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#Crazy Pouss
choupicosmeticbeauty · 11 months
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Crazy Pouss Spray Hydratant Mangue 250 ml
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sassenashsworld · 1 year
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Comment soigner une crise d'angoisse
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« Celle-là va effrayer le plus courageux d'entre vous. Oui, même toi, Nick. »
Hancock pointe le goulot de sa bière dans ma direction et j'avoue qu’une fois de plus, il a attiré toute l'attention de la salle, même la mienne.
« C’était la fois qu'on vidait la carrière Thicket, vous savez, la troisième fois que les raiders l'avaient envahis. »
« Je me souviens, confirme Preston. Nora et toi aviez passé quelques jours à Tenpines Bluff pour mettre une bonne fois pour toute les appartements sur pied. »
« Voilà. Nora faisait jouer la musique sur son Pip-Boy, on était en belle position en hauteur et elle faisait chanter Silver. Enfin, j’avoue que j’avais la meilleure position. Je me reposais pendant qu’elle tirait sur tout ce qui se trouvait dans la cuve. »
Il prend une gorgée et dépose sa bouteille vidée.
« On avait travaillé pendant quatre jour sans relâche. On était encore loin d’avoir terminé quand on avait reçu l’appel du château concernant la carrière. Nora, comme d’hab, avait l’air sur le point de s’effondrer de fatigue, mais bon, elle a couru à l’appel, comme d’hab. »
Il fait signe au barman qui vient lui porter une nouvelle bouteille toute fraîche.
« Enfin bref, la routine. Les choses deviennent enfin intéressantes quand on se met à descendre les étages pour débusquer ce qui peut rester caché de ces rats et je joue enfin du fusil. Puis tout est fait. Mais là, la demoiselle tangue sur ses pieds, on est quand même aux petites heures du matin, on trouve un camp tout ce qu’il y a de plus confortable et il n’y a plus que des cadavres autour de nous. Je l’invite donc » et son ton implique que l’invitation était sans doute une obligation « à se reposer un peu. »
Il ouvre sa nouvelle bière et en descend une bonne rasade.
« J’aurais dû me douter d’un truc quand elle a pas protesté. Elle s’est effondré et moi, j’étais bien peinard avec mon jet et Ella qui nous chantait sa gloire en arrière fond. »
Il regarde tout le monde autour pour s’assurer que nous écoutons tous avec attention.
« Travis a mis la chanson Crazy He Call Me. Ça peut paraître insignifiant, mais je vous jure que je vais m’en rappeler toute ma vie, quand bien même je vivrais encore cent ans. »
Certains reprennent un souffle qu’ils n’avaient pas conscience d’avoir retenus jusque-là. Il faut dire qu’Hancock, avec ses emphase et ses gesticulations, est probablement de loin le meilleur conteur de la bande.
« C’est alors que la demoiselle a commencé à s’agiter. »
« Un cauchemar? » que s’enquiert Danse.
« Peut-être, sûrement. Tout ce que je sais, c’est que la demoiselle s’est relevé d’un coup, le regard tellement hanté, l’air tellement angoissé, que je me suis inquiété un instant de ce qui se passait. L’instant d’après, elle venait se rouler contre moi comme un chat effrayé qui aurait voulu entrer sous la moquette. »
Deacon pousse un ricanements de dérision.
« C’est moi qui fait avaler les couleuvres, d’habitude. »
« Je vous jure que c’est aussi vrai que ma tronche de cuir tanné. La jolie s’est accroché à moi avec désespoir en sanglotants. Le premier choc passé, bien entendu, je l’ai serré dans mes bras, pauvre chatte. Elle semblait tellement… c’est comme si elle avait peur. Mais vraiment peur. Une vraie crise d’anxiété en bonne et due forme. Je l’ai gardé là jusqu’au petit matin, on a ramassé notre matériel et on est retourné finir le boulot à Tenpines. Elle a jamais reparlé de ça et je serai jamais assez stupide pour gratter le sujet. »
Je me frotte le menton, songeur.
« Une crise d’anxiété, tu dis. C’est effectivement effrayant. Je me demande si ça lui prend souvent. »
« Pas quand on est en mission » que statue Danse.
« N’empêche » qu’ajoute Preston lentement, le regard fixé sur une tuile du plancher « si c’est vraiment une crise d’anxiété, c’est effectivement effrayant. » Il lève le regard sur nous et nous dévisage tour à tour. « Vous vous rappelez tous ce qui est arrivé là dernière fois qu’elle a craqué sous la pression? »
Un frisson parcours les compagnions réunis, même Deacon, qui probablement l’espionnait déjà à cette époque, semble savoir à quoi le Minutemen fait référence.
« Il lui faut un petit congé » que je suggère. « Quelque chose qui ressemblerait à des vacances. »
« Comment? » que demande à juste titre Hancock.
Nous réfléchissons tous de notre côté ce soir-là. Le défi est de taille car si déjà la situation est difficile, sont rôle dans les Minutemen comme sa situation pour le Railroad lui offrant peut de répit, les BoS s’occupant de ce qui pourrait rester, en plus la femme n’est franchement pas du genre à prendre une sabbatique.
C’est comme ça que nous nous retrouvons tous, le lendemain soir, pour partager ce que nous avons trouvés et mettre sur pied le plan le plus ambitieux que nous ayons orchestrés ensemble.
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jujutonprofdedanse · 4 years
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Jour 27 : Sexy ou vulgaire ?
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Cela commençait à faire long sans Elle. Beyoncé ! Ma muse !
Encore une fois en ouvrant son répertoire, j'ai pu trouver un clip qui m'interroge et qui me pousse à la réflexion.
Représentation de la femme et de son corps : Danser à moitié nue est-ce une bonne idée ?
Si j'ai choisi "Partition" de Beyoncé pour illustrer mon propos c'est parce que la réalisation de ces images est le fruit d'une collaboration entre Queen B et le célèbre cabaret parisien le Crazy Horse. C'est un lieu que je connais plutôt bien. Ouvert en 1951, l'établissement propose depuis toujours des numéros dénudés, drôles et élégants. Ces dernières années, j'y suis allé trois fois applaudir une amie et je dois vous dire que ce spectacle m'enchante. Les Crazy Girls, comme on les appelle, sont hypnotisantes. Je ressors toujours heureux, parfois jaloux de ne pas avoir ce pouvoir envoutant que les femmes possèdent. Dans ce cabaret le corps est mis en valeur, et chacune de ses courbes est enivrante. Je me pose toujours la question de savoir comment je verrais ce spectacle si je n'étais pas un homme.
À l'heure où les femmes commencent enfin à être entendues et où les discours contre les diktats de la mode et de la culture du corps parfait foisonnent. Qu'est-ce que les clips de Beyoncé et les filles du Crazy Horse apportent ?
Ces femmes sont parfaitement sculptées selon les critères actuelles on ne peut pas le nier. Ce constat empêche-t-il de délivrer un message sur l'acceptation de soi ? Ne sont-elles pas femme avant d'être un 36 ? (Surtout qu'on sait tous que Beyoncé ne rentre pas dans un 36 !)
Je ne crois pas que la pudeur s'efface lorsque nos fesses sont rebondies et notre ventre bien plat. Il faut du cran pour danser, pour assumer la nudité. D'ailleurs sont-elles vraiment nues ? La grâce et la sensualité ne sont-elles pas des vêtements ? Devenons-nous beaux à partir du moment où on assume notre corps ?
Danser à moitié nue ce n'est peut-être pas toujours vouloir faire rougir ou complexer ceux qui regardent. C'est aussi montrer de l'assurance, devenir inspirante. Peut-être plus parlant que Beyoncé ou les Crazy Girls, il existe l'effeuillage et les numéros burlesques. Le principe de ces spectacles est simple : se dénuder délicatement, avec malice et fierté. Ici, pas de sélection, pas de mensurations parfaites, venez comme vous êtes.
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Maria Holy Sparkle : ma copine burlesque
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Maria Holy Sparkle c'est une amie de formation qui pratique depuis longtemps l'effeuillage et partcipe à des spectacles burlesques. Je lui ai posé la question sur la nudité et ce qu'elle lui a apporté. Voici sa réponse :
"Pour moi, ça m'a permis de me sentir plus femme. Je me sens puissante sur scène lors de mes effeuillages burlesques parce que je sais que c'est moi qui contrôle. Ça a une répercussion dans les autres disciplines que je pratique comme la danse jazz par exemple parce que j'ai maintenant une danse plus organique aussi plus assurée. Même si mon personnage sur scène et moi sommes 2 personnes différentes, l'avantage du Burlesque c'est que ça m'a permis d'être cette femme forte qui n'osait pas avant.
Le burlesque m'a fait me sentir désirable et c'est aussi là que l'on se rend compte que le corps est un outil et qu'il suffit de l'assumer et de s'en servir peu importe la taille. Nous sommes ce que nous sommes et il ne faut pas avoir peur de le montrer. Tous les corps sont beaux.
Aller sur scène n'est pas nécessaire pour se sentir plus femme, plus sensuelle. C'est plus un moyen pour atteindre le but, qui est d'être ce que nous sommes c'est-à-dire beaux quoi qu'il arrive. C'est long, ça prend du temps. Au début, je me souviens mes premiers effeuillages je me cachais la poitrine. J'étais gênée et à force de regarder des corps en mouvement, qui n'étaient pas forcément ceux que l'on pouvait attendre de la beauté féminine et de voir que ces personnes assumaient totalement ça m'a décomplexée"
Vous pouvez la retrouver sur sa page Instagram :
Il n'y a aucun mal à s'aimer un peu.
Je vous embrasse, je pars danser tout nu dans ma salle de bain.
JUJU votre prof de danse.
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lyndexv · 4 years
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Dis-moi (Orelsan) lyrics (with english translation)
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[Couplet 1] [Verse 1]
Laisse-moi tout t'expliquer : le problème, c'est l'ennui
Let me explain everythin’ to you: The problem is that I’m bored
Parce que quand j'suis tout seul, j'peux vite partir en vrille
Because when I’m alone, I can easily go wrong
J'fous rien toute la journée, j'bascule dans la déprime
I don’t do a fuc*ing thing all day, I’m deeping into depression
Et j'sais même pas pourquoi j'fais n'importe quoi, faudrait voir un psy'
And I don’t even know why, I’m acting crazy, I should see a ‘psy’
Laisse-moi tout t'expliquer : le problème, c'est l'alcool
Let me explain everythin’  to you : The problem is alcohol...
Ça commence par un verre et mes principes s'envolent
It begins with a glass, and my ethics drown in it
Laisse-moi tout t'expliquer : le problème, c'est les autres
Let me explain everythin’ to you : The blame is on the others...
Quand j'essaye de rentrer, ils me poussent à la faute
When I try to come home, they press my limits ! [Pré-refrain] [Pre-Chorus]
Pour de vrai, pour de vrai
For real, for real
Pour de vrai, pour de vrai
For real, for real
Pour de vrai, pour de vrai
For real, for real
Pour de vrai, pour de vrai
For real, for real
[Refrain] [Chorus] S'il te plaît, dis-moi, pourtant, j'aime cette fille-là
Please tell me, yet I love that girl
Pourquoi j'fais tout pour la faire souffrir ?
Why am I doing everything to hurt her ?
S'il te plaît, dis-moi, pourtant, j'aime cette fille-là
Please tell me, yet I love that girl
Pourquoi j'fais tout pour la faire souffrir ?
Why am I doing everything to hurt her ?
Dis-moi, dis-moi, dis-moi (dis-moi, dis-moi, dis-moi)
Tell me, tell me, tell me (tell me, tell me, tell me)
Dis-moi, dis-moi, dis-moi (dis-moi, dis-moi, dis-moi)
Tell me, tell me, tell me (tell me, tell me, tell me) 
Dis-moi, dis-moi, dis-moi (dis-moi, dis-moi, dis-moi)
Tell me, tell me, tell me (tell me, tell me, tell me) 
Dis-moi, dis-moi, dis-moi (dis-moi, dis-moi, dis-moi) Tell me, tell me, tell me (tell me, tell me, tell me) 
         [Couplet 2] [Verse 2] Laisse-moi tout t'expliquer : le problème, c'est le stress
Let me explain everythin’ to you : The problem is the stress
Quand les problèmes arrivent, j'bloque et j'délaisse le reste
When problems come, I stall and forget the rest
J'arrive plus à penser donc il faut qu'j'décompresse
I can’t think at all, so I need to cool down
Mais j'vais beaucoup trop loin, j'contrôle plus rien, y a plus d'gentillesse (dis-moi, dis-moi, dis-moi)
But I’m going too far, I control nothin’ anymore, no more kindness (tell me, tell me, tell me)
Laisse-moi tout t'expliquer : le problème, c'est la peur
Let me explain everythin’ to you : The problem is fear
Quand j'm'enfonce dans la nuit, j'cherche la lumière ailleurs
When I’m deeping into night, I search the light elsewhere
Laisse-moi tout t'expliquer : le problème, c'est l’ego
Let me explain everythin’ to you : The problem is the ego
Il me pousse à séduire, à posséder les choses
It pushes me to seduce, to possess all things
[Pré-refrain] [Pre-Chorus] Pour de vrai, pour de vrai
For real, for real
Pour de vrai, pour de vrai
For real, for real
Pour de vrai, pour de vrai
For real, for real
Pour de vrai, pour de vrai
For real, for real 
[Refrain] [Chorus] S'il te plaît, dis-moi, pourtant, j'aime cette fille-là
Please tell me, yet I love that girl
Pourquoi j'fais tout pour la faire souffrir ?
Why am I doing everything to hurt her ?
S'il te plaît, dis-moi, pourtant, j'aime cette fille-là
Please tell me, yet I love that girl
Pourquoi j'fais tout pour la faire souffrir ?
Why am I doing everything to hurt her ?
Dis-moi, dis-moi, dis-moi (dis-moi, dis-moi, dis-moi)
Tell me, tell me, tell me (tell me, tell me, tell me)
Dis-moi, dis-moi, dis-moi (dis-moi, dis-moi, dis-moi)
Tell me, tell me, tell me (tell me, tell me, tell me)
Dis-moi, dis-moi, dis-moi (dis-moi, dis-moi, dis-moi)
Tell me, tell me, tell me (tell me, tell me, tell me) 
Dis-moi, dis-moi, dis-moi (dis-moi, dis-moi, dis-moi)
Tell me, tell me, tell me (tell me, tell me, tell me)
[End]
Lyrics : Orelsan
Composition : Skread, Phazz
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seasonsandcenturies · 6 years
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english translation: Gigantitan
Season 2 of Miraculous Ladybug is very good so far and I liked the latest episode a lot (v. much enjoying this trend of subverting the akuma trope) but man is that one going to be tricky to dub. It is puntastic.
Anyway, I’m sure someone is subbing it already but I thought I’d try working out the last scene.
“Gigantitan” Ending Scene Translation:
Marinette: All’s well that ends well.
Alya: Except for your romantic stroll.
Mylene: Oh yeah, where did he go?
Rose: Oh, look!
Alya: Maybe it’s not too late after all!
Juleka: Right on.
Marinette: No, I’ve had enough of complicated plans. Sometimes, ladies, you just have to cut to the chase. Adrien?
Adrien: Marinette?
Marinette: What a coincidence!
Adrien: What are you doing here?
Mylene: (She’s gonna do it!)
Rose: (It’s like a movie!)
Marinette: I came here to draw. Crazy running into you like this! Do you want to— uh, take a soul? Um, I mean, a poll? No— egg roll? No! Uh… Forget it. You shouldn’t keep your driver waiting.
[She means: Do you want to take a stroll?]
Adrien: Uh, okay.
Girls: (Hmmph.)
Adrien: But we can take you home, if you want.
Marinette: Uh, no, you don’t have to go to any trouble, I’ll just take a hike.
[She means: I’ll take a bike.]
Adrien: Okay… Enjoy your hike. See you tomorrow at school!
Marinette: Why did I say no?! No way, I’m so lame! I could have gone home with him in his car!
Alya: At least you got a full sentence out without stammering.
Rose: One sentence out of three! That’s real progress!
Mylene: You can do it!
Juleka: Hang in there.
Marinette: You’re so sweet, girls.
Alix: Don’t tell me that “Buttercup” has left the “Garden” with his “Nanny.”
Alya: Yeah, but it’s okay. Come on, Marinette, shall we take a “take a hike”?
Marinette: Tell me I didn’t say that!
notes on word choices: 
A ballade is like a weirdly formal way of saying promenade, more like a stroll than a walk. Also, walk rhymes with very few words in English.
Ballade, as already noted almost everywhere on tumblr is rhymed with salad, panade (a type of soup with a bread base), and marmalade. Marinette originally follows up by refusing Adrien’s offer to drive her home because she’s going for a couscous. Adrien’s bewildered response to all this food talk is “Bon appétit”.
What Marinette meant to say is she’s going for a ride [in the pousse-pousse]. A pousse-pousse is a pedicab, also called a rickshaw. There aren’t many circumstances in which one describes going for a ride in a pedicab. Or rhymes with rickshaw. Thus, bike/hike.
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3moisauboutdumonde · 6 years
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From Fox Glacier to Queenstown
Aaaaah les voilà enfin ! Ces douces courbatures dans les cuissots ! Rien de bien méchant... juste ce qu’il faut pour me rappeler au moindre mouvement qu’on a quand même fait 34kms à pied (oui, j’aime rappeler ce fait toutes les 3 lignes). Clairement mon corps est encore fatigué par cet exploit sportif, et rien, pas même le skype de Noël avec ma mère, ne me forcera à sortir de ce lit avant qu’il ne soit l’heure de partir… A part peut-être l’appel du ventre… On charge donc nos sacs dans la voiture avant de retourner au restaurant de la veille pour prendre un petit-déjeuner de compèt : muffin ft. chocolat chaud. C’est bon, je suis prête à affronter la journée de route qui nous attend. On passe à la boutique souvenir de l’I-site acheter tasses et cache-tétons en poils d'opossum (#plaisirdoffrir) avant de filer en direction de Wanaka, “What makes you beautiful” à fond dans la voiture.
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Il faut 3h pour se rendre à Wanaka et on décide donc de faire plusieurs pauses “point de vue” pour éviter de trop se fatiguer (je dis “on” mais c’est Oriane qui conduisait donc niveau fatigue perso ça allait, bien callée dans le siège passager). On s’arrête donc une première fois pour profiter de la vue sur la mer de Tasman et ouvrir un paquet de gâteau, puis une seconde fois à la cascade Roaring Billy… A moins que ce ne soit la cascade Fantail… Ou Thunder creek ? Bref, on s’est arrêtées à une des NOMBREUSES cascades qui se trouvent le long de la route 6. Après avoir franchis le col Haast et environ 1h avant d’atteindre Wanaka on se pose aux Blue Pools pour un petit pique nique à base de sandwiches ayant survécus à la rando. Comme leur nom l’indique, ces bassins et cours d’eau sont dotés d’une couleur bleue/turquoise assez surprenante. Cette teinte très marquée est en partie dûe au fait que ces eaux proviennent des glaciers… voilà. Pour une explication scientifique de qualité je vous conseille de vous reporter à un épisode de C’est pas sorcier.
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Au delà la couleur de l’eau, les Blue pools sont aussi connues pour leurs ponts suspendus desquels les plus aventureux (=inconscients) sautent pour atterrir dans l’eau (glacée). Après avoir bien râlé sur le manque d’intelligence et de sécurité de cette activité (soeur Debiez qui râle = soeur Debiez heureuse) et fini notre repas, on reprend la route. Next stop : Wanaka, où l’on reste juste le temps de dévorer une glace à Patagonia, le plus fameux chocolatier/glacier de la ville, et d’acheter des cartes postales à l’I-site (on reste sur un sans faute de visite d’I-site). Sur la route pour Queenstown on s’arrête à un endroit dont MP, le chauffeur fou qui m’avait déposée à Wanaka la dernière fois, m’avait parlé. Je ne sais pas vraiment pourquoi, je ne sais pas vraiment comment, mais survient à l’improviste, au milieu de cette route qui ne compte sinon rien de particulier, une barrière entièrement recouverte…. de soutien-gorges.
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A glimpse of what paradise looks like maybe ?
Je sais pas qui a posé ça là mais ils sont surement... crazy like a fool… (parce qu’il n’y a que du boney M LOOOOLOLOLOLOLOLOL) (maternité de cette blague trèèèès moyennement assumée). 
Anywaaaaaaaay, après avoir descendu le col avec ses touptiviragesbiencollés où MP m’avait expliqué que tout le monde roulait à 50km/h quand lui y passait à 80 parce qu’il connaissait la route par coeur (et où je n’ai pas dépassé le 30km/h) on arrive enfin à Queenstown et donc à notre auberge pour les 2 prochaines nuits. Elle est légèrement excentrée mais donne directement sur le lac, et se trouve à 2min à peine du lieu où le bus nous récupèrera demain matin pour aller voir Milford Sound.
Comme c’est encore le milieu d’après-midi on décide d’aller faire du “shopping” en ville, c’est-à-dire étudier avec détails TOUS les magasins de souvenirs de Queenstown. Le nombre de tasses achetées est multiplié par 3 en un claquement de doigts et on commence sérieusement à se demander comment on va pouvoir tout ramener si on continue sur ce rythme. A 18h30 on commence à bien crever la dalle ce qui nous pousse à partir à la recherche de Winnies Gourmet Pizza, restaurant de Pizza (no shit sherlock) dont on a entendu parler à l’auberge. Dans la demie heure qui suit on déguste deux combos qui révolteraient certainement les puristes Napolitains (promis y’a pas d’ananas dessus) mais qui ravissent néanmoins nos papilles. On rentre ensuite à l’auberge, et si Oriane à le courage d’aller prendre des photos du coucher de soleil je file pour ma part directement au lit. Oui, il est 21h à peine MAIS J’AI FAIT 34KM MOI MADAME ! (ok promis j’arrête avec ça).
Bisous, bonne nuit ! <3
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marinelp · 4 years
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🇫🇷 Hello par ici ! Vous allez bien ? Petit tour du potager aujourd’hui en story et tout pousse super bien, je suis trop contente 😀 Comme vous pouvez le voir, mon kale vit sa meilleure vie 🌱 Qui est team potager ici ? Bonne soirée ! • 🇬🇧 Hello! How are you? I shared a quick tour of the vegetable garden in my story today and everything is growing like crazy, it makes me so happy 😀 My kale is living it’s best life as you can see 🌱 Do you have a vegetable garden too? Have a nice evening! • #potager #vegetablegarden #kale #choukale #growyourown #permaculture #growyourownfood #vegandiet #veganlife #veganligestyle #veganfoodie #plants #carrespotager #newhouse #constructionmaison #maisonindividuelle #teamconstruction #maisonneuve #interior4all #decorationinterieur #deco #homedesign #decorar #decoracão #decoracioninteriores #decor #homedecor #jardin #nature #maisoncontemporaine https://www.instagram.com/p/CCjPS-6Fk8i/?igshid=pa8l13xtkes3
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Dodge Challenger SRT Hellcat RedEye
Le 24 octobre 2019
Si vous êtes un mordu de produits Chrysler de FCA, vous avez certainement vu ou lu un reportage que j’ai fait sur la Dodge Challenger SRT Hellcat RedEye l’été de 2018 alors que la voiture était présentée à une poignée de journalistes spécialisés à une piste privée du New Hampshire. J’en ai même tourné une vidéo (comme passager) qui a été publiée sur Auto123.com. Cette fois, c’est sur la route, dans la «vraie vie» que j’ai conduit la voiture. Est-ce vraiment possible de vivre avec un «monstre» de la route de presque 800 chevaux comme auto principale de tous les jours?
Pour ceux qui ne connaîtraient pas la Challenger SRT Hellcat RedEye, en voici une description sommaire. Il s’agit d’un coupé Challenger, une voiture qui est sur le marché depuis 2008 sous la forme qu’on lui connaît actuellement. En fait, il s’agit d’une réplique de la division Chrysler de FCA à la populaire Ford Mustang et à la Chevrolet Camaro. Ces deux dernières ont repris, très récemment, des lignes ressemblant à leurs modèles à succès des années soixante-dix. À cette époque, Chrysler avait deux concurrentes dans ce segment dit «pony cars», la Plymouth Barracuda et la Dodge Challenger. Vu que le nom Plymouth n’existe plus (ironiquement, la jumelle de la Mustang était la Mercury Cougar et la marque Mercury n’existe plus et la jumelle de la Camaro était la Pontiac Firebird…et la marque Pontiac n’existe plus non plus…), il en est resté la Dodge Challenger.
La plus récente Challenger repose sur une plateforme issue de celle d’une ancienne Mercedes-Benz (Chrysler était combiné à Daimler-Benz lorsque la nouvelel version de cette Dodge fut créée), la même que celle que l’on retrouve sous les Chrysler 300 et les Dodge Charger. Par conséquent, on devine que la Challenger est plus imposante que les Mustang et Camaro. Croyant peut-être que la mode du retour des «pony cars» n’allait pas durer aussi longtemps que prévu, FCA n’a pas fait évoluer le design de sa récente Challenger. Ford et Chevrolet l’ont fait avec la Mustang et la Camaro. Mais, surprise, les ventes de la Challenger (qui ont débuté lentement) ont pris de la vigueur avec le temps et tout récemment, c’était la Challenger qui était la plus vendue du trio!
Une chose est sûre, c’est que, même si le design de la Challenger n’a pas changé (sauf pour quelques retouches), ses variations se sont multipliées, de la GT à moteur V6 mais à traction intégrale (une configuration toujours pas offerte chez Ford et Chevrolet) à la récente option Hellcat qui a donné naissance à la version Demon (presque) dédiée aux courses d’accélération et maintenant à la RedEye avec option Widebody, cette dernière se reconnaissant par des extensions d’ailes pour couvrir les immenses pneus Pirelli P Zero très larges (11 pouces au sol). Cette option (assez coûteuse de 8000 $ incluant la suspension) nous suggère qu’ainsi, la Challenger serait devenue une spécialiste des circuits routiers. Mes essais de l’année dernière sur ce type de circuit ont prouvé que la Challenger peut faire écarquiller les yeux des observateurs quand cette Challenger est en piste mais il faut garder en tête que l’on fait affaire à une grande et grosse voiture. Et cela joue beaucoup dans la balance. Mais le fait d’avoir 797 chevaux sous le capot…ça compte!
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La Dodge Challenger SRT Hellcat RedEye dans toute sa splendeur. (Photo Éric Descarries)
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De l’arrière, rien n’indique que c’est une version RedEye, pas même une ornementation. (Photo Éric Descarries)
Toutefois, l’expérience devient totalement différente quand la voiture se trouve dans votre allée de garage. Il faut composer avec ce véhicule et tous ses caprices. Le premier, c’est que l’on s’aperçoit que le pavé n’a pas besoin d’être mouillé pour faire patiner l’arrière de la voiture dans presque tous les sens, même avec l’antipatinage. Mais commençons par une description de l’auto. La Hellcat RedEye qui me fut confiée par FCA Canada avait cette option Widebody qui lui donnait des airs très agressifs et une peinture mauve dont l’appellation est «Plum Crazy», une teinte et un nom qui nous ramène aussitôt aux années soixante-dix. La Challenger est un grand coupé dont j’ai souvent vanté le grand espace intérieur et le vaste coffre. En général, je conduirais une Challenger vers la Floride sans sourciller et ce…même avec la version Red Eye. L’intérieur est le même que celui des autres Challenger mais avec des touches de personnalisation dont des sièges baquets avant avec le dessin Hellcat dans les appuie-tête et une banquette arrière (dont les dossiers se rabattent pour agrandir le coffre) plus ou moins accueillante même s’il y a beaucoup d’espace pour un «pony car». Si la finition et le choix des matériaux peuvent ne pas rencontrer les attentes de certains automobilistes très exigeants, la configuration du tableau de bord devrait passer le sceau de leur approbation. Ce qui notable dans ce tableau de bord, il y a un écran qui sert à diverses applications dont celle des modifications électroniques qui permettent de passer de la route…à la piste. Et c’est ici que cela devient intéressant…mais pas nécessairement pour la route.
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Le tableau de bord ressemble à celui de la plupart des Challenger..(Photo Éric Descarries)
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Voici la fameuse application qui transforme la Hellcat en RedEye…si le conducteur a la clé rouge ! (Photo Éric Descarries)
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Les places arrière sont utiles et assez grandes mais la visibilité y est réduite! (Photo Éric Descarries)
Cette application rend la suspension plus rigide, le volant plus ferme, la boîte de vitesses plus pointue, les échappements plus bruyants et le moteur plus puissant! Oui, c’est là qu’il libère ses 797 chevaux. Sinon, on en reste à quelques 707 chevaux. Donc, à ne pas choisir à moins d’être sur une piste de course (ou à moins de ne pas tenir à son permis de conduire!).  Le moteur HEMI de 6,2 litres qui «anime» cette incroyable voiture utilise un compresseur mécanique pour plus de puissance. Celui-ci est d’une capacité de 2,7 litres (alors qu’un Hellcat «normal» n’en a une «que» de 2,4 litres) et il pousse 14,5 psi de pression dans les tubulures d’admission (au lieu de 11,6). La seule boîte de vitesses demeure celle à huit rapports développée en collaboration avec ZF mais modifiée en conséquence. En d’autres mots, elle a été créée pour accepter toute cette puissance et résister aux assauts des pilotes les plus brusques. Évidemment, cette Challenger est à propulsion et sa suspension électronique réagit aux demandes spécifiques du conducteur. Les pneus sont, je le répète, des Pirelli P-Zero 305/35ZR20 de grande largeur.
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Le fameux moteur HEMI avec le compresseur mécanique plus «volumineux» de la version RedEye. (Photo Éric Descarries)
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Il faut de gros pneus Pirelli P Zero pour assurer une bonne tenue de route à cette (très) puissante Challenger alors que les imposants freins Brembo en assurent un freinage rassurant. (Photo Éric Descarries)
Sur la route
Je le répète, j’ai déjà conduit la Hellcat RedEye en piste à Club Motorsports à Tamworth au New Hampshire. Bien sûr que je fus impressionné. Une si imposante machine capable de vitesses hallucinantes et agile en plus. Outre toute la puissance déchaînée par le HEMI, ce furent les prouesses et surtout la fiabilité de la boîte automatique qui m’ont renversées. On aurait facilement cru que la boîte automatique n’aurait certes pas duré à ce régime. Imaginez, passer plus de deux jours aux mains de «journalistes» qui ont utilisé la voiture à fond alors qu’aucune des RedEye n’a flanché! Lancé à plus de 120 m/h (200 km/h) sur la ligne droite, du moment où le conducteur relâchait l’accélérateur pour toucher aux freins, la boîte auto réagissait en rétrogradant (avec des mouvements secs mais précis) pour ralentir la «machine». Les puissants freins Brembo m’ont été utiles aussi!
Bien évidemment, je n’ai pas conduit cette auto de la même façon sur la route. Mais j’ai eu souvent l’occasion «d’écraser le champignon» et de vivre des sensations impressionnantes tout en tentant de conserver le contrôle du «monstre» (donc, je n’ai pas essayé d’atteindre la vitesse maximale de cette auto!). Mais, commençons par le début. Se glisser dans la voiture est relativement simple vu la dimension des portières. Toutefois, celles-ci sont longues. Il faut donc prévoir un large espace de stationnement dans les centres commerciaux pour les ouvrir. Une fois derrière le volant, il ne suffit que de mettre le pied sur la pédale de freins et presser le bouton pour éveiller le HEMI. Mais cela, pour l’éveiller, on l’éveille…ainsi que plusieurs voisins. Car le son des échappements est très audible alors que le régime du moteur demeure assez élevé jusqu’à ce que le ralenti fasse baisser le régime du moteur (comme un «choke»). Une fois à ses quelques 800 tours, on n’entend presque plus le moteur…presque plus…
On passe alors en vitesse et c’est avec délicatesse que l’on presse l’accélérateur. L’auto ne s’emballe pas! Elle avance docilement mais il faut se contrôler. Si l’on veut impressionner la galerie, c’est facile, on appuie (même pas à fond) et le coupé se braque. Parfois, les larges pneus peuvent patiner (et crisser) mais l’antipatinage entre rapidement en action. Il le fera aussi sur pavé mouillé pour garder le contrôle de l’auto. Au fur et à mesure que la voiture accélère et que les vitesses passent, le son des échappements envahit fortement l’habitacle. Mais dès que l’on arrive en vitesse de croisière, ce son s’atténue et, ma foi, l’habitacle devient «parlable»! Cependant, si vous accélérez pour un dépassement, le HEMi se fait encore entendre…jusqu’au retour à la vitesse de croisière. Inutile d’écraser pour dépasser, ça ne pourrait que provoquer du patinage avant que le système prenne le contrôle! Une simple petite pression progressive suffit…Petite note négative, sur des autoroutes avec de profondes ornières, les énormes pneus Pirelli ont tendance à projeter l’auto d’un côté ou de l’autre. C’est ce que j’ai vécu sur la route 25 menant de Laval à Saint-Esprit et ce n’est pas agréable. Autrement, la Challenger Hellcat RedEye est facile et intéressante à conduire. Un peu de difficulté avec la visibilité trois-quarts arrière mais rien d’alarmant.
J’ai donc conduit cette auto tant en situation urbaine que sur autoroute (mais en plus grande proportion) et je pourrais très bien vivre avec la Challenger Hellcat RedEye. Mais pas en hiver! Si ça vous intéresse, pour ce faire, Dodge nous propose la Challenger GT à traction intégrale mais qu’avec le V6. Et si vous trouvez que la RedEye, c’est un peu exagéré, vous pouvez toujours essayer la Scat Pack avec un V8 HEMI plus docile et la boîte manuelle et, si ça vous plaît, la carrosserie Widebody que, personnellement, j’aime bien! Je sens que la moyenne de consommation vous intrigue. J’ai donc obtenu une moyenne de 12,74 l./100 km (!) même si j’ai un peu joué avec l’accélérateur! Incidemment, l’ordinateur de bord indiquait, lui, 11,4. C’est pour dire que l’on peut profiter d’une voiture super puissante sans hypothéquer sa maison avec un peu de retenue, évidemment. Je n’ose pas penser quelle serait la consommation après un après-midi de «lapping» sur une piste de course.
Justement, c’est ici que je conseillerais à un acheteur de RedEye de faire partie d’un club de «lapping» (après avoir eu de sérieux cours de pilotage) pour vraiment profiter de sa «bombe» sans en payer le prix (contraventions…). Et parlant de prix, spécifions qu’une Challenger SRT Hellcat débute à 75 945 $. Celle qui me fut confiée avait une peinture spéciale Plum Crazy de 100 $, l’ensemble RedEye 27Z avec rapport de pont arrière de 2,62 :1 (ce qui aide à l’économie de carburant sur grand-route) de 18 000 $, la sonorisation Harmon Kardon de 1495 $, la sellerie de cuir de 2195 $, l’ensemble de carrosserie Widebody de 8000 $ (avec les pneus Pirelli), le capot noir de 1500 $, le toit ouvrant de 1425 $, une taxe d’environnement de 100 $ (climatiseur) et plusieurs autres petites additions et options de divers prix en plus des frais de transport et préparation de 2595 $, on en arrive à une facture totale de…117 220 $ ! Ah oui…plus taxes! Ouf! Cette Dodge vaut-elle tout cet argent? Pourquoi pas? Si vous êtes mordu de Dodge, de Challenger surtout et de «pony car» super puissant…pourquoi pas? Surtout que FCA a annoncé qu’il n’y aurait pas de limite de production de cette version de la Hellcat…
Avez-vous installé vos pneus d’hiver?
Je crois qu’en cette quatrième semaine d’octobre, il serait temps d’installer vos pneus d’hiver même s’il fait encore beau au sud du Québec. Mère Nature a le don de nous jouer des tours en ce temps-ci de l’année. Il peut donc neiger à n’importe lequel moment (surtout au nord de la province) ou il peut geler assez profondément pour rendre les routes très glissantes. De ces temps-ci, je reçois de nombreux appels téléphoniques me demandant quel pneu serait le meilleur (mais à un prix insignifiant? Celle-là, je ne la comprends pas!).
Ce que je suggère, ce sont des pneus de qualité qui ont des qualités individuelles. Mais en général, ils sont coûteux. Toutefois, souvenez-vous que votre vie et celle de vos passagers reposent sur quatre points de contact au sol pas plus grands que la paume de vos mains ! Donc, vous pouvez consulter des articles que j’ai écrits pour Auto123.com sur les pneus d’hiver pour les autos :   https://www.auto123.com/fr/actualites/guide-meilleurs-pneus-hiver-voitures-canada-2019-2020/66331/ et pour les camionnettes :  https://www.auto123.com/fr/actualites/guide-meilleurs-pneus-hiver-vus-camionnettes-canada-2019-2020/66335/ si vous vous questionnez sur certains produits. Il n’est pas encore question des pneus dits «chinois» mais j’espère compléter ce chapitre sous peu. Toutefois, j’ai des réserves sur plusieurs d’entre eux. Je vous en reparle.
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nnjzz · 7 years
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MARCIA BASSETT / SAMARA LUBELSKI + ERO BAABA + :SUCH: + ROGER MPR /
Un N_J "un peu" à l'arrache - une fois n'est pas coutume -
aura lieu CE DIMANCHE 12-11-2017
avec
MARCIA BASSETT / SAMARA LUBELSKI /us ERO BAABA / qc fr :such: / fr ROGER MPR / fr
à l'Armony 39 rue Edouard Vaillant Montreuil M° Croix de Chavaux
ATTENTION ! ! EARLY SHOW !
18:00 !
5€
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MARCIA BASSETT / SAMARA LUBELSKI /us nyc Une collaboration de longue date entre ces deux artistes incontournables de l'undergound US, se retrouvant avec plaisir & régulièrement malgré leurs agendas de projets solo ou collaboratifs bien remplis, passés ou récurrents (citons pêle-mêle : Double Leopards, Hototogisu, GHQ, Zaika, Zaimph, etc , pour la première, et Tower Recordings, Hall of Fame, Metabolismus, Chelsea Light Moving (aka Thurston Moore Band ... pour les amateurs du name dropping) en ce qui concerne la seconde.
Le Non_Jazz qui les avait déjà accueillies à deux reprises pour chacune mais jamais les deux en même temps est ravi de pouvoir le faire cette fois-ci !
Violon amplifié, guitare électrique, électronique plus ou moins customisée et / ou faite maison, tel est le postulat de base à partir duquel le duo établit une osmose intuitive / avec un naturel (de l'ordre d'une évidence) remarquable, naviguant entre des vastes envolées drone plutôt sombres et / ou psychédéliques, ou s'aventurant vers des improvisations parsemés de quelques aspérités harsh, toujours néanmoins avec une forte teinte méditative.
Trois albums (vinyl) à ce jours sur trois labels différents : Kye, Golden Lab & Feeding Tube Records.
A propos du dernier, "Live NYC", Byron Coley écrit ceci : "(...) The two sets were recorded on different nights, at different venues, and their sound is as variated as could be. The first side, recorded by Bob Bellerue at Knockabout Center, is a tale of twinned and lightly fuzzed tones, twirling and blending in the air like a lost track from Heldon's It's Always Rock & Roll (1975) (or maybe a Fripp & Eno radio broadcast from 1974). The threads of sound absolutely phosphoresce. It's an incredible mix of motion, stillness and power all wrapped up in a psychedelic diaper. The other side, recorded by Kevin Reilly at Trans Pecos sounds more like some crazy BBC Radio Workshop soundtrack to a Peter Cushing science fiction tragedy. The feel is pure outer space, with all the vast emptiness and glittering promise that implies. I'm having a hell of a hard time figuring out which approach I like better. But they're both incredible sonic shards."
IMMANQUABLE !
https://www.youtube.com/watch?v=VhnSJ6nbu1A
https://www.tinymixtapes.com/music-review/marcia-bassett-samara-lubelski-sunday-night-sunday-afternoon
https://www.youtube.com/watch?v=v1IcCudu6PQ http://www.forcedexposure.com/Artists/BASSETT.AND.SAMARA.LUBELSKI.MARCIA.html
ERO BAABA / qc fr S'asticotant dans un corps-à-corps plus ou  moins glandu (ou tendu : c'est selon), ces deux-là n'y vont pas par quatre chemins, ni d'ailleurs avec le dos de la cuillère, s'escrimant qui sur sa guitare de déchetterie / électronique plus ou moins  cheapos / qui sur son saxophone / ou synthé (modulaire), s'apostrophant, se marrant, s'égarant, s'étalant en pétarades free, et autres dérives / "délires" enfiévrés, divaguant, et barbotant allégrement dans un déluge de postillons sonores bien envoyés. https://vimeo.com/52879883 https://www.youtube.com/watch?v=FRcwf47dY7k https://www.youtube.com/watch?v=onD7hUM9Bxo
:such: / fr aka Marc Parazon, "compose et interprète une musique électroacoustique DIY ludique et inquiétante. Un cinéma pour oreilles rêveuses.
Lauréat du Prix du jury au Festival des cinémas différents et expérimentaux de Paris, ce preneur de son indépendant (il travaille notamment dans le cinéma documentaire et de fiction) utilise un instrumentarium, essentiellement composé de magnétophones à bande, lui permettant de spatialiser ces sons venus d'ailleurs. Crépitements fantastiques, citations méconnaissables, réverbérations hypnotiques, envolées magnétiques, collages volatilisés et lyrisme acousmatique. Entre rêve et réalité augmentée, le spectateur est plongé dans une fanfare concrète unique fabriquée sur l'instant." (Sonic Protest)
https://vimeo.com/161354956
https://suchasound.wordpress.com/ https://soundcloud.com/suchsuch
ROGER MPR / fr repère, sur des 'skeuds de merde' trouvés sur son lieu de travail ou au hasard des MP3 (NB / j'ai longtemps cru que son nom de scène était 'Roger MP3') glanés dans les poubelles les plus inavouables des internets, des (bouts de) pistes qui l'interpellent, les dépouille, les touille et re-touille, les étire ou ampute des pousses qui dépassent, pour en composer sa propre version d'un certain enfer fait de sons.
En live, cependant cela peut avoir peu à voir et virer vers carrément autre chose, l'individu s'affairant sur un beau dispositif de trucs qu'il manie avec un certain talent et un talent certain.
https://hyletapes.bandcamp.com/album/unproductive-muzak https://rogermpr.bandcamp.com/ Fly :: Thomas No Lagos
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b-n-h-a-imagines · 7 years
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omg, could you do a scenario of riding monoma's thigh and he's basically talking dirty to you the whole time /).(\
Omg I'm so sorry it took so long! My sissy poo offered to write this so... Google translate was used 😅 enjoy ,':)
WARNING : NSFW DOWN BELOW
“Ahh…ahh!” You moaned as you plunged your pussy onto his hard and throbbing dick. You pick yourself up with your hands and lower yourself quickly. Another moan escapes your lips. “Oui chérie, gémir encore plus …” (“Yes darling,moan even more~”) Monoma says in a low,seductive voice. “Je parie que vous l'aimez quand je pousse mon gros biseau dans votre trou de salope. Vous l'aimez tellement au point où vous le feriez réellement pour moi.” (“I bet you like it when I push my big cock into your vagina. You love it so much to the point where you’re going to do the job for me.”)
You were about to raise your hips but paused for a bit. Suddenly, Monoma grabbed your hips and forced you down his dick. “Ah! Neito! Wait!”
“Mais ma chérie, tu ne devrais pas me faire attendre. Le sentiment de votre chatte rend mon coq fou. Dépêchez-vous et laissez-moi sentir plus de votre chatte céleste ~“ ( But my darling, you should not make me wait. The feeling of your pussy makes my cock crazy. Hurry up and let me feel more of your heavenly pussy ~) he cooed into your ear.
Feeling motivated by his words made you move quickly again. With each thrust, your moans got louder and louder as the knots in your stomach tightened. You threw your head back and unconsciously rolled back your eyes from your climax. “Ah I’m cumming darling!”
“Je vais libérer mon sperme dans ta chatte ~” (“I’ll free my cum in your pussy.”) Monoma said with one last thrust that released his semen, some of it seeping out. “You have so much of my cum, you might actually have a baby ~” You collapsed on his chest as he wrapped his arms around your waist. “That was amazing darling.” He flips positions. “N-Neito?”
“Let me taste that sweet pussy again.”
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choupicosmeticbeauty · 11 months
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9087miles · 5 years
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Nothing Toulouse (Partie deux des trois)
We had earmarked a stack of shops and after dilly-dallying for a few hours, we doubled back to find them. Tom wanted to take a look in a record store, because he has developed a serious penchant for vinyl since we moved to England. I endorse it, because I like the aesthetic and the tactical nature of putting physical music on.
As Tom fingered his way through a lot of bad pop looking for a Serge Gainsbourg souvenir of our trip, I went straight to the French section. While Tom was in the shower the night before, I channel surfed to a French variety show (think Graham Norton), on which was a crazy singer had performed a great song. He had two vertical drum kits stacked high and run by a machine powered by electricity and compressed air. He also had an amazing hat that made him look like an eagle, or a Marvel superhero. That was enough for me to seek out the new album he had been touting on the show. Tom must have enjoyed it too, because he was also looking for it, despite neither of us knowing anything about him other than the album cover (which was a stylised geometric repeating letter M). Tom asked at the counter and surprisingly the guy knew what we were talking about. He let us know that the artist was actually called ‘M’ (short for Matthieu Chedid) and the album was called Lettre infinie. He also pointed us in the general direction of another record store - apparently there are 10 in Toulouse!
When we found the street we were looking for, Tom suggested we stop for a coffee. The menu seemed a little friendlier and the waiter thankfully spoke English. When they arrived (with the carrot cake I had ordered and a chocolate pecan biscuit for Tom), Tom took a sip and said that it was the best coffee he’d had in at least two years. Afterwards, I mentioned this to the lady behind the counter when I went to pay. As it turns out, she had lived in Perth and had been inspired by the coffee culture there to open a similar coffee shop back in France.
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In the second record shop, the guy did have Letter infinie, which then inspired more searching. We went a bit mad, ending up with a number of French pop albums (including Serge Gainsbourg’s daughter, Charlotte) and Tom also found the full soundtrack for Rocky Horror Picture Show - on slutty red vinyl! While we were choosing, a hipster with a baby strapped to his front came in and acknowledged the guy behind the counter, who proceeded to remove his fedora to give the first an air kiss (actually two air kisses, as is the French style). There was something heartwarming about seeing two straight men kiss and then commence a nonchalant conversation laced with the usual masculine bravado.
Antipodean Automobile
We didn’t have too much time left before we had to pick up the car to head into the Gers, so we started to head towards the main train station, where Europcar was. The station was confusing, but we made it there quite easily. Within an hour we were packing our bags into the boot of a zippy little SEAT. We had a cigarette and planned the approach - this would be our first time together on the other side of the road. Tom took to driving like riding a bike. I felt a little strange as I tried to be a helpful navigator from what should be the driver’s seat.
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After navigating past a Gilet Jaunes (yellow vests) protest in the centre of Toulouse and crossing a couple of busy highways, we were on the open road and the traffic subsided. It’s always nice to be somewhere new, but the countryside was truly magnificent. I used Tom’s phone (for some reason, mine refused to pick up the network when we arrived) to message Saskia with our ETA. Then it was just like any other road trip; chatting away, pointing things out in the passing fields, and switching between bad pop on the radio (in this case Nostalgie FM) and YouTube videos played through the car (in this case more of M and some Serge Gainsbourg).
A while down the road we passed through a beautiful little village called Cologne, with a huge covered market square. We stopped to take some pictures and got talking to a local family, noticeably proud to live where they did. We had a little wander around a couple of blocks and then jumped back on the road. Just as the nerves of antipodean automobile travel subsided and I relaxed into the sunny journey, we were almost there. We stopped for a drink on the last village before Valence-sur-baïse, our destination for the night.
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This little piggy went to Le Petit Cochon
When we got to the village, we looked for an ATM and/or a shopping centre for last minute supplies to no avail. Searching on Tom’s phone, I couldn’t locate anything easily and just gave up. We almost had a tiff when I located an ATM on the map. Tom parked the car and it just happened to be across the road from Le Petit Cochon.
The door flung open and we were greeted with a hug, as if no time at all had passed. This was actually the first time Saskia and I were meeting each other’s partners (although we had both spoken of them), but introductions were easy and conversation flowed. We chatted about the drive to Valence-sur-baïse and gushed about the unseasonably good weather. Andrew offered us a hand with our bags while Saskia gave a tour of the house and the unoccupied rooms. We arrived at our room and the double doors swung open to reveal a high-ceilinged room painted in calming shade of lilac. The room was en-suite, with a spacious bathroom including a bath AND bidet. Saskia and Andrew gave us a minute to compose and went off to brew a cafetière.
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While Tom fell backwards onto the bed (commenting that he felt like it would be a thousand times more comfortable than the meagre offering the night before), I took the opportunity to have a snoop around the room. Apart from being well-furnished with lovely French furniture, every detail had been considered to ensure a comfortable stay for any weary traveller - or two. Organza bags of lavender were centred on each pillow, a floor-to-ceiling bookcase was stacked to the brim with holiday reads and ponderous prints and paintings adorned the walls. I carried onto the bathroom to scope out the deep bath that I would be enjoying later on. The towels were thick and thirsty and toiletries were laid out on the vanity. I came back and woke Tom who had immediately fallen asleep in the sunshine of the afternoon.
We wandered downstairs where we sat in the beautiful garden drinking coffee and chatting with Saskia and Andrew about - among many other things - the story of Le Petit Cochon. Like the best stories, it started as a crazy dream, contained a lot of planning and then came together perfectly all of a sudden. Our hosts left us to enjoy the sunshine. Andrew switched out the coffee tray for two glasses of quaffable local vin rouge and a bowl of crisps. We wrote postcards, sipped wine and admired the view of fields and farmhouses. The feeling of relief I had experienced getting off the plane came flooding back, only this time much stronger. I sighed and slumped further into my chair. At some point I reminded Tom that we had a reservation for dinner (something that Saskia had arranged on our behalf in the days leading up to arrival), so we packed up before we got a little too relaxed.
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Back in the room I ran a hot bath with a good slug of shower gel to create some bubbles. I laughed at my Spotify playing the same ads only in French before the sultry voice of M kicked in. I lingered for a while, making the most of the tranquility and the shampoo (which we had not packed in our haste to leave the day before).
Feeling fresh, we wandered down through the chaos of the other four guests leaving for their own dinner reservation. We exchanged pleasantries and carried on into the parlour. With the last of the daylight not making it into the ground floor, the room was aglow with candles. Saskia and Andrew joined us after sending everyone else on their way, and we picked up the conversation we had started in the garden. We moved through politics, immigration and art until Andrew drove us to the restaurant before we missed our booking!
This little piggy had roast chicken
I chose Le Ferme de Flaran (which was literally a five minute drive) because of an impressive sample menu made with local produce. Saskia had mentioned earlier that the chef had been handpicked by the local maire to rejuvenate the restaurant originally converted from an array of medieval farm buildings.
We were seated and given menus all in French - luckily Toms pocket phrase book had a menu reader right at the front. We were seated by a young guy that gave us a wine list. Taking the opportunity to try something local (made at a château mere miles away) I ordered pousse rapiere as an aperitif. An Armagnac-based liqueur, the name pousse rapiere (or rapier’s push) refers to the feeling it gives if you drink it neat. Instead, it is served as a cocktail with sparkling wine.
Tom abandoned me for the loo and asked me to pick a wine. Not knowing any of the wine, I ran my finger down the prices and settled on something mid-range from the nearby Gascon region. I don’t know why it was a struggle - we were in France, so any wine would be great!
The young waiter that spoke a little English wasn’t around when we were ready to order, so we struggled through with a lovely lady who took it in her stride. When she bought the entrées she gave a whole spiel that I ignored, assuming it was about the lovely meal placed before me. “Monsieur?” she stated to get my attention and repeated the sentence again. All I caught was “Le Petit Cochon”, so putting two and two together I responded, “Oui, Le Petit Cochon”. Tom then made a joke in English that she was calling me a little pig. She looked puzzled so, a glass of wine in, I pulled out my best French. “Je suis un petit Cochon?” The lady cheekily chuckled and threw her hands up as if absolving herself of the matter entirely.
The food was a triumph of flavours, simple fare with just enough pomp. Tom had an entrée with mushrooms that had been cooked in butter to the point that they had caramelised on the outside, but were perfectly plump and juicy in the middle - I don’t think I’ve ever eaten such a mushroom. I chose a wild boar terrine, which was garnished with a single cornichon (never has a tiny pickle been more in context!)
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Our mains were as delicious and impressive. Tom had chicken in a creamy sauce and I opted for les poisson du jour (which was salmon in a orange, lemon and lime butter sauce). Both were amazing and complete with fresh crusty bread on the table to mop up our respective sauces.
In between mains and desserts, we laughed and drank (and spilled) wine, chatting about the last couple of days, reminiscing about past holidays and planning for the next one. I live for these moments with Tom. That point that we forget day jobs and commuting and just be in the time that we are in - like mindfulness in practice without the intent or the wanky title.
Our desserts arrived somewhere in the laughter and wine, and they were suitably impressive. Tom had a crème brûlée flavoured with the same orangey pousse rapiere from earlier. I opted for the tarte tatin, which came with a small scoop of the most decadent vanilla ice cream you can imagine.
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As our plates were cleared, the chef emerged from the kitchen and approached every table to ask how the meals were. Fearing shame, I pulled my best French together to say, “Oui monsieur, c’est magnifique!”. He pondered my response (or my abuse of the language), nodded his head once and carried on to the next table.
We had noticed part way through the night that the guests from Le Petit Cochon that we had met in the hall were also dining a few tables away. Despite having been offered a lift from Andrew, we all agreed that we would walk back in a convoy. In true British village style, someone had packed fluorescent clothing for safety!
Back at hôtes de chambre we shared our dining experience and marched straight up to bed to sleep it off. Saskia had graciously closed the exterior wooden shutters in our absence, so that we were guaranteed a sleep in regardless of the sun.
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zeephyrr15 · 7 years
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Le Prince et l’Oiseau/The Prince and the Bird
This is an AU where Phoenix is French and live in the south and Miles is an English prosecutor. I wrote this because today is the first day of my town festival. I’m from south and, when I think about it, our traditions are a little bit weird, and we have words which never exist just here. So, this is a double point of view, in French for Phoenix and in English for Miles.
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  Je saute au-dessus d'un petit muret de cairons et observe les alentours. Je suis déjà capable d'entendre la cavalcade des taureaux et des chevaux, quel bruit agréable... Et je me retrouve à plaquer un inconnu contre le mur d'en face pour ne pas qu'il se fasse emporter.
- Non mais t'es caluc, toi, je lui dis. Traverse pas en pleine abrivado !
Il me regarde, les yeux gris écarquillés, comme si j'étais un alien. C'est sûr qu'il est pas d'ici, avec son costume de prince et sa coiffure parfaite. Il ne doit pas comprendre la moitié de ce que je dis.
- Tu vois bien qu'il y'a des taureaux. Tu sais ce que c'est, au moins, un taureau ? Un gros chat noir avec des cornes.
Ouais, bon, d'accord, ça ressemble pas exactement à un chat, mais j'ai pas vraiment réfléchit à ce que je disais. Il doit encore moins comprendre, le Prince...
- Veuillez m'excuser, fait-il calmement. Il faut que j'y aille, je suis déjà en retard.
Il commence à partir, je le retins par le col.
- Eh, oh, s'pèce de fada, y'en a encore deux, des tours comme ça. Alors, je prierais monsieur le prince de bien vouloir aller derrière les barrières. Elles sont pas là pour faire jolies, t'sais.
- Je suis en retard, argumente-t-il encore. Lâchez moi.
- Tu cherches à te faire tuer, gadjo ? Très bien, mais pas ici.
Il ouvre la bouche pour dire un truc mais les taureaux reviennent et je le plaque une nouvelle fois contre le mur. Pourquoi ne veut-il pas comprendre que c'est dangereux ?
- Je...je suis en retard... Murmure-t-il.
- Ouais bah si tu clamse, tu s'ras encore plus en retard. Crois pas que j'vais te courir après pour te sauver la vie.
En fait si, j'en suis capable. Un fois que les taureaux sont passés, je le pousse vers l'endroit où il voulait aller, tout en frôlant les murs. Et finalement, nous atteignons facilement les barrières de l'autre côté. C'est vraiment pas pratique pour les lâcher de taureaux, ces p'tites rues...
- Alors, Prince, content d'être en un seul morceaux ?
- Je suis en retard à cause de vous.
- Ah, un merci aurait suffit... J'ironise.
Je le vois détailler mes habits, qui semblent l'étonner. Bah oui, y'en a qui portent des costumes sur mesure et d'autres les habits de gardians de leur père, c'est comme ça.
- Aucèl ! Dit une voix que je reconnais comme celle d'un de mes amis.
- Aqui ! Je lui cri joyeusement en retour.
Plusieurs de mes amis sont là et ils me font signe de venir les rejoindre. Mais, avant d'y aller, je tourne la tête vers le prince. Il est déjà à quelques mètres de moi. Je suppose qu'il se fout éperdument que je lui ai sauvé la vie par deux fois... Et puis, je le vois se retourner pour me regarder. Et me sourire. Il reprend ensuite son chemin. Ce n'était pas si compliqué, de me remercier. J'espère que je le reverrais...
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  While I cross a road, going to my meeting, I find myself pressed against a wall by a young man whit spiky hair and a blue shirt whit yellow...pattern? I don't really know what is it. I could see black short bulls and riders on their white horses pass behind him.
- Non mais t'es caluc, toi, he says to me. Traverse pas en pleine abrivado!
I look at him whit my eyes wide open. I perfectly speak french but... What is he saying to me? I understand he don't want me to cross but...why? The southern people in France are weird and use word I never heard. I really don't understand half he said.
- Tu vois bien qu'il y'a des taureaux. Tu sais ce que c'est, au moins, un taureau? Un gros chat noir avec des cornes.
What? He's crazy! Why is he talking about bulls and black cats and horns? I need to say I going to be late to my meeting. Which is true.
- Veuillez m'excuser, I say calmly. Il faut que j'y aille, je suis déjà en retard.
I try to go but he catchs me again.
- Eh, oh, s'pèce de fada, y'en a encore deux, des tours comme ça. Alors, je prierais monsieur le prince de bien vouloir aller derrière les barrières. Elles sont pas là pour faire jolies, t'sais.
He want me to go behind the barriers because the bulls and horse-riders will pass again. Southern French people are definitely crazy. What are theses traditions, seriously? I'll say again that I'm late.
- Je suis en retard. Lâchez moi.
- Tu cherches à te faire tuer, gadjo? Très bien, mais pas ici.
Is he really thinks it me who is crazy? He clearly doesn't see himself and his weird traditions with people running after a bull! I want to say it's him who is crazy and that I'm late. Again. But he pushes me against the wall again while bull and horses run behind him. Maybe he's right, it's really dangerous... Whit more uncertainty, I say that I'm late.
- Je...je suis en retard... I murmur.
- Ouais bah si tu clamse, tu s'ras encore plus en retard. Crois pas que j'vais te courir après pour te sauver la vie.
He says he not running after me for saving my life, but he just do it twice already. He's maybe weird, but he's really kind too. He takes me by the arms and escorts me to the other side of the street. I can go to my meeting, finally!
- Alors, Prince, content d'être en un seul morceaux?
Well, yeah, I can deny he saves my life from my ignorance of his custom, but I can't say it, instead, I blame him for my lateness.
- Je suis en retard à cause de vous.
- Ah, un merci aurait suffit...
Yes, maybe I could just say thanks... Me and my pride! So... I realize his clothes are similar from the horse-riders'. Maybe shirt whit strange pattern, boots and long trouser are traditional clothes. Nothing to do whit my perfect suit. His item of clothing seem wear out and lightly dirty by mud.
- Aucèl! Yell a voice.
- Aqui! He answer.
What are they saying? In the back, there are guys and girls, they look like they waiting for him. They're certainly his friends. A lot of friends... I slip out while he's talking about I don't know what to his friends. I don't know why, but I look back to him. He smiles at me, and I smile in return. I go back to my walk quickly, I don't want him to see the blush on my face. Maybe, after my meeting, I'll go talk to him...
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Raoul va commencer à se retirer des écrans, comme vous le savez. Avant qu'il n'entre dans cette fabuleuse période qu'est l'adolescence, n'hésitez pas à retrouver cet âge délicieux sur : https://www.facebook.com/tellementclasse/ ! Faisons les présentations de quelques-uns de ces joyeux trublions, par tranche d'âge. En 6è, vous aurez l'occasion de rencontrer NINO. Minuscule blondinet pâlot de onze ans, il dépasse tout juste la poignée de la porte de la classe, mais cela ne l'empêche aucunement de "faire son mec" [NDLR : "faire son mec" / "sa meuf" : se montrer sûr-e de soi, arrogant-e] ni, à l'occasion, de se BATTRE LES COUILLES de vos cours. Vous l'aurez compris, Nino a une petite tendance à mener la "thug life" comme disent ses copains. [NDLR : "thug life" : "se comporter comme un gangster"] MEHDI sera également un personnage récurrent de la page. Il paraît qu'il est surdoué, mais ce qu'il aime par dessus tout, en cours de français, c'est se coller des bouchons de stylo dans les oreilles. ROSELINE n'a qu'une crainte, dans la vie : se tromper dans le nombre de carreaux, en écrivant la date du jour. MOLLY, avec sa frange lissée au ras des cils et sa passion pour les gilets en poil rose, ressemble à une sorte de mini-danseuse du crazy horse, en plus potelée. Elle vient à l'école, parce qu'il paraît que c'est obligatoire, mais certains jours elle a mieux à faire. MADISON est en 4ème. Elle passe la majeure partie de ses cours avec le sac à main qui lui sert de cartable sur les genoux, comme si elle avait peur qu'on le lui vole. Cela nécessite une concentration de tous les instants, (difficilement compatible avec la lecture du Cid), mais cela lui permet d'être la première partie quand ça sonne. LINA, dans la même classe, clame sans filtre tout ce qui lui passe par la tête, pour le meilleur comme pour le pire : elle est la seule à pouvoir expliquer à quoi sert un oxymore, mais son adoration sans bornes pour Kim Kardashian, (qui lui semble être une sorte de génie des temps modernes) n'a pas toujours de lien direct avec Corneille, quoiqu'elle en pense. LAURENE est aussi bonne élève qu'elle est anxieuse. Dès que sa moyenne générale descend d'un dixième de point, elle n'est pas loin de la crise de spasmophilie. Elle fait alors le siège de votre salle en fin d'heure, les larmes aux yeux, et vous avez l'impression d'être un genre de bourreau sadique lorsque vous lui assurez que vous avez bien compté ses "points bonus" lors du dernier contrôle. AMINE a une certaine ressemblance avec Sid, dans l'Age de Glace. Comme lui, il parle non-stop, qu'il ait un voisin ou pas. Il a lui aussi les paupières qui tombent (surtout au milieu d'un cours), et sa colonne vertébrale semble se défaire au fur et à mesure de la journée. Quand a été annoncé qu'on allait entamer un chapitre sur Le Cid, il a d'ailleurs d'abord pensé que vous travailleriez sur le personnage du célèbre film d'animation précédemment cité. Ou alors c'était une blague, mais vous n'en mettriez pas votre main au feu. En 3ème : AMANDINE ne peut imaginer de venir en cours sans une énorme casquette avec un gros dollar en strass en écusson. Il faut toujours quelques minutes de négociations pour qu'elle daigne finir par s'en séparer pour la poser sur la table, non sans conserver sur l'objet précieux une main douce et protectrice. Elle a aussi une petite tendance à la "j'm'en-bats-les-couillonnite", malgré vos réflexions fines sur la nature étonnante de cette déclaration, compte tenu de son sexe. SHANNON s’intéresse avant toute chose à sa FRANGE. Elle a un petit miroir dans sa trousse, qu'elle sort régulièrement pour vérifier que LA FRANGE est toujours bien en place. AFIF est le plus gros TRICHEUR de l'univers. Ses méthodes sont variées et raffinées. Mais lorsqu'il est pris sur le fait il nie avec tant de véhémence que vous finissez par douter : peut-être que ce cahier de cours ouvert sur ses genoux a en effet atterri là par hasard ? Il finit toujours ses plaidoiries par un sourire d'ange tout droit descendu du ciel, qui achève de convaincre son auditoire. Voilà. Vous en rencontrerez d'autres. Asseyez-vous à leurs côtés, Amandine pousse sa casquette pour vous faire une petite place !
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angelbastard · 7 years
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This song gives me strong divine vibes, unfortunately, it is French, so I translated it under the cut
Original Text: Auréole - IAM
Refrain :
Un jour on a courbé l'échine Et porte une couronne d'épines Qui pour certains s'est changée en cornes Priant pour que la mort la fasse auréole Mais quand les âmes ne laissent que des ruines Comment peut-on les trouver sublimes ? Ces vies passées à fermer les portes Sincèrement ne méritent aucune auréole
Premier couplet :
Quel intérêt, avoir des ailes d'ange ? Quand le rideau est tiré, il n'y a que 4 planches Ni richesse, ni maison, ni voiture indécente Ni rival aigri qui marche sur des plates-bandes
A quoi servent les yeux si le regard porte à un mètre ? C'est la différence entre être et paraître Je me fous que l'on dise comment j'étais avant Tant que ceux que j'aime savent ce que je suis maintenant
J'entends partout crier que la bonté est modulable Cracher le feu ici et boire le lait de l'au-delà Calculer chaque instant pour façonner son image Désolé je ne prends pas cette drogue la
Jacques a dit, mate le ciel bleu Affirme qu'il est gris, pour avoir l'air de... S'il te plaît, la ferme, la mort ne change rien Elle ne fera pas un saint avec un petit merdeux
On dit que chez les faibles, les émotions se lisent Du coup, nombre de gens sont masqués comme à Venise Privés de mémoire, coucher, lever tard Une comédie de vie c'est bien le fossé qui nous sépare
L'ange Raphaël n'efface pas l'ardoise Elle se paie directement ce beau jour où tu le croises Et 10 000 actes méprisants, dans le cours d'une vie Ne s'évanouissent pas en quelques phrases
[Refrain]
Second couplet :
Ne les laissez pas dire que j'étais grand, beau et fort Comme tous j'ai eu mes raisons, comme tous j'ai eu mes torts Moi je ne suis qu'un homme et c'est dans ma nature Je commets des erreurs, ouais, je fais plein de ratures
J'ai ordonné au miroir de flatter mon égo J'ai amassé un tas de trucs bien plus qu'il n'en faut Croyant qu'un fois au bout, je pourrais partir avec Et qu'arrivé là-haut, je pourrais rembourser toutes mes dettes
J'ai foutu le boxon partout où je suis passé D'une main j'ai semé et de l'autre j'ai fauché Certains ont fait de même et sont devenus des légendes A croire que les ailes ça pousse dans les champs de cendres
Le plus évolué de tous à les entendre Malgré toutes ces fois où j'ai goûté mon sang J'ai laissé tellement de plaies à panser Une partie de moi en a le cœur cabossé
Le mec en haut de la chaîne, le mal dominant Doté de conscience mais qui tire sur ses enfants Au théâtre des fous, moi, j'avais ma propre loge Donc, gardez vos belles phrases, ouais, gardez vos éloges
Car quand mon corps descend dans le fossé N'en profitez pas pour m'encenser Juste une place dans vos pensées La mort n'a jamais rien effacé
[Refrain]
Translation: Halo - IAM
Chorus:
One day we bent our backs And wore a thorn crown For some it changed into horns Praying for death to change it in a halo But when souls only leave ruins How to find them beautiful? Those lives spent closing doors Sincerely do not deserve any halo
First Verse:
Where's the point in having angel wings? When the curtain is closed, there are only four planks Neither wealth, nor houses, nor luxurious cars Not embittered rival walking on flower beds
How are eyes useful if you can only see to one meter? Where is the difference between being and seeming I don't care if some say how I used to be As long as those who I love know who I am now
I hear everywhere that kindness is subjective To spit fire here and drink the milk of there To calculate every moment to manipulate you image Sorry but I do not take that drug
Jacob said, watch the blue sky Affirm it is grey, to be different... Please, shut up, death won't change a thing It won't make a saint out of a little shit
They say that the weak's feelings are easy to read So numerous people wear a masque like in Venise Deprived or memories, go to sleep wake up late A comedy of a life is the pit that separates us
The angel Raphaël doesn't erase the slate It pays directly this beautiful day where you cross his path And 10 000 acts of disdain, in the curse of a life Do not fall down in a few phrases
[chorus]
Second Verse:
Don't let them say that I was tall handsome and strong Like all I had my reasons, like all I did wrong I am only a man and it's my nature I make mistakes yes I do wrong often
I ordered the mirror to flatter my ego I hoarded so many things, way more than needed Believing that once I reach the end I could leave with it And that once ascended I could pay back all my debts
I made an awful mess everywhere I went I planted seeds with a hand and with the other I mowed Some did the same and became legends Makes you believe that wings grow in ash fields
The most evolved of them from what it seems Despite all the time I tasted my own blood I left so many injuries to patch up A part of me has a broken heart
The apex predator, the alpha male Gifted of conscience but still shoots his children At the crazy and the foul's theatre, I have my own lodge So keep your pretty words, yeah keep your flatteries
Because when my corpse goes down in the pit Do not take advantage of it to incense me Just a place in your thoughts Death has never erased anything
[Chorus]
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etams · 7 years
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Diam’s - La Boulette
Alors ouais j'me la raconte, ouais ouais je déconne 
So yeah I brag, yeah yeah I fool around
Nan nan c'est pas l'école qui m'a dicté mes codes
No no, school didn’t teach me my ways 
On m'a dit que t'aimais le rap
I was told you like rap
Voilà de la boulette 
Here’s some good shit
Sortez les briquets, il fait trop dark dans nos têtes…
Grab your lighters, it’s too dark inside our heads…  
Alors ouais j'me la raconte, ouais ouais je déconne 
So yeah I brag, yeah yeah I fool around
Nan nan c'est pas l'école qui m'a dicté mes codes
No no, school didn’t teach me my ways 
On m'a dit que t'aimais le rap
I was told you like rap
Voilà de la boulette 
Here’s some good shit
Sortez les briquets… 
Grab your lighters…
Y'a comme un goût de haine quand je marche dans ma ville
I sense some kind of hatred when I walk in my city
Y'a comme un goût de gêne quand je parle de ma vie
I sense some kind of awkwardness when I talk about my life
Y'a comme un goût d'aigreur chez les jeunes de l'an 2000
I sense some kind of bitterness in the 2000′s youth
Y'a comme un goût d'erreur quand je vois le taux de suicide
I sense some kind of mistake when I see the suicide rates
Me demande pas ce qui les pousse à casser des vitrines
Don’t ask me what makes them break windows
J’suis pas la mairie, j’suis qu'une artiste en devenir
I’m not the municipality, I’m just an artist in the making
Moi j’suis qu'une boulette, me demande pas si j'ai le bac, j'ai que le rap 
I’m just a crack, don’t ask for my diploma, rap’s the only thing I have
Et je l'embarque et je l'embrase, je le matte car je l'embrasse
And I take it and I light it up, I watch it because I kiss it
Y'a comme un goût d'attentat, comme un goût de Bertrand Cantat
I sense attacks, some kind of Bertrand Cantat
Comme un goût d'anthrax pendant l'entracte
Some kind of anthrax during the intermission
Y'a comme un goût de foulek foulek chez les mômes
There’s some kind of craziness in the kids
Comme un goût de boulette boulette sur les ondes
Some kind of good shit on the radio waves
Alors ouais on déconne, ouais ouais on étonne
So yeah we fool around, yeah yeah we impress
Nan nan, c'est pas l'école qui nous a dicté nos codes
No no, school didn’t teach us our ways
Nan nan, génération “nan nan" 
No no, “no no” generation
Y'a comme un goût de viol quand je marche dans ma ville
I sense some kind of rape when I walk in my city
Y'a comme un goût d'alcool dans les locaux de police
I sense some kind of alcohol in the police departments
Y'a comme un goût de peur chez les meufs de l'an 2000
I sense some kind of fear in the 2000′s girls
Y'a comme un goût de beuh dans l'oxygène qu'on respire
I sense some kind of weed in the oxygen we breathe
Me demande pas ce qui les pousse à te casser les couilles
Don’t ask me what makes them pissing you off
J’suis pas les secours, j’suis qu'une petite qui se débrouille moi
I’m not the emergency services, I’m just a kid who gets by
J’suis qu'une boulette, me demande pas si j'aime la vie
I’m just a crack, don’t ask me if I love life
Moi j'aime la rime et j'emmerde Marine juste parce que ça fait zizir
I love the rhyme and I say “fuck you” to Marine, just because I can
Y'a comme un goût de bad boy, comme un goût d'Al Capone
I sense some kind of bad boy, some kind of Al Capone
Comme un goût de hardcore dans les écoles
Some kind of hardcore in the schools
Y'a comme un goût de foulek foulek chez les mômes
There’s some kind of craziness in the kids
Comme un goût de boulette boulette sur les ondes
Some kind of good shit on the radio waves
Alors ouais on déconne, ouais ouais on étonne
So yeah we fool around, yeah yeah we impress
Nan nan, c'est pas l'école qui nous a dicté nos codes
No no, school didn’t teach us our ways
Nan nan, génération "nan nan" 
No no, “no no” generation
Y'a comme un goût d'église dans l'inceste et dans l'enfance
I sense some kind of church in incest and in childhood
Y'a comme un goût d'Afrique dans les caisses de la France
I sense some kind of Africa in the french funds
Y'a comme un goût de démé-démago dans la bouche de Sarko
There’s some kind of demagogy in Sarkozy’s mouth
Comme un goût de mi-michto près des Mercos
Some kind of gold diggers near the Mercedes Benz
Y'a comme un goût de *coupe coupe* dans les chambres des jeunes
There’s some kind of *bang bang* in the youngsters’ bedrooms
Y'a comme un goût de *boum boum* dans le cœur de mes soeurs
There’s some kind of *boom boom* in my sisters’ hearts
Y'a comme un goût de “j’suis soulée de tout ce qui se déroule”
There’s some kind of “I’m done with everything that’s going on”
Y'a comme un goût de foulek, de boulette qui saute dans la foule
Some kind of craziness, of crack that’s jumping in the crowd
Alors ouais on déconne, ouais ouais on étonne
So yeah we fool around, yeah yeah we impress
Nan nan, c'est pas l'école qui nous a dicté nos codes
No no, school didn’t teach us our ways
Nan nan, génération "nan nan" 
No no, “no no” generation
S D-I-A-M D-I D-I-A-M, ah ah ouais grosse!
S D-I-A-M D-I D-I-A-M, ha ha yeah homegirl!
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