à ce moment de l’écriture, j’ai voulu changer la musique comme si j’étais sur l’ordinateur depuis lequel elle écrivait à tout prix pour respirer). Elle a survécu pour que je me retrouve ici, aujourd’hui, en sécurité, dans un appartement que j’aime et qui m’appartiens, avec un chat qui se repose dans un coin de la pièce, près de la fenêtre, à deux doigts d’aller prendre une douche bien chaude pour aller retrouver mon amie un peu plus tard. Je la remercie d’avoir survécu pour ce moment-là, et pour tous les moments de joie et de connexion qui colorent les journées à venir. Comme une mère qu’on oublie dans un coin de la photo, je la remercie d’avoir été présente, et d’avoir avancé quoiqu’il en coûte, vers la vie. Je rendrai l’animosité à qui elle appartient, et lui verserait sur les épaules l’amour à grands flots qu’elle méritait depuis l’enfance.
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borderloune · 7 months
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J'ai essayé, vraiment. Chaque jour qui passe, j'ai essayé. Vraiment. Vraiment. Et j'y ais cru, pas souvent, pas longtemps, mais j'y ais cru. Et je me suis dis que ces moments d'essaies, d'espoirs, ne représentent tellement, mais tellement rien, par rapport au reste. À quoi ça sert de continuer alors? Pourquoi devrais-je survivre ai lieu de vivre? Quel est l'intérêt d'être là si cette existence se résume à l'envie de la mort?
J'ai essayé. Vraiment. Vraiment.
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Il n'y a rien à attendre, il faut juste, il faut seulement survivre un jour de plus.
Olivier Py (Les Parisiens)
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editionskelach · 3 months
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Un jour, un livre aux Éditions Kelach.
Mission Eurami.
Space Opéra - Évacuation - Complot.
2158. États Fédérés de Mars.
Jean Martin est un adolescent sans histoire, fan de jeux vidéo et espion à ses heures perdues, jusqu’au jour où le directeur du centre spatial en personne lui demande d’intégrer la Mission Eurami. Objectif : échapper à la fin de la vie sur Mars et rejoindre la planète artificielle Eurami.
Passé le choc de la nouvelle, Jean n’a pas de temps à perdre : les places à bord des vaisseaux sont comptées. Il ne pourra pas sauver tout le monde et ses amis risquent d’y rester. Déchiré entre ses responsabilités et ses sentiments, l’adolescent se démène tant bien que mal pour les faire embarquer avec lui. Mais le vaisseau est-il réellement l’endroit le plus sûr du Système solaire ?
Entre une compagne de vol à l’intelligence vive et décapante, des pilotes au caractère explosif, des passagers clandestins, une navette rafistolée de bric et de broc, et un sabotage, Jean doit naviguer dans les eaux troubles de menaces, accusations et complots en tout genre.
Surtout quand la Mission Eurami pourrait bien ne pas être celle que l’on croit…
#éditionskelach #bookaddicted #sciencefiction #aventure #mars #survivre
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crepuscule-pourpre · 7 months
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vhscorp · 5 months
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Vivre sans en avoir envie, survivre, malgré soi, malgré tout, parce qu’on compte sur nous et qu’on n’a pas le choix…
V. H. SCORP
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thriller-addict · 1 year
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"Survivre" de Vincent Hauuy
?⚫️🟢⚫️🟢? "Survivre" de Vincent Hauuy - Abandon de lecture....
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Abandon de lecture…
J’ai tenté ce livre bien que le quatrième de couverture ne m’emballait pas plus que ça. J’ai laissé une chance à ce livre car “le tricycle rouge” et “Dans la toile” du même auteur m’ont laissé de bons souvenirs, malheureusement ça ne sera pas le cas pour celui-ci.
Alors je ne vais pas dire que c’est un mauvais livre, je n’ai juste pas du tout accroché au style général ni à l’intrigue qui ressemble à un avertissement maladroit sur les intelligences artificielles et les avancées technologiques. Le thème post-apocalyptique n’est décidément pas pour moi.
J’ai trouvé l’écriture un peu “molle” comparé aux deux livres cités plus haut, les personnages également ne m’ont pas fait une bonne impression. Le style est assez différent, presque bizarre car on passe de dialogues simplistes à des discours incompréhensible en quelques lignes.
Je ne pourrais pas en dire d’avantage sur ce livre que j’ai abandonné au bout d’une petite centaine de pages. Si le thème vous plaît alors je pense que vous pouvez y aller et passer un bon moment avec ce livre en revanche, si comme moi le thème vous freine un peu alors je pense qu’il ne vaut mieux pas s’y aventurer.
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dandanjean · 1 year
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Survivre aux illusions
Nous divisons la réalité en deux : ce que nous aimons et ce que nous n’aimons pas, ce qui nous rassure et ce qui nous fait peur; mais la réalité est unique, et elle comprend inévitablement les deux aspects. Du point de vue du réel, le tragique et l’heureux sont les deux faces d’une même pièce. D’ailleurs, comme le bien et le mal, le tragique et l’heureux sont des catégories de l’esprit qui ne…
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couteau-azur · 2 years
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Comment survivre à la fin du monde : Le guide ultime
Comment survivre à la fin du monde : Le guide ultime
Vous avez donc décidé que la fin du monde est proche. Que faire maintenant ? Il existe plusieurs scénarios de fin du monde : une attaque d’astéroïde, une pandémie, une guerre nucléaire et même la prise de contrôle par l’IA. Les possibilités sont infinies. Mais lequel est le plus susceptible de se produire dans la vie réelle ? Et que pouvons-nous faire pour assurer notre survie ? Examinons les…
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gabrielle1953 · 2 years
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On finit par survivre, on n'oublie jamais, la douleur est toujours tapie au fond de notre cœur, mais on finit par survivre.
Guillaume Musso
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restonscalmes · 2 years
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Pas dans le mood.
Pas dans le mood.
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