Tumgik
claudehenrion · 5 days
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Absence bien involontaire...
Chers ''Amis-lecteurs'',
Pour la première fois depuis le 15 novembre 2011, date de l'éditorial inaugural de ce Blog (qui n'avait pas, alors, le moindre projet d'une durée si longue, si riche et si fructueuse), je suis obligé de déclarer ''forfait''. Une convergence de plusieurs crises d'origines diverses, mêlant une violente attaque virale à des pathologies présentant des bouts d'embolie pulmonaire et des morceaux d'épanchement pleural, m'ont littéralement mis ''au tapis'' : j'ai le plus grand mal à reprendre mon souffle !
A mon habitude, j'essaie de prendre un truc grave ''à la rigolade'', mais je dois avouer que l'alerte a été sérieuse. Elle m'est tombée sur la cafetière hors de tout propos : en grande forme, j'étais en train de charger ma voiture pour me sauver vers mon cher Mougins (NB : imaginons que cette ''crise'' m'ait frappé 4 heures plus tard ! Je ne serais sans doute plus là pour vous en narrer les péripéties, éparpillé entre 2 platanes !). En même pas deux secondes, je me suis retrouvé dans l'impossibilité absolue du moindre mouvement : debout dans mon salon, je n'étais pas capable de m'asseoir sur un fauteuil, ou de marcher jusqu'à mon téléphone !
Dix-douze jours plus tard, c'est avec peine que j'arrive à me dire que je vais mieux... et à m'en convaincre. Je n'ai pas la plus petite idée de la date à laquelle je pourrai ''reprendre mon service'', mais je pense qu'un petit délai de sécurité va s'imposer, même si l'envie de vous retrouver, tous, dans nos échanges quotidiens, est aussi forte qu'elle l'est depuis bientôt 11 ans. Je ne peux que m'excuser auprès de vous tous de ce ''faux-bond'' vraiment involontaire : tant d'années sans un seul petit ''manquement'' constituent , je crois, une preuve de mon envie de revenir vite...
Je ne peux que vous demander de surveiller vos ''boites'' pour ceux qui sont abonnés... et d'aller tous les 2 ou 3 jours ''à la pêche'' pour ceux qui ne le sont pas. Pour ma part, je fais tous les efforts dont je suis capable, aidé par des amis-médecins au dessus de tout éloge, pour me retrouver à nouveau, chaque jour, sur vos écrans.
Très amicalement, mais encore très faiblement à vous
H-Cl.
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claudehenrion · 23 days
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Enfin une bonne nouvelle ?
Vous n'allez pas me croire... Pourtant, parfois, à l'opposé complet de tout ce que racontent tous les perroquets officiels (et Dieu sait s'ils sont nombreux et ne reculent devant rien !), il arrive un moment où finit par surgir de la brouillasse ambiante une vraie bonne nouvelle. Celle dont je veux vous parler aujourd'hui ressemble un peu à une divine surprise : ''LA VRAIE BETISE EST AUTO-DESTRUCTRICE''... et cette révélation frappe nos pitoyables dirigeants comme une pandémie (mais une vraie, cette fois !).
Les exemples abondent, hélas, de la malveillance, intentionnelle à en être vicelarde et qui paraît parfois être ''par système''... avec laquelle nos incapables ''leaders'', irresponsables mais très coupables, mènent le pays à sa perte. Immigration, écologie, Europe, démographie, dette, fiscalité, paix civile et sécutité, école, etc... la bêtise de chacune de leurs décisions crève les yeux de qui veut bien ne pas garder les siens ''grands fermés''. La démonstration –si besoin était-- de leur inaptitude chronique à trouver de bonnes solutions aux problèmes qu'ils devraient résoudre vs. les mauvaises solutions qui semblent être les seules qu'ils soient capables d'imaginer, tient en un seul souvenir, lourd de honte et de bobards : le covid.
Quand un groupe d'êtres plus inhumains que humains, mais nuls, devient détenteur d'une autorité qu'aucun d'eux ne mérite... et a le culot –devant la face du monde, le jugement à venir de l'Histoire, et la totalité de ses contemporains (ravalés au rang de sujets traités en objets)-- d'oser formuler le tiers du quart des phrases qui nous ont été imposées ''H 24'' et ''7 s/7'' pendant des mois, sans aucune raison valable ni, d'ailleurs'' le moindre début d'excuse, de pardon ou de mea culpa... c'est qu'ils (ces nuls) s'imaginent tout permis et se croient protégés par une immunité ''de système'', elle aussi. Décidément, plus on creuse et plus la ''bonne nouvelle'' annoncée en titre de cet éditorial se révèle être une catastrophe, pour d'autres : ''LA VRAIE BETISE RAVAGE TOUT'' !
La volonté de destruction de ces nuisibles touche tous les secteur de l'activité et de la pensée : le but officieusement poursuivi officiellement (vous suivez ?) est que plus personne ne s'y retrouve : toutes les références doivent sauter pour soi-disant permettre à leur rêve cauchemardesque d'un hypothétique ''homme nouveau'', indéfini en tout, de pouvoir exister dans son inexistence. Les instigateurs-propagateurs de ces idées mortelles et sans le moindre sens vont donc ''détricoter'' l'un après l'autre tous et chacun des ''chapitres'' de l'activité humaine et de toute civilisation.
Nous avions mentionné plus haut le covid, mais les mêmes stratégies de recherche d'absurde à tout prix se retrouvent partout, de l'atome à l'immigration, de la dette nationale aux jeux olympiques (que Alain Bauer, pourtant pas un excité, qualifie de ''crime-tels-qu'ils-sont-envisagés''), du conflit russo-ukrainien aux fantasmes russophobes de l'Elysée, de l'Europe à... l'Europe (car là, avec la mère von den truc, on est dans la folie au carré !), de l'industrie à l'agriculture ou du soi-disant ''sociétal'' à la religion –ou, plus exactement, au seul christianisme, l'islam ayant toutes les faveurs de nos ravageurs : il est nettement plus proche de la volonté de destruction que, par exemple, le catholicisme qui bâtit sans cesse, transmet, s'améliore et veut le ''vrai bien'' des hommes !
Et puisqu'on vient de mentionner cet ''ennemi public n°1'' des vrais ennemis des peuples que sont nos actuels ''maîtres-à-penser-de-traviole'', laissez-moi partager avec vous un de mes grands sujets de tristesse du moment : vous rendez-vous compte que le promeneur moyen, de nationalité française (NDLR - Même s'il n'est pas un de ces ''français de papiers'', ces fruits blets de lois injustifiables et d'une administration pyromane, qui n'ont de français que leurs ponctions moralement indues sur notre richesse nationale), qui se balade le nez au vent dans les rues de Paris (si ce modèle ancien existe encore !) est incapable de savoir à quoi ou à qui correspond le nom de 90% des rues, des places, des avenues qu'il emprunte ou croise, et que, lorsque le même promeneur va tomber (et dans les villes françaises, c'est à peu près tous les kilomètres) sur une superbe église ou sur une de nos sublimes Cathédrales, il ne saura pas trop à quoi peut bien servir ce grand bâtiment ou à quoi correspond le drôle de nom dont on l'a affublé...
Mais puisque je parlais ''d'une bonne nouvelle'' dans le titre de cet éditorial, permettez-moi, s'il vous plaît, le grand bonheur de vous confirmer l'effondrement dramatiquement spontané donc raisonné des ventes de véhicules électriques, hybrides ou pas, dans tous les pays. Je crois avoir été l'un des très rares –et un des tout premiers-- à prendre dès le début une position très risquée sur ce sujet écolo-politique, et à vous parler, souvent, de cette ''arnaque du siècle''. Tant que des gouvernements, myopes au point d'en être aveugles, ont subventionné dans des proportions insensées les achats de voitures électriques, on a pu croire à un succès de la folie sur l'intelligence. Ça ne pouvait pas durer longtemps ! La raison, normalement, reprend ses droits et l'intelligence, ses prérogatives !
Dès que l'actualité a rendu obligatoire l'arrêt de toute urgence des conneries absolues, la vérité a surgi du puits, belle, calme, incontournable, majestueuse : on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif. Je suis si content de cette manifestation (très attendue, en ce qui me concerne) de la Justice immanente (dont les lecteurs réguliers de ce Blog connaissent l'importance pour moi...) que je vous en reparlerai très bientôt, ne serait-ce que pour vous confirmer –si besoin était-- que ''La Vraie bêtise est auto-destructrice'', CQFD !
H-Cl.
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claudehenrion · 24 days
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Crac ! Boum ! Hue ! (etc...)
Surtout, ne me faites pas dire ce que je ne pense pas : ce titre n'est en rien une revendication de ma part. Non, je n'ai pas, comme Jacques Dutron avait la chance d'en avoir un dans sa jeunesse, ''un piège à filles, un truc tabou, Un joujou extra qui fait crac boum hue''... Et, hélas, ''Les filles ne tombent pas à mes genoux''. En revanche, dans mon immeuble parisien, un voisin a profité de ses vacances pour se lancer dans des travaux iso-hidalguesques. Je ne sais pas à quelles destructions sont destinés les bruits incroyables qui provoquent mon réveil depuis quelques matins, mais ses corps de métiers doivent se prendre pour des décathloniens... ou pour le ''truc'' de Dutron !
Si je vous raconte ça, c'est parce que grâce à une ''pub'' parue dans le quotidien gratuit ''20 minutes'' et transmise par Alain Rémond, de ''La Croix'', je suis tombé sur une proposition d'expérimenter une toute nouvelle technique dite ''de relaxation sonore'' : si je veux vraiment être enfin bien dans ma tête, dans mon corps, et partout ailleurs, il me faut absolument ''des vibrations sonores''. Question à 100 $ (US) : ''C'est grave, docteur ?''. La réponse est : on verra plus tard... car pour le moment, il semblerait que je manque dramatiquement de cette invention ''ultra-quelque chose '' et ''extra-pleine de trucs'', dont une sophrologue-spécialisée-en-relaxation-sonore vante les mérites indubitables (?) dans la dite pub. ''Ces massages sonores, affirme-t-elle sans faiblir, sont la base d'une science nouvelle, la (je cite) sonopuncture'' qui, si j'ai tout compris, serait exactement la même chose qu'une acupuncture dont l'aiguille serait remplacée par des sons (c'est un peu comme un coq au vin, qui serait fait avec des andouilles de vire et des tripes à la mode de Caen !).
''Les vibrations sonores –explique-t-elle-- se propagent à travers les os, et le cerveau est (donc ?) directement atteint sans effort'' (Questions : atteint où, par quoi, venant de qui ?). Le résultat est sans appel  : c'est épatant ! On est relaxé dans tous les sens, comme jamais. Et c'est pour qui, toutes ces merveilles ? Mais pour tout le monde, voyons ! Pour vous et pour votre belle-mère... ce qui m'a remis en mémoire une émission récente de FR3, sur le thermalisme : devant l'effondrement du nombre de gens intéressés par ce sport, la station de Bagnères-de-Bigorre a remplacé la fréquentation de ses sources chantantes par... des siestes interminables sur un lit sous lequel des abeilles (par milliers, par trilliers, par ruches entières) font vibrer leurs ailes... ce qui vous guérit de toutes les mêmes choses que ''les eaux'' jusque là (ça me fait penser aux belles-mères à cause de la possibilité d'une erreur d'aiguillage qui donnerait à ces hyménoptères pleins de piquant(s) l'envie de se tromper d'étage... et là, ''Bonjour les dégâts'' !).
Vous allez me dire : quel lien avec ton voisin d'immeuble ? Mais voyons... dans le caractère relaxant et curatif du bruit ! Je veux parler du miracle de la ''sonothérapie'', dont je suis en mesure de mesurer à leur juste mesure les avantages (pour moi rigoureusement introuvables) et les inconvénients (dont je tiens la liste à votre disposition : elle n'entre pas dans les limites fixées par mon fournisseur d'espace !). Mais je peux vous dire que, depuis quelques jours, j'expérimente, à fond la caisse, les massages sonores, les voyages éponymes, la sono- et la -puncture et que, jusqu'à cet instant, cela ne marche pas avec ou sur moi. Mais alors... pas du tout !
En fait, si quelqu'un pouvait être intéressé par mon avis (ce qui est rarement le cas...), je dirais même que ça a un effet rigoureusement inverse : les perceuses et les marteaux-piqueurs semblent créer sur mon système nerveux des dégâts collatéraux qui me foutent un coup de vieux dont je n'avais absolument pas besoin. Je peux même vous dire que le seul fait d'entendre des murs d'habitude protecteurs se mettre à trembler comme un volcan en Islande, et menacer de s'écouler après s'être fissurés comme un hôpital à Gaza, m'angoisse et génère en moi des torrents de gros mots et d'insultes que je n'avais pas éructées depuis les années (à peu près trois, comme toute ma classe d'âge !) où je fréquentais assidûment l'institution militaire en tant que ''Maintenu''.
En fait, j'en ai même tiré une sorte de règle générale : ''Plus ça vibre, et plus je stresse !'', et plus je suis enveloppé, jeté, trimballé, secoué, violenté et j'en passe, dans une solitude généralement réservée aux coureurs de fond, pour paraphraser Alan Sillitoe (''The loneliness of the long distance runner'' –1959). Et, un peu comme les paysans français ou les habitants du Pas de Calais, j'ai une forte impression d'abandon, de ''trop, c'est trop'', et de ''personne ne m'aime''...
C'est d'ailleurs à cette impression d'abandon que vous devez cet édito encore plus ''déjant��'' que les autres : il fallait que je partage ma ''différence ressentie'' entre les textes qui circulent, en cette période où la folie sort de plus en plus souvent des asiles … et le ressenti, justement, d'un pauvre citoyen lambda confronté aux terribles réalités du siècle ! Pour un peu, je deviendrais sartrien (c'est vous dire combien je suis touché, en profondeur !), au point de penser que l'enfer, c'est le bruit des autres ! Bonne sieste et à demain, pour un sujet plus sérieux...
H-Cl.
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claudehenrion · 25 days
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Bienvenue –si j'ose !-- en enfer...
Dans un délai qui risque d'être court, cette ''Fête de Pâques 2024'' restera comme la date officielle du début de la fin de ce qui fut la France : depuis le 15 novembre 2013, ce blog, s'appuyant sur mon arabophonie et ma connaissance de la civilisation arabe –c'est à dire, à peu de choses près, le Coran-- a répété, billet après billet, que nous allions vers une bérézina... Combien de gens de bonne foi et bien intentionnés m'ont écrit que j'étais pessimiste, que je voyais tout en noir...
Et soudain, voilà que toutes les boutiques de sondages se mettent à changer de discours et découvrent ce qu'elles refusaient de voir : les français sont inquiets à en paniquer, ils sont plus pessimistes que je ne l'ai jamais été, et les vrais chiffres sortent enfin des armoires où on les tenait cachés… Faut-il que tout aille mal, pour que nos armadas de vrais parasites/faux démocrates, nos laïcards de salon, nos soi-disant républicains, nosgauchistes d'opérette et nos révolutionnaires du ''Flore'' en soient soudain réduits à dire la vérité, comme de vulgaires hommes de Droite : neuf français sur dix osent enfin dire qu'ils ont peur, dans leur vie de tous les jours, et que l'insécurité progresse à toute vitesse... 72% d'entre avouent ne pas faire confiance au gouvernement pour les protéger (dixit Odoxa, devenue brutalement honnête), et 6 sur 10 ont décidé de se défendre eux-mêmes (alarmes, armes de poing, sports de combat).
Jusque là, on pouvait craindre qu'une passion pour le déni du réel, un attrait pour les idées de Gauche –toutes mauvaises-- et un refus de ce qui n'est pas conforme au grand mensonge qui sert de fondement à toutes nos idéologies mortifères, ne soient devenus de plus en plus difficiles à contourner : le ''système'' en place avait réussi à tout bloquer ! Des gouvernements peuplés d'aveugles et de nuls (mais tout puissants) nous interdisaient tout ce qui n'était pas ''pile-poil'' conforme à leur mensonge, via l'injustifiable (et démodé) enrégimentement à Gauche de 99 % des journalistes (qui doivent être tenus pour co-responsables de tous les maux qui nous tombent dessus). Ils ont été jusqu'à inventer des ''pandémies'' inexistantes pour nous cacher la seule pandémie (qui, elle, en est une, et ''mahousse'' !) qui nous menace vraiment : l'islam triomphant.... aidé dans sa marche par leurs silences et leurs mensonges ! Cet arsenal mortifère nous conduisait peu à peu là où ils voulaient que nous allions : en enfer. Nous n'y sommes pas encore, mais ''on n'en a jamais été aussi près'' !
Nos lamentables gouvernants, incapables --par système, mais aussi par absence d'intelligence et de référentiels culturels-- de désigner par leur nom toutes les horreurs dont ils ont fait notre quotidien, ont brutalement ouvert les yeux, et viennent tout juste de commencer à entr'apercevoir la série de catastrophes à laquelle leur impéritie et leur imprévoyance ne nous laissent que très peu de chances d'échapper : ceux qui ont vu clair ont baptisé ce drame ''le grand remplacement'', pendant que les idiots-utiles parlaient ''d'une chance pour la France''. Cherchez l'erreur !
On en revient toujours à Camus : ''Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde''... sauf que nos faux guides ne nomment même pas : ils esquivent ! Dans un torrent de pensée à l'envers, ils essaient de nous faire avaler que si on est pour la paix, on est pro-poutine... si on est pour dire la vérité, on est complotiste... et si on aime la France en tant que ce qu'elle est (et non en souhaitant leur enfer-sur-terre), on est facho... Notre cas semblait sans espoir...
Devant ce changement, la panique de nos apprentis-ministricules si peu professionnels devrait faire de la peine à voir... sauf que, ayant fait tout ce qu'il ne fallait pas pour que le ciel leur tombe sur la tête, ils n'ont que ce qu'ils méritent ! Nous allons, nous, souffrir ''un max'', mais en ce qui les concerne... ''c'est bien fait pour leur gueule''. Et ils croient nous impressionner en ayant mis devant chaque église, pour Pâques, (''quoi qu'il en coûte'', ajouterait sans doute leur chef, s'il ne s'était pas réfugié dans un inutile ''sauvetage -sic !'' de la forêt amazonienne --qui, sans lui, est condamnée... tout le monde sait ça !-- en veillant à ce que ses costumes voyagent sur un siège ''First Class'', plein prix. Honte à lui !), des militaires lourdement (?) armés des quelques sarbacanes qui nous restent encore, après que nous ayons sacrifié nos arsenaux et nos réserves stratégiques au fantasme anti-poutinien du chef... La vérité ? On ne les croit plus, c'est tout.
Vous rendez-vous compte de ce que signifie cette déroute en rase campagne ? Au nom d'une ridicule ''laïcité'' résiduelle, vidée de son sens et de tout intérêt, seul le christianisme est interdit de pratique, de respect et de considération, en France, où seuls comptent les choix supposés de quelques minorités, surtout si elles ne sont représentatives de rien ou de quelque dépravation indescriptible... Des pouvoirs hostiles ont pris le pouvoir dans nos banlieues, dans nos villes, nos campagnes, nos villages... et nous avons de moins en moins les moyens d'assurer la sécurité dans nos rues... Si Jules Romains revenait parmi nous, il ne ferait plus de ''Ambert et Issoire'' deux ''trous de province'' où des ''Copains'' (joués, plus tard, par Philippe Noiret, Guy Bedos, Pierre Mondy et Claude Rich, accompagnés par Les Copains d’abord de Georges Brassens) exerceraient leurs talents... mais des lieux de ''points de deal'' ! Sic transit gloria mundi, hélas !
Aujourd'hui, la population française –qui n'ose même plus se revendiquer telle, tremble en permanence pour son intégralité physique (je ne parle même pas de son intégrité morale...) pour ses biens, pour ses femmes et ses filles, pour ses enfants visés par les drogues les plus immondes... Notre langue est battue en brèche et arabisée, notre magnifique culture est niée par celui-là même qui devait la promouvoir, nos modes de vie menacés par la violence la plus barbare, et notre histoire, si riche, remplacée par des enchaînements de bobards dont pas un seul ne tient la route, mais que des ''cavaliers d'Allah'' barbus et sales interdisent de mettre en doute, puisqu'ils sont archi-faux !
Au nom de notre gloire fanée, et dans l'irresponsabilité la plus totale... nous avons fait la danse du ventre pour organiser des jeux olympiques qui ne devraient logiquement plus être ni l'un ni l'autre : nous n'avons plus un kopek vaillant en poche, et ceux que nous jetons par les fenêtres vient de traites tirées sur le futur de nos enfants. La guerre rode partout –en partie par notre arrogance à raconter que nous sommes prêts à la déclencher ''pour de vrai'' sans en avoir le début de l'ombre d'un moyen... Au nom du beau mouvement olympique, nous refusons aux athlètes russes de se produire sous les couleurs de leur pays et d'avoir droit à leur hymne national … qui sont les deux strictes définitions-conditions de l'olympisme... Nous sommes inconséquents, irresponsables et provocateurs, en offrant notre gorge aux tueurs de Daech, du défilé inaugural (''Une folie criminelle'', d'après Alain Bauer) au défilé final... qui risque ''d'être de la revue'' !
Et s'il n'y avait que tout ça... Au fil des ans et des mauvaises idées, c'est par vagues successives que nos lamentables gouvernants qui, initialement nuls, se révèlent dangereux tout azimuts (dixit aussi Alain Bauer) détruisent le bel édifice, construit avec amour, persévérance et tellement d'intelligence par 70 générations de français (qui furent, par moments, gaulois ou gallo-romains) : ils croyaient bâtir un monde... et il a suffi de 2 mandatures de ''lumières éteintes'' pour tout foutre par terre... Oh ! Que j'ai mal, très mal, à ma France !
En rongeant les fondamentaux, ils ont fait s'écrouler les murs... et nous voilà offerts, sans défense, aux dangereux vents du large. Un exemple ? Au moment où le monde entier se réarme, fait des stocks de munitions, re-remplit ses arsenaux... nous nous sommes engagés à offrir, gratos, à l'Ukraine (à qui ça ne sera d'aucune utilité : les carottes sont cuites... et nous, avec ! Là encore, il serait sage de voir le monde tel que 7 humains sur 10 le voient...), la totalité de tout ce que nous aurions pu produire... mais que notre impécuniosité va laisser à l'état de ''rêves éveillés''. Pauvre France ! Lorsque les canons tonneront (ce qui est possible, avec les puérils excès présidentiels !), on pourra continuer à donner au monde ce que nous nous croyons encore capables de donner : de mauvais conseils... à surtout ne pas suivre... Dire qu'il suffisait de si peu... trois fois rien, peut-être...
H-Cl.
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claudehenrion · 26 days
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''Sansal… tionnel !''
Il est des personnes que l'on regrette vraiment de ne pas connaître : en ce qui me concerne, il m'arrive parfois d'être jaloux (NB : Je sais : je devrais ajouter “ce qui n'est pas beau”… mais je me moque des convenances !) de ceux qui ont un libre accès à la pensée de tel ou telle de ces contemporains que j'admire si fort. Oh ! Rassurez-vous : ils sont si peu nombreux que je n'ai pas besoin d'une “cellule d'assistance psychologique” pour m'aider à survivre dans ce monde qui devient si antipathique : c'est l' existence de quelques belles âmes qui le rend fréquentable !
Vous l'avez compris en lisant le titre de cet éditorial : Monsieur (j'insiste !) Bouallem Sansal fait partie de mon petit “Panthéon personnel” –qui a très très peu de points communs avec celui qui trône en haut de la Montagne Sainte Geneviève : à ceux qui y sont entreposés, “la Patrie reconnaissante” déverse ses honneurs glacés… Aux miens, l'admiration émue d'un clampin inconnu dont l'opinion compte pour du beurre… Je ne leur offre que ce que je peux leur donner, mais au moins, sans aucune intention politique, ce qui les protège des modes….
La raison de mon admiration pour ce grand écrivain, immense penseur et sage entre les sages remonte un peu dans le temps. Par une chance insolente, j'ai lu son premier livre, en 1999, Le Serment des Barbares, où ce berbère du Rif devenu algérien (ce qui, si vous me permettez cette insolence mesurée, fait de lui un des fils de la grande tribu des Zemmour… ce qui peut être lu de plusieurs manières !) osait des jugements que personne d'autre n'aurait l'audace de porter : “L'Université [algérienne] enseigne en arabe-algérien, qui est un sabir fait de t'amazight (NB : la langue berbère), d'un arabe venu d'ailleurs, de turc médiéval, de français du XIX ème siècle et d'un soupçon d'anglais new-age”. Tant de vérités “insupportables” en une seule phrase… il faut oser ! Musulman, il a le droit de dire ce qu'il pense !
Je me suis rué ensuite sur Le Train d'Erlingen ou La Métamorphose de Dieu, une réflexion sur les crises migratoires et la montée en puissance de l'islamisme en Europe, et je n'ai pas été déçu tant y abondent les “pépites” magnifiques : “L'Europe a peur de l'islamisme, elle est prête à tout lui céder. […] La réalité en boucle n'a pas d'effet sur les gens (…) : en Algérie, durant la décennie noire, les gens qui, au début, s'émouvaient pour une victime du terrorisme ont fini après quelques mois de carnage par ne ressentir d'émotion que lorsque le nombre des victimes par jour dépassait la centaine, et encore devaient-elles avoir été tuées d'une manière particulièrement horrible. Terrible résultat : plus les islamistes gagnaient de terrain et redoublaient de cruauté, moins les gens réagissaient. L'info tue l'info, l'habitude est un sédatif puissant, et la terreur, un paralysant violent”. Ce n'est pas encourageant pour notre avenir prévisible ! Mais nous, nous le savions...
Bouallem Sansal est connu pour ses propos critiques envers l'islam, sur lequel il écrit : “La religion me paraît très dangereuse par son côté brutal, totalitaire. L'islam est devenu une loi terrifiante, qui n'édicte que des interdits, bannit le doute, et dont les zélateurs sont de plus en plus violents. Il faudrait qu'il retrouve sa spiritualité, sa force première. Il faut libérer, décoloniser, socialiser l'islam”. Non seulement il ose, lui qui sait de quoi il parle, ce que nul autre n'oserait, mais il est très critique envers la France, à très juste titre : “La France ne sait toujours pas se déterminer par rapport à l’islamisme : est-ce du lard, est-ce du mouton, est-ce de la religion, est-ce de l’hérésie ? Et pendant ce temps, le boa constrictor islamiste a le temps de bien s’enrouler, il va bientôt l’étouffer pour de bon”. (NB : c'est encore moins rassurant !)
Ce géant de la pensée (à mes yeux), a publié en janvier dernier un nouveau roman-fiction, “Vivre, le compte à rebours” (Ed. Gallimard), dont la lecture m'a plongé dans des extases devant une telle intelligence et un tel langage : cet homme me semble être l'archétype de ce que la meilleure partie de la France rêvait de faire naître dans les pays de Empire, et la preuve que cette “émancipation” n'était pas un rêve fou, mais un objectif atteignable.J'ai des souvenirs émus de camarades de lycée dont “l'intégration” frôlait la perfection, mais qui savaient rester “arabes”. Chapeau !
Sansal, après un bref survol de l'histoire proche des années ‘60-'80 et leur consumérisme triomphant, suivi de l'effondrement de tous les narratifs sur lesquels reposent encore, à contre-temps total, les systèmes de référence en usage, raconte comment la vie (avec laquelle certains continuent à faire joujou, comme on en rêvait il y a un demi-siècle) est… mortelle, et que “écrire sur tout autre sujet reviendrait donc à sacrifier encore à l'insouciance, jusqu'à l'indécence”.
Suit un descriptif cruellement exact de notre actualité : “Notre époque pense petit, bête, et même ne pense même plus, nous enfermant dans sa nullité. Regardez et écoutez les politiciens : vous comprendrez tout” ! (NDLR : A l'élégance et au style près, c'est ce que je répète, dans ce Blog, depuis une douzaine d'années… d'où mon enthousiasme en le lisant !). Il va même plus loin : “Notre monde ultra mécanisé est devenu trop triste, et trop pauvre : il ne propose rien d'autre que du normatif, et de l'abrutissement pour mourir sans douleur” (cf. les projets contre-nature et totalement déshumanisants, du “credo” assassin de toute humanité digne de ce nom , dont rêve Macron…). L'école était une planche de salut … Elle a failli à sa mission : “Elle est sinistrée, et rien ne semble pouvoir la sauver : elle a perdu jusqu'au sens de l'histoire et l'intrication de l'homme avec la nature…”.
De manière étrange, ce musulman, assez tiède mais qui préfère tout de même “vivre à Bou Merdès”, ose des rapprochements tout-à-fait inhabituels (un peu comme le fait Zemmour) et inattendus : “La Trinité a été un merveilleux ’'Credo” (NDLR : ce n'est pas moi qui vais dire le contraire !) qui a permis au catholicisme de bâtir la brillante civilisation apostolique et romaine qui a rayonné sur le monde pendant deux millénaires. Mais elle se retrouve en faillite totale : le Pape lui-même n'y croit plus et ne fait plus que de la politique et de la géo politique, au nom d'un pacifisme pour enfants’’... Et c'est un musulman ex-colonisé qui écrit ces beautés !
Il précise même : ’'La magie catholique s'est éteinte, et on s'est alors tourné vers d'autres ’'trinités” pour faire tourner la terre, en combinant les termes : patrie, famille, peuple, partis, unité, révolution, progrès… Toutes ont échoué, y compris la dernière tentative à ce jour, le “wokisme”. En fait, ce vocable ne recouvre que le “énième” contrecoup de la sortie, dans le désordre complet, du “religieux dans sa version chrétienne, qui mettait en avant la charité, l'amour du prochain, la culpabilité, et la repentance… en un mot : la Sainteté”. Or le “wokiste”, est un homme forcément blanc (les autres sont décolonialistes, des racistes-se-disant-anti-racistes, des inter-ceci ou des phobes-cela, etc. Mais seul le Blanc doit payer pour “un juste retour des choses”. Pour Sansal, “le ’'wokisme”, c'est fumisterie et coquetterie sado-maso’’. Il parle d'or… “Bouallem Chrysostome”, si j'ose !
Le dernier péché capital en date du siècle touche à l'écologie punitive… C'est un moyen apparemment simple pour punir tous les autres sauf soi de fautes inventées “après l'obstacle”. A cause de cette forme de soi-disant ’'écologie’’, ce laboratoire du développement de la folie destructrice, du châtiment et d'un “bon droit” redéfini. Tout est devenu punitif, dans tous les domaines : justice, économie, gouvernance, culture, science, prospective… Cette non-écologie est en réalité une formidable machine à répandre un droit tordu et à punir qui on a envie de punir... en lui disant que c'est lui qui a tort, sans lui dire pourquoi… puisque c'est faux !
La conclusion est superbe : en décrétant que le Coran est la parole vivante d'Allah, et que Allah est musulman et ne parle que l'arabe, l'islam a cru se doter d'un pouvoir absolu sur tout l'univers. Résultat : le monde musulman se retrouve dans un état de folie infinie, sans le moindre espoir de rémission : il “existe” dans la violence et la haine, mais il ne “vit” plus’’. Aujourd'hui, la plupart d'entre nous “existons” encore, mais est-ce que nous “vivons’' ? ’'Vivre,” c'est justement échapper aux pesanteurs de l'existence, pour se fondre dans un univers “à un étage supérieur”. Aurions-nous perdu toute possibilité de retrouver un jour ce que Sartre appelait (en se trompant sur les mots, comme sur tout, toujours) “les chemins de la Liberté’' qui n'étaient que ceux de son enfermement… ?
H-Cl.
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claudehenrion · 1 month
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Pâques : une drôle d'invention...
Réfléchissant –même si ça ne sert à rien !-- aux problèmes que pose le fait de préférer vivre en chrétien dans un pays qui se déchristianise et se retrouve à l'opposé presque absolu de tous les modes de vie et de pensée qui ont régi pendant des siècles, directement ou pas, entre la moitié et les trois-quarts de la Terre (en des temps où, sans vivre dans un nirvanâ qui ne peut exister que dans des rêves, les populations n'avaient pas l'air franchement plus malheureux qu'elles ne l'ont aujourd'hui, sur une planète en voie d'effondrement...), je brassais mes idées, dans le vide...
Premier point d'interrogation : le personnage-même de Jésus Christ, qui est tout à fait contre-intuitif et contre-expérimental : ''De la crèche au crucifiement'', toute la vulgate chrétienne est à l'opposé exact de tout ce qu'un homme peut penser, inventer, imaginer... comme chemin vers la gloire, ou plus simplement ''vers une bonne vie'', et personne, à aucune période de l'histoire de l'humanité, n'aurait été capable d'inventer un scénario aussi ''abracadabrantesque'' et aussi invraisemblable que… ce qui a été. Je crois... parce que c'est absurde, disait Tertulien, Père de l'Eglise.(Il n'aurait pas dit ''Credo quia absurdum'', disent les puristes, mais ''Credibile est quia ineptum est'' … ce qui revient au même –sauf pour une poignée de coupeurs de cheveux en 24). 
Aucun autre Dieu, jamais, n'a été ''affublé'' (si j'osais, j'écrirais ''attiffé'' !) comme Lui a choisi de l'être... Et même... jamais un homme qui aurait eu envie de ''changer le monde'' n'aurait commis la folie d'imaginer une telle succession de difficultés initiales, d'échecs et de contre-performances. En fait, au delà de son indiscutable triomphe, le christianisme (plus de 2000 ans d'âge, et à peine quelques rides en Occident, mais ni en Afrique, ni en Sud-Amérique, et même en Asie... où sont les immenses vagues de la relève quanti- et quali- tative à notre inexplicable chute, à nous) pourrait également se lire comme l'histoire d'un homme qui s'était tiré une balle dans le pied avant de partir pour une longue marche !
Nous avions parlé dans ce Blog, à Noël, de la naissance, quasi-impossible, d'un petit bébé juif au milieu de nulle part, pris dans le mouvement brownien d'un recensement ''à l'ancienne'', entre deux animaux, au plus froid de l'hiver... naissance sensée être celle du ''Roi des juifs'' et même, à peine un peu plus tard, du ''Roi du Monde''. Aucun homme ne peut ou ne devrait croire à une telle folie : un roi, même sous la férule romaine... ça ne peut pas naître ''comme ça'' !
Mais cette véritable ''folie'' en termes de marketing, d'image et de ''comm'' devient encore plus déraisonnable si on se penche sur la Semaine Sainte et sur la Fête de Pâques. Là... plus rien n'est plausible, devant le spectacle in-regardable d'un homme ramené à sa plus simple expression, dans une mise-en-scène inhumaine, abandonné de tous, seul avec une douleur insupportable, qui meurt en public, nu, humilié, déformé, tordu, ensanglanté, insulté, flagellé (et avec le redoutable ''flagrum'', ce terrible fouet romain dont chaque lanière est lestée de boules de plomb), sans doute hurlant de douleur (la ''flagellatio'' était le plus souvent mortelle)... sous les quolibets de ses ennemis d'hier, qui se croient victorieux, un court instant...
Hier encore, Il se promenait, libre, un peu redouté sans doute –en des temps où prophètes, magiciens, mages, devins et faiseurs de miracles étaient généralement crus et souvent respectés, ''Rabbi'' aimé des masses, ami des femmes des puissants du jour, ''conférencier'' recherché jusque ''sur la montagne du sermon éponyme'', n'ayant jamais fait de mal réel à qui que ce soit (à peine quelques coups de bâton à des mercantis qui squattaient le Temple)... Hier encore, il entrait dans Jérusalem comme ''une star'' (Je demande pardon pour mon audace... mais je crois qu'il n'est pas inutile de comprendre ce que toute cette Histoire a d'absolument actuel), et le voilà emmuré dans un tombeau fermé ''façon coffre-fort''... d'où il va sortir tout seul, se montrer, marcher sur la route, se mettre à table... bref, disent ses thuriféraires ragaillardis : ''Il est ressuscité, en vérité'', comme le psalmodient si joliment les orthodoxes dans le ''Tropaire pascal'' : Χριστὸς ἀνέστη (=Christos anesti) en grec, ou Христос Воскресе (= Christos voscresse), en russe... et en ukrainien.
Ne venez pas me dire que qui que ce soit, hier comme aujourd'hui, serait prêt à miser deux sous sur la probabilité que cette histoire, ''pas possible'' de A à Z, devienne le ''top-top best seller'' de tous les temps et fasse la fortune de Hollywood et de Charlton Heston, forge un monde nouveau, règne sur Rome et sur Byzance, donne naissance à la seule civilisation qui a été mondiale, impose un vocabulaire, une vision du monde, un calendrier et un ''corpus doctrinae'' pratiquement inattaquables –sauf à se dresser contre par principe, en racontant n'importe quoi-- et reste encore (sans doute pour longtemps) la première référence morale, religieuse, intellectuelle, littéraire, artistique et éthique au monde, avec 2,5 milliards de pratiquants (car contrairement aux idées reçues, les chrétiens sont de loin les plus nombreux sur terre –un petit tiers de la population mondiale-- devant les Musulmans et leur 1,8 milliards de ''croyants'' –plus menaçants, il est vrai !).
Pour que le tableau ainsi proposé soit complet, il faut ajouter que l'immensité-même du succès a –logiquement-- suscité des sentiments hostiles et des envies de rejet (ce qui est, finalement, bien compréhensible), telle la trop connue ''thèse mythique'' (= Jésus n'a pas existé), qui est tellement éventée et démontrée fausse que je m'étonne qu'un esprit aussi délié que Michel Onfray ait pu lui consacrer 10 minutes de son temps : elle est à l'historiographie ce que l'héliocentrisme, la théorie de la Terre plate et celle des astres fixes, ou le vieux créationnisme... sont à la connaissance : des prurits de jeunesse.
En réalité, l'existence de Jésus est confirmée par neuf ''historiens'' indiscutés, ce qui est énorme, pour un personnage de ce temps-là (seul Alexandre-le-grand fait mieux !) et par des dizaines de sources chrétiennes (qu'Onfray rejette comme étant ''parties prenantes au sujet'', ce qui est absurde et reviendrait à rejeter toutes les sources du XIXè qui parlent de Napoléon sous le seul prétexte qu'elles l'ont aperçu, de loin !). Là où le fossé s'est créé entre l'Histoire et la Foi, c'est que les historiens, par excès (ou pas... Je ne prends pas parti) de ''culte de leur science (?)'', ont refusé de regarder Jésus autrement que comme un homme et rien qu'un homme –ce qui est déjà beaucoup, mais vraiment pas assez, dans ce seul cas.
Dans ''Vie et destin de Jésus de Nazareth'' (2019), Daniel Marguérat a posé la question : ''Faut-il rapporter les miracles comme les contemporains les ont vécus... ou leur refuser a priori jusqu'à toute possibilité d'occurrence ?'', et il répond : ''Que Jésus ait été un guérisseur charismatique n'est mis en doute par aucun historien. Mais c'est lorsque les évangélistes affirment que ce pouvoir lui vient de Dieu et de sa propre Déité... que quittons le domaine de l'Histoire pour entrer dans le domaine de la Foi'', et là... ''chacun pense et dit comme il veut'', et c'est très bien comme ça.
Le Triduum pascal est tout de même le moment où jamais pour parler de Jésus –''personnage historique'' vs. ''Dieu fait Homme''... ou les deux-- et pour évoquer cette charpente incontestable des fondamentaux de l'humanité... et de toute civilisation possible et à venir, jusqu'à plus ample informé. A mardi prochain. Je vous souhaite de joyeuses fêtes de Pâques.
H-Cl. 
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claudehenrion · 1 month
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De l'âme
Une surprise : plusieurs lecteurs, sans doute ébranlés par le vide abyssal qui caractérise notre temps –et avec une inquiétante tendance à l'aggravation– m'ont demandé récemment de “parler de l'âme”. Mais si je me sens très capable de donner un avis –qui n'est que le mien, corrigé par nombre de lectures et d'emprunts– … je tiens à préciser que je suis évidemment tout-à-fait incapable de répondre à la question multiple “Existe-telle ? Quelle est-elle ? Que recouvre-t-elle –ou pas ?”, et surtout de me livrer à cet exercice… en une page “A4’‘ ! Mais quel meilleur moment qu'une Semaine Sainte pour esquisser un début de réponse 
Le mot ’'âme” lui-même, tiré du latin (“anima = l'air, le souffle, la vie”), recouvre tant de notions différentes que “ne pas y croire” ne peut avoir aucun sens : qui parle de “croire” à l'air, au ciel bleu, au chocolat… ? S'agit-il de l'Ame des peuples (André Siegfried) ? de l'Ame des choses (Auguste Blondel) ? des “objets inanimés” de Lamartine ? de l'Ame du monde (Frédéric Lenoir) ? (NB : je pourrais continuer longtemps). Ecoutons plutôt Camus : “Ne pas croire à l'âme est une absurdité”.
A ce moment où l'humanité semble “flirter” avec sa chute dans des abîmes qu'on peut craindre définitifs, l'âme –qui était un peu sortie de nos préoccupations consumérisées– semble faire un retour sur le devant de la scène, et nos lecteurs ne s'y sont pas trompés, en m'en parlant. Il faut reconnaître que sa définition a bien varié à travers les siècles : dans l'Antiquité, les grecs en avaient une vision bipartite (“corps et âme”)… alors que pour la tradition biblique, la vision était tripartite (“corps, esprit –pneuma en grec et spiritus en latin–, et âme –psychè, en grec et anima en latin, ce dernier mot animant la vie intérieure et la personnalité, mais aussi ce qui donne vie au corps. Ne ’‘rend-on pas son âme”, au moment du grand départ ? Mais n'allons pas trop vite : avant de la “rendre”, il faut la définir.
Pour les philosophes, l'âme est souvent une notion qui permet de parler de l'être humain dans sa totalité. Pour Platon, l'âme est en conflit avec le corps qui l'emprisonne, alors qu'Aristote insiste sur une conception non dualiste entre “âme” et “corps”, chacun étant plus ou moins indépendant de l'autre. Plus tard, pour le christianisme, qui tient un rôle de toute première importance dans cette “dissertatio” (que je voudrais tellement ne pas être une “disputatio”!), le mot “Ame” veut décrire comment est formé un être humain dans et par ses expériences fondamentales : la vie, l'amour, le désir, la maladie et la souffrance, le questionnement sur “après la vie –ou après la mort”, et l'âme se définit donc comme “autre” que l'esprit : d'un côté, un principe de vie, “ce qui anime le corps”, siège des émotions et des passions, et de l'autre, vie intérieure, et personnalité. On peut dire : raison, ici et liberté, là…
Mais en 1621, Descartes introduit une rupture dans la conception traditionnelle, en traduisant “âme” par “mens” : l'homme est d'abord un être pensant, et le mens latin, qui désigne d'abord le cerveau, l'intelligence, la raison, l'esprit… va peu à peu replacer l'ancienne “âme” au profit de ce nouvel arrivant, le “cogito’' . Une nouvelle logique bipartite est née, le corps et la pensée, séparés mais liés : ’'Cogito, ergo sum”.
Le mouvement phénoménologique, qui se targue d'appréhender la réalité telle qu'elle se donne ou se montre, considère que le corps, seul, joue un rôle (“Le monde n’est pas pour moi autre chose que ce qui existe et vaut pour ma conscience”, écrit Husserl en 1937), ce contre quoi réagit la grande Edith Stern, juive devenue carmélite et morte à Dachau : “On ne peut vivre sans âme, c'est-à dire avec une âme paralysée ou en sommeil’’… phrase où nous retrouvons ce qui est visible tout autour de nous… et ce dont l'humanité est en train de crever
Il fallut attendre 1953 pour que Crick, Watson et Rosalind Franklin, découvrent l'ADN, cette part d'éternité qui est en chacun de nous. Inséparable de nous, elle nous contient tout entiers et nous résume, tout en nous rattachant à nos origines… Question jamais posée mais qui me taraude depuis longtemps : ’'Se pourrait-il que cet acronyme, l'ADN, soit, en fin de compte, le support matériel de notre âme ? Son caractère ’'iso-éternel’'et son identité parfaite avec notre ’'être”, notre “avoir été” mais aussi notre “devoir être”, en font une parfaite réponse à ce que pourrait être ce “Corps glorieux” si difficile à imaginer mais sous lequel, disent les chrétiens, nous entrerons un jour dans notre éternité
En 1979, Joseph Rätzinger, grand théologien et futur grand Pape Benoît XVI, posa (“La Mort et l'au-delà” )que “il n'y a aucune raison sérieuse de rejeter le mot âme , cet outil verbal indispensable dans la foi des chrétiens… ce qui se vérifie à travers la prise de conscience actuelle… que une conscience, justement, ne peut exister sans objet pour la percevoir et sans sujet pour la traduire et l'expliquer”. Et voilà l’ “âme” qui fait à nouveau partie du vocabulaire de la philosophie, le besoin de cet éditorial en étant un début de preuve en soi.
Un dernier point, peut-être : en 2016, l'académicien François Cheng avait écrit un fort beau “De l'Ame” (Albin Michel) où il écrivait “A part le bouddhisme dans sa version la plus extrême, toutes les grandes traditions spirituelles ont pour point commun d'affirmer une perspective de l'âme située au-delà de la mort corporelle : l'âme de chaque être est reliée au souffle primordial qui est le secret de la vie-même. Animée par un authentique désir d'être, elle nous rappelle donc, quelle que soit notre croyance –ou notre non-croyance– combien notre vie participe d'une aventure unique, le Tao –la Voie– qui ne connaît pas de fin, contrairement à la vie”.
J'admets que tout cela n'est pas simple… Mais le moyen, s'il vous plaît, de parler de sujets eschatologiques avec nos seuls mots humains, et en un temps et un espace si réduits ? Par prudence, je vais donc demander à d'autres que moi de conclure. D'abord George Meredith : ’ L'âme est tout, ici-bas; le reste n'est qu'illusio'n’’… Puis Rivarol : “Sans le corps, l'âme n'aurait pas de sensations, mais sans l'âme, le corps n'aurait pas de sentiment”... Libre à ceux qui ont décidé de ne pas y croire, de vivre “sans”. Mais qu'ils ne comptent pas sur moi : je suis si bien, “avec”, surtout en cette Semaine, qui est Sainte pour un bon tiers de l'Humanité.
H-Cl.
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claudehenrion · 1 month
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Je vous souhaite une très joyeuse mort, en pleine fraternité macronienne…
Je n'ai jamais pu trouver d'explication à cette aberration : les mauvaises idées semblent être plus souvent prises en compte et mises en œuvre que les bonnes. Et je crois remarquer une accélération dans le processus actuellement en cours qui veut que de plus en plus d'idées de plus en plus mauvaises fleurissent (?) de plus en plus vite et de plus en plus souvent ! A la veille du Vendredi Saint, quel beau sujet que le dévoiement de notre mort, qui se met en place, dans une débauche de fausses informations, partielles ici, et partisanes, là, mais mensongères, toutes.
Mais pour une fois que les “bouffe-curés” et les “tue-dieu” admettent enfin que la mort peut être vaincue, comme les chrétiens le leur répètent depuis 20 siècles… on ne va pas mégoter notre plaisir, en cette Semaine Sainte où s'ouvre la phase finale de la mise en œuvre de ce caprice macronien, qui sera lancé sans qu'aient été évaluées –même un tout petit peu– les suites à long terme de cette initiative qui a toutes les chances de produire, au mieux, quelques avantages… et au pire des séries de drames dont l'humanité aurait préféré faire l'économie. Décidément, depuis le faux “vaccin” du covid, prendre des décisions mortifères est devenu un “marqueur” du progressisme, cette maladie infantile du modernisme !
Prenons la triple anti-idée terrifiante, qui a pourtant le vent en poupe, de l'invention d'un “droit à l'assassinat légal, au suicide aidé et à la mort par délégation’’. Ces trois modalités d'une même chose, la mort, ont inspiré des raz-de-marée de lavage de cerveau, de viol des consciences, de réinvention du sens des mots, et de détournement de l'attention de tous les vrais problèmes, à la macronie moribonde (NB : méfiez-vous des ultimes spasmes d'un animal blessé : ils peuvent être dangereux et faire beaucoup de dégâts !). Manque de bol, une fois encore, ça a marché, et bien des gens se sont laissés abuser, adoptant les expressions –toutes mensongères– qui ébranle,t l'intelligence.
Le nombre de paraboles, hyperboles, métaphores, fables, mensonges, bobards, et barbarismes qui ont été déversés sur nous par la Presse et la Gauche est très au delà de tout ce qui se pratique normalement. C'est simple : on ne sait plus du tout de quoi ils parlent ni ce à quoi ils pensent (car des milieux “généralement bien informés” m'assurent qu'il en resterait quelques uns qui pensent… Je ne les ai pas trouvés). Et s'il est toujours vrai que “les mots tuent”, c'est le moment où jamais : après, il sera trop tard ! Car depuis que le monde est monde, tuer, directement ou par délégation, un vieillard, un grand malade ou un embryon pas encore né mais parfaitement viable, ça avait un nom : un assassinat.
Mais dans un grand souffle libérateur, la hollando-macronie a tripoté les lettres et les syllabes, jusqu'à inventer les concepts affreux de “mort dans la dignité”, de “preuve de fraternité” (il y a des coups de pied… “occultes”, qui se perdent !), de “liberté de mourir” (et puis quoi, encore !), et de tant d'autres insanités. Nos irresponsables ont été jusqu'à inventer une soi-disant “aide à mourir”… pour le seul moment où aucune aide n'est possible ! Dieu, pour les uns, un “grand ordonnateur” pour d'autres, le “destin” pour d'autres encore, et… “rien” pour les plus pauvres d'esprit… fixe ou fixent le moment où la machine s'arrête, et personne ne peut avoir le moindre effet sur cette décision… si tant est qu'il y en ait une : on a beau bricoler l'horloge du temps, avancer l'échéance de quelques pouillèmes d'éternité, prétendre que “Moâ, ce petit dieu raté, je suis maître de mon corps” ou, comme d'aucuns, se proclamer (tout seul) “le maître des horloges”... c'est baratin & Co.
Car la seule chose qui ne fait pas de doute, c'est que nulle “force de l'ordre”, nul “agent de l'Etat”, nul GIGN, nulle “CRS 8”, nul dossier et nulle procédure “CERFA” ne pourra dire que la date de péremption est dépassée, qu'on a triché en respirant 3 fois de plus qu'indiqué sur la notice d'emploi, ou qu'un tel n'est plus qu'un nom à “zapper”, un sac noir à jeter au tri sélectif–(poubelle jaune) : la vision de la mort que peut avoir un élu macronien (je veux dire : “nul mais élu !”) est rien moins que désespérante… C'est à se demander avec quelle partie de leur corps ces trucs-là pensent ! Pour ces normateurs de l'innormable, “mourir dans la dignité” se résume à passer l'arme à gauche (NDLR : cette expression ancienne est une preuve éclatante que les mots ont un sens !) en se conformant scrupuleusement à un des 2 ou 3 protocoles prévus par une loi qui parle d'autre chose que du sujet de son titre ! Leur mort dans la dignité n'est qu'une mort dans les normes administratives.
Soulagez la souffrance, comme vous devriez apprendre à le faire, bande de Jocrisses, mais arrêtez de prétendre que vous pourriez avoir la plus petite influence sur un changement de nature de la mort : c'est la seule cérémonie à laquelle nous ne pourrons pas nous soustraire, et dans laquelle nous sommes certains de “ne pas avoir la main’‘ ! A l'opposé de leurs fatras fumeux, ’'mourir dans la dignité”, ce n'est pas “raccourcir ce qui ne doit pas l'être”, mais c'est –et ce n'est, ce ne peut être que– donner à chacun de pouvoir s'architecturer intérieurement, de résister aux sirènes trompeuses de l'époque, de trouver des contre-poids à la sous-culture du superficiel, de l'instant, de la trouille permanente, et de l'infantilisation, qui nous maintient dans une ignorance doucereuse et qui tue en nous tout sens moral, toute force spirituelle, toute résistance intellectuelle, la colonne vertébrale et le courage.
Bon ! Je sais bien que ces tentatives désespérées de rater son but affiché doivent tout à une pression morbide qui est dite “sociétale”, comme on dit dans le jargon gauchiste pour désigner l'amnésie volontaire… ce qui met la trop changeante “opinion publique” du côté des promoteurs de la vraie misère humaine : la plupart de nos contemporains ont, avec l'inévitable, un rapport fuyant, de déni et de rejet. C'est une triste évidence qui explique bien des malheurs que notre monde se fabrique en croyant résoudre l'insoluble… et qui n'existaient pas, lorsque le “métier d'homme” impliquait force, âme, courage et (j'ose !), la vie… jusqu'à en mourir.
Car mourir et vivre ne sont pas 2 choses séparées comme on nous le fait croire dans notre univers en voie de putréfaction en inutiles marches blanches, mais une seule et même chose, une seule et même aventure, un seul et même achèvement. Un éventuel “droit à mourir dans la dignité”, ce bobard fou pour politicards trop jeunes pour savoir de quoi ils parlent, ne saurait être ramené à un étalage de sensiblerie étalée complaisamment, comme sur les réseaux sociaux ! Partis comme nous le sommes… nous serons bientôt projetés dans un univers du type “Soleil vert”, ce Soylent Green, livre ou film sur la mort assistée, de Harry Harrison (1966)…  Encore un effort, Monsieur le bourreau…
Je veux bien, à la rigueur, qu'on me parle de modifier la définition de la mort : je suis poli, et j'écouterai… en pensant à autre chose. Mais alors, s'il vous plaît, messieurs les irresponsables, que ce soit avec Montaigne, avec Bossuet, voire avec Platon, Epicure, et même Spinoza… ou –comme le faisait Mitterrand– avec un Jean Guiton. Mais je vous en supplie, qu'on m'épargne le cornet acoustique miniaturisé pour pensée-clonée de ces fausses vedettes du petit écran qui sont les nouveaux “maîtres-à-ne-pas-penser” érigés au rang d'oracles par notre époque qui ne peut que devenir lamentable à leur contact (et sur ça, on est bien parti !).
Une authentique “dignité” consisterait à être de vrais humains et à le rester jusqu'au bout, souffrance ou pas. Si vous saviez dans quelle harmonie sont morts tous les êtres chers qui m'ont quitté… J'aime me souvenir d'eux, être fier d'eux jusqu'au bout, les admirer, et ne pas avoir le remords de leur avoir volé, au nom de la sensiblerie fadasse et pleurnicheuse qui a envahi nos jours et obscurci notre jugement, LEUR MOMENT absolu, le seul… le ''bilan'' de leur vie.
En lisant toutes les insanités, tous les mensonges et toutes contre-vérités qui encombrent, polluent et salissent ce débat, il m'est venu une idée que j'aimerais partager, amis-lecteurs, “pour ce quelle est’' : sans doute fausse, mais méritant peut-être qu'on y pense deux secondes : après bientôt deux quinquennats ratés, un Macron-superman, ivre de ce qu'il croit qu'il est, trouve génial de transformer notre société et tous ses membres, en clones de ce qu'il imagine être (sous-entendu : un être supérieur, au niveau des dieux, et (osons le dire, avec modestie) Dieu lui-même). Pour ce faire, il déforme les mots, les idées, l'histoire, la culture, les systèmes de pensée et de référence… et crée un univers où plus rien ne peut exister, hors de son propre (?) néant : en chamboulant tout, n'importe comment pourvu que ça soit vite, et en mettant tout ’'cul par dessus-tête”, il fait de nous des zombies incapables de résister à toutes ses folies prétendues “sociétales”.
Nous découvrons peu à peu que nous devenons non pas ce qu'il s'imagine être, mais ce qu'il est : un grand vide, un cyborg en creux, superficiel, insignifiant, sans colonne vertébrale, changeant, flou, sans bon sens autre qu'insensé, fuyant le réel, inconsistant, sans passé –donc sans présent et sans futur, et hésitant, dans un désert sidéral, entre une non-pensée et une anti-pensée. Le seul ennui, c'est que le train est lancé et que nous avons laissé faire, sans rien dire –au contraire, pour certains– ce grand pas vers notre destruction, en tant qu'humanité et que civilisation. Dis, Monsieur, comment ça s'arrête, une catastrophe en marche ?
H-Cl.
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claudehenrion · 1 month
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Un seul Dieu tu adoreras…
Le 5 mars, j'avais écrit, dans un édito, la phrase suivante, qui a choqué quelques lecteurs et en a apparemment surpris plus d'un : “ 99 % de nos contemporains sont incapables de voir [dans l'islam] autre chose qu'un ’‘christianisme autrement’' et ils sont donc capables de proférer des énormités telles que : ’'L'islam, une religion d'amour et de paix ”... ou “Le carême ? Un ramadan chrétien”... voire, plus énorme encore, “Eux et nous croyons en un seul Dieu, donc c'est le même…” (…)“. Des lecteurs m'ont écrit, juste avant le dernier ’'haut fait” dans l'horreur de ces fous de haine : ’'Sur quoi vous basez-vous pour dire que ce ne serait pas le même dieu ?“. Le demandent-ils encore après ’l'attentat de Moscou’', avant-hier ?
Une remarque préalable : il faut admettre que, à un niveau élémentaire, la définition de l'ancien ’'Catéchisme” de l'Eglise préconciliaire ouvrait la porte à une confusion possible : “Q. : ’'Qu'est-ce que Dieu ?’’ –R. : ’'Dieu est un pur esprit, infiniment bon, infiniment aimable, infiniment puissant, créateur et souverain Maître de toute chose” … ce qui pourrait aussi “définir” Allah… à ceci près que l'équivalent du “Credo” pour les musulmans, la “Chahada”, affirme : “Lâ ʾillâha ʾillâ -llâh..”. (= Non, il n'y a pas d'autre Dieu qu'Allah– seule “définition” connue qui s'ouvre par une négation : “Non, il n'y a pas de Dieu …. autre que Allah)– et précise, pour interdire tout ’'amalgame”, que “Muḥammadan rasûlu-llâh” (Mahomet est son Prophète), ce qui sonne la fin du rêve-cauchemar simpliste des “syncrétistes relativistes”.
Pour être sérieux, il faut partir de l'affirmation initiale, apportée au monde par le christianisme, et qu'aucune autre religion n'égalera jamais, dans l'immensité de ses conséquences. Elle est stupéfiante, et repose sur des bases jamais vues les relations entre l’Homme, le Divin, et le Sacré : “Un Dieu unique, en trois personnes” (on appelle trines, comme “Trinité”, ces trois “unités” résumées en une par Tertullien. Il y a deux mille ans plus encore qu'aujourd'hui, cet énoncé des attributs de la Divinité n'a pas été “facile à avaler”, d'autant plus que l'expression “en trois Personnes”, qui est la plus souvent utilisée traduit très mal ’‘en trois Hypostases’’, ce qui ajoute de la difficulté à la complexité.  
Et parmi nous, qui brandissons plus qu'ils ne le méritent notre rationalisme et notre science de plus en plus souvent sans conscience, cette complexité en a effrayé plus d'un, les rejetant dans un obscurantisme encore plus grand : nombreux sont ceux qui se soumettent à de superstitions plus irrationnelles encore que l’existence éventuelle d’un Dieu (du Vendredi 13 qui porte chance ou guigne -on ne sait pas trop !- aux tarots, des horoscopes, aux tables tournantes, ou autres mœurs et pratiques qui rendent “soumis” (= islam) des adeptes d'une néo-religion dénaturée qui en font, chez nous, une démonstration qui est trop souvent sanglante, hélas !).
Pourtant, l'équation (1 = 3), est une expérience que nous vivons à chaque instant : le nombre des choses uniques mais qui se comptent “trois” est immense, depuis la plus modeste pièce de monnaie, qui a une face, un revers et une tranche mais est “une”, indivisible et (si on me permet !) consubstantielle (même si je sais que l’homo-ousia chrétienne est une tout autre chose !) ou une jolie feuille de trèfle qui est une mais trois (si rarement quatre !) et jusqu'à n'importe laquelle de nos journées qui est matin, midi et soir… parmi tant d'autres exemples possibles (cf. n/ billet n° 31-- 23 déc. 2013.  NB : c'est un ’'dada” qui, en moi, ne date pas d'hier !).
Mais une autre révélation a été plus traumatisante encore : jusqu’à l’apparition du Christ dans l'Histoire, la notion de dieu était une référence locale et tribale, fermée sur elle-même, et même les monothéismes antérieurs n’avaient pas dérogé à ce critère : Adonaï, le Dieu d’Abraham est “le Dieu d’Israël”, sans ambiguïté (ex. : “Seigneur, sauve Israël, ton peuple”-Ps 28-9, ou : “Le Seigneur dit : je suis un père pour Israël ’’-Jr 31, 7-9), tout comme Amon-Rè ou Aton appartenaient à la seule l'Egypte, Ahura Mazda aux aryens, Tangata Manu aux seuls pascuans (ce qui limitait sa ’'toute puissance” aux 160 km² de Rapa-Nui !) ou Yo aux phéniciens et Baal aux cananéens… Zeus, sur son Olympe, était aux grecs, Jupiter au monde romain, Manitou aux seuls algonquins (et non aux “peaux-rouges”, comme on le croit souvent), Quetzalcóatl aux aztèques et Mango-Capàc aux incas –et cetera…
Exception amusante, Rome avait empilé dans son Panthéon la totalité des dieux adorés par les peuples conquis et intégrés à l’Imperium romanum… et ce, jusqu'à l'absurde : vers la fin du temps où l’Urbs et l’Orbis ne faisaient qu'un, on “adorait” à Rome 30 000 ‘’dieux’’ de toute sorte, de toute forme et de toute origine. (NDLR - Certains ont d’ailleurs vu dans cette “foultitude” l'origine de la célèbre apostrophe d'Obélix : “Ils sont fous, ces romains !“. Je n'ai pas vérifié).  On peut se demander quel rôle a joué cette dilution extrême de l'identité romaine dans l'effondrement d’un Empire géant et surpuissant, mais qui s'est trouvé désarmé devant la simple apparition d'une majuscule à “Dieu”... idée, qui –que je sache--n'a jamais été explorée. 
Car tout à coup éclate à la face de l’Humanité cette grande nouvelle : Dieu est un, et Il est universel ! Dieu n’appartient plus à un seul peuple, pas même à ses seuls adorateurs, mais Il est pour le monde et au monde : comme il est dit qu’Il “s’est fait Homme”, Il devient l’un des nôtres. Dieu oui, sans aucun doute, mais à jamais solidaire de l’humanité, de toute l’Humanité passée, présente et à venir, quelles que soient ses religions, ses croyances, ses refus de croire, ses choix philosophiques : un homme-Dieu et un Dieu-homme, tout en un, et en trois personnes, en plus ! Deux mille ans plus tard, l’humanité ne s’est pas encore vraiment remise du choc de la révélation que ”Il n'y a plus ni juif ni grec, il n'y a plus ni esclave ni homme libre, il n'y a plus ni homme ni femme,“ (Gal 3-28), malgré tant de tentatives ratées, souvent en ”–isme’’, pour s'approprier cette idée “géniale” ! (Remarque : quel point commun avec Allah ? Pas un seul !).
Parmi tant d'autres apports méconnus ignorés ou mal identifiés du message christique, cette première “mondialisation” qu'a été l'idée d'un Dieu unique pour la terre tout entière a certainement été la plus bouleversante dans ses conséquences, et jusqu'à ce jour, c'est la seule “mondialisation” positive réussie ! Cette idée a été reprise ensuite, sous des formes variées… dont l'Islam est à la fois un bel exemple et un superbe contre-exemple : Allah, Dieu unique s'il en est, exige la conversion des hommes, et il est donc à la fois universel et spécifique. Ne serait-ce que sur ce seul point, toute confusion entre “Dieu” et “Allah” est impossible.  D'autres copies de mauvaise qualité ont pris des formes plus avariées que variées, comme le communisme et les socialismes, et plus récemment l'écologisme, l'égalitarisme, le “wokisme”… mais ces spéculations à prétentions internationalistes voulaient imposer une “vérité” qui n'est que leur mensonge… Toutes ont très vite trouvé et prouvé les limites catastrophiques de leur projet sans issue possible.
Quoi qu'il en soit, voilà soudain le monde pourvu d'un Dieu unique, universel, indépendant de l'identité de ses adorateurs, le même pour tous… et qui va proclamer l'égalité “devant sa face” de tous les hommes, femmes, “juifs ou gentils”, pécheurs ou saints… qu'il va aimer aussi fort qu'il aurait voulu qu'ils s'aiment les uns les autres ! Une séparation du type “je t'aime… moi non plus”,   entre ceux qui croient et ceux qui refusent de croire, va trouver là un sujet de querelle à vocation d'éternité. Après la réhabilitation en cours, par la science, des contenus de la Bible, très (trop) longtemps moqués et rejetés, la suite de l'histoire de l'Homme sur la Terre va être marquée à jamais par la révélation christique.
Comme nous sommes loin d'un Dieu exigeant, autoritaire et normatif, qui veut commander, conquérir, contrôler, et diriger jusque dans le moindre petit détail… “Aimez-vous comme je vous aime ”, dit l'un. “Lâ ʾillâha ʾillâ -llâh” (= Il n'est de Dieu que Dieu)... et “ s'il le faut, il conquiert les âmes par l'épée” (= “Bès Sif”)“, dit l'autre. Un seul Dieu, c'est évident. Mais Le même ? Sûrement pas, même un peu… Dès qu'on va au fond des choses, c'est chacun le sien ! Et c'est très bien, comme ça !
H-Cl.
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claudehenrion · 1 month
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“Quousque tandem abutere, Catilina, patientia nostra ?”
  Cet exorde autrefois célèbre des Catilinaires de Cicéron, qui faisait la joie des “latinistes” d'antan,  n'était pas destiné à promouvoir la pratique de la bicyclette à deux places : le “tandem” dont il est question ici n'est qu'une version très ancienne du “et en même temps” (c'est le sens de “tandem” en latin) : les mauvaises idées ont fait la démonstration de leur nocivité ? Du coup, on les réinvente ! A la lumière éteinte de l'expérience ratée qu'a été le macronisme pour la France –que même Hollande-le-nul n'avait pas esquintée autant que son successeur– cette philppique cicéronienne pourrait se traduire, de manière très,mais alors... très libre, par “Mais dis-donc, Catilina, jusqu'où vas-tu te foutre de notre gueule?”
En période trouble, le sage se terre, dit le proverbe… Mais qui a dit qu'un Blogueur devait se comporter comme un sage ? Bien loin de interprétation, j'ai l'impression que plus tout va mal… et plus une force, en moi, voudrait comprendre les raisons de la chute vertigineuse de la France vers des abîmes qu'elle ne méritait pas ! Pourquoi le macronisme au pouvoir n'ose-t-il même pas reconnaître qu'il a endossé toutes les mauvaises idées de ce qui fut “la Gôche”, –dont il ne reste qu'une troupe de supplétifs aux ordres des théories les plus liberticides, les plus mortifères et les plus nocives pour l'Homme et l'Humanité ? A qui la faute réelle de tout ce qui nous tombe sur la cafetière ? Cicéron répondait, dans son plus beau latin de “pas-cuisine’‘ : Combien de temps ta folie nous défiera-t-elle ? Jusqu'où ton audace effrontée se déchaînera-t-elle ?…. ce qui tendrait à étayer la théorie qui prétend que l'Histoire n'est, au fond, qu'une répétition (en changeant quelques noms) d'une immense farce qui se répéte… jusque dans les mots choisis !
Il faut reconnaître que la tentation est à la fois grande et facile. Je n'invente d'ailleurs rien : on trouve sur le ’'Net” des exemples, dans l'histoire récente, où le nom de Catilina a été remplacé, dans des citations explicitement adressées à Macron. Au delà des apparences, je pense que jamais, pourtant, on n'a pratiqué le “foutage de gueule” à une échelle aussi grande que celle que décrit l'invective de Cicéron. Comment ? On sort à peine –et par le bas, en plus– d'une crise de désobéissance civile, morale et économique de toute première importance, rarement vue en dehors de la Révolution de 1789 (les autres étaient bien moins porteuses de conséquences dramatiques, à terme), et voilà que l'Exécutif se remet à ses petites manies solitaires : “renouer le dialogue” , “chercher des boucs émissaires’’, ’'jouer avec le mots”, “changer le gouvernement ” (ce qui veut dire : mettre d'autres nuls à la place des nuls actuels, qui succédaient aux nuls d'avant !).
Car la vérité doit être dure à encaisser, pour notre armada d'incompétents multi-diplômés : si les troubles se sont arrêtés (jusqu'à la prochaine fois !), ce n'est absolument pas parce qu'on avait couvert la France d'escadrons de “forces de l'ordre”(nos nuls, provocateurs, parlent de “mettre du bleu dans les rues”. Comment ne meurent-ils pas de honte, d'oser plaisanter avec notre futur et le destin de nos enfants ?) –qui sont autant de faiblesses génératrices de désordre : les émeutiers adorent “taper dessus”, et plus on en met, plus ils sont heureux, et plus ils en “cassent” . Il n'y a guère que le lamentable Darmanin  pour croire aux sornettes de la version officielle ! Dans le “vrai monde”, les dealers s'arrêtent lorsque leur “bizzness” est moins lucratif… et “remettent ça” à 20 mètres de là… Macron rend visite, montre ses faux biceps ridicules, fait des promesses-à-ne-pas-tenir, puis il s'en va… et les problèmes restent ! Croient-ils ce qu'ils disent ?
La suite de cet “épisode” humiliant aurait pu prêter à sourire s'il n'était pas si dramatique est simple à raconter et si insupportable à regarder “en face’' : la partition en deux de la France semble de plus en plus se rapprocher d'un point de non-retour, et nos édiles continuent à refuser de (se) poser les vraies questions. Il faut dire qu'elles dérangent, et que le ’'ron-ron” habituel des affirmations sans fondement et des enfonçages de portes ouvertes semble moins exiger de prise de risque… à ceci près qu'il est totalement contre-productif. Et voilà que refleurissent les petites recettes (?) politicardes, les changements de gouvernement, la promesse (que personne n'écoute) de têtes nouvelles, ou la menace de “tenir compte” (toujours plus ''tirés'' à gauche, évidemment)  de ce que leurs conseils stratégiques si chers payés leur soufflent dans l'oreille pour accélérer encore la soumission de notre Nation à la politique d'Oncle Sam –dont on sait qu'elle ne peut être, pour nous, que mortifère à terme… (les exemples, hélas, ne manquent pas !)
Rien de ce qui pourrait “faire avancer le Schmiblick” n'est retenu, mais en revanche, et puisqu'on est en France… tout finit par des impôts… en promettant solennellement de soi-disant ne pas aggraver encore davantage le goût de cette potion amère qui a depuis longtemps dépassé tous les seuils tolérables (que les haineux contre-productifs de la Gauche-méchante rêvent donc de voir atteindre des sommets absolus… Il faut dire que, quand on prend Chavez ou Castro comme seuls modèles, les chances de survie diminuent sérieusement !). Une chose est certaine : ce n’est pas comme ça qu’on s’en sortira ! A quand la nécessaire opération ‘’Vérité” (et… courage !) que tout le monde attend ? a... ''demain'' ?
H-Cl.
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claudehenrion · 1 month
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La “transition climatique” – suite “n + x” (pour le moment…).
C'était inévitable : ce sujet si grave avait été si mal abordé et si mal traité par nos Nuls-au-pouvoir’’ qu'il fallait qu'il refasse surface ! C'est assez souvent qu'il m'arrive de pester (les mots sont faibles !) devant l'incapacité chronique de nos dirigeants à “piger” le monde, les évolutions en cours, les grandes tendances porteuses d'avenir : il leur paraît plus facile de s'agenouiller devant ce qui n'est porteur que de rien, de mauvais, ou de pire. Par système, ils visent à côté de la cible et sont ensuite incapables de se remettre en cause, revoir leur copie, corriger leur tir…
Dans une levée de boucliers comme on n'en a jamais vu dans l'Histoire, tous les peuples de tous les pays dits “occidentaux” descendent dans les rues, par paysans interposés mais soutenus par des 80 et 90 % de chaque population. “Les petits, les obscurs, les sans grade” (cf. l'Aiglon) en ont vraiment marre que quelques pervers, sans culture et sans cœur mais beaucoup trop payés, élus par personne mais puissants à faire peur, les méprisent sans même se cacher et décident, contre la volonté de tous ou peu s'en faut, la suppression de notre Histoire, de nos Patries, de nos terroirs, de nos richesses… et de nos métiers, le tout au “profit” sans intérêt d'une soi-disant “mondialisation” dont personne ne veut… Finalement, leur projet-fou se réalise : trois ou quatre millions de paysans courageux l'ont faite, cette Europe dont ces malhonnêtes voulaient. Manque de bol pour eux, ils sont si odieux, si antipathiques, si stupides et si néfastes… que c'est contre eux, qu'elle s'est réalisée ! C'est une bonne nouvelle, et peut-être un premier pas vers notre salut !
Leur idéologie –c'est un cauchemar pour toute personne normale– vise une “refonte” du monde autour de quelques idées idiotes, assassines, mal ficelées et sans aucune raison d'être, tellement folles qu'il est permis de se demander si eux-mêmes croient vraiment à ce qu'ils éructent. Ils partent de la manipulation de données (parfois vraies, à l'origine, mais tordues à force d'être triturées) et font exclusivement dépendre un changement climatique indéniable en cours de la faute de l'homme blanc et de la civilisation occidentale (Et ils croient que ça leur donne l'air intelligent !). A partir de ce point de départ absurde, des génies de la falsification des données sont capables à démontrer n'importe quoi, (ils auraient pu choisir de démontrer exactement le contraire, ce qui aurait été bien plus proche de la vérité.... Manque de pot (pour eux), ils sont partis dans la mauvaise direction).
Et là… second facteur inexplicable : une majorité de chefs d'Etat, voyant sans doute dans cette lamentable prostitution une moisson potentielle de voix “à Gauche”, ont suivi cette pente de la facilité, et –comme ils l'avaient fait pour le covid– ils sont partis, bille en tête, sur les chemins de la folie abstraite, de la mise en esclavage de leurs semblables (en réalité si différents !) de la perte de leur honneur (et de nos libertés), vers une fausse écologie punitive qui ne peut déboucher sur rien… qu'à prétendre poursuivre des chimères terriblement coûteuses et destructrices de toute harmonie, qui apportent le chaos jusque dans les familles et condamnent la jeune génération à être malheureuse toute sa vie. Bravo, les mecs ! Et pour “cornaquer” cette fureur de passions stériles, il y a… la grande ombre du Berlaymont et les effrayants spectres cannibales de la grosse Commission soi-disant “européenne”, en réalité “tout, sauf européenne… ”.
Cette grossière erreur d'évaluation des conséquences (soi-disant terrifiantes) d'une affirmation indémontrable, ne peut que faire très mal : à partir du moment où l'Occident, maître-à-penser pluri-séculaire du monde, se met à “déconner” dans les grandes largeurs, l'envie de le suivre et de profiter de son sillage fond à vue d'oeil. Et d'autre part, les sommes “monstrueuses” ponctionnées sur la richesse des états pour l'Ukraine (perdues d'avance) et contre le CO² (faux problème), qui ne seront pas investis dans des projets sérieux, utiles et nécessaires, achèvent la perte de leadership de l'Occident… ce qui peut se lire comme pouvant, pour bientôt, ouvrir la porte à un effondrement prévisible de toute “civilisation” sur la Terre…
Année après année, les résultats tombent, dramatiquement (ou ridiculement) semblables à eux-mêmes, quels que soient les discours intermédiaires et les larmes de crocodile de Fabius : la production de CO² se fout de toutes nos mesures (sans aucun rapport intelligent avec la réalité) et de nos efforts pour mettre un ordre rationnel dans un processus où la rationalité n'est pas une mesure significative. Les pays qui font acte de présence aux “Cop” (ces grand messes sans raison autre que d'envoyer se goinfrer des dizaines de milliers de copains-profiteurs et de co-prébendiers –90 000 à Dubaï, récemment !) reconduisent les mêmes chiffres, ou peu s'en faut,, d'une année sur l'autre.
Quant à la France, son “plus jeune président jamais élu à ce poste” (NB : il paraît que ce serait bien, nonobstant l'expérience des 7 dernières années… et les prédictions, jamais contredites, de l'Ecclésiaste !), elle déverse “H 24” des “sommes dingues” –le mot est de lui !– qu'elle n'a pas, pour faire baisser encore plus un taux qui ne représente que “epsilon pour cent’’, de ce faux problème fort mal posé.
Les chiffres sont cruels : la participation française à la production de CO² atteint péniblement 0,9% de ce (faux) problème (Oui, oui… Vous avez bien lu : ’‘zéro virgule neuf pour cent”, autrement dit : l'équivalent à la barre en bas de l'addition du “problème” total). Et nos “Experts du 20 heures”, mélangeant tout, racontent que “80% des émissions mondiales de gaz à effet de serre associées à l'énergie proviendraient du CO² dégagé par la combustion d'énergies fossiles’’. Sur ce total, le ’'transport routier et urbain” (càd : “la bagnole”, au sens le plus large possible) contribue pour un tiers à notre pollution “nationale”. En supposant que toutes les mesures absurdes lancées marchent, on va donc, au mieux, diminuer le chiffre total de… un autre épsilon %, ou à peine plus. C'est payer très cher… pour rien.
“On emmerde donc les français” (dixit Macron), “H 24” et 365 jours par an, pour l'équivalent de quelques minutes de la consommation quotidienne chinoise. [NB : Et si on abandonne tout le secteur “automobile” au “profit” (?) d'une énergie électrique qui ne sera jamais (il faut lire :  JAMAIS) produite en quantités suffisantes, on fabrique une méga-panne mondiale. Ça, c'est une autre “arnaque du siècle” !). De toute manière, le sul fait que nous partions de de “0,9 %”, tous nos efforts ne seront jamais perceptibles, quoi qu'il se passe et que nous fassions. Certains (dont je fais partie…) qualifient cette attitude de masochiste. D'autres (dont je suis, aussi !) de complètement idiote.
Une autre interprétation de ces chiffres est : si la France tout entière était brusquement rayée de la carte (je ne sais pas, moi… un séisme géant qui l'engloutirait toute entière… ou une méga-bombe jetée par un Poutine excédé par les rodomontades et les “provocs” du petit coq gaulois), cette perte, certainement énorme pour nous, ne serait même pas ressentie, à l'échelle du CO² ! Et pendant ce temps là, d'autres pays –qui savent optimiser leurs temps et leurs ressources– utilisent les sommes “dingues” que nous jetons par les fenêtres… pour investir, pour rester au contact des mouvements du monde et pour préparer des lendemains non pollués par des théories périmées… “Ils ont tout faux”, disent parfois nos jeunes ! Et comme ils ont… juste !
H-Cl.
PS : Au moment où cet éditorial va être publié, une nouvelle éclate : l'EUROPE, ridiculisée, renonce peu à peu (pour ne pas perdre la face) à la mise en œuvre de toutes ses effroyables idées ! Dans une panique XXL, les “ZFE” interdites aux voitures, les assolements-jachères, les taxes pétrolières, le cadeau au Mercosur, l'urgence du “tout électrique” (Comble : le PDG de Hertz vient de se faire virer… pour avoir cru à cette “arnaque-du-siècle”)… et tant d'autres, sont supprimées, l'une après l'autre… On oublie tout… et c'est la preuve –s'il en fallait– que tout ce fatras n'avait rien à voir avec le climat… mais qu'on nous “emmerdait” par soumission aux idées fixes injustifiées du “Lobby écolo-punitif”. Entre ça et le covid… qu'est-ce qu'on a avalé, comme mensonges éhontés ! Un juste retour à la vérité devait bien arriver, un jour… On dirait qu'on s'en approche... et c'est une bonne nouvelle !
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claudehenrion · 1 month
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“Homme et femme, il les créa”…
Voilà une vérité, tirée de la Genèse, que tout le monde sait vraie depuis la nuit des temps, avant-même les premiers pas de nos ante-ancêtres pré-hominiens. C'est une de ces belles lois “naturelles”, incontournables et éternelles, que refusent d'admettre les plus imbéciles des thuriféraires des théories dont le seul but est d'en finir avec l'humanité : comme ils n'ont pas su s'y intégrer, ils tentent de la détruire : “Plutôt le néant qu'un monde sans moi”. Pourtant, sans elle, aucun d'eux ne serait là pour pérorer (j'ai réussi à ne pas écrire “déconner”! Quelle volonté !) sur les avantages prétendus du “genre” sur le “sexe’‘ ! Dans toute l'Europe, un vent de révolte libérateur contre cette folie ignoble se lève et permet de retrouver l'espoir...
Il a tout de même fallu attendre les années 1980 pour qu'émerge de la gadoue ambiante et rampante (et montante, hélas !) l'idée absurde que le sexe n'avait rien à voir avec la vie, la reproduction, l'hérédité, le ’'soma” –et même le “psychè”, d'ailleurs–, mais qu'il obéissait aux règles frappadingues d'une certaine anti-science, garantie sans conscience et donc proche de la ruine de l'âme… Par un manque de chance total, ces tristes événements arrivaient pendant un court moment de l'histoire de l'humanité où les progrès techniques et scientifiques avaient paru si gigantesques aux hommes de ce temps (les années '80, si proches et déjà si lointaines) qu'ils ont déduit de cette toute puissance fantasmée de toutes pièces, qu'ils étaient si riches, si puissants, si promis à la gloire qu'ils pouvaient se payer le luxe d'être totalement extravagants dans leurs comportements, en plus…
Et c'est là que sont nées des théories… de théories plus irresponsables, plus imbéciles et plus assassines les unes que les autres, qui auraient du trouver leur propre mort (pas propre du tout) dans des délais très courts… mais à qui la folie de notre temps –décidément bel et bien sortie des asiles– a donné un rab’ de survie, portée à bout de bras et contre toute intelligence par les élus de la macronie –que rien, ni dans leur histoire personnelle ni dans la logique des choses, ne destinait à diriger les destinées d'un pays bien à plaindre de n'avoir qu'eux comme guides.
Le mensonge des lois prétendues sociétales –dont pas une seule ne méritait de voir le jour, on commence à le découvrir– a permis que ces idioties criminelles fassent des ravages irrattrapables dans la société française qui, après tout un quinquennat de hollande et bientôt deux de macron, n'avait vraiment pas besoin ce de ça, en plus. Il ne faut pas oublier que ces esprits faibles préfèrent une théorie in-démontrée (car in-démontrable) à toute observation de la réalité. Mais, par fondamentalisme, ces ennemis de la religion chrétienne (Parce que pour l'islam… ils ont bien trop la trouille pour émettre la moindre critique) sont littéralement ''shootés'' à des idéologies qui sont bien plus indéfendables encore que celles qu'ils désignent, de façon méprisante, par “superstitions de vieux bigots ridicules”.
J'évoque ces tristes événements parce que la science la plus pointue vient enfin de “démontrer” ce qui crève les yeux depuis la nuit des temps : l'homme est homme et rien d'autre, et la femme est femme, exclusivement. On le savait, bien entendu… mais pas par les bons “canaux’' ! Par quelles détours faut-il passer, en cette époque folle, pour démontrer (sic !) que le jour n'est pas la nuit –et vice versa ! Mais dans ce cas, comme ça passe par les méandres dits ''progressistes'' (sic ! Pourquoi ?) de l”'Intelligence artificielle’’ –dont aucun journaliste ne sait rien–, ces nuls le croient !
La Presse, d'habitude si prompte à enfourcher toute ineptie pourvu qu'elle soit innommable, a accepté cette entorse à la folie ambiante (NB : c'est assez exceptionnel pour qu'on le remarque !). Tenez-vous bien : l'IA vient enfin d'arriver à convaincre nos illuminés éteints que…“les hommes et les femmes n'ont pas le même cerveau” (sic !)… Et de gros titres osent se gargariser de cette évidence, comme s'il s'agissait d'une immense découverte, alors qu'il y a bien longtemps qu'il a été démontré que tous nos organes sont très “sexués” (et pas seulement ceux auxquels on pense… naturellement), et que le cœur ou le foie d'un homme et ces mêmes organes chez une femme ne fonctionnent de manière identique qu'exceptionnellement . Quand je vous dis que le monde est devenu fou !
Le grand drame qui secoue ce microcosme, pervers mais sur-représenté dans les hautes sphères de notre République vraiment pas regardante sur la qualité, c'est que ce sont des équipes de l'Université de Stanford (où, ayant enseigné en 1968 et 69, j'avais admiré la qualité des hommes et des conclusions) qui écrivent : “Notre étude (…) fournit des preuves irréfutables de diff��rences sexuelles reproductibles et généralisables dans le rôle crucial du sexe en tant que déterminant biologique dans l'organisation du cerveau humain”. Autrement dit, tous ces puceaux-qui se croient asexués par système et “genrés” par chirurgie “dé-plastisante”, sont mis devant la preuve démontrée de la crétinerie des théories indéfendables dont ils ont fait l’alpha et l’omega de la structure du monde. Notre époque et nos contemporains nagent vraiment dans l'absurde... et aiment ça !
Nous voilà ramenés à des évidences qui ne pouvaient être contredites (ou plutôt : “pas l'être”!) que par des esprits incapables de voir ce qui est posé devant leurs yeux, telles que : une femme est une femme et un homme est un homme… ce que nous autres, occidentaux, savons depuis des millénaires : “Dieu les créa homme et femme” (Gn 1, 26-28)… ce qu'un simple coup d’œil suffit pour voir ! Lorsque c'était des hommes qui le disaient (et surtout des hommes blancs, hétéros et catholiques, c'est-à-dire, aux yeux de nos intégristes-des-idées-fausses, le comble de l'abjection), ils soutenaient que tout garçonnet qui dit “je suis une fille” (et vice versa) devait être cru, suivi, et encouragé dans cette dérive de l'esprit, du corps, de l'intelligence, de l'être et du “devenir”. Et de la Vie.
Que croyez-vous qu'il va se passer, à la suite de cet énorme tremblement de terre (qui n'en est pas un !) ? Mais rien, voyons… comme toujours : comme au temps maudit de Mao Tsé-Toung, tout esprit progressiste ou moderniste est convaincu que le “petit livre” a toujours raison contre les réalités… et que la science elle-même a tort, lorsqu'elle ose prétendre que le jour n'est pas la nuit, et le Soleil, pas la Lune. Et il va se trouver des journalistes “dans le coup” (à Libé et à l'Obs) pour continuer à défendre l'indéfendable, soutenir l'insoutenable et appeler “vérité” tout mensonge, même énorme, même “pas possible”. Et la récente loi macronique qui force les parents de pauvres gosses à la dérive à “déconner” plus que permis… va garder ses insanités criminelles… C'est notre époque qui veut ça.
On ne peut que souhaiter ardemment que ce “système” meure ou soit tué… Après tout, la “mort” définitive des manifestations les plus terrifiantes de la folie ne devrait pas plonger dans le désespoir beaucoup de gens, parmi ceux qui ne sont pas déjà contaminés par ces horribles pathologies, sorties de cerveaux profondément atteints… au point de ne plus pouvoir imaginer de salut en dehors de la maximisation des tares indélébiles de leur mal (NB : On peut noter que les partisans d'une Europe-caricature (tels par exemple un Macron ou une Ursula von der Leyen) sont déjà dans le même processus : Ça ne marche pas ? Ça n'a jamais marché ? Il faut et il suffit, ’'donc”, de doubler la dose de tout ce qui va déjà mal…).
Tout un arsenal se prétendant “intellectuel” a contribué à installer un système a l'allure iso-scientifique à la mode “Lissenko”, pour faciliter l'installation d'un doute dit légitime sur la seule chose qui ne soit pas discutable dans toute l'humanité (et dans la vie, plus généralement) : la séparation, qui est et ne peut être que “de définition” entre un Homme et une Femme, et leur parfaite non-identité sexuelle. Et dire qu'il faudra des décennies pour que les cons cèdent… s'ils le concèdent un jour !
H-Cl.
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claudehenrion · 1 month
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Macron s’en va-t-en guerre, mironton, tonton, mirontaine...
Petit rappel : je vous ai proposé hier deux ''éditos'' sur Poutine en utilisant un autre angle de vue que le ''procès à charge et à sens unique'' en cours ! L'excès en tout est un défaut, et tue jusqu'à la possibilité de trouver une solution aux crises. Je précisais : ''En fait, la seule utilité d'un ’‘blogueur” serait de donner sa chance à une pensée non-clonée qui est, de nos jours, condamnée et ostracisée avant-même d'être entendue''. C'est avec ce ''bémol'' qu'il faut lire l'éditorial de ce jour : je ne prétends pas détenir la vérité... mais le discours actuel, lui, est à la fois faux, fou, et mortel, à terme.
Un jour, sans que personne ne lui demande à quoi il pensait –ce dont, d'après les sondages, une majorité de français se fout complètement-- Macron, seul au monde à oser émettre des idées aussi indéfendables, a déclaré à une conférence internationale de soutien à l’Ukraine (21 chefs d’État à l’Élysée) : ''La défaite de la Russie est indispensable (sic !) à la sécurité et à la stabilité de l’Europe. Et si ça (?) tourne mal, il faut envoyer des troupes''. Notre ''le plus jeune Président jamais'' a même ajouté : ''Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre''... sans préciser ce que voulait dire tout et gagner. ''Ah ! Qu'en termes galants ces choses-là sont dites...'' murmurait Philinthe à Oronte, hors de toute culture française !
La bonne nouvelle, c'est que pas un seul des caciques présents n'a suivi cette prise de position suicidaire : nuls, mais pas fous ! En revanche, 64 % des français questionnés, pauvres victimes de la ''Propaganda'' officielle macrono-bideneuse, croient à la fable d'un Poutine attaquant tous les pays d'Europe à la fois, des pays baltes à la Moldavie, dès le lendemain matin d'une victoire sur l'Ukraine (qui est déjà ''de fait'', nous l'avons expliqué hier. Mais le voudrait-il, qu'il ne le pourrait pas !).
A trois reprises déjà, ce Blog a parlé de l'Ukraine. La première fois, c'était le 2 déc. 2021, un peu avant le début de cette guerre que, seul ou peu s'en faut, j'avais clairement annoncée (''Editorial'' n°1331 : ''L'Ukraine : une petite Russie... ou la guerre'')... La seconde fois, le 28 fév. 2022, le jour-même de l'invasion russe (éditorial n°1375, ''Mourir pour Kiev ?'')... et la troisième fois, le 3 déc. 2022 (''La crise russo-ukrainienne : quelques vérités dérangeantes'') : la partition était facile à déchiffrer puisque, petit blogueur de quartier, j'y étais arrivé et que, en 7 années, les événements ont suivi fidèlement ce qui était annoncé... Offrons-nous un ''retour sur images'' :
En février 2022, j'écrivais : “Faut-il mourir pour Kiev ? L'analyse de nos soi-disant “experts du 20 heures” tenait alors en quelques affirmations évidemment fausses qu'ils enchaînaient sans honte : Poutine est fou (?), il a le cancer (?), des complots de Palais autour de lui (?), le peuple russe va se révolter (?), les dégâts des blocus successifs sont gigantesques (?), l'armée russe n'est pas prête (?) et les armements fournis par l'OTAN (?) devaient amener assez vite la victoire totale de l'Ukraine (?), bientôt suivie de son adhésion triomphale à l'OTAN, pour le bonheur (?) des peuples européens euphoriques, dansant de joie dans les rues de nos capitales''… Et je commentais : ''Ou bien ils ont raison de penser que Poutine est fou… et leur “jusqu'au boutisme” nous mène à l’apocalypse... ou bien ils ont raison de voir des succès ukrainiens partout et ils n'ont alors pas besoin du battage médiatique et du lavage de cerveau qu'ils nous font subir... Ou bien, plus vraisemblablement, ils ne sont pas sûrs du tout du bien-fondé de ce qu'ils nous racontent''.
Sans rien retirer à l'horreur de la situation, au courage des ukrainiens bien à plaindre, ni au fait que Poutine, dont le “dossier” était excellent jusque là, s'est mis en tort “plein pot” en passant à l'acte… tous nos Nuls majuscules ont été obligés de découvrir que leurs idioties n'ont aucun effet : la Russie tient bon, infiniment mieux que nous, et a toujours 300 000 hommes de plus à jeter dans toute bataille. En fait, ce conflit ne peut évoluer –comme il a été dit ici-même dès le premier jour-- que… soit en une guerre de 100 ans... soit en préférant le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes.. à un maintien difficilement justifiable de frontières qui ont été dessinées sans aucun lien avec les raisons (staliniennes) au nom desquelles on prétend les faire perdurer
(NDLR – Souvenirs, souvenirs : pour ma génération, nos livres de géographie, le Demangeon, et nos cartes murales Vidal-Lablache plaçaient Crimée et Donbass dans l'URSS –je l'ai vérifié. Et tous les bons auteurs des siècles précédents --tels Jules Verne (Michel Strogoff) ou la Comtesse de Ségur (''née Rostopchine'')-- n'ont jamais hésité à savoir où ne s'arrêtaient pas les frontières de la Russie.
J'ai hésité avant de publier ce billet : son contenu est tellement loin du discours officiel que j'ai peur de choquer quelques lecteurs. S'il n'est pas question d'excuser l'invasion de l'Ukraine, cela ne suffit pas à interdire toute réflexion sur le ''pourquoi'', sur le ''comment'' et sur les raisons qui ont rendu cette faute difficilement évitable. Les condamnations systémiques et a priori, les jugements dont les ''attendus'' ne sont pas corroborés par les faits, les ''Haro sur le baudet'' qui sont une caractéristiques du moment affreux que nous vivons, ne sauraient déboucher sur des solutions intelligentes. Et les derniers discours de Macron ne sont rien moins que terrifiants, tant ils ferment toutes les portes... à double tour.
Que peut-il se passer maintenant ? Jusqu'aux deux récentes initiatives incompréhensibles de Macron, (son pacte de 10 ans, il y a 15 jours, et son intervention au sol)--, il semblait à peu près exclu que ce conflit s’étende au-delà de l’Ukraine, contrairement à ce que blatèrent les moulins à bobards US. D'abord parce que les US et l’OTAN (sauf la France, donc) ont confirmé qu’ils ne combattraient pas la Russie (ce ne sont que des promesses de politiciens, mais c'est un micro-signe !), et parce que la Russie n’est pas en état de mener une extension du conflit, contrairement à ce qui se raconte sur nos petits écrans, pollués par les idées fixes de la doxa élyséenne...
La Russie refuse une Ukraine-porte-avions-américain à ses portes. Elle refuse aussi d'être “occidentalisée” de force... et elle a les moyens de sa volonté de suivre une autre voie, laissant tous les pays occidentaux s'enfoncer dans le naufrage “XXL”, économique, moral et idéologique en cours (inflation, invasions migratoires, émeutes, violences urbaines, décolonialisme ''woke'', racisme inversé, ou haine anti-Blancs)... et dans la dégringolade verticale de la morale et de la moralité (déviances sexuelles promues au rang de ''Valeurs'', négation de notre passé chrétien, promotion des mouvements LGBT, de la drogue, des réseaux pédophiles et des changements de sexe des petits enfants (une monstruosité !), etc… ces fausses ''modes'' toutes létales auxquelles la Russie a bien résisté, devenant l'ennemi public n°1 de l'Occident en chute... Mais personne n'a cherché à savoir s'il n'y aurait pas un peu de vrai, dans ce diagnostic... 
Seul contre tous (donc je me trompe sûrement)… je crois voir, plutôt, que 60 % de la planète soutient Poutine et tourne le dos à l'Occident, à ses analyses au premier degré, et à sa façon de voir les choses, refusant tout net d'adhérer à son jugement et à ses “sanctions” –très coûteuses à Paris mais à peine visibles à Moscou qui se porte infiniment mieux que notre France “en arrêt permanent’‘ : les pénuries et l'éclatement social sont bien plus graves ici que ’'là-bas”, et la popularité de Poutine en Russie est bien supérieure à l'impopularité XXL de Macron en France, que les processus électoraux soient ''truqués'' ou pas (87 % de ''pour Poutine'', avant-hier. Attendons nos ''européennes'', dans 2 mois, et on comparera les scores ! Les paris sont ouverts !).
Car avant de critiquer leurs élections... souvenons-nous du scandale qu'à été l'éviction de François Fillon... seule explication à l'élection de Macron, c'est-à-dire à notre dégringolade actuelle, à notre état pré-insurrectionnel, à la déchirure du peuple français, à la fin de notre industrie, de notre agriculture, de notre école, et de nos hôpitaux, à l'envol dingue de notre dette... à la mort de notre culture, de notre Histoire et de notre civilisation, à toutes les catastrophes qui nous pendent au nez... et à notre perte de l'espoir de nous redresser un jour...
H-Cl.
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claudehenrion · 1 month
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Боже, Царя храни !
Surprise, Surprise ! C'est un tremblement de terre, que dis-je ! Un tsunami, une stupéfaction : Vladimir Vladimirovitch Poutine, Влади́мир Влади́мирович Пу́тин pour ses amis –on m'assure qu'il en resterait un ou deux encore vivants--, né le 7 octobre 1952 à Léningrad redevenu Saint-Pétersbourg, a été rééééé-lu, à la surprise générale, à la présidence de la fédération de Russie ! On ne peut qu'entonner en chœur l'hymne à la gloire du nouveau Tsar (qui est, comme d'habitude, le même qu'hier).''Hodge Tsara Krani '': Que Dieu protège le Tsar, en VO dans le titre.
Plus sérieusement, et puisqu' il nous va falloir ''suivre'' l'agenda de ce personnage, je vous propose de lui consacrer 2 ou 3 ''éditoriaux'' dans les jours qui viennent, pour le regarder, pour une fois, autrement que selon les ''attendus'' convenus du procès à charge que ressassent les sources officielles et les faux ''experts'' des plateaux-télé des chaînes ''main stream'', qui ne savent que répéter en boucle les mêmes dadas et les mêmes mensonges, nous le vérifions souvent ! En fait, la seule utilité d'un ''blogueur'' (si tant est qu'il en ait une !), serait d'entr'ouvrir la porte à une pensée non-clonée qui est, de nos jours, condamnée et ostracisée avant-même d'être entendue.
Je vous propose donc, un court instant, de regarder Poutine avec un autre regard. Je ne dis pas que ce regard est vrai, mais je dis qu'on a pas le droit de refuser de savoir qu'il existe, car le regard ''officiel'' est biaisé et univoque à en être faux, et il est sage, prudent et ''pas que con'' de s'en méfier. Par mesure de justice et d'équité, nous essaierons de conduire un exercice comparable avec Trump, un peu plus tard, dans une double relecture d'une réalité ''différente'' –plus vraie, je ne sais pas, mais moins ''convenue'', sûrement. Et plus courageuse et plus susceptible de nous sortir de la paralysie ambiante : le seul fait qu'un comportement ne débouche sur rien n'est pas une raison suffisante pour s'entêter et ne pas chercher d'autres portes de sortie !
Mais ce Poutine, tout de même… quel sale type ! Il y a de quoi avoir peur de lui, quand on pense au mal qu'il se donne pour remettre la Russie au niveau et au rang qui devraient être les siens (ramenés à sa surface, à son histoire, à sa puissance, et à l'agression permanente de ceux qui ont décidé qu'il fallait les abattre, elle et lui…) ! Pensez ! Un patriote… dans le monde d'aujourd'hui, où tous nos progressistes et tout ce qui pense de traviole sur terre, n'ont pas de mots pour critiquer Nation, Patrie, Histoire, Drapeau, Honneur, roman national… Se croyant intelligents, ils sont stupides, en refusant de voir que l'URSS est morte et que la Russie ne demande qu'à l'oublier.
Car le communisme est bien mort ! Et, comme son alter ego idéologique, le nazisme d'atroce mémoire (aussi), tout aussi '' de Gauche'' que lui mais qui, ayant perdu la guerre, a été rejeté sans aucune justification dans la camp réputé maudit de ''la Droite'', il n'est pas près de renaître de ses sales cendres. Sur les ruines de la si peu regrettée URSS, la Russie, un autre pays –nouveau autant qu'il est ancien– a voulu rejoindre le concert des nations. Ah ! la pauvre ! Elle avait commis la double erreur (impardonnable aux yeux des progressistes rétrogrades qui ont réussi à s’emparer des leviers de commande) de se souvenir d'une Histoire non politiquement correcte et des racines chrétiennes de notre continent, ce qui est ''à tuer'' : la Gauche hait ce qui est vrai !).
Tentative après tentative, refus après refus, soufflet après soufflet… Poutine, judoka et joueur d'échecs mais finalement dégoûté, a enfin compris que les idéologies perverses, masochistes, inefficaces et mortifères (lui ajoute ''décadentes'', et on peut difficilement lui donner totalement tort !) qui sont en vogue chez ceux qui le rejettent par système, ne peuvent mener à rien de bon. Il a donc choisi un chemin autocratique, avec plein d'excès, bien entendu (mais qui n'en fait pas ?), mais aussi avec des résultats que nos dirigeants auraient eu intérêt à méditer... Et puis... tout s'est bloqué : des campagnes incessantes ont créé, mais en Occident seulement –et ça, c'est extrêmement grave-- un sentiment plus négatif qu'au temps maudit des cocos, comme si Poutine était plus dangereux que Lénine, Staline et Brejnev réunis…  
Je sais que c'est le “must” à la mode d'afficher un anti-poutinisme militant, en évoquant une brutalité bien réelle que l'Histoire explique sans la justifier (mais qui nous permet d'oublier tout ce qui, chez nous, n'est pas vraiment meilleur !). Il n'empêche : au regard de l'histoire-à-venir, son dossier “tiendra la route” bien mieux que celui des Occidentaux, soumis au bon vouloir des différentes Administrations US  qui poursuivent des objectifs qui ne sont pas les nôtres, et qui, en général, commettent des erreurs énormes de lecture de l'Histoire et d'interprétation de réalités dont la complexité leur échappe (cf, récemment, l'Irak, la Syrie, la Libye, l'ex-Yougoslavie hier et Gaza aujourd'hui, etc...). En fait, rien n'est jamais ni tout blanc ni tout noir... et ce n'est pas facile à admettre, souvent !
Poutine, poussé à bout, a commis une faute inexcusable : se mettant dans son tort, il a ouvert les hostilités, pour reprendre ce que tous les russes considèrent leur appartenir ''depuis toujours'' (voir ci-après). Il a cru attaquer un état-croupion qui avait, jusque là, bien du mal à ne pas exister, mais c'était pour le faire “revenir au bercail” –tel que lui voit les choses. L'OTAN, qui n'a rien à faire dans cette galère, a cédé aux erreurs de la CIA, et les dirigeants occidentaux, nuls à en sangloter de désespoir, se sont servilement alignés sur le grand dispensateur de dollars, espérant récupérer à terme dans l'OTAN un Etat dont ce dernier n'a nul besoin (''que des emmerdes à espérer'') et qui s'est engagé à ne jamais en être membre. (NB : où voyez-vous “l'Atlantique-Nord”, entre Kiev et Odessa ?). Les pauvres européens, nuls, se sont laissé entraîner dans une spirale à qui perd, perd voulue par les américains… Et on perd. Il ne nous reste que des menaces aussi présidentielles que creuses, que personne ne croit ni ne respecte, et pour cause !
Et, un mot en entraînant un autre, on en arrive aujourd'hui à la crise de nerfs du Président français qui prononce des phrases ''qu'un Président ne devrait jamais dire''. Il fantasme une menace pour la France (que l'on chercherait en vain dans le ''script'' en cours) devant une armée fatiguée que la seule Ukraine arrive à tenir en échec depuis 2 ans. Le fantasme macronien de grandes expéditions nouvelles n'est, juste, pas envisageable avant... 10 ans. Et malgré ça, à la question : “Faut-il se préparer à mourir bientôt pour Sébastopol, Simféropol, Kiev, le Donbass, ou qui vous voudrez ?“… la réponse ’'NON” ne va plus de soi, depuis les crises nerveuses d'une France qui n'a, en aucun cas, les moyens ''d'assumer'' les discours de son président, privé, en plus, du moindre soutien sérieux. .
H-Cl
PS : les choses étant ce que nous voyons et le monde ce qu'il ne devrait pas être –comme n'a jamais dit De Gaulle-- il serait sans doute utile de compléter ce rapide tableau par un retour sur images : un sujet est inséparable de l'autre. Alors... ''Et l'Ukraine, dans tout ça''? Le texte de cet ''édito'' sera plus long que d'habitude, mais le sujet est vraiment plus grave et ''il le vaut bien''.
Retour sur images : L'Ukraine, un peu plus vaste que la France (600.000 km2) mais moins peuplé (45 millions), s'étend au nord de la mer Noire, de part et d'autre du Dniepr. Ses habitants ont de tout temps été appelés “Petits-Russiens”, ce qui n'est pas neutre, en soi. Et c'est autour de Kiev, l’actuelle capitale de l'Ukraine, que la nation russe est née, aux alentours de l'An Mil, avant de se diviser en ‘’russes russes’’ proprement dit... en ukrainiens... et en biélorusses, dont les langues nationales ont lentement et légèrement dérivé par rapport à l'ancienne langue commune. Les tout premiers “ukrainiens” revendiqués furent quelques paysans qui, au XVIe siècle, se constituèrent en communautés indépendantes, les Cosaques zaporogues (= les hommes libres au delà des rapides), qui sont devenus sujets polonais, pour les punir, sans doute.
Mais en 1654, las d'être maltraités par les Polonais, ils se placent sous la protection du tsar “de toutes les Russies” offrant aux Romanov la rive orientale du Dniepr, puis Kiev et Smolensk, enfin redevenues russes. Dans l'esprit des tsars, l'Ukraine a toujours été terre russe et n'a donc droit à, ni besoin de, aucun statut particulier. Après l'échec en 1709 du chef cosaque “Hetman” Mazeppa, les retrouvailles de l'Ukraine et de Moscou ont été totales : les territoires dits ukrainien et biélorusse sont revenus sous l'autorité du tsar, et il faudra attendre deux siècles (la première Révolution russe de 1905), pour que Nicolas II s'engage à respecter “les nationalités” (pas les nations).
C'est la grande révolution de 1917 qui verra une ''Rada  centrale''  (copie des soviet russes d'alors) se proclamer ''République populaire ukrainienne'', aussitôt dévorée, et russifiée “à mort” (dans le vrai sens du terme) par l'hydre stalinienne : 6 millions d'ukrainiens sont (littéralement) morts de faim entre 1917 et 1933. Et ça, c'est affreux ! Devant cette histoire tellement complexe, j'admire (enfin… un peu ; très peu, même !) ceux qui prétendent qu'il n'y aurait aucune consanguinité entre Russie et Ukraine… et aucun droit possible de l'une sur l'autre...
Ukraine veut dire “frontière”. Entre les mondes orthodoxe et catholique, ce pays ne peut nier être le berceau du monde russe. Il faudra attendre 1989 pour que la libéralisation du régime soviétique permette aux ukrainiens d'exister un peu (à travers les tresses blondes de Ioulia Timochenko qui fit découvrir ce pays –et le rendit sympathique). N’existant que depuis 1991 –c'est hier--, il se cherche entre un Occident attirant mais lointain et une Russie proche mais redoutée.
Cependant, il ne faut jamais oublier qu'une des conditions mises par Gorbatchev à l'ouverture du monde communiste a été “que jamais l'OTAN ne cherchera à attirer les pays du Pacte de Varsovie dans son giron”… promesse et engagement clairement décrits, et compris, alors : toute menace de rapprochement serait un “casus belli”. C'était parfaitement clair, mais la mémoire des politiques est... sélective.
Reste le cas de la Crimée, cet autre caillou dans les chaussures des cuistres qui nous dirigent si mal. Russe depuis le XVIIIè siècle après avoir été possession ottomane pendant 300 ans (les pauvres !), elle est devenue un “oblast” (= territoire) de la République socialiste soviétique de Russie que Staline, dans un geste ''sans conséquence'', a rattaché à l'Ukraine, qui était alors partie intégrante de l'URSS : dans sa tête, il changeait un meuble de place, à l'intérieur de la maison, rien de plus ! Et ce n'est, aussi, qu'en1991 que la Crimée devint une ’'République autonome’’, avec Simféropol pour capitale, et peu de liens statutaires avec l'Ukraine –qui persiste à la revendiquer, y compris Sébastopol, le grand port de la Mer Noire, qui a toujours conservé un statut spécial de “ville fédérale”, comme le sont Moscou et St-Petersbourg.
La situation est gravissime : la tactique ne doit jamais faire oublier la stratégie, et le court terme se substituer à la vision longue... De telles fautes contre l'Histoire, la pensée et l'intelligence, et une priorité donnée à ce qui est visible (même très émouvant) ne peuvent que mener, très vite, à des situations que personne n'a envie de vivre (sauf, en apparence, notre Président ? Je n'arrive pas à croire que c'est autre chose qu'une posture pré-électorale : ce serait trop fou !)... et à une guerre que nous perdrions en 48 heures, sauf à utiliser des armes définitives pour tout le monde. Mais dans ce cas, je ne serai plus là pour vous expliquer pourquoi on a eu tort de se comporter comme ça... ni vous, pour lire mes commentaires... postumes.
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claudehenrion · 1 month
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Il se passe toujours quelque chose...
Pour des raisons propres à mon âge (enfin... ''propres'', je ne sais pas. Mais pas ''sales'', non plus !) je viens de passer 3 jours dans un grand service cardiologique parisien pour remettre à niveau (ça veut dire : ''changer'') des vieux ''Stents'' semés ici et là dans les années 2000. Trois journées sans smart-phone, sans ordinateur, sans presse, sans contact avec le monde officiel, et j'ai bravement résisté à la... ''Stent-ation'' d'allumer la belle télé mise à ma disposition : car même si vous êtes malade, l'Etat se réserve le droit de vous intoxiquer autant que tout le reste du temps. Malade ou sain, vous avez un droit constitutionnel à être désinformé !
Sous forte pression d'Esculape et d'Hippocrate, je dois rester allongé 8 jours (NB : Compte là dessus !) par obligation et par prudence. J'ai donc tout le temps voulu pour rattraper un temps officiellement réputé ''perdu'' puisque passé à autre chose qu'à (se) réciter les versets ravageurs de la doxa macronienne. Je me suis donc plongé dans les bobards des journalistes, et je ne suis pas revenu de ce que j'ai lu : ce qui peut se dire et se faire comme énormes conneries en trois petites journées seulement est, exactement, incroyable ! Pourtant, en matière de ''Communication'', la France, grâce à ses célèbres Galeries Lafayette, a toujours été un précurseur. Souvenez-vous... C'est dès le début des années '70 que le slogan : ''Il se passe toujours quelque chose aux Galeries Lafayette'' est devenu un clin d’œil pour et entre tous les français, comme une partie de cette ''culture'' que leur dénie Macron !
J'étais alors directeur général des 187 grands magasins des ''Nouvelles Galeries'' et, en tant que tel, extrêmement proche du grand Monsieur qu'était Etienne Moulin, président des unes (GL) et actionnaire de référence des autres (NG). La France vivait encore au rythme des 30 glorieuses, et recherchait l'élégance et la qualité –qui passaient alors très loin avant le critère unique à en être obsessionnel du mercantile ''prix le plus bas, quoi qu'il en coûte''. En ces temps heureux, (mais on ne le savait pas !), nos grands magasins se sont mis à organiser de belles expositions, à la place des musées qui n'en faisaient plus –pour avoir l'air ''social'' ! Se rendant compte du ridicule où ils s'étaient mis (en ce temps-là, le ridicule tuait déjà moins, mais tuait encore !), les musées se sont mis à jouer aux magasins ! Tout le monde y a perdu.
Mais là où cette tendance à l'inversion des rôles à commencé à devenir très grave, c'est lorsque, il y a quelque 7 ans, à la Pyramide du musée du Louvre, un jeune ''le plus jeune président jamais élu en France'' (qui a réussi, un très court instant, à faire croire aux français, que ''immaturité et pucelage politique'' pouvaient être un avantage compétitif) à qui le groupuscule terroriste dit ''Bildenberg / Davos'' avait déjà donné l'ordre d'assassiner notre labourage et notre pâturage au nom de l'Europe --boulot pas encore terminé, mais en bon chemin, pour ces tueurs de toute humanité--, a ratatiné la France à une scène de théâtre qui imiterait les Galeries Lafayette : ''En France, il se passe sans cesse n'importe quoi !''.
En ce moment, par exemple, la mode officielle est de se moquer, style ''ouaf, ouaf, ouaf'', des soi-disant bobards soi-disant lancés par Trump... alors que, en menaçant sans cesse la Russie de l'envahir (?) si elle gagne en Ukraine –ce qui est évidemment déjà fait, la Crimée et le Donbass, parties russes de l'Ukraine, étant revenus en russophonie, à leur place--, on erre dans une logorrhée de mots privés de sens. Gros titre, donc, barrant la ''une'' du plus grand quotidien du matin, hier : ''Macron et Scholtz proclament d'une seule voix qu'ils ne laisseront pas la Russie gagner en Ukraine''... en oubliant, soigneusement, de préciser ce que veut dire ''gagner'' dans ces rodomontades... qui cachent plus de désaccords et d'opposition(s) qu'on ne peut en imaginer, les allemands (rarement faciles, dans toute négociation) refusant ET l'envoi d'hommes ET le grand emprunt demandés par Paris. Traduction en clair : qu'il ait tort ou raison (chacun ayant son opinion qui est donc la bonne, pour lui !), Poutine peut continuer à faire ce qu'il veut, ce n'est pas de là que viendra la menace, pour lui ! ''La voix de la France, c'est Parole, parole, parole...''.
Et notre ''le plus jeune président jamais etc'' de se pavaner en affirmant qu'il ''assume'' (sic ! En l'écoutant, on se dit qu'il est possible, après tout, que certaines couches de la jeune population française actuelle n'aient, effectivement, pas la moindre ''culture française''. Mais de là à généraliser...). ''Il assume ?'', mais quoi ? Eh ! Bien... ''La décision d'envoyer à la mort des jeunes hommes et quelques jeunes femmes qui ont eu le tort de ne pas voir qu'on les menait en bateau''... (Nous parlerons très vite du vrai faux / faux vrai danger que représente Poutine, c'est promis). Mais un nouveau sujet d'inquiétude surgit : 34 % des répondants à un sondage ''Figaro'' diraient avoir été convaincus par la lamentable prestation de Macron sur ses terreurs puériles d'un envahisseur russe qui, dans le monde réel, est exsangue et KO debout pour une bonne décennie ! Devant tant de ''suivistes impénitents'', il y a de quoi trembler pour les élections à venir !
Autre chapitre d'étonnement permanent : en panthéonisant l'assassinat de bébés sans défense, on a pris un risque que la gauche dit historique alors qu'il n'est qu'hystérique (cf les danses de joie des partisans d'écraser le crâne de bébés parfaitement viables dans le ventre de leur mère d'où on pourra les sortir ensuite par petits morceaux ensanglantés) : c'est, qu'on le veuille ou non –car les mots ont un sens-- choisir la mort contre la vie, en une rupture totale avec toute l'histoire de l'humanité... tout en faisant croire qu'on voudrait repeupler la France... Mais quels menteurs !
En restant deux secondes encore sur les mots, on peut –on doit !-- se demander si ceux qui circulent (ex. : tuer en osant parler de fraternité... ou ouvrir la porte en grande pompe à des évolutions dont il ne se peut pas qu'elles n'aillent pas que dans le pire sens possible) ne marquent pas un terrible effondrement du vocabulaire dont nos meneurs ont pris l'habitude de ne se servir que pour obscurcir la vision de leurs semblables. Du vocabulaire, mais aussi de la civilisation, de nos mœurs, et de nous-mêmes. Comme le dit le Sénateur Léonetti, ''La France a choisi de s'aligner sur les moins-disants éthiques''... et ça, c'est un drame, historique. Nos bardes chantent Badinter et Simone Weil, et –''en même temps'', bien entendu-- ils ''panthéon-constitutionnalisent'' tout ce contre quoi ces deux personnalités se sont battues toute leur existence... Pauvre France !
H-Cl.
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claudehenrion · 1 month
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Trêve olympique anticipée...
Ah ! Enfin le grand jour de l'atroce hidalgo est arrivé ! Avec un bon trimestre d'avance sur l'événement, et littéralement rendue ivre par son pouvoir de nuisance, elle vient de décider de commencer à emm... quiquiner les parisiens. C'est dimanche que cette autoritariste pathologique et ennemie de.. l'auto, va détourner les lignes d'autobus (ce qu'elle rêverait de pouvoir faire avec les lignes de métro !). Parisiens, mes frères, vous n'êtes pas sortis de… ce qui vous attend ! C'est LE sujet de toutes les con-versations (Oui, je sais, je la fais souvent, cette césure... Mais c'est tellement bon d'oser l'orthographe qui convient !) dans tous les dîners-en-ville... surtout germanopratins...
Parce que, comme le suggérait hier Alain Rémond dans ''la Croix'', on va finir par les avoir, en fin de compte et de conte, ces sacrés jeux olympiques. Vous en pensez quoi, vous ? ''Vous, je sais pas, mais moi (comme aimait à le répéter Anne Roumanoff)... c'est comme vous'' : je suis complètement d'accord. Même si... bon... y aurait sans doute à redire, ici ou là, même là-bas, sur ceci ou cela et le reste, mais c'est tout de même les jeux olympiques, quoi ! Faut pas déc... On va les avoir en France (et même partout, et de préférence n'importe où), et même à Paris, ce qui n'est pas rien, pour la première fois depuis 100 ans pile --et face ! Et même que... les plus coûteux de l'histoire !
Non ? Eh ! ben... si ! Attendez, ne me faites pas dire ce que je ne dis pas : vous avez raison de râler : on a toujours raison de râler. Par principe. Pour ainsi dire : préventivement : ça peut pas faire de mal, de râler. Et d'ailleurs, je le dis sans vraie fausse honte : moi aussi, je râle ! Dame ! On est français ou on ne l'est pas, non... et ''de souche'', dans mon cas ! Et si les français arrêtaient de râler, autant mettre tout de suite la clé sous la porte, quelle que soit la clé et quelle que soit la porte ! C'est comme si un ''rosbif'' se mettait à ne plus boire de cervoise tiède !
Mais bon ! Là, on parle des Jeux Olympiques : c'est pas rien, non ? La fête, le spectacle, le suspense, les records des autres nations et leurs médailles, les 3 nôtres dont on parlera comme si elle étaient 24 ou 48, les touristes, le bruit, les pick-pockets débarqués du monde entier pour piller les chinetoques et les japs, les imprévus (jamais dans le bon sens, vous avez remarqué ?), Edith Piaf massacrée (on prend le pari ?), les prix qui s'envolent à frôler le ciel (sauf le 7 ème)... tout ça, et tout... le grand frisson mondialisé, quoi.. On n'est pas aux jeux olympiques pour rien : ''i'' faut suivre... le train, et ''L'important, c'est de participer''. Et pour le reste... on pense ce qu'on pense qu'on pense, en général, même en particulier.
Mais si vous voulez que je vous dise ce que je pense que je devrais vous dire, je pense que si on n'avait pas eu à organiser les Jeux pour jouer à s'amuser à organiser des jeux, je serais aussi content de ne pas râler de ne pas avoir de raisons de râler... que d'avoir, aujourd'hui, raison de râler puisqu'on les a eus. Car si on ne les avais pas eus, qu'est-ce qu'on aurait adorer râler parce qu'on n'a même pas été fichu de les avoir ! Bon. Je crois qu'on s'est dit à peu près tout ce qu'il y avait à dire, non ? On est d'accord ?
Il ne reste qu'une correction à faire : tous nos cuistres-aux-manettes, nos pontifes, nos pros de ''l'énanisme'', nos gaspilleurs de sommes ''dingues'' dont ils n'ont pas le premier sou... confondent, à longueur de discours emmerdant, les Jeux Olympiques avec une ''Olympiade''. S'ils avaient ne serait-ce que la moitié du début d'une culture historique, ils sauraient que le mot ''Olympiade'' n'a et ne peut avoir qu'un seul sens : la période de 4 années qui sépare deux ''Jeux''. Et ''Les Jeux olympiques d'été'' qui seront célébrés à Paris du 26 juillet au 11 août 2024 seront ''les Jeux de la XXXIIIᵉ Olympiade'' (moderne). Et là, vous avez raison de râler : c'est stupide ! C'en est à croire que, comme le disait l'autre, ''la culture française n'existe pas'' !
Tout de même, on peut aussi trouver normal de râler contre le prix prohibitif des trucs dans le genre ''quoi qu'il en coûte'' qui fleurissent à en être, pour beaucoup, déjà fanés avant même d'avoir fleuri... comme hidalgo, d'ailleurs. Comme je l'avais proposé à de nombreuses reprises ici-même, il aurait été sage de prévoir une ''rallonge'', en multipliant les budgets initiaux par ''π'' (nombre dit ''irrationnel'', qu'on peut arrondir à 3,14159265358979323846264338327950288419710, pour simplifier les calculs)... Le coût final de ces jeux va être croquignolet à comparer avec les ''engagements'' (?) initiaux.
Mais bon... n'en faisons pas un ''pataquès'' : depuis que la France n'est plus qu'une socialie puis une macronie (la différence est vraiment minime)... c'est tous les chiffres qui sont devenus fous, les dépenses de l'Etat, le soutien à des causes qui ne sont les nôtres en aucun cas (cf les explications rigoureusement ''non-convaincantes'' du chef de l'Etat, hier soir...), et les impôts ! Et il reste encore deux ans à tirer... avec peut-être à la clé une vraie guerre, provoquée, contre la Russie... le temps qu'elle nous écrabouille. Décidément, on n'a pas fini de ''raquer'' !
H-Cl.
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claudehenrion · 2 months
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Et le fautif est...
Nous vivons tout de même une époque fantastique : toute seule et sans que personne ne lui ait rien demandé, elle arrive à endosser et à sublimer la totalité des défauts qui ont empêché, à travers les âges, l'humanité de trouver sa place, son équilibre, son identité... donc son bonheur ! Notre monde est peuplé --et il en meurt, d'ailleurs-- de surdiplômés qui prétendent se rêver paysans, de gens assis qui se veulent aventuriers, de donneurs de leçons qui croient se substituer aux écoliers, et –ce sont les mêmes !-- de nuls qui se pensent intelligents ! (''J'ai les noms''... ajoutait Coluche !).
Combien de fois l'avons-nous entendu, ce fabricant de poncifs qui pollue nos petits écrans en discourant avec autorité sur absolument tout ce qu'il ignore tout aussi absolument ? Il est là, poussah assis comme sur un trône, faisant l'éloge conjoint (à écrire en deux mots, ici !) de la marche et du mouvement. Il est bouffi de son savoir ès-toutes choses, au point de se sentir investi du devoir de nous expliquer les charmes de la table rase, du retour aux sources, de la naïveté baptisée vertu cardinale, de la décroissance, s'autorisant même un éloge du farniente, du télé-travail et de la RTT réunis... voire de la guerre préventive contre un ennemi qui pourrait menacer notre long terme, un jour : ''autant --dit-il-- lui déclarer la guerre, là, et mourir tout de suite''...
Les plus malhonnêtes ont poussé le bouchon jusqu'à voter la semaine de 35 heures comme susceptible d'être ''une conquête sociale'' et une victoire du genre humain sur la société... qui 25 ans plus tard, est incapable de se remettre de ce coup fatal... D'autres re-baptisent ''fraternité'' le fait d'assassiner ceux qui ne produisent plus rien pour la société, et ''dignité'' l'abandon de la vie... Jamais autant qu'aujourd'hui n'a-t-on eu le droit d'affirmer que ''les mots tuent''. On se demande même s'il ne faudrait pas dire : ''Les mots, seuls, tuent vraiment...''.
Nos apprentis sorciers imaginent leur savoir si encyclopédique qu'ils se paient le luxe de vanter les bienfaits (?) de l'ignorance et les avantages douteux de ''la page blanche''.... d'où ils vont tirer que le comble du bonheur futur sera dans la grossièreté, la vulgarité promue ''distinction'', la mauvaise éducation devenue agression et récrimination permanente, l'inculture caricaturale... et l'assistanat, incontournable pour les enfants des autres (qu'ils désignent par ''nos enfants'', ceux qu'ils n'ont pas eus, sans qu'il soit possible d'établir le moindre rapport entre les prémisses et la conclusion : leurs syllogismes sont illogiques, et eux, trop bouffis de leur importance auto-proclamée pour pouvoir s'en rendre compte !)
Moins ils comprennent le monde, et plus ils plastronnent : rien de tel qu'un orateur pour expliquer le silence... qu'une pensée architecturée pour décrire l'anarchie... qu'un haut fonctionnaire-à-vie pour expliquer les avantages de l'allocation-chômage... qu'un ex-prix de thème pour vanter les qualités poétiques ou autres du dernier de la classe... qu'un énarque, qui a tout et n'en tire rien, pour déclarer ''bonne'' l'étoile de celui qui n'a rien et en tire ce qu'il peut... ou qu'un démocrate ''façon Science-Po'' pour excuser les dérives survenues très loin de là, ou tout près de lui mais à des gens qui ne sont pas ''du même monde que lui''... ou qu'un exempté de tout service militaire pour rêver d'en découdre avec l'armée russe... Mais la contradiction n'a-t-elle pas toujours fait partie des ''impedimenta'' que l'homme, cet éternel nomade, traînait avec lui ?
Dimanche dernier, sortant de ma messe dominicale chez ''mes'' petites sœurs de Bethléem, je suis tombé sur un ami (une vague ''relation'', plutôt) qui passait par là, par pur hasard, et qui m'a susurré que lui n'entrait plus dans des endroits aussi peu fréquentables qu'une église (sous-entendu : pas comme les idiots qui n'ont pas encore trouvé les bienfaits du ''Non'' –que moi, je ne veux pas connaître : ''à chacun selon ses mérites'', disait Étienne-Gabriel Morelly, ''le philosophe oublié'', dans son ''Code de la Nature'' (1755, donc ''une lumière''), idée reprise en 1840 dans ''Voyage en Icarie'' par Etienne Cabet, théoricien du ''communisme chrétien''(sic ! Le nom, seul, me donne envie de pouffer de tristesse ! Car il y en a eu aussi, des cons, avant nous ! Ça rassure !).
Bref cette autorité morale uniformément reconnue par lui-même m'a abreuvé des poncifs mille fois entendus : notre civilisation est trop hypocrite... notre vieux continent, fichu... le christianisme n'est qu'un souvenir en Europe... qui, elle-même n'est plus qu'un mot, une enveloppe vide. Ne pensant qu'à fuir, je n'ai pas éprouvé le besoin de lui expliquer que pendant qu'il psittacisait ses lieux communs, je pensais à ma joie d'être né dans un lieu où les sagesses gréco-latines (comme lui et moi) et judéo-chrétiennes (pour moi seul l) s'étaient mêlées pour donner naissance à cette idée folle qu'on appelle ''Liberté'', ce concept qui, précisément, lui permet le choix d'entrer ou non dans une église, et –pour moi-- de revisiter avec extase Saint Etienne du Mont et son jubé, Saint Séverin et son pilier-palmier improbable ou Saint Sulpice et les 106 jeux de son orgue, en espérant qu'un organiste viendra répéter à ce moment-là...
Les grands esprits microscopiques qui nous dirigent ont tué en eux l'enfant qu'ils n'ont peut être même jamais été : ce sont des comptables (dont une définition est : ''ce sont des tables avec des gens autour...''!), des gestionnaires ou des contrôleurs de gestion, des régisseurs ou des administrateurs, des préposés aux normes et aux formulaires qui ne voient leurs semblables que comme derrière un guichet, entre deux classeurs... mais ont oublié ce que c'était qu'un sourire. Et lorsqu'ils parlent de ''nos enfants'' (ceux qu'ils n'auront jamais : il est bien trop tard, et ils ne savent plus en faire !) et de ''leur futur'' (qui fait peur aux êtres vivants, qu'ils ne sont plus), on a l'impression de lire une norme en pleine élaboration... Là où les hommes, assurés du minimum vital, ont besoin de dignité, de reconnaissance, de tendresse, (merci, Maslow !), de vérité et de mots simples, ils ne proposent que des chiffres triturés, de leur morale amorale, et d'une anti-économie dépensière... sous couvert de ''concret'', ce premier stade de la chute vers la mort...
Pourtant, paysans de tous les pays ou pas, un vent de fraîcheur semble s'être levé sur le monde... Ici, là, un peu partout, les structures bureaucratiques craquent, les normes se fissurent, les gens –je veux dire : ''les vrais gens'', ni nos politiciens retardataires (dont il est urgent de se débarrasser), ni les collaborationnistes ''fans'' de ces idéologies sans idées qui ont rendu les hommes fous et malheureux depuis le XVIIIème siècle et ont engendré tant de monstres indésirables en ''--isme'', pas plus que ceux qui tentent de s'inventer une nouvelle jeunesse (déjà vieille) mais qui sont au moins ''aussi pires'' (car drogués à tout ce qui assassine l'Humanité depuis 6 ou 7 ans : le faux écologisme, le wokisme, l'indigénisme, le décolonialisme pathologique, le racisme-à-toutes-les-sauces, le faux féminisme dément, le ''cancel-culture'' qui est un authentique ''cancel l'Humanité'', etc... il y en a trop, disent les réseaux sociaux, de ces psychotropes pour psychopathes très haut placés... ou très haut consommés).
Les hommes se révoltent, dans tous les pays, à commencer par ceux qui sont les plus soumis à l'ordre désordonné actuel... Redressons la tête : tout n'est pas perdu ! Ça ne va pas être facile, mais au moins, l'espoir renaît. Comme il nous manquait !
H-Cl.
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