-lovers-
here are the other parts : (1) , (2)
summary : after the kiss you and charles talk about what is between the two of you...
PAIRING : charles leclerc x fem!reader
WARNINGS : badly translated french
note : wrote this, while watching the monaco gp qualifying. Sorry if there are mistakes
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You stepped away from charles, so your lips couldn't touch anymore. You looked at his face, his eyes, with confusion. What was happening ? Just as you wanted to say something, he interrupted you.
"Y/n I need you to love me, like I love you. I need you to hold on to me, like I hold on to you. I need you to need me. Because this would mean, you can't see the possibility without me. Just like I do with you. "
Speechless. That was what you were. You didn't know what was happening. Just three weeks ago you hated each other, well you didn't hate him, you just thought he hated you. But you were so wrong.
You wanted to say something again, but he put his finder on your lip to silence you.
"You have no idea how far I would go for you, ma jolie fille." charles said, putting a wet piece of your hair behind your ear. My pretty girl.
"Je te donnerais la lune et les étoiles et tout un putain d’univers, si cela signifiait que tu es la femme la plus heureuse du monde." I would give you the moon and the stars and a whole fucking universe, if it would mean you are the happiest woman alive.
In the sky, the clouds started clearing up, as your mind cleared up too, which left you with only one question in your mind. You were stunned. The words charles said, and your heart jumped in your chest.
"You taste like the sweetest drug, mon couer. Like my dearrest addiction" charles growled. "created only for me."
Your breathing started going faster, as you heard his words. Your pulse beating faster by every second that passed. Maybe he was your drug, that you couldn't have enough of.
"God. I can't get enough of you." He rasped. "Everyone says drugs are your death, tell me why I feel so alive when I see you or when I'm with you."
"I... I don't know what to say." you stuttered. "Only that..." you swallowed, took a deep breath and continued. "I think I should go."
Charles bent down to your neck and groaned, as you said that. "You're it for me, baby. It's okay if you're not ready for me yet. Je t’attendrai pour l’éternité s’il le faut, mon coeur." I will wait for you for eternity if I must, my heart.
"I will wait a lifetime for you if I must." Charles lifted his head to look into your eyes. In them was, confusion, love and most of all, adoration. Then he whispered. "You are worth all the waiting."
At that moment, Charles thought, that was the end. That you had made up your mind and that you didn't want him or the relationship. But then you kissed him.
You moaned in his mouth when charles pulled you even closer to him.
"À partir de maintenant, je ne te laisse jamais partir. Jamais. Aujourd’hui, j’ai vu que tu es la seule chose dont j’ai besoin. La course est importante pour moi, mais vous êtes aussi important que la course." From now on, I'm never letting you go. Never. Today made me see that you are the only thing that I need. Racing is important to me, but you are as important, as racing.
You stepped away from his, to say. "Alors, tu vas me demander d’être ta petite amie ou quoi?" Charles chuckled at your aswer, pulling you close to him, pulling your chin up, so you could look at him. So, are you going to ask me to be your girlfriend or what?
"Y/n, mon coeur. Est-ce que tu me donnes l’honneur et que tu es ma petite amie ? " Y/n, my heart. Do you give me the honor and be my girlfriend?
"I'm not sure. Let me think about it" you answered with a small smirk on your lip, as you saw charles jaw drop.
"oui. I will be your girlfriend, charlie"
Charles composted himself, putted on hand on your waist and the other on your cheek, cradling in the process. You looked in his eyes, seeing happiness. And he looked in yours and saw adoration.
That's when Charles realized, he would do everything for you. No matter the consequences.
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Ils ne sont pas tous les mêmes.
On m'a demandé l'autre jour si j'étais une féministe, j'ai répondu que non j'écris pour toutes les personnes qui méritent qu'on écrivent des lignes en leur faveur.
Aujourd'hui j'aimerais justement écrire pour une certaine catégorie d'hommes.
Ces hommes braves, acharnés de travail sans jamais se plaindre, ambitieux, visant la lune et arrivant à la décrocher.
Ces hommes qui ne se laissent pas perturber ni par les événements ou les tentations, qui ne perdent jamais de vue leur objectifs.
Ces hommes qui savent ce qu'ils veulent et ne veulent pas, ne perdent pas leur temps et n'en font pas perdre aux autres.
Ceux qui n'ont ni le temps ni la patience et encore moins le niveau de faire défiler les conquêtes car ils sont rassasiés et ont faim de stabilité et de sérénité.
Ces hommes respectueux qui ne sont pas médisants au sujet des autres ou du passé, qui s'assurent de ne jamais faire de mal ou du moins essayent.
Ces hommes intégres et honnêtes qui feront de bons pères et de bon maris ainsi que des exemples à suivre.
Ces hommes formidables qui vont au bout de leur rêve sans détruire ceux des autres, qui voient loin et finssent par y arriver à force de patience et de persévérance.
Ces hommes droits, qui ne se fient pas aux comerages et aux qu'en dira t-on, qui préfèrent se faire leur propre opinion.
Ces hommes aimants, capables de couvrir d'un amour sans limite une femme, une soeur, une mère, un enfant.
Ces hommes qui nous font écrire des lignes d'amour et d'espoir, qui allument des étoiles dans nos yeux, ces hommes qui donnent envie aux femmes d'être meilleures et de se surpasser.
Messieurs on croise rarement des textes dédiés à la gente masculine, je voulais donc vous rendre hommage, vous les exceptions qui cassez la récurente phrase : "ils sont tous les mêmes", c'est vrai que nombreux sont décevants mais heureusement que d'autres changent totalement la donne.
Source Lis Moi L'esprit
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Changement
C’était un simple crush, une histoire d’une nuit. Mais au matin, Manon se leva, encore vêtue de son t-shirt déchiré. La rouquine prépara ses pinceaux et invita Paul à la rejoindre. Elle trouvait son visage si charmant qu’elle voulait garder une trace. Dès lors, elle dessina son portrait, usant de la peinture et du temps. Son coup du soir demeurait nu, assis sur une chaise, prenant une position sérieuse et intime. Contrairement à l’artiste qui, sans complexe, n’hésita pas à garder les cuisses ouvertes. D’ailleurs, Paul ne pouvait que profiter de son sexe rasé et sa poitrine généreuse à peine voilée par le tissu blanc de son maillot.
Manon peignait, profitant de son inspiration. Elle dessinait magnifiquement mais ne souhaitait pas exposer ni vendre ce nouveau tableau. Contrairement à ses habitudes, celui-ci n’était qu’une envie, un moment de plaisir, un cadeau pour remercier Paul pour cette jolie nuit passionnée.
Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau, dit-elle.
Paul sourit à cet instant. Cependant, constatant que Manon arrêta de peindre tout en présentant un regard sérieux. Il comprit qu’elle ne voulait pas qu’il bouge, y compris dans la mimique.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Non, répondit-il après une hésitation.
Il avait peur qu’elle rate son œuvre parce qu’il aurait remué les lèvres. Toutefois, elle arrêta de peindre et regarda son amant avec étonnement. Dès lors, il se sentit obligé de se justifier.
Je préfèrerais changer ma vie entièrement…Parfois, j’ai l’impression d’avoir loupé quelque-chose. Que ça ne s’est pas passé comme prévu. Rien ne me plait dans cette vie.
La jeune femme écoutait avec attention. Elle comprenait ce qu’il ressentait. Elle avait bientôt 40 ans, pas d’enfant et une vie, pourtant magnifique, mais triste. Elle avait vécu des moments de galère avant la reconnaissance. Cependant, elle sait que la galère peut revenir à tout moment. Et oui, elle aussi, aurait voulu changer sa vie, si elle le pouvait. Paul interrompit sa perdition soudaine. Aussitôt, Manon se remit à peindre.
Le soir venu, le tableau n’était pas encore fini. Paul proposa de revenir le lendemain soir, car il devait rentrer chez lui. Personne ne l’attendait si ce n’est une pile de dossiers pour le boulot. Il s’habilla puis sortit après avoir embrassé langoureusement Manon.
Dehors, il faisait déjà nuit. Le ciel magnifiquement dégagé, se voilait d’un tapis d’étoiles. Paul marcha longtemps, en repensant à leur discussion sur leur vie. Il se demandait si ce n’était pas l’occasion de se ranger, arrêter des histoires sans lendemain et enfin, de pouvoir vivre une vraie histoire d’amour. Il leva la tête pour admirer la lune. Tout à coup, il aperçut une étoile filante. Cette dernière laissait derrière elle, un éphémère trait argenté. Puis il entra dans son appartement et s’endormit en oubliant cette belle journée.
Chéri, tu vas être en retard !
Paul regarda avec des yeux exorbités la belle brune qui se promenait en jogging dans sa chambre. Elle ouvrit la porte d’une armoire qu’il n’avait jamais vue. Un coup d’œil par la fenêtre, il n’était pas dans son logement. Lui qui, d’ordinaire, voyait une petite cour, se trouvait à découvrir une avenue ou un boulevard. Il se leva, approcha de la femme qu’il ne connaissait pas. Il allait poser une question lorsqu’il entendit parler. Dès lors, il approcha de la cuisine. Deux petites filles, assises autour d’une table, mangeaient une tartine et buvaient un bol de chocolat.
Bonjour papa ! dirent-elles en cœur.
Hé bien Paul, tu ne t’habilles pas ? Tu vas être en retard.
Et toi, tu ne travailles pas aujourd’hui ? demanda Paul.
Elle sourit à sa question Cependant, ce n’était pas la première qui lui venait en tête. Mais il ne savait pas comment expliquer qu’il y avait erreur. Il n’était pas marié, n’a jamais eu d’enfant. Et brusquement, il se retrouvait avec une femme et deux gamines dans un appartement qui ne lui disait rien.
Tu sais bien que le mardi, je suis en télétravail, annonça la femme.
Elle pria les filles de prendre leur cartable et les accompagna jusqu’à l’école. Pendant ce temps, Paul se lavait puis quittait à son tour l’appartement pour rejoindre son bureau.
Durant tout le trajet, il interrogea son esprit. Comment était-il possible qu’il ait changé de vie en une nuit ? Les vœux se réalise-t-il ? Il n’avait pas changé d’apparence. Il n’avait pas pris la vie d’un autre. Il était bien lui, mais ne comprenait rien de ce qu’il lui arrivait.
En entrant dans le hall, l’hôtesse d’accueil le regard avec insistance. Paul passa, comme tous les jours, montrant un grand sourire et en disant bonjour. Il partait en direction de l’ascenseur pour rejoindre son bureau minable, encerclé de cloisons qui n’empêchait pas d’entendre les discussions de ses collègues. Seulement, il fut arrêté.
S’il vous plait, monsieur ! Avez-vous rendez-vous ?
Je travaille ici, répondit Paul avec étonnement. Vous ne me reconnaissez pas Mathilde ?
Surprise d’entendre son prénom de la bouche d’un inconnu, Mathilde resta bouche bée. Puis, elle reposa la question. Paul continuait d’affirmer qu’il travaillait dans cette entreprise depuis quatre ans. Finalement, il demanda qu’on appelle son collègue de bureau.
Norbert n’avait pas changé. Petit gros, les cheveux gris, il sortit de l’ascenseur avec son air patibulaire connu. Il commença par engueuler Mathilde tout en dévisageant Paul et un agent de sécurité. Et quand Paul le salua. Il chercha dans son esprit s’il l’avait déjà rencontré.
Non, désolé, je ne vous connais pas, dit-il. Et ne m’appelez pas pour ce genre de foutaise…Déjà que j’étais en pleine réunion !
Il partit sans écouter les appels de Paul. Celui-ci, sentant qu’il n’était pas le bienvenu, quitta le hall surveillé de près par la sécurité. Toutefois, une fois dans la rue, son téléphone sonna. L’écran afficha un nom qu’il ne connaissait pas. Cependant, il répondit et entendit une voix d’homme
Bonjour Paul, Vous allez bien ? Parce que vous ne nous avez pas prévenu de votre absence.
Oui, ça va. Mais je devais aller où ?
Bin, à la Sorbonne. Vous avez votre cours.
Choqué, il attendit et n’eut pas le temps de parler.
Vous êtes sûr que vous allez bien ? Je peux annuler vos cours de la journée.
Non, ça va. Je...j’arrive.
Paul prit le métro et descendit à Maubert-Mutualité. Il remonta la rue et entra dans l’université par la porte principale. Il ne savait pas où aller ni quoi faire. Il resta hagard jusqu’à ce qu’il croise un étudiant qui le salua. Dès lors, il profita de la discussion pour en savoir plus. Et il apprit ce qu’il n’aurait jamais pensé. Il était professeur de grec ancien.
Après avoir écouté le jeune érudit. Paul s’arrêta devant une salle de cours. Une vingtaine d’élèves attendait patiemment tout en discutant. Son entrée imposa le silence. Il posa une valisette sur la table avant d’observer les étudiants. Le grec ne s’apprend pas. Il avait quelques notions mais cela datait du collège. Il prononça un bonjour obtenant la pareille de ses élèves.
Vous ai-je déjà donné un exercice à faire ? Une traduction ?
Oui, répondit un étudiant.
Immédiatement, il lui proposa de venir au tableau et de traduire le texte étudié. En écoutant, le jeune homme, Paul réalisa qu’il comprenait tout comme s’il parlait couramment le grec ancien. Il s’étonna en corrigeant lui-même quelques erreurs d’accents et de grammaire. Le cours lui parut normal, tout comme la journée.
Au moment de quitter la Sorbonne, son téléphone sonna de nouveau. C’était son épouse.
A quelle heure rentres-tu ? demanda-t-elle.
Je ne sais pas encore.
Si tu vas chez Manon, ne rentre pas trop tard comme hier, s’il te plait. Ce matin, tu m’as paru déboussolé.
Manon ?
Oui, Manon, la peintre.
Il ne s’attendait pas à connaitre déjà Manon. Dans sa nouvelle vie, c’était une amie, alors qu’il l’avait rencontrée la veille. Il se dirigea chez elle. Peut-être avait-elle des explications ? Il reconnut la rue, le même immeuble. Il grimpa jusqu’à son atelier qui servait aussi d’appartement. Il sonna et entendit crier : « C’est ouvert ».
Sans hésiter, le professeur de grec entra. Manon était assise, elle peignait un tableau. La vue de Paul s’attarda sur la raie de ses fesses, indiquant qu’elle ne portait qu’un maillot à moitié déchiré. Elle tourna la tête lorsqu’il toussa.
Oh Paul, je ne t’attendais pas. Je pensais qu’on aurait continué ton portrait demain. (Elle se leva pour faire la bise). Tu vois j’étais en train de faire quelques retouches.
Paul découvrit son portrait nu, assis comme il l’était hier. Elle proposa de reprendre où ils en étaient. Il se retira dans la chambre, se déshabilla et revint s’assoir. Manon se mit à peindre de suite.
Excuse-moi, Manon, mais, on se connait intimement pour que tu restes…
Pour que je reste à poil ? Non, on n’a jamais couché ensemble. C’est une habitude pour mettre à l’aise mes modèles. Je me mets à poil quand ils le sont. Et puis, je ne couche pas avec les maris de mes amies.
Et pourquoi, je pose nu ?
Un cadeau pour Fabienne. Enfin, c’est ce que tu m’avais dit. Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau
Paul sourit à cet instant parce qu’il avait déjà entendu Manon prononcer ces mots.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Cette fois-ci Paul ne répondit pas. Cette nouvelle vie lui paraissait plus belle.
Alex@r60 – août 2023
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