Tumgik
#les petits hommes verts
diabolikdiabolik · 1 year
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Little Green Men by Pat Mallet
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ekman · 2 months
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À peine a-t-on célébré la figure héroïque d’un Badinter raidi, champion incontesté du progressisme, pourfendeur de la peine de mort au nom du vaste humanisme républicain, que l’on s’empresse d’inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution. Entre esprits éclairés, frangins militants, satrapes opportunistes, féministes auto-décrétées, le congrès réuni à Versailles a rapidement pris des airs de kermesse à l’instant des résultats de la consultation. Vu l’accélération des revers présidentiels depuis deux gros mois, rendre “immuable” le droit à avorter devenait une affaire urgente. Créer en permanence des faux problèmes et relayer des causes Potemkine est devenu l’occupation principale du staff des conseillers sensés éclairer les pas d’un petit président perdu dans ses nuages blancs et sa dévorante ambition européenne. Échec face aux agriculteurs – échec de communication, s’entend, car pour le reste, ils pourront toujours monter sur leurs tracteurs pour se pendre : rien n’a changé ni ne changera. Visiblement, les Français élevés en batterie et stockés hors sol, bourrés de boosters et d’anti-tout, semblent maintenant résolus à mâchouiller des haricots verts kenyans pour accompagner leur cochon hormonal guatémaltèque. Échec aussi à la réunion des boute-feus européistes où il fut question d’imaginer la possibilité de déployer dix-sept poilus du côté de Kramatorsk au nom de la défense de l’UE et de ses valeurs formidables. Vents et contre-vents s’ensuivirent afin de signifier au pyromane élyséen que cette déclaration était à tout le moins inopportune. Même en cas de canicule carbonée, l’hiver nucléaire n’est pas souhaité. Avec l’Otan et ses affidés comme amis, plus besoin d’avoir Vladimir comme ennemi. 
L’urgence abortive s’explique mieux ainsi.
Le narratif peu inspiré des spin doctors de McKinsey a planté le décor : une droite ultra-réac comptant dans ses rangs des calotins acharnés, des phallocrates maladifs et des misogynes sadiques étant dès à présent aux portes d’un pouvoir trop bienveillant, il était absolument vital de mettre sous cloche un “droit” établi il y a cinquante ans pour faire cesser une autre boucherie, celle des “faiseuses d’anges” en l’espèce. Dès 1974, les préambules et autres prolégomènes de la loi appelaient à la prise de conscience des femmes et des hommes concernés, suggérant mille prudences autour d’un acte terrible autant qu’irréversible. Pour autant, l’histoire récente montre qu’il était déjà trop tard pour barrer la route au “jouissez sans entraves” des gorets de 1968 : au prétexte de libérer les femmes du fardeau de l’enfantement, on les assignait au rôle d’objets sexuels défécondables, conçus pour le seul plaisir de gauchistes pornocentrés et de bourgeois honteux. Belle avancée sur la voie de “l’émancipation”, lisait-on alors dans la presse progressiste. Cependant, comme ça enfantait toujours plus dans les chaumières, les canules se mirent à aspirer à un rythme soutenu les excès de plaisirs fugaces – c’est que la pilule n’était pas encore complètement entrée dans les mœurs, comprenez-vous. En outre, les capotes manquaient de romantisme, le coïtus interruptus ressemblait trop souvent à une loterie et la méthode Ogino n’intéressait que les paroissiens. Décennie après décennie, le nombre d’avortements n’allait que croître, malgré la contraception libre et quasi gratuite, le sida et les MST. La France, avec ses assoces frénétiquement pro-IVG, est devenue un phare dans le domaine. Toutes ces bonnes âmes sont parvenues à tourner un drame féminin en épopée féministe. Et pourtant. L’avortement, c’est d’abord un cœur humain qui cesse de battre. Au-delà des parfaites abruties qui se contre-foutent de la valeur d’une vie (mais adorent le bouddhisme qui est cool et hyper-respectueux), l’avortement c’est d’abord un échec, souvent un drame, toujours une défaite. C’est une borne sombre dressée sur le chemin de celle qui ne sera pas mère. Pour son compagnon, son jules ou son mari ça ne le sera pas moins, si tant est qu’il assume sa responsabilité et soit doué d’un minimum de conscience vitale. En France, la constitution autorise l’interruption de grossesse jusqu’à 14 semaines de gestation, ce qui veut dire que le foetus a déjà son visage, un cerveau et une moelle épinière fonctionnels. Cela, on ne va pas trop vous le dire et surtout on ne va pas vous le montrer, parce que l’on sait jusqu’à quel point les images de chiots dénutris sur Instagram vous émeuvent. Surtout, ne pas prendre conscience de la réalité des choses ni de l’existence des êtres. Votre sexualité, c’est votre liberté. Votre corps vous appartient. Jouissez sans entraves. Ni Dieu ni maître. Et d’ailleurs, comme vous le rappelait un bénévole du Planning Familial, on peut aussi bien assurer le renouvellement des générations avec Momo de Marrakech et Babacar de Dakar. C’est même souhaitable.
J.-M. M.
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drackarys · 8 months
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L'auto stoppeur
Lors d'un week end ou nous avions 3 heures de route, nous avons croisé un auto stoppeur sur le bord de la route.
Le pouce bien en l'air, 25 ans, le gros sac a dos, les cheveux aux vent, le short multi poches, la chemise ouverte, le débardeur blanc.
Nous le faisons monter a l'arrière, et commençons à discuter de tout, de rien.
Il nous dit partir rejoindre des amis et que nous sommes fort sympathiques de l'emmener.
Pour l'occasion de notre weekend, j'avais mis une jupe assez volante et un débardeur près du corps. Il faisait chaud.
Mon mari a fait dévier la conversation, en demandant à notre invité, s'il avait une petite amie, si cela faisait longtemps qu'il était parti, s'il avait été pris en auto stop par denombreuses personnes, si parfois cela avait dévié....
Nous avons vite compris que notre nouvel ami n'était pas contre un peu d'action.
Mon mari lui a donc demandé de glisser sur le siège derrière lui afin de pouvoir me regarder a sa guise.
Il m'a fait ouvrir mes cuisses et enlever mon string.
Tout en conduisant (vive les voitures automatiques), mon mari a commencé à me caresser la peau de mes cuisses.
Il faisait chaud, très chaud...
Il a alors demandé à notre invité de se mettre sur le siège derrière moi et lui a donné feu vert pour me peloter autant qu'il le souhaitait sans restriction....
J'ai vite senti ses mains se promener le long de mes seins, glissant sous mon débardeur afin de les soupeser, de les pincer, faisant rouler mes tétons entre ses doigts.
Elles ont continué leur chemin vers ma jupe, et il n'a pas fallut longtemps a ce jeune homme pour trouver l'entrée.
Il a senti mon excitation, l'humidité de mon antre et y a très vite glissé ses doigts.
Il se les aient léchés puis en a fait de même avec ma bouche.
Une main sur un sein, l'autre sur mon clitoris, il a commencé sa stimulation, tout cela sous le regard de mon mari qui faisait courir sa main sur ma cuisse.
Il n'a pas fallut longtemps pour que mes cris remplissent l'habitacle de la voiture.
Mon mari a arrêté la voiture sur le bas côté, m'a embrassé goulûment puis m'a dit de passer a l'arrière pour remercier notre auto stoppeur le temps de finir la route. Il ne restait que 15 minutes pour le faire venir avec ma bouche.
Au vue du niveau d'excitation, vous pouvez imaginer qu'il n'a pas fallut 15 minutes a notre ami pour venir entre ma bouche sur son sexe et mes mains sur ses boules...
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mailamoon · 4 months
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Pour bien finir l'année, voici une petite fantaisie inspirée par l'AU Lyon de @sibmakesart. One Piece dans la capitale de la gastronomie française, Sanji alsacien, Zoro breton ❤️
Pour les francophones qui passent par ici, je vous invite à aller visiter son Tumblr, elle est super douée et son délire sur Lyon est absolument délectable (moi je plonge dedans les yeux fermés !).
C'est parti pour une petite soirée lyonnaise avec nos pirates préférés !
Un soir à Lyon...
Au cœur de la nuit, dans la ruelle, une porte s’ouvrit, laissant de la lumière éclairer la rue sombre. Un jeune homme en franchit le seuil en s’allumant une cigarette, un sac en plastique à la main.
- Hé, l’aubergine, tu sors cette nuit ? Lança une voix autoritaire depuis l’intérieur.
Le jeune homme se retourna en soufflant sa fumée.
- En quoi ça t’intéresse vieux shnock ? Fit-il d’un ton ennuyé.
- Encore ce breton ?
- C’est pas tes oignons.
- Ah, claqua la voix, fais gaffe à toi !
- C’est ça, bonne soirée, àbgenutzdi.
-HÉ !
Le jeune homme referma la porte sans attendre de savoir ce que l’autre voulait répondre. Il regarda autour de lui, visiblement à la recherche de quelque chose, mais la ruelle était déserte. Un soupir bruyant quitta ses lèvres et il grommela quelque chose qui ressemblait à « encore en retard dawer säckel de breton ». Il donna un coup de pied à une cannette qui traînait tristement sur l’asphalte. Une sonnerie retentit de sa poche et il en sortit son téléphone.
- Allo ?
- Allo, Sanji ? Fit une voie féminine.
- Nami ! T’as pas vu Zoro ?
- Beeeeh si, justement, c’est pour ça que je t’appelle.
- Il est avec vous ? Demanda-t-il en entendant Usopp et Luffy se disputer derrière elle.
- Non il est pas… TAISEZ-VOUS ! Putain, j’essaie de parler au téléphone ! Je te disais, non il n’est pas avec nous. Il m'a dit qu’il devait passer te prendre à la fin du service mais il a fait tomber son portable dans le Rhône cet après-midi. Je sais que t’avais enregistré les coordonnées du bouchon dedans…
Sanji leva les yeux au ciel.
- Donc il est perdu ?
- Tu le connais, il n’est pas capable de distinguer sa gauche de sa droite. Bref, je voulais juste te prévenir, pas que tu l’attende et… VOUS ALLEZ VOUS CALMER ! LES VOISINS VONT ENCORE APPELER LES FLICS SI VOUS CONTINUEZ ! Pardon Sanji, je te laisse.
La communication se coupa.
-GOPFERDAMMI ! Cria Sanji en donnant un coup de poing dans le vide. Il tira rageusement sur sa cigarette. C’était GRAND Lyon, qui sait où ce connard de primate avait bien pu aller ?!
Sanji se mit en route, la nuit promettait d’être longue.
C’est au petit matin que l’alsacien retrouva enfin le breton. Après avoir parcouru la ville de long en large et en travers. Après avoir espéré que non, non, non ce bon à rien ne s’était quand même pas aventuré dans les sous-sols de Lyon… Il avançait enfin vers lui.
Zoro était accoudé à la rambarde de Fourvière en train de contempler les rayons du soleil qui commençaient timidement à pointer le bout de leurs nez sur la ville.
Après de longues heures de recherches, Sanji sentait une certaine fatigue gagner ses jambes. Il s’avança sans bruit derrière son petit ami.
- Hé, nixnutz !
L’homme aux cheveux vert ne sursauta même pas. Il tourna la tête vers Sanji. Malgré ses yeux cernés, un sourire éclaira son visage.
- Te voilà enfin cuistot !
Sanji roula des yeux. L’autre lui sortait ça comme si cette fichue basilique avait été leur point de rendez-vous depuis le début. Il appuya son dos contre la rambarde en frôlant le coude de Zoro.
- Tu m’as encore fais courir, fit-il en s’allumant une cigarette et en soufflant sa fumée dans l’air cristallin du petit matin.
- Genaoueg ! Je savais que t’arriverais à me retrouver.
Sanji lui tendit le sac qu’il avait transporté avec lui la moitié de la nuit. Zoro l’ouvrit pour y trouver une bouteille de chouchen et des bretzels enveloppés dans un papier kraft. Il prit la bouteille et sortit de sa poche un couteau suisse pour la déboucher.
- Pas de verre. Constata-t-il.
- Non, pas de verre. J’ai pas envie qu’on en casse d’autres. Le vieux va encore criser si les stocks continuent de diminuer.
Zoro porta la bouteille à sa bouche pour boire au goulot. La saveur lui rappelait sa région. Il passa ensuite le chouchen à Sanji qui bu à son tour.
- La prochaine fois j’amène du schnaps.
- C’est quoi ça ?
- C’est plus fort, ça devrait te plaire. Même si je préfère un bon pinot gris vieille vignes…
- Qu’est-ce que tu marmonne ?
Le blond lui sourit et, sans un mot, s’avança vers lui pour l’enlacer en collant son corps au sien. Ils s’embrassèrent puis s’appuyèrent de nouveau à la rambarde, coude à coude en se passant le chouchen et les bretzels. Ils restèrent là à regarder le lever de soleil sur Lyon en savourant ce petit déjeuner alcoolisé improvisé.
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satinea · 1 month
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Tandis qu'à leurs oeuvres perverses
Les hommes courent haletants,
Mars qui rit, malgré les averses,
Prépare en secret le printemps.
Pour les petites pâquerettes,
Sournoisement lorsque tout dort,
Il repasse des collerettes
Et cisèle des boutons d'or.
Dans le verger et dans la vigne,
Il s'en va, furtif perruquier,
Avec une houppe de cygne,
Poudrer à frimas l'amandier.
La nature au lit se repose ;
Lui descend au jardin désert,
Et lace les boutons de rose
Dans leur corset de velours vert.
Tout en composant des solfèges,
Qu'aux merles il siffle à mi-voix,
Il sème aux prés les perce-neiges
Et les violettes aux bois.
Sur le cresson de la fontaine
Où le cerf boit, l'oreille au guet,
De sa main cachée il égrène
Les grelots d'argent du muguet.
Sous l'herbe, pour que tu la cueilles,
Il met la fraise au teint vermeil,
Et te tresse un chapeau de feuilles
Pour te garantir du soleil.
Puis, lorsque sa besogne est faite,
Et que son règne va finir,
Au seuil d'avril tournant la tête,
Il dit : “ Printemps, tu peux venir ! ”
Théophile GAUTIER (1811-1872)
Premier sourire du printemps
&
[Petite fontaine ........ Le 25 mars 2017]
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sorryfranquin · 10 days
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ton blog m'a donné envie de me mettre à spirou. Tu aurais des tomes à conseiller pour commencer ?
Wahh je suis trop contente d’entendre ça ! Et oui bien sûr :3 Sous un read more vu que c’est devenu un peu plus long que prévu
Deja tu peux lire tous les tomes de Spirou et Fantasio sur VK
Je recommande évidemment de commencer par la période Franquin vu que c’est celle qui pose les bases de l’univers. Même si le personnage a eu des aventures avant dessinées par Rob Vel puis Jijé, je trouve que c’est plus intéressant de revenir sur ces périodes une fois qu’on a une vue d’ensemble sur la série.
Les tomes essentiels/préférés pour moi sont :
T2 Il y a un sorcier à Champignac
T4 Les héritiers (Zantafio ❤️)
T7 Le dictateur et le champignon (ZANTAFIOOO 😻)
T9 La mauvaise tête
T15 Z comme Zorglub & T16 L’ombre du Z (c’est un diptyque)
T17 Spirou et les Hommes Bulles (surtout parce que la deuxième aventure c’est Spirou et les petits formats et elle est juste trop mignonne 😭❤️)
T18 QRN a Bretzelburg
Bien sûr si l’univers te plaît tu peux lire le reste des albums de Franquin puisque beaucoup de choses y font référence plus tard dans les albums des autres auteurs. Et puis aussi c’est bien :)
Ensuite dans la période Fournier mes préférés sont :
T22 L’abbaye truquée
T23 Tora Torapa
T28 & T29 Kodo le Tyran et Des haricots partout (un autre diptyque)
Fournier a un style un peu plus fantastique que Franquin, ça se voit surtout dans ses décors que je trouve époustouflants surtout dans ces quatre albums. Le diptyque aussi a des moments trop mignons entre S&F arghhh 😭 ❤️
Tu peux passer la période Nic & Cauvin parce qu’elle est sans plus.
Ensuite la période Tome et Janry (T33 - T46) est juste INCROYABLE je conseille de tout lire. Genre vraiment. Tout est excellent 🔥 Mention spéciale à la Vallée des Bannis et Vito la déveine YAOI COCAINE
La période Morvan et Munuera n’est pas incroyable non plus, je conseille de la zapper. Ils essaient de sortir du moule un peu mais entre les scènes d’action insupportables de Munuera et les romances pourries manufacturées par Morvan ça donne juste un résultat bcp trop tryhard et CRINGE
Après la période Yoann & Vehlmann est cool ils font des trucs intéressants avec les persos mais je ne suis pas vraiment fan du graphisme de Yoann. Il n’y a que 5 tomes et ils sont assez courts donc je conseille de les lire aussi 👍
Le tome 56 la mort de Spirou est vraiment excellent par contre, je le recommande vivement.
Après en dehors de la série principale il a le Spirou c’est une série ou différents auteurs peuvent faire du Spirou à leur sauce. Pas obligé d’avoir lu la série principale pour les lire, voire au contraire puisque la plupart des Spirou de s’éloignent de l’univers ‘classique’ de Spirou.
Je recommande TRÈS CHAUDEMENT!!!!! Le Spirou de Schwartz et Yann (Le Groom vert de gris et La femme léopard partie 1 & 2) parce qu’ils sont top et très touchants et franchement. Yann et Schwartz ship clairement Spirou et Fantasio… ils passent leur temps à se faire des câlins et y a pas 3 pages sans une blague/allusion sur leur statut de couple c’est trop mignon aurghh 😭
J’ai beaucoup aimé aussi le Spirou de Fabrice Tarrin La crypte de Champignac et Spirou chez les Soviets. Je trouve qu’il a vraiment une bonne idée des personnages et j’adore son style de dessin.
Il y a le Spirou d’Emile Bravo (Le journal d’un ingénu et L’espoir malgré tout en 4 tomes) qui est aussi excellent, extrêmement bien écrit. Mais S&F sont assez loin du Spirou et du Fantasio dont on a l’habitude.
J’espère que ça t’aidera désolée pour cet énorme pavé 😭 mais une fois que je suis lancée je peux pas me taire ❤️ j’espère que tu aimeras la série !!!
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swedesinstockholm · 2 months
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23 février
j'ai entendu une humoriste sur france inter qui disait qu'elle se sentait tellement seule qu'elle allait se faire faire des manucures pour que quelqu'un la touche et les gens dans le studio ont poussé des exclamations de dégoût choqué, les gens ne sont clairement pas prêts pour mon livre. et puis ce matin, toujours sur france inter, j'ai entendu un écrivain que je connaissais pas qui parlait de son travail d'homme à tout faire et de sa situation d'ultra précarité et que parfois c'est dur mais bon c'est lui qui l'a choisi (avant il était photographe et il portait des costumes dior). il est publié chez gallimard mais il est quand même homme de ménage et archi pauvre, il peut pas chauffer plus d'une pièce de son appartement que j'imaginais tout pourri à la bordure d'un paris imaginaire avec de la tôle rouillée et des murs qui suintent. il faut que j'arrête de voir la publication comme une finalité. je veux de l'argent, tant pis pour la liberté, ça veut rien dire la liberté. il me faut un plan de carrière.
25 février
encore en train d'écouter le nouvel album d'mgmt, je crois que je commence à l'adorer. j'étais un peu partagée au début. j'ai regardé des interviews et ça m'a replongée en 2008 dans mes jours de groupie en chef d'andrew vanwyngarden. ils sont inextricablement liés à mon adolescence de bloggueuse insupportable mais touchante (quelqu'un m'avait dit ça un jour dans les commentaires et je trouve que c'est une bonne description). dans une interview on leur demande pourquoi ils sont pas sur les réseaux sociaux et andrew dit qu'à leur époque c'était pas cool de s'auto-promouvoir et que faire un selfie c'était le truc le plus embarrassant du monde et ça m'a fait réaliser que beaucoup de temps avait passé depuis... je sais pas, que je suis née? aussi j'ai toujours honte de faire un selfie en public.
andrew a 41 ans. il est verseau, comme r. et comme a. j'ai réécouté leurs deux premiers albums hier, après m'être promenée sur le campus du lycée pour me rouler dans la nostalgie. la nostalgie de quoi, je sais pas trop parce que j'étais aussi déprimée à 17 ans qu'aujourd'hui, le seul truc bien c'était la musique les concerts et ma double vie de bloggueuse populaire où les gens me disaient que je leur manquais quand je partais en vacances. la première fois que j'ai écouté mgmt c'était un dimanche matin sur youtube, c'était le printemps et j'avais 17 ans et j'étais assise au pc dans la pièce de l'ordi et il faisait probablement soleil. le soleil et le printemps sont des composantes importantes de ma relation à mgmt. leur musique me rend nostalgique de plein de choses que j'ai connues et pas connues. comme wildflower des avalanches. 
les choses pas connues: les époques avant les années 90; les états-unis. les choses connues: un truc doux et joyeux de l'enfance, une piscine chaude où il fait bon vivre; les sapins, la forêt de manière générale; le soleil (PLEDGE ALLEGIANCE TO THE SUN); le jardin de la maison quand j'étais petite, les fleurs de ma grand-mère, les habits que j'aimais quand j'étais petite (le tshirt avec les papillons, du rose barbie et du vert fluo, du jaune bordé de rouge, des pois, des fleurs); du bois (meubles).
6 mars
je me force à écrire. je suis en crise. j'ai envie d'exploser et d'imploser en même temps. j'ai envie de manger du sucre mais j'en ai pas envie, j'ai juste besoin de combler un vide, HA, à chaque fois je crois avoir trouvé un truc profond mais après je me rappelle que ça existe déjà et que c'est archi commun. j'essaie d'écrire un texte sur les mythes pour un appel à textes mais je me sens submergée par l'ampleur du thème et par les choses que j'ai à dire mais en même temps j'ai rien à dire. j'ai trop pris goût à avoir mes textes publiés dans des revues, c'est en train de devenir addictif, comme mon addiction aux annonces de location immobilières bruxelloises sur fb. je suis accro aux photos d'apparts dans lesquels me projeter et je suis accro à voir mon nom imprimé sur du papier.
mon texte sur a. tiré de bluettes que j'ai été assez naïve d'envoyer à deux revues différentes a été sélectionné par les deux revues et j'ai du choisir entre les deux et ça m'a stressée toute la journée lundi. j'en avais mal au ventre, comme à chaque fois que je dois faire un choix, ça a pris des proportions de vie ou de mort, j'avais peur de faire le mauvais choix et de le regretter toute ma vie. j'arrive pas à accepter l'idée selon laquelle y a pas de mauvais choix. dans ma vision des choses, y en a toujours un qui est forcément mieux que l'autre. j'arrive pas à voir les choses à égalité, tout est en compétition. alors j'ai demandé conseil à j. de paris, vu qu'elle a fait des meilleurs choix de vie que moi, je me suis dit que son intuition fonctionnait mieux que la mienne, et je l'ai suivie.
j'ai écrit aux deux revues en rentrant de la chorale et j'avais l'impression d'être dans the voice quand les candidats doivent choisir un coach et qu'ils s'excusent auprès des autres de pas les avoir choisis, sauf que ça aurait été mille fois plus facile de choisir un coach de the voice (mika). j'arrivais pas à croire que j'étais en train d'écrire un mail à une revue pour leur dire qu'elles pouvaient pas publier mon texte, j'avais l'impression de me tirer une balle dans le pied. en plus elles m'ont dit que ça leur faisait rien à elles que mon texte soit publié ailleurs. j'arrive pas à m'en remettre. l'autre revue m'a dit que c'était un beau luxe de pouvoir choisir mais entre la peur de faire le mauvais choix et la déception de pas être publiée dans mouche j'arrivais à peine à savourer le goût du succès.
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cerisep0urrie · 1 year
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✎ order of adjectives & nouns * ˚ ✦
✦ most often, the noun will come before the verb in french
elle a les yeux verts
les yeux (noun) + verts (adjective)
✦ however, in a few situations the adjective comes before the noun
✦ beauty
il y a un joli parc près de chez toi
✦ age
il est un vieil homme
✦ order
la deuxième rue
✦ size
j’ai un petit appartement
✦ goodness
c’est un bon croissant
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wistfulcynic · 3 months
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savez-vous pourquoi on a les tournesols
i learnt about @ecclesiasticallatinfest um, yesterday, but i thought it was a great idea and wanted to participate so i knocked up a quick translation of my shortest fic. i'm an experienced translator but i always do french to english so going the other way was a challenge. Fortunately i knew exactly what the author meant by everything though she is a bitch for the flowery prose. i may have taken a few liberties with the french language, including disposing entirely with the passé simple because i cannot be arsed, so i hope gentle readers you will be kind.
original fic is here
translation is here
Stede Bonnet ressemble parfaitement à un des hommes dans son tableau préféré. Un jour, il rencontre l'homme qui ressemble à l'autre. Ça donne l'impression d'être destiné.
(Il l'est.)
savez-vous pourquoi on a les tournesols
Stede Bonnet adore les musées. 
C’était toujours comme ça, depuis sa première visite, lors d’un voyage scolaire. Un voyage qui était, à tous les autres égards, bien peu mémorable. Les tourments habituels des jumeaux Badminton et de leur cohorte, la solitude habituelle de Stede, lui seul avec ses livres et ses pensées. 
Mais il se souvient du tableau. 
Il se souvient de ces deux hommes sur le pont de leur navire, si vivement rendus par touches d’huile qu’il avait l’impression de sentir lui-même le vent qui fouettait dans leurs cheveux et gonflait les voiles de leur vaisseau. Il se souvient de la fierté de leur posture, l’absence total de peur. Il se souvient de leur unité, le fil de leur lien impossible de nier, palpable même depuis une peinture et à travers trois cents années. Il se souvient du désir ardent qui animait sa jeune poitrine. C’était ça ce qu’il voulait. Cette unité. Ce lien. Ce quelqu’un qui le regarderait du manière dont les pirates du tableau se regardaient. 
Personne n’avait jamais regardé Stede Bonnet comme ça. 
Même aujourd'hui personne ne le regarde comme ça. Ni ses parents, ni son ex-femme. Même pas ses enfants. Il traverse la vie comme il traverse les rues de Londres, seul parmi les foules bouillonnâtes des gens—familles, amis, amants. Mais pas pour lui. Jamais pour lui. 
Mais il adore toujours les musées. 
Il est aujourd’hui le conservateur de l’aile du XVIII siècle de la National Gallery de Londres, un boulot de rêves pour lequel il a travaillé toute sa vie. Il devrait se sentir triomphant, et il l’est, vraiment. Mais… doucement triomphant, et pour la plupart à soi-même. Le fait qu’il n’ait personne avec qui le partager ne fait rien, pas vraiment. Aller chaque jour au musée, savoir que c’est sa place, une place qu’il a méritée, c’est ça qui lui rend heureux. Plus heureux qu’il n’a jamais été. Ça suffit. 
Lorsqu’il acquiert le tableau, le tableau, celui qu’il a vu pour la première fois à Auckland il y a tant d’années, son bonheur est complet. Chaque jour il va dans sa gallérie et se tient debout en face de ce tableau et le regarde. Il se tient debout et il regarde et il ressent à nouveau ce désir presque douloureux dans sa poitrine. 
Peu à peu il se rend compte de quelque chose, une quelque chose très particulière dont il ne sait pas trop quoi faire. Un des hommes du tableau, celui du droit, l’homme blond à la barbe courte et pointue et à l’allure fringante, sa chemise blanche flottante et sa ceinture en soie turquoise autour de la taille, cet homme… il ressemble à Stede. 
Exactement comme Stede. À tel point que c’en est bizarre. Il ne l’a jamais remarqué autrefois, évidemment, comment aurait-il pu? Mais maintenant qu’il est plus âgé—du même âge, semble-t-il, que l’homme du tableau—le ressemblance est indéniable.
Il se laisse pousser la barbe, par curiosité académique, il se dit. Juste pour voir si la ressemblance est renforcée ou entravée. Il se laisse pousser également ses très courts cheveux, afin de mieux ressembler les boucles du tableau. Il introduit de la couleur dans sa garde-robe, les bleus vifs et les verts joyeux, même un petit jaune impertinent, de temps en temps. Il découvre qu’il adore la couleur, et la mode, et qu’elles l’adorent en revanche. S’habiller le matin devient un plaisir et non plus un corvée. 
Ne plus il se heurte les gens dans la rue parce qu’ils ne le remarquent pas. Plutôt, les inconnus hochent la tête à son passage et lui rendent ses sourires amicales. Ils arrivent même de faire la bavardage dans les queues. Ils gloussent s’il tente une petite blague. Il commence à faire des blagues exprès. Les gens rient. Ils rient d’amusement et pas de moquerie. Pour Stede, ça change tout. 
Ce Stede avec plus de confiance, plus de couleur, débordant d’une exubérance naturelle enfin libérée et tellement ravi de se ressembler si parfaitement à l’homme du tableau, commence à tourner plus fréquemment envers l’autre. Cet homme que, même enfant, il a trouvé presque trop magnifique pour apercevoir. Cet homme grand, beau, tout vêtu en cuir, sa barbe et ses cheveux longs fouettés par le vent et glorieux, qui contemple le doppelgänger peint de Stede avec le regard le plus doux qu’il n’ait jamais vu. 
Ce regard. La douleur dans sa poitrine devient insupportable lorsqu’il y pense, mais il y pense tout de même, et fréquemment. 
Malgré sa confiance en lui récemment trouvé, il n’existe toujours personne qui a jamais regardé Stede Bonnet comme ça. 
--
“Sacré tableau, n’est-ce pas, mon pote?” 
Stede se détourne de sa contemplation matinale du pirate vêtu en cuir, surpris et ravi d’entendre la cadence d’un accent familier. C’est rare qu’il rencontre un autre Kiwi à Londres, même si la ville accueille des gens venus des quatre coins du monde.
“Vous savez, c’est drôle,” reprend la voix. Elle est profonde et résonnante et elle caresse la peau de Stede comme du cachemire. “Je me souviens une fois, lorsque mon enfance en Nouvelle-Zélande, j’ai vu ce tableau. J’y suis resté en regardant pendant une bonne vingtaine de minutes. Les autres gamins se sont partis sans moi et le prof a dû revenir m’emmener pratiquement à l’écart. Je me rappelle plus le nom du prof mais je n’ai jamais oublié ce tableau.” Il se tourne vers Stede qui peut maintenant voir tout son visage. “Peut-être que ça vous paraisse fou, mais diriez-vous—pensez-vous que cet homme, celui de la gauche… vous pensez qu’il me ressemble?” 
Stede rest sans voix, bouche bée. Parce que oui, il dirait, oui. L’homme du tableau te ressemble vachement et s’il existe personne qui peut le déclarer avec autorité c’est Stede. C’est lui, après tout, qui avait regardé ce tableau chaque jour et tous les jours pendant tout de l’an dernier. L’homme à son côté a la même taille, les mêmes cheveux longs et barbe magnifique. Et lorsqu’il se retourne et leurs yeux croisent, Stede a le souffle coupé. Les yeux aussi se ressemblent, ce marron doux et chaleureux. Ils traversent le visage de Stede et ils s’écarquillent, signe de reconnaissance d’abord, puis d’émerveillement. 
“C’est toi,” il chuchote. “Cet homme, l’autre. C’est—c’est toi.”
Stede sait qu’il doit dire quelque chose, n’importe quoi, et donc il lance les premiers mots qui lui viennent de l’esprit. 
“Es-tu réel?” 
C’est une question de merde et il se sent ridicule pour la poser, mais les beaux yeux de l’homme se plissent sur les bords et il rit. Il rit d’amusement et non de moquerie. Le Stede d’aujourd’hui connait la différence. 
“Aussi réel que toi, mon pote. Je m’appelle Ed.” Il lui tend la main. 
“Stede,” répond Stede, en la prenant. Un frisson électrique parcourt sa peau, du point de contact jusqu’à l’extrémité de toute terminaison nerveuse qu’il possède. Il retient à peine son souffle. “Je suis le, um, conservateur. Du musée. Fin, pas du musée entier, seulement l’aile du dix-huitième siècle, mais c’est pas important en fait, ce que c’est important c’est que moi aussi.” 
“Toi aussi?” répète Ed. 
Stede hoche la tête avec enthousiasme. “Moi aussi, j’ai vu ce tableau lorsque mon enfance en Nouvelle-Zélande. J’arrivais pas à me détourner, moi non plus. Et je—” 
“Ne l’a jamais oublié?” 
“Ne l’ai jamais oublié! Je l’ai acquis à la première occasion. Ce n’était qu’après que je me suis rendu compte que, er—que l’homme dedans avait—” 
“Ton visage?” 
“Ouais.” Stede hausse légèrement les épaules. “Mon visage.” 
“C’est un bon visage,” dit Ed. La frisson électrique s’intensifie. Il découvre qu’il tient toujours la main d’Ed. 
“Sais-tu ce que j’aime le plus?” il demande. 
“À propos de ton visage?” 
“Non!” Stede proteste, avant de se rendre compte qu’Ed le taquine. Il sent ses joues rosir mais il continue. “Non, pas à propos de mon visage. Dans le tableau.” 
“Qu’est-ce que tu aimes le plus dans le tableau?” 
“C’est la manière dont ils se regardent,” dit Stede. “Ils sont si connectés et les expressions sur leurs visages, c’est—” 
“L’amour,” finit Ed. Sa voix est bourrue. “Ils se sont amoureux.” 
“C’est ça.” Les mots se coincent dans sa gorge. “En tant que garçon je ne pouvais pas le voir. C’est à dire, je l’ai vu mais je ne savais pas ce que c’était. Tout ce que je savais c’était que je voulais quelqu’un à me regarder comme ça. Mais personne ne l’a jamais fait.” 
“Jamais?” 
“Non. Pas—” Stede s’arrête, happé par les yeux d’Ed. Ce regard lui coupe le souffle. 
Ed maintient son regard tout en relâchant la main de Stede, tout en entourant la mâchoire de Stede de sa main, ses doigts s'enfonçant dans ses cheveux, s'enroulant autour de l'arrière de sa tête et l'attirant plus près de lui. 
"Pas jusqu'à ce moment,” murmure-t-il, puis ses lèvres se posent sur celles de Stede. 
Le baiser est d'abord doux, hésitant. Stede n'a jamais vraiment aimé embrasser ; il est peu expérimenté dans ce domaine et même moins enthousiaste, malgré ses dix ans de mariage. Mais ce baiser, ce baiser, l'illumine de l'intérieur ; ce picotement électrique travers sa peau et s’infiltre dans ses os. Il se retrouve penché sur le corps d'Ed, agrippant sa taille, poussant un petit gémissement impuissant qui attire un gémissement plus profond de la part d'Ed. Le baiser devient chaud, humide, tout à fait inapproprié pour un mardi matin pluvieux sur son lieu de travail, mais Stede s’en fout pas la gueule.
Après, ils restent en se regardant, yeux écarquillés et haletants, et puis en unisson parfait ils se tournent comme tirés par un fil, vers le tableau. 
Les deux hommes leur sourient, leur sourient, il n’existe pas la moindre doute. Le sosie d’Ed leur fait un clin d’oeil, tandis que celui de Stede hoche sa tête avec un sourire fier et content. “J’étais sûr que tu l’aurais trouver,” Stede entend dire sa propre voix, dans sa tête évidemment mais les mots sont aussi clairs que comme s’il les avait dit lui-même. 
Il se retourne vers Ed. “T’as entendu—” 
“Ouais,” réplique Ed. “J’ai entendu.” 
Ils regardent à nouveau le tableau, qui est précisément comme il a toujours été. 
“Viens déjeuner avec moi,” dit Ed, abruptement. 
“Il est dix heures et demie du matin!” 
“Un brunch, alors. Je sais un bon lieu, pas loin d’ici.” 
“Ah, oui?” Stede est tellement heureux qu’il a l’impression que son sang a été remplacé par du champagne. “C’est où ça?” 
“Mon restaurant.” Ed lui sourit. “Je viens de l’ouvrir. Blackbeard’s Bar and Grill, il s’appelle.” 
“Ooh, nom fabuleux. Et donc tu… vises rester à Londres?” 
“Aussi longtemps que Londres veut bien de moi,” dit Ed, et Stede sait qu’il ne parle pas seulement de Londres. “Et bien. Brunch? J’ai de la marmelade.” 
Stede reste bouche bée. “Comment—comment sais-tu que j’aime la marmelade?” 
“J’ai eu de la chance,” dit Ed. Ses yeux pétillent, de chaleur et affection et interêt et reconnaissance, et oui c’est enfin réel, ça se passe vraiment. Quelqu’un regarde Stede Bonnet Comme Ça. 
Ici au milieu de son musée bien-aimé, devant son tableau le plus précieux, le plus bel homme qu’il ait jamais vu, soit peint ou en personne, lui regarde de la manière dont il a si longtemps rêvé mais n’aurait jamais pensé savoir. 
Et dans sa poitrine il se sent à nouveau cette douleur mais ce n’est plus la douleur exquise. C’est la douleur d’une joie trop forte d’être exprimée. C’est le bonheur complet. 
C’est l’amour. 
“Le brunch serait super,” dit Stede. “C’est parfait.” Ça donne l’impression du début de quelque chose de spectaculaire. 
Et c’est ça qu’il est.  
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J’ai quitté la maison pour me balader près de la rivière, mon orgueil était blessé. Je pensais que j’avais l’air super et j’étais déterminée à continuer de le penser. Près de la rivière, la vie était meilleure. Cette bonne vieille Tamise, toujours aussi verte, puante et sublime. J’ai couru jusqu’à l’endroit où j’avais l’habitude d’aller quand j’étais plus petite, près du panneau « les enfants ne doivent pas jouer sur ces marches ». Devant moi j’ai vu une ombre grande et fine, c’était celle d’un homme qui devait avoir 37 ans. Je n’avais jamais vu quelqu’un d’aussi beau de toute ma vie et dans un moment de folie j’ai eu envie qu’il me suive, c’était très bizarre.
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Munkey Diaries de Jane Birkin.
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acrazybayernfan · 7 months
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Mick/Charles please? I miss them 🥲
(You can write it in French if you want haha 😂 but anyway I’ll never judge you for mistakes in English since I’m the first one to do them)
Thank you my dear what a nice request ! So here we go, I hope you will like it because it's a bit special (🤦🏻‍♀️)
Au château du Baron Rouge, vivaient deux gentils princes, l’un blond comme les blés, l’autre brun comme le soir, l’un aux yeux bleus, l’autre aux yeux verts, l’un est l’héritier et l’autre le prédestiné, l’un est le fils du baron et l’autre son protégé. Ils grandirent tous les deux ensembles la tête emplie des mêmes rêves, des rêves de petits de garçons, des rêves de victoires, des rêves de gloire. Puis le temps vint pour eux de quitter le vieux château et d’aller faire leurs armes auprès d’un ami du baron. 
Pendant deux ans messire Sebastian va leur apprit tout ce qu’il leur fallait savoir. 
Charles s’avéra à même de savoir tout faire d’instinct, que soit pour le maniement des armes, des chevaux, la musique ou la danse ; il excellait en tout et pour tout. Mick, plus jeune, le regardait faire émerveiller, lui auquel il fallait, en comparaison, tant de temps pour assimiler les nouvelles choses qu’on lui enseignait. Tout autre que lui aurait été jaloux de cet étranger dont le talent semblait éclipser le sien mais Mick avait le cœur trop généreux pour cela et cette âme d’or ne pouvait renfermer aucune amertume, ni aucune jalousie. Après son père et Sebastian, Charles était la personne au monde pour laquelle il avait le plus d’admiration. 
Charles fut le premier à être fait chevalier et debout dans l’église où avait lieu la cérémonie Mick suivait des yeux son ami descendant l’allé centrale éclairée par le soleil couchant qui faisait rutiler son armure en pensant que les anges devaient briller d’une pareille lumière. Le jeune chevalier monta sur son cheval, un magnifique étalon noir que lui avait offert Sebastian, qu’il fit se cabrer, imitant l’image qui se trouvait sur son écu : un cheval noir cabré sur fond de grenat. 
On se réjouit des heureux évènements de cet journée durant un banquet qui se prolongea fort avant dans la nuit. Puis au petit jours Charles se leva, revêtit son armure et fit amener son cheval. Mick n’avait pas osé s’endormir de peur que son compagnon ne parte sans qu’il ait pu lui dire au revoir, et blottit dans sa chambre il guettait le moindre bruit, prêt à s’élancer au moindre signal. Lorsqu’il entendit les pas lourds d’un homme en arme résonner dans l’escalier de la tour où ils logeaient, il se précipita hors de sa chambre juste à temps pour saisir son ami dans ses bras au moment où il arrivait devant sa porte. Charles lâcha un petit amusé en voyant ainsi son jeune camarade se jeter sur lui. Il laissât Mick l’éteindre pendant plusieurs secondes puis doucement il éloigna le corps encore frêle de son ami. Leurs regards se croisèrent et c’est alors qu’il vit que les yeux couleurs d’azur de Mick pleins de larmes. Charles sourit tristement puis il vient passer une main affectueuse dans les cheveux d’or de son compagnon de toujours. Il dit la première bêtise qui lui passa par la tête afin de réconforter le jeune garçon et ayant enfin obtenu de lui un sourire, il se détacha délicatement de Mick et poursuivit sa route. 
Le fils du baron le suivit en silence, il regarda Charles mettre ses gants, monter à cheval, saisir sa lance et son bouclier puis il s’approcha du bel étalon et se collant contre son encolure il lui recommanda de prendre bien soin de son cavalier. Après quoi il se tourna vers Charles et accrochant à sa selle un mouchoir de brocard rouge qu’il avait hérité de sa mère il dit : « Beau doux sire, que la sainte image brodée sur ce mouchoir vous protège et vous garde, et puisse-t-elle vous rappeler celui qui attendra votre retour avec plus d’ardeur encore que les fleurs attendent le retour du printemps. »
Quelques instants plus tard Charles était parti, parti à la quête d’aventure, parti à la quête de gloire afin d’honorer le nom de la grande maison des Ferrari dont il était devenu la grande espérance, il partit en attendant que quelques années plus tard Mick en face de même, pousser lui par le désir de conserver la gloire qui entourait le nom de son père. 
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homomenhommes · 12 days
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Très souvent de cochon, ou pouvant faire allègrement la part belle à la sardine ou au thon, la rillette est une bénédiction assez sous-cotée, face à l’omniprésence du sacro-saint pâté. Et pourtant mes asticots, se demander si l’on est plus rillettes ou pâté, est aussi crucial que se questionner si l’on désire plus un homme marié ou un petit célib. Enfin, ce n’est qu’un avis très personnel… Il faut voir la rillette comme un instrument de convivialité, servant de mise en appétit avant des festins accomplis. En apéritif pour accompagner un beaujolais assez jeune, ou en entrée pour se faire le chemin de la becquée, ce mets gras vous mettra dans de véritables beaux draps. Diable, que se batailler les filaments de chair à bout de couteau est un moment privilégié et rempli d’égo. Bouge-toi de là, le plus gros sera pour moi ! Vous aurez compris, mes braves vertébrés, que la rillette est pour moi objet sacré. Laissons pour une fois le pâté là où il est, et plongeons-nous avec veine dans ce délice né en Touraine.
En effet mes agneaux de lait, je vous mens si je vous apprends que les rillettes viennent du Mans. Bien que popularisées dans la ville de la Sarthe grâce à sa production plus industrialisée, c’est bien à Tours que les rillettes ont commencé à jouer, auprès des gourmets, des jolis tours. Mon ami météorologue dirait que grâce au ciel, et surtout aux commerçants de bouche de notre douce Gaule, nous pouvons en tartiner aux quatre coins de la métropole. En parlant de marchand de bien, je vous avais parlé il y a quelques semaines d’un coquin volailler, portant la casquette avec autant d’élégance qu’un Hollandais sur les bords de la Méditerranée. Le chenapan faisait du poulet sa madeleine de Proust, en le déclinant de façon variée. Je vous le donne en mille mes élégants faisans, le bougre proposait de la rillette de poulet ! Vas-y l’écrevisse, fais-moi goûter à ta merveille assaisonnée…
Ici, la volaille cuite longuement dans la graisse faisait office de salle d’attente, avant que ma pintade farcie finisse de me détendre. Mazette, lorsque l’assiette apparut sous mon nez fuitant d’humidité, l’émotion me comblait et me faisait gracieusement renifler. Les longueurs charcutières s’imbriquaient avec la précision d’une orgie rêvée, faisant penser que les volatiles souhaitaient jouer au Mikado, jadis passe-temps désiré. Une tomate cerise coupée en deux, venait rafraîchir l’écuelle avec l’élégance de la légère brise s’avançant pour caresser nos œufs. Je laissais le soin à mon accompagnante de profiter jovialement du potager, et de ses saveurs acidulées. Et puis, impossible de relater cet instant sans mettre en relief le plus sous-évalué des condiments. La coquetterie verte ébranlait nos palais avec sa tonicité légendaire, vinaigrant nos bouchées et nous rappelant que le cornichon avait tout pour plaire. Dorénavant, nous pouvions passer à la suite avec sérénité, la basse-cour ayant pris domicile dans nos entrailles, chichement.
Quel plaisir de parler de la rillette, qui pour un charcutier est une belle fenêtre sur le savoir-faire qu’il aspire à retransmettre. Laissons penser les ignares que la grasse se badigeonne seulement sans grâce dans des sandwichs, et prions ensemble pour qu’elle se propose encore largement sur des tables de maître. Monsieur le volailler, merci pour ce moment.
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odnagnisul · 1 year
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100 livres à avoir lu dans sa vie (entre autres):
1984, George Orwell ✅
A la croisée des mondes, Philip Pullman
Agnès Grey, Agnès Bronte ✅
Alice au Pays des merveilles, Lewis Carroll ✅
Angélique marquise des anges, Anne Golon
Anna Karenine, Léon Tolstoï
A Rebours, Joris-Karl Huysmans
Au bonheur des dames, Émile Zola
Avec vue sur l'Arno, E.M Forster
Autant en emporte le vent, Margaret Mitchell
Barry Lyndon, William Makepeace Thackeray
Belle du Seigneur, Albert Cohen
Blonde, Joyce Carol Oates
Bonjour tristesse, Françoise Sagan ✅
Cent ans de solitude, Gabriel Garcia Marquez
Charlie et la chocolaterie, Roald Dahl ✅
Chéri, Colette
Crime et Châtiment, Féodor Dostoïevski
De grandes espérances, Charles Dickens
Des fleurs pour Algernon, Daniel Keyes
Des souris et des hommes, John Steinbeck ✅
Dix petits nègres, Agatha Christie ✅
Docteur Jekyll et Mister Hyde, Robert Louis Stevenson ✅
Don Quichotte, Miguel Cervantés
Dracula, Bram Stocker ✅
Du côté de chez Swann, Marcel Proust
Dune, Frank Herbert ✅
Fahrenheit 451, Ray Bradbury ✅
Fondation, Isaac Asimov
Frankenstein, Mary Shelley ✅
Gatsby le magnifique, Francis Scott Fitzgerald ✅
Harry Potter à l'école des sorciers, J.K Rowling
Home, Toni Morrison
Jane Eyre, Charlotte Bronte
Kafka sur le rivage, Haruki Murakami
L'adieu aux armes, Ernest Hemingway ✅
L'affaire Jane Eyre, Jasper Fforde
L'appel de la forêt, Jack London ✅
L'attrape-cœur, J. D. Salinger ✅
L'écume des jours, Boris Vian
L'étranger, Albert Camus ✅
L'insoutenable légèreté de l'être, Milan Kundera
La condition humaine, André Malraux
La dame aux camélias, Alexandre Dumas Fils
La dame en blanc, Wilkie Collins
La gloire de mon père, Marcel Pagnol
La ligne verte, Stephen King ✅
La nuit des temps, René Barjavel
La Princesse de Clèves, Mme de La Fayette ✅
La Route, Cormac McCarthy ✅
Le chien des Baskerville, Arthur Conan Doyle
Le cœur cousu, Carole Martinez
Le comte de Monte-Cristo, Alexandre Dumas : tome 1 et 2
Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo ✅
Le fantôme de l'opéra, Gaston Leroux
Le lièvre de Vaatanen, Arto Paasilinna
Le maître et Marguerite, Mikhaïl Boulgakov
Le meilleur des mondes, Aldous Huxley
Le nom de la rose, Umberto Eco
Le parfum, Patrick Süskind
Le portrait de Dorian Gray, Oscar Wilde ✅
Le Petit Prince, Antoine de Saint-Exupery ✅
Le père Goriot, Honoré de Balzac ✅
Le prophète, Khalil Gibran ✅
Le rapport de Brodeck, Philippe Claudel
Le rouge et le noir, Stendhal ✅
Le Seigneur des anneaux, J.R Tolkien ✅
Le temps de l'innocence, Edith Wharton
Le vieux qui lisait des romans d'amour, Luis Sepulveda ✅
Les Chroniques de Narnia, CS Lewis
Les Hauts de Hurle-Vent, Emily Brontë
Les liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos ✅
Les Malaussène, Daniel Pennac ✅
Les mémoires d'une jeune fille rangée, Simone de
Beauvoir
Les mystères d'Udolfo, Ann Radcliff
Les piliers de la Terre, Ken Follett : tome 1
Les quatre filles du Docteur March, Louisa May
Alcott
Les racines du ciel, Romain Gary
Lettre d'une inconnue, Stefan Zweig ✅
Madame Bovary, Gustave Flaubert ✅
Millenium, Larson Stieg ✅
Miss Charity, Marie-Aude Murail
Mrs Dalloway, Virginia Woolf
Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, Harper Lee ✅
Nord et Sud, Elisabeth Gaskell
Orgueil et Préjugés, Jane Austen
Pastorale américaine, Philip Roth
Peter Pan, James Matthew Barrie
Pilgrim, Timothy Findley
Rebecca, Daphne Du Maurier
Robinson Crusoé, Daniel Defoe ✅
Rouge Brésil, Jean Christophe Ruffin
Sa majesté des mouches, William Goldwin ✅
Tess d'Uberville, Thomas Hardy
Tous les matins du monde, Pascal Quignard
Un roi sans divertissement, Jean Giono
Une prière pour Owen, John Irving
Une Vie, Guy de Maupassant
Vent d'est, vent d'ouest, Pearl Buck
Voyage au bout de la nuit, Louis-Ferdinand Céline ✅
Total : 37/100
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it-is-i-a-retard · 2 years
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Fluent Forever 625: French
For those of you who can’t be assed to get all the 625 words in French I’ve done it for you (I might do other languages as well)
-Repost from my old account
Animals: chien, chat, poisson, oiseau, vache, cochon, souris, cheval, aile, animal
Transport: train, avion, voiture, camion, vélo, bus, bateau, navire, pneu, essence, moteur, billet, transport
Lieux: Ville, maison, appartement, rue/route, aéroport, gare, pont, hôtel, restaurant, ferme, cour, école, bureau, chambre, commune, université, club, bar, parc, camp, boutique/magasin, théâtre, bibliothèque, hôpital, église, marché, pays, bâtiment, terre, espace, banque, lieu
Vêtements: chapeau, robe, combinaison, jupe, t-shirt, pantalon, chaussures, poche, manteau, tache, vêtements
Couleur: rouge, vert, bleu (clair, foncé), jaune, marron, rose, orange, noir, blanc, gris, couleur
Personnes: fils, fille, mère, père, parent, bébé, homme, femme, frère, sœur, famille, grand-père, grand-mère, mari, femme, roi, reine, président, voisin, garçon, fille, enfant, adulte, humain, ami, victime, joueur, amateur, foule, personne
Travails: professeur, étudiant, avocat, docteur, patient, serveur, secrétaire, prêtre, police, armée, soldat, artiste, auteur, directeur, journaliste, acteur, travail
Société: religion, paradis, enfer, décès, médicament, argent, dollar, facture, mariage, mariage, équipe, race, rapports sexuels, sexe, meurtre, prison, technologie, énergie, guerre, pais, attaque, élection, magazine, journal, poison, arme à feu, course, exercice, balle, jeu, prix, contrat, drogue, marque, sciences, dieu
Art: bande, chanson, instrument de musique, musique, film, art
Boissons: café, thé, vin, bière, jus, eau, lait, boisson
Nourriture: œuf, fromage, pain, soupe, gâteau, poule, porc, bœuf, pomme, banane, orange, citron, maïs, riz, huile, graine, couteau, cuillère, fourchette, assiette, tasse, petit déjeuner, déjeuner, dîner, sucre, sel, bouteille, nourriture
Maison: table, chaise, lit, rêver, fenêtre, porte, chambre à coucher, cuisine, salle de bains, crayon, stylo, photo, savon, livre, page, clé, peinture, lettre, note, mur, papier, plancher, plafond, piscine, verrou, téléphone, jardin, jardin, aiguille, sac, boîte, cadeau, carte, bague, outil
Électronique: horloge, lampe, ventilateur, téléphone portable, réseau Wi-Fi, ordinateur, programme d’ordinateur, laptop, écran, appareil photo, télévision, radio
Corps: tête, cou, visage, barbe, chevaux, œil, bouche, lèvre, nez, dent, oreille, larme, langue, dos, orteil, doigt, pied, main, jambe, bras, épaule, cœur, sang, cerveau, genou, sueur, maladie, os, voix, peau, corps
Nature: mer, océan, rivière, montagne, pluie, neige, arbre, soleil, lune, monde, terre, forêt, ciel, plant, vent, sol, fleur, vallée, racine, lac, étoile, gazon, feuille, air, sable, plage, vague, feu, glace, île, colline, chauffer, nature
Matériels: verre, métal, plastique, bois, pierre, diamant, argile, poussière, or, cuivre, matériel
Mathématiques/dimensions: mètre, centimètre, kilogramme, pouce, pied du roi, demi, cercle, carré, température, date, poids, bord, coin
Noms divers: carte, point, consonne, voyelle, lumière, son, oui, non, pièce, douleur, blessure, trou, image, modèle, nom, verbe, adjectif
Directions: haut, bas, côté, devant, derrière, à l’extérieur, à l’intérieur, en haut, vers le bas, gauche, droit, nord, sud, est, ouest, direction
Saisons: été, printemps, hiver, automne, saison
Nombres: zéro, un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt, vingt et un, vingt deux, trente, trente et un, trente deux, quarante, quarante et un, quarante deux, cinquante, cinquante et un, cinquante deux, soixante, soixante et un, soixante deux, soixante-dix, soixante-onze, soixante-douze, quatre-vingt quatre-vingt-un, quatre-vingt-deux, quatre-vingt-dix, quatre-vingt-onze, quatre-vingt-douze, cent, cent un, cent deux, cent dix, cent onze, mille, mille un, dix mille, cent mille, million, milliard, première, deuxième, troisième, quatrième, cinquième, nombre
Moie: janvier, février, mars, avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre, novembre, décembre
Jours de la semaine: lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche
Temps: année, mois, semaine, jour, heure, minute, second, matin, après-midi, soir, nuit, temps
Verbes: travailler, jouer, marcher, courir, conduire, voler, nager, aller, arrêter, suivre, penser, parler/dire, manger, boire, tuer, mourir, sourire, rire, pleurer, acheter, payer, vendre, tirer, apprendre, sauter, sentir, écouter, écouter, goûter, toucher, voir, regarder, donner un bisou, brûler, fondre, creuser, exploser, asseoir, supporter, adorer, passer à côté, couper, se battre, s’allonger, danser, dormir, se réveiller, chanter, compter, marier, prier, gagner, se perdre, mélanger, plier, laver, trouver, tomber, pousser, tirer, porter, casser, porter, pendre, secouer, signer, battre, soulever
Adjectives: long, court, grand, petit, large, étroit, grand, petit, lent, vite, chaud, froid, chaleureux, frais, nouveau, ancien, jeune, vieux, bon, mal, mouillé, sec, malade, sain, bruyant, tranquille, heureux, triste, belle, moche, sourd, aveugle, gentil, méchant, riche, pauvre, épais, mince, cher, pas cher, plat, courbé, mâle, femelle, serré, ample, haut, bas, doux, dur, plongé, peu profond, propre, sale, fort, faible, mort, vivant, lourd, léger, foncé, clair, nucléaire, célèbre
Pronoms: je, tu, il, elle, ce, nous, vous, ils/elles
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claudehenrion · 6 months
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A faux problèmes... mauvaises réponses !
L'actualité va trop vite, on en perd le sens du temps ! Et pourtant, un courageux ministre de la soi-disant éducation qui n'a vraiment plus rien de nationale souhaite enfin, en paroles, la peau –si j'ose dire-- de la nouvelle célébrité pour les médias ''main stream'' : l'abaya. Malgré son insupportable manière de parler avec de continuels petits sauts de la tête et du buste, il l'a, pour singer une expression populaire, ''abaya'' pour l'hiver. Ah ! Mais c'est qu'il n'a peur de rien, notre jeune chouchou présidentiel... ce qui, il faut bien le dire, fait de lui une exception : pour un peu, on serait d'accord avec les dire et les faire d'un ministre macronien, ce qui serait une grande première !
Certains se sont même demandé si ce ne serait pas qu'une trouvaille des communicants de l'Elysée : grâce à l'abaya, on a arrêté de parler, pendant presque deux semaines, des vrais problèmes qui se posent au pays. Ils cherchaient porte de sortie... ça a été l'abaya : on ne parle que de ça depuis que la dernière tentative du Président de ''faire le buzz'' (sic !) en r��unissant tous les partis politiques dans une zone de ''non-droit'' (NDLR : on se demande à quoi peut bien servir une Assemblée nationale'', dans cette république bananière !).
Car imaginez-vous que, une fois n'est pas coutume, tout le monde est d’accord : toutes tendances politiques confondues, 81% des Français (même un peu chez les Verts et –encore un peu moins-- chez LFI) sont pour l'interdiction de ce phénomène ultra-minoritaire : à cette ''rentrée'', 298 élèves se sont présentées en abaya et 67 ont refusé de l’enlever, soit 0,001% des collégiens/lycéens de France. Et pourtant, aujourd’hui encore Google Actu recensait 96 000 articles sur l’abaya… soit 5 fois plus que d’articles consacrés au "niveau scolaire français", a calculé l'excellent site ''TTSO''. Moralité : Semez des ''clashes'' artificiels et vous aurez un vrai bordel.
Une chose me frappe, ces temps derniers –qui, pourtant, ne donnent pas facilement envie de se marrer à propos de... quoi que ce soit. Mais comme c'est à propos de Gaza et de la guerre du Hamas et bientôt du Hezbollah contre l'Etat d'Israël (et vice versa), je vais commencer par plaider innocent : ''C'est pas moi qu' a écrit ça, M'sieu l'Agent, c'est l'autre''. C'est que nous nous trouvons devant un conflit encore plus ''fabriqué'' que celui de l'Ukraine (NDLR - … qui, soit dit en passant, suit presque au mot près ce qui avait été annoncé ici depuis son origine, ce qui n'est une bonne nouvelle que pour ma capacité à ''Comprendre demain'' : dans cette triste histoire, la morale ne pouvait que perdre sur tous les tableaux, quel que soit le vainqueur, entre celui qui devait objectivement gagner, ou celui que les honnêtes gens croyaient préférer --après avoir été ''remontés'' pour ça avec un soin tout particulier, et désinformés sans pudeur !).
Mais revenons à l'autre sujet du jour : Gaza. Chacun des 2 ou 3 belligérants, plus leurs commanditaires plus ou moins déclarés, n'a qu'une seule idée en tête : éliminer l'autre à tout jamais. Moyennant quoi, tous les idiots utiles présents dans toutes les capitales défilent en rangs plus ou moins serrés pour exiger ''la Paix'', déguisée en ''Salam'', ici, et en ''Shalom'', là : c'est la même chose que nos ''Salut, salud, salve'', comme si le phénomène ''Paix'' était un truc qui se décide ou se gagne en défilant dans les rues derrière des banderoles sans la moindre signification, et comme si il ne fallait pas être deux (au moins !) pour faire un petit pas dans cette direction. Mon Dieu, qu'ils sont cons ! (Excusez-moi, mon Dieu, c'est plus fort que moi !).
Et en plus, tous nos hommes politiques (qui ne sont le plus souvent ni l'un, ni l'autre, mais qui refusent de s'en rendre compte) passent leur temps à se gargariser avec le syndrome gauchiste du ''Pas d'amalgame'' : en France, depuis le stupide Cazeneuve, il est interdit de constater que le Hamas et le Hezbollah ne sont rien d'autre que des terroristes fous furieux aux mains sanglantes, sans être obligé d'ajouter, totalement hors sujet : ''mais tous les gazaouis ne sont pas pour le Hamas''. C'est un peu comme si, à chaque fois qu'on dit ''il pleut'', il fallait se ruer pour ajouter, à temps et surtout à contre-temps : ''mais il y a des jours où il ne pleut pas !''. C'est ridicule, et cela ne correspond à aucune analyse sérieuse. Depuis le 8 ou le 9 octobre, en ai-je entendu, sur nos chaînes complaisantes, des gazaouis victimes --ou parents de victimes-- des catastrophes collatérales causées par le rouleau compresseur israélien.
J'ai dû tomber à chaque fois sur les plus mauvais, car jamais je n'ai entendu un seul de ces pauvres gens bien à plaindre, dire ''le Hamas nous a pris en otages, et c'est pour ça que nous souffrons tant de la part d'Israël'' ! Bien au contraire, je n'ai entendu que ''ma mère (mon père, mon frère, ma fille, mon ami, mon voisin...) a été assassiné(e) par les juifs et est mort(e) en martyr pour la cause palestinienne''. C'est à croire que la langue arabe s'est rétrécie aux seuls mots ''shahid, yahoud, philistini''... (= martyr, juif, palestiniens), les derniers cités persistant à ne penser qu'à jeter les seconds à la mer grâce aux premiers. Et nos crétins diplômés continuent à voir dans une partition entre frères plus ennemis que frères l'ombre d'une solution possible ! Il faut être Biden, pour croire ça... Ou Macron, hélas ! Pourquoi ne pas admettre que certains conflits ne s'arrêtent que par attrition, par la disparition d'un des antagonistes– ou les deux parfois, ou par l'usure des siècles...
On connaît tous le lieu commun le plus éculé des 30 dernières années : ''le Hamas ne représente pas l'ensemble du peuple palestinien'', pendant plus ou moins parallèle du ''tous les musulmans ne sont pas radicaux''. Anthony Blinken, le Secrétaire d'Etat US (= ministre des Affaires étrangères) a même été jusqu'à renouveler à Abbas, ''le soutien permanent des États-Unis au peuple palestinien'', puisque ''les terroristes du Hamas ne représentent ni les Palestiniens, ni leurs aspirations légitimes à l'autodétermination et à un régime de dignité, de liberté, de sécurité et de justice''. (NDLR : qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre ! Dans le genre ''N'importe quoi'', on fait difficilement mieux !). Mais comment font-ils pour ne pas voir toutes les manifestations et rassemblements de masse en faveur du Hamas, après le carnage du 7 octobre (et même avant !) et liés directement aux atrocités commises ?
Le mois dernier, un sondage a confirmé que, en cas de nouvelles élections présidentielles, le chef du Hamas, Ismail Haniyeh, serait élu avec 58 % des voix (37 % pour Mahmoud Abbas, ''terroriste modéré''). C'est le pourcentage des Palestiniens qui soutiennent la ''lutte armée'' (= le terrorisme, NDLR) contre Israël. En juin dernier, un autre sondage révélait que pour 66 % des palestiniens, Israël ne célébrera pas son 100eme anniversaire et que le peuple palestinien sera en mesure de ''récupérer la Palestine dans le futur'' (c'est-à-dire de détruire Israël). D'ailleurs, 71 % des Palestiniens sont pour des groupes armés pour assassiner des Israéliens). En d'autres termes, entre un sur deux et trois sur quatre des Palestiniens partagent la finalité officielle du Hamas : éliminer Israël, comme il est écrit dans la charte de 1988 de ce groupe terroriste.
Il n'empêche que lundi dernier (le 6), Mathieu Bock-Côté ayant prononcé le truisme auto-nettoyant ''les palestiniens ne sont pas tous des etc...'', Christine Kelly l'a interrompu sèchement : ''la grande majorité ! ''. D'où invente-t-elle les contre-vérités dont elle nous fait le cadeau empoisonné ? Je suis preneur de toute source qui ne soit pas ''complotiste'' –ce qui veut dire : conforme à la doxa officielle... C'est dans un tel déni-par-système que l'actuelle majorité-non-majoritaire cherche à nous refiler cet autre cadeau empoisonné qu'est sa loi pour ne pas résoudre les vrais problèmes que pose au monde entier (et à nous au tout premier chef) une immigration totalement incontrôlable... puisque incontrôlée. Si nous fermons les yeux assez longtemps... le problème finira bien par disparaître, tant en Israël et en Palestine qu'en France... Gaza ? L'Ukraine ? L'inflation ? Nos fins de mois ? Restons sérieux, voyons ! Ce qui est important, c'est l'abaya, le tchador ou le khamis... Et nous... continuons à foncer ''à tombeau ouvert'' (c'est le cas de le dire) vers des lendemains sans futur...
H-Cl
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kiala-story · 1 year
Text
•Il lève la main contre toi•
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Mention : Violence - Angoisse - Pleure - Injure - Blessure
Personnages : Mikey - Ran - Taiju - Sanzu
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Mikey (Kanto) :
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Comment en sommes-nous arrivés là ?
C'était la nuit de trop.. la fois de trop !
Tu avais attendu ton petit ami une bonne partie de la nuit car tu étais très inquiète.
Il finit par rentrer vers 4h du matin avec son uniforme blanc et ses cheveux longs a peine coiffé.
Tu te lèves inquiète et te dirige vers lui énervé.
"Bon sang Mikey mais où étais-tu encore ?" lui dis-tu serrant les dents de toutes ses forces.
Un regard noir et profond sans aucune compassion envers toi.
"Cela ne te regarde pas" Finit il par dire froidement avant de te contourner pour aller se placer dans le canapé.
Tu le suis déterminé à avoir des explications de sa part.
"Je voudrais que tu me répondes quand je te parle !" Dis tu le regardant droit dans les yeux.
Avant même que tu puisses redire quelque chose il se lève et frappe le mur juste à côté de ta tête, te laissans sans voix toute tremblante.
"A qui crois-tu parler ?" Son regard pesant sur le tient prêt à te tuer à tout moment.
"Je...Je parle à mon copain ! Celui avec un bon coeur !" Cris tu contre lui.
Il se mit donc à rire, te laissans perplexe à sa réaction.
"Moi ? Ton copain ? Tu n'es personne pour moi." Dit-il avec certitude dans sa voix.
Des larmes incontrôlables coules de tes yeux subitement après ces paroles dures.
"Mik- !" Tu ne eu le temps de finir ta phrase qu'il colle à sa main sur ton visage écrasante à tête contre le mur.
Une douleur de lancinant la tête tres violemment devenant presque insupportable.
Une énorme angoisse ce créé en voyant son regard plus dur que celui d'avant.
"Tu n'es personne pour moi ! Retiens bien ça." Dit-il en enlevant sa main ta tête pour se rassoir son canapé tranquillement.
Trop choquée tu prends ton sac à main ta veste et tu pars en courant de la maison afin de t'éloigné le plus possible de cet homme violent qui a là-bas c'est un gars bienveillant et aimant.
Ran :
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Tu t'attendais vraiment pas à ce que ce jour arrive.
Tu avais entendu plusieurs rumeurs à son sujet... Mais tu t'es dit qu'avec toi il ne serait pas violent...
Du moins c'est ce que tu pensais.
J'avais passé une longue journée au lycée tu finis par rentrer accompagné de ton meilleur ami avec qui tu as une excellente complicité.
Il était clair que vous étiez assez proches mais pas assez pour vous puissiez être en couple vu que tu étais avec Ran et que lui avait déjà également une copine.
Tu avais beau expliquer à ton petit copain que ce n'était qu'un simple ami, celui-ci ne le vois pas de cette manière.
Tu dis aurevoir à ton ami qui part de son côté, tu finis par rentrer dans l'appartement de ton petit ami pour y passer le week-end comme toutes fins de semaines.
"Je suis rentré !" Dis-tu avec joie.
Tu vois ton petit ami torse nu les cheveux détacher au vent en train de fumer sur le balcon.
Ton regard se dresse automatiquement sur son tatouage parcourant une bonne partie de son corps.
Tu te rapproches de lui afin de venir lui afin de l'enlacé après cette dure journée.
"Bébé ?" Dis tu te rapprochant de plus en plus de lui
"A quoi tu joues ?" finit il part dire te regardant avec un regard glacial.
Tu arrêtes tout mouvement essayant de comprendre sa réaction.
Pour quelle raison dire demander ça ?
"Je te demande pardon ?" Le regarde tu le questionnant.
Sa mâchoire se resserre, Il jette sa cigarette du haut du balcon te ramenant contre le mur plaçant ses mains autour de ton cou.
"Tu veux me quitter pour lui c'est ça ?!" Dit-il vert de jalousie.
Tu places tes mains sur les siennes pour desserrer un maximum la pression sur ton cou t'empêchant de respirer.
"Ra-..argh" Tu essayes de respirer cela dit c'était possible, il resserrer sa prise de plus en plus.
"Ce mec te donnera rien comparé à moi !" Criats t-il hystériquement.
Tu te débat le plus possible réussissant à retirer ses mains, tu tombe au sol toussant reprenant ta respiration difficilement.
"Ce n'est qu'un....putain d'ami !" Essaya tu de lui dire.
Réalisant ce qu'il venait de faire il tenta une nouvelle approche pour te serrer contre lui.
"Béb-... Je.. Je suis désolé...pardon ! Je ne voulais pas...!" Bégaya t il.
Tu ne lui laissera pas le temps d'essayer que tu te leva d'un coup courant vers sa porte prenant au passage ton sac les larmes coulant sur t'es joues brulante et la peur au ventre.
Les cris de ton petit copain raisonna dans toute l'apartement.
"Y/N ! Je t'en prie reviens !" Criats t-il en fond.
Courant dans les rues de Roppongi sans but précis tu voulais juste te tenir loin de ce garçon qui voulais clairement te tuer.
Taiju :
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Tu connaissais déjà sa réputation d'un violent.
Mais stupidement ton coeur est tombé amoureux de lui, te laissant croire qu'il avait changé
Quelle naïveté as-tu fait...
Tu avais passé une bonne journée à l'université, tu avais décidé de rentrer tranquillement pour te détendre.
Enfin rentrés chez ton copain tu ne le voyais pas à la maison... Tu t'en inquiétez pas plus que ça puis pars dans la salle de bain.
Tu prends une douche tranquillement puis tu entends un gros claquement en bas.
Tu te mets en pyjama vite fait et descend pour rejoindre ton copain.
"Taiju ?" Dis tu le cherches dans la maison.
Son regard se tourne directement vers toi revenant sur ses pas. Il t'a pris violemment par les épaules te surprenant.
"Où étais-tu bordel ?!" De crier a-t-il dessus.
"Comme tous les jours j'étais à la fac bébé" dis-tu calmement
Cela dit tu viens de comprendre que tu étais rentré 2 heures plus tard que d'habitude... En soit tu n'avais absolument pas prévenu.
Mais pour toi cela ne justifiait pas sa réaction actuelle
"J'étais à la bibliothèque en train de réviser mes cours sais rien !" Comment ça tu a haussé le ton
Soudainement un douleur sur ta joue s'installe en quelques secondes te retrouvant au sol.
Il venais de te frapper sans aucune raison. Tu reste choqué de son attitude.
"N'osent même plus aussi le ton contre moi" Dit-il d'un ton très calme.
Tu n'as même pas répondu trop effrayée de ce qu'il pourrait te faire ensuite. Tu as simplement hocher la tête.
D'un coup tu penses à la porte d'entrée que tu avais heureusement oublié de verrouiller à ce moment-là.
Taiju te tourna le dos pour repartir a ses activités.
Tu en profita pour d'un coup d'adrénaline tu te lèves pour te dirigé en courant vers la porte et partir le plus loin possible.
Sur le moment il n'a pas eu le temps de te rattraper.
Il reste la choqué repensant à ses actes soudaine, ses yeux s'écarquille en repensant à tout ce qu'il avais fait subir à ses frères et soeurs.
Il regrettait toujours ses actes et quand il a pensé à ce qu'il t'a fait actuellement il voulut se frapper lui-même.
Il s'en voulait terriblement...
Depuis ce jour tu n'as plus voulu allez en cours de peur qu'il vienne devant la fac, tu la supprimer de partout.
Quant à lui Il désespérait de ne plus te voir et de plus avoir de contact avec toi.
Sanzu (Kantô) :
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Sanzu et toi êtes ensemble depuis ta première année de lycée.
Sanzu à un côté assez fou ce qui t'a fait craquer chez lui.
Car tu étais un peu près pareil, assez folles dans ta vie tous les jours.
Mais quelque chose en ce moment à déraper chez lui...
Il rentrait sois il était violent ou te parlais mal par moment il t'ignorait ou alors il te faisait des crises de jalousie pour rien.
Chaque jour est une surprise... Donc tu ne pouvait jamais savoir ces réactions.
En ce jour actuelle il était rentré complètement fou.
"Sanzu ?" Dis tu le regardant rentrer à la maison.
"Y/N...Pourquoi es-tu si cruelle avec moi ? Hum ?" Dit il s'approchant tout un téléphone à la main
Tu ne comprenais pas actuellement ce qui se passait il était complètement fou son visage avait changer complément.
"Comment ça ?" Répond-tu
Il allume son téléphone et te montre plusieurs photos qui te laisse sans voix.
"C'est bien toi sur ces photos non" dit t'il avec sa voix dur et froide.
"Bébé...Comment tu ces photos ? C'était il y à longtemps quand j'étais avec mon ex..." dis-tu tremblante.
Je ne savais pas que ces photos sexy de toi que tu avais envoyé il y a longtemps à ton ex allait ressortir pendant ta relation actuelle.
Ce qui te questionnait le plus était de savoir comment il avait eu ses photos..
"Avec moi tu sors des excuses à chaque fois... Mais avec lui tu avais l'air de te lâcher" Dit il avec toujours autant de violence.
Si tu avais décidé au fond de toi de ne plus faire ce genre de photo c'est parce que avec ton ex ii c'est passé énormément de problème avec ça.
Ce que Sanzu ne savait pas c'est qu'à cause de ces photos là tu as eu une toutes t'es années de collège gâcher à cause du harcèlement que tu as subit et des violence et chantage de toin ex.
"Tu ne connais rien de mon passé tu n'as pas à me dire ça !" Criats tu contre lui.
Ses mains viennent entourer ton cou se plaçant au-dessus de toi mettant tout son poids pendant que toi tu es en train de t'étouffer sur le canapé.
"Argh...San-...zu" Essaye tu de respirer
"Arrête de mentir! Tu ne m'aime plus ? Tu le préférais lui pas vrai ?! Tu continue de lui en envoyé hein !? " Cria-t-il hystériquement
Tu commences à tousser et et à te débattre pour échapper de son emprise, paniquer.
"Argh..Je-...t'en pris" Dis tu manquant d'air.
Il écarquille les yeux soudainement retirant ses mains brutalement de ton cou, tu tombe sur canapé pour pouvoir reprendre ton souffle correctement.
Tu étais à 2 doigts de vomir à force de tousser brutalement.
Bébé ? Qu'ai-je fais ? " dit-il tremblant regardant ses mains.
Il tente de s'approcher de toi mais tu recules jusqu'à te prendre le dos contre le mur de la salle.
"Ne..- t'approche pas !" Cris-tu contre lui les larmes au yeux.
"Attends...Y/N! Pa-pardonne moi !" Répond-il en criant en retour
Tu te relève d'un coup pour partir de l'appartement avec t'es jambes tremblantes sous le regard attristé de ton petit ami qui ne savais plus quoi faire.
Tu t'arrête devant la porte te retournant une dernière fois vers lui.
"Tu es une personne violente, je pensais naïvement que tu m'aimais sincèrement. Mais un homme qui s'attaque a une femme.... N'est rien d'autre qu'un déchet Sanzu. Prenons nos distance pendant un moment, j'ai besoin de m'éloigner et que tu réfléchisse sincèrement a t'es actes stupides." dis-tu le regardant de haut.
Suite à t'es paroles tu quitte l'appartement laissant Sanzu dans la réflexion totale.
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