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#le bureau des mystères
morbidlongings-rpg · 9 months
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"According to Plotinus, ecstasy is the culmination of human possibility. He contrasted emanation (πρόοδος, prohodos) from the One—on the one hand—with ecstasy or reversion (ἐπιστροφή, epistrophe) back to the One—on the other. This is a form of ecstasy described as the vision of, or union with, some otherworldly entity—a form of ecstasy that pertains to an individual trancelike experience of the sacred or of God."
tw : rituels, meurtre, gore, langage psychophobe
Lové dans les plis de la vallée comme dans les bras d'un amant, les Green Mountains du Vermont veillent sur Falmouth comme on garderait un secret. Le campus tient toutes les promesses conjecturée par la brochure : il émerge des verdures luxuriantes tel un oasis anglican, gothique et sévère, la pierre et le lierre, la brise aromatisée au parfum des vergers ; une toile en devenir qui n'attend plus que l'automne de Nouvelle-Angleterre pour y déverser son brasier. Eux à son image et elle à la leur, les étudiants de l'université incarnent le mieux son esprit : bâtis pour l'érudition et tout particulièrement disposés à s'éventrer pour un goût d’Éternel. Ils parlent, parlent, parlent― et ils ne parlent que de ce ça. Dans les couloirs, les échos se chevauchent ; mythe et vérité fusionnent.
En exclusivité : le compte-rendu de notre rencontre avec Bill Carpenter, frère de Sam Carpenter, dont le corps sans vie a été retrouvé aux abords de sa ferme au nord de la petite ville de Falmouth, Vermont. "Une boucherie", raconte-t-il. En effet, Sam Carpenter est décédé dans des circonstances pour le moins troublantes : le médecin légiste avait à l'époque déclaré n'a avoir "jamais vu ça de [ma] carrière― un catalogue de traumatismes et de contusions, deux membres arrachés. Il est irreconnaissable." Tandis que le bureau du shérif accuse le coup, une attaque d'animal, Bill Carpenter est persuadé que les circonstances qui entourent le décès sont encore plus sinistres. "Aucun animal n'est capable d'une telle cruauté", nous dit-il. "Aucun, sauf un." Selon lui, c'est entre les murs de Falmouth College, l'université voisine à la ville, que se cache la clé du mystère ; il semblerait que Carpenter ait lui-même aperçu des "lunatiques en toges" parcourir les bois autour de sa ferme peu de temps avant le jour fatidique. Faute de preuves, et malgré l'opposition de la famille Carpenter, le bureau du shérif a classé l'affaire en juin dernier après deux ans d'enquête.
Ils parlent de transcendance. Parlent d'Absolu. D'une expérience si Sublime qu'elle aurait altéré la constitution de leurs atomes. Certains auraient été si transformés qu'il leur aurait fallu des jours entiers pour réapprendre le langage des hommes, crude et rugueux dans leurs gorges. Ils parlent d'apothéose. De festin à la table des dieux ; l'air lui-même se serait fait ambroisie. Ils en auraient été si pleins, les poumons enflés à la divinité ambrée, qu'ils auraient regardé le ciel fondre entre les doigts pour les laisser s'abreuver de la lumière des étoiles. Ils parlent d'extase. D'une euphorie comme aucune autre, si métaphysique que le temps en aurait perdu son emprise ; des saisons entières se seraient écoulées entre un clin d’œil et le suivant. Ils parlent d'existence en dehors de soi-même : ce serait comme renaître avec les yeux grands ouverts sur le monde, ne faire plus qu'un avec la fibre de sa Matière ; ce serait sentir son cœur battre sous ses pieds, primal et frénétique sous la croûte terrestre. L'entendre dans l'écorce des arbres et à travers les mouvements du ruisseau, entre les nuages comme les plus majestueux des coups de tonnerre. Ce serait comme regarder Dieu droit dans les yeux. 
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Fouaaaaaaaaah, mais quelle journée ... Elle commence donc à 5h30 (ben voui, forcément mon cerveau me réveille une demie heure avant mon réveil, ce ne serait pas drôle), puis direction la gare routière pour attraper mon bus de 7h. Officiellement, sur maps, le trajet doit durer 8h...
Ça commence à sentir un peu le pâté quand je réalise qu'on est dans le bus depuis plus de 7h et qu'on arrive tout juste à la frontière ! Vu que le chauffeur ne nous prévient pas, et que le poste frontière ressemble à tout sauf à une douane (c'est un bureau posé dans le coin d'un magasin à côté d'un pont...), je ne comprends pas tout de suite qu'on y est, je suis donc bonne dernière à descendre du bus pour faire tamponner mon passeport... Ce qui prendra une heure et demie \o/ d'ailleurs, c'est marrant (et fort plaisant), le douanier a passé une vraie minute à me comparer à ma photo de passeport après que je lui ai dit que j'étais française. Apparemment, c'est bon, mon accent est revenu hihi
Dans les petits mystères de la vie, allez savoir pourquoi, ils se sont dits "tiens, côté Équateur on va juste mettre de quoi boire, le manger ce sera de l'autre côté du pont!" et du coup vu que je suis la dernière et que tout le monde m'attend, ... Pas le temps de manger !
On arrive finalement à presque 20h dans la ville de Jaén, mais c'est officiel, je suis au Pérou !
Et coup de bol, j'ai pu échanger ma carte sim équatorienne contre celle de quelqu'un qui sortait du pays dans l'autre sens, donc pas besoin d'aller en ville demain pour mettre internet sur le téléphone 🎶
C'est un peu perturbant dans ce pays : d'un coup, j'ai l'impression d'être repassée en Asie ! Il y a de nouveau des rizières en plateaux, des motos partout, des tuks tuks, et vraiment le même mode de stands de nourriture sur les trottoirs avec les petites tables basses et chaises en plastique... et le même amour pour les brochettes ! Ça fait bizarre ! Avec toutefois l'avantage certain de comprendre la langue ici, ce qui est fort agréable :')
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sporcafaccenda · 10 months
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》》- On l'a un peu malmené, ce Hicks, ai-je entendu dire. Doyle sourit d'un air satisfait en clignant de l'oeil.
-Très peu, inspecteur. Trop peu. Si on m'avait laissé faire, j'aurais sûrement réussi à le faire cracher. Je m'y connais, moi. Si j'avais continué, il se retrouvait à l'hôpital.
Paris s'approcha de lui, le saisit par sa cravate, le souleva de sa chaise, le secoua vigoureusement.
-Ce n'est qu'un tout petit avertissement, dit-il entre les dents. Si jamais ça se répète, vous pourrez vous faire mettre un râtelier. Un agent, installé devant son bureau, au fond de la pièce, fit mine de se lever. Paris tourna la tête et lui jeta un bref coup d'oeil. L'homme se rassit et se plongea dans un dossier. Doyle agrippa des deux mains le poignet de Paris, essayant de lui faire lâcher prise, mais l'inspecteur, sans effort, se dégagea et attira l'autre encore plus près.
-Je pensais, dit-il, qu'on avait nettoyé cette ville, mais je constate qu'il y reste encore des salauds qui se croient tout permis parce qu'on a eu la bêtise de leur confier un insigne de police. Si jamais vous remettez ça, vous n'aurez qu'à faire vos paquets. Je me fais bien comprendre? Doyle répondit par un glouglou, les yeux exorbités. Paris le secoua de nouveau.
-Je me suis fait bien comprendre? répéta-t-il. Doyle acquiesça. Paris le repoussa sur sa chaise.
-Parfait, dit-il. Maintenant, je veux voir le lieutenant Springer.
-Il est là-haut, répliqua Doyle d'une voix enrouée.》》
Ben Benson "Calibre 7,65", une enquête de Wade Paris. VO: "Alibi at Dusk" (traduction: IBMaslowski)
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#Ben Benson #Wade Paris #Suspense #Un Mystère #Crime #Police #State Trooper
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2018 - Erreur d’aiguillage
Je ne sais pas ce qui me grattais le plus, bosser pour le goupillon ou bosser sur PC. Mais snob jusqu’au bout des ongles, un peu con aussi, j’ai refusé le poste pour aller me fourrer entre les sales pattes de la Blatte et du Petit Patron. Les quatre longues années suivantes m’ont fait comprendre qu’il faut toujours assumer seul les conséquences de ses choix. Ni remords, ni regrets, jamais. Aujourd’hui, mes voisins de bureau portent la robe de bure et connaissent les mystères du Rosaire, mon matériel est un ersatz de Pomme chinois mais le sourire, lui, ne me quitte plus.
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Silvio Berlusconi 🖤🖤🖤 nous a quitté le 12 juin 2023 à l'âge de 86 ans
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à l'époque jeune loup socialiste, avec un 357 Magnum sur le bureau, en cas de kidnapping
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Dès ses années d'études, il a démontré sa capacité à gagner de l'argent. Alors qu'il étudie le droit à l'université, il joue de la contrebasse dans un groupe d'étudiants et se fait une réputation de chanteur, travaillant dans des boîtes de nuit et sur des bateaux de croisière
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Il a commencé à utiliser son charme naturel dans les affaires en tant que vendeur d'aspirateurs et en vendant des essais rédigés pour ses camarades d'études. Après avoir obtenu son diplôme, il se lance dans la construction avec sa propre société, Edilnord, et construit un énorme complexe d'appartements à la périphérie de Milan - bien que la source de financement du projet reste un mystère. En 1973, l'entrepreneur lance une société locale de télévision par câble, Telemilano, pour fournir la télévision à ses propriétés. 4 ans plus tard, il possède deux autres stations et un studio central à Milan. À la fin de la décennie, il a créé une société holding, Fininvest, pour gérer l'expansion rapide de ses entreprises. Il finira par posséder Mediaset - le plus grand empire médiatique d'Italie et propriétaire des plus grandes stations privées du pays - et la plus grande maison d'édition d'Italie, Mondadori. Il était l'un des hommes les plus riches d'Italie, avec une fortune familiale de plusieurs milliards de dollars. Ses enfants Marina, Barbara, Pier Silvio, Eleonora et Luigi ont tous participé à la gestion de son empire commercial. Une partie de cette fortune a été utilisée pour satisfaire ses intérêts personnels, notamment pour sauver de la faillite le club de football de sa ville natale, l'AC Milan, en 1986.
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0nalia · 1 year
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Liberté {Eustass Kidd x Reader} Parti 1
Je me réveille comme chaque matin, avec une lourde fatigue sur les épaules. tout dans ma vie allez de travers depuis la mort de ma mère il y a 2mois. les papier empilé, le courrier laisser au bas de la porte, un désordre complet dans un petit appartement de grande ville.
en prime de tout cela, ma relation ces brisée il y a 1 semaine, l'excuse de cette imbécile était ma dépression, mais les odeur qu'il porté sur lui chaque soir au retour de son bureau ne trompé pas. les autres femme aimée lui laisser leur odeur sur son colle de cravate.
quelque jours passé, avec ma routine habituel, remonté la pente était ma principale préoccupation. je suis une petite geek j'aime jouer au MMORPG de Pirate, mais je pratique aussi de la dance (pole dance, hot dance) cela reste un sport très physique et entretien à merveilles un corp. de plus offre du plaisir à dansé sur nos musique préféré.
la sonnette retentie dans l'appartement, je ne m'attendez pas a se qu'un notaire soit debout, face a ma porte.
Bonjour Mlle {Nom de famille} ?
Heu, Oui ? vous êtes ?
Je suis le notaire de vôtre Mère {Nom, Prénom}. je viens clore sont dossier et vous donné ces dernier bien laisser.
Dernier bien ? pardon mais... il me semble que j'ai déjà reçus mon héritage. faire un signe de sou avec les doigts.
Et bien actuellement nous parlons de bien, Matériel. il semblerais que vôtre mère possédé une grande parcelle de terrain de plus de 10 hectare, comptent a l'intérieur une maison de campagne, et un lac au milieu de ces bois.
heu.. entrée ! parlon a l'interieur. invitant le notaire a s'installé dans la cuisine.
après avoir signée les document restant, avec quelque explication et des renseignement sur ces lieu hérité. ma première réaction était de faire mes carton et de partir enfin de cette ville immense et pollué. remplis de personne indésirable..
Respirant grandement devant la porte de cette appartement maintenant vide, les clef a la mains et un petit sourire au lèvre, les souvenir revenant quelque instant, mais les balayant d'un geste de la mains.
Nouveau départ pour toi {Y/N} !
glisser la clef sous la porte de l'appartement suivant les consignes du propriétaire, même pas la décence de venir lui-même les récupéré. cliquant sur ma langue avant de descendre les escalier, ignorant les porte voisine, le rythme de mes pas s'accélérant vers l'excitation de découvrir cette héritage en personne. seul les photo était dans le dossier du notaire, donnant l'eau a la bouche de toute cette vue a couper le souffle, ces foret de pin a perte de vue, trônant en son centre le lac du nom de "Le lac Crystal". un nom curieux mais merveilleux.
s'éloignant de la grande ville, avec le camion de déménagement suivant la voiture de près, presque 12 heure de route était devant nous. cela allez être un long voyage, mais cela en vaudra la peine !
arrivant a 9 heure de route passé, les foret se fondé entre les champs, de plus en plus épais jusqu'à ne voir que des arbre de pin.
Donc la maison et au lieu de la foret ..? intéressant, je savais que tu avait toujours des gout particulier maman.. mais j'aime ton idée..
nous avons toujours eu des gout extravagant dans ma famille, surtout du coter des femmes, ma mère était attiré par se qui et mythologie, mystère et magie. j'ai hérité tout sa d'elle, mais j'ai aussi des penchant particulier pour se qui et du gore.. les films d'horreur des moment de torture mon toujours émoustillé, imaginé pouvoir faire se genre de torture au personne que l'on déteste m'intéresser. mais personne ne le sais.
Petit saut dans le temps. arrivé a la maison, le souffle coupé a la vue de la bâtisse dévoré par les plante grimpantes et le gazon qui avait poussé depuis son décès. le sourire grandissais sur mon visage et la motivation de pouvoir dompté mère nature m'as poussé a vite installée mes affaire, remerciant les déménageur de leur grande aides.
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curuxagris · 2 years
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Podcast in French/Italian
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These are a few of my favourite podcast in French/Italian. These podcasts are not focused on teaching the language! Most of them are either short horror stories, reviews, or analysis:
🇫🇷 Français:
- In Tenebris (Short horror stories)
- Le Bureau de Mystères (Supernatural encounters all over the world)
- Ars Morendi (Horror stories, but not short. Seriously, the chapters are long af. WARNING: Canadian French. Make sure you read the TW)
-L’heure du crimme (True crime type of podcast)
🇮🇹 Italiano:
- Arcadia Café (Video games and literature. How both of them interconnect)
-Chimera, letteratura a due teste (Contemporary Literature)
- Monstraumana (They analyse literary monsters from a modern perspective)
- Morgana (It talks about different female writers and their impact on today’s society.TW: A few of the authors it mentions are known for its transphobia)
I hope you find them enjoyable. If you know any other interesting podcast, do let me know, and I will add it to the list.
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De Hypatia à Julian et Emma
À l’attention des Nephilim Blackthorn résidant à Blackthorn Manor, à Chiswick
De la part de Hypatia Vex, Fellow1, Labyrinthe en Spirale
Mes salutations. Veuillez trouver ci-joint les premières pages du journal intime de Tatiana Blackthorn que j’ai traduites du purgatique. J’espère que vous n’y aurez pas d’objections, mais j’ai pensé que Magnus Bane pourrait faire la lumière sur les circonstances qui vous ont conduits à m’amener le journal, et c’était le cas, il m’a parlé d’une malédiction jetée sur la maison. J’ai passé un certain nombre de pages concernant les vêtements de l’auteure, ses opinions sur ses pairs, ses griefs au sujet de la météo, et ainsi de suite, en faveur d’une qui selon moi vous intéressera particulièrement (bien que ce soit plutôt en contradiction avec ce que je considère être l’histoire de la maison… Benedict Lightwood était évidemment loin d’être connu comme une personne digne de confiance, ou peut-être bien que les choses ont changé depuis son époque. Serait-ce un mystère à creuser ?)
Je vous recontacterai bientôt avec d’autres traductions.
Amicalement,
H. Vex.
Cher Journal, ce soir j’exulte de joie comme jamais auparavant. Il semble que ma patience et ma sollicitude ne soient pas aussi insignifiantes que le considèrent généralement les membres de cette famille. Car je crois que Père est enfin parvenu à accepter et même à approuver mes fiançailles avec Rupert ! (Oh, quel jour heureux, oh, mon si cher Rupert !) Plus étonnant encore, il m’informa de cela non pas en faisant une maladroite et embarrassante déclaration sentimentale, mais plutôt en me faisant une confidence et en me parlant de choses qu’il n’avait jamais révélées, j’en suis sûre, à mes frères.
C’était après le souper. Les Terribles G étaient partis se donner des coups d’épée l’un à l’autre, ou des idioties de ce genre. Père se retire habituellement dans son bureau, bien sûr, mais ce soir, il vint vers moi et, de façon impromptue, me demanda de l’y accompagner. Je le suivis consciencieusement.
Là, il ferma la porte avec précaution et m’enjoignit de m’asseoir dans l’une des bergères en face de son bureau. Il s’installa dans son propre fauteuil et commença par me dire que le nom des Lightwood est puissant et ancien.
Je répondis que je le savais et, en effet, ne l’oubliais jamais.
Il continua en disant qu’un tel nom s’accompagne d’un grand prestige et d’une grande influence, mais attise aussi une grande hostilité. Les adversaires des Lightwood étaient nombreux, dit-il.
— Et je ne parle pas des démons contre lesquels nous menons une guerre, ni même des demi-démons dont nous tolérons les vagabondages sur terre, mais ceux de notre propre race, c’est-à-dire, les Nephilim.
Il expliqua que l’on nous enviait beaucoup, et bien que l’on refusât de l’exprimer directement, certains cherchaient à nous détruire.
Je lui demandai à qui en particulier il pensait, mais il éluda la question. Les ennemis changent, dit-il, avec le temps ; les alliances se font et se défont, alors que les divers intérêts des familles de Chasseurs d’Ombres sont altérés par le temps et le destin.
(Je retranscris ses mots exactement tels qu’ils sont dans mon souvenir, Journal. J’admire sa manière de s’exprimer avec éloquence, et souhaite me charger de la perpétuer, puisque les autres membres de ma famille ne le font pas.)
Il expliqua ensuite que, même si peu de personnes le savent, nous sommes très bien protégés ici à Lightwood House, non seulement par les solides briques et pierres, mais aussi par un enchantement qui touche la maison et son domaine-même.
Un enchantement ! J’étais stupéfaite. Je savais que la magie était un des centres d’intérêt de Père, et que ses recherches le menaient à faire des petites expériences. Je n’imaginais pas qu’il avait accompli tant de choses. J’exprimai cela, je l’espère, de manière élogieuse. Il dit que les préparations lui avaient demandé plusieurs années, car personne n’avait suffisamment sa confiance, pas même un sorcier gracieusement payé pour garder le silence, pour savoir comment était protégée la maison.
L’enchantement est très complexe, à ce que je compris, et ses effets sont quelque peu difficiles à décrire. Père déclara qu’il servait à la fois à empêcher d’autres Nephilim de faire des recherches sur la maison et à empêcher la découverte de certaines parties de la maison, et de certains biens de la famille. Je demandai par quels moyens fonctionnait l’enchantement, et il expliqua que c’était en rapport avec les lignes de ley, ces veines magiques qui parcourent la terre, et une sélection d’une demi-douzaine d’objets placés à des endroits minutieusement calculés le long des ces lignes de ley.
Je le priai de me donner plus de détails, lui rappelant que je partageais son intérêt pour la magie, mais il ne voulut pas m’en dire davantage. Il expliqua que j’étais pour l’instant une jeune fille non mariée qui n’avait pas besoin de se demander comment fonctionnait le monde ; et voilà que j’arrive enfin à la raison pour laquelle je raconte cette histoire, Journal.
En parlant de moi, il m’adressa un regard que dans un premier temps je ne pus pas interpréter. Mais bientôt je compris : il avait dit que j’étais « pour l’instant » non mariée. À la lueur de son regard, je comprends ce qu’il voulait dire : « Tu seras bientôt une femme mariée ».
Et ainsi tout devient clair, dans un magnifique et éclatant triomphe !
Père accepte Rupert, et consentira à notre mariage…
Cela me permettra d’atteindre ma majorité…
Ce qui encouragera Père à davantage se confier à moi concernant la nature de Lightwood House et de ses travaux en magie…
Puisque lui comprend que peu importe ce que dit la Loi, moi seule suis l’héritière légitime de ses ambitions et de son travail…
ET puisqu’il souhaite faire de Rupert et moi les maîtres de ce Manoir après lui !
Bien que mes efforts aient été longs et difficiles, Journal, et que j’aie cru qu’ils n’aboutiraient jamais, je m’endors ce soir en ayant la victoire à portée de main, et n’ayant que de la pitié pour mes pauvres frères, trop niais et obstinés pour seulement comprendre ce qu’il s’était passé pendant qu’ils se frappaient avec des bâtons dans la salle d’entraînement.
Tatiana, future Mrs Blackthorn, Lightwood.
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1 : Titre honorifique pouvant être attribué dans de nombreux contextes.
Texte sur l’illustration :
Père accepte enfin Rupert et notre mariage. Je le sais parce qu’il se confia à moi.
Père élabora un enchantement sur la maison pour nous protéger. Celui-ci tient les autres Chasseurs d’Ombres à l’écart.
Il réalisa cela par l’intermédiaire de certains objets, qui sont placés le long des lignes de ley.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Illustration de Cassandra Jean ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/678081530229293056/hypatias-translation-of-the-diary
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« La mer, retirée à l'accore du récif, emplit l'air lumineux de son bruit. Il semble être la voix de cette écume blanche qui, éternellement, frange le bleu profond de l'océan sans âge. Je m'assieds sous le ventre de la barque. Un dégoût profond me vient au souvenir de ce bureau sombre où des employés s’agitent dans les relents de naphtaline et de cuirs verts. Pourquoi m'astreindre à cette vie qui, pour moi, équivaut à un bagne? Pourquoi ne pas céder à l'appel de cet horizon bleu, au gré de cette mousson puissante et de suivre ces petites voiles blanches que je vois chaque jour disparaître vers cette mer Rouge, pleine de mystères? »
Henry de Monfreid - Les Secrets de la Mer rouge
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oviri7 · 2 years
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« La mer, retirée à l'accore du récif, emplit l'air lumineux de son bruit. Il semble être la voix de cette écume blanche qui, éternellement, frange le bleu profond de l'océan sans âge. Je m'assieds sous le ventre de la barque. Un dégoût profond me vient au souvenir de ce bureau sombre où des employés s’agitent dans les relents de naphtaline et de cuirs verts. Pourquoi m'astreindre à cette vie qui, pour moi, équivaut à un bagne? Pourquoi ne pas céder à l'appel de cet horizon bleu, au gré de cette mousson puissante et de suivre ces petites voiles blanches que je vois chaque jour disparaître vers cette mer Rouge, pleine de mystères? »
Henry de Monfreid - Les Secrets de la Mer rouge
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Il est tard.
Lien-da regarde par la fenêtre de son bureau. Les nuages continuent leur éternel ballet alors que la lune s'élève, sa douce lumière se reflétant à travers la vitre.
Les choses semblent si simple, vu d'en haut, mais elle ne s'y laisse pas prendre: trop de leçons apprise à la dure, comme dirait son maudit grand-père - Le dernier nom d'une longue liste de personnes qu'elle blâme pour tout ses malheurs- l'en empêche.
Tout n'est que façade. Ce monde mort; non, assoupi, est si complexe qu'elle en perds parfois la tête. tant de mystères a résoudre, tant d'efforts a fournir... Elle souris interieurement, Aurora, qu'elle aimait cela dans le fond.
Sans défis, sa vie serait d'un ennui!
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fullnft-fr · 8 days
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Peinture Aquarelle Reflet Cosmique : Un Voyage Visuel Éthéré
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Peinture Aquarelle Reflet Cosmique : Un Voyage Visuel Éthéré
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Découvrez l’enchantement de notre « Peinture Aquarelle Reflet Cosmique », une œuvre d’art qui capture la beauté et le mystère de l’univers. Cette pièce unique mêle des teintes vibrantes de bleu, violet et rose, créant un effet visuel captivant qui rappelle les profondeurs cosmiques et les nébuleuses lointaines. Les jeux de lumière et de transparence caractéristiques de l’aquarelle donnent vie à des reflets éthérés et des motifs galactiques, invitant le spectateur à un voyage onirique à travers les étoiles.
Idéale pour les amateurs d’art contemporain et les passionnés d’astronomie, cette peinture apportera une touche de magie céleste à n’importe quel espace. Accrochez-la dans votre salon, votre bureau ou votre chambre pour créer une atmosphère apaisante et inspirante. Chaque coup de pinceau révèle un univers miniature, faisant de cette œuvre un véritable trésor pour les collectionneurs.
Plongez dans l’infini avec notre « Peinture Aquarelle Reflet Cosmique » et laissez-vous emporter par l’émerveillement du cosmos.
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lanuitlennuie · 1 month
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E est debout devant moi. Je suis assise, j'écoute et regarde, j'essaie de la décoder. Elle enlève ses lunettes noires, ses yeux sont très bleus presque verts dans la lumière sans ombre du bureau. Elle m'explique une situation en la jouant, les questions et les réponses, elle est tous les personnages et intègre ma voix quand je ponctue son numéro d'un mot repris comme on le fait pour soutenir les vérités du prédicateur. Elle rit, grimace se frappe le front laisse tomber ses bras jusqu'en bas éplorée, l'instant d'après les deux mains sur les hanches elle est la voix de la raison fâchée. Elle plante son regard dans le mien deux secondes pour jauger si je la suis, elle lâche, reprend et déroule la boucle infinie de son interrogation, du mystère de la finalité du monde et de son impossible place. Errante et insituable, désirante consumée, jamais à bout ni arrivée. Je la cherche chez D et G, la trouve par éclat, des lunettes d'éclipse sur le nez, je n'y vois presque rien mais je sais que ça se passe et ça bouleverse : « Le schizophrène se tient à la limite du capitalisme : il en est la tendance développée, le surproduit, le prolétaire et l'ange exterminateur. Il brouille tous les codes, et porte les flux décodés du désir. (...) La schizophrénie, c'est la production désirante comme limite de la production sociale. La production désirante, et sa différence de régime avec la production sociale, sont donc à la fin, non pas au début. De l'une à l'autre il n'y a qu'un devenir qui est le devenir de la réalité. Et si la psychiatrie matérialiste se définit par l'introduction du concept de production dans le désir, elle ne peut éviter de poser en termes eschatologiques le problème du rapport final entre la machine analytique, la machine révolutionnaire et les machines désirantes ».
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manue-ringo · 2 months
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Chapitre 98 : Mise au point partie 1
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Je vous prie de vous calmer un peu. Je vous expliquerais tout ça lorsque nous serons partis d'ici.
Dit-il d'un air résolu en lui tournant le dos. Parker dut prendre son mal en patience durant un moment. Tous ces événements l'avaient profondément affecté. Parker ne risquait pas d'oublier ce terrible face à face avec cet homme. Elle repensait à ses dernières paroles. Elle se sentait minable et stupide en y songeant. Car elle savait au fond d'elle qu'il n'avait pas tout à fait, tords. En effet, en travaillant pour le Centre, Parker avait participé à la capture de pauvres innocents exploités pour leurs dons exceptionnels. Ce souvenir l'a révulsé au plus au point. Elle en eut même envie de vomir. Une fois à l'extérieur, Parker s'éloigna un peu plus loin pour que personne ne puisse la voir à cet instant. Mulder et Skinner la cherchaient du regard. Skinner reprit en inspectant les environs :
Mais ou est-elle passé encore ?
Mulder l'aperçut au loin près d'un buisson qui longeait le parc du Centre.
Je la vois. Laissez-moi une minute. Je reviens. Dit-il en se précipitant à sa rencontre, avec appréhension.
Parker eut à peine le temps de finir ce qu'elle déglutissait avant de le voir débarquer à l'improviste. Elle le maudit de l'avoir vu assister à cette scène extrêmement humiliante pour elle, Parker pestiféra :
Mais de quoi je me mêle, tu n'as rien à faire ici ! On ne peut pas avoir un peu d'intimité avec toi ! J'ai besoin d'être seule !
Je te demande pardon je… C'est normal, tu es encore sous le choc. Je suis vraiment désolé, Andréa. Dit-il simplement d'un air confus et attristé. Mulder en eut le cœur arraché de la voir ainsi. Il ne pouvait pas supporter de la voir souffrir ainsi. Il fallait que tout ça cesse.
Le chemin du retour fut très long pour l'agent Parker. Au vu de son état, Skinner préféra la laisser un peu se remettre de tout ça. La jeune femme en avait grand besoin. A leur retour à Washington, Parker, fut immédiatement ausculté sur place par son amie Scully afin de s'assurer que tout aller bien. Parker était à son habitude quelque peu réticente à cette idée de peur d'être reconnu comme vulnérable face à ses partenaires. Parker déclara sur un ton plaintif :
Bon, c'est bientôt fini ? Je vous dis que ça va. J'ai juste eu la gerbe, ce n'est pas la fin du monde.
Skinner regardait la jeune femme d'un air perplexe, il reprit :
Après ce que vous venez de vivre là-bas, je devais m'assurer de votre état de santé, cela va de soi.
Je n'ai rien relevé d'alarmant monsieur. Elle va bien, mais il lui faut beaucoup de repos. Sa tension est faible. Andréa, je sais que tu as besoin de réponses, mais tu dois te ménager un peu. Rappelle-toi ce qu'il t'est arrivé par le passé. Fait bien attention, d'accord ? Lui conseilla Scully avec raison.
Oui, maman. Je file chez moi me pauser un peu, mais sachez que je serais dans le coin dès demain. Il faut qu'on parle. Dit-elle à Skinner d'un air déterminé.
À la première heure, le lendemain matin, Parker se présenta comme prévu, au bureau de Skinner afin d'éclaircir tout ce mystère. La jeune femme était bien décidée à comprendre les tenants et aboutissants de toute cette histoire avec lui. Après avoir toqué à la porte, celle-ci entra sans attendre. Voyant l'impatience de celle-ci, Skinner se leva de sa chaise en lui faisant signe de reprendre son calme :
Parker voulez vous, vous reprendre un moment, je vous prie. Je comprends, vous êtes avide de réponses, nous allons y venir…
Mais Parker ne prit même pas la peine de le laisser terminer qu'elle renchéri sur un ton direct :
Où est-il ?
Skinner fronça les sourcils puis reprit :
Qui ça ?
Le fumeur ! Qu'allez-vous faire de cet homme ? Vous n'allez pas l'arrêter ? Vous avez conclu un marché avec lui n'est ce pas ? Que savez-vous que j'ignore sur ses projets secrets ? Demanda-t-elle en arrivant à sa hauteur, ses yeux bleus le transperçaient du regard.
Parker écoutez ! Je sais ce que vous ressentez. Vous venez de traverser une terrible épreuve. Vous êtes à cran ce qui est normal. Même si je vous direz tout ce que je sais, tout cela n'y changera rien, j'en ai bien peur. Dit-il d'un air désolé.
Comment ça ? Qu'est-ce que vous essayez de me dire ? Dit-elle quelque peu dépassée.
Ce que j'essaie de vous dire, c'est que cet homme dispose de beaucoup plus de moyens que vous ne le pensez pour échapper à la justice. Et cela, même pour le FBI. Vous n'êtes pas la seule qui a essayé. Croyez-moi. Ce n'est pas si simple. Je sais qu'il a des contacts hauts placés au gouvernement et ce n'est pas tout. Cet homme a accès à des informations sensibles qui pourraient se révéler extrêmement dangereuses pour le FBI et par conséquent pour la sécurité de notre pays. Est-ce que vous comprenez ? Imaginez ce qui pourrait arriver si nous échouons. Dit-il avec gravité.
Parker le regardait d'un air dévasté. Elle ne voulait pas croire à ses paroles. Mais elle dut admettre au fond d'elle que ses désirs de vengeance étaient bien trop ambitieux pour parvenir à ses fins aussi facilement. Parker devait revoir ses priorités et prendre garde aux répercussions de ses agissements en cas d’échec. Elle reprit sur un ton plus raisonnable :
D'accord, je vois. Qu'est-ce qu'on peut faire alors ? Ne me demandez pas d'abandonner. Dites-moi ce que vous savez.
Écoutez-moi bien Parker, au vu de la crise que nous traversons, vous allez devoir passer devant une commission auprès de votre chef de section afin de répondre de vos actes. Alors je vous suggère de précautionneusement vous préparer en amont si vous tenez vraiment à vous battre contre cette folie.
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lespresseslitteraires · 4 months
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Lueurs pourpres - Thierry Viala
Montpellier est une ville millénaire où l’on marche aujourd’hui sur les traces d’un passé oublié, à l’endroit même où l’impossible s’est produit. Avril 2023, Pierre Gingibre, gérant sans scrupules d’un Centre Hippique est retrouvé assassiné dans son bureau. Tout semble indiquer un cambriolage qui a mal tourné. Les deux journalistes du Clapasien : Coustou et Ventadour n’y croient pas. Intrigués par les mystères qui entourent cette mort, ils décident de mener leur enquête, ignorant les dangers. Au fil des pages, d’autres meurtres se produisent, les deux hommes plongent dans les abîmes et vont constater qu’ils sont en lutte contre des forces qui les dépassent. Dans ce roman captivant de Thierry Viala, les personnages se dévoilent et révèlent leurs parts d’ombre. Sombrez dans les dédales de Montpellier, laissez-vous envoûter par l’atmosphère de ce thriller palpitant, et découvrez jusqu’où la soif de vérité peut conduire ceux qui osent affronter les ténèbres.
Thierry Viala, est un ancien cadre des télécommunications. Passionné de lectures, de musique, de cinéma, de culture locale, d’histoire. Il est aussi un auteur de romans policiers et jongle habilement entre humour, tension et mystère. Montpelliérain, il imprègne ses récits de l’atmosphère mystérieuse de sa ville et de son riche passé historique. Il aime aussi varier les genres, les mêler et les entrelacer pour proposer des énigmes. Ses intrigues sont imprégnées de références locales, permettant ainsi aux lecteurs de mieux connaître la ville et de vivre une immersion totale dans son environnement.
n° 168 de la collection : https://www.lespresseslitteraires.com/crimes-et-châtiments-nouveautés/ ISBN : 979-10-310-1433-3 11,5 X 17, 476 pages, 19,00 €
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anathriveline · 4 months
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Cluedo Jason L Blair Livre audio interactif, version augmentée pour Flam, Lunii, 2024
Retrouve Cluedo sur FLAM ! Découvre une nouvelle fin et un nouveau coupable, collectionne des fiches personnages, lieux et anecdotes et fais usage de tes qualités de détective pour obtenir des récompenses ! À toi de jouer ! “Il est tard, après minuit, et tu te reposes enfin après une longue journée. Soudain, ton téléphone sonne et te sort de tes pensées. Tu réponds. La voix à l’autre bout du fil parle tout bas mais très vite. - Détective ? Il… Il y a… Il y a eu un crime. Mat Lenoir a été assassiné.” Qui a pu tuer le richissime Mat Lenoir, dans quelle pièce et avec quelle arme ? Les convives clament leur innocence, mais il semblerait que tous cachent de terribles secrets qui pourraient bien être des mobiles à ce crime horrible… Une chose est sûre : les apparences sont parfois trompeuses, et il va falloir garder les yeux et les oreilles grands ouverts, prêts à repérer tous les indices ! Promène-toi dans l’imposant Manoir Tudor, de la Cuisine à la Salle de Réception en passant par le Bureau, et interroge les suspects pour découvrir la vérité. Ou devrait-on dire… les vérités ? Plonge dans une enquête inspirée de l’intemporel jeu Cluedo pour une grande aventure pleine de mystère ! Une collaboration entre Hasbro et Lunii.
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