Tumgik
#mettre fin à des relations
mega-adam-blr · 10 months
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La réciprocité.
La réciprocité ce concept qui m'est si cher, qui m'a sauvé. Recevoir ce que l'on mérite... Ce n'est pas donner dans l'espoir de recevoir mais c'est avoir conscience de sa valeur et de ce que l'on mérite. C'est choisir des relations où l'on ne se contente pas de miettes d'amour... C'est être en osmose avec l'autre parce qu'on est sur la même vibration et qu'on reçoit autant d'amour qu'on en donne. C'est aussi avoir le recul d'analyser nos relations et de savoir dire stop quand en face on a pas de réciprocité. C'est fuir la médiocrité des relations à sens unique... C'est arrêter de se dévaloriser en se donnant sans recevoir de considération. C'est savoir mettre fin à des situations où l'on s'investit sans jamais que nos efforts soient vus. Je pense qu'on récolte ce que l'on sème et que si ce n'est pas le cas c'est soit qu'on sème (s'aime) mal soit qu'on sème au mauvais endroit. Je vous souhaite d'apprendre à semer aux bons endroits afin de récolter ce que vous méritez, et d'avoir la lucidité d'arrêter de semer quand vos efforts ne paient jamais. Quand on en prend conscience, et qu'on change ce qui peut l'être, alors apparaissent des fleurs d'amour et de bonheur sur notre chemin, c'est cela que je vous souhaite.
Cynthia Chevalier. Le chant de l'âme
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Il répond au bout d'une semaine en disant "je suis content d'avoir de tes nouvelles" mais il met une semaine à répondre ! Il me conseille des jeux vidéos que je lui ai moi-même conseillé, il peut pas me proposer une date pour qu'on se voit, il me dit qu'il doit bosser son mémoire tout le temps mais vraiment il peut pas trouver UNE SOIREE pour moi ? Franchement ça m'énerve j'ai pas l'impression de demander la lune, je veux juste qu'on se voit a peu pres une fois par mois, ça me semble pas impossible. J'ai pleins de temps libre et je pensais que j'allais pouvoir profiter pour qu'on passe du temps de qualité ensemble, mais que dalle. Et il a l'audace de me demander si moi j'ai des vacances ??!
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maraboutbadou · 1 year
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Comment Rompre et Mettre Fin à une Relation à Distance
Comment Rompre et Mettre Fin à une Relation à Distance Le professeur Badou est un professionnel reconnu du maraboutage africain. A votre écoute et à votre service, Il est l’homme de confiance qui sera en mesure de vous apporter une aide précieuse afin de résoudre les divers problèmes de votre existence : les conflits familiaux, le retour d’un être aimé, des révélations sur les événements futurs…
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Un de perdu..
Hier, un homme de 58 ans, avec qui je discutais depuis plus de 15 jours, m'a effacé de ses contactes Instagram et Telegram, et bloqué sur Tumblr. Belle preuve d'immaturité et de susceptibilité pour ne pas dire manque de couilles flagrant ! Je pensais qu'à nos âges, nous savions expliquer ce qui ne nous convient pas et partir comme des gens civilisés. Ben non !
Ce qu'il me reprochait, c'est avant toute chose de ne pas vouloir entrer dans la sphère senso-sexuelle avec lui. Nous avons bien accroché dès les premiers échanges, au point qu'il s'est rapidement emballé et a parlé de sentiments, de feeling, de rencontre des âmes en moins de 48 heures. De mon côté, tous les reds flags se sont dressés ! Probablement parce que je ne ressentais pas une telle attirance mais aussi parce que le coup de l'amoureux, on me l'a déjà fait des dizaines de fois et je sais bien que c'est du blabla.
Néanmoins, j'aimais discuter avec lui, j'aimais sa présence jour après jour mais pas de là à dire que nos âmes étaient connectées. Donc, pour lui, comme pour beaucoup d'hommes (trop !) le désir n'a fait que s'accroitre au fur et à mesure que nous discutions de sujet pourtant tout à fait anodins, ce qui m'agaçait au plus haut point. J'ai dû le remettre à sa place et nous avons eu notre première dispute moins d'une semaine après notre premier échange. Mais il est revenu, a promis de ne plus me mettre la pression et de mon côté, j'ai espéré que le désir allait naitre également. Mais il n'en a rien été. Quand il m'envoyait des photos, même s'il était charmant, rien ne se passait. Je le trouvais lisse, je crois. Il faut dire qu'il est Hollandais et que mon type d'homme est plutôt Latin. Les blonds aux yeux bleu, je n'ai jamais vraiment couru derrière. Comment dire à un homme : Ce n'est pas que je n'éprouve pas de désir, c'est que je n'en ai pas pour toi ! Mais mon manque de désir n'était pas uniquement dû au fait qu'il ne soit pas mon type. J'ai eu des hommes qui ne l'était pas non plus et avec qui tout s'est bien passé. Non, je pense que depuis le départ, quelque chose me gênait chez cet homme, je le sentais frustrer, cynique par moments, donneur de leçons, me rendant coupable de tous nos accrochages et essayant de me faire changer et ça, je déteste ! J'ai fini par lui dire, en début de semaine, que nous ferions mieux d'être des amis et rien de plus. Bien qu'il m'ait dit que j'avais raison, il a continué à m'envoyer des piques dès que possible, sur un emoji cœur que deux amis ne doivent pas s'envoyer par exemple, ou sur le fait que je ressentais la même chose que lui sans me l'avouer. Hier, il devait être plus énervé que de coutume de voir que je restais dans la friend zone et il m'a viré. De mon côté, découvrant cela, je l'ai bloqué sur tous les réseaux de façon à ce qu'il ne soit pas tenté de me recontacter dans quelques semaines !
Voilà, fin de l'histoire. Une histoire qui ne cesse de se répéter encore et encore avec plus ou moins de variante. Ces relations nées sur les réseaux sont encore plus fragiles que du verre et bien plus fausses qu'elles n'y paraissent.
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marie-swriting · 1 month
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Ramener Votre Cœur À La Vie - TASM!Peter Parker
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Marvel Masterlist
Speak Now TV Masterlist
Résumé : Ta mère et May ont arrangé un rendez-vous entre toi et Peter en pensant que vous étiez fait l'un pour l'autre, toutefois vous penser que ça ne marchera pas.
Warnings : mention de la mort de Gwen et d'Oncle Ben, mention de relation toxique (pas de détail), anxiété, un peu d'angst, fin heureuse, ditees-moi si j'en ai loupé d'autres.
Nombre de mots : 3.4k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Electric Touch par Taylor Swift Feat. Fall Out Boys (Taylor's Version) (From The Vault)
Tes vêtements sont éparpillés de partout dans ta chambre. On dirait un véritable chantier, mais ça ne t’arrête pas pour autant. Tu continues de fouiller dans ton placard à la recherche de la tenue parfaite. Enroulée dans ta serviette de bain, le désespoir prend un peu plus possession de ton corps. Tu n’aurais jamais dû écouter ta mère. Au moins, tu ne serais pas dans cette situation. Tu pousses un grognement de frustration quand on frappe à ta porte de chambre. Tu invites la personne à entrer et ta mère apparaît.
-Tu n’es toujours pas prête ? Il va arriver dans une trentaine de minutes !
-Oui, maman, je sais ! rétorques-tu, sèchement avant de prendre une voix plus douce. Désolée. Je sais pas quoi mettre, j’en ai marre. 
-Mets quelque chose dans lequel tu te sens bien.
-Plus facile à dire qu’à faire ! Je ne trouve que des défauts à tous mes vêtements. Je sais même pas pourquoi je t’ai écouté, en fait. Je le connais même pas et on a déjà un rendez-vous. Ça se trouve, ce gars est quelqu’un d’horrible, commences-tu à déblatérer en faisant les cent pas. Enfin, tu le connais pas réellement non plus. Tu sais juste ce que ta collègue, May, t’a raconté. Peut-être qu’elle a embelli la réalité ! 
-Je ne connais peut-être pas Peter personnellement, mais je l’ai déjà vu plusieurs fois et tu l’as aussi vu une fois, je te rappelle. Tu l’as même trouvé mignon.
-Je l’ai vu cinq minutes il y a deux ans, ça ne compte pas vraiment. 
-Je suis sûre que Peter est quelqu’un de gentil, affirme ta mère en caressant ta joue pour te calmer. Pour te le prouver : quand May oublie d’amener son repas, il l'emmène toujours avec un grand sourire et un bisou sur la joue. Il l’accompagne souvent au travail quand il fait nuit. Et toutes les fois où je lui ai parlé, je l’ai trouvé très poli. Tu crois vraiment que je t’aurais arrangé un rendez-vous avec le premier venu ? J’ai de l’instinct, ma puce.
-Je ne suis toujours pas convaincue. On s’est à peine échangé trois messages et c’était juste pour s’assurer que c’était toujours bon pour aujourd’hui. Et puis, ça se trouve, je ne vais même pas lui plaire. Et même si ça fonctionne ce soir, qui dit que ça durera dans le temps ? Mes histoires se finissent toujours mal. C’est bon, je vais annuler, c’est mieux, déclares-tu en tentant de prendre ton téléphone, mais ta mère te l’enlève de tes mains.
-Tu ne vas pas annuler. Respire, détends-toi, ça va aller, dit-elle avec douceur. Écoute, je sais que ta dernière relation avec George s’est mal passée et que tu en as beaucoup souffert, mais tu ne peux pas continuer à fermer ton cœur à de nouvelles rencontres, car tu penses que tu vas retomber sur une autre version de lui. Et puis, même si le courant ne passait pas entre toi et Peter, ce dont je doute, tu aurais au moins fait un pas en avant. Tu n’as pas à avoir peur. Allez, enfile ça et tu verras, tu seras belle et à l’aise dans tes vêtements, ajoute ta mère en te donnant une robe mi-longue. Je dois aller au travail. Préviens-moi quand tu es rentrée, d’accord ? Faites attention à vous. Ça va aller, ma puce, j’en suis sûre.
Ta mère t’embrasse une dernière fois sur le front avant de quitter ta chambre. Tu pousses un long soupire puis, tu finis de te préparer. Pendant que tu fais ton maquillage, tu ne peux t’empêcher de regarder ton téléphone, attendant un potentiel message de Peter t’informant que le rendez-vous est annulé. Ta mère avait réussi à faire descendre ton anxiété, mais tes peurs ont vite repris le dessus une fois seule à nouveau. Pour toi, ce rencard peut se terminer uniquement de deux seules façons : soit ça finit mal et tu as le cœur brisé, ce qui est probable, soit il se finit bien et ton cœur peut enfin guérir, ce dont tu doutes. Tu te demandes si Peter est dans le même état que toi.
La réponse est simple : il est encore plus en panique que toi. Il a seulement accepté ce rendez-vous pour faire plaisir à Tante May. Depuis la mort de Gwen, il s’est beaucoup renfermé, mais, à présent, il veut faire des efforts. Toutefois, parmi ces efforts, il n’avait pas inclus “sortir avec d’autres personnes”, surtout si c’est pour mettre une autre personne qu’il aime en danger. Il ne veut pas reproduire ce qui s’est passé avec Gwen. Au début, il avait essayé d’y échapper, mais May a tellement insisté qu’il a fini par céder. Pour lui, ce rencard est une ultime tentative pour voir si sa vie amoureuse peut marcher tout en étant Spider-man. Il aimerait que ça fonctionne pour une fois, mais il ne peut s’en empêcher d’être pessimiste.
Sachant que votre rendez-vous est en fin de journée, Peter a décidé de faire sa patrouille quotidienne un peu plus tôt. Il n’y a pas grand-chose qui sort de l’ordinaire, par conséquent, il arrive à rentrer chez lui pile à temps pour se préparer. Au moins, même si ce rendez-vous est catastrophique, il est sûr qu’il sera à l’heure. 
En entrant dans sa chambre, il enlève vite sa tenue de Spider-man et se jette sous la douche. Dans son placard, il prend d’abord la première tenue qui lui tombe sous la main puis, il commence à paniquer. 
“C’est un premier rendez-vous, je peux pas mettre n’importe quoi”, se dit-il. 
Il s’apprête à se changer quand il se demande pourquoi est-ce qu’il se casse tant la tête alors que ça ne va pas aboutir. Il ne va sûrement pas te plaire ou vice-versa. Alors, il renfile son tee-shirt noir et se regarde rapidement dans le miroir. Sa tenue est décontractée, peut-être un peu trop pour un premier rendez-vous. Il devrait peut-être ajouter une veste. Il ne voit pas vraiment quelle différence ça fait. Il n’arrive pas à deviner si sa tenue va. Après tout, il ne veut pas faire trop d’effort, mais d’un côté, il a envie d’en faire un peu. Tu mérites d’avoir un rencard avec un mec à peu près présentable. Il finit par troquer son tee-shirt noir pour un bleu foncé. C’est un peu moins triste, n’est-ce pas ? Quand il regarde l’heure, il voit qu’il n’a pas le temps de réfléchir plus longtemps et s’occupe de ses cheveux en faisant sa coupe habituelle. May l’interrompt rapidement pour lui signaler qu’elle part au boulot.
-T’es mignon comme ça, je suis sûre que Y/N sera de mon avis.
-J’sais pas, marmonne Peter en se tournant vers May.
-Crois-moi, c’est déjà le cas. Sa mère m’a dit que tu lui avais tapé dans l'œil, affirme-t-elle avec un grand sourire. 
-Ça ne veut pas dire que ce rendez-vous sera bien. Je ne suis même pas sûre de vouloir sortir avec quelqu’un d’autre, Tante May.
-Peter, je sais que la mort de Gwen a été compliquée pour toi, mais tu ne peux pas rester enfermé dans une boucle où Gwen est encore à tes côtés, commence May en posant ses mains sur les épaules de son neveu. Tu dois avancer. Ça ne veut pas dire que tu vas l’oublier. Gwen sera toujours dans ton cœur et c’est normal, mais ça ne veut pas dire que personne d’autre ne doit rentrer. Et puis, ce rendez-vous n’est pas obligé de se finir sur une relation amoureuse. Peut-être que tu te feras une nouvelle amie et ça, ça sera déjà un grand pas. Je suis déjà fière de voir que tu t’autorises à avancer, malgré la douleur.
-Elle me manque, murmure Peter en regardant le sol.
-Je sais, mon grand.
-Tu crois que la douleur s’arrête un jour ?
-Je crois que ça devient plus facile de vivre avec, répond May délicatement. Tu sais, maintenant, j’arrive à penser à ton Oncle Ben sans avoir mon cœur qui se déchire complètement. J’arrive à penser d’abord aux bons souvenirs avant de me rappeler qu’il n’est plus là. Ça ira bien pour toi aussi, Peter. J’en suis sûre. 
Peter fait un dernier sourire à sa tante alors qu’elle quitte la pièce. Quand Peter est prêt, il regarde son téléphone et voit que tu n’as pas annulé à la dernière minute, il n’a donc pas d’autre choix que de partir prendre le métro. Logiquement, il devrait arriver à sept heures pile chez toi pour que vous puissiez aller au diner à une quinzaine de minutes de ta maison. 
Dans le métro, Peter commence à stresser de plus en plus en pensant à ce qu’il pourrait te dire. Après tout, il ne te connaît pas. Vos conversations seront sûrement vides et si c’est le cas, le rendez-vous va être très, très long. Alors qu’il réfléchit à une question qu’il pourrait te poser pour briser la glace, le métro s’arrête abruptement. Peter regarde par la vitre et voit qu’ils ne sont pas arrivés à une station. Soudain, une voix interrompt les interrogations de Peter et des personnes à côté de lui en informant : 
“Chers voyageurs, nous vous informons que nous avons actuellement un problème technique. Nous faisons tout pour régler la situation au plus vite. Nous nous excusons pour ce désagrément.” 
Peter soupire en entendant l’information. Il risque d’être en retard. Super. Il sort son téléphone pour te prévenir, mais bien évidemment, son téléphone n’a pas de réseau. 
Pour lui, cette panne sonne comme un présage, il n’aurait pas dû accepter ce rencard. Même si toute cette histoire ne se termine pas comme avec Gwen, le fait est que ça ne marchera pas, c’est sûr. Il aimerait ne pas souffrir à nouveau, mais Peter a l’impression d’être allergique au bonheur. 
Peter tente de calmer son anxiété en repensant aux mots de Tante May et range son téléphone avant de prendre son mal en patience jusqu’à ce que la situation soit réglée. 
De ton côté, tu attends Peter, assise sur le canapé du salon. Il est bientôt sept heures, il devrait arriver d’une seconde à l’autre. Une fois de temps en temps, tu jettes un coup d'œil par la fenêtre, mais tu ne le vois pas arriver. Plus les minutes passent et moins tu arrives à tenir en place. 
“Respire, détends-toi, ça va aller”, la voix de ta mère résonne dans ta tête en vain. 
Tes yeux voyagent entre la fenêtre et ton téléphone, les deux ne t’apportent aucune nouvelle sur l’arrivée de Peter. Tu commences à te mordre la lèvre en t’imaginant les pires scénarios. Il t’a peut-être posé un lapin ? Non, ta mère t’a assuré qu’il était gentil donc il ne l’aurait pas fait. Tu as peut-être donné la mauvaise adresse ? Tu regardes tes messages et découvres que tu n’as pas fait d’erreur. Peut-être que tu as mal compris le jour et l’heure ? Tes messages prouvent que tu ne t’es pas trompée. Il lui est peut-être arrivé quelque chose de grave, alors ? Non, tu ne peux pas commencer à imaginer des choses horribles. Il a juste du retard, rien d'autre. N’est-ce pas ?
Tu attends encore un peu et quand la demie est passée, tu lui envoies un message pour savoir où il est. Tu n’obtiens pas de réponses. Tu commences à ronger tes ongles alors que ton cœur bat de plus en plus vite, le stress devenant trop important. Tu n’arrives pas à comprendre et tu commences à douter de tout ce rendez-vous. C’était clairement une erreur, tu n’aurais jamais dû accepter. Tu aurais aimé que ça marche pour une fois, mais tu sembles être maudite. Tu avais raison, tu vas avoir le cœur brisé et ce rencard va mal se finir - si Peter finit par arriver.
Après plus de quarante minutes bloqué dans le métro, Peter descend enfin à ta station. Il se faufile entre les gens en courant, ne voulant pas être plus en retard. Cinq minutes plus tard, il voit enfin ta maison au loin. Quand il passe devant la fenêtre de ton salon, tu le vois courir telle une furie. En regardant ton téléphone, tu vois que c’est huit heures cinq. Il a plus d’une heure de retard, à cette réalisation, tu lèves les yeux au ciel. Il a intérêt à avoir une bonne excuse. Tu as déjà donné dans les mecs qui ne sont pas ponctuels, tu n’as pas besoin d’un de plus ! 
Quand il est devant ta porte, il passe rapidement une main dans ses cheveux, prend une profonde inspiration avant de frapper. Il patiente un instant avant que tu ouvres la porte. En te découvrant, Peter est subjugué par ta beauté alors, il reste planté, là, à ne rien dire. Quand tu lui lances un regard, il reprend ses esprits avant de parler.
-Je suis terriblement désolé pour le retard. J’étais bloqué dans le métro et…
-Un message n’aurait pas été de trop, l’interromps-tu sèchement.
-J’avais pas de réseau. J’en ai eu quand je suis enfin arrivé à la station. En temps normal, je suis ponctuel, je te promets. Je suis désolé de t’avoir fait attendre. Tu as sûrement pensé que je t’avais posé un lapin et c’est normal, mais ce n’est pas mon genre. J’ai essayé de faire au plus vite quand le métro a redémarré, explique Peter et tu sens qu’il est sincère. Tout est ruiné, n’est-ce pas ? Ce n’était pas mon but. Je comprendrais si tu ne voulais plus qu’on sorte ce soir.
-Je veux bien qu’on sorte. Le métro est tombé en panne, ce n’est pas de ta faute, assures-tu en souriant. 
En entendant ta phrase, Peter te fait un sourire. Même s’il n’avait pas forcément hâte pour ce rendez-vous, le fait est qu’il s’est engagé avec toi et il met un point d’honneur à tenir ses promesses. 
Tu prends ton sac à main et fermes la porte de chez toi. Peter te laisse passer en premier et vous marchez en direction du diner. Sur le chemin, tu demandes à Peter de te donner un peu plus de détails sur la panne du métro, ignorant par quel sujet commencer la conversation. 
Quand vous êtes installés à votre table, vous continuez d’échanger des banalités. Juste en vous regardant, on peut deviner que vous n’êtes pas à l’aise, vous ne savez pas comment agir avec l’autre. Aucun de vous n’ose commencer une conversation profonde, comme si vous aviez oublié comment agir lors d’un premier rencard. Tu contemples même l’idée d’inventer une excuse pour partir. La discussion reste embarrassante jusqu’à ce que vous commandiez à manger. Après avoir évoqué une énième banalité, Peter lâche un soupire avant de prendre la parole : 
-Je suis sûr que cette situation est aussi gênante pour toi que pour moi. C’est ta mère et ma tante qui ont organisé tout ce rendez-vous, mais ça n’a pas à être aussi embarrassant. Je ne sais pas pour toi, mais c’est mon premier rencard depuis un moment et je suis un peu rouillé. Ma dernière relation s’est terminée… de manière tragique, disons et donc, on a pas forcément besoin de se mettre de grandes attentes pour ce soir. On devrait juste apprendre à se connaître sans s’attendre à quelque chose en particulier et juste voir où ça nous mène, si ça te convient. 
-Ça me convient, acceptes-tu en poussant un soupir de soulagement. Ma dernière relation s’est mal terminée également. C’était assez toxique, et j’avoue que j’ai du mal à être à l’aise.
-Alors, allons-y doucement. Pas besoin que ça soit un grand rendez-vous romantique, apprenons simplement à être à l’aise avec une nouvelle personne. Qu’est-ce que tu en dis ? 
-Je suis d’accord avec toi. 
À partir de ce moment, la tension quitte votre table, vous laissant vous découvrir tranquillement. Peter te pose quelques questions sur le livre que tu as lu dernièrement et rapidement, vous parlez de vos centres intérêts, qu’ils soient communs ou non. 
Finalement, vous arrivez à passer un bon moment. Tu rigoles plusieurs fois, suite à des remarques de Peter. On ne t’avait pas fait rire de cette façon depuis longtemps. Peter est tout de suite sous le charme de ton rire, adorant la manière dont ton visage s'éblouit. Peter te parle un peu plus de lui et tu dois avouer que tu apprécies de plus en plus sa personnalité. Ta mère avait raison, Peter est quelqu’un de réellement gentil. À certains moments, vous rentrez un peu plus en détails de vos anciennes relations, sans trop vous attarder, certaines blessures encore trop fraîches, mais vous comprenez que l’un comme l’autre, vous avez encore un peu de chemin à faire, mais vous n’êtes pas contre l’idée de le faire ensemble. 
Après avoir mangé, vous restez encore un peu au restaurant, ne voyant pas les minutes défilées. Quand vous finissez par partir vers les vingt-deux heures passées. À peine dehors, tu as un frisson à cause de la fraîcheur de la nuit. Peter le remarque et te propose sa veste. Tu essayes d’abord de refuser, mais il insiste et tu finis par accepter. Alors qu’il te la mets sur tes épaules, sa main droite frôle ta peau et tu frissonnes à nouveau, mais pas à cause du froid, ton cœur bat également plus rapidement, mais pas à cause de l’anxiété. Son toucher était comme électrique et en relevant la tête, tu vois Peter proche de toi et tu te dis qu’il est encore plus beau à cette distance. Tu essayes de ne rien laisser paraître alors que vous commencez à marcher vers chez toi.
Sur le chemin, vous continuez à discuter et tu aimerais que ce moment n’ait jamais de fin. Tu n’aurais pas pensé que tu aurais pu te sentir autant connecté avec un autre homme aussi rapidement. Pour Peter, il n’aurait jamais cru qu’il arriverait à s’autoriser à regarder une autre femme que Gwen. Tante May avait raison, Gwen est toujours dans son coeur, mais il n’est plus aussi contre de laisser quelqu’un d’autre rentrer. Peut-être pas tout de suite, mais si tu devais le faire, il en serait content.
Quand vous êtes devant ta porte d’entrée, tu redonnes la veste à Peter et tu espères secrètement toucher sa main, mais le vêtement t’en empêche. Tu souris à Peter alors qu’il finit de parler du début de sa théorie sur le multivers. 
-C’était vraiment bien ce soir. Je ne pensais pas passer un aussi bon moment, sourit-il.
-Moi non plus. J’avais beaucoup d’appréhension. 
-Je te comprends. 
-Tu sais, je ne serais pas contre l’idée de refaire quelque chose dans le genre, commences-tu en évitant son regard. Je serais contente de voir où ça nous mène, même si on prend notre temps.
-J’en serais content aussi. Est-ce que tu crois que ça serait trop rapide si je te disais que tu es très belle ? J’y ai pensé toute la soirée et je me suis dit que je devais te le dire avant de partir et de regretter d’avoir rien dit. 
À son compliment, tes joues se mettent à chauffer alors qu’un sourire prend place sur ton visage que Peter trouve plus que mignon. Savoir qu’il t’a fait sourire réchauffe son coeur. 
-Ce n’est pas trop rapide, j’apprécie le compliment. Tu es mignon également. Et tu crois que ça serait trop rapide si je t’embrassais la joue ? demandes-tu et Peter se fige. Tout de suite, tu regrettes ta question et tu ne sais plus où te mettre. Désolée, je suis allée trop loin, je n'aurais pas dû le dire.
-Je m’y attendais pas, c’est tout, mais ça me dérangerait pas.
Légèrement embarrassée, tu te rapproches de Peter et poses ta main sur sa joue avant d’embrasser sa joue droite. En sentant ce contact sur sa peau, Peter ne respire plus pendant une seconde. Il ne pensait pas que ton toucher serait aussi éléctrique contre sa peau. Le baiser était court, mais il l’a en mémoire. Il sait qu’il va y repenser chaque seconde de la journée. Quand tu t’éloignes, tu souhaites une bonne nuit à Peter avant de rentrer chez toi. Peter reste planté jusqu’à ce que ta porte soit totalement fermée puis, il quitte ton porche, un grand sourire aux lèvres. 
Tous les deux, vous repensez à cette soirée avec tendresse. Vous savez que ce n’est que le tout début, mais vous savez déjà que l’un comme l’autre saura ramener votre cœur à la vie. Vous avez déjà envie de vous revoir et peut-être que ça vous prendra un peu de temps avant de vous autoriser à tomber amoureux à nouveau, mais ce n’est pas grave. Pour une fois, vous savez que ça va bien se passer.
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ghizlenesisi-universe · 6 months
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Je ne peux pas dire que je suis prête à te laisser partir. Malgré le mal que tu m'as fait, malgré la déception que j'ai ressenti. Nous deux. La simplicité ça nous a jamais collé. Les prises de tête, on en a soupé. À se rendre malade. Trop souvent. 
Je sais bien que nos cicatrices font de nous ce que nous sommes, mais je n'ai pas envie d'oublier le cimetière d'erreurs, de blessures, et de trahisons sur lequel on essaie de bâtir une relation qui est déjà en ruine. J'ai dû quitter cet amour déchirant, étouffant, perturbant. À double tranchant. Comment peut-on survivre d'un amour qui nous est malsain, mais qui nous manque quand on y met fin! Aide-moi à comprendre. Reste encore un peu. En silence.
C'est la relation que j'ai quitté, pas toi. Tu ne comprends pas qu'avec toi je suis devenue un guerrier, à force d'être brisée. Mais je n'en peux plus de prendre les armes et de toujours devoir partir au combat contre toi, contre nous. J'ai envie de me montrer sans armure, de pouvoir la mettre au placard, enfin. D'être avec quelqu'un qui me fera sentir comme on se sent en rentrant à la maison après un long voyage. Un coeur en paix, l'âme paisible. Loin des chimères, de tes excès et de tes colères. De ton silence.
Je pars en voyage, je te laisse mon armure.
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perduedansmatete · 4 months
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résumé de cette semaine lundi j’ai fait la morte pour cause d’urticaire, mardi je suis allée au restaurant avec mes meilleures amies pour avouer à l'une d'entre elles qu'on avait appris que son gars était le genre de facho qui avait voté zemmour aux présidentielles, on pensait que ça allait mettre fin à leur relation sachant qu'elle baigne dans le communisme depuis sa plus tendre enfance, qu'elle bosse dans un des seuls journaux qu'on peut encore qualifier de gauche et qu'elle avait dit que c'était un motif de rupture pour elle mais finalement non elle a estimé que c'était pas si grave qu'il lui ait caché ce gros détail pendant plus d'un an et demi et que pire que ça, apparemment il avait changé grâce à elle (il serait donc je cite « juste de droite avec quelques avis de gauche ») ce qui a l'air de beaucoup flatter son égo et c'est là que je me dis que la barre est vraiment très basse, le point positif de cette soirée étant qu'on s'est régalé et qu'on a rien payé car il y avait des problèmes de courant dans le restaurant, sinon je suis très peu allée en cours et j'ai beaucoup bu alors que j'aurais du être à la fac mais à partir de demain ça change (c'est faux les bières du lundi midi sont devenues une institution très rapidement) jeudi grève oblige 21 profs sur 27 absents dans mon collège alors qu'on est toujours en sous-effectif ce jour là et que cette fois-ci on était que deux surveillants, autant dire que c'était sportif mais la direction a quand même eu le temps de m'inviter à un « goûter » sur les coups de dix heures, ce qui m'a fait très peur car j'ai cru que c'était un piège et que j'avais fait une connerie mais non ils voulaient juste profiter d'un moment de calme pour manger de la brioche tous ensemble c'était vraiment très étrange j'espère ne plus jamais revivre ça puis vendredi je suis allée voir mon meilleur ami sur grand écran dans un petit cinéma car un de ses potes a monté un genre de documentaire sur l'amour et sur les nouvelles formes de relations blablabla c'était très marrant en vérité et je pensais rentrer directement après mais j'ai retrouvé des gens du passé et j'ai fini paumée au fin fond de ma banlieue dans le même genre de soirée que celles où j'allais à dix-sept ans c'était fatiguant, étonnant et plein de drogues auxquelles je n'ai pas du tout touché (trop forte) mais très bien en même temps même si j'ai appris qu'un ami de cette époque était un énorme violeur, c'est le point négatif mais à chaque fois qu'on m'apprend ce genre de nouvelle je suis jamais étonnée, sur une note plus positive hier j'ai enfin découvert l'appart d'une de mes meilleures amies après des mois à ne pas réussir à se voir autrement qu'au thé dansant d'anniversaire de ses parents... (la vie d'adulte apparemment) et je remercie infiniment son entorse car c'est son immobilisation qui nous a permis de passer enfin un moment ensemble à se raconter nos vies et à pas mal rire aussi, c'était super sympa et la suite l'était tout autant puisque j'ai rejoins tia avec mes meilleures amies pour leur faire découvrir notre bar préféré puis dimanche on a commencé notre exposé pour un cours trop chiant mais on a préféré discuter du fait que les sociologues étaient quand même d'énormes prouveurs à écrire des textes insupportables et illisibles simplement parce qu'ils sont tous moches (c'est notre théorie, vive la sociologie)
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e642 · 3 months
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Encore une fois, me voilà sur le banc du réconfort. Il fait beau et bon. Trop beau et bon pour un premier mars. J'ai revu mes copains de la fac hier. C'était sympa. On a tous pris des chemins de vie si différents.. et, finalement, à comparaison égale (basée uniquement sur les cours), je dois être de ceux qui s'en sort le mieux. Je les trouve courageux certains d'avoir arrêté les études. J'aurais pas pu. Pas que j'en ai pas envie mais il me faut un cadre. Il m'en a toujours fallu un. Aussi détestable et anxiogène soit-il. Avoir eu mon semestre avec une relativement bonne moyenne ne m'aura pas donné l'entrain et la motivation escomptée. Je me sens toujours autant stressée de rater et fatiguée d'avance de devoir continuer. Je vais le faire, pas de soucis mais il y a cette pression de la constance, il faut que je garde des notes correctes et je sais pas si j'en serai capable. Je dois dire que si dans 1 an et demi pour les masters, j'en ai à nouveau aucun, ça m'atteindra car j'aurais deux licences inutiles. Et ça a beau être dans longtemps, ça me paralyse. D'ici la fin de l'année scolaire, il faudra que je mette un terme à ma relation actuelle également, je ne sais pas comment je vais m'y prendre s'il ne fait pas de faux pas. Enfin, pas de faux pas majeurs justifiants une rupture conventionnelle de relation. Ça aussi, je ne sais pas trop comment me positionner. J'en parlais hier avec les potes, ils me demandaient tous comment ça se passe avec lui. J'ai évidemment pas dissimulé l'incident de septembre me faisant passer pour une conne. Et je n'ai pas non plus minimisé ce que je pense. Tous sont interloqués de me voir rester. Et j'y réfléchis de plus en plus, pourquoi rester alors que ça me convient si peu. Je crois, tout d'abord, que c'est avant tout, malheureusement, de l'opportunisme. Je sais que j'ai un certain confort en restant dans cette relation. Je profite de pouvoir me coucher contre le même corps, avoir de la chaleur de la même personne. En fait, en un sens c'est rassurant et ça ne puise pas d'énergie. L'adaptation a été faite. Et c'est ça que j'ai eu mal à quitter car je sais très bien que je n'aurai plus, pendant longtemps, les ressources de refaire ce travail d'habitation de l'Autre. Aussi paradoxal que ce soit, j'ai toujours eu du mal avec l'instabilité émotionnelle et surtout sexuelle. Après avoir passé bien 2 années à voir un nombre de personne affolant, j'ai plus envie de ça. C'est trop épuisant de côtoyer des gens qui ne sont personne. De m'adapter pour de la courte durée. J'ai plus envie de m'amuser. J'ai envie de me poser avec quelqu'un qui me fait réfléchir/rire et qui me fait bien l'amour. Là, j'ai 50%. Cette facilité dure depuis plus d'un an, il faudra y mettre un terme avant de rentrer dans des engagements plus sérieux. Cependant, je n'ai pas envie d'être la personne qui quitte sans réelle raison apparente aux yeux de tous, j'ai pas envie d'être détestée. C'est puéril mais je trouve ça injuste. Personne ne connait notre vie à tous les deux et même si d'extérieur ça peut paraître idyllique, je n'ai pas envie d'être incriminée pour une rupture que les autres trouvent injustifiée. Ce serait la double peine. Mais, évidemment, je sais qu'on ne peut pas tout avoir non plus. Maintenant que j'ai un semblant de stabilité dans ma vie seule à nice, je ressens de moins en moins l'envie de cette relation. Les choses se mettent en place, il faut alors laisser tomber les béquilles tant que ce n'est pas entièrement encore hors de mon contrôle. Je sais que c'est toxique ce que je fais et franchement pas correct. Je n'ai jamais pensé ça, aujourd'hui marque la naissance de cette première pensée: j'espère qu'il me trompera ou me quittera pour me délester de cette charge. Sinon, je devrais le faire. Je le connais maintenant trop pour attendre des changements importants au point de me faire remettre ma décision en question.
Dans un post d'il y a quelques temps, je parlais du fait que je détestais les gens qui ne parlaient pas, ne communiquaient pas à propos de leurs réelles sentiments. Le fameux temps de latence émotionnel. Ça me paraît maintenant bien déplacé de ma part d'avoir donné émis mon avis. La lucidité n'empêche rien. J'ai pas d'excuse. Ou seulement celle de me dire que je n'y tiens pas assez pour faire les choses le plus dans les règles possible. Et c'est pire sûrement.
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laurierthefox · 5 months
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J'espère que vous avez toustes passé de bonnes fêtes de fin d'année, ou à défaut, pas trop épuisantes. Les miennes ont été sereines et joyeuses avec ma famille choisie, même si je suis complétement épuisé maintenant
Je profite de cette note pour faire un petit point annuel sur mon travail ! BILAN 2023
Cette année à été très riche en terme de rencontre, marchés, dédicaces, interventions, commandes ! Un atelier BD et une conférence dans une université à Amiens, le début de mes streams sur Twitch, des interventions auprès de lycéen'nes à Nantes, des dédicaces en Belgique, des marchés de créateurices à Nantes et au Havre, un salon du livre queer à Metz, Quai des Bulles à St Malo...etc
Cela fait 11 ans que je suis à mon compte et 2023 à été la première année ou j'ai pu enfin me dégager un vrai salaire ! Et c'est aussi en grande partie grâce à mes mécènes sur Patreon qui me soutienne depuis un an déjà. Ce soutien me permet de mieux choisir mes commandes ou interventions, de refuser du travail gratuit sous prétexte de visibilité et de pouvoir -parfois- prendre mes week end pour me reposer.
Dans les points moins joyeux, le stress et la fatigue m'ont amené à une crise violente de ma maladie de Crohn pendant les mois de Mars-Avril-Mai 2023 et j'ai dû changer de traitement, l'ancien ne faisant plus effet. Le nouveau est plus efficace mais à aussi plus d'effets secondaires du fait que c'est un immuno-modulateur. Il défonce mes défenses immunitaires, ce qui fait que le moindre rhume risque de me clouer au lit pour 15 jours.
Je vous parle de tout ça, non pour faire pleurer dans les chaumières mais juste pour vous tenir au courant.
RECONNAITRANS
Mon but en ouvrant une page Patreon, en plus de pouvoir payer mes factures pendant les mois ou je n'avais pas de commandes/BD/marchés..etc, était de pouvoir finir les derniers témoignages de ReconnaiTrans qui patientent dans ma boite mail depuis des mois et mettre un point final à ce projet (en tout cas pour l'instant). Mais comme cette année à été, de façon très positive, assez intense en terme de travail (mais aussi des soucis de santé) je n'ai pas réussi à atteindre cet objectif.
Je ne vais pas abandonner pour autant, ce projet est très important pour moi et surtout je ne veux pas laisser tomber les témoignant'es qui patientent pour que je fasse leur récits. Je vais donc essayer cette année de mieux maitriser mon emplois du temps pour pouvoir mener cela à bien et poster au moins tous les 2 mois un nouveau témoignage.
NOUVEAUX PROJETS ET RÉSOLUTION
Cette année j'aimerais beaucoup réussir à faire quelques unes des notes de blog / webcomics qui remplissent mes tiroirs. Niveau sujet il y à pèle-mêle : tranche de vie, sujets féministes, sujets LGBTIA+, sujets peronnels/autobio, fiction medfan (médieval fantastique).
Mon agente est toujours en train de démarcher plusieurs de mes projets BD et jeunesse mais pour l'instant cela n'a pas l'air d'intéresser les éditeurs. Je me dis que si ça continue je vais peut être devoir publier uniquement en ligne gratuitement, quitte à faire un Ulule si cela plait.
On viens enfin de nous installer la fibre, donc je vais pouvoir refaire des lives twitch de temps en temps. Mon objectif est surtout de streamer des dessins ou illus que j'aurais en cours, mais pour cela il faut que je me dégotte un meilleur micro que celui de mon casque et que je teste mon set up actuel. Donc si tout va bien (et selon mes finances pour le micro) peut être que je pourrais streamer correctement vers Mars/Avril.
CONCLUSION
Je sais qu'il ne faut pas que je me fixe des objectifs trop haut, qui du point de vue de ma santé et de ma vie quotidienne (gestion de la maison, ménage, animaux, administratifs, rendez vous médicaux, gestion de mon shop, dédicaces, commandes, relations amicales et amoureuses...) serait juste impossible à réaliser. Mais je vais faire du mieux que je peux ^^
Je vous souhaite une belle année 2024, pleine de promesses, douceur, bienveillance mais aussi de manifs, militantisme et d'humanité.
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lilias42 · 8 months
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Jour 4 : Tragédie
Bon... techniquement, il y aurait dû avoir un billet sur les relations de Pan avant-hier et un autre sur comment les autres découvraient ses origines hier mais, ma désorganisation chronique, l'IRL, le temps monstre que j'ai mis à faire ma BD et le fait que je veux absolument mettre un dessin pour les illustrer histoire que ce soit un peu plus sympa que juste des pavés de textes m'ont fait prendre du retard alors, je le publierais plus tard (surement fin de semaine, début de la semaine prochaine, au diable l'ordre des jours).
Alors, en attendant, une des tragédies de Pan, avec un brin d'espoir à la fin pour ne pas finir sur une note trop triste (et parce que ça collait avec le numéro du jour)
Petite information pour mieux comprendre le contexte :
Sophie La Sage Hange-Blaiddyd : il s'agit de la demi-soeur de Loog mais, ils ont énormément d'écart, Loog était déjà adulte quand son père l'a eu avec une autre de ses maitresses... encore... Cela l'a mis hors de lui que son père pense seulement à badiner en pleine guerre d'indépendance, abandonne encore les conséquences de ses actes et laisse un autre de ses enfants sur le carreau, surtout que la mère ne voulait pas de sa fille étant donné qu'elle n'avait rien à gagner, laissant la petite toute seule au milieu d'une guerre. Loog a donc recueilli sa petite soeur, et l'a élevé comme sa propre fille, lui donnant le prénom de sa propre mère, Sophie. Elle sera d'ailleurs toujours considérée comme la fille de Loog, même si elle n'est pas né de sa chair, et toute la famille royal de Faerghus descend d'elle, Loog ne s'étant jamais marié et n'ayant pas eu d'enfant biologique. Je ne pense pas que Loog lui aurait donné un deuxième prénom étant donné qu'il est très fier des origines roturières de sa mère mais, s'il doit lui en donner un, ce serait Abigaëlle, la joie du père.
Suite sous la coupe :
"Pan, Loog voudrait te voir...
L'agarthan releva la tête de la lettre qu'il écrivait en entendant Sophie l'appeler par son vrai nom, plutôt que par celui qu'il utilisait en ce moment. Lucine lui avait dit qu'elle ne pourrait pas venir le voir cette année, se sentant trop faible pour faire le voyage alors, il lui promettait de venir dès que Loog se sentirait mieux. Pour le moment, il ne voulait pas quitter le chevet du roi et de son héritière... pas quand Loog s'affaiblissait aussi de jour en jour...
Même si l'agarthan s'habituait avec le temps, c'était toujours assez étrange de voir à quel point Sophie avait grandi, ressemblant toujours plus à Loog même s'ils étaient demi-frère et soeur. Elle qui n'était qu'un tout petit bébé tout frêle et fragile quand il l'avait rencontré, emmailloté dans un linge bien chaud pour la protéger du froid faerghien, si petite qu'elle disparaissait presque dans l'étreinte de Loog alors qu'il jurait de s'occuper d'elle et de la protéger de leur père, elle avait tellement grandi à présent qu'elle le dépassait de plusieurs têtes, faisant la taille de Loog. Une longue tresse blonde tombait sur son épaule, soulignant l'austérité de sa tenue, tout en laine bleue fine mais chaude, la jeune femme ne craignant aussi peu le froid que tous les autres Blaiddyd que Pan avait connu... enfin, jeune femme... à ces yeux... elle avait tout de même presque soixante ans à présent... et même si son emblème majeur ralentissait son vieillissement, Pan ne pouvait que voir les rides creusés de plus en plus profondément son visage, ses cheveux blanchir comme si on les trempait dans la chaux avant même qu'elle ne sorte de son crâne, ses pas redevenant maladroit comme quand elle apprenait à marcher, une vieille blessure à la jambe revenant la hanter alors que le temps usait ses os... alors Loog qui avait plus de trente ans de plus qu'elle...
-D'accord, j'arrive. Qu'est-ce qui se passe ? Il va bien ?
Le visage de la jeune femme se ferma un peu, baissant les yeux avant qu'elle ne lui tende la main en soufflant.
-Il veut te le dire lui-même...
De plus en plus inquiet, Pan attrapa sa main, son coeur se serrant en voyant que si les mains de Sophie portait toutes les marques d'usure laissé par sa vie bien remplie, celle de Pan restait toujours aussi pleine, toujours aussi jeune que le jour où il était revenu à la surface, cinq ans avant sa naissance... il était même obligé de se faire passer pour quelqu'un d'autre depuis quelques temps, quand il ne put plus se cacher derrière l'excuse que les signes de l'âge arrivaient tard dans sa famille... même pour quelqu'un avec un emblème, il n'était pas censé avoir l'air d'avoir moins de vingt ans alors qu'officiellement, il avait pratiquement quatre-vingt ans...
En traversant le palais, ils passèrent devant le grand tableau célébrant leur victoire contre l'empire, représentant tous leurs compagnons réunis... la gorge de Pan se serra encore plus en les revoyant tous... tous si différents de ce qu'ils étaient aujourd'hui... Lucine dansait avec peine, Amaury était à présent aussi sourd qu'il était muet, Poppa et Torf ne pouvaient plus voler entre Daphnel et Galatéa pour se voir comme avant, Clothilde avait grandi et pris la succession de son père quand Kyphon les avait quitté le premier, étant le seul sans emblème majeur d'entre eux... même Walter, Gylfe et Eudoxie les avaient quittés malgré ça, rejoignant l'épéiste quelques mois ou années plus tard...
Irène avait tellement changé depuis la mort de Sybille, ne quittant plus ses habits de deuil, contrastant avec sa chevelure devenue intégralement blanche de chagrin et même si les deux soeurs avaient passé leur vie à se taquiner et à s'envoyer des pics, elle ne disait plus rien de négatif sur elle... la cadette ressemblait à un fantôme elle-même...
Perdu dans ses pensées, Pan vit à peine qu'ils étaient arrivés devant la chambre de Loog. La grande porte fermée ressemblant à cet instant à celle séparant Shambhala du monde de la surface, séparant deux mondes... Sophie le lâcha, l'encourageant à entrer d'un regard. Prenant son courage à deux mains, l'agarthan passa le passage pour entrer dans l'univers de son sauveur, ce dernier ne le quittant pratiquement plus depuis quelques semaines.
Cela sentait les plantes et les médecines, les pots d'apothicaires et fioles de potions ayant remplacés les papiers de travail et les partitions sur le bureau de l'ancien roi. Sa flute de Pan reposait entre deux médicaments, une légère couverture de poussière l'enveloppant, laisser à l'abandon depuis trop longtemps... les médecins avaient déconseillé à Loog d'en jouer, cela forcerait trop sur ses poumons. Lui qui avait toujours tant aimé la musique qu'il pouvait en tirer...
Ce dernier était allongé dans son lit, si différent et à la fois si semblable de l'homme qui avait tiré Pan du noir à bout de bras. Tout comme sa fille adoptive, ses cheveux étaient devenus blancs et cassants, la peau collait à ses os, sa force pourtant prodigieuse volée par les années, son regard souvent éteint et absent... cependant, une étincelle de joie s'y alluma quand il le vit, arrivant à sourire alors qu'il murmurait, ne parlant plus vraiment... sa voix était devenue trop faible et chevrotante...
"Pan... tu es là... approche...
-Oui, je suis là... Sophie m'a dit que tu voulais me parler...
Obéissant, l'agarthan s'assit sur le lit au côté de l'homme qui l'avait sauvé, prenant sa main, comme pour s'accrocher encore et encore à lui. Elle se serra à peine autour de ses doigts... même sa main mécanique s'usait et montrait des signes de faiblesse, il devait changer de plus en plus souvent des pièces pour qu'elle soit encore utilisable... Pan rêverait que tout soit aussi simple...
-Je suis content de te voir... tu as l'air d'aller bien... même si tu es aussi triste...
-... oui... Lucine ne pourra pas venir... elle se sentait trop faible pour supporter le voyage... alors, je lui ai dit que je viendrais la voir quand tu iras mieux...
-C'est une bonne idée... elle sera contente de... arriva-t-il à sourire à nouveau, avant de se faire interrompre par une quinte de toux, entrechoquant ses os entre eux dans des craquements macabres, glaçant le sang de l'agarthan jusqu'au plus profond de son coeur, craignant le pire.
Pan voulut appeler les médecins mais, Loog le retient avec ce qu'il lui restait de force.
-Non... ça ne sert à rien... ça ne sert plus à rien... je... Pan... je crois que c'est bientôt l'heure de se dire au revoir...
-Non... non... dit pas ça... tu es encore si jeune... nia-t-il, presque par automatisme, une voix sombre se moquant de lui alors qu'il reniait la réalité même.
-Pas tant que ça... j'ai déjà bien vécu... plus que beaucoup de mes ancêtres dans la famille de ma mère... et plus longtemps que cette enflure qui me servait de père, ce que je prend comme une victoire en soit... ne put s'empêcher de piquer Loog, le mépris s'échappant une seconde avant de mourir dans un râle. J'ai déjà eu une longue vie, même si c'est sûr que... rha... à ton échelle, cela doit paraitre bien court...
-Trop court... tu ne peux pas partir... pas maintenant... pourquoi les humains meurent-ils quand ils viennent à peine de naitre ? C'est... c'est pas juste... c'est pas juste... ! Si seulement... snif... si seulement je pouvais... si je pouvais vous en donner un peu... juste un tout petit peu... à tous... vous seriez...
Son voeu se fana sur sa langue, sachant mieux que quiconque que c'était impossible mais voulant y croire quand même, alors que Loog le tirait vers lui. Ne pouvant plus tenir, Pan cacha sa tête au creux de ses bras, se mettant à pleurer, terrifié par ce qui allait arriver, refusant que cela arrive, cherchant un moyen de le garder avec lui... de tous les garder, même ceux qui n'étaient plus là... si seulement c'était possible...
-Mon Pan... souffla-t-il en le serrant dans ses bras, passant une main rassurante dans ses cheveux malgré ses tremblements. Le deuil et la mort font toujours mal... mais tout ce qui vit meure un jour avant de revenir à la vie dans un autre corps, ainsi en a décidé la Déesse... même si cela prend plus ou moins de temps... c'est pour ça que l'on chérit notre vie et tout ce qu'elle a pu nous apporter, même si elle peut faire mal aussi... je suis heureux d'avoir vécu ma vie ainsi... je suis heureux de tous vous avoir rencontré... je suis heureux de t'avoir rencontré ce jour-là... même si c'est aussi un souvenir douloureux, je suis content d'avoir trouvé ce petit gamin dans cette cave, un gamin qui n'avait aucun endroit où aller et qui ne demandait qu'à s'épanouir... je suis heureux de voir à quel point tu as grandi... tu es une personne extraordinaire, créative, gentille et attentionnée, avec le coeur dans sa main, et je suis heureux et fier d'avoir eu la chance de te rencontrer... même si c'est dur de vous laisser seuls Sophie et toi, je sais que vous avez toutes les cartes en main pour arriver à vous en sortir à merveille... ça se passera bien pour vous, j'en suis sûr...
Loog laissa Pan pleurer, ne l'empêchant pas de montrer son chagrin et sa peine, le rassurant encore et encore... si seulement son voeu pouvait se réaliser... la mort était déjà un adversaire redoutable, elle devait paraitre encore plus féroce et cruelle pour lui... dire qu'il n'avait pas vieilli d'un seul jour depuis celui de leur rencontre, alors que les fanatiques de l'Eglise Occidentale l'avaient enfermé dans cette cave... son regard et son comportement avaient muri, Pan s'était libéré du carcan de son peuple, arrivant à faire vivre au grand jour la personne merveilleuse qu'il était au fond de lui mais, malgré tout, il avait encore des comportements plus enfantins ou adolescent...
Est-ce qu'il ne l'était pas encore un peu dans le fond ? Est-ce que pour quelqu'un vivant si longtemps, l'enfance n'était pas aussi longue que la jeunesse de trait ? Malgré tout, est-ce que dans le fond, Pan n'était pas un adolescent jouant très bien le rôle d'un adulte mais, qui conservait ses failles et faiblesses enfantines au fond de lui, les cachant aux yeux de tous ? Même le principal concerné ne pouvait répondre à ses questions et ses craintes, la vérité sur le fonctionnement de son propre corps ayant été volée par les tyrans servant de souverains à son peuple... Loog avait tout fait avec leurs amis et compagnons pour essayer de comprendre avec lui... à présent, alors que la mort rôdait tout autour de lui, attendant que sonne son heure, il ne pouvait plus qu'espérer que cela soit suffisant...
-Même au paradis ou en enfer, je prierais pour que vous alliez tous bien... je vous protégerais toujours, même si je dois revivre en étant le plus petit des cailloux du monde... aucun de nous ne sera loin de toi pendant toutes ces années à venir... notre souvenir t'accompagnera partout, comme ta chance...
Pan redressa la tête, arrivant à sourire à cette remarque.
-Oui... c'est même toi qui m'as appris que le quatre était un symbole de chance... souffla-t-il avec nostalgie, passant sa main sur le haut de son bras gauche, là où Gylfe avait recouvert son ancien matricule avec le dessin d'un trèfle à quatre feuille, effaçant toute la honte de porter ses quatre points écarlate pour les remplacer par la joie d'avoir lui aussi un tatouage faisant autant sens que les siens.
Loog sourit à son tour, lui embrassant le front avant de souffler.
-Tu peux demander à Sophie de venir s'il te plait ? J'aimerais passer encore un peu de temps avec vous deux...
Pan obéit d'un hochement de tête, essuyant ses larmes alors qu'il allait la chercher. Quand elle entra, Loog sourit à nouveau, sa fille lui prenant à son tour la main alors que le silence s'installait mais, l'ancien roi le chassa vite, leur demandant de lui parler de ce qu'ils comptaient faire tous les deux.
"C'est du Loog tout craché..." songea Pan en se rappelant de la première fois qu'il était rentré dans une église qui célébrait le rite adrestien, l'homme alors jeune plaisantant allègrement sur le fait que le but du jeu ici était de ne pas s'endormir pendant le sermon, même s'il était très pieux lui-même.
Ils se mirent donc à discuter ensemble, parlant de ce qu'ils comptaient faire, de leurs ambitions, de ce qui les agaçaient parfois, leurs peurs mais aussi de leurs espoirs. Loog répondit avec bienveillance sans jamais les quitter des yeux, même si sa voix s'affaiblissait d'heure en heure, s'enfonçant de plus en plus dans son lit alors que le temps filait bien trop vite entre leurs doigts.
Cependant, quand le soleil pointa à nouveau le bout de son nez à l'horizon, le mourant arriva à tourner son regard vers la fenêtre, souriant alors que le ciel d'or se teinta de plus en plus d'azur, le vent chassant les nuages avant d'arriver à entrer dans la pièce, caressant leur peau avec douceur, amenant la chaleur de l'astre du jour avec lui.
Loog eut un regard nostalgique avant de sourire à nouveau, comme si tout irait toujours bien, semblant voir quelque chose invisible à Sophie et Pan. Leur sang se glaça mais, le mourant semblait toujours aussi calme, serein alors qu'il soufflait.
"Le ciel est magnifique... je suis content... de l'avoir encore vu... à nos couleurs au moins une fois... avec vous tous... même si j'aurais aussi aimé encore un peu de temps... au moins... je pars un matin avec le ciel bleu... plutôt que le soir avec le ciel pourpre... Sophie... Pan... mes enfants... merci... merci pour tout... hein..."
Un dernier soupir tomba de ses lèvres, emporté par le vent s'échappant, alors que ses paupières fatiguées tombaient.
Pan se figea, connaissant à présent trop bien ce visage, perdu dans le vague... ce léger sourire serein...
"Loog ?
L'homme ne répondit pas. L'agarthan attrapa alors sa main, la secouant un peu en appelant à nouveau, de nouveau perdu dans le noir, cerné par des murs de pierres sombres, enfermé avec la mort alors qu'il répétait encore et encore :
-Loog... ? Loog, répond... répond-moi... répond... ! On est là ! Ouvre les yeux ! S'il te plait... Loog... snif... ne pars pas... ne pars pas... ! Tu es encore tout jeune... par pitié... ne nous laisse pas... répond...
Pan essaya de ne pas pleurer, ne voulant pas s'effondrer devant Sophie... c'était lui le plus âgé, c'est lui qui devrait la soutenir, pas le contraire... même si elle avait bien grandi, quand Loog lui avait présenté sa fille pour la première fois, il lui avait dit qu'elle était toute fragile et qu'il fallait bien la protéger pour qu'elle grandisse... elle était encore toute petite pour un agarthan, c'était donc à lui de la protéger maintenant...
Cependant, ce fut Sophie qui posa sa main sur la sienne, l'enveloppant avec celle de son père tout en le prenant par les épaules, lui soufflant doucement.
-Ne te retiens pas pour moi... toi aussi, tu as le droit de le pleurer... avoir quelqu'un avec qui pleurer est parfois le meilleur des soutiens... surtout... il entendit sa voix se briser, le serrant contre elle alors que des larmes s'échappaient de ses yeux, cavalant sur ses jours creusés par l'âge. Surtout quand il s'agit de notre père à tous les deux... tu as toujours été un frère pour moi... comme tu as toujours été un fils pour lui... même si aucun de nous deux n'est né de sa chair... il sera toujours... snif... notre père... toujours...
-Sophie... Sophie... il... il ne peut pas... snif... Loog... notre... snif... snif... LOOOOOOG !!!!
Pan s'effondra, pleurant à chaudes larmes la perte de Loog avec sa famille, tout en sachant qu'un jour, il devrait pleurer Sophie à son tour, puis ses enfants à elle, puis leurs enfants à leur tour, puis encore leurs enfants... comme pour tous ses amis et ses proches... il entendait presque Thalès rire, se moquer cruellement de lui, n'ayant qu'à attendre pour lui arracher tout ceux qu'il chérissait...
"Ne les écoute pas, ils ne font que persiffler comme des vipères. S'ils étaient si sûrs de tout ce qu'ils avançaient, il n'aurait pas à vous mentir tout le temps, ils vous prouveraient simplement qu'ils ont juste."
"Si tu ne veux plus faire partie de ton clan et de ton peuple car, tu n'es pas d'accord avec eux et que cela ne te correspond pas, quitte-le, et ils n'auront rien à te redire. C’est ta vie, pas la leur. Et s’ils te disent que c’est la leur, dis leur d’aller se faire foutre."
"Aucun de nous ne sera loin de toi pendant toutes ces années à venir... notre souvenir t'accompagnera partout, comme ta chance..."
"C'est vrai... se reprit Pan en redressant un peu la tête, regardant le soleil, ayant l'impression d'y voir le sourire et la chevelure de Loog à l'intérieur, tenant déjà sa promesse à peine mort. Lucine a raison... Thalès et ses sbires ne font que mentir, ils ne savent rien des émotions et ce que c'est de réellement vivre... la vie à la surface avec eux tous est bien plus belle qu'à Shambhala, même si ça fait mal parfois... et s'ils ne sont pas d'accord, tant pis pour eux. Comme dirait Kyphon, qu'ils aillent tous se faire foutre. J'ai eu la chance de tous les connaitre, c'est ma chance à moi qu'ils ne pourront jamais voler ou corrompre... je ne la gaspillerai pas, et je ne leur donnerai jamais raison Loog... je te le promets... après tout, j'ai encore une longue vie à vivre et comme tu le disais tout le temps, le quatre est un symbole de chance..."
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soccerwag · 1 year
Note
hello I hope you're fine 💕
J'ai une demande à propos de Hakim Ziyech, il est marié au lecteur depuis 2/3 ans maintenant et elle est aussi marocaine et musulmane et Hakim a beaucoup de crises de colère mais il rejette constamment sa femme et cette fois il y a la mère de Hakim qui est chez lui à Londres depuis une semaine et un jour Hakim rentre (d'un match ou d'un entraînement ou ailleurs comme vous voulez) et il ne dit bonjour à personne et monte dans la chambre conjugale avec un regard fâché et le lecteur va le voir essaie de comprendre ce qu'il a mais il la rejette et lui crie tellement dessus qu'il fait peur au lecteur et il la compare à son ex petite amie Aja narie et elle décide de ne plus lui parler et dort dans la chambre des amis quoi rend son mari furieux il essaie d'entrer dans la chambre mais sa femme est enfermée et pleure toute la nuit elle a pris la décision de ne pas parlerà Hakim et qu'ils ne doivent pas montrer la mère à Hakim que cela ne va pas à leur mariage et que la fin dépend de vous
Oui! J'espère que vous apprécierez la façon dont j'ai écrit ceci et j'espère qu'il est assez bien écrit pour votre demande! 🫶🏼
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derrière la façade
le couple: Hakim Ziyech x Lectrice
Résumé: Pour tout le monde, vous et Hakim avez un mariage parfait et heureux. Ils ne savaient pas que tout cela n'était qu'une façade et qu'ils devaient vivre avec encore plus lorsque sa mère venait lui rendre visite.
avertissements: mauvais mariage
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Vous et Hakim êtes mariés depuis un certain temps maintenant. La relation était bonne au début. À un moment donné entre le début et maintenant, Hakim est devenu mécontent. Tu n'as jamais su pourquoi et quand tu as essayé de lui en parler, il t'a rejeté et repoussé.
Tu mentirais si tu disais que ce n'était pas comme un coup de poing dans l'estomac. Vous l'aimiez sincèrement, mais il ne semblait pas partager les mêmes sentiments. Il était difficile de mettre un numéro devant les poparazzi et les amis. C'était dur de prétendre que toi et lui aviez raison. Derrière cette façade se cachait une dure réalité. La réalité de la merde que votre mariage était devenu. Chaque jour, il y avait au moins une allumette hurlante entre les deux. C'était difficile de faire face à toutes les mauvaises choses qu'il disait à votre sujet. Tout ce que tu voulais, c'était que lui et toi soyez heureux.
Un jour, sa mère est venue lui rendre visite, toi et lui. Sa mère t'aimait. Elle aime la façon dont vous avez traité son fils. Elle vous avait rencontré lors d'une séance de prière. Toi et elle étiez dans le même immeuble et elle trouvait que tu étais beau. Elle avait parlé à vos parents, ce qui a ensuite conduit à vous présenter, vous et Hakim.
De nos jours, vous étiez à la maison en train de nettoyer et de cuisiner, comme vous le faites tous les jours, en attendant que votre mari rentre à la maison. vous finissiez de nettoyer la cuisine quand vous avez entendu le bouton de la porte tourner. Votre mari est entré. Il semblait être de bonne humeur mais à la seconde où ses yeux ont rencontré les vôtres, c'était comme si son humeur avait complètement changé. il est passé devant vous vers la chambre. vous l'avez suivi, lui demandant comment était sa journée et s'il allait bien.
"Pouvez-vous simplement arrêter de parler. J'ai été très clair sur le fait que je ne suis pas intéressé à entamer une conversation avec vous." Dit Hakim durement avant de te repousser et d'aller s'asseoir sur le canapé. Il a allumé la télé et t'a pratiquement ignoré pour le reste de l'après-midi.
Tu sais qu'il te repousserait mais tu étais assez choquée qu'il ne te crie pas dessus cette fois.
"Ma mère vient me rendre visite pendant une semaine, alors comporte-toi du mieux que tu peux." dit Hakim sans même te regarder.
tout ce que vous pouviez dire était ok.
Quelques jours passèrent et sa mère était arrivée. C'était bizarre qu'Hakim t'ait si bien traité la semaine où elle était ici. Pendant une seconde, vous avez pensé que peut-être sa mère lui avait parlé de bon sens. Vous aviez très tort.
Après que sa mère vous ait dit au revoir, la façade s'est levée. Les combats reprennent. Cette fois, les combats vous font plus mal que jamais.
"JE NE PEUX PAS CROIRE QUE JE T'AI MARIÉ. TU ES COMME MON EX, ENNUYEUX ET TELLEMENT DIFFICILE À GÉRER. AU MOINS ELLE ÉTAIT BELLE ET JE N'AI PAS ÉTÉ MALADE D'AVOIR L'AMOUR AVEC ELLE. JE NE COMPRENDS PAS CE QUE MA MÈRE J'AIME MÊME CHEZ VOUS." cria hakim.
vous ne vous souveniez même pas comment le combat avait commencé, tout ce à quoi vous pouviez penser était ce que vous ressentiez à ce moment-là. À cause de votre religion, il a été le seul homme à vous voir pleinement. Te voir nue et te faire prendre ta virginité. Tu te sentais dégoûté, honteux de ne pas lui suffire. Tu n'as pas pu t'empêcher de pleurer.
Cette nuit-là, vous avez dormi dans la chambre d'amis, ainsi que les nuits suivantes. Vous avez refusé de lui parler, refusé de vous approcher de lui. Quand sa mère t'appelait, les gars remettaient la façade. Tu étais fini mais tu ne pouvais pas le quitter.
Ces jours étaient les pires. Hakim, que cela lui plaise ou non, se sentait mal. Ces derniers mois, il a été stressé. Il a laissé tomber son stress sur vous, ce qu'il savait être mal. Derrière sa propre façade, il t'aimait. Il avait juste peur. Tous ses coéquipiers et tout le monde autour de vous vous aimaient. Il avait peur que s'il se rapprochait trop, il se retrouverait dans la même position qu'il était avec son ex, la position où il a été laissé pour compte.
Cela fait maintenant deux semaines que vous avez échangé. il était actuellement 20 heures. et tu étais assis sur le canapé. Hakim était dans la chambre à faire ce qu'il faisait tous les soirs et tu regardais une émission. tout à coup, vous avez senti des bras autour de vous. Ils n'étaient pas agressifs, ils étaient étonnamment doux.
"Je suis désolé ma chérie." est ce qui sortait de la bouche de hakim.
Tu as senti des gouttes de larmes couler sur ta chemise, mais ce n'étaient pas les tiennes.
"Je t'ai si mal traité. Je suis désolé. Je suis désolé de t'avoir fait du mal et je suis désolé de m'être débarrassé de mon stress, de ma colère et de mes insécurités. Je comprendrais si tu ne me pardonnerais jamais, mais derrière la façade, je je t'aime."
————————————————————————
Note de l'auteur: Je sais que c'est court mais j'ai fait de mon mieux, j'espère que vous avez apprécié l'intrigue, je sais aussi que c'est un peu un cliffhanger mais si vous voulez la partie 2, demandez.🫶🏼
Aussi j'espère que ma grammaire n'est pas trop mauvaise, le français est ma deuxième langue donc s'il y a des fautes de grammaire je suis désolé.
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kilfeur · 7 months
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Ce que je trouve intéressant avec Nolan c'est que justement il devient peu à peu humain. Dans la saison 1, Nolan voulait changer Mark pour qu'il voit les choses selon son point de vue. Qu'il agisse comme un viltrumite et non comme un être humain ! Mais à la fin de la saison 1, on sent qu'au final c'est pas Nolan qui a changé Mark mais l'inverse qui s'est produit. Surtout qu'il a erré dans la galaxie sans but parallèle avec sa femme, Debbie qui aussi erre sans but ! Et était prêt à mettre fin à ses jours montrant que oui les évènements de la saison 1 l'a marqué et ne l'a clairement pas laissé indifférent. Et je pense qu'il y avait de la manipulation quand il parle à Mark de sauver cette planète or je pense qu'il essayait d'être sincère malgré tout. Mark est content de le revoir car il lui a manqué malgré ce qui s'est passé entre eux. Et peut enfin dire ce qu'il ressentait envers lui depuis le début de la saison 2 à juste titre. On sent que le ressenti envers son père est plus compliqué que juste "Je te déteste !".
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Surtout que Nolan a refait une famille dans cette planète alors oui c'est extrêmement vache et cruel de faire ça devant son fils en plus ! Mais je sens que Nolan essaie de répliquer la vie qu'il avait sur Terre avant qu'il commence l'invasion ! Du moins c'est comme ça que je le vois. Et quand il voit les pertes dans sa planète, il ne comprend pas pourquoi il ressent ça justement pourquoi il a de la peine alors qu'il dit que les espérances de vie de ses insectes est courte ? Et justement dans cette scène son fils est là montrant que oui, par la présence de Mark, il devient petit à petit humain, quelque chose qu'il ne comprend pas ! Car les Viltrumites se fichent de ça, d'être humain, tout ce qu'ils veulent ce sont des soldats pour leurs plans d'invasions, pas d'êtres humains.
J'aime beaucoup ce début de développement pour Nolan donc curieuse de voir la suite ainsi que comment la relation avec son fils va évoluer
What I find interesting about Nolan is that he gradually becomes human. In season 1, Nolan wanted to change Mark so that he would see things from his own point of view. That he would act like a viltrumite and not a human being! But by the end of season 1, we feel that in the end it wasn't Nolan who changed Mark, but the opposite. Especially since he's been wandering the galaxy aimlessly in parallel with his wife, Debbie, who's also wandering aimlessly! And was ready to take his own life, showing that yes, the events of season 1 left their mark on him and clearly didn't leave him indifferent. And I think there was some manipulation when he talks to Mark about saving this planet, but I think he was trying to be sincere in spite of everything. Mark is happy to see him again because he missed him despite what happened between them. And he can finally say how he felt about him from the start of season 2, and rightfully so. We sense that his feelings towards his father are more complicated than just "I hate you!".
Especially since Nolan has rebuilt a family on this planet, so yes it's extremely bitchy and cruel to do this in front of his son on top of that! But I feel that Nolan is trying to replicate the life he had on Earth before he started the invasion! At least that's how I see it. And when he sees the losses on his planet, he doesn't understand why he feels this way. Why does he feel sorry when he says that the life span of his insects is short? And it's precisely in this scene that his son is there, showing that yes, through Mark's presence, he is gradually becoming human, something he doesn't understand! Because the Viltrumites don't care about that, about being human, all they want are soldiers for their invasion plans, not human beings.
I really like this early development for Nolan, so I'm curious to see what happens next, and how his relationship with his son develops.
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swedesinstockholm · 6 months
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12 novembre
j'ai du m'arracher à mes collages sur photoshop pour aller dormir ce soir. ça me rassure de pouvoir éprouver autant de plaisir à faire quelque chose. écouter de la musique aussi me procure du plaisir x1000. ce matin après avoir déjeuné je suis remontée dans ma chambre et j'ai écouté les trois premiers albums de muse par ordre décroissant assise sur mon lit. quand maman est rentrée dans ma chambre en disant qu'est-ce que tu fais là? j'avais l'impression d'avoir douze ans et d'écouter avril lavigne sur mon lecteur cd assise en tailleur sur la moquette. je me suis rendu compte à quel point muse me réconfortaient encore, presque vingt ans après, en les écoutant bien fort, ils restent un refuge. tellement d'anniversaires à fêter l'année prochaine. vingt ans de muse, vingt ans du journal, vingt ans de ma non tumeur à l'oeil. j'espère que ça va mettre en branle des forces géologiques ou des forces cosmiques ou n'importe quelles forces qui me feront sortir d'ici.
l'autre jour j'ai regardé un film sur une femme de 63 ans qui a traversé la mer à la nage entre cuba et la floride, après avoir échoué à 28, 60, 61 et 62 ans, et puis le même jour j'ai appris que jenna lyons avait embrassé une femme pour la première fois à 42 ans AND LOOK AT HER NOW, icône lesbienne en couple avec cass bird. je vais essayer d'aborder mon anniversaire avec ces deux histoires en tête.
14 novembre
j'ai fait un rêve tellement long ce matin que j'ai l'impression de m'être perdue en chemin. de m'être perdue moi je veux dire. je me suis réveillée à 11h14, je sais pas si c'est normal. tout d'un coup à la veille de mes 33 ans mon corps me dit que je suis pas SI vieille que ça et que je suis encore tout à fait capable de faire des grasses matinées. à part ça on est mardi et je me tiens absolument pas à ma nouvelle routine que j'étais censée instaurer mais c'est pas grave parce que c'est la semaine de mon anniversaire et j'ai décidé de me laisser luxurier dans mon luxe mon luxe absolu de pouvoir hiberner et me lever à 11h14 parce que c'est ce que mon corps réclame, mon luxe de pouvoir décider de ne pas sortir dehors sous la pluie et la tempête sans fin et de commencer ma journée doucement en répondant aux messages de r. de m. et d f. qui visiblement ne m'en veut pas pour dimanche soir parce qu'elle est intelligente et qu'elle doit avoir compris que c'était mon cerveau dysfonctionnel à l'oeuvre. je me suis laissée faire des collages photo tout l'après-midi, même si j'ai rien produit de grandiose.
15 novembre
9h50, je fais des progrès. j'ai lu jusqu'à 2h11, j'ai temporairement laissé tomber le livre académique très sec sur violette leduc et le temps de l'autobiographie pour lire the cost of living de deborah levy et j'aurais pu lire toute la nuit, mais ne pas dormir me fait peur. ça s'écarte trop de l'ordre quotidien des choses. la nuit c'est fait pour dormir. j'ai passé la matinée à lire et je pensais à la femme au mascara bleu électrique avec qui j'avais discuté sur le trottoir devant la bellone qui m'avait dit qu'elle considérait le temps qu'elle passait à lire comme du temps consacré à son travail d'écrivaine. je me demande si je suis trop jeune pour écrire un livre dans le style de the cost of living ou si maintenant que j'ai presque 33 ans ça va, j'ai l'âge.
16 novembre
10h24, mes progrès reculent. hier soir j'ai vu que la chambre de c.b. dans la coloc à bruxelles était toujours libre et j'ai été prise de panique, d'un sentiment d'urgence, d'urgence absolue c'est maintenant ou jamais lara si je veux m'échapper du marasme qu'est mon quotidien de la maison avec maman, tout luxueux et confortable soit-il, et commencer une nouvelle vie avec du mouvement et de la stimulation et des relations sociales et des responsabilités et des obligations et du fun et du partage. mais au lieu de lui écrire j'ai entrepris une exploration approfondie du tumblr d'une des colocataires parce que son pseudo me disait quelque chose, j'ai remonté ses archives jusqu'en 2011 et j'ai trouvé des posts à moi, je suis sûre qu'elle faisait partie de la blogo mais je me rappelle plus de qui c'était. j'ai peur de leur écrire et de leur dire que je débarque à bruxelles sans travail sans revenus et sans perspectives avec un cv bancal et une forte instabilité mentale, mais si je commence à raisonner comme ça je bougerai jamais.
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browneyes242 · 10 months
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Il y’a des années je me disais que j’étais trop heureuse , j’avais une relation stable et heureuse, un job super dans lequel j’étais épanouie, une famille avec laquelle j’avais de bonne relation .
Je me disais que certainement une période de douleur m’attendrais. C’était vrai et cette période c’est 2023. Définitivement la pire année de ma vie et j’espère qu il n’y aura pas pire.
Ma relation s est terminée au bout de 4 ans et il s est mis en couple et a avancé tandis que je pleurais encore pour lui.
Ma relation avec mes parents ne peux pas être plus pire,
J’ai failli craquer mais j’ai voulu relativiser et être cool. J’ai pensé à mettre fin à mes jours tant la douleur était forte et j’agonisais sans savoir quoi faire pour moi aller mieux. J’y ai renoncer car je suis lache et j’ai peur de subir un châtiment plus lourd dans l’autre vie.
Je me noyée dans le travail pour compenser mais je n’ai pas eu la promotion pour laquelle je m’étais tant battu et je dois voir mes promotionnaires avancer sans moi.
J’éssaie de sourire, de prendre sur moi et d’avancer vers où je ne sais pas mais je sais qu’à un moment où un autre je vais vraiment craquer.
J’espère qu’au bout de toute cette agonie, je pourrais enfin être heureuse et apaisée. Je n’ai jamais rien demandé de plus.
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underthe-shadows · 2 months
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LES FAY —
Espèce la plus ancienne du Monde Connu, les Fay sont considéré·es comme les habitant·es originel·les de ce dernier. Iels auraient été créés par la Déesse Isthari, considérée comme l'Evanuri de la Lune et de la Magie. Créatures faites de magie pure, iels sont capables de manipuler la magie et de définir les lois du monde qui les entourent.
— GENERALITES
caractéristiques physiques — Les Fay se différencient des humains par leurs oreilles pointues, mais également par la présence d’ailes qu’iels sont capables de rétracter. Les Fay naissent avec leurs ailes présentes et apprennent en grandissant à les rétracter. Les ailes grandissent en même temps qu’iels vieillissent et sont un signe de l’âge de ces dernier·es.
longévité — De nombreux textes relatent la beauté figée dans le temps des êtres féériques et de l’immortalité dont iels étaient doté·es. Cette immortalité cependant, s’est éteinte il y a plusieurs siècles. Les Fay de la Cour Seelie possèdent une longévité similaire à celle des humains, pouvant vivre jusqu’à cent ans. Les Fay de la Cour Unseelie, elleux, sont le symbole même de cette légende d’antan. S’iels ne sont à proprement parlé pas immortels, iels peuvent vivre jusqu’à l’âge vénérable de 420 ans.
faceclaim & âges unseelie : De leur 0 à leurs 25 ans, les Unseelies vieillissent normalement et gardent l’apparence d’un·e adulte de 25 ans, jusqu’à leurs 80 ans. 80 ans à 120 ans : faceclaim entre 25 ans et 35 ans. 120 ans à 180 ans : faceclaim entre 35 ans et 45 ans. 180 ans à 240 ans : faceclaim entre 45 ans et 55 ans. 240 ans à 300 ans : faceclaim entre 55 ans et 65 ans. 300 ans à 360 ans : faceclaim entre 65 ans et 75 ans. 360 ans à 420 ans : faceclaim entre 75 ans et 85 ans.
reproduction — Les Fay ne sont fertiles que durant quatre semaines de l’année, généralement autour des équinoxes et solstices, lorsqu’iels atteignent leur maturité sexuelle. Si les Fay de chaque cour peuvent se reproduire avec des humains, les Seelies et les Unseelies semblent incapables de se reproduire entre elleux.
les cours — Les Fay sont séparé·es en deux cours, la Cour Seelie et la Cour Unseelie. Ces deux Cours dirigent chacune un territoire établi il y a plusieurs siècles. Les Seelies régissent le Royaume de Mythralis, tandis que les Unseelies régissent l’Empire de Vesperia. Il est à noter que les Seelies et les Unseelies ne formaient autrefois qu’une seule et même Cour, jusqu’à ce que les Fay se séparent des suites de la Guerre du Sang, il y a plus de huit siècles.
la magie — Les Fay sont capable de maîtriser la magie. Iels ne sont cependant capable que de contrôler un type de magie, nommé domaine qui se déclare durant leur enfance.
les faiblesses — S’iels sont fait de magie pure, les Fay ne sont pour autant pas indestructibles. Iels sont sujets à des maladies diverses et variées, généralement d’origines magiques ou surnaturelles. Selon qu’il s’agisse de Fay Seelie ou Unseelie, certaines de leurs faiblesses sont différentes. Les deux types de Fay ont cependant en commun le fait que la pratique de la magie est une chose épuisante, qui use leur énergie vitale. Cette énergie vitale s’amenuise selon la puissance des sortilèges et rituels qu’iels utilisent. De ce fait, les Fay doivent apprendre à maîtriser et contrôler la magie, et doivent constamment contrôler leur énergie.
langues — Les Fay parlent l’Ancien langage (la langue originelle du monde connu), mais également la langue commune.
patronymes — Les Fay possèdent des noms de familles qui finissent généralement par ar, nor, os, ys.
— LA COUR SEELIE
les particularités — Les Fay de la Cour Seelie se distinguent des Fay de la Cour Unseelie, par leurs ailes d’insectes, de couleurs différentes selon leur région d’origine. Les Fay de cette cour sont également affaiblis par la morelle noire, une plante qui inhibe la magie des Fay Seelies. Il s’agit d’un poison, qui a trop forte dose peut faire perdre définitivement la magie d’un·e Fay et mettre fin à ses jours. Leur corps est aussi fragile que celui d’un mortel.
territoire — Les Fay de la Cour Seelie vivent principalement au sein du royaume de Mythralis. Ce dernier est séparé en plusieurs régions, chacune sous la direction d’une Reine. Les couleur des ailes des Fay de la Cour Seelie est un signe indicateur de leur région d’origine : Bois d’Argent (D’un marron argenté), Désert des Etoiles (D’un blanc satiné), Montagnes de Givres (D’un blanc tacheté de noir), Archipel Astral (De verts et de turquoise), Îles Célestes (De bleus limpides ou abyssal), Marais de l’Eclipse (Translucides, reflétant myriades de couleurs), Plaines du Destin (Dans les tons lavandes et violets).
la magie de la cour seelie — Il existe cinq domaines de magie différents qui peuvent être pratiqués par les Fay de la Cour Seelie.  Le Domaine de la Vie (guérison, nature, familiers), le Domaine Elémentaire (création et contrôle de certains éléments), le Domaine Mystique (télékinésie, divination), le Domaine d’Altération (modification magique des objets, des corps), le Domaine d’Abjuration (anti-magie, lumière)
relations avec les autres espèces — Les Fay de la Cour Seelie ont généralement de bonnes relations avec les humains. Iels ont rapidement acceptés ces derniers lors de leur arrivée dans le Monde Connu, leur ouvrant les portes du Royaume de Mythralis pour y habiter. Iels ont tentés de leur apprendre l’art de la magie, en vain. Pour autant, chaque être humain avait sa place parmi elleux, afin de faire grandir les deux espèces. Il y a peu cependant, des suites de la destruction du Conclave, les Fay de la Cour Seelie ont fermés leurs portes aux mortels et les ont chassés de leurs terres. Les relations entre les deux espèces commencent donc à s’effriter, de nombreux humains ayant été arrachés à leurs proches, leur foyer. Si certain·es Fay cautionnent les choix de leurs Reines d’avoir expulsé les humains, certain·es d’entre elleux étaient contre ce choix. Il est à noter que pour la grande majorité des humains vivant au sein de Vesperia, les Seelies sont considérés comme celleux à l’origine des horreurs du Monde Connu.
La Cour Seelie a toujours été dans l’acceptance des hybrides, qui ont existés chez elleux depuis le début de l’arrivée des humains. Iels ont eu le choix, de rester à Mythralis ou de quitter leurs terres.
Les relations entre les Seelies et Unseelies a cependant toujours été belliqueuse et les deux espèces pourtant parentes, se détestent plus que de mesure ce depuis la création de la Cour des Unseelies. Pour les Seelies, les Unseelies sont des êtres malveillants, des voleurs, des hérésies. Aucun Unseelie n’est accepté au sein de Mythralis.
— LA COUR UNSEELIE
les particularités — Les Fay de la Cour Unseelie possèdent des ailes à l’instar de leurs comparses Seelies. Ces dernières et ce indépendamment de leurs régions, ont la forme d’ailes de chauve-souris. Les Fay Unseelies possèdent également des canines tranchantes et acérées, qui leur permettent d’hameçonner leurs proies. En effet, les Fay de la Cour Unseelie, si iels peuvent se nourrir de denrées communes, doivent boire du sang pour regénérer leur magie et leur énergie. Sans apport de sang, les Unseelies semblent perdre toute nature féérique jusqu’à devenir des cadavres, ce qui leur a valut le surnom de “vampire”, dans la bouche des humains. Leurs sens, leurs réflexes mais également leur force sont surhumaines. Ce sont des prédateurs. Le bois de sorbier venant des bosquets sacrés, les empêchent d’utiliser leurs pouvoirs, mais plus encore peut leur être fatal. Pour cette raison, il n’existe plus aucun bosquet sacré au sein de Vesperia et des Terres Libres. Il est à noter que leur type de magie est héréditaire, au contraire des Seelies.
l’enansal din’ashiral — tw ; sacrifice humain Cérémonie propre aux Unseelies, l’Enansal Din’Ashiral, qui signifie Bénédiction du voyage vers la mort, est une cérémonie que tout Fay Unseelie pratique lorsqu’iel atteint l’âge de vingt-cinq ans. Elle représente le moment où l’Unseelie entre dans l’âge adulte et où son vieillissement ralentit. Il s’agit d’une cérémonie importante, plus encore que la naissance d’un nouveau né, ou la mort d’un individu. Cette cérémonie est pratiquée au sein d’un Temple de la Chantrie, entouré généralement de la famille et des proches de l’individu. L’Unseelie célébré se voit offrir un sacrifice humain, dont iel devra boire le sang jusqu’à la dernière goutte. De grandes festivités accompagnent également la cérémonie jusqu’à l’aube.
territoire — Les Fay de la Cour Unseelie vivent principalement au sein de l’Empire de Vesperia. Ce dernier est séparé en plusieurs régions, sous l’autorité de familles seigneuriales unseelies. Ces régions sont les suivantes : Narakashad, Hanazora, Nyumbani, Silva, Okeanos et Basarova. La capitale de l’Empire se trouve dans la région de Narakashad, à Kalipur.
la magie de la cour unseelie — Il existe cinq domaines de magie différents qui peuvent être pratiqués par les Fay de la Cour Unseelie. Le Domaine des Ombres (création et contrôle des ombres), le Domaine des Tempêtes (intangibilité, contrôle des intempéries), le Domaine de l’Âme (télépathie, contrôle mental), le Domaine des Horreurs (illusions, contrôle de la peur), le Domaine de la Mort (nécromancie, magie du sang).
relations avec les autres espèces — Les Fay de la Cour Unseelie et les humains tendent à avoir une relation paradoxale. Celleux qui placent leur foi dans la Chantrie considèrent les êtres féériques comme les enfants des Evanuris (les dieux), et placent en elleux leur foi, leur confiance et suivent aveuglement leurs préceptes et leur propagande. En vérité, nombre d’entre elleux, voient cependant clair dans le jeu des Fay et savent qu’ils se sont fait asservir par ces êtres à la magie infernale. Les Fay Unseelies, voient en elleux, du bétail. Une denrée qui se reproduit à la vitesse de l’éclair et qui permet des les sustenter elleux et leur magie. Rares sont les humains qui arrivent à faire fortune sur leurs terres, ou qui arrivent à gravir les échelons de la société. Leurs conditions de vie sont telles, qu’aujourd’hui plus que jamais, les Fay de la Cour Unseelie et les humains sont en parfaite opposition.
La Cour Unseelie n’a jamais été dans l’acceptance des hybrides, les Fay de cette Cour considérant que leur sang est bien trop précieux pour être dilué avec celui des humains. Pourtant, les hybrides d’Unseelie et de mortels existent. Considérés uniquement comme des bâtards par les Fay, iels se sont vus octroyer le titre de Champion·nes des Evanuris par les Humains et la Chantrie. La seule raison de leur existence est donc de protéger l'humanité et les Unseelies des créatures obscures en rejoignant le Cercle des Traqueurs. Pour autant, nombreux sont les Unseelies qui défient ces préceptes et pourchassent leurs bâtards pour mettre fin à leur existence avant qu'iels n'atteignent le Cercle.
Les relations entre les Unseelies et les Seelies sont belliqueuses, et les deux cours se détestent ouvertement. Si les Seelies voient en elleux des monstres, les Unseelies voient en leur cousin·es des êtres faibles et indignes de leur ascendance, qui serviraient bien plus à rejoindre les rangs de leur bétail. Si leur présence n’est pas interdite au sein de l’Empire de Vesperia, il est malgré tout interdit aux Fay Seelies de pratiquer la magie sur les terres Unseelies.
crédits des icons : lunarghost.
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e642 · 6 months
Note
"Il m'a apporté de la légèreté dans certaines périodes dures, il m'a aussi appris à gérer ma colère et réguler mes émotions." Un apport bien maigre par rapport à ce qu'il te fait vivre, développé ?
Passif agressif cette question. Ma foi, j'avais pris le soin de spécifier que ce n'était pas l'objet de la précédente question d'où le fait que je n'ai pas développé mais je peux le faire. En vrac et sous forme de liste voici les raisons de pk mon mec n'est pas entièrement une odieuse personne dénuée de sentiments.
La légèreté: en effet cette année a été ce que l'on pourrait qualifier de virage à 180° supplément trafic dense et verglas. J'ai eu d'importants pb de santé et des grosses décisions à prendre (Cf période des masters). Là où j'ai aimé son côté léger c'est que pendant cette période, je n'avais pas envie de parler de ça, de mes angoisses et mon malaise, je voulais qu'absolument tout le monde me foute la paix avec les questions type "tu vas faire quoi l'année pro ?", "Et ça donne quoi les masters alors ?", "Roh une licence pour rien ?", "T'en as pas marre d'être tjrs malade ?", ect. Lui n'a jamais abordé ces questions car il savait que j'avais juste pas envie d'en parler et ça m'a fait du bien de rester dans une atmosphère safe dans le sens loin de tout ça. Ya des pb dont t'as besoin de parler pour aller mieux et d'autres dont tu veux absolument éviter de ne seulement que laisser une emprunte vocale dans l'univers. Peut-être que c'est aussi qu'il en avait rien à foutre mais peu importe la raison, le fait est que j'ai apprécié ne pas avoir à me justifier.
La tolérance: c'est quelqu'un qui aime pousser les autres dans le retranchement et qui ne connaît pas même ses propres limites pour certaines choses. J'ai appris à me détendre un peu, à rester tranquille avant de le démarrer. Il m'a appris, ou plutôt, il m'a permis de mettre en pratique le fait de réagir à froid et non plus à chaud. Au lieu d'exploser de colère à son égard direct, bien que ça ait été mérité, j'ai appris à exploser de colère de mon côté, me calmer et revenir vers lui avec l'esprit clair. Le meilleur exemple reste le jour où il m'a avoué sa tromperie, avant de l'agresser verbalement et me mettre en situation de difficulté où je serai reprochable, j'ai pris la décision de me calmer et revenir lui demander tranquillement de me raconter.
La confrontation avec moi: ma rupture précédente, il y a quelques années, m'a mise à terre. J'ai réussi à en tirer des leçons et à me sentir reconnaissante même de cet évènement. En effet, sans cette rupture, je n'aurais pas eu certains déclics. La vérité c'est que jusque là, c'était des mantras, je me disais "ok dans ma prochaine relation faut que je fasse ci, que je fasse ça", mais je n'avais jamais eu l'occasion de remettre en pratique. Savoir que la communication est la clef c'est bien, réussir à ne pas se braquer, à aller vers l'autre, à discuter sans frontalement reprocher et se mettre l'autre à dos en est une autre. Je découvre une réelle congruence entre comment je veux réagir et comment je réagis vraiment, c'est signe de travail. Et je dirais que ça l'aide, je lui donne les bons gestes, les bonnes réactions selon mes critères, il en fait ce qu'il veut. Si c'est perdu, ça ne sera jamais pour moi.
La rigueur: je pourrais me comporter comme une merde, aller revoir mon ex, me venger pour la tromperie, être franchement condescendante voire méchante. Pourtant, j'ai décidé d'être carré avec lui jusqu'à la fin pour lui montrer qu'une femme peut avoir une réelle bienveillance à son égard. Que tout n'est pas une question de calcul.
Les traumas: il en a, issu d'une famille éclatée par la tromperie, enfant du milieu jamais calculé et ex particulièrement toxique, il y a des choses à panser. Je ne me mets pas en position de sauveuse, je veux seulement dire que son passé impacte son présent et du coup son futur. La seule chose que je peux faire pour lui c'est être fidèle, lui donner de l'importance et lui faire comprendre que le relationnel, les relations sentimentales ne sont pas une vaste compétition de qui brisera l'autre en premier, de qui insérera ses doigts plein de sel dans les plaies de l'autre en premier. Et je le sens plus ouvert, il fait un travail sur lui. C'est pas avec moi qui sera la meilleure version de lui même mais avec la prochaine, autant essayer de lui redonner une vision claire des choses et une balance correcte. Rien n'est binaire en ce qui concerne les émotions.
Le sexe: il m'a permis d'ouvrir mon regard sur le sexe en se montrant particulièrement safe, non jugeant, et dans le moment. Il fait très bien l'amour, ça me permet de dire qu'il n'est pas profondément teubé non plus. Il sait écouter, enregistrer et appliquer. Bizarrement, je me suis rarement autant régalée qu'avec lui car bien qu'il ait des failles à ce niveau là, il fait preuve d'une étonnante douceur et bienveillance. Je n'ai jamais reçu une remarque reevant de près ou de loin du body shame de sa part, pourtant il y aurait matière (mutilation, peau acnéique, vitiligo dans le dos, ectt). Il a tjrs été très rassurant en ce qui concerne les règles, les poils, le corps. C'est normal oui, mais les normes ont changé, c'est donc rare et donc à souligner.
Les petites attentions: bien qu'il en loupe des évidentes (Cf arriver 20 min en retard à la gare et me laisser croupir sous la flotte), il est capable de faire des petites attentions (m'apporter un redbull, me complimenter, retenir un truc qui m'a plu ect).
Naturel: Il est nature peinture et c'est appréciable, il a désacralisé -sans se rendre compte- le rôle de la meuf qui doit être parfaite, fifille, pudique, qui fait pas caca. Il me permet d'être dans une certaine mesure moi. Il n'y a qu'avec ce mec que j'ai pu aller faire des randos à 3h du mats, aller voir des couchers de soleil, instaurer une baignade par mois, ect. J'ai tjrs été une meuf qui aime bien la nature, les trucs atypiques et lui aussi, donc c'est agréable.
bonus: j'ai un toc qui consiste à m'arracher frénétiquement la peau autour de mes ongles sans même m'en rendre compte ou encore à bouger sans cesse mes jambes même quand je pionce, bah du plus loin que je me souvienne avec lui, il a tjrs pris mes doigts ou mis ses jambes sur les miennes pour que j'arrête et ça signifie bcp pour moi
Je m'arrête là, j'ai pas écrit tout ça pour le protéger, faire changer d'avis ou encore le faire mieux paraître. Juste, je liste ce qu'il fait de bien ou provoque de bien. Il faut dire quand c'est de la merde mais aussi quand c'est bien. Donc à bon entendeur, perso, je prends pas de parti, c'est quelqu'un de bien mais un peu immature
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