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#mariage divin
fullnft-fr · 2 months
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Moelleux gâteaux aux framboises fraîche
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Moelleux gâteaux aux framboises fraîche
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Succombez à la tentation d’une expérience gustative inoubliable avec nos moelleux gâteaux aux framboises fraîches. Chaque bouchée de ces délices délicatement confectionnés vous transporte dans un tourbillon de saveurs exquises, où la douceur du moelleux rencontre l’explosion juteuse des framboises fraîches. Ces petits chefs-d’œuvre pâtissiers incarnent l’harmonie parfaite entre la légèreté aérienne de la texture et l’éclat fruité des framboises soigneusement sélectionnées. Préparés avec amour et dévouement, nos moelleux gâteaux sont une invitation à savourer le bonheur à chaque bouchée.
Découvrez le mariage divin de la tendresse du gâteau et de la fraîcheur des framboises dans chaque aspect visuel de cette création culinaire. Les couleurs vibrantes des framboises fraîches se marient harmonieusement avec la palette délicate du moelleux, créant une œuvre d’art comestible qui éveillera tous vos sens. Les framboises, cueillies à leur apogée de fraîcheur, ajoutent une note acidulée et sucrée qui éveillera vos papilles à chaque dégustation.
Succombez à cette expérience sensorielle unique et régalez-vous de ces moelleux gâteaux aux framboises fraîches, conçus pour émerveiller vos papilles et égayer vos moments gourmands. Offrez-vous le plaisir d’une pause sucrée avec nos créations irrésistibles, où le moelleux devient une véritable célébration des saveurs. Parfait pour toutes les occasions, ces gâteaux feront fondre tous les amateurs de desserts exquis.
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sinfulpunishment · 4 months
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✎ᝰ┆A Heart for a Heart
─❏ Warnings: none
─❏ Characters: Fyodor Dostoevsky, implied Nikolai Gogol
─❏ Synopsis: A rat is searching for its meal in the unforgiving Russian winter, instead it finds a mourning dove in a cage of bone.
─❏ A/N: also had fun with the symbolism for this piece, eat up fyolai-ers
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A mourning dove confined to a cage carved from bone and a black rat who arrived at the smell of blood.
The dove’s plumage is thick and soft, the colors resembling that of tea with milk. This is quite deceiving, however, considering that underneath blood is pooling and beginning to seep through the feathers.
It was this blood that the rat had been so attracted to. The rat is starving, it is on the brink of freezing in the northern cold. Its black coat is slick with a slight sheen, the fur clings to its frail, trembling body. The rat stares at the dove with its beady eyes, assessing its possible meal.
The mourning dove is trapped in a cage of bone. The bone is carved with intricate and mesmerizing patterns, some gaps being slightly larger than others but not big enough for the dove to squeeze through. The rat, however, has no problem maneuvering through the bars.
The rat stands before the dove, just outside of the cage. While it is well aware that it may slip between the bars, the rat errs on the side of caution seeing as it is not fully aware of the dove’s physical state. The dove seems to beckon the rat closer but the latter maintains its distance, much to the disliking of the dove.
Days go by, the rat observes the dove and notes its behaviors, keeping a mental log. The dove slams itself into the bars of bone repeatedly, acquiring a multitude of injuries from such activities. It will tear at the bars with its feet and beak, the reward coming when a faint crack can be heard, signaling to the bird that the effort was not wasted. It is a rather pitiful pursuit to observe, but the dove does not back down from the path towards freedom.
The rat, meanwhile, will lay and watch. The frail creature shivers in the cold, only curling further in on itself. The rodent is starving, it is considering leaving the dove in pursuit of an easier source of nutrition. If the rat does not leave it risks dying due to starvation or hypothermia, neither of which being a peaceful way to leave the world.
On a particular day, the dove is preening itself methodically, a few loose feathers are picked out and set aside by the bird. The rat is still curled up outside of the cage, shivering rather violently in the frigid air, seemingly asleep. That is, until it is awoken by a soft tickle on its side. The mourning dove offers its feathers to the rat as well as some of the food stored in the cage. The rat, while hesitant at first, accepts the offering from the dove. It feasts upon the food it was given and uses the feathers for warmth.
The sharing of food becomes a commonplace between the black rat and the mourning dove. Over time the two seem to grow closer, forming a bond. Despite their differences, they seem to have found a trust and understanding of one another.
A bond between such different creatures is peculiar and yet admirable, in a sense. However, at the end of the day they will always be a rat living outside, free to go wherever it pleases, and a dove trapped within a cage of bone, struggling every day to gain its freedom.
A man as vile as a rat, guided by the divine, befriends a man who’s heart longs for freedom but is trapped within a cage of his own body. A man devoted to God walking beside a man wishing to oppose God. What a peculiar pair, and yet they feel seen by one another.
Perhaps a boy with raven-black hair will give a key to a boy with moonlight for hair. Perhaps the white haired boy will open the door to the cage of bone and remove the dove from its confinement. Perhaps the white haired boy will offer the dove to the black haired boy, the boy who will hesitate, scared of his own tiny hands, but will accept and cup the bird gently in his hands.
Perhaps together they will care for the mourning dove and the black rat.
That is, if the black haired boy is ever willing to hand over his heart.
— Fyodor Dostoevsky
A key shaped hole in his heart.
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L'amant tantrique :
"L'amant tantrique, c'est d'abord l'amant, c'est-à-dire l'homme amoureux, en désir et en relation avec sa partenaire. L'amant, c'est l'homme qui aime la femme dans ce qu'elle a de plus précieux, qui est passionnément en relation en relation avec celle qu'il désire et qu'il comble, qui est totalement présent à elle et qui accueille avec amour le don de soi que lui fait cette femme, elle qui lui offre la part la plus secrète et la plus sacrée d'elle-même. L'amant, c'est aussi le plaisir, le plaisir de la fête des sens, de la puissance virile que l'on sent dans son sexe et ses reins, et ce plaisir s'exprime dans cette rencontre avec la femme.
Mais dans l'aspect tantrique, il y a autre chose que la rencontre des corps, ou la rencontre inconsciente des cœurs. Il y a aussi ce sentiment initial, souvent inconscient chez l'homme, que le désir qui le pousse vers la femme, qui le porte vers cette rencontre, relève de quelque chose qui le dépasse. Il sent profondément au fond de lui-même que la femme comporte la deuxième moitié de l'histoire, la deuxième moitié de l'Un, et que, ensemble, lui et elle peuvent atteindre l'union, le Un.
Mais comment devenir amant tantrique ? (...) Il s'agit alors de combiner habilement la puissance virile, la force mâle, qui est celle du courage, de la vitalité, de l'audace, du lion sauvage, avec la relation qui est écoute, ouverture du cœur, sensibilité à l'autre. C'est donc un mariage du yang et du yin, dont la notion de "présence" est peut-être la meilleure synthèse. Un homme est présent à sa compagne lorsqu'il est à la fois dans cette puissance et dans cette écoute, lorsqu'il s'ouvre à sa force virile tout en suivant le tempo de sa partenaire, tout en étant relié à son cœur.
Alors une alchimie s'effectue, la femme s'abandonne à sa féminité qui est ouverture et accueil. Elle rend alors l'homme encore plus homme, et l'homme en la pénétrant de son amour et de sa puissance, la rend encore plus femme. Ainsi, tous les deux se polarisent, deviennent encore plus homme et femme. Ils quittent progressivement les habits de leur ego, de leur moi, pour endosser les archétypes de l'homme et de la femme, de Shiva et Shakti dans la mythologie tantrique. En s'unissant, ils deviennent Dieu, ou plus exactement, ils célèbrent et vivent la présence Divine en eux."
~ Jacques Ferber
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claudehenrion · 7 months
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Retour à Ravenne
Une des rares choses que j'ai trouvées agréables pendant mon exercice de ''retrait de la vraie vie pour cause de désespoir profond'', c'est la possibilité de pouvoir rêver à des hypothèses qui ne font normalement pas partie de mes soucis quotidiens. Par exemple, je n'ai jamais le temps de me poser des questions comme : ''Le monde allant si mal, où ai-je envie de me réfugier, pour attendre la fin ?''... Sorti des poncifs incontournables (''les villes où je pourrais vivre, hors Paris, sont Rome et Athènes'' –auxquelles j'ajoute, moi, mon cher Rabat, unique objet de mes désirs secrets), on est très vite essoufflé. L'île Maurice, peut-être ? Et au delà ?
C'est lors d'une de ces ''rêveries d'un promeneur solitaire'' que m'est revenu, brutalement, un souvenir en forme d'éclair : Ravenne, à laquelle tant de moments d'extase m'attachent. On a beau avoir été prévenu par des parents ou des amis qui y ont été avant vous, l'électro-choc culturel, historique, esthétique et autres est assuré. En venant de Rome, il a d'abord fallu traverser ce désert humain et artistique qu'est la côte entre Ancona et Cesenatico : un étalage de toute la laideur, la vulgarité, la prétention, le néant dont est capable notre époque. Des foules immenses, heureuses de leur ''laisser-aller'', des hordes de caricatures déguisées en touristes, des tenues ''négligées'' par millions, des usines à malbouffe par centaines de milliers, des hôtels moches par dizaines de milliers, des SUV trop gros par milliers... tout est laid, vulgaire, raté... Au loin, le rocher de San Marino domine à pic ce paysage désolé, mais n'intéresse personne : il est trop loin du bruit et des ''boum-boum'' des sonos trop fortes...
On manque d'abandonner lorsque cela se transforme en marécages plus ou moins asséchés, assez désespérants, car on a l'impression qu'ils ne vont jamais finir... Et tout-à-coup, un panneau, à droite, inespéré : ''Ravenna, 3 km''. Zut : Il est trop tard pour découvrir la ville. Un autre panneau, en face ''Lido di Ravenna, 1 km''. Le temps de trouver un hôtel les pieds dans l'eau, de piquer une tête dans l'Adriatique et de louer ''una Vespa'' pour pouvoir se prendre pour Gregory Peck et Audrey Hepburn dans ''vacances romaines'' (l'obligation de porter des casques –rouges dans ce cas-- garantissant que le rêve ne durera que quelques secondes !), et on est prêt pour la visite.
Et c'est là que le ciel vous tombe sur la tête : tout est beau, tout est grandiose, tout est à dévorer des yeux... Cette petite ville portuaire du delta du Po, de nos jours endormie et un peu boudée par les hordes assoiffées de vide ensoleillé et de nuits passées à se trémousser en rythme, fut en d'autres temps la seule ''charnière'' entre l'Empire romain d'occident, en chute vertigineuse, et l'Empire byzantin, alors au faîte de sa gloire. Devenue Capitale à la place de Rome, elle a entretenu pendant près de trois siècles l'héritage gréco-latin, devenant un foyer de maintien et le creuset de ce qui sera l'Europe.
Dans un ballet étourdissant –dont les traces s'étalent devant vous à chaque tour de roue de votre ''Vespa''-- apparaissent et disparaissent des empereurs éphémères, des rois barbares (germains, burgondes, wisigoths, voire huns), des généralissimes félons et des nobles exarques, des archevêques simoniaques et des cardinaux sans points éponymes (mais empêtrés dans le débat mortel du ''filioquisme'' qui offrira, un peu plus tard, Constantinople à l'islam... et nous à un futur peu prometteur), des architectes de génie, des créateurs de merveilles et des bâtisseurs pleins d'une foi évidemment d'inspiration divine, qui vont donner naissance à un monde nouveau dont la beauté vous explose littéralement au visage, dans un mariage réussi entre Rome, Byzance, Athènes, Jérusalem et tout le ''mare nostrum', dont Charlemagne s'inspirera (entre 793 et 813) dans la construction de sa Chapelle Palatine à Aix --dans laquelle il voudra être enseveli. en 814.
Décrire les monuments dignes de visite est inutile : d'abord parce que nous sommes dans un Blog, pas dans un guide touristique, et ensuite parce que... ils le sont tous ! En revanche, j'ai envie, en me replongeant dans les souvenirs de ces heures bénies, de vous expliquer le besoin que ces rues créent de vous faire revivre des moments de cette antiquité finalement proche (ou : rendue plus proche, grâce à elle) : c'est un temps peu connu de notre histoire, les programmes officiels ayant quelque peu tourné le dos à l'Empire byzantin. Outre Ravenne, j'ai ressenti cette attirance pour revivre l'épopée de Byzance-Constantinople dans les déserts de Syrie ou de Jordanie, où je ne pouvais me décider à quitter telles ruines de cités qui avaient été immenses (des arènes avec 15 000 places, ça implique des vraies ''villes'', avec cent mille habitants et plus !). Il faudra la poussée furieuse de l'islam pour mettre le mot ''fin'' sur cette merveilleuse aventure.
En 1453, Constantinople assiégée par Mehmet II el-Fatih (= le Conquérant) et sentant le danger de cette terrible menace, à supplié Venise, alors immense puissance maritime, d'envoyer sa flotte de galères pour desserrer l'étau. Mais l'une était ''filioquiste'' et l'autre, pas et cette querelle sur une préposition adverbiale (''par'', pour l'un, ''et'' pour l'autre !) a entraîné la fin du grandiose Empire byzantin... et a coûté aux générations suivantes un demi-millénaire (pour le moment) de malheurs, de contraintes, d'épreuves, de guerres (et de terrorisme !) et, depuis peu, de drames indescriptibles liés à la violence inhérente à l'Islam. L'histoire n'étant parfois qu'un éternel recommencement, fasse le ciel qu'une redite du destin de Ravenne (par exemple autour des mots ''amalgame'', ou ''migrant'' en lieu et place du ''filioque'' d'alors) nous soit épargnée, à nous et à nos descendants !
H-Cl.
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jarl-of-nordland · 8 months
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La Fraternité
Jules Dalou was a prolific French sculptor of the 19th century. A great sculptor, he was regularly denied opportunities due to his working class and communist sympathies. Due to his association with the French Commune he fled to England in 1871. He would only return to Paris in 1879 after being granted amnesty.
In the slightly-larger-than-life sculpture a young man holds the hands of an older, seated, and bearded man. Beneath the younger man’s feet are discarded guns, a spear, helmets, and an armor chest plate. Above them three divine women appear ready to crown the bearded man with a laurel, one wearing a Phrygian cap.
The sculpture is in the Salle des Mariages (Wedding Room) of the 10th Arrondissement’s Town Hall.
Aimé-Jules Dalou. 1883. Salle des Mariages, Mairie du 10e Arrondissement.
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selidren · 1 year
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Eté 1897 - Champs-les-Sims
6/7
Fort heureusement, tout s’est fort bien passé. Ma grand-mère m’a précisé que ma douce Marie a souffert de ce qu’elle appelle la “démence passagère de la parturiente”, mais sans réellement vouloir m’en dire plus. Je suppose que la douleur fait dire aux futures mères des choses qu’elle regrette plus tard, même si connaissant mon épouse, c’est fort son genre de regretter la moindre parole qu’elle profère. 
Quand on me fit entrer dans la chambre et que Marie me mis notre fils dans les bras, j’ai compris que ma vie venait de changer du tout au tout, et qu’à jamais je serai tributaire de ce petit être si fragile qui a tant besoin de moi et de sa mère.
Transcription :
Eugénie : A votre aise ma petite.
Marie : N’y a-t-il... pas moyens... d’atténuer la douleur autrement ?
Eugénie : Vous pensez aux médicaments ? Je ne crois pas que de telles choses existent.
Marie : Rose m’a parlé d’un... une substance qu’on appelle morphine.
Eugénie : Il faut absolument que je dise à Adelphe d’arrêter de lui ramener des revues de médecine de Paris. Cette petite doit cesser de se bercer d’illusions, une femme ne peut devenir médecin. De toute façon, quelle mère aurait envie de se priver de sensations le plus beau jour de sa vie ? J’ai accouché de six beaux enfants, et rien ne m’a paru plus divin dans ma vie que l’instant, où, à peine sortis de mon sein, la sage-femme me les déposait sur le ventre.
Marie : Je croyais que le plus beau jour de la vie d’une femme était son mariage ? Vous ne m’aidez pas beaucoup Eugénie.
Eugénie : Bien sur que je vous aide ! Je vous écoute déblatérer vos âneries depuis des heures déjà, entre blasphème et remise en question de mes compétences ! J’ai accouché ma plus jeune fille et ma bru à chaque délivrance, et tous ces enfants sont en pleine santé. Alors pour l’amour du ciel, cessez de faire l’enfant et allongez vous sur le lit !
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kaleisillustrations · 7 months
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🤍
Le Blanc, représentant la Paix, la Pureté, l’Innocence, la Sagesse et la Virginité, symbolisant la Légèreté et le Détachement, plus que jamais associé au Divin et à la Spiritualité, au Froid Hivernal, et au grand Nord, sera notre « non couleur », aujourd’hui.
Tout comme le Noir, le Blanc n’est pas lui aussi, scientifiquement, considéré comme une « couleur », car il est la somme de toute forme de lumière et non le renvoie d’une couleur du Spectre Visible, sur un objet frappé par la lumière. Aussi, parallèlement au Noir, il est communément considéré comme une « couleur », du fait des émotions qu’il provoque chez nous. On peut cependant dire que le Blanc serait l’extrême opposé du Noir, sur l’échelle de la luminosité mais aussi sur les significations que nous lui assignons.
Le Blanc serait la seule « couleur » qui n’évoque que du positif chez l’Homme. Synonyme de Pureté, on l’utilise pour symboliser, entre autres, le Mariage, la Naissance, ou le Baptême, trois événements que l’on considère « sans tâche ou défaut ». On parle aussi du caractère « immaculé » du Blanc que l’on associera au Divin et au Spirituel.
Il représente également l’Hygiène et la Propreté, c’est pourquoi on le retrouvera beaucoup sur les marques et produits de nettoyage ou cosmétiques.
Enfin, le Blanc serait la moitié d’un Équilibre parfait, avec le Noir, ces deux « couleurs » opposées mais complémentaires, puisque sans Noir il n’y aurait pas de Blanc (comme le Ying accompagnera toujours le Yang).
Ainsi, en accord avec cette dernière symbolique, mon illustration de Stephen Teahuotoga, votre candidat #9, sera reliée à l’énigmatique Déesse « ‘𝐴𝑖𝑎𝑟𝑢 𝑡𝑖̄𝑎’𝑖 𝑝𝑜̄ », reine suprême des Ténèbres et déesse gardienne du 𝑃𝑜̄, celle qui maintient l’équilibre entre le monde des dieux et le monde des hommes.
N’oubliez pas de voter pour Stephen Teahuotoga, neuvième candidat à l’élection « 𝑀𝑖𝑠𝑡𝑒𝑟 𝑇𝑎ℎ𝑖𝑡𝑖 », le 07 Octobre 2023, et de faire miroiter de teintes Blanches, les jardins de la Mairie de 𝑃𝑎𝑝𝑒𝑒𝑡𝑒.
Retrouvez tous vos candidats sur la page @mistertahitiofficiel
#mistertahiti2023 #stephenteahuotoga #candidat9 #blanc #kaleisillustrations #polynesiefrancaise
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sofya-fanfics · 2 years
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La recette de famille secrète
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Voici ma participation pour le Flufftober 2022. J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Soma ajouta les épices à la sauce et la versa sur la viande. Il sourit. C’était enfin prêt. Ils prit les assiettes et se dirigea vers la salle à manger, où Erina l’attendait.
Disclaimer : Food Wars! appartient à Yūto Tsukuda, Shun Saeki et Yuki Morisaki.
@flufftober​​​
AO3 / FF.NET
Soma ajouta les épices à la sauce et la versa sur la viande. Il sourit. C’était enfin prêt. Ils prit les assiettes et se dirigea vers la salle à manger, où Erina l’attendait. Il posa les assiettes sur la table et s’assit en face de la jeune femme. Il était à la fois anxieux et impatient de savoir si le dîner qu’il avait préparé lui plairait. C’était la première fois qu’il cuisinait pour elle en dehors d’une préparation pour un Shokugeki.
Cela faisait deux mois qu’ils étaient en couple et Soma voulait faire quelque chose de spécial pour elle. Lui préparer à dîner n’était pas une chose facile à cause de son palais divin.
Erina prit une bouchée et mangea. Soma l’observa, attendant sa réaction. Il avait l’impression qu’elle s’amusait en le faisant patienter. Elle posa sa fourchette sur l’assiette et sourit malicieusement.
« C’est pas mal. »
Soma ne put s’empêcher de sourire. Il la connaissait bien et il savait qu’elle le taquinait. Elle avait trouvé son plat excellent, mais elle refusait de lui avouer. Ce n’est pas grave, pensa-t-il. Pour cette fois, il ne dirait rien. Elle reprit sa fourchette et goûta un autre morceau. Elle fronça les sourcils et réfléchit.
« C’est étrange, dit-elle. Je peux sentir tous les ingrédients, mais j’ai l’impression qu’il y a quelque chose en plus. »
Elle ferma les yeux, se concentrant sur le goût.
« Je ne trouve pas ce que c’est. »
Elle ouvrit les yeux et découvrit le sourire taquin de Soma. C’était rare que le palais divin d’Erina ne trouve pas les ingrédients d’une recette.
« Qu’est-ce que tu as ajouté ?
-C’est l’ingrédient secret d’une recette de famille. »
Soma se souvint de ce jour où il avait appris cette recette. Il n’avait que sept ans et comme chaque jour, il observait son père cuisiner. Cette journée était importante pour Joichiro. C’était son anniversaire de mariage et il avait organisé une soirée spéciale pour lui et Tamako. Pendant qu’il cuisinait, il montrait chaque étape de la recette à Soma, qui était concentré sur ce que faisait son père.
« J’ai ajouté un ingrédient secret à la recette, dit Joichiro. »
Soma le regarda, perplexe. Il n’avait rien vu. Qu’est-ce que son père avait bien pu ajouter ?
« L’ingrédient secret, c’est l’amour. »
Soma était déçu. Le petit garçon avait l’impression que son père se moquait de lui.
« Ce n’est pas un ingrédient, dit-il boudeur. »
Joichiro s’agenouilla et lui ébouriffa les cheveux.
« Quand tu cuisineras pour la femme que tu aimeras, tu comprendras. »
Soma regarda Erina et sourit. En la rencontrant, il avait compris ce que son père voulait dire.
Fin
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21h11 : J'ai rencontré un garçon en juillet et vraiment tout se passait à merveille, il embrasse divinement bien et le sexe avec lui c'est wahouuu il reste plus d'une heure à me faire des préliminaires c'est incroyable. En plus il est érudit, on aime les mêmes séries et c'est super intéressant de parler avec lui. Bref, du coup depuis juillet moi j'étais sur mon petit nuage avec lui parce que y'avait vraiment 0 couac, 0 truc louche, 0 anguille sous roche et vraiment entre nous deux ça coulait douce, c'était hyper fluide comme de l'eau de roche. On parlait de comment on imaginait l'avenir combien de gosses on voulait, quel mariage on voulait organiser, bref de grands projets sur la comète vous connaissez la chanson.
Et genre je restais quand même sur mes gardes parce que je me disais bon quand est-ce que la merde arrive. Parce qu'on sait touuuuus que y'a une merde qui déboule de nulle part au bout d'un moment. Bah ça y est la merde est arrivée et je ne sais absolument pas comment réagir à ça.
En gros la semaine dernière on devait se voir et au dernier moment il a annulé car il avait empêchement familial, enfin voilà vous connaissez la traditionnelle "excuse familiale" qu'ils nous sortent tous, et depuis il est super distant et met des années lumières à répondre à mes messages.
Je suis tellement déçue il avait tellement de potentiel mais il n'est en fait qu'un tocard parmi tant d'autre snif snif.
Honnêtement je ne sais pas comment réagir face à cette situation. J'oscille entre littéralement péter les plombs et lui gueuler dessus tout en le bloquant et en l'insultant. Rester patiente et lui laisser le temps de s'expliquer parce que peut-être qu'il a un vrai problème ou que ça ne va pas pour lui en ce moment. Ne plus jamais le calculer et le supprimer sans explication. Lui demander si tout va bien ??? Et dernière option rappeler mon ex parce que j'ai son short nike bleu qu'il aimait beaucoup et faudrait peut-être que je lui rende un jour et je peux lui rendre avec un petit câlin en bonus histoire de me consoler.
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oviri7 · 2 years
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« Quand le monde était de cinq siècles plus jeune qu'aujourd'hui, les événements de la vie se détachaient avec des contours plus marqués. […] Chaque acte, chaque événement était entouré de formes fixes et expressives, élevé à la dignité d'un rituel. Les choses capitales, naissance, mariage et mort, se trouvaient plongées, par le sacrement, dans le rayonnement du divin mystère; les événements de moindre importance, eux aussi, voyage, tâche ou visite, étaient accompagnés d’un millier de benedictions, de cérémonies et de formules. Contre l'adversité et l'indigence, il était moins d'adoucissement qu'aujourd'hui; elles étaient plus redoutables et plus cruelles. La maladie et la santé présentaient un plus grand contraste; le froid et les ténèbres de l'hiver étaient des maux plus âprement sentis. »
Johan Huizinga - L’automne du Moyen Âge
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aisakalegacy · 2 years
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Été 1891, Hylewood, Canada (3/7)
Tu te doutes bien de ce qu’elle voulait. Les dieux mettent à notre disposition des présages, que l’homme a passé ces deux derniers millénaires à tâcher d’ignorer, mais qui sont bien présents dans la Nature. Quand Romulus et Rémus décidèrent de fonder une ville, ils s'en remirent aux augures. Il est de notre devoir d'observer et d'interpréter les signes d'approbation ou de désapprobation envoyés par les dieux en référence à toute entreprise proposée, sans quoi l’on s’expose à des échecs qui auraient pu être prévenus. Mais il ne faut pas se hâter dans l’interprétation des présages, ou sinon, tel Crésus quand il se méprit sur l’oracle de la Pythie dans sa hâte d’en découdre avec les Perses, on prend le risque de grandes défaites. Le mariage est une bataille, aussi, tel un vaillant général romain consultant les augures avant de partir en guerre, je pris la décision de m’en remettre aux dieux.
[Transcription]
Virgile Le Bris : Observe la beauté des simplicités naturelles offertes par les dieux. N’est-il pas incroyable de se dire qu’en face, c’est l’Amérique ?
Jeanne Daville : C’est très beau, Monsieur Virgile. 
Jeanne Daville : Vraiment, je suis amoureuse de cette île. Ce que je donnerais pour pouvoir y rester !
Virgile Le Bris : C’est ce que j’apprécie chez toi, tu sais apprécier les choses simples. Les gens, de nos jours, ont perdu le goût des choses simples ! Ils se sont éloignés de la nature avec leurs locomotives, leurs machines, et ils ont perdu le sens de l’Homme.
Jeanne Daville : Oh, euh, oui. Je crains n’être plus tout à fait en accord avec la nature moi-même. Vous pourriez m’aider à la retrouver, mais hélas, je devrais repartir à la fin de l’été… Si seulement il y avait quelque chose que vous pouviez faire pour éviter cela…
Virgile Le Bris : Hélas, la destinée est parfois brumeuse et nul ne peut déchiffrer les volontés des Moires !
Jeanne Daville : Ce que j’essaye de dire, Monsieur Virgile, c’est que j’apprécie votre compagnie, et vous semblez apprécier la mienne, et…
Virgile Le Bris : Pas un mot de plus ! J’ai bien compris où tu veux en venir, et je ne peux pas prendre une décision d’une aussi grande importance avant d’avoir consulté les auspices divines.
Virgile Le Bris : Pour le moment, profitons des choses simples. Je te donnerai ma réponse demain. 
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th3lost4uthor · 1 year
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Au Lotus Pourpre - Acte 10
/!\  ATTENTION  /!\  
Ce chapitre contient une description très graphique empreinte des concepts de mort et de suicide. Si vous ne vous sentez pas à l’aise avec ces-derniers, vous pouvez directement sauter au paragraphe annoté d’un astérisque (*)
Bonne lecture !
Là, attaché à une épaisse branche, une corde oscillait au gré des vents. Attaché, à la dite corde, se trouvait un corps. Les articulations étaient lâches, les épaules tordues dans une position grotesque ; une vaine tentative instinctive pour se débattre. Pour survivre. Le long de ses jambes, les organes avaient commencé à se délester de leur contenu, à présent superflu, ruinant au passage le pantalon de soie foncée. Les mains, comme le reste de la peau, étaient exsangues. Les seules veines visibles étaient d’un bleu maladif, pas celui du ciel, pas celui de la robe de Mia… Elles serpentaient tels des vers cherchant à s’échapper de cette prison de chaire, désormais inutile, remontant sous la veste brodée de fils d’argent, pour atteindre une nuque à l’angle étrange. L’image de ces poupées maltraitées par les enfants s’imposa : on avait l’impression qu’à la moindre secousse de l’arbre, celle-ci pouvait sauter. De longs cheveux noirs venaient couvrir le visage du défunt, mais si l’on penchait la tête, on pouvait en apercevoir les traits, défigurés par l’agonie. Si l’on penchait la tête, on pouvait voir…
             (*) Ligi dut se contenir pour ne pas hurler.
 Ce…
Ce n’est pas lui !
 « Hiiiiiirrrooooo !! Noooonnn !!! » Cela ne semblait malheureusement pas être la même chance pour celle à ses côtés. « Pourquoi ?! Pourquooooiiii ?!!! »
             Encore anesthésiée par le soulagement, Ligi ne reconnut pas tout de suite la dame à la chevelure de feu, et qui suppliait à deux genoux les Sept Divins de lui rendre son aimé. Elle portait une robe délicate aux accents du printemps : le rose pâle et le vert feuille se mélangeant à la boue. Une broche dorée, taillée sur le motif de brins de blés entrecroisés, en maintenait les pans. Elle ne portait que quelques bijoux sommaires, mais leur finesse témoignait de son rang. Ses lèvres étaient un mélange de rouge et d’ambre, tandis que ses grands yeux noisette, noyés par les larmes et la poudre, étaient d’une grande clarté. Elle était magnifique. Et il s’agissait sans aucun doute de…
 « Madame, je vous en prie ! » Un homme, à l’apparence proche d’un domestique, tentait de la relever. « Vous ne devriez pas- !
- Hiiiirrrrooo !! »
 Tricia… Tricia Primer.
             La plèbe ne semblait pas encore avoir reconnu la fille de l’un des plus grands maréchaux de l’Empire, mais nul doute que ses vociférations ne tarderaient pas à attirer davantage l’attention que le cadavre auxquelles elles étaient lancées. En parlant du malheureux…
 Hiro… ? Comme dans Hiro Savelin ?
             Si tel était le cas, alors comment le délégué des troupes maritimes avait-il pu finir ici ? Et surtout… Pourquoi ? Il était connu que la famille des Savelin, autrefois bourgeoise sans titre, avait pu s’élever par la voie militaire et administrative ; elle était également issue des Plateaux Ouest, mais pourquoi le jeune homme avait-il donc choisi ce lieu, si éloigné de ses terres natales ? Après tout, le suicide, en expiation ou pour raisons médicales, était monnaie courante. Im’bo, gardien des âmes avait tout un code à ce sujet ! Ne pas honorer ses proches en leur permettant de recueillir votre dernier souffle était vécu comme un acte de trahison ! Toutefois, si Hiro n’avait pas souhaité mourir auprès de sa famille, alors… Ligi revint sur Tricia Primer, qui se débattait à présent pour échapper à la poigne de ses serviteurs.
 C’est qu’il avait quelque chose à se reprocher…
Quelque chose de plus grave encore que de ne pas respecter
le droit du deuil.
.
.
Son père a pensé que notre union pourrait renforcer
le statut de nos familles…
.
Les Cimes ne plaisantaient pas avec le protocole.
             Cela n’allait faire qu’un mois, un mois et demi au maximum… Une fille de la Haute ne pouvait pas se permettre un nouveau mariage aussi vite. Pas elle en tous cas. Pas dans ces conditions. Elle n’était même pas sûre que sa séparation avec le Seigneur Yuei n’ait encore été officialisée ! Ce qui signifiait que…
 Au regard de la réputation du Maréchal Primer, son père,
elle n’avait pas dû connaître beaucoup de « fantaisies » avant sa rencontre
avec le Seigneur Yuei.
.
Frustrant pour elle.
.
Aujourd’hui, elle m’a remercié de l’avoir accompagnée au marché ! 
.
Relation univoque
.
Et par-dessus tout… Il voulait le bonheur de son épouse.
.
.
La…
La salope !!
             Ligi se leva d’un bloc et, sans y songer davantage, se dirigea vers le corps gémissant dans la fange. Le mouvement capta le regard d’une partie de la foule, dont celle d’une petite robe bleue. Celle-ci, voyant la démarche de son amie, ne put retenir un juron, cherchant tant bien que mal à la rejoindre avant que ce qu’elle savait comme le cataclysme du siècle ne s’abatte. Les dames de compagnie étaient d’apparence douce et charmante… mais l’on ne déclenchait la colère d’une pute qu’à ses risques et périls.
           Heureusement, la petite cour qui accompagnait Tricia Primer se rendit compte de l’approche, formant un cercle protecteur autours de leur maîtresse. Celle-ci, essuyant son visage, fut comme frappée d’étonnement devant la frêle silhouette enveloppée de la tête aux pieds dans un velours épais, chapeau de paille et mitaines l’accompagnant. Heureusement. Du moins c’est ce qu’elle crut un instant, car si Ligi était parvenue à reconnaître « l’épouse » … l’inverse venait de se produire.
 « T-toi !! » La plainte se transforma en rage aveugle, forçant la dame de compagnie à reculer malgré ses premières intentions. « C’est t-toi, hein ? Des cheveux b-blancs et une t-tenue pareille ? Tu es la p-pute du L-lotus !! »
             Ni une, ni deux, Tricia était à son cou. Parmi les spectateurs, la stupéfaction se mélangeait aux théories les plus folles, tandis qu’une fleur bleue tentait désespérément de rejoindre la pourpre.
 « C’est toi ! Toi !! » Continuait la noble, hystérique. « C’est toi qui me l’as volé !
             Pourquoi fallait-il donc toujours que cela soit de sa faute ?
 « Q-quoi… ?!
- Si tu ne l’avais pas charmé, c’est moi que le Seigneur Yuei aurait aimé : moi et moi seule ! » Le teint noisette de ses iris s’animait de lueurs brulantes. « Tu lui a ouvert tes cuisses et tu as ruiné notre union ! Tu le voulais pour toi seule, hein ? »
             S’en était trop.
 « Mais qu’est-ce que vous racontez enfin ? » Ligi s’agrippa à la fine tunique de son agresseuse. « Par la Déesse, le Seigneur Yuei vous aimait ! Il vous aimait plus que vous ne l’avez jamais aimé ! Et il vous aime toujours sombre sotte ! 
- C-comment os-… ?!
- Non, Tricia Primer, c’est vous qui allez m’écouter. » Jamais une voix aussi terrifiante n’avez secoué corps si mince. « Votre époux était désespéré, oui. Désespéré par l’incapacité de vous « montrer » son amour. Mais jamais il n’a renoncé ! Il a tout essayé, alors même qu’il…! »
 Non. Pas ici.
Pas devant…
 « … qu’il ne parvenait pas à atteindre vos exigences ! Et le pire - le pire, Madame, c’est qu’il en avait parfaitement conscience !!
- E-est-ce une raison pour se v-vautrer dans un bordel ?!
- Le Lotus Pourpre est une maison d’hôtes ! » Et plus si affinités, enfin bref. « Il n’était pas venu y chercher une substitution, mais des conseils ! Et si vous voulez tant le savoir, Madame, ce ne sont pas mes cuisses que j’ai offert à votre époux, mais mes oreilles pour l’écouter, mon épaule pour pleurer… »
 Mon cœur pour…
 - J-je… Il ne m’en a jamais par-…
- Ce n’est pas quelque chose que l’on dit ! Si vous n’avez jamais remarqué le moindre changement, cela est bien la preuve que vous n’en aviez rien à foutre ! Le sexe n’est ni le moyen ni la finalité de l’amour, sinon, toutes les putes de la terre seraient déjà le médaillon au cou ! » Soupir. « Et ça vous l’auriez compris si vous n’aviez pas été occupée par vos propres… expériences avec fut Messire Hiro ici présent. »
             Ce furent les mots de trop pour Tricia Primer. Avant qu’elle n’ait pu voir le geste venir, Ligi reçut de plein fouet le coup de l’autre, remarquablement puissant en considérant sa constitution si gracile. Toutefois, la vive brulure qu’elle ressentit immédiatement ne fut pas celle qui l’inquiéta le plus… Mais celle du soleil.
 « T-tais-toi ! Hiro, lui, m’aimait ! Il a su répondre à mes désirs alors que c-ce… rat de bibliothèque… ! »
             Ligi, les yeux fermement clos, une main devant le visage, cherchait désespérément à retrouver les Luminines, ou même son chapeau, tous deux éjectés avec la gifle qu’elle avait reçue. Comme elle aurait aimé que Lupt’iel lui vienne en aide… Ne serait-ce que pour faire taire l’autre folle ! Tous les « mariages brisés » par elle ou bien ses sœurs n’étaient pas le fait des épouses, bien au contraire, mais dans ce cas précis…
 « Et finalement, est-ce trop demander, hein ?! » Elle sentait son ombre contre sa nuque à vif. « Tout ce que je voulais, c’était d’être aimée !! »
 Mais l’amour peut prendre différents vis-… !
 « Comme si vous n’en receviez pas assez ! Vous devez aussi voler celui des honnêtes épouses ?! » Honnête ? Vous… ? « Et comme pour tout vol… Je réclame justice !! »
             Elle entendit l’air siffler, le cri de Mia qui perçait la clameur de la foule, le rire dément empli de souffrance… Mais elle ne ressentit pas l’impact. Bientôt, une silhouette plus grande encore vint s’interposer entre elle et l’astre du jour, tendit que les bras protecteurs de son amie tentaient de l’aider à se relever. Une voix forte couvrit toutes les autres.
 « Madame… Je crois qu’il est grand temps que vous ne rentriez chez vous. » Ton ferme. « Vos parents vont commencer à s’inquiéter de votre absence.
- Q-Que… ? Toi ?! »
 … Fen ?
 « J’ajouterai que frapper sans raison une de nos concitoyennes, peu importe qu’elle vienne des Plateaux ou même des Steppes, est un crime contre l’Empire et son peuple. Et vous savez que je ne plaisante pas sur les règles et les codes. 
- Et alors ? Je suis… !
- Divorcée, mais plus important… » Murmura-t-il. « … à risque d’être désapprouvée par votre père après votre petite « escapade ». Je vous conseillerai de ne pas faire trop de vagues ici-bas. Vous ne voudriez pas ternir davantage votre image, n’est-ce pas ? 
- Tss ! Vous les hommes êtes vraiment divisés en deux catégories : ceux capables de comprendre les femmes et ceux qui pensent que nous ne méritons pas notre liberté !
- Je pourrai vous rétorquer la même chose, Madame, car chez les femmes se trouvent celles capables de donner leur temps pour l’autre… et celles qui font passer leurs désirs avant… » Relâchant enfin le bras de la noble. « Mais cela serait un brin réducteur, ne croyez-vous pas ? »
             Le serviteur des Yueis profita du retour des domestiques entraînant leur maîtresse loin du devant de la scène, celle-ci continuant malgré tout à sangloter, maugréer et pester à demi-mots, pour rejoindre les deux autres femmes. Avec l’aide de Mia, Ligi était parvenue à récupérer ses différentes protections contre les rayons assassins.
 « Allez… » Leur lança-t-il en pressant le pas vers les ruelles qui les mèneraient vers les Steppes. « Quittons ces lieux. »
______o.).O.(.o______
 De retour sous le grand portail du Lotus Pourpre le trio improbable se firent leurs adieux. Le voyage du retour s’était déroulé dans un silence relativement froid. Celui-ci n’avait été entrecoupé qu’en de rares instants par la méfiance de Mia pour celui qu’elle avait fini par identifier comme le « fils de pute » ayant agressé son amie quelques mois auparavant. Fen s’était brièvement contenté s’expliquer qu’il avait reçu pour mission de suivre Tricia Primer et de s’enquérir de ses relations après son… « départ précipité » du domaine des Yueis. Si Ligi sentit les questions du qui, comment et pourquoi, lui brûler les lèvres, elle préféra s’abstenir. Elle ne se pensait pas capable de pouvoir se lancer dans une nouvelle joute verbale aujourd’hui… Pas après la façon dont l’autre s’était déroulée. Toutefois, avant que leurs chemins ne se séparent, le militaire pour aller faire son rapport aux Cimes, les deux dames de compagnie pour aller gagner le repos qu’elles méritaient, le premier les interpella :
 « Hey, Ligi, c’est ça ?
- On dit « Madame », espèce de-… ! » S’emporta Mia.
« Désolé pour notre rencontre. Je… Je me suis rendu compte que mes propos étaient, disons, infondés, et plus que tout… grossiers. Là-haut, dans les Plateaux, j’ai… particulièrement apprécié vos paroles. Donc… » Il inclina légèrement la tête. « Je vous prie de bien vouloir acceptez mes plus plates excuses… Il s’avère que je me suis trompé sur votre compte : vous êtes quelqu’un de parole, Madame. »
             C’était là la posture la plus courtoise que Ligi ne lui avait vu devant toute autre personne que son maître. En considérant la manière dont leur première entrevue s’était déroulée, ce n’était plus un pas en avant, mais un saut prodigieux. Cependant, plus que tout au monde, ce qu’elle souhaitait après ces péripéties, c’était de pouvoir retrouver la fraîcheur de sa chambre… Elle voulut couper court à la conversation.
 « Je vous remercie, Seigneur Veracci. Soyez assuré que je vous pardonne : vous n’êtes ni le premier, ni serez le dernier à tenir ce genre de discours. Ce nouveau regard fait néanmoins figure d’exception… Et m’honore grandement. » Sourire de courtoisie, teinté d’une certaine sincérité. « Sur ce, au plaisir de vous re-… ! »
             Il ne lui en laissa pas l’opportunité.
« E-et lui aussi !
- Je… Je vous demande pardon ?
- Je veux dire… Enfin… Depuis ce soir-là où… Ar-, je veux dire le Sei-… » Soupir. La fatigue empreint les traits aiguisés. « Arch’ n’est plus le même depuis qu’il est rentré pour la dernière fois du Lotus Pourpre. Aujourd’hui, il est devenu…
- L’ombre de lui-même ? » Suggéra Mia, jusqu’alors demeurée en retrait.
« Humpf ! » Pouffement sarcastique.  « J’aurai plutôt dit « pathétique », mais je suppose qu’on peut également le dire comme ça. »
             Il se tourna vers Ligi, et elle put lire une lueur de désespoir dans le regard que lui renvoyait le domestique mais aussi ami du Seigneur Yuei.
 « Vous n’avez pas à me croire, ni même à lui… pardonner en un sens – je sais mieux que quiconque qu’Arch est un grand sensible… comme peut être une royale tête de con ; jeu de mots volontaire. » Déclara-t-il avec un hochement d’épaules, faisant pouffer Mia au passage. « Mais si vous pouviez au moins… régler cette affaire ? Vous quittez en bons termes ?
- Vous voulez que nous officialisions notre… rupture ? » Ligi leva un délicat sourcil blanc. « Ce terme n’est même pas correcte. Nous n’avons jamais… !
- Oui, oui, je m’en doute. Il n’a jamais été très clair avec… » Geste vague chassant les nuages. « Seulement… Sachez qu’il vous apprécie beaucoup. Vous lancer ce qu’il vous a dit…
- Vous souhaitez que j’apaise sa culpabilité, c’est ça ? » Soupira Ligi.
« Je souhaite qu’il retrouve un tant soit peu de joie de vivre, voilà tout ! » S’impatienta l’autre. « Et ce que je sais avec certitude, c’est qu’au point où nous en sommes, vous êtes la seule capable de lui apporter. J-je ne peux plus supporter de le voir arpenter les couloirs comme un putain de revenant ! »
 …
 « Et… Très sincèrement, Madame… Je pense que cela vous ferait du bien aussi. »
             Ligi laissa son regard se perdre dans les dédales de rues sombres du Quartier des Plaisirs. Au loin, le soleil commençait à disparaître derrière les branches les plus basses de l’Arbre-Cité. Sur les cordes de linge sale, aux fenêtres noircies par la crasse, on commençait à suspendre des lampions de papier, à allumer des bougies où la mauvaise graisse remplaçait la cire parfumée. Lorsqu’au loin ne restait plus qu’une traînée orangée, celle vêtue de lilas ôta son large couvre-chef. D’un geste elle fit de même avec les Luminimes sur la pointe de son nez… les tendant à Fen Verraci.
 « Pourriez-vous lui porter ceci ?
- M-mais… ? » Lança l’autre, incrédule. « Il s’agit d’un de ses cadeaux, non ? C’est même moi qui vous… !
- Attention, Messire, je n’ai pas dit que vous deviez lui rendre, simplement qu’il fallait lui porter. Les mots ont leur importance. » Lui rétorqua-t-elle, un sourire en coin. « Un peu comme quand l’on vient consulter nos services pour une épouse… et non à cause d’elle… »
             Du domestique, elle gagna un rictus connaisseur, et de la femme en bleu à ses côtés, des yeux levés au ciel, désormais assombri et que les étoiles ne tarderaient pas à piquer de leur éclat. Faisant finalement claquer ses bottes contre le pavé, l’échine raidie par la pose quasi-militaire, il demanda dans une dernière exclamation :
 « Au fait, un message pour accompagner votre présent, Madame ? »
 .
.
Eh bien,
c’est très simple,
dites-lui que…
.
               Fin de l’Acte 10
  ______o.).O.(.o______
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coeurencrise · 1 year
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Bordel. Incessante convoitise de l’électricité des baisers amoureux ; envie d’entendre les carillons de l’éternité sonner l’arrivée des amants. Curiosité lorsque le divin triomphe sur la réalité, drapant une âme entièrement de blanc. Mariage, incandescente joie. Très grande curiosité, oui. Intérêt soudain pour l’or dès qu’il entoure ce joli doigt. Me recourber les cils afin d’avoir l’air plus candide, ouvrir grand les yeux. Les plisser quand je feins la méfiance, amusée. Rater un battement de cœur à peine des doigts touchent les miens, comme si soudain l’amour se faisait chair. Délice d’être gênée, délice de me faire timide adolescente. Plaisir de retrouver un semblant de l’innocence volée. Embarrasser le feu quand gronde le tonnerre en mon ventre. Miracle de faire l’amour, miracle de transformer la violence à son état le plus pur en poème, de faire glisser ses sentiments au rythme de ce que la peau aime.
Bordel. Inouï espoir d’enfin me retrouver. Renaître dans un sourire. Trébucher sur quelques syllabes, glousser sans animosité. Oser affronter le regard de celui qui souhaite me tenir dans ses bras. Lui mordre le cou, dérouler ma langue sur son tégument pêche. Enlever ses vêtements, le laisser m’arracher de mes larmes. M’enticher de son odeur, remplie par la tendresse de sa chaleur. Le monde tout à coup fendu par deux déferlantes. Faire pleurer les astres, faire pleuvoir le désastre. Sa bouche couleur chewing-gum.
Magnificence. Beauté d’être aimée. Oui, bordel. Qu’elle me décore comme une écharde à mon cou. Me fasse saigner sous son emprise. Beauté d’afficher la douleur, beauté de la capitale de la couleur. Beauté de mourir aux pieds de l’autre, beauté de renaître en sa poitrine. Beauté de fleurir sur ses terres, beauté de boire de ses vignes.
Spectaculaire avènement.
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havaforever · 2 years
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GERARD GAROUSTE - Centre Pompidou
article en cours
Complète et dense, riche de toiles grandioses et extrêmement variées, la rétrospective dédiée au peintre Gérard Garouste au Centre Pompidou à Paris séduit par le caractère fantastique de cette peinture néobaroque. 
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On est particulièrement impressionnés par les deux premiers tiers du parcours qui montrent les différentes facettes de l’artiste pendant les années 1980-1990. Cette période moins connue, nous plonge dans les racines artistiques du peintre, sa puissance d’expression, sa liberté exposée comme à l’état brut. 
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Garouste est déjà énigmatique, mystérieux, profondément sensible; moins coloré, moins narratif, mais d’une présence déjà radicalement singulière. Il interpelle, choque et subjugue, sans jamais révéler, expliquer, ni exposer. La très grande qualité vibratoire de sa touche nous happe et nous envoute. 
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Des récits mythologiques de chasseurs et d’indiens, sont enrichis par des renvois d’un tableau sur l’autre; mais les rebus sont bien davantage livrés avec des brouilleurs qu’avec les moindres décodeurs. 
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A partir des années 80, Garouste explore la Comédie Divine de Dante, il peint de façon plus abstraite une nature déchainée, des fleuves de sang, une terre brulée, des ravins vertigineux. Les motifs ont tendance à se diluer dans les paysages dont les traits grossiers sont brossés à la hâte. 
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Depuis la fin des années 1990, Gérard Garouste développe des séries d’œuvres autour des textes hébreux. On le retrouve fréquemment représenté mais il peint également de nombreux portraits d’amis. Il évoque également un épisode autobiographique pendant lequel, suite à une crise incontrôlable, il interrompt un mariage dans la cathédrale, brise des cierges et se retrouve interné avec une camisole de force. 
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L’exposition se termine sur un triptyque, Le Banquet, où l’on retrouve aussi bien Kafka et Walter Benjamin que la psychanalyste Eliane Amado Levy-Valensi ou l’historien de la Kabbale Gershom Scholem. Il n’est pas sans rappeler les dernières oeuvres de Martial Raysse.
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yes-bernie-stuff · 7 days
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Mercredi 24 avril 2024 Marcher dans la lumière (1)
“Venez, marchons à la lumière du Seigneur !” Es 2. 5
Jésus nous a raconté une parabole dans laquelle dix jeunes filles, peut-être des demoiselles d’honneur à un mariage, attendaient l’arrivée du marié. Seules cinq avaient prévu de l’huile supplémentaire, pour être sûres de marcher dans la lumière dès qu’il arriverait. Iriez-vous vous promener dans une forêt avec une torche sans batteries de rechange, au cas où celles de votre torche viendraient à rendre l’âme ? Marcher dans la lumière du Seigneur exige de “recharger nos batteries” chaque jour en lisant, méditant et mémorisant la Parole de Dieu. Lorsqu’Esaïe parlait de marcher dans la lumière du Seigneur il faisait référence au règne de Christ sur la terre, pendant le Millénium, et il encourageait ses lecteurs en leur rappelant les promesses divines. Mais avec Jésus nous sommes entrés dans une réalité différente : nous pouvons bénéficier d’une marche quotidienne dans la lumière de Jésus-Christ. Sa promesse est que nous pouvons jouir de Sa lumière dès maintenant, en refusant de laisser entrer l’obscurité d’un monde dénué d’espoir dans notre vie. Charles Spurgeon voyait dans ce verset la promesse d’une vie baignée dans la lumière de la présence divine. Il ajoutait : “Si vous deviez aller en Australie, et que vous montiez à bord d’un navire en excellente condition et dirigé par un très bon capitaine, vous auriez la certitude d’arriver un jour à bon port, même si vous passiez tout le voyage au fond de la cale parmi les bagages et les rats. Cependant faire le voyage dans une cabine de première classe serait une bien meilleure option. Je ne vois pas pourquoi, en route vers le ciel, nous devrions nous contenter de voyager dans un environnement sombre et démoralisant, quand nous pouvons voyager dans la compagnie de Jésus, chaque jour entouré de Sa lumière !” Jésus a dit : “Si vous M’aimez, vous obéirez à Mes commandements” (Jn 14. 15). Marcher dans Sa lumière est un engagement de chaque jour.
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christophe76460 · 7 days
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“Venez, marchons à la lumière du Seigneur !”
Es 2. 5
Jésus nous a raconté une parabole dans laquelle dix jeunes filles, peut-être des demoiselles d’honneur à un mariage, attendaient l’arrivée du marié. Seules cinq avaient prévu de l’huile supplémentaire, pour être sûres de marcher dans la lumière dès qu’il arriverait. Iriez-vous vous promener dans une forêt avec une torche sans batteries de rechange, au cas où celles de votre torche viendraient à rendre l’âme ? Marcher dans la lumière du Seigneur exige de “recharger nos batteries” chaque jour en lisant, méditant et mémorisant la Parole de Dieu. Lorsqu’Esaïe parlait de marcher dans la lumière du Seigneur il faisait référence au règne de Christ sur la terre, pendant le Millénium, et il encourageait ses lecteurs en leur rappelant les promesses divines. Mais avec Jésus nous sommes entrés dans une réalité différente : nous pouvons bénéficier d’une marche quotidienne dans la lumière de Jésus-Christ. Sa promesse est que nous pouvons jouir de Sa lumière dès maintenant, en refusant de laisser entrer l’obscurité d’un monde dénué d’espoir dans notre vie. Charles Spurgeon voyait dans ce verset la promesse d’une vie baignée dans la lumière de la présence divine. Il ajoutait : “Si vous deviez aller en Australie, et que vous montiez à bord d’un navire en excellente condition et dirigé par un très bon capitaine, vous auriez la certitude d’arriver un jour à bon port, même si vous passiez tout le voyage au fond de la cale parmi les bagages et les rats. Cependant faire le voyage dans une cabine de première classe serait une bien meilleure option. Je ne vois pas pourquoi, en route vers le ciel, nous devrions nous contenter de voyager dans un environnement sombre et démoralisant, quand nous pouvons voyager dans la compagnie de Jésus, chaque jour entouré de Sa lumière !” Jésus a dit : “Si vous M'aimez, vous obéirez à Mes commandements” (Jn 14. 15). Marcher dans Sa lumière est un engagement de chaque jour.
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