Tumgik
#or in french: plus forts ensemble
wield-the-mighty-pen · 11 months
Text
I didn’t expect to be near tears in the middle of the night listening to a song on the miraculous awakening soundtrack, but here we are...
45 notes · View notes
venusqq · 10 months
Text
i saw ladybug & cat noir plus forts ensemble at the movies yesterday AMD OMG they have me in a chokehold
1 note · View note
kumalimited · 10 months
Text
if I had to take a shot everytime a song in the French dub of the Awakening movie said "être moi/be myself" or "plus forts ensemble" I'd be dead from alcohol poisoning
25 notes · View notes
acrazybayernfan · 7 months
Note
Mick/Charles please? I miss them 🥲
(You can write it in French if you want haha 😂 but anyway I’ll never judge you for mistakes in English since I’m the first one to do them)
Thank you my dear what a nice request ! So here we go, I hope you will like it because it's a bit special (🤦🏻‍♀️)
Au château du Baron Rouge, vivaient deux gentils princes, l’un blond comme les blés, l’autre brun comme le soir, l’un aux yeux bleus, l’autre aux yeux verts, l’un est l’héritier et l’autre le prédestiné, l’un est le fils du baron et l’autre son protégé. Ils grandirent tous les deux ensembles la tête emplie des mêmes rêves, des rêves de petits de garçons, des rêves de victoires, des rêves de gloire. Puis le temps vint pour eux de quitter le vieux château et d’aller faire leurs armes auprès d’un ami du baron. 
Pendant deux ans messire Sebastian va leur apprit tout ce qu’il leur fallait savoir. 
Charles s’avéra à même de savoir tout faire d’instinct, que soit pour le maniement des armes, des chevaux, la musique ou la danse ; il excellait en tout et pour tout. Mick, plus jeune, le regardait faire émerveiller, lui auquel il fallait, en comparaison, tant de temps pour assimiler les nouvelles choses qu’on lui enseignait. Tout autre que lui aurait été jaloux de cet étranger dont le talent semblait éclipser le sien mais Mick avait le cœur trop généreux pour cela et cette âme d’or ne pouvait renfermer aucune amertume, ni aucune jalousie. Après son père et Sebastian, Charles était la personne au monde pour laquelle il avait le plus d’admiration. 
Charles fut le premier à être fait chevalier et debout dans l’église où avait lieu la cérémonie Mick suivait des yeux son ami descendant l’allé centrale éclairée par le soleil couchant qui faisait rutiler son armure en pensant que les anges devaient briller d’une pareille lumière. Le jeune chevalier monta sur son cheval, un magnifique étalon noir que lui avait offert Sebastian, qu’il fit se cabrer, imitant l’image qui se trouvait sur son écu : un cheval noir cabré sur fond de grenat. 
On se réjouit des heureux évènements de cet journée durant un banquet qui se prolongea fort avant dans la nuit. Puis au petit jours Charles se leva, revêtit son armure et fit amener son cheval. Mick n’avait pas osé s’endormir de peur que son compagnon ne parte sans qu’il ait pu lui dire au revoir, et blottit dans sa chambre il guettait le moindre bruit, prêt à s’élancer au moindre signal. Lorsqu’il entendit les pas lourds d’un homme en arme résonner dans l’escalier de la tour où ils logeaient, il se précipita hors de sa chambre juste à temps pour saisir son ami dans ses bras au moment où il arrivait devant sa porte. Charles lâcha un petit amusé en voyant ainsi son jeune camarade se jeter sur lui. Il laissât Mick l’éteindre pendant plusieurs secondes puis doucement il éloigna le corps encore frêle de son ami. Leurs regards se croisèrent et c’est alors qu’il vit que les yeux couleurs d’azur de Mick pleins de larmes. Charles sourit tristement puis il vient passer une main affectueuse dans les cheveux d’or de son compagnon de toujours. Il dit la première bêtise qui lui passa par la tête afin de réconforter le jeune garçon et ayant enfin obtenu de lui un sourire, il se détacha délicatement de Mick et poursuivit sa route. 
Le fils du baron le suivit en silence, il regarda Charles mettre ses gants, monter à cheval, saisir sa lance et son bouclier puis il s’approcha du bel étalon et se collant contre son encolure il lui recommanda de prendre bien soin de son cavalier. Après quoi il se tourna vers Charles et accrochant à sa selle un mouchoir de brocard rouge qu’il avait hérité de sa mère il dit : « Beau doux sire, que la sainte image brodée sur ce mouchoir vous protège et vous garde, et puisse-t-elle vous rappeler celui qui attendra votre retour avec plus d’ardeur encore que les fleurs attendent le retour du printemps. »
Quelques instants plus tard Charles était parti, parti à la quête d’aventure, parti à la quête de gloire afin d’honorer le nom de la grande maison des Ferrari dont il était devenu la grande espérance, il partit en attendant que quelques années plus tard Mick en face de même, pousser lui par le désir de conserver la gloire qui entourait le nom de son père. 
9 notes · View notes
fuckyeah-jessicabiel · 11 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Jessica Biel pour Eclat Magazine, Canada - Printemps 2003
FRENCH
AUX COTES DE Jessica Biel
Ex-vedette de 7th Heaven, Jessica est comblée : études supérieures, carrière en pleine ascension et un petit ami qui la dorlote.
Origines: Jessica est née au Minnesota le 3 mars 1982 et a grandi au Colorado. Elle vient tout juste de quitter l'Université Tufts de Boston pour poursuivre ses études en Californie où elle a acheté un condo.
Surnoms: Jess ou Jessie. Personne dans mon entourage ne m'appelle Jessica. C'est trop long et trop formel
Révélation: Le rôle de Mary Camden dans 7th Heaven décroché en 1996. (Désormais hors de l'équipe régulière. elle y fait quelques apparitions en tant qu'invitée.)
Où l'a-t-on vue? En adolescente rebelle dans Ulee's gold; la conquête de Freddie Prinze Jr. dans L'Amour à coup sûr; en étudiante sexuellement aventureuse dans Les lois de l'attraction.
Bientôt à l'affiche: En octobre, dans une reprise du classique Massacre à la tronçonneuse (1975). « Je suis fana de films d'horreur. Ç'a été génial de travailler sur ce projet. Le rôle et le tournage ont été les plus exigeants de ma carrière.
La proposition rêvée : jouer dans une comédie musicale à Broadway, comme Rent. (L'année dernière, elle figurait dans une production universitaire de Tommy.) *La musique a toujours occupé une place énorme dans ma vie depuis mon enfance. C'est ma plus grande passion.
Études: Aller à l'université n'est pas une question de diplôme mais, avant tout, une expérience. J'y apprends des choses que je n'aurais pas pu apprendre autrement. Enrichir mon esprit me rend plus forte..
"Quand mes cheveux m'ennuient, je change de couleur. Mais, je les teins aussi suivant les rôles. Pour l'instant, ils sont brun foncé et, dans quelques jours, je passe au blond."
Une peau superbe en cadeau : À l'âge de 12 ans, j'ai reçu de ma mère, à Noël, un ensemble de soins pour la peau. Je me souviens avoir pensé : "Me voilà une femme maintenant!". Je ne pourrai jamais la remercier assez de m'avoir montré comment prendre soin de ma peau. Aujourd'hui, je suis une vraie maniaque: nettoyant, tonifiant, hydratant, plus une crème pour le contour des yeux. Et j'applique tou- jours-toujours - une crème solaire pour la journée. »
Confidences : Mon petit ami (Chris Evans, la vedette de Pas encore un film d'ados!) a horreur du rouge à lèvres, alors j'ai adopté le baume.
Plein d'énergie : « L'exercice est un excellent antistress. J'ai l'impression de pou- voir me débarrasser de tous mes tracas si je me dépense à fond. Je fais du ballet tous les soirs-c'est épatant pour renforcer et étirer les muscles. Le jour, je cours dans Santa Monica, je-vais au gymnase ou je fais une séance de yoga bikram; j'adore ça!»
"Si vous êtes aussi fervente de la coloration que moi, il est important de revitaliser vos cheveux en profondeur. Une fois par semaine, je me couvre la tête de revitalisant que je laisse agir sous un bonnet. Parfois, je me fais donner un traitement professionnel."
Sport à gogo : J'aime presque tous les sports. Si quelqu'un joue à quelque chose, je le rejoins. J'ai joué au soccer pendant toutes mes études; j'aimerais bien faire partie d'une ligue adulte. »
Musique : « Je connais un tas de musiciens avec qui j'aimerais former un groupe. Je me fous de faire un tube vendu à un million d'exemplaires. Je veux simplement jouer de la bonne musique qui fait du bien.
Linge fétiche: Les maillots de corps pour hommes, blancs et très grands. Ça va avec tout.
ENGLISH
By the side of Jessica Biel
Former star of 7th Heaven, Jessica is fulfilled: higher education, thriving career, and a doting boyfriend.
Origins: Jessica was born on March 3, 1982, in Minnesota and grew up in Colorado. She has just left Tufts University in Boston to pursue her studies in California, where she bought a condo.
Nicknames: Jess or Jessie. Nobody in my circle calls me Jessica. It's too long and too formal.
Breakthrough: Landing the role of Mary Camden in 7th Heaven in 1996. (No longer a regular cast member, she made guest appearances on the show.)
Where has she been seen? As a rebellious teenager in Ulee's Gold; Freddie Prinze Jr.'s love interest in Summer Catch; and a sexually adventurous student in The Rules of Attraction.
Upcoming projects: In October, she will star in a remake of the classic The Texas Chainsaw Massacre (1975). "I'm a horror movie fan. It was great to work on this project. The role and the filming were the most demanding of my career."
Dream proposal: To perform in a Broadway musical, like Rent. (Last year, she appeared in a university production of Tommy.) "Music has always played a huge role in my life since childhood. It's my greatest passion."
Education: Going to university is not just about getting a degree, but primarily an experience. I learn things there that I wouldn't have learned otherwise. Enriching my mind makes me stronger.
"When I get bored with my hair, I change its color. But I also dye it according to the roles I play. Right now, it's dark brown, and in a few days, I'll go blonde."
A beautiful skin gift: At the age of 12, my mother gave me a skincare set for Christmas. I remember thinking, "Now I'm a woman!" I can never thank her enough for showing me how to take care of my skin. Today, I'm a true fanatic: cleanser, toner, moisturizer, plus an eye cream. And I always, always apply sunscreen during the day."
Confession: My boyfriend (Chris Evans, the star of Not Another Teen Movie!) hates lipstick, so I've switched to using lip balm.
Full of energy: "Exercise is an excellent stress reliever. I feel like I can get rid of all my worries if I exert myself. I do ballet every night—it's great for strengthening and stretching muscles. During the day, I go running in Santa Monica, go to the gym, or have a Bikram yoga session; I love it!"
"If you're as passionate about hair coloring as I am, it's important to deeply revitalize your hair. Once a week, I cover my head with conditioner and let it work under a cap. Sometimes, I get a professional treatment."
Sports galore: I love almost all sports. If someone is playing something, I'll join in. I played soccer throughout my studies; I would love to be part of an adult league."
Music: "I know a bunch of musicians with whom I'd like to form a band. I don't care about creating a million-selling hit. I just want to play good music that feels good."
Favorite clothing: Men's white undershirts, oversized. They go with everything.
8 notes · View notes
christophe76460 · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Briefing Spirituel Quotidien (DSB)
9 Jan 2024
FRENCH
PRIEZ POUR UNE ÉGLISE PLUS FORTE !!!
«‬‬ Voici, oh! Qu’il est agréable, qu’il est doux Pour des frères de demeurer ensemble! »
‭‭Psaumes‬ ‭133‬:‭1‬ ‭LSG‬‬
RÉFLEXION & INSPIRATION
Dieu désire voir son Église s’épanouir, non seulement en nombre, mais aussi en profondeur et en impact spirituels. En tant que chrétiens, prions pour la croissance et le bien-être de l’église et pour la propagation de l’évangile.
Nos prières pour une Église croissante reflètent notre engagement à travailler ensemble. En nous rassemblant dans la prière, nous nous souvenons de notre but commun et de notre mission en tant que membres du Corps du Christ. La prière cultive l’unité entre les croyants.
Je voudrais vous encourager à prier pour le rayonnement et l’impact de l’église sur le monde. Prier pour une église en croissance implique de tendre la main aux autres et d’avoir un impact positif sur la société. La prière est un outil puissant qui nous permet de communiquer avec Dieu et de rechercher ses conseils et ses bénédictions.
Frères et sœurs, prenons au sérieux cet appel à la prière. Cherchons avec ferveur la faveur et la bénédiction de Dieu sur l’Église, sachant que nos prières ont le pouvoir de provoquer la transformation et le réveil.
Sois béni et rappelle toi que Tu es choisi !!! « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi; mais moi, je vous ai choisis » (Jean 15 :16, LSG)
🙏🏼 PRIONS 🙏🏼
«Seigneur, tu nous as appelés à être lumière dans ce monde, à répandre ton amour et ta vérité à toutes les nations.
Seigneur, je prie pour que tu déverses ton Saint-Esprit sur notre église. Puissions-nous être une église qui rayonne dans notre communauté, démontrant ton amour et ta compassion pour tous.
Si vous voulez accepter Christ comme votre sauveur ou simplement rafraîchir votre engagement s’il vous plaît, priez avec nous: Seigneur Jésus je me repent de mes péchés, viens dans mon cœur, je fais de Toi mon Seigneur et Sauveur. Au nom de Jésus, je prie. Amen et Amen »
…/Power connexion/DG
0 notes
lillotte17 · 10 months
Text
*through gritted teeth* : Listening to Plus Forts Ensemble on repeat is a totally normal and not unhinged way to teach myself phrases in French.
0 notes
soleilnomoon · 2 years
Note
Hellooo there~ wassup~ ✨
I saw in your previous posts that.. YOU TALK FRENCH 👀 so.. I have a GIFT for ya! Idk if you're interested in this ship tho, sorry if you're not 😭✨
Il était en train de s'endormir. Une partie de lui savait qu'il ne devrait pas l'être, qu'il n'avait pas le droit d'être dans le bar après la tombée de la nuit, mais personne ne lui avait encore dit d'aller se coucher, et ses paupières étaient vraiment lourdes. Et il aimait être ici, où il faisait chaud et bruyant et où il y avait plein de gens. Il aimait le bruit et les rires, il aimait être au milieu de tout ça. Ce n'était pas aussi bruyant avant, du moins pas avant que Shanks ne commence à venir. Luffy pouvait l'entendre parler maintenant, et Makino avait ce rire doux qu'il aimait vraiment, et ils semblaient toujours se produire ensemble, ces deux choses. Il y avait quelque chose de chaud et de lourd sur ses épaules, comme une couverture, sauf que ça ne ressemblait pas à une couverture. Mais ça sentait bon, un peu comme l'odeur de grand-père quand il était en mer. Plongeant son nez dedans, Luffy appuya sa joue contre le comptoir, et espéra qu'ils ne le remarqueraient pas s'il restait vraiment silencieux. Qu'ils le laisseraient rester avec eux, là où il y a du bruit.
"On dirait que l'heure du coucher de quelqu'un est passée", a dit Shanks. "Je parie que c'est le dernier verre qui l'a fait. Le petit ne peut pas tenir son jus." "Regardez qui parle." Yasopp, mais il avait l'air loin, pensait Luffy. "J'ai aidé à porter ton cul d'ivrogne au lit plus de fois que je ne peux le compter, patron. Et vous êtes loin d'être aussi mignon que le gamin quand vous êtes bourré." "Tout d'abord, vous ne devriez avoir que la chance de me porter au lit, mon ami", a rétorqué Shanks. "Et deuxièmement, comment oses-tu ?" "Dis-lui que j'ai raison, Ma-chan." "Elle mentirait", dit Shanks, avant que Makino ne puisse répondre. "Et ça ne la dérange pas de m'emmener au lit." Puis en riant, "Tu vois ? Ce rougissement parle de lui-même." "C'est plutôt incriminant, Makino", a dit Yasopp, avant de rire bruyamment, en ayant l'air surpris. "Pourquoi tu me jettes le torchon ? Je dis juste ce que je vois ! C'est Cap qui sourit comme un pervers." "Hé ! Au moins, reconnais que je suis un pervers mimi." Encore des rires. Luffy l'entendit où il s'éleva de toute la pièce, et voulut s'enfoncer dans le son, la non-couverture semblant le pousser doucement vers le bas.
Il y eut alors du mouvement autour de lui, et de grandes mains chaudes qui touchaient ses épaules. Elles ne ressemblaient pas à celles de Makino, qui étaient beaucoup plus petites. "Oh, je vais le prendre", dit Makino. "Nan, je vais le porter en haut." La voix de Shanks, et elle semblait plus proche maintenant. "Ça ne me dérange pas." "Tu es sûr ?" "Oui, ça ira. Je connais le chemin de l'étage. Juste pour clarifier, l'enfant va dans le placard de rangement, non ?" Makino rit, comme elle le faisait à chaque fois que Shanks disait quelque chose, bien que Luffy n'ait jamais compris ce qui était si drôle. Mais si elle le trouvait drôle, alors c'était probablement ce qui importait. Shanks semblait aimer la faire rire, de toute façon.
Il sentit alors des bras autour de lui, le soulevant, et ce n'étaient pas ceux de Makino, ils étaient plus grands et plus forts. Il était trop fatigué pour ouvrir les yeux, pour demander s'il pouvait rester plus longtemps, pour dire qu'il n'avait pas sommeil, pas vraiment, sa joue se calant contre une épaule chaude, ce qui était bien mieux que le comptoir. La personne qui le tenait sentait la pas-couverture, qui était toujours enroulée autour de lui, et Luffy resserra ses mains dedans, au cas où ils auraient l'intention de la prendre. "On dirait que je ne vais pas récupérer ma cape". Encore la voix de Shanks. Cette fois, Luffy la sentit gronder sous son oreille. "C'était ma meilleure pièce de rechange. Et je t'ai donné mon préféré. À ce rythme, il ne m'en restera plus, et tu sais à quel point j'apprécie le côté dramatique d'une cape bien retournée. Tout mon personnage de cape et d'épée en dépend." Luffy l'entendit rire à nouveau, et cela semblait plus proche, aussi. Elle avait le plus beau des rires. "Je pense que vous allez survivre, Capitaine." Puis, "Et tu n'as jamais demandé à le récupérer", Makino a dit. "Je sais, mais tu été si mignon dedans ! D'ailleurs, quelles sont les chances que vous fassiez une nouvelle performance dans cet ensemble ? Sans la chemise de nuit, cette fois." Elle a fredonné, et quand elle a parlé, sa voix était un murmure. "Uhm.. Améliorées." "Vraiment ?" "Hmm." Luffy sentit sa main s'enrouler sur sa tête, avant qu'elle ne passe doucement ses doigts dans ses cheveux, tandis que Makino disait : "Tu sais, ça te va bien." Le rire de Shanks, maintenant, sonnait presque aussi doux que le sien. Bizarre. "Ouais ?" Sa voix était bizarre, aussi. Elle était vraiment basse, ce qui ne lui ressemblait pas ; Shanks parlait toujours comme s'il voulait que tout le monde l'entende. "Je vais garder ça à l'esprit." Ses doigts passant dans ses cheveux étaient vraiment agréables, pensa Luffy. Il ne voulait pas qu'elle s'arrête. "Il enlève ses couvertures dans son sommeil, alors bordes-le bien", dit alors Makino. "Hmm, ça me dit quelque chose. Sauf que tu ne trouves jamais ça mignon quand je le fais." "Parce que c'est aussi ma couverture." "Hé, je n'y peux rien si mon corps magnifique résiste à être couvert." "Non ? Tes chemises se déboutonnent toutes seules comme par magie alors ?" "Eh bien, non, c'est généralement toi qui le fait", plaisante Shanks. "Capitaine, vous voulez bien mettre le pauvre gamin au lit avant qu'il ne se réveille traumatisé ?" appela quelqu'un de l'autre côté de la pièce, avant que d'autres rires ne suivent. Les bras autour de lui se déplacèrent, et Luffy voulut protester - dire qu'il se fichait de ce dont ils parlaient; qu'il voulait juste rester comme ça un peu plus longtemps. Un léger souffle a retenti à côté de son oreille, et, "Tu es trop grand !" Makino a rigolé. Luffy la sentit bouger, comme si elle se dressait sur ses orteils, et puis il y eut des doigts doux qui repoussèrent ses cheveux, suivis d'un baiser sur son front, comme elle le faisait toujours quand elle le mettait au lit. Mais il préférait ça, quand ils étaient tous les deux présent, ensemble. Il se demandait s'il devait leur dire.
"Mon Dieu, tu es adorable", a soupiré Shanks. "Comment fais-tu pour atteindre les étagères du haut ?" "Hmm. Persistance." Un rire plus fort cette fois, même si sa voix était beaucoup plus douce quand Shanks a dit : "Ouais, je parie." Puis, toujours avec cette voix bizarre et trop silencieuse, "Ma fille persévérante. Tu sais, si tu veux, tu peux me mettre au lit plus tard." Makino a fait un bruit comme si elle s'était étouffée, et son rire suivant était différent, presque essoufflé, alors qu'elle sifflait "Shanks !". C'est étrange. Elle l'appelait habituellement Capitaine. Quand avait-elle commencé à l'appeler par son prénom ? "Quoi ?" Shanks gloussa. Luffy le sentit à travers sa poitrine, et dans l'épaule sous sa joue. "Le gamin est endormi. Et même s'il ne l'était pas, ça lui passerait au-dessus de la tête." Il voulait demander ce qui lui passerait au-dessus de la tête, mais il a oublié quand les bras autour de lui se sont resserrés, le déplaçant un peu. Ils avaient commencé à chanter, les autres, mais il oublia de protester, de dire qu'il voulait rester debout plus longtemps, qu'il n'était pas fatigué, sentant les mouvements de balancement doux d'être porté dans les escaliers, loin du bruit et du rire doux de Makino.
Il y a eu une pression soudaine sur le sommet de sa tête, et le raclage de quelque chose le long de son front, comme la barbe de grand-père, mais pas aussi touffue. Et il entendit le chant s'affaiblir, mais la mélodie restait ; Luffy entendit le bourdonnement profond quelque part au-dessus de sa tête, et le sentit sous son oreille. Il pensa : c'est agréable.
Gramps le portait parfois au lit, mais jamais comme ça. C'était mieux. Il pensa, en se rappelant de son baiser sur son front: Peut-être que c'était ça, avoir des parents. Il pensa, à moitié endormi, oubliant pour un instant tout ce qui dépassait la chaleur immédiate des bras autour de lui et le bourdonnement sous son oreille:
Peut-être que ça pourrait être comme ça, continuer à être comme ça..
Avec eux.
Pour toujours.
Tumblr media
omg how could u this was sf cute 😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😖💕💕😭 first of all i love shanks and makino, i will ship them til i die; secondly luffy thinking of them as parents??? pls my heart can’t take it & how he wanted to stay up a little longer; i also love how luffy was so observant it was a nice touch 😭😭😭😭😭 shanks flirting w makino will always be a mood so i appreciate you sharing this with me 🥹☺️😌
0 notes
pickled-flowers · 3 years
Text
Ok so here's one of the text I wrote, it's about the moment I realized I was asexual and how that impacted me, I'll put it under the cut cuz it's like 900 words (it’s in french btw)
Tu as 15 ans, Mer. Ton nom n’est pas Mer encore, mais cela viendra. Tu ne le sais pas tout de suite, mais aujourd’hui ta vie va changer.
En même temps, à ton âge, tu ne sais pas grand chose, soyons honnête. Et puis, rien dans cet après-midi de mai ne disait que quoi que ce soit de spécial s’apprêtait à se dérouler, quelque chose qui te séparerait drastiquement de la masse. Et pourtant, quelque part, tu as toujours su que quelque chose n’était pas à sa place chez toi. 
Tu te rappeleras souvent de ce moment dans les années à venir, de même que de cette fraction de seconde,quand tu avais 8 ans et que, pendant un instant, tu avais imaginé être bisexuel.le, idée cependant vite écartée d’un geste de la main, car ça serait absurde n’est ce pas? Tu es normal.e.
Tu as 15 ans, Mer, et tu as un cours d’histoire aujourd’hui. Un cours un peu différent de ce à quoi tu t’attendais, mais un cours important. Gris Montréal visite ton école aujourd’hui : deux représentants attendent dans la classe. Tu prends place à ton bureau, tu remarques un document de quelques pages brochées ensemble, innocemment posé là, devant toi. Tu le feuilletes superficiellement, ton intérêt étant très faible. Tu t’en fout un peu, comme de tout, à cette époque.
Les deux représentants commencent à parler de leurs expériences en tant qu’homme gay et femme bisexuelle, et tu n’écoutes pas. Tu n’es pas homophobe, tu n’as pas besoin d’être sensibilisé.e. Tu sais qu’il y a au moins deux homophobes dans ta classe, tu les connais, tu ne les aime pas beaucoup. Jusque là, dans ta courte vie, tu n’as jamais considéré la possibilité de tomber amoureux.se d’une femme. Tu t’en es toujours empêché inconsciemment, par peur de quelque chose que tu ne pouvais nommer. Les représentants parlent de porn, tu ne sais pas pourquoi et tu es mal à l’aise. Tu attends la fin du cours en dessinant sur ton bureau et sur des feuilles lignées.
Et puis les représentants annoncent la fin de leur discours, et ils expliquent que vous devez remplir le formulaire à des fins statistiques.
Ok, que tu te dis. C’est facile ça, ce n’est rien qui te force à questionner le fragile tissu de certitude qui te maintiens dans ta zone de normalité confortable. Alors tu t’en saisis, ton crayon à l’encre bleue n’ayant jamais quitté ta main moite, moite comme toujours car ton corps est toujours en état de stress et d’inconfort. À 15 ans, tu n’as pas encore compris que tu souffres d’anxiété.
Tu réponds aux premières questions, elles sont simples; “connaissez-vous quelqu’un faisant partie de la communauté LGBTQ+?” et tu dis oui, ton cousin Tristan, tu ne veux pas dire que toi aussi, tu penses en faire partie.
Mais c’est trop tôt, c’est trop improbable.
Mais la question suivante te fait l’effet d’un coup au ventre. “Cochez les cases qui correspondent à votre identité sexuelle et de genre”. Y’a plein de mots que tu ne connais pas, et puis ça te stresse un peu plus. Tu lèves la main. 
“Si on est attiré par personne, on est quoi?” tu demandes. Tu te trouves drôle, mais les représentants te répondent sérieusement. 
La femme dit un mot, asexuel, ça te donne le vertige. Elle t’explique ce que ça veut dire, et tu écoutes attentivement pour la première fois. Asexuel. Ça veut dire une personne qui ne ressent pas d’attraction sexuelle pour personne. Les élèves autour de toi te regardent croche, mais tu t’en fout. Ce mot là, tu l’as attendu toute ta vie. Tu te penches sur ta feuille et, fébrile, tu coches la petite case qui dit “asexuel.le”. Tu respires, tu ne t’es pas rendu compte que tu retiens ton souffle. T’as un peu envie de pleurer tellement tu es heureux.se. Le soir, quand tu rentres chez toi, tu as hâte de le dire à ta mère et à ton beau-père. Au souper tu leur dis, ton cœur bat fort, tu les imagines te sourire et être contents pour toi. Tu te sens tomber, même si tu es encore assis.e sur ta chaise, quand ta mère rit. Le premier d’une longue série de sorties de placard qui te briseront le cœur à chaque fois. Tu n’es pas fâché.e, pas encore. Ça aussi ça viendra plus tard. Pour l’instant tu as encore de l’espoir, ou au moins de l’optimisme. 
Ce jour-là, tu as trouvé un mot pour te décrire, un mot que tu ne pouvais même pas imaginer existait. Tu en trouveras d’autres, et ces mots feront partie de toi. On te dira souvent que tu les rends trop importants ces mots, qu’ils prennent une trop grande place dans ta vie, mais ces mots, c’est ton identité. Ces mots donnent vie à ta réalité et à tes expériences, alors tu les défends durement. 
Tu as perdu ton optimisme Mer. Tu as 19 ans maintenant, et tu as peur de ne jamais pouvoir vivre la paix que tu désires tellement. Tu existes en parenthèse à présent, au conditionnel. Tu ne peux pas imaginer un futur dans lequel tu existes vraiment, parce que chaque jour, ton existence est remise en question, et on t'efface un peu plus. Tu as demandé, supplié tes amis de ne pas laisser ta famille te mégenrer et utiliser ton ancien nom si jamais tu meures jeune, et c’est horrible que tu doives faire cela. 
Ton drapeau noir, girs, blanc et mauve est rangé quelque part dans ton placard, et d’une certaine façon, toi aussi. 
Un jour Mer, tu en sortiras vraiment. Un jour, plus personne ne te regardera en voyant une fille, un jour tu iras dehors et tu marcheras dans les rues, tu brandiras tes drapeaux, entouré.e de ceux qui sont comme toi, et un jour tu te regarderas dans le miroir, pour vrai cette fois. Et tu verras qui tu es, Mer. 
Tu as coupé tes cheveux, tu t’es acheté de nouveaux vêtements. Tu t’es fait percer les oreilles, tu verras, ça ne fait pas aussi mal que ce que tu pensais. Tu as rencontré des gens qui ne te connaissent qu’en tant que Mer, et pas sous un autre nom. Cet autre nom, ils ne le connaîtront pas. Tu seras Mer, complètement, enfin. 
54 notes · View notes
wittylittle · 2 years
Text
Miam
J’ai suivi les instructions. Comme il m’a demandé. À 13h j’ai commandé un Uber. Dans mon sac à dos il y avait mon ordinateur, mon maillot et mes Adilettes.
Officiellement j’allais travailler chez Virginie et on irait au spa après.
Je suis arrivée chez lui, je l’ai embrassé intensément, le genre de french qui donne des papillons. Il m’a servi un bourbon qu’on a bu au salon.
Il m’a montré sa chambre : « ready to cuddle? ». Je l’ai regardé avec mon air de gamine « naked ? ». On a enlevé nos vêtements chacun de notre côté et on s’est embrassés et touchés dans son lit blanc pendant une heure ou deux. J’ai tout avalé comme une bonne fille.
On est allés au spa deux trois heures. On s’est fait avertir qu’on parlait trop fort dès notre arrivée. Chaud froid repos. Chaud froid repos. Collés dans un hamac à rien dire, ma tête sur son cœur qui battait fort. Nos pouces qui jouaient ensemble sur son ventre.
On est partis parce qu’on avait faim. On a commandé du vin, des dumplings et des frites dans un bar élégant du plateau.
J’aurais pu rentrer à pied mais j’ai accepté qu’il me reconduise, pour passer plus de temps avec lui. Au feu rouge avant de me déposer il m’a embrassé. « One more, bébé ». Je lui ai dit que je l’aimais. Ça le déstabilise, je fais exprès.
C’était une chouette journée. Je regarde Euphoria, je suis certaine que lui aussi.
5 notes · View notes
double-croche1 · 2 years
Photo
Tumblr media
[AVANT-PREMIÈRE CINÉ] MEMORIA d’Apichatpong Weerasethakul Cette année à Cannes, deux films attisaient tout particulièrement notre curiosité cinéphile : ‘Annette’ et ‘Memoria’. De manière assez improbable, de grands réalisateurs expérimentaux adoubés (Leos Carax / Apichatpong Weerasethakul) voguaient vers des territoires et langues qui leur étaient jusqu’alors étrangers, accompagnés par des acteurs de renom (Adam Driver / Tilda Swinton) officiant d’ailleurs également à la production. Le réalisateur thaïlandais a obtenu le Prix du Jury avec ce long-métrage métaphysique et âpre présentant à nouveau une expérience sensorielle exaltante, à la croisée du son, du rêve éveillé et de la mémoire collective et individuelle. Une horticultrice écossaise spécialisée dans les orchidées rend visite à sa sœur malade, à Bogotá en Colombie. Au cours de son séjour, elle se lie d'amitié avec une archéologue française, en charge du suivi d'un projet de construction, et avec un jeune musicien local. Chaque nuit, elle est dérangée par des détonations de plus en plus fortes qui l'empêchent de dormir… Le long-métrage est celui de quelques “premières fois” dans la filmographie pourtant longue d’Apichatpong Weerasethakul : le réalisateur quitte sa Thaïlande natale pour la Colombie (Bogotá et Pijao) et avec elle de nouvelles langues (anglais et espagnol), il laisse aussi des acteurs locaux non professionnels pour d’autres internationaux bien plus expérimentés (Tilda Swinton et Jeanne Balibar). Néanmoins, sa patte reste immédiatement reconnaissable. Le rythme très lent du film est renforcé par des images qui impriment la rétine (quasi exclusivité de plans larges à l’exception de ceux en ouverture et en quasi-clotûre, mise en scène majoritairement statique parfois jusqu’à l’extrême comme dans ‘Au commencement’ de la réalisatrice géorgienne Dea Kulumbegashvili - notre interview par ici) et par un sentiment de torpeur latent (le sommeil infusait déjà dans son précédent film ‘Cemetery of Splendour’ en 2015). Des forces surnaturelles en lien intrinsèque avec la nature semblent être à nouveau à l’œuvre (on pense à la bête chimérique de ‘Oncle Boonmee’ en 2010). Ce changement d’environnement permet au réalisateur d’ajouter au récit des dimensions jusque là inexplorées : la technique (le studio d’enregistrement qui permet de reproduire avec précision le son du “bang”), le scientifique (la recherche sur les champignons et bactéries, le centre archéologique avec des ossements vieux de 6 000 ans et un crâne étonnamment troué) et l’artistique (exposition de photos sur des tribus amazoniennes). Dans sa quête de sens et de réalité, la protagoniste se confronte de plus en plus au fantasme et à l’inimaginable. Par un jeu habile d’indices disséminés, le scénario à première vue impénétrable s’intensifie progressivement (recrudescences de signaux, répétition) jusqu’à la révélation finale, qui change le paradigme et fait repenser entièrement le film sous un angle différent. Les souvenirs, qui se captent comme “une antenne” via le toucher (une main sur un banc ou à l’hôpital, un crâne), font ressurgir par hallucinations des personnages d’entre les morts (le chien, les deux Herman, le médecin) ou se matérialisent sur le plan sonore (le “bang” bien sûr qui est un phénomène réel appelé “syndrome de la tête qui explose”, le musicien qui est dans un groupe nommé en clin d'œil “The Depth of Delusion Ensemble”, un dialogue à travers la fenêtre comme dans ‘In Front of Your Face’ de Hong Sang-soo présenté aussi à Cannes cette année - notre chronique par là). Le film assez solennel s’octroie néanmoins une pointe d’humour bienvenue. Malgré son aspect expérimental, ‘Memoria’ laisse transparaître la grande maîtrise du réalisateur thaïlandais. Tilda Swinton porte le film sur ces épaules (elle a d’ailleurs été omniprésente à Cannes cette année avec également ‘The French Dispatch’ de Wes Anderson et le sublime ‘The Souvenir Part. II’ de Joanna Hogg - notre interview à venir !) et avec elle toute la mémoire du monde. Elle quitte sa coupe de cheveu blond platine extravagante et offre au contraire une prestation sobre et vraiment envoûtante. Jeanne Balibar, dans un rôle plus secondaire, convainc également. Loin de se perdre dans les affres de la co-production internationale (le cas récent de Hirokazu Kore-Eda avec son décevant film français ‘La Vérité’ en 2019), Apichatpong Weerasethakul apporte avec ce long-métrage de nouvelles variations à son passionnant cinéma. ‘Memoria’ est un film magnétique dont l’aspect à première vue impénétrable pourrait en décontenancer certains, mais qui s’apprécie pour l’expérience intime qu’il procure. Si vous y investissez toute votre attention, il vous en gratifiera au centuple. Bande-annonce : https://bit.ly/3nl0fHN Date de sortie française : Mercredi 17 novembre 2021 A&B
8 notes · View notes
kumalimited · 10 months
Text
Miraculous Ladybug - Awakening : a review (spoilers without context)
(Made with love by someone who went to the world premiere - seen with the French dub)
The good
Nice animation
Nice OST (excluding the musical part)
Paris being a bit more like real life Paris (we love good metro representation ok)
LADYNOIR MY BELOVED I THOUGHT YOU WERE DEAD
George Michael royalties draining the film budget
DJwifi shenanigans all over again
The meh
Supporting characters of the show being in the background but kinda absent
Adrien being a loner for some reason
The pacing of it all is a bit all over the place even though they had 20 more minutes than the two Origins episodes
Stuff that is both bad but also makes it a must-watch
Plagg making fart jokes
Tikki rapping
Gabriel's Abba era hair
Gabriel Winx wings
Gabriel detaining random criminals in some dungeon under his house in the catacombs and criminals being casually ok with it as well as with doing a musical number with the guy detaining them
Zag making the deliberate choice to replace the "Ma Lady" surname by "Watermelon" for some reason
Adrien missing the goddamn apocalypse caused by his father due to ugly crying to Careless Whisper
The ending is a remake of Star Wars episode III last fight
Parisians being super casual abt the fact that the Seine became LAVA and that their flats won't be restored through magical ladybugs for some reason
Astruc is barely mentioned in the credits meaning that he was barely involved in its development and it shows
Stuff that is really bad imo
The SONGS.
No really the songs are bad
i mean music is dope, lyrics are very bad
Zag wanted his own Disney musical except he cannot write lyrics to save his life and has no idea how to pace a musical number to make it interesting
i.e Marinette has three "who am I, how can I become who I really be" songs when all of her internal conflict is due to her falling randomly at times, which makes a very poor (but also the only one) character arc
i.e there are seven songs in an one hour and a half long movie
i.e those songs stop the action to make us listen to lame ass lyrics (at least in French)
if i took a shot each time a song by Marinette mentioned "être moi" (being me) or each time Ladybug and Chat Noir repeated "Plus forts ensemble" (stronger together) I'd be in ER
because the original show didn't have any catchphrase at all isn't it
since the songs are stopping the movie every time they happen, there's no time for character development so
no umbrella scene
no Adrien character development whatsoever
no justification for Marinette preferring Adrien to Chat Noir
no justification of why Adrien was chosen as a holder
TL DR : A very nice musical fanfic that I'll enjoy making fun of for the years to come
38 notes · View notes
thelazyecrivain · 3 years
Text
Tumblr media
English
Comme dans un rêve by thelazyecrivain (rated G)
After meeting Sherlock, John did not expect to form such a strong friendship -or more...- in such a short time. Unfortunately, John finishes his studies in a few months and then leaves for the army and Sherlock uses drugs to forget.
Sequel to Royalty by tzarobin
Happy Birthday Sherlock ! by thelazyecrivain / 1,597 words (rated G)
Last year, Sherlock got a simple mug, but one he loves. This year he got the best present.
Series
Johnlock fluff (english version) by thelazyecrivain (rated G)
Just a set of fluff on our dear Johnlock.
Pridelocked 2021 (english version) by thelazyecrivain / (rated T)
My participation to the Pridelocked Challenge organised by @ohlooktheresabee
Fluffbruary 2023
My participation to the Fluffbruary Challenge by @fluffbruary
(I'm doing the translation myself, my english isn't perfect, please be indulgent and tell me if you see any mistakes.)
French
Merci Mycroft de thelazyecrivain / 4,707 mots (rated M)
Mycroft décide d'agir car Sherlock et John sont stupides.
Listen before I go de thelazyecrivain / 1,159 mots (rated T) (TW : mention de suicide)
Au bout de deux ans, John ne supporte pas l'absence de Sherlock. Il n'y a qu'une seule façon de le rejoindre.
L'ange de Baker Street de thelazyecrivain / 7,872 mots (rated G)
Sherlock entend du bruit dans la chambre de John et devine qu'il fait un de ses nombreux cauchemars mais quand il arrête son violon, pensant que son médecin s'était calmé, les gémissements continuaient. Il décide d'aller le voir mais il va tomber sur quelque chose incroyable.
Noël chez les Holmes de thelazyecrivain / 8,584 mots (rated G)
John et Rosie sont invité au Noël chez les parents de Sherlock et Mycroft.
Comme dans un rêve de thelazyecrivain (rated G)
Après avoir rencontré Sherlock, John ne s'attendait pas à formé une si forte amitié -ou plus...- en très peu de temps. Malheureusement, John finit ses études dans quelques mois pour ensuite partir à l'armée et Sherlock se drogue pour oublier.
Suite de Royalty de tzarobin
Joyeux Anniversaire Sherlock ! de thelazyecrivain / 1,629 mots (rated G)
L'année dernière, Sherlock a eu un simple mug mais qu'il adore. Cette année, il a eu le meilleur cadeau.
Séries
Johnlock fluff de thelazyecrivain (rated G)
Juste un ensemble de fluff sur notre cher Johnlock.
Pridelocked 2021 de thelazyecrivain (rated T)
Ma participation au Pridelocked Challenge organisé par @ohlooktheresabee
Fluffbruary 2023
Ma participation au Fluffbruary de @fluffbruary
16 notes · View notes
elizabethvaughns · 3 years
Text
fuck it i probably don’t have any audience for this but here’s my shitty falsettos whizzvin french assignment dialogue fic no i won’t be posting this on ao3 <3
the og french version
L’amour Perdu
[MARVIN est très fatigué. Beaucoup de choses se sont passées ces derniers jours, et il se sent accablé. Il tient l’appareil-photo de son petit-ami, WHIZZER. Il porte la chemise de WHIZZER. Il a l’air de pleurer depuis longtemps. Il tombe sur le canapé et s’endort tout de suite.]
[MARVIN se réveille. Il est dans sa chambre. WHIZZER dort à côté de lui.]
MARVIN: Je t’adore beaucoup, chéri. Je peux me souvenir quand je t’ai vu la première fois–souviens-tu? Nous avons été dans cette boîte, et tu dansais sur de la musique. Tu étais comme le soleil, Whizzer. On n’a pas pu ne pas te regarder. Parler avec toi, c’est la meilleure décision de ma vie. Te laisser partir, c’était le pire. Honnêtement, quand je t’ai vu au match de baseball, je n’ai pas pu croire mes yeux. Quand je t’ai demandé un rendez-vous, je n’ai jamais pensé que tu disais «oui», pas après comment je t’ai traité quand nous étions ensemble. Mais chéri, je ressens de la joie parce que tu es mon petit-ami. [WHIZZER se réveille, et MARVIN lui embrasse] Je t’aime, mon amour. Tu es mon âme sœur et tu es la raison je suis une bonne personne. Je sais que Jason t’adore aussi, tu es comme un troisième père à lui. J’ai rêvé la nuit dernière que tu es mort à cause de la maladie. Mais, c’est simplement un cauchemar, n’est-ce pas? Tu es sain et tous nos problèmes sont passés. Nous allons vivre heureux pour toujours. N’est-ce pas génial?
WHIZZER: Marv, ce n’était pas un rêve.
MARVIN: Attends...que veux-tu dire?
WHIZZER: Je suis mort, Marvin. C’est juste une rêve. Je veux te dire ça–je t’aime, Marvin. Je t’ai toujours aimé. Je ne regrette pas un moment de notre relation...et toi, regrettes-tu notre relation?
MARVIN: Je ne regrette pas un moment, chéri. Si je pourrais, je le referais, tu sais ça.[MARVIN commence à pleurer.] Et...et je ne peux croire que...que...quand je me réveille chaque matin, ton visage ne sera pas la première chose que je vois. Pourquoi devrais-je me réveiller, mon ange, si je ne peux pas te voir plus?
WHIZZER: Marvin, ne pleure pas, s’il te plaît! Pas pour moi! Je suis peut-être mort, mais je vais t’aimer toujours. Toujours! Tu ne pourrais pas me sentir mais je vais toujours être là pour toi, sais ça.
MARVIN: Je sais, mais...je penses parfois que c’est tout ma faute...si je n’étais pas peu mûr, si je n’ai pas rompu avec toi, tu n’aurais pas eu la maladie–tu n’étais pas mort.
WHIZZER: C’est vrai que tu as été très méchant et peu mûr il y a deux ans. Mais, ma mort, ce n’est pas ta faute! La faute, c’est de la maladie, tu sais ça!
MARVIN: Je t’aime, Whizzer...je pense que je peux toujours passer comme ça. Avec toi.
WHIZZER: Honnêtement, je veux la même. Mais, nous ne pouvons pas faire ça. Je suis mort, Marvin, et tu es vivant.
MARVIN: Mais, si nous serions tous les deux morts, penses-tu que nous pourrions être ensemble encore? Je pense que je veux savoir. Je vais te voir encore, Whizzer, et bientôt.
WHIZZER: Marvin, tu ne vas pas te tuer...vas-tu?
MARVIN: Pourquoi pas? Je rêve de toi et je pense à toi tout le temps. Je me sens déprimé...je ne sais pas pourquoi, mais je crois que je vais être plus heureux si je ne suis pas sans toi. De plus, chacun est déprimé parce que tu es mort. Ma mort ne va pas faire une différence...je ne pense pas qu’ils vont remarquer.
WHIZZER: Ce n’est pas vrai! Ils t’adorent! Penses à Jason! Penses à ton fils! Que faisait-il si tu meurs? Penses à Trina et Mendel, à Charlotte et Cordelia! Comment ressentent-ils s' ils réalisent que tu t’as tué? Je t’aime Marvin, et je ne peux pas attendre de te revoir, mais cela ne veut pas dire que je te veux à te tuer! S’il te plaît, Marvin, ta vie est précieuse! Ne perds pas ton bon sens!
MARVIN: Je suppose...mais...mais je n’aime pas ce que tu proposes. Que vais-je faire sans toi, Whizzer? Tu me gardes sensé. [MARVIN commence de pleurer encore]
WHIZZER: Détends-toi, Marvin.
[la voix de WHIZZER ressemble à celle de Mlle Goldberg, une des professeurs de Marvin]
MARVIN: [confus] Quoi?
WHIZZER: [Sa voix devient plus en plus féminine et devient plus forte. La voix ressemble à celle de TRINA, l’ex-femme de MARVIN] Détends-toi, détends, détends, détends, détends… [WHIZZER disparaît]
MARVIN: Non! [Il se réveille.]
TRINA: Détends-toi, Marvin, c’est juste moi. Rêves-tu encore de Whizzer?
MARVIN: Évidemment! Je l'ai revu et je l’ai bien aimé avant de te rencontrer ou de le voir. Quand nous étions mariés, quand j’ai eu la liaison avec Whizzer, j’ai fait un vœu. J’ai voulu qu’il m’aime en retour. Notre relation était alors très faible–il était orgueilleux et je, j’étais peu mûr et idéaliste. Il n’en pouvait plus, et c’est juste! Nous nous sommes disputés et il m’a quitté, tu sais ça. Quand nous nous sommes rencontrés au match de baseball de Jason, nous avons eu une connexion instantanément. Nous avons formé une complicité dans le mois, Trina! Quand nous nous lançons et nous nous engageons les uns envers les autres, quand nous sommes peinards, cette maladie tombe comme un cheveu sur la soupe. Je l’ai encore perdu...je l’ai toujours perdu. Je ne peux pas vivre sans lui. Il est venu à moi dans mes rêves la nuit dernière. Nous avons parlé, et il a disparu. Pour une seconde, j’ai voulu le suivre et disparaître. La dernière fois que j’ai ressenti du désespoir, c’est quand j’étais un fils. Il m’a dit que je dois vivre, mais je ne veux pas l’écouter, Trina! Je veux le revoir, le tenir, et je ne veux jamais le laisser partir.
TRINA: Marvin, je ne peux pas te voir comme ça. Tu es mon meilleur ami et le père de mon fils. Je t’aime–notre amitié ne va pas disparaître juste parce que nous avons divorcé. Je te connais,  Marvin, et j’ai connu Whizzer. Je sais qu’il ne voudrait pas que tu restes assis à pleurer. On doit assister aux funérailles de Whizzer. Nous sommes sa famille, tu sais ça. [elle remarque les cartons de nourriture] Marvin, depuis combien de temps es-tu comme ça? Un jour? Deux?
MARVIN: Quatre. Depuis le moment où il est mort.
TRINA: Marvin. Lèves-toi et vas t’habiller maintenant.
[MARVIN voit le fantôme de WHIZZER. WHIZZER sourit.]
WHIZZER: Tu sais, elle ne peut pas me voir. Regarder au mur comme ça, tu as l’air d’être fou. Elle a raison. Tu as besoin de te lever. Je t’aime, Marvin. Je sais que tu peux gérer ma mort.
[MARVIN se lève. Il se dirige vers la chambre pour s’habiller. WHIZZER le suit, probablement pour critiquer son goût de vêtements]
fin
7 notes · View notes
Text
Claire gilets jaunes AU fic 🦺
Hey guys... I’m so sorry this is the first thing I write when I come back dbhedjdheudh
It’s a joke fic... IN FRENCH!!!
Claire invites her friends to her parents' villa in France but at the same time, protests start in the streets of Paris.
Normally, my vocabulary should be more developed in French so let’s see how that turns out 😂
(If you guys don’t know what "gilets jaunes" are... look it up, especially on youtube ajvrhdjrhhfhdhd)
------------------------------
Cela faisait déjà quelques jours maintenant que Claire avait invité ses amis dans la villa de ses parents, située dans la banlieue parisienne. Ils en avaient également près de la mer méditerranée, à Marseille et Nice, mais la majorité du groupe a voté pour un séjour à Paris. Claire attendait impatiemment le reste du groupe, elle avait bien sûr envoyé des majordomes et chauffeurs à l’aéroport pour les derniers arrivants: Karolina et Tegan. Tyler surtout, se tortillait, excité de revoir son meilleur ami malgré le fait que cela ne faisait que quelques semaines qu’ils ne s’étaient plus vus. Scholar et Alistair de leur côté étaient plutôt nerveux, ils savaient que le reste du groupe a voté pour Paris seulement parce qu’ils n’y avaient jamais été. Karolina elle, il n’y avait pas de doute, était enragée à l’idée de passer une semaine dans la région de l'île-de-France au lieu de la côte d’Azur. Et en effet, elle à remis ses idées sur la table en arrivant... même si tout le monde savait déjà exactement ce qu’elle pensait.
"J’arrive pas à CROIRE que vous avez voté pour Paris, c’est la ville la plus surcotée de l’Europe! Je sais que vous avez fait ça pour Alistair et Scholar mais vous abusez, on aurait pu être sous le soleil de juillet à Marseille et à la place on a quoi? Des rues qui sentent la pisse et une tour."
Tegan et Tyler se sont regardé... puis ils se sont souris d’un sourire qui ne dit rien qui aille. Tegan a attrapé sa sœur par ses bras et Tyler par ses jambes. Raquel, comprenant ce qui était en train de se passer, ouvra rapidement la porte du jardin. En un flash, Tegan et Tyler ont jeté Karolina dans la piscine. Les deux amis se tordaient de rire avant que Tyler se reprenne, Tegan lui, rigolait si fort qu’il faisait des bruits digne d’un dauphin.
"On s’excuse votre Altesse Karolina du Royaume de Prague. Mais puis-je dire que vous êtes incroyablement ravissante sous ce soleil de juillet?"
"Tyler, je te jure qu’un jour je vais te niquer ta-"
"Sssshhhh! Pas de gros mots jeune fille. Si tu restes calme je t’inviterait à San Francisco."
Ça a pris tout le sang-froid du monde à Karolina pour qu’elle se retienne de lui attraper la jambe et de le lancer dans la piscine à son tour. Elle savait que son mascara avait coulé, ces merdes ont toujours la mention "waterproof" mais ne le sont jamais. Par complicité, Neha se lança de son plein grès dans la piscine, éclaboussant Tegan et Tyler au passage. Après quelques minutes, elles se sont toutes les deux relevés, en direction de la salle de bain pour prendre une douche et se débarrasser de la puanteur insupportable du chlore. Pendant ce temps, Tyler mettait du Maître Gims sur son baffle.
"Woooooooo!!! Il faut qu’on se mette dans le mood français! Soyez pas timides!!! C’ÉTAIT UN PHÉNOMÈNE, ELLE N’ÉTAIT PAS HUMAINE, LE GENRE DE FEMME QUI CHANGE LE PLUS GRAND DÉLINQUENT EN GENTLEMEN-"
Il chantait assez bien les paroles, Tyler ne mentait pas quand il disait qu’il a un bon niveau en français. Claire s’est retenue de dire à Tyler que plus personne n’écoutait du Maître Gims ces derniers temps. Les chansons étaient aussi bien qu’avant mais comme tous les artistes, il avait déjà connu son moment de gloire. Maintenant les francophones n’écoutaient plus que Angèle, Niska et... non en fait Claire n’en était pas sûre non plus. Elle n’était pas du genre à suivre les médias, qui sait? Peut-être que Gims était revenu sur le devant de la scène et elle n’en avait aucune idée. Tout allait parfaitement bien avant qu'Axel tourne l’attention du groupe vers la télé que personne ne semblait regarder. Sur l’écran, il y avait une horde de gens qui lançait des pierres sur des voitures de police. Claire les reconnu tout de suite.
"Ah! C'est les gilets jaunes. Ils font la grève contre euh... Macron. Mais je sais pas trop ce qui se passe dans les détails, désolé..."
À ce moment précis, Neha et Karolina sont sorties de la douche. Est-ce qu’elles avaient pris la douche ensemble...? Qui sait. En tout cas, Karolina n’était pas ravie.
"Ah mais c'est super. Donc non seulement nous sommes à Paris mais en plus les rues seront pleines de manifestants? C’est merveilleux. J’aurai encore préféré aller à Bruxelles pour manger des gaufres sous la pluie."
Heureusement (ou malheureusement), Raquel eut une idée. Un petit peu à côté de la plaque mais merveilleuse quand même.
"Et si... on allait manifester aussi?"
Les yeux de Claire se sont illuminés, elle n’avait jamais osé le dire, mais au fond d’elle le sang d’une française bouillonnait de l’envie de tabasser la gueule de la police avec des cailloux. C'était pas très orthodoxe mais elle ne pouvait ignorer ses instincts naturels. La haine envers le gouvernement était gravé dans son ADN... oui, la France... ce pays magnifique où les gens au pouvoir se font décapiter.
"Oui!!! Enfin... Je veux dire... ça pourrait être chouette. Si on marche à travers Paris avec le point de vue d’un touriste, ça va vite devenir un inconvénient. Mais si on décide de faire parti des manifestants... Ça pourrait non seulement aider le peuple français mais en plus on pourra profiter de notre séjour au maximum!!!"
Vue le ton qu’elle prenait, c'était clair que Claire s’en battait les couilles du peuple. Elle voulait juste péter la gueule d’un policier. Tadashi n’était cependant pas convaincu de cette idée. Il a donc demandé de faire un vote à main levé et bien sûr, la majorité était pour.
"Bon... Je vois que vous voulez absolument foutre la merde partout où vous allez donc je veux bien mettre un gilet jaune mais je refuse de participer à la grève. Je resterai derrière la foule."
Ne perdant pas de temps, Axel lui rétorqua son commentaire comme d’habitude.
"Et c'est toi qui dit ça, Tas-de-merde? Si je connais quelqu’un qui aime foutre la merde, c'est bien toi mon pote."
"Je suis pas ton "pote" Axel. Et non, je ne fous pas la merde, je vous tiens juste à carreaux. C'est tout."
"Ah ouais? Tu vas nous mettre des colles en France aussi?"
Si ça continue comme ça, c'est Tadashi qui va se faire exécuter. Son tempérament et son envie de maîtriser tout autour de lui pourrait ultimement mener à sa fin si il vivait en France.
"Enfin bref, si Tadachieur vient, tout le monde vient. Pas d’excuses."
Claire a demandé aux chauffeurs de les déposer non loin des Champs-Elysées, ils se sont facilement procurés des gilets jaunes, certains manifestants en donnaient même gratuitement. Quant aux Champs-Elysées... c'était le carnage. Des milliers de gens qui se lancent sur les policiers, détruisent les panneaux, les lampadaires, les voitures, tout. Du coin de l’œil, il y avait parfois des explosions non loin de l’avenue. Dans la folie du moment, Claire et ses amis se sont mis au boulot.
Tegan montait sur des lampadaires avec l’aide des ouvriers qui manifestaient, ils avaient des camions et des échelles. Il prenait des photos de la pagaille et quand il est redescendu, il a hacké quelques sites du gouvernement français, il y mettait les photos qu’il a pris avec le hashtag "PoliceLivesDon’tMatter."
Tyler pendant ce temps, est devenu ami avec des artistes de rues, il commença à taguer des belles grosses bites sur les murs des bâtiments.
Karolina et Neha rentraient illégalement dans des bâtiment à travers les vitres cassées pour admirer les architectures haussmanniennes. Elles ont commencé à prendre des photos pour leurs instagrams avec leurs gilets jaunes. Karolina s’est accroupie sur une des photos, prenant la pose stéréotypée des barakis slaves.
Axel avait emprunté une guitare et un micro à l’un des manifestant, il chantait "AUXXXXX CHAMPS-ELYSÉÉÉÉES!!!" du haut d’une voiture comme un dingue. Des centaines de personnes l’ont rejoint. Ce concert improvisé était finalement devenu la chanson des gilets jaune.
Ellie, avec l’assistance de quelques ouvriers, avait réussi à mettre en panne les voitures des policiers. Elle a ensuite rejoint le tas de gens en lançant des pierres sur les voitures immobiles. Les manifestants étaient très contents de son intervention, ils l’ont alors porté sur leurs épaules pour qu’elle puisse mieux lancer les pierres. Ils pensaient sûrement que c'était une enfant de 12 ans mais qu’importe...
Alistair et Raquel utilisaient leurs arts martiaux sur les policiers. C'était enfin temps de voir si ces techniques fonctionnent dans une vraie bagarre. Coach D avait une fois dit "n’utilisez pas votre force dans un combat sans un arbitre" mais il avait TORT. Péter la gueule d’un policier était bien mieux que de protéger des valeurs inutiles.
Scholar de son côté ne savait pas trop quoi faire alors elle filmait la scène du haut d’un bâtiment pour envoyer la vidéo à son père et ses amis. Elle y faisait ses propres commentaires, surtout quand elle zoomait sur le match de Raquel et Alistair contre les policiers français.
"Du taekwondo?! Non, du judo!?!? AAAAAHH! C’EST DU MMA!!!"
Tadashi regardait la scène partir en flammes... littéralement. Il voulait appeler la police mais le seul problème était que la police était DÉJÀ là. Ils étaient impuissants devant la rage du peuple, c'était un combat perdu d’avance... Et puis merde. Tadashi est rentré dans des supermarchés ravagés, voulant vider les caisses. Un petit cambriolage n’a jamais fait de mal a personne.
Sortant d’un des bâtiments en feu, c'était Claire avec une bouteille d’alcool et des allumettes. Malheureusement, elle ne savait pas où se procurer des bouteilles d’essence. Elle en demanda plusieurs à un de ses majordomes. Claire s’est trouvée un nouveau passe-temps favori: provoquer des incendies!!! Voir les bâtiments partir en flammes lui donnait l’impression d’être en 1789, la révolution française! Wow! Un moment historique était en train de se produire devant ses yeux! Bientôt des véhicules avec le logo de "France 24" sont venus sur place pour filmer ce chaos. Ils étaient sûrement en direct. Claire s’avança d’un pas décidé vers la femme qui parlait devant la caméra et elle lui arracha le micro des mains.
"HÉ MACRON TU M’ENTENDS? APRÈS AVOIR BAISÉ TA COUGUAR DE PROF TU BAISES LA FRANCE MAINTENANT?! TU VAS VOIR ON VA T’ENCULER MON POTE. T'AURAS TELLEMENT MAL AU CUL QUE TU POURRAS PLUS DE RELEVER À CAUSE DES RECTORRAGIES."
Claire renda poliment le micro à la femme qui était dans un état second après s’étre faite niqué les tympans.
"J’adore votre manteau! Vous l’avez acheté à H&M?"
"Non... À Bershka..."
Claire s’aperçu du fait que ses majordomes revenaient avec des bidons d’essences et elle s’éclipsa aussitôt.
"Woah! C’est merveilleux. Passez une bonne journée!"
Il était peut-être grand temps d’aller brûler la Mairie.
9 notes · View notes
christophe76460 · 5 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Briefing Spirituel Quotidien (DSB)
18 Déc 2023
FRENCH
DE L’HUMILIATION A LA GLOIRE !!!
« et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. »
‭‭Jean‬ ‭14‬:‭13‬ ‭LSG‬‬
RÉFLEXION & INSPIRATION
Aujourd’hui, je voudrais partager un message puissant sur le chemin de l’humiliation à la gloire. Nous sommes appelés à suivre les traces de Dieu, à embrasser l’humilité et à NE JAMAIS OUBLIER D’OÙ NOUS VENONS !
La vraie gloire ne vient pas de chercher la reconnaissance ou le statut aux yeux du monde, mais de nous humilier devant Dieu et de servir les autres de manière désintéressée. Humiliez-vous volontairement pour que, même face à l’humiliation, Dieu puisse renverser nos circonstances et obtenir un résultat glorieux.
Notre voyage de l’humiliation à la gloire n’est pas toujours facile ou direct. Retenons notre foi, confiants que Dieu travaille toutes choses ensemble pour notre bien et Sa gloire.
Dans nos moments les plus humiliants, Dieu peut provoquer une transformation et une rédemption glorieuses. Nos moments d’humiliation peuvent être des occasions pour Dieu d’afficher Sa gloire et d’apporter la restauration.
Ce n’est peut-être pas toujours facile, mais vous pouvez trouver réconfort et encouragement sachant que vos moments d’humiliation peuvent finalement conduire à une transformation glorieuse. Restez forts dans votre foi et rappelez-vous que Dieu est toujours avec vous, vous guidant vers Son plan parfait pour votre vie.
Trouvons espoir et assurance en sachant que nos épreuves et nos souffrances ne sont pas vaines. Rappelons-nous que nos luttes terrestres sont temporaires, et que par notre foi en Lui, nous pouvons faire l’expérience de la gloire qui nous attend dans l’éternité.
🙏🏼 PRIONS 🙏🏼
« Seigneur, je t’abandonne mon orgueil et mon ego. Je sais que Tu es un Dieu de transformation, et j’ai confiance en Ta promesse de transformer mon humiliation en gloire.
Seigneur, je crois que tu travailles toutes choses ensemble pour mon bien, et que tu apporteras la gloire de cette saison d’humilité. Je déclare que mon humiliation n’est pas la fin de mon histoire. Au nom de Jésus, je prie. Amen et Amen »
…/Power connexion/DG
0 notes