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#conscience de sa valeur
mega-adam-blr · 10 months
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La réciprocité.
La réciprocité ce concept qui m'est si cher, qui m'a sauvé. Recevoir ce que l'on mérite... Ce n'est pas donner dans l'espoir de recevoir mais c'est avoir conscience de sa valeur et de ce que l'on mérite. C'est choisir des relations où l'on ne se contente pas de miettes d'amour... C'est être en osmose avec l'autre parce qu'on est sur la même vibration et qu'on reçoit autant d'amour qu'on en donne. C'est aussi avoir le recul d'analyser nos relations et de savoir dire stop quand en face on a pas de réciprocité. C'est fuir la médiocrité des relations à sens unique... C'est arrêter de se dévaloriser en se donnant sans recevoir de considération. C'est savoir mettre fin à des situations où l'on s'investit sans jamais que nos efforts soient vus. Je pense qu'on récolte ce que l'on sème et que si ce n'est pas le cas c'est soit qu'on sème (s'aime) mal soit qu'on sème au mauvais endroit. Je vous souhaite d'apprendre à semer aux bons endroits afin de récolter ce que vous méritez, et d'avoir la lucidité d'arrêter de semer quand vos efforts ne paient jamais. Quand on en prend conscience, et qu'on change ce qui peut l'être, alors apparaissent des fleurs d'amour et de bonheur sur notre chemin, c'est cela que je vous souhaite.
Cynthia Chevalier. Le chant de l'âme
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kilfeur · 6 days
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Vous savez Aurora me fait penser à Armand lors des toutes premières saisons. Je veux dire son seul acte de gentillesse a été de de dissuader son père d'arrêter sa soeur. Mais mise à part ça, il était assez arrogant provoquant Tristepin (bien que la première fois c'est le rouquin qui l'avait provoqué mais Armand n'est pas innocent pour autant). Tout comme Aurora, Armand est resté dans son royaume et ça lui a pas permit d'évoluer et en soit c'était réaliste ! Ou bien le fait qu'il était trop sûr de lui avec son père concernant l'invasion de Nox, se faisant avoir en beauté ! Voir même quand il se moquait de Tristepin quand ce dernier avait prit conscience de son statut de dieu. Mais ce qui le différencie d'Aurora, c'est son père, il l'aimait tout autant qu'Amalia. Or même moi, je pouvais voir que même son père semblait aussi plus favoriser sa fille que lui. Ce qui expliquerait justement la relation compliqué entre les deux frangins et le fait qu'il voulait justement prouver sa valeur aux yeux de son paternel.
Ce n'est qu'une fois, qu'il est mort, qu'il a eu sa révélation, qu'il s'est rendu compte qu'il pouvait plus se mentir à lui même. Se montrant enfin honnête avec Amalia permettant enfin leur relation guérir petit à petit. Malheureusement, les bonnes choses durent jamais longtemps alors qu'Armand se sacrifie pour sauver son royaume le confiant à sa soeur. Montrant qu'à la toute fin, il avait confiance en elle pour gérer la suite ! D'ailleurs même sa mort debout contre le monstre des Nécromes. Ça m'a fait penser à la mort de Barbe Blanche dans One Piece qui était lui aussi resté debout !
D'une certaine manière, l'histoire se répète sauf que contrairement Armand, Aurora ne va pas évoluer positivement !
You know, Aurora reminds me of Armand in the very first seasons. I mean, his only act of kindness was to dissuade his father from arresting his sister, allowing her to go on an adventure. But apart from that, he was pretty arrogant, provoking Tristepin (although the first time it was the redhead who provoked him, but Armand is no innocent). Like Aurora, Armand stayed in his kingdom and that didn't allow him to evolve, which was realistic! Or the fact that he was too sure of himself with his father concerning the Nox invasion, and got screwed in the end! Or even when he mocked Tristepin when the latter became aware of his godlike status. But what set him apart from Aurora was his father, who he loved just as much as Amalia. But even I could see that her father seemed to favor his daughter more than him. This would explain the complicated relationship between the two siblings and the fact that he wanted to prove his worth to his father.
It was only when he died that he had his epiphany, that he realized he could no longer lie to himself. Being finally honest with Amalia allowed their relationship to heal little by little. Unfortunately, good things never last long, as Armand sacrifices himself to save his kingdom, entrusting it to his sister. Showing that, in the end, he trusted her to take care of the rest! Indeed, even his death standing up to the Necrome monster. It reminded me of the death of Whitebeard in One Piece, who also stayed on his feet!
In a way, history is repeating itself, except that unlike Armand, Aurora isn't going to evolve positively!
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ekman · 3 months
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À peine a-t-on célébré la figure héroïque d’un Badinter raidi, champion incontesté du progressisme, pourfendeur de la peine de mort au nom du vaste humanisme républicain, que l’on s’empresse d’inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution. Entre esprits éclairés, frangins militants, satrapes opportunistes, féministes auto-décrétées, le congrès réuni à Versailles a rapidement pris des airs de kermesse à l’instant des résultats de la consultation. Vu l’accélération des revers présidentiels depuis deux gros mois, rendre “immuable” le droit à avorter devenait une affaire urgente. Créer en permanence des faux problèmes et relayer des causes Potemkine est devenu l’occupation principale du staff des conseillers sensés éclairer les pas d’un petit président perdu dans ses nuages blancs et sa dévorante ambition européenne. Échec face aux agriculteurs – échec de communication, s’entend, car pour le reste, ils pourront toujours monter sur leurs tracteurs pour se pendre : rien n’a changé ni ne changera. Visiblement, les Français élevés en batterie et stockés hors sol, bourrés de boosters et d’anti-tout, semblent maintenant résolus à mâchouiller des haricots verts kenyans pour accompagner leur cochon hormonal guatémaltèque. Échec aussi à la réunion des boute-feus européistes où il fut question d’imaginer la possibilité de déployer dix-sept poilus du côté de Kramatorsk au nom de la défense de l’UE et de ses valeurs formidables. Vents et contre-vents s’ensuivirent afin de signifier au pyromane élyséen que cette déclaration était à tout le moins inopportune. Même en cas de canicule carbonée, l’hiver nucléaire n’est pas souhaité. Avec l’Otan et ses affidés comme amis, plus besoin d’avoir Vladimir comme ennemi. 
L’urgence abortive s’explique mieux ainsi.
Le narratif peu inspiré des spin doctors de McKinsey a planté le décor : une droite ultra-réac comptant dans ses rangs des calotins acharnés, des phallocrates maladifs et des misogynes sadiques étant dès à présent aux portes d’un pouvoir trop bienveillant, il était absolument vital de mettre sous cloche un “droit” établi il y a cinquante ans pour faire cesser une autre boucherie, celle des “faiseuses d’anges” en l’espèce. Dès 1974, les préambules et autres prolégomènes de la loi appelaient à la prise de conscience des femmes et des hommes concernés, suggérant mille prudences autour d’un acte terrible autant qu’irréversible. Pour autant, l’histoire récente montre qu’il était déjà trop tard pour barrer la route au “jouissez sans entraves” des gorets de 1968 : au prétexte de libérer les femmes du fardeau de l’enfantement, on les assignait au rôle d’objets sexuels défécondables, conçus pour le seul plaisir de gauchistes pornocentrés et de bourgeois honteux. Belle avancée sur la voie de “l’émancipation”, lisait-on alors dans la presse progressiste. Cependant, comme ça enfantait toujours plus dans les chaumières, les canules se mirent à aspirer à un rythme soutenu les excès de plaisirs fugaces – c’est que la pilule n’était pas encore complètement entrée dans les mœurs, comprenez-vous. En outre, les capotes manquaient de romantisme, le coïtus interruptus ressemblait trop souvent à une loterie et la méthode Ogino n’intéressait que les paroissiens. Décennie après décennie, le nombre d’avortements n’allait que croître, malgré la contraception libre et quasi gratuite, le sida et les MST. La France, avec ses assoces frénétiquement pro-IVG, est devenue un phare dans le domaine. Toutes ces bonnes âmes sont parvenues à tourner un drame féminin en épopée féministe. Et pourtant. L’avortement, c’est d’abord un cœur humain qui cesse de battre. Au-delà des parfaites abruties qui se contre-foutent de la valeur d’une vie (mais adorent le bouddhisme qui est cool et hyper-respectueux), l’avortement c’est d’abord un échec, souvent un drame, toujours une défaite. C’est une borne sombre dressée sur le chemin de celle qui ne sera pas mère. Pour son compagnon, son jules ou son mari ça ne le sera pas moins, si tant est qu’il assume sa responsabilité et soit doué d’un minimum de conscience vitale. En France, la constitution autorise l’interruption de grossesse jusqu’à 14 semaines de gestation, ce qui veut dire que le foetus a déjà son visage, un cerveau et une moelle épinière fonctionnels. Cela, on ne va pas trop vous le dire et surtout on ne va pas vous le montrer, parce que l’on sait jusqu’à quel point les images de chiots dénutris sur Instagram vous émeuvent. Surtout, ne pas prendre conscience de la réalité des choses ni de l’existence des êtres. Votre sexualité, c’est votre liberté. Votre corps vous appartient. Jouissez sans entraves. Ni Dieu ni maître. Et d’ailleurs, comme vous le rappelait un bénévole du Planning Familial, on peut aussi bien assurer le renouvellement des générations avec Momo de Marrakech et Babacar de Dakar. C’est même souhaitable.
J.-M. M.
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e642 · 5 months
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Le week end dernier a été compliqué pour nous deux. L'ambiance était froide, pesante et désagréable. Suite à quoi, en début de semaine, je lui avais écrit le fameux "il faut qu'on parle". J'y avais notamment abordé le thème de la communication. Notion sur laquelle j'ai du travail certes mais lui encore plus. Je lui disais que ce n'était plus possible qu'on vive des moments aussi pénibles uniquement parce qu'il ne voulait pas me dire ce qu'il se passait que je n'étais pas dans sa tête, que tout n'était pas flagrant, que des fois, je pouvais ne pas me rendre compte d'avoir mal agi ou été maladroite. J'avais pas fait du chantage affectif, j'avais seulement spécifié que moi ce n'était pas quelque chose qui me convenait et que ça me ferait partir à un moment donné si ça ne changeait pas, que j'en avais marre d'amorcer les discussions difficiles mais nécessaires, d'être rejetée par lui à chaque fois que j'essayais de savoir ce qu'il ressentait, et d'accepter ça globalement. On avait beaucoup parlé, il m'avait expliqué ce qui l'avait dérangé le week end dernier, ce qu'il avait ressenti, ce qu'il pensait de mon monologue, etc. Mais du coup, moi j'avais une appréhension pour ce week end là. Je me suis dit "je suis déjà assez chamboulée par les partiels, je veux pas risquer de l'être plus en le voyant, de me rajouter de l'angoisse". Il est quand même venu. Et j'ai senti que la conversation avait fait un bout de chemin dans sa tête. Il est parti tout à l'heure, milieu d'après midi, et avant de partir, il m'a dit "viens on se pose un peu, couche toi tranquillement et écoute moi, laisse moi parler jusqu'au bout et après tu me diras ce que tu as dans la tête". Je savais pas trop ce qu'il allait me dire. J'ai obéi du coup. Je l'ai laissé parler. Il m'a dit, dans les grandes lignes, qu'il était désolé pour le week end dernier et qu'il allait faire de réels efforts pour que notre couple pâtisse moins de ses traumas et surtout de son incapacité à parler dans les moments compliqués. Ensuite, il m'a dit qu'il n'était pas bête, qu'il voyait bien que sous mon calme plat, j'avais peur de rater, puis il m'a aussi dit qu'il avait conscience que cette année avait été dure pour moi. Surtout ce changement de vie, le cancer de ma mère, sa tromperie, et que c'était normal d'avoir eu du mal à m'y mettre. Et que même si je ratais, mes notes ne reflèteraient jamais qui je suis ni ma valeur. Il m'a dit aussi qu'il avait rarement croisé quelqu'un d'aussi intelligent que moi et d'aussi fort (mentalement) et qu'il admirait beaucoup ce côté là de ma personnalité. Puis il a rajouté qu'il croyait en moi, que j'étais capable et que son amour et celui de mes proches n'étaient pas conditionnés à ma réussite scolaire. Puis qu'il m'aimait aussi.
Et tout ça, j'ai beau le savoir, ça m'a fait tellement de bien qu'il le dise et qu'il me montre un côté plus émotionnel de lui. Finalement, ce week end m'a fait un bien fou. J'ai eu l'impression qu'on s'était retrouvés. Il montre tellement peu de lui des fois, qu'on a vite fait de le prendre pour un con mais là, il m'a prouvé le contraire sans même que j'ai à demander.
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lisaalmeida · 5 months
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"Ce n'est pas d'être heureux que je souhaite maintenant, mais seulement d'être conscient. On se croit retranché du monde, mais il suffit qu'un olivier se dresse dans la poussière dorée, il suffit de quelques plages éblouissantes sous le soleil du matin, pour qu'on sente en soi fondre cette résistance. Ainsi de moi. Je prends conscience des possibilités dont je suis responsable. Chaque minute de vie porte en elle sa valeur de miracle et son visage d'éternelle jeunesse".
- Albert Camus, Carnets I
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jeanchrisosme · 2 months
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Ce serait donc ça l’amour… Rencontrer une personne, apprendre à la connaître, rire, partager des moments complices, peut-être même des projets communs. Et puis après plus rien ? Ce serait donc ça l’amour... S’ouvrir, se défaire de ses peurs, faire entrer l’autre dans son univers, le laisser toucher votre cœur et votre corps. Et puis après plus rien ? Se recroqueviller, retourner à soi, se murer dans le silence, le renvoyer si loin qu’il ne peut plus vous atteindre… Ce serait donc ça l’amour… Offrir son temps, ses sourires, ses désirs, sa curiosité, ses élans, ses pensées intimes. Et puis après plus rien ? Faire comme si rien n’avait existé, comme si l’autre perdait tout intérêt et toute valeur. Ce serait donc ça l’amour… Une question de point de vue qui oscille entre l’attraction et la répulsion, entre un cœur qui y croit et une tête qui redoute, entre optimisme et pessimisme. Ce serait donc ça l’amour… Une période de lune de miel où l’on idéalise l’autre (merci la dopamine) à laquelle succède une prise de conscience d’une réalité très pragmatique et malheureusement systématique : l’autre n’est pas parfait. C’est le moment où l’on fait le choix d’accepter cette imperfection (en s’appuyant sur les qualités du partenaire) ou au contraire où l’on veut changer son partenaire, le/la modeler pour la faire coller à notre idéal. La dernière option consistant à partir pour rêver d’une perfection qui n’existe pas... Ce serait donc ça l’amour… Un interrupteur intérieur qui permet à l’affectif de se diffuser ou non, de grandir et se développer ou à l’inverse de se rétracter pour finalement disparaître. Un interrupteur qui allume ou éteint la relation en mode On/Off, Je veux / Je ne veux pas, C’est OK / Ce n’est pas OK. Un sentiment binaire où l’on reprend ses billes au moindre accroc, au moindre indice qui nous fait penser que le conte de fée n’en est pas un... Ce serait donc ça l’amour… Construire un lien grâce à nos différences. Le détruire par l’indifférence… L’amour est tel un organisme vivant. Il ne grandit et se développe que si on l’alimente en permanence. Si on ne l’arrose pas, il meurt. Si on communique pas, il pousse de travers et finit par mourir aussi. Si on le nourrit de nos peurs, ses fruits ne sont pas comestibles. Si on en prend soin, qu’on l’accompagne, qu’on le cajole, qu’on le rassure comme un enfant, alors il s’épanouit et prend de la vigueur. Il n’y a rien à attendre de l’amour si l’on n’est pas en mesure d’y investir de sa personne, de son temps et son énergie...
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helshades · 11 months
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La pauvre Tatiana Ventôse est entrain de se prendre une douche par la gauche matrixée. On dirait limite qu'elle a conduit leurs parents à Auschwitz.
Je pense qu'ils font une réaction épidermique au faut que ses arguments se tiennent. On pourrait répliquer sur le terrain des idées mais ça demanderait du temps, de l'énergie, de la culture historique, philosophique et politique, et un sérieux examen de conscience. Or, la plupart des militants et sympathisants de gauche ces derniers temps sont des ressortissants de la gauche-caviar et ils fonctionnent à la croyance plus qu'à la pensée. Ils ont leur credo et ça leur suffit.
J'aime mieux la dernière vidéo de Tatiana, qui est plus élaborée, plus soutenue que la précédente, et donne meilleure matière à la critique — en ce sens qu'il va falloir charbonner pour la démonter intégralement. Ce qui me fascine sans doute le plus chez la rouquine du Nord, c'est cette manie qu'elle a de ressusciter la Gauche à l'ancienne, travailliste, patriote et populaire, et qui passe aussitôt aux yeux du gauchiste moyen (j'emprunte le terme à Lénine, ça date d'un siècle avant la dernière campagne vraiment socialiste de Mélenchon) pour un discours d'extrême-droite.
C'est rigolo, quand même. Les pillards font chaque nuit la démonstration de leur inféodation volontaire au capitalisme le plus décérébré ; ils vandalisent des équipements publics et des écoles ; ils appellent au meurtre des blancs, des juifs, des homosexuels, des policiers ; ils le font généralement au nom d'une religion qui cause des ravages dans la majeure partie du monde à l'heure actuelle ; et pourtant, curieusement, la Gauche presque tout entière prend leur défense, toute prête d'ailleurs à reprendre son discours de complaisance pour réclamer que le contribuable expie une faute originelle imaginaire en payant pour restaurer le mobilier dégradé, en professant sa compassion pour les racailles qui l'accablent...
Je suis en train de me disputer dans la section commentaires de mon dernier billet avec des gens certes charmants mais que j'estime redoutablement à côté de la plaque en termes d'analyse sociopolitique de la situation française, parce qu'ils croient notamment que les Français se seraient détournés de la Gauche véritable ; or, c'est une inversion des valeurs absolument tragique quand on considère le mode de vie des uns et des autres face aux discours gauchistes.
Je vais faire pire que donner raison à Tatiana Jarzabek, je vais donner raison à François Asselineau ! Lequel s'enquérait récemment de savoir pourquoi personne à l'Assemblée n'avait fait ne serait-ce qu'évoquer l'article 68 de notre Constitution prévoyant la destitution du Président de la République en cas de manquement à ses devoirs ? Certes, il y avait peu de chance que cela se fît mais les « Insoumis » ont déjà déposé suffisamment de motions de censure stériles pour craindre réellement l'échec législatif...
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mrlafont · 11 months
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Un de mes plus grands regrets : avoir cru que l’intellectualisation pouvait mener au bonheur, alors qu’elle n’était qu’une chimère de plus qui n’a fait que souiller tout ce que j’avais de plus spontané en moi. J’ai commencé à penser et à m’intéresser à la philosophie car je n’arrivais pas à jouir dans le monde. Ça a été le monde de la pensée comme ça aurait pu être celui de la drogue, ou tout autre chose. Mais l’effet qu’a eu cette quête spirituelle a été dévastateur sur de nombreux plans. J’ai perdu ma spontanéité, une certaine naïveté émotive, c’est-à-dire une certaine capacité à ressentir les émotions de façon totale, j’ai perdu la foi en l’avenir, mes rêves, mes illusions j’entends (et mon dieu il en faut pour supporter cette vie !) ; je suis devenu multiple car incertain, j’ai perdu une certaine unité de ma personnalité, une certaine simplicité. J’ai tout de même bien conscience que tous les mauvaises conséquences que l’intellectualisation a eu sur moi-même n’ont fait que révéler des prédispositions de mon caractère. Je repense à mon père et compare ma vie à la sienne. Il n’a jamais connu l’intellectualisation comme je l’ai connu, et il a gardé jusqu’à la fin de sa vie cette sorte de naïveté qui fait tout le charme d’une personne, dans le sens où il croyait véritablement à ce qu’il était. J’imagine qu’il y a sûrement des intellectuels qui ont gardé toute leur superbe, sûrement il doit y en avoir. Mais je juge néfaste la mise à distance des choses avec soi. Mon père me semblait véritablement connecté avec ce qu’il faisait. Il y croyait, il y projetait une valeur, une importance. J’ai complètement perdu cela ou presque. Et pourtant, je pense garder une certaine beauté, car la noblesse du cœur est une forteresse que la raison n’atteint pas, bien heureusement. Et cela fait mon charme, je le crois. Mais, je veux dire, que tout ce qu’il y a de beau en moi vient précisément de ce que j’étais naturellement avant toute intellectualisation. L’intellectualisation ne m’a absolument rien apporté, tout au plus une sagesse que j’aurais de toute façon probablement acquise par l’expérience de la vie. Non, vraiment, la philosophie ne m’a rien apporté. L’expérience de la vie, oui. Tout ce qu’il faut avoir, c’est l’intelligence, le bon sens, la sagesse ne doit se borner qu’à cela. Qu’aille au diable tout le reste.
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oviri7 · 1 day
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« Il est difficile de trouver un exemple de ravage intérieur plus profond que celui de la conscience mélancolique pour laquelle le devoir devient un joug ; la volonté de pureté et d'accomplissement prend une forme impossible, sans rapport avec les forces et les conditions réelles. Elle voit la faute, où, pour tout autre, il n'y en a évidemment aucune, une responsabilité où font défaut toutes les conditions qui la déterminent. Elle applique des normes morales là où la nature est seule en jeu. Le danger qui peut naître des valeurs religieuses va peut-être plus loin encore. Le don de soi au sacré, le désir d'accueillir le divin dans sa propre vie, l'effort pour réaliser le Royaume de Dieu - rien que des tendances dont on pourrait pourtant croire qu'elles devraient uniquement libérer, dilater, élever - tout cela peut, chez le mélancolique, conduire à tous les modes d'angoisse et de désespoir, jusqu'aux formes ultimes du fanatisme ou de l'illusion que l'on est damné, ou de la révolte contre le sacré. »
Romano Guardini - De la mélancolie
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Tout ce qui semble rester de féminin aux féministes actuelles, c’est leur sexe.
Une femme n’est femme que par rapport à l’homme, l’affirmation du réel de la différence sexuelle constitue la possibilité humaine en tant que telle, l’écart entre femmes et hommes ne dépendant pas directement de la répartition des organes génitaux, mais du rapport du sujet au signifiant, cela a pour nom: sexuation, en psychanalyse il n’y a pas d’abord un sujet et ensuite "son" sexe, mais c’est la castration, autrement dit la césure, la découpe opérée dans le corps par le signifiant qui cause le sujet à proprement parler ... en le faisant causer.
Que la différence sexuelle soit réelle, cela signifie qu’elle est impossible, impossible à imaginer, impossible à dire, impossible à réduire à une pure séquence symbolique.
Essayons cependant de saisir comment peut se manifester la division sexuelle à partir de la formule lacanienne «le désir de l’homme est le désir de l’Autre»:
Du côté masculin, les choses sont plutôt simples, le plus souvent simplistes: «le désir c’est le désir de l’autre» signifie d’abord la compétition, l’envie, la concurrence: je veux ça parce que toi tu veux ça, tant que tu voudras ça, je le voudrai aussi, ce qui confère a priori sa "désirabilité" à un objet, c’est que quelqu’un d’autre le veuille ; l’objectif final est ici la négation de l’Autre (ce qui in fine ferait perdre toute valeur à l’objet, mais c’est précisément le paradoxe du désir envisagé du point de vue masculin...)
Du côté féminin, «le désir est le désir de l’Autre» s’entend plutôt: ce que je désire, je le désire à travers l’autre, à la fois dans le sens de: «laisser le soin à l’autre de le faire, posséder et jouir pour moi...» (mon mari, mon fils, mon amour, qui obtiennent satisfaction pour moi...) ; et aussi dans le sens de «mon désir est ce qu’il désire, la satisfaction de son désir comblera mon désir...», Antigone, par exemple, désire satisfaire au désir de l’Autre, en accomplissant le rituel funéraire pour son frère...
La thèse qui en découle: que l’homme tendrait à agir directement en assumant son acte, tandis qu’une femme préfère agir par procuration, laissant l’autre faire à sa place – ou plutôt manipulant l’autre pour qu’il fasse... – peut apparaître ici comme un cliché donnant corps à la fameuse image de la femme dissimulée derrière chaque homme qui agit...
Et si pourtant ce "cliché" était ce qui permet de comprendre la dimension purement féminine de la notion même de sujet? Et si le geste constitutif du sujet qui émerge de sa gangue subjective n’était pas cette forme masculine d’auto-affirmation par déni de l’altérité de l’Autre, mais bien plutôt la substitution féminine primordiale qui laisse l’Autre faire pour moi, à ma place?
Les femmes, bien plus que les hommes, n’ont-elles pas cette capacité de «jouir par procuration», éprouver une intense satisfaction dans la conscience aiguë que leur «bien-aimé» jouit ou réussit d’une manière ou d’une autre à atteindre ses buts?
En ce sens précis, la «ruse de la raison» hégélienne repose sur la nature constitutivement féminine de ce que Hegel a appelé «raison».
La raison qui se cache tout en se réalisant elle-même dans l’apparente confusion des motifs et des actes égoïstes apparaît donc comme une variante hegelienne de la célèbre formule : «Cherchez la femme!», nous permettant ainsi de restituer sa complexité originelle à l’opposition courante entre l’homme «actif» et la femme «passive» ; une femme peut bien continuer à paraître passive tout en étant réellement active à travers l’Autre, tandis que l’homme peut bien se persuader qu’il se montre actif pendant qu’en vérité, il ne fait que subir sa passivité, déniée, à travers l’Autre...
Rappelons à toutes fins utiles que la fin d’une analyse menée jusqu’à son terme logique aura permis au sujet d’assumer "la position féminine" pour les deux sexes, ce que Lacan traduira par: accepter de se faire la dupe du Discours Analytique…
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gerceval · 1 year
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oui arthur a un syndrome de l'imposteur au début de son règne mais c'est pas que puisque les dieux l'ont choisi il est forcément plus humble ou jsais pas quoi, c'est qu'il a conscience que ça n'a pas de sens qu'on lui ait dit d'abord que sa vie n'avait pas de valeur puis que sa vie était la seule qui ait une valeur avec zéro transition entre les deux... forcément qu'il se sent pas légitime vu qu'on lui a dit pendant toute son adolescence qu'il était pas légitime, c'est pas seulement une question morale c'est une question socio-économique lol
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details-beast · 2 months
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34 - "L'espace vide"
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Je me devais de commencer par une référence à cet ouvrage de Peter Brook, L’Espace vide, car une partie de mes réflexions est liée à son titre. Je vais y ajouter cette citation : « Je peux prendre n’importe quel espace vide et l’appeler une scène. Quelqu’un traverse cet espace vide pendant que quelqu’un d’autre l’observe, et c’est suffisant pour que l’acte théâtral soit amorcé. »
Donc avec peu, même un acte simple devient éloquent. Un rien peut déjà exciter l’imagination du public car au milieu du vide, chaque chose qui apparaît prend de la valeur, un geste devient important, un regard devient essentiel, un seul mot devient une histoire.
Au milieu du vide, oui, mais pas dans une patinoire remplie d’idées et d’individus !
En réalité, je profite des réflexions de Brook sur la magie de créer du théâtre à partir de rien pour mettre les pieds dans le plat sur la question de nos entrées excessives sur scène. Pour que cette magie opère il faut de l'espace et du temps. Dans le match d'improvisation, les scènes durent en moyenne 3 ou 4 minutes pour 12 personnes qui doivent déjà gérer leurs peurs, leurs envies, leur névrose, leur besoin de reconnaissance ou simplement leur envie débordante de s'amuser... et parfois il y a un équilibre qui se fait tout seul : certains rentrent plus, et d'autres moins. On arrive tout de même à une moyenne de 6 ou 7 comédiens par scène pour un spectacle qu'on a estimé bon, et on ne compte même pas combien de fois ils sont intervenus pendant les scènes. Ça fait une personne qui rentre toute les 30" à peu près.
J'ai beaucoup de mal à me dire que ce qu'on propose est vraiment bon quand le temps d'échange avec le partenaire (s'il y en a un) n'atteint pas la minute.
On a pourtant plein de bonnes raisons de venir faire une proposition sur scène. Prenons quelques exemples de présences ou d'entrées en jeu :
Les leads
Les scènes à plusieurs (d'entrée de jeu - en comparée par exemple)
Les entrées pour apporter une info ou une précision
Les propositions sonores
Les propositions visuelles
Les entrées courtes, longues ou récurrentes
Les nouveaux personnages
Notez que je ne m'intéresse pas ici à la qualité ou à la pertinence des entrées en scène, mais plutôt à l'impact de ces entrées sur la dynamique d'une scène, puis sur celle du match. Je parlais plus haut du besoin de temps et d'espace pour les leads. Les autres comédiens devraient en théorie être à l’affût de ce qui se dit et de ce qui se fait pour pouvoir nourrir la scène. La durée du passage ne change rien au fait qu’on a besoin de temps pour jouer la proposition et aussi de profiter des changements qu'elle a pu apporter. De fait, quand vous entrez en jeu, vous laissez moins le temps à d'autres - et notamment aux leads, de le faire dans de bonnes conditions, c'est-à-dire de profiter de ce qui est proposé, dans une scène qui respire un minimum. On voit assez régulièrement les propositions s'enchaîner pendant que les leads traitent les informations sans pouvoir faire exister leurs personnages, leurs réactions et leurs relations.
Il faut voir dans quel état est l'improvisateur sur le bord de la patinoire aussi : est-il conscient que la scène pourrait avoir besoin de soutien ou d'enrichissement, ou est-il en train de se demander comment entrer pour faire quelque chose ? Si je force le trait : sommes nous disponibles et désireux de faire briller la scène et nos partenaires ou attendons nous seulement le moment de prendre la lumière ? Il y a une citation qui dit que le problème est qu'on n'écoute pas pour comprendre, mais pour répondre. Il n'est alors pas étonnant d'observer ce comportement sur scène, mais il faut en prendre conscience pour pouvoir tendre vers une écoute de qualité.
Je me permets quelques lignes sur la mixte, qui est une belle synthèse de ce qu'est l'improvisation dans sa forme la plus pure... et la plus basique : à la fois un total abandon de soi dans la proposition de l'autre, mais aussi un désir d'offrir une proposition qui nous fasse sincèrement plaisir. Offrir son univers, et s'abandonner sans retenue dans celui de l'autre - évidemment aller jouer à fond la proposition de l’autre n’implique pas de lâcher la nôtre ni d’arriver « vide »…
Et on n'a pas besoin de 30" avant de jouer avec l'autre... pour autant, on peut aussi laisser à l'autre le loisir de prendre ce temps-là (il faut arrêter de se jeter systématiquement sur l’autre d’entrée de jeu, sauf si c’est un vrai choix plutôt qu’un mauvais réflexe).
L'improvisation, c'est un saut dans le vide, pas une méthode pour jouer avec soi-même dans sa zone de confort. La technique, l'expérience et l'entrainement sont censés renforcer le lien avec ce vide et avec l'autre. MAIS, c'est aussi une manière d'affirmer son univers... nous ne sommes pas à un paradoxe près; pour autant, s'il fallait trancher, je dirais que cet art se trouve entre nous et "l'autre", quel qu'il soit. Ni entièrement centré sur soi-même, ni entièrement centré sur l'autre.
Mais soyons honnêtes, les gens sont plus souvent auto-centrés qu'ils ne font preuve d'un immense altruisme en jeu. Je vais quand même ajouter : "charité bien ordonnée commence par soi-même", car avant de se plaindre de quelqu'un, il vaut mieux d'abord bien regarder comment on gère ses propres entrées.
Quid des premiers arrivés sur scène ?
Bien entendu il est facile de taper sur ceux qui rentrent trop rapidement, mais il y a aussi de bonnes intentions dans ces entrées. Une des raisons les plus communes : on a parfois la sensation que la scène s'enlise, traîne en longueur ou que les leads ne savent pas quoi jouer. Faisons déjà l'effort de nous souvenir qu'une minute... eh bien... c'est court en réalité. La scène avait-elle réellement besoin qu'on entre rapidement ou avons nous simplement été impatient ? A force d'entraînement, nos cerveaux vont plus vite, les idées fusent, les réflexes sont affûtés, mais notre capacité à attendre s'en trouve également affaiblie. Comme dit Selena Hernandez : « pensez vite, jouez lentement ». Prenez le temps de jouer vos idées, personne n'a envie de venir couper votre élan si vous êtes en train de développer clairement quelque chose. Elle posait également la question : « la scène a-t-elle besoin de vous ?
Non - Alors n’y entrez pas, ce n’est pas nécessaire.
Oui - Alors n’y allez pas, vous y ajouteriez de la confusion.
Apprenons à retenir les chevaux, en somme…
Ajoutons à cela la peur du "retard de jeu". A mon sens, se dépêcher d'ajouter une information ou une action pour fuir cette faute est aussi dommageable que d'étirer une action ou un échange vide de sens.
"Oui mais il y a aussi des débuts de scène éééééclatés et on fait bien d'essayer de sauver ses camarades et le public (oui... hein ?!)"... mais on a probablement cette sensation qu'il FAUT intervenir un peu trop souvent. En réalité il y a matière à réfléchir dans cette citation totalement fictive.
Les leads ont une responsabilité importante : ils posent les premières pierres de ce que sera la scène, dans sa couleur, ses promesses et ses possibles. Ils ont le pouvoir, en quelques secondes, de faire exister un lieu, des personnages, des caractères, et personnalités, des relations, du background (par l'état des personnages ou par des informations), du contexte, des enjeux et de la mise en scène. Se tenir debout à mi-distance et échanger des informations n'est pas suffisant. On a besoin, la plupart du temps, d'ouvrir nos imaginaires et d'offrir des prises de jeu à nos partenaires. Les silences ne peuvent pas être vides, mais les échanges de paroles non plus. Il faut qu'on puisse s'imaginer quelque chose de plus que ce qui se dit ou ce qui se voit. Et si tout est clair, et bien il faut qu'on puisse profiter et de ce qui se joue. Une belle scène n'a pas nécessairement besoin de surprise, si elle est jouée avec intention et présence. C'est déjà captivant pour le spectateur de s'imaginer ce qui traverse un personnage. S'il est bien campé, il ne peut pas se retrouver à court d’idées en quelques minutes et encore moins en quelques secondes - et bien campé implique qu'on trouve à jouer à travers son personnage et son point de vue, mais également qu'il offre aux autres de quoi jouer. Si vous avez un personnage très marqué et que vous êtes si raide que c'est systématiquement à l'autre de s'adapter à vous, peut-être que votre personnage n'est pas très bon puisqu'il vous enferme au lieu de vous ouvrir.
Mais concrètement, comment poser quelque chose de suffisamment complet pour que l’on n'ai pas besoin d’entrer ? La question n’est pas simple mais je crois que si l’on n'a pas la sensation que les leads tissent quelque chose qui évolue, on va plus facilement s’autoriser à entrer. Dans le doute, affairez vous à dessiner votre personnage et celui de votre partenaire : qui êtes-vous ? Quelle est votre relation avec l’autre ? Que partagez vous ensemble ? Utilisez des anecdotes et de l’écoute active pour créer du lien. Si l’on ne connaît pas vos personnages, on se moque de ce qui peut leur arriver ensuite !
Il y a des scènes qui ont besoin de gens, de passages, de rythme et de simplicité. Il y a des scènes absurdes où tout va vite et ou les incompréhensions peuvent être jouissives à vivre et à voir. Mais quand on a un spectacle qui offre de la diversité de thèmes et de styles, et l'embarras du choix pour le nombre de comédiens sur scène, je crois qu'on devrait en profiter un maximum pour créer de la variété dans ce qu'on propose, au lieu d'avoir un enchaînement de scènes quasi identiques en rythme et en couleur. Changer de catégorie n'est pas suffisant non plus, si on joue tout dans la même énergie.
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Enfin, moi aussi j'aime entrer en jeu... j'ai envie d’entrer tout le temps, mais je ne le fais pas à outrance : non pas par sacrifice, mais parce que je veux être cohérent avec ma vision de cette variété. C'est une réflexion que je me suis faite il y a des années alors que j'avais moi-même pris une remarque sur mon excès de propositions ! On a tous une responsabilité par rapport à ce que va être le spectacle, et même s'il peut y avoir des gestes ou des mots brillants qui sauvent une scène, personne ne peut sauver un spectacle tout seul. On doit le rendre bon ensemble, c'est ça la magie de l'impro, et c'est aussi ce qui le rend fragile et difficile. J'essaye de ne pas oublier que monter sur scène est quelque chose de précieux, qu'on a de la chance de pouvoir le faire pour s'amuser devant un public et avec nos partenaires.
Faisons en sorte que l'espace de jeu ne soit plus vide, mais rempli de possibles grâce à nos connexions visibles et invisibles.
Remember... Less is More !
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Octidi 8 Germinal an CCXXXII
(Mercredi 27 mars 2024 / Wenesday, March 27th, 2024)
🇨🇵 Texte en français et en anglais / Text in French and English 🇬🇧/🇺🇲
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Le calendrier républicain, adopté pendant la Révolution française, était une tentative de rompre avec le passé monarchique et catholique en instaurant un système de mesure du temps basé sur les valeurs républicaines et agricoles. Chaque jour du calendrier républicain était dédié à une plante, un animal, un outil ou un événement symbolique, reflétant ainsi les idéaux de la Révolution.
Le mois de Germinal dans le calendrier républicain français représente le renouveau et la vitalité de la nature au printemps. Du 20 mars au 19 avril, Germinal est le mois où la terre se réveille de son sommeil hivernal, où les bourgeons éclosent et où les premières fleurs colorent les paysages. Il incarne le début de la saison des semailles et le travail de la terre, symbolisant ainsi l'espoir et la promesse d'une nouvelle récolte. Germinal rappelle également les idéaux républicains de liberté, d'égalité et de fraternité, en invitant chacun à contribuer à l'essor de la société et à cultiver un avenir meilleur.
Le 8 Germinal dans le calendrier républicain était une journée dédiée à la jonquille, une fleur qui revêtait une symbolique particulière dans l'imaginaire collectif de l'époque révolutionnaire.
Cette journée était l'occasion de célébrer la nature et le renouveau qu'apporte le printemps, symbolisé par l'éclosion des fleurs. La jonquille, avec ses pétales jaunes éclatants, représentait à la fois la beauté et la résilience. Malgré sa délicatesse, elle poussait souvent dans des conditions difficiles, rappelant ainsi la force et la détermination du peuple.
Au-delà de sa symbolique esthétique, la jonquille était aussi associée à des valeurs républicaines fondamentales. Elle évoquait la lumière et l'espoir, rappelant aux citoyens les idéaux de liberté, d'égalité et de fraternité qui avaient guidé la Révolution française.
La journée du 8 Germinal était également l'occasion de sensibiliser à la préservation de la nature et à la nécessité de protéger la biodiversité. En mettant en avant la jonquille, les républicains encourageaient la prise de conscience de l'importance de préserver notre environnement pour les générations futures.
Ainsi, la célébration de la jonquille le 8 Germinal était bien plus qu'un simple hommage à une fleur. C'était un rappel des valeurs républicaines, un moment pour contempler la beauté de la nature et réaffirmer notre engagement envers la préservation de notre planète.
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The Republican calendar, adopted during the French Revolution, was an attempt to break with the monarchical and Catholic past by establishing a system of time measurement based on republican and agricultural values. Each day of the Republican calendar was dedicated to a plant, an animal, a tool, or a symbolic event, thus reflecting the ideals of the Revolution.
The month of Germinal in the French Republican calendar represents the renewal and vitality of nature in spring. From March 20 to April 19, Germinal is the month when the earth awakens from its winter slumber, when buds open, and when the first flowers color the landscapes. It embodies the beginning of the sowing season and the work of the land, symbolizing hope and the promise of a new harvest. Germinal also recalls the republican ideals of liberty, equality, and fraternity, inviting everyone to contribute to the development of society and to cultivate a better future.
On the 8th of Germinal in the Republican calendar, a day was dedicated to the jonquil, a flower that held special significance in the collective imagination of the revolutionary era.
This day was an opportunity to celebrate nature and the renewal brought by spring, symbolized by the blooming of flowers. The jonquil, with its bright yellow petals, represented both beauty and resilience. Despite its delicacy, it often thrived in challenging conditions, reminding people of the strength and determination of the people.
Beyond its aesthetic symbolism, the jonquil was also associated with fundamental republican values. It evoked light and hope, reminding citizens of the ideals of liberty, equality, and fraternity that guided the French Revolution.
The 8th of Germinal was also an occasion to raise awareness about the importance of preserving nature and protecting biodiversity. By highlighting the jonquil, republicans encouraged awareness of the need to preserve our environment for future generations.
Thus, the celebration of the jonquil on the 8th of Germinal was more than just a tribute to a flower. It was a reminder of republican values, a moment to contemplate the beauty of nature, and reaffirm our commitment to preserving our planet.
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presentslointains · 2 months
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charleslebatman · 6 months
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Hey camarade, voici ta deuxième anon préféré qui essaie de garder son calme face à l'incompétence de Charles de vendre sa relation et faire oublier que sa copine aurait aucun soucis à voir des manifestants se faire tabasser par la BRAV-M pour essayer de protéger leurs acquis sociaux. Mais ça m'étonne pas. Ton public va m'emmener au bucher si je dis les termes donc je vais rester "diplomatique" mais tu sais ce que je pense en DM.
Alex a parfaitement conscience que ses privilèges et de la domination de sa classe sociale. Cette même classe dominante qui a fait fortune sur le travail des classes populaires. Elle a une belle vie, elle va jamais trimer aux 3 huits dans un entrepot amazon gelé. Elle n'a aucune envie de réfléchir sur les conséquences de cette réforme et à quel point elle est aux antipodes des valeurs de notre pays. J'en profite de faire un mini cours de droit constitutionnel et rappeler que notre 5eme république est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale.
Visiblement, c'est compliqué de comprendre que le conseil national de la résistance après la guerre a posé les bases de notre système de sécurité sociale.
Remettre en cause ces principes, c'est remettre en cause les fondements de notre république
Ce qu'Alex démontre, c'est une profonde inculture, un mépris de classe et l'exemple parfait du privilège de la femme riche, socialement reconnue comme belle et blanche.
Bizarrement, elle montre qu'elle a des origines mexicaines que quand ça l'arrange.
Lorsque je me suis remise à la F1 en 2022, j'ai été révolté de l'accident à jeddah où la sécurité de tout le monde était en danger mais que le show must go on. C'est là que j'ai compris que le cash is king était une règle bien acquise. La sécurité des pilotes, la santé physique et mentale du personnel étaient moins importants que la profitabilité.
Charles est entouré de personnes qui n'ont visiblement aucune considération pour les personnes qui les permettent de mener leur train de vie. Pire, quand je le vois , je me demande s'il a pas une forme de honte de sa classe sociale d'origine et qu'il tente par tous les moyens de paraitre comme un homme qu'il se sera jamais.
Il est devenu incapable de présenter sa propre personnalité car je pense qu'il a peur de montrer son vrai visage.
Il chercher à se créer un personnage qui peut vendre au plus offrant
Franchement, il aurait mieux fait de s'inspirer de Vettel. Il a jamais changé, il a jamais eu honte de ses origines populaires et il a toujours gardé la tête froide. Lui rentera dans les annales du sport mécanique non seulement pour ses performances sportives mais surtout ses qualités humaines.
Mais non, Charles a préféré succomber aux sirènes de la F1 version FOM. J'espère que le chèque est bien rempli car c'est pas comme ça qu'il deviendra champion.
Translation:
Hey mate, here's your second favorite anon trying to keep her cool in the face of Charles' incompetence to sell his relationship and make people forget that his girlfriend would have no problem seeing protesters beaten up by the BRAV-M for trying to protect their social gains. But I'm not surprised. Your audience will take me to the woodshed if I say the words so I'll keep it "diplomatic" but you know what I think in DM.
Alex is perfectly aware of his privileges and the domination of his social class. The same ruling class that made its fortune on the labor of the working classes. She's got a good life, she's never going to slave away at the 3 o'clock shift in a frozen Amazon warehouse. She has no desire to reflect on the consequences of this reform and how it is the antithesis of our country's values. I'd like to take this opportunity to give a mini-lecture on constitutional law and remind you that our 5th republic is indivisible, secular, democratic and social.
It's obviously hard to understand that the post-war National Council of the Resistance laid the foundations for our social security system.
To call these principles into question is to call into question the very foundations of our republic.
What Alex demonstrates is a profound lack of culture, class contempt and the perfect example of the privilege of the rich woman, socially recognized as beautiful and white.
Strangely, she only shows her Mexican origins when it suits her.
When I got back into F1 in 2022, I was outraged by the accident in Jeddah, where everyone's safety was at risk but the show must go on. That's when I realized that cash is king is a well-established rule. The safety of drivers and the physical and mental health of staff were less important than profitability.
Charles is surrounded by people who obviously have no regard for the people who enable them to lead their lifestyle. Worse, when I see him, I wonder if he isn't ashamed of his original social class and tries by all means to appear as a man he will never be.
He's become incapable of presenting his own personality because I think he's afraid to show his true face.
He seeks to create a persona that can sell to the highest bidder.
Frankly, he would have done better to take inspiration from Vettel. He never changed, he was never ashamed of his working-class origins and he always kept a cool head. He'll go down in the annals of motorsport not only for his sporting achievements, but above all for his human qualities.
But no, Charles preferred to succumb to the sirens of the F1 FOM version. I hope the cheque is well-filled, because that's not how he'll become champion.
So let me make two or three things clear. One, this anon is mostly a Ferrari fan, of the team before the drivers. More of the old generation, as opposed to the new one which I see more in the opposite, and I think who brought the fanaticism. They may seem very harsh in their words, towards Charles, when you're a fan of his. But it's more the system in the end that they're here to denounce.
And I want to add a little something about Vettel, I admit I agree with a lot of what this bestie says. But not all of it. There are a lot of rumors and rumors about Vettel, when he was at Redbull, that apparently he also conformed in the end to this very conservative system. But it's over the years that he's been able to assume his ideas and his open-mindedness that he's managed to forge himself. If I’m not wrong, correct me if I’m. 🙃
So now I let you with this ask. Tumblr, Insta and all media aren’t not the real life, hopefully. 🫶
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albad · 1 year
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Le cyclone de la spéculation financière a achevé d'araser les valeurs du passé, tant humaines qu'inhumaines. Aucune croyance, aucune idée, aucun comportement n'a résisté au flux monétaire.
Tout s'annule en s'échangeant contre n'importe quoi au profit de la seule valeur absolue : l'argent.
Un argent fou qui tourne sur lui-même et dévaste la planète dans sa quête frénétique du profit à court terme.
L'absurde dictature de l'agiotage a instauré le règne d'un mercantilisme « des derniers jours », un mercantilisme apocalyptique, dont la course au néant affole et enténèbre les corps et les consciences.
LETTRE À MES ENFANTS ET AUX ENFANTS DU MONDE À VENIR - Raoul Vaneigem.
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