Tumgik
#face de cul va
jade-curtiss · 9 months
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Tfw quand ton ex belle mère gagne un concours de plotte (duchesse du carnaval en 71), ça vire mal, pis faut qu'à parte en rampage pour détruire la vie de plus de gens possibles parce-que. Juste. Parce-que.
#c'est pour ça je leak pas de nom parce-que techniquement tout a chier par sa faute#comme presque tout y est passé comme le niveau de provocation était phénoménal#le niveau de manipulation sur tout son entourage a un niveau qu'aucun de ses enfants est réellement autonome et ce dans trentaine avancée#sti d'échec...imagine se prendre pour une autre à ce niveau#comme y'a rien qui pardonne toute sa merde#comme a mit toute la pression possible pour toute faire saboter pis yep a tout les niveaux#comme j'sais pas ce qu'elle a crissé dans tête à ses enfants mais si y passent pour des creeps c'est carrément un problème fondamental dans#leur éducation#comme aucun de ses trois enfants semble avoir d'ambition outre la totale complacence face à leur sort#c'est tellement dégueulasse#comme peu importe ce qui s'est passé c'est pas comme si elle avait pas choisit d'aller sur le stage comme si ça s'est mal passé après#c'est plate mais c'est les conséquences#c'est pas parce-que ta vie va mal qui faut que t'impose autant de controle sur comment les autres vivent leur vie#surtout que la sienne à la vie attrocement comme c'est juste vautrer son surplus de cash dans face du monde pis caller ça de la charité#comme ça faisait juste m'écoeurer comme rendu là j'comprend pas pourquoi on juge le monde qui paient pour du cul#si n'importe-quel riche pensent qui peuvent littéralement acheter une personne de manière permanente comme un animal domestique#pis honnêtement les cossins de riches souvent c'est fucking ordinaire ben sincèrement comme y'a pas tant de justification#c'est souvent juste du junk ben drabe pis j'm'en calisse...
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 139
Le samedi matin, je descends de mon R1 flambant neuf devant la concession SUZUKI.
Je suis en avance et la porte est encore verrouillée. Je lis sur la porte qu'en fait ils ne vont ouvrir que dans trois quarts d'heure. Je quitte mon casque et mate la vitrine. bientôt un jeune (mon âge environ) vient vers moi et me fait signe de retourner à la porte. il m'ouvre, on se salut et il me demande (en me tutoyant) ce que je cherche chez eux vu le matos que j'avais entre les cuisses en arrivant et de me mater l'entrejambe.
Je ne sais pas pourquoi mais les vendeurs en concession moto sont toujours jeunes ! Moi ça ne me dérange pas, qu'ils soient jeunes ! Mais niveau allusions, faudrait qu'ils soient plus discrets ! Je l'observe de plus près : jeans moulant un cul étroit et un paquet conséquent, polo siglé de la marque couvrant des épaules larges et chaussure sport/ville Adidas et au dessus de tout ça une tête sympathique couronnée de cheveux blonds en bataille. Mon inspection était nettement visible et quand mes yeux ont rencontrés les siens, il m'a demandé s'il me convenait ou s'il faudrait qu'il se fasse remplacer par un collègue. Je le rassure en lui disant qu'à ce que j'ai pu voir jusque là, il me convenait (je pense que cela lui aurait couté de me lâcher, après tout ils sont payé en grande partie à la commission) mais que ma machine n'était que la partie émergée de l'iceberg. Un grand sourire accompagné du passage de sa langue sur ses lèvres m'ont indiqué que nous n'en resterions probablement pas là.
Les choses étant calées, nous avons abordés le sujet de ma présence, en l'occurrence l'achat d'un GSXR 1000. Devant la moto, il commence le panégyrique. Je le laisse faire 5mn puis je le coupe en lui disant que quoiqu'il me dise je lui en achèterais un. Il me regarde sans comprendre. Je lui dis alors que c'est un cadeau pour un ami qui ne roule qu'en GSXR 1000 depuis qu'il a eu son permis. il me regarde droit dans les yeux pour me dire que j'ai des amis qui ont beaucoup de chance. Je soutiens son regard, beaux yeux bleus, je souris et lui glisse que j'attends quand même qu'il donne de sa personne. Je suis compris, et très naturellement il m'indique les toilettes et pousse la courtoisie à m'y accompagner.
Dès la porte refermée, il me plaque dessus et me roule une pelle d'enfer. Chaud le jeune vendeur alors qu'il sait déjà qu'il a vendu la machine ! collé contre moi, je sens sa queue gonfler sous le jeans et la mienne en faire autant sous le cuir. Le premier il se baisse et ouvre ma combi pour sortir ma bite. Sans la laisser à l'air plus que nécessaire, il la recouvre de sa bouche. L'impression de rentrer dans une étuve. Chaud, humide avec une langue qui voltige autour de mon gland, du grand art ! Je le relève avant qu'il ne me fasse jouir. Je lui dis qu'il n'est pas obligé d'en faire autant, il l'a déjà vendu son GSXR. Il me répond qu'il avait flashé dès qu'il m'avait vu de l'autre coté de la vitre et redescend me sucer. Avec un effort supplémentaire, il me prend en entier. Dieu que c'est bon d'avoir le gland serré dans une gorge ! Mais il va me faire jouir ce con ! je le relève une deuxième fois. Il me roule un patin où je retrouve le goût de ma bite.
Mes mains sont sur ses jeans. La bosse s'est transformée en une barre horizontale conséquente. J'ai du mal à déboutonner la braguette en tension. Quand j'y arrive enfin, une belle matraque tombe entre mes mains. J'y jette un oeil, bien rose, gland découvert, j'ai l'impression qu'elle est plus longue et plus grosse que la mienne. Comme nous sommes face à face, je superpose nos deux sexes. Finalement je dois faire quelques mm de plus en longueur mais il les rattrape en largeur. C'est son étroitesse de bassin qui m'avait trompé. Je lui glisse un interrogatif, actif ou passif ? Il me souffle que c'est comme je veux qu'on a encore 1/2 heure avant que ça s'agite dans la concession.
Je me baisse à mon tour et lui avale sa bite, direct du premier coup derrière mes amygdales. Histoire de montrer que je suis pas novice non plus. Il apprécie l'attention en me prenant la tête et en me pilonnant la gorge, le tout agrémenté d'un " putain, c'est rare ! ". Mes mains libres sont parvenues à faire glisser le jeans de ses fesses et mes doigts ont pris le chemin de son trou, petit mais bien chaud. Je tends mes doigts vers le haut et il me les suce, les enduits de salive. Je peux alors lui préparer la rondelle. Un puis deux doigts entrent assez facilement. Il ne bande que plus dur. Après avoir pu lui mettre un troisième, je me redresse, le tourne vers les lavabos. Il s'y accroche et le temps de me kpoter, je me présente à sa porte arrière. J'ouvre quand même un sachet de gel au dessus de mon gland et pousse fermement. Mon gland entre accompagné d'un gémissement de plaisir. Je pousse jusqu'à disparaître complètement en lui. D'une main je vérifie qu'il bande toujours. Je l'encule une bonne dizaine de minute puis me retire, j'ai envie de sa bite en moi. La combi une pièce ne facilite pas la chose ! je fini par la virer complètement avec son aide. Et je prend sa place après lui avoir donné gel et Kpote.
Il commence par s'accroupir derrière moi et me préparer l'oignon avec sa langue. Déjà dans ma bouche je l'avais trouvé très longue (sa langue), il allait me le prouver une nouvelle fois, réussissant à pénétrer mon trou de bien deux à trois cm. Aussi bien préparé et surtout excité par la situation, je me suis ouvert rapidement et tout aussi vite il me l'a mise. Pas de délicatesse, rapport viril et fort, je me suis fait sauter en beauté. Jeune mais déjà bien expérimenté, il à joué de sa bite comme un virtuose de son archet sur son violon. J'ai éclaboussé la faïence, utilisant mes muscles annaux pour lui bloquer la queue. Il a été très surpris de ne plus pouvoir bouger. En deux à trois contractions de la sorte je lui ai fait remplir sa kpote. Quand il a déculé, il m'a dit que c'était la première fois qu'on lui faisait ce coup. Et qu'il avait super aimé. Je me suis rhabillé avec son aide et une fois vérifiés mutuellement nous sommes retournés au magasin. Seul son boss nous a vu sortir des toilettes. Nous sommes retournés devant le GSXR et il a fait semblant de me convaincre. 1/4 d'heure plus tard (pour être crédible), il m'emmenait à son boss pour conclure l'affaire.
J'achetais donc un GSXR 1000 de base, couleurs blanc et bleu classiques à livrer à la maison et au nom de Eric X. Je dis au boss que son vendeur étant tellement bon, je ne discutais en rien le prix catalogue afin de lui assurer la meilleur commission possible. Il me répondit que parfois il avait cet effet là. je lui conseillais alors vivement de le garder. Il me dit qu'il n'avait aucunement l'envie de le laisser partir que c'était son meilleur élément. Je lui dis que je lui faisais confiance sur ce point n'ayant pas " testé " les autres. Comme le vendeur en question était encore à nos cotés, j'ai eu le plaisir de le voir rougir jusqu'aux cheveux. J'ajoutais à l'achat qu'Eric X (le futur propriétaire) avait crédit ouvert pour modifier sa machine (freins, pot d'échappement, durites, bracelets...). Et pour le garantir, je laissais un chèque de caution de 4 000 € à charge pour eux de me fournir les factures signées d'Eric.
En dernier point je demandais à ce que la livraison soit effectué par son vendeur qui avait su si bien me convaincre. Point accepté de suite, et de fixer le jour de livraison. Et dernier détail j'exigeais un paquet cadeau rose vif avec un gros noeud rouge.
Quelques jours plus tard j'attendais impatiemment ma livraison. 18h la camionnette arrive. J'avais décidé de mettre la moto dans le garage à la place de la berline de Marc. Je le fais reculer jusqu'aux portes et le vendeur sort me saluer. Je suis en jeans polo. Il s'approche et comme je vais pour lui serrer la main, il me prend le poignet et la colle à son sexe. De son autre main, il tâte le mien et collés me roule un patin que j'accepte volontiers. Je me décolle et lui dis " d'abord les choses sérieuses ". Il est d'accord et j'ouvre le garage pour qu'il descende la moto. Il la place au milieu de l'espace vacant et retourne chercher la boite cadeau qu'ils ont réalisés. Il m'a dit qu'avec un de ses collègue, ils s'étaient bien amusés à la faire. Résultat : un grand paralépipède rectangle rose fuscia avec son noeud rouge dessus qui couvre parfaitement la moto. Choses faites, il regarde un peu autour et voit notre alignement de motos, VFR, X11, Ducat 1100 S et le R1 et devant ma SLS toute neuve. Il se retourne vers moi et me dit que je ne m'ennui pas ! J'acquiesce et lui donne un billet de 100€ plié pour la livraison et le colisage. Il me remercie sans regarder la valeur. Il n'a pas débandé depuis son arrivée et m'avait mis dans le même état que lui.
Camion garé et portes du garage fermées, nous avons repris notre salutation. Il a vraiment une langue plus longue que la normale ! Mais c'est très bon. Nos jeans respectifs déjà trop étroits, le sont devenus encore plus et ça a été une véritable libération que de les ouvrir. A même le sol (béton propre) nous avons entamé un 69 torride. A qui avalera le plus loin la bite de l'autre. Sur ce point je l'ai battu de vitesse. Son gland obstruait mes voies digestives et respiratoires avant que le mien n'en fasse autant.
Pendant tout un moment ça n'a été que Slurp, Slurp. Puis ses doigts comme les miens sont entrés en jeu et nous avons alternés pipe / doigtage et anilingus. Cette fois c'est lui qui a enculé en premier. J'ai retrouvé toute la fougue qu'il avait mis à notre première rencontre. A 4 pattes, je me faisait monter comme une chienne. Deux fois je l'ai calmé car sinon il aurait juté. Puis ça été mon tour, je l'ai enculé debout, plaqué contre mon SLS. Alors que par les cheveux je lui tournais la tête pour profiter de sa langue, j'ai entendu les portes s'ouvrir automatiquement et perçu les phares de la berline de Marc éclairer le paquet cadeaux. Mon vendeur s'est aperçu alors que nous n'étions plus tout seuls. Il se serait je crois bien retiré mais je le coinçais contre la carrosserie et il n'avait pas la carrure pour me repousser. Marc est venu à notre hauteur et m'a rouler un patin sans que je ne me désaccouple. ;
Le vendeur hallucinait de la situation. J'ai fait les présentation le temps que Marc baisse son pantalon et se Kpote puis, je me suis retiré et il a pris ma place. Ses 2cm de long et son cm de diamètre de plus ont propulsé notre jeune ami vers les cimes du plaisir. Comme il n'avait pas débandé, je me suis intercalé et je me suis planté sur sa bite. Sous le rythme imposé par Marc, nous sommes doucement monté en pression. Je sentais la queue de Daniel prendre encore du volume, il était en train de remplir sa kpote. Sa main qui me branlait depuis un moment a reçu mon sperme. Avant qu'il ne jette ma production au sol ou qu'il ne s'essuie sur son pantalon, je lui ai pris la main et l'ai nettoyée avec ma langue (miam). Un " quelle salope " est venu commenter le fait. Nous avons terminé Marc tous les deux avec une pipe à deux bouches jusqu'à ce qu'il couvre nos visages de sperme.
Vu l'heure, Marc a proposé au jeune vendeur de rester diner. Après un coup de fil à son boss pour lui dire qu'il ne ramènerait le camion que le lendemain matin, il a accepté l'invitation.
JARDINIER
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les putes sont déjà au bois
+
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humblequestvinyl · 2 years
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DETOUR
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DETOUR, JJ MAYBANK X FEM!READER
APART OF THE HUMBLE QUEST SERIES
SUMMARY: after moving a couple hundred miles, dealing with a few bad ex’s and going off of the road that’s most traveled on, y/n realizes its the detour that brought her to the one person she loved the most.
inspired by detour by maren morris
warnings: swearing, underage drinking, death of a loved one, depression, anxiety, literal tooth rotting fluff its going to be bad.
lowercase is intentional!! word count: 1.6k
a/n: somebody tell me why this took me three months to write because i am so lazy hello??? also this was kind've fun for me to write. + stream humble quest: in rare form!!!
NEVER IN Y/N’S RIGHT MIND DID SHE THINK THAT MOVING 1,021.3 MILES AWAY FROM THE ABSOLUTE BITTER COLD, TO ONE OF THE MOST POPULAR TOURIST TOWNS WOULD DO HER ANY GOOD.
when the h/c girl moved away from forest city maine in the middle of january, she brought two distinct things with her.
the bitter bitter cold
the thick canadian accent that was attached to her.
the day the girl arrived, it was 20 degrees out, (a rarity for outerbanks), with it feeling like 10 degrees because of the windchill. 
to say the least, the pogues were confused and pissed about the cold.
“who’s moving in with jack?”jj asked as he stood outside with john b, kie and pope, all four shivering to death.
“no clue, but i’m sure you’ll find out on monday.”john b cupped jj’s shoulder, giving him a grin, before they saw a h/c girl storm out of jacks house, with him following behind her.
“putain je ne veux pas être ici ! pourquoi emmy et toi ne pourriez-vous pas vivre tout seul à forest city!”the girl yelled, catching all the pogues off guard, not expecting that from her.
“parce que tu as moins de 18 ans et si tu n'étais pas venu vivre avec emmy ou moi, l'état t'aurait pris!”jack yelled back, and jj turned to pope, with a puzzling look on his face, “pope what are they speaking?”
“they’re speaking french!”
all the pogues looked to their left, seeing sarah walking towards them, and john b furrowed his eyebrows, “how did-?”
“taylor swift.”she cut him off, before she stood next to the group, watching the entire scene unfold, with the two arguing back in forth in french.
“Va te faire foutre!”the girl finally yelled, before storming off inside, and the five saw jack sigh, before he turned and saw the pogues.
“oh shit.”john b stated as they saw jack walking over to the group, and to say the least, the 26 year old looked stressed.
“so, whos that?”jj asked bluntly, causing kie to smack him upside the head.
“jj!”
“ow!”
jack chuckled, before pushing away the stray hairs from my face, “that's my sister.”
“and she’s from france?”jj questioned, causing john b to chuckle, and jack to laugh, “no. on the border of maine and canada.”
“that explains a lot.”
“do you guys just mind keeping an eye out for her at school?”jack brought up, trying to read the look on the pogues faces, “i’m honestly worried about her and don’t need her getting suspended.”
“yeah, shes going to need a tour guide right?”kie asked, and jack nodded before she looked over at sarah, “yeah, we’ve got her.”
“thank you guys.”jack said, before the six heard a door slam, and the h/c walked out of the house, 
“jack!”
—-
“YOU’VE GOTTA BE KIDDING ME RIGHT NOW.”
y/n turned her head to look at her brother who sat in the drivers seat as they sat outside of outer banks high school, waiting to go inside.
“is this some kind’ve joke?”she asked, with her thick french canadian accent peaking through, and jack gave her a stern look, “i have already told you i’m doing online school. i already paid for it.”
“and i told you that if you were going to be with me in outer banks, you were going to high school.”jack reminded her, causing her to roll her e/c eyes, “i cannot have you being at the house right now during the day while i’m out at work.”
“un - fucking - believable.”she muttered, before exiting the car after seeing it was 9 am, “putain de trou du cul.”
“i heard that.”jack told her as the two entered the school, and the 16 year old was not amused.
after getting the girl settled, jack had left, leaving y/n alone sitting across from the school’s principal, “you’re going to love it here y/n.” the girl bit her tongue from saying what she actually wanted to, and instead forced a smile before nodding, wanting nothing more than to go into the bathrooms and hide out for the rest of the day.
“i’m going to have someone whos in a few of your classes come and give you a tour of the school!”dr.folk exclaimed, before leaving her office for a moment and bringing back a gorgeous girl who had a bright smile on her face.
“y/n, this is kiara! shes going to be in most of your classes and giving you a tour of the school today!”dr.folk explained excitedly, before handing y/n her schedule, “alright! off you go girls!”
the two walked out of the office, and y/n looked to see how far they had walked before finally speaking up, “is she always like that?”
“yeah.”kiara chuckled as they turned down a different hallway, “you can call me kie by the way.”
“alright.”she nodded, before kie had started to give a tour of the school, pointing out everything she would need to know.
“and this is your class.”kie gave y/n a smile as they stopped outside of the history room, “i’ll come find you before lunch and we can hang there.”
“thanks kie.”y/n waved towards the girl, before walking in, seeing the entire class staring at her.
this was going to be fun.
“NOW WHO’S THIS?”
y/n’s head snapped towards the front of the table, seeing a blonde boy standing at the head of the table, causing kie to roll her eyes and smack hin, “this is y/n, now will you stop trying to be intimidating?”
“the french girl herself?”he questioned as he sat down next to the new girl, and y/n raised an eyebrow at him, “how did you-?”
“Va te faire foutre!”he imitated her accent, and her jaw dropped, “you know, you’re very loud.”
“connasse.”y/n muttered under her breath, causing kie to laugh, knowing that the girl had taught her what that meant only minutes before.
“what was that?”jj questioned, and y/n forced a smile as she took a sip of her starbucks drink.
“i said you had beautiful eyes.”she lied, seeing other people join the table, and jj scoffed.
“mhm. keep telling yourself that babes.”
FOUR ENTIRE MONTHS HAD PASSED, AND ALMOST EVERYTHING HAD CHANGED.
y/n had become one of the pogues, and spent almost all of her time with them, and when she wasn’t, she was working at the wreck which the pogues would visit often because of both her and kie.
on this day though, all the pogues were sitting on the beach, except for jj and y/n, who were out in the water, surfing.
well, trying to at least.
“babes your balance is off, that's why you keep falling whenever the waves come.”jj told the girl who was becoming more frustrated by the second.
jj had finally convinced y/n to let him teach her how to surf, and here they were, and she was getting frustrated after not getting the handle of it yet.
“it makes no sense though! i was fine on the sand!”she exclaimed as the two hung onto the board, taking a minute to catch their breath and figure out where she was going wrong.
“do you want me to do it with you?”jj questioned after a few moments, and y/n nodded, before the two got up onto the board, and waited for a wave to come in.
“other than your balance you’re doing good. do not beat yourself up over this.”jj told the girl, know how hard she was on herself all the time, “it’s your first time doing this. remember that.”
surprisingly, within the four months jj and y/n had grown extremely close, and jj was one of the only two people who had gotten through to her, hell he was the only one who was able to get through to her that was alive.
“alright, ready?”jj asked, and she nodded before they started towards a wave, trying to think positive, knowing her mom always said to think positive, and good things would happen.
the two caught the wave, and y/n’s face lit up, knowing she had finally gotten the hang of it, and all of the pogues cheered, “i got it!”
“i did it!”she cheered as the two reached the edge of the sand, “i did it!” 
“you did it babes.”jj chuckled as she leaped into his arms, filled with joy and how proud she was of herself.
it took her almost 17 years, a couple of detours, but she realized in that moment she found her person. the one she could go to no matter what, and the one who knew everything about her. the highs, the lows, how to deal with her when she went on an angry tangent in french, and how to pick her up during some of the worst days of her life.
jj was that person for her, and even though it took her a few detours to get to him, she didn’t mind it.
as long as she get to be his, she didn’t mind a detour.
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ernestinee · 9 months
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Alors comment dire.
On est un peu sur l'exact opposé au livre précédent. Alors ouiii j'ai choisi un truc léger pour un peu me changer les idées après "Le bal des folles" qui m'a complètement retournée.
Là c'est vraiment très très léger. Trop léger. Pas bien écrit, ou c'est la traduction qui est mauvaise, j'aime bien trouver des excuses aux auteur.rices.
Bref on est sur Hadès et Persephone, parce que j'ai subitement envie de mythologie grecque. J'ai acheté Le chant d'Achille, j'en ai lu beaucoup de bien ici-même. Je vais relire des écrits d'Homère après si ma phase grecque n'est pas passée. Mais là je voulais de la légèreté et je suis trop trop TROP servie comme je le disais juste au dessus. Comment expliquer. Bon très facilement parce que c'est pas compliqué à comprendre.
On est dans du stéréotype +++. L'autrice s'est demandé comment être originale et elle a décidé après un brainstorming incroyablement bref : "Alooors on va mettre un beau mâle, ténébreux, à la réputation d'être de peu de vertu, et surtout très intelligent et sûr de lui, et face à lui, on va mettre...... (Suspens).... Une godiche. Voilà on n'a jamais vu ça nulle part, c'est l'idée du siècle, bravo"
On souffle.
Du coup pour booster la complexité des personnages, l'autrice a décidé que :
- l'homme a la réputation d'être mauvais, méprisant (quand même, il parie des âmes et il gagne toujours et il les envoie en enfer) MAIS en vrai il est plutôt sympa.
- la fille n'est pas totalement conne, elle est aux études, elle fait son stage en journalisme MAIS elle est tellement sous le charme d'Hadès qu'elle perd ses moyens. TOUT LE TEMPS. De plus, elle est très peu sûre d'elle parce que c'est la déesse du printemps et elle n'est pas foutue de faire pousser une fleur.
Enfin, l'autrice s'est demandé comment intégrer des dieux et déesses dans le monde moderne, et contre toute attente (non), ils prennent forme humaine voilà c'est tout. Ils ont des jobs et tout ça mais en un clin d'oeil ils peuvent sur simple pensée retrouver leur apparence divine, c'est à dire avec des cornes ou des bois selon qui ils sont.
Voilà voilà. Pour ajouter un peu de stéréotypes parce qu'il n'y en n'avait pas encore assez, on a une meilleure amie sans gêne et entremetteuse, et une mère hyperprotectrice.
On a du mansplaining à toutes les pages, que ce soit le collègue sexy (oui, il est là aussi le collègue sexy, il s'appelle Adonis et il est superbe - mais faux cul, ça on le saura plus tard, c'est juste que je le sens venir pcq comment dire.... IL Y A ZERO SUSPENS) ou que ce soit avec Hadès.
Alors au début elle le déteste pcq BIEN SÛR LES HISTOIRES D'AMOUR COMMENCENT PAR UNE DISPUTE C'EST BIEN CONNU. Et puis elle fond quand elle le voit, quand elle entend sa voix suave et sombre (mais confortable - private joke) elle bégaie, elle glousse mais mademoiselle un peu de tenue un peu de mystère un peu de caractère c'est quoi ça. J'AI ENVIE DE LA SECOUER BORDEL.
Et puis après de nouveau elle le déteste et elle veut écrire un article sur lui (dans le "New Athens News" ...... *Soupir*) et puis ma main à couper qu'elle va l'aimer de nouveau dans +- 2 pages et demi.
Un autre truc qui me casse les couilles quand je lis c'est l'impression que le travail d'écriture est transparent. L'autrice a mis dans un chapeau tous les noms de la mythologie et les caractères de chacun et puis pour les personnages secondaires, elle a pioché dans le chapeau et on rencontre par moments bidule qui est espiègle, machin qui est sage, etc etc et le tout sur fond d'histoire déjà existante vu que sans surprise, Persephone va finir par épouser Hadès comme dans la mythologie.
J'ai la même sensation que devant une série un peu niaise. Ça a ses avantages : ça vide le cerveau et on peut faire une petite sieste de 20/30 minutes et on n'a rien perdu. C'était un peu le but quand j'ai choisi de la romance mais je ne croyais pas que ce serait à ce point.
Truc cool, c'est assez soft pour l'instant, ça correspondrait bien à des ados qui cherchent de la romance un chouïa dark (avec le contexte de l'enfer etc) mais sans tomber vraiment dans la dark romance (qui est beaucoup plus glauque et vachement moins destinée aux ados)
Autre truc cool, le côté fiction est sympa pour retenir qui sont les personnages de la mythologie grecque (qui est une histoire sublime - quoiqu'une rawette trop consanguine, Hadès c'est qd même l'oncle de Persephone), leurs caractères, et quels sont les liens entre eux. Du coup ça passe parfois mieux que du purement documentaire pour qui a envie de s'initier à la mythologie grecque (mais il faudra supporter cette histoire d'amour)
Bon, l'autrice a la constance d'avoir écrit plusieurs tomes, ça se vend, ça a un public mais je suis convaincue que je ne lirai pas les autres tomes voilà voilà.
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lisaalmeida · 11 months
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« Toi t’es différente..T’as un truc qui change, qui chamboule tout, ce truc qui transperce l’âme, tu vois de quoi je parle?
Puis t’as ce regard dans la face, qui interpelle les gens
T’as ce sourire ….celui qui a l’air de dire « j’emmerde tout le monde, puis j’emmerde la vie aussi »,
T’as cette façon de marcher aussi qui trahit ton sourire.
Toi t’es un ouragan.
Tu laisses des séquelles et des traces sur ton passage, et ça partout où tu vas..
Puis toi t’es comme la pluie aussi.
T’es belle à regarder, ça devient même tout drôle des fois.
Tu pues l’humanité, tu pues la nuit.
Tu sens l’espoir et tu sens la vie.
Et t’es là, tu débarques, tu sèmes des petits bouts de toi, puis tu t’en vas.
Bordel. T’es tellement de choses à la fois.
Tu donnes envie à un flemmard de se bouger le cul, à un fumeur d’arrêter de fumer, à un amoureux brisé d’aimer.
T’es comme un vieux souvenir qu’on arrive pas à effacer.
T’es ancré dans le regard des gens, t’es ancré dans leur réalité. »
Anna Gavalda
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oldteen · 6 months
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44
J’ai 44 ans et en 44 ans j’ai glané un peu d’expérience sexuelle çà et là, au travers de rencontres et d’un mariage passé. Je pense connaître un panel d’actes amoureux, tant en passifs qu’actifs. Malgré cet horizon somme toute satisfaisant pour certains, il y a une bulle bien particulière que j’aimerais vivre ou revivre. Celle de notre adolescence érotique. Il ne s’agit pas de se pignoler à l’infini, mais de rencontrer. Rencontrer quelqu’un où la découverte du corps se ferais lentement.
En bons adultes que nous sommes, une rencontre se termine assez vite par une sodomie des familles ou par le cul de madame collé au visage. Et pourquoi pas ? Finalement, si nous sommes consentants pourquoi ne pas bouffer la chatte de la voisine sans autres formes de finesse ? C’est ok, certes. Mais je souhaiterais tenter autre chose. J’aimerais mettre ma bite et le con de madame dans un tiroir quelques temps et ne me concentrer que sur les premiers émois. Il va de soi que la femme en face doit souhaiter le même délire.
Comme à nos 14 – 15 ans, la rencontre se ferait dans un parc de la ville ou sur un banc au bord d’un lac, proche de chez nous mais assez loin pour l’intimité. Une première bise et quelques discussions timidement ennuyeuses sur les sujets du jour. Découverte d’un point commun, nous nous y noyons le plus longtemps possible. Par le hasard du vent, nos mains s’effleurent. Nous n’y prêtons pas attention. Mais la répétition du geste ne peut pas être un hasard. Je finis par prendre ta main et joue avec tes doigts. Je fais semblait de lire tes lignes, comme si j’y connaissais quelque chose. Tu m’offre un baise main, m’expliquant, avec un faux air de moquerie, que tu n’as jamais compris ce truc. Nous pouffons. Nos corps se rapprochent. Nous sommes bien, maladroits, une bulle de chaleur nous enveloppe.
En tant qu’adulte, nous n’avons plus l’innocence de notre adolescence, nous savons que nos bouches vont irrémédiablement se rapprocher. Je me permets d’étendre mon bras, tu me regardes, souris, premier baiser, première respiration profonde. Quelque chose s’est passé.
Nous sommes soulagés, plus besoin de cacher notre timidité derrière d’obscures centres d’intérêt. Le premier baiser laissera vite la place à d’autres, d’autres baisers fougueux laissant filer le temps jusqu’à la pénombre du soir.
Vient le moment de se séparer, déjà ! Nos vies d'adultes se rappellent à nous, conjoint-e, enfants, le trou noir du désespoir. Nous nous relevons de ce foutu banc et nous nous promettons de nous écrire, vite. Calin, baiser, calin, baiser, puis tu pars. Tu te retournes, je suis toujours là. Je n’ai pas compris cet après-midi. Je récupère les miettes de mon « adulité » et pars chez moi heureux, triste à la fois.
Ce moment sur ce banc sera peut-être unique, pas de queue à sucer, pas de chatte à doigter. Cette non-sexualité ne signifie pas un manque d’émois corporelle, mais nous avons gardé cela pour nous-même, sous nos couettes respectives.
Les prochaines rencontres seront du même ordre, cinéma, resto, première visite chez toi. J’ai découvert ton corps après l’avoir si longtemps imaginé. Je ne regrette rien.
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marie-swriting · 8 months
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J'aime San Francisco - Kate Bishop
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Marvel Masterlist
Romance Masterlist
Résumé : Tu es à San Francisco avec ta meilleure amie Kate et sa mission est de te faire tomber amoureuse de la ville.
Warnings : fluff, attirance mutuelle, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2.1k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Used To This par Camila Cabello
Tu ouvres doucement les yeux, la lumière du jour t’empêchant de rester dans les bras de Morphée. En tournant la tête, tu regardes Kate avec tendresse. Ses lèvres sont entrouvertes, de légers ronflements s’en échappant. Tu la trouves mignonne. Tu ne le lui diras jamais. 
Tu aimes Kate depuis ton adolescence et tu as toujours réussi à ignorer tes sentiments. Tu es même sortie avec d’autres personnes. Toutefois, tes sentiments sont revenus à la charge au moment où ta dernière relation s’est finie. Tu te bats pour ne rien montrer depuis un mois.  Vous êtes amies depuis trop longtemps, ça serait étrange d’avouer ton attirance maintenant et tu ne sais pas si vous seriez capable de vous habituer à un changement aussi important dans votre relation alors tu l’admires en silence.
Tu te tournes complètement sur le côté pour avoir une meilleure vue sur son visage. Kate a dû te sentir car à peine quelques secondes plus tard, son visage se trouve face au tien, une mèche de cheveux tombant sur son visage. Le nez de Kate se retrousse légèrement, chatouillé par la mèche. Toujours endormie, elle essaye de bouger sa tête, espérant enlever ce qui l’embête, en vain. Tu retiens un rire avant d’enlever les cheveux avec tes doigts. Au même moment où tu replaces la mèche derrière son oreille, Kate papillonne des yeux. Tu retires ta main, craignant de l’avoir réveillée. Tu restes immobile jusqu’à ce que Kate ouvre les yeux et la culpabilité prend possession de ton corps.
-Désolée, je ne voulais pas te réveiller. Tes cheveux te dérangeaient et je voulais t’aider.
-Pas grave. C’est quelle heure ? demande-t-elle avec une voix encore endormie qui pourrait te faire tévanouir.
-Neuf heures.
-On devrait se lever alors, s’exclame Kate en quittant le lit.
-Quoi ? Pourquoi ? On est en vacances, soupires-tu en mettant ton coussin sur ta tête. 
-On est en vacances à San Francisco seulement pendant cinq jours. Tu ne pensais quand même pas qu’on allait rester dans la chambre d’hôtel à rien faire ? questionne-t-elle en prenant ton coussin. 
-Euh, si, en fait. Je n’ai jamais aimé San Francisco donc…
-Tu n’aimes pas San Francisco ? Tu rigoles ? t’interrompt Kate, sous le choc.
-Il n'y a rien de spécial ici, affirmes-tu en haussant les épaules.
-Pourquoi t’as organisé ce voyage alors ?
-Parce que mon ex voulait absolument venir ici et que je voulais lui faire plaisir. Enfin, c’était avant qu’elle me plaque il y a un mois car “finalement, elle ne m’aimait pas autant”, explique-tu, irritée à cause de Sarah, ton ex.
-Ce n’est pas une raison pour ne pas en profiter ! Tu es avec ta meilleure amie dans une nouvelle ville et je sais ce qu’on va faire, j’ai fait des recherches. Tu vas voir, d’ici la fin de notre séjour, tu sera amoureuse de San Francisco.
-C’est un challenge ? 
-On peut dire ça, sourit Kate.
-Bonne chance. 
-Allez, lève ton joli petit cul de ce lit et à la douche, t’ordonne-t-elle en te tapant avec le coussin. Je vais préparer l’itinéraire pour aujourd’hui.
Tu rigoles avant de lui faire le salut militaire et de sortir du lit. Kate pointe la salle de bain de la main et non sans un grognement, tu vas te préparer après avoir pris tes affaires. 
Quand vous êtes prêtes, vous prenez un des fameux tramways de San Francisco pour découvrir la ville rapidement avant d’explorer des parties plus précises. Pendant votre trajet, Kate est assise côté fenêtre et regarde avec étonnement les paysages. Au début, tu n’y prêtes pas attention jusqu’à ce qu’elle te prenne la main et pointe les maisons typiques de la ville. La sensation de sa main dans la tienne réveille des papillons dans ton ventre. Ce n’est pas la première fois qu’elle le fait, mais maintenant, c’est différent. Tes sentiments sont plus forts qu’avant donc ce toucher est à la fois agréable et étrange. Il représente plus que de l’amitié. 
Kate lit quelques passages d’un livre de tourisme, espérant attiser ta curiosité, et tu l’écoutes, enfin tu es plus captivée par sa voix que par les informations. 
Quand vous jugez que vous êtes restées assez longtemps dans le tramway, vous vous rendez à la Jetée 39. Kate te traîne au point de vue pour admirer Alcatraz et le Golden Gate Bridge de loin avant d’aller à l’endroit où des lions de mer se trouvent. Quand tu les vois, tu dois avouer que tu commences à trouver cette ville un peu plus intéressante. Kate essaye de s’en rapprocher mais panique à la dernière minute quand un des lions de mer bouge et elle accourt vers toi. Tu rigoles à son action. Vous prenez quelques photos et continuez à visiter un peu plus jusqu’à ce qu’il soit tard.
Les jours suivants sont assez similaires. Vous découvrez la ville et Kate essaye par tous les moyens de trouver quelque chose qui pourrait te faire aimer l’endroit. Elle y arrive enfin le quatrième jour. Ce jour-là, elle t’emmène au Beat Museum. Tu es passionnée par ce mouvement littéraire et les auteurs qui le composent. En voyant la devanture du musée, tu te tournes vers Kate qui a un sourire fier sur son visage.
-Alors, San Francisco n’a toujours rien de spécial à offrir ? questionne-t-elle, rhétoriquement. 
-Tu commences à être sur le bon chemin. Je dois t’avouer que ce musée est l’une des seules raisons pour laquelle j’avais accepté de venir ici. 
-J’en étais sûre ! Allez, viens, dit-elle en mettant son bras dans le tien.
Dans le musée, tu es totalement captivée. Pour une fois, tu es celle qui donne les informations à Kate qui écoute avec joie. Elle te pose de nombreuses questions et tu y réponds à chacune d’entre elles, même à la plus basique. Tu lui rajoutes même des petits faits drôles que tu as découvert au fil des années. Avant de partir, vous passez par la boutique de souvenirs et tu achètes Le Vagabond Solitaire. Tu connais presque toutes les œuvres de Jack Kerouac mais tu ne les possèdes pas toutes. Tu as lu la plupart sur ta liseuse et venir au musée est l’excuse parfaite pour acheter la copie physique de ce livre en particulier. 
Le soir, vous allez manger dans un bar restaurant non loin de votre hôtel. Sur le chemin, tu commences à lire le livre à voix haute pour faire découvrir l’histoire à Kate. A ton plus grand bonheur, Kate est tout de suite intéressée et est presque triste de savoir que vous êtes arrivées au restaurant, voulant connaître la suite. Tu lui promets de lui lire la suite plus tard. 
L’ambiance dans le lieu est très détendue grâce à la soirée karaoké en cours. Vous rigolez aux différents groupes de personnes chantant de manière extravagante. Pendant que vous mangez, vous accompagnez parfois les personnes sur scène depuis vos chaises. Ta meilleure amie a officiellement fait un sans faute pour cette journée. 
Quand vous avez fini de manger, vous ne rentrez pas tout de suite, continuant à regarder les personnes faire du karaoké. Une heure plus tard, Kate se tourne vers toi, un grand sourire aux lèvres. Pas besoin de chercher pour savoir ce qu’elle a en tête.
-Kate, non, rigoles-tu.
-Allez ! On ne connaît personne, on s’en fiche si on chante mal. Et puis, on est là pour s’amuser, tente-t-elle de te convaincre en te faisant un regard de chien battu.
-T’as intérêt à me trouver une bonne chanson !
-Yes ! s’exclame-t-elle, victorieuse avant de se lever.
Quand elle revient, elle t’annonce qu’il y a deux groupes avant vous. Kate refuse de te dire quelle musique elle a choisi, voulant te réserver la surprise. Tu as différentes idées en tête de ce qu’elle aurait demandé. Tu n’essayes pas de jouer aux devinettes, sachant qu’elle ne te donnera pas la réponse. En temps normal, Kate lâche le morceau rapidement pour les surprises si tu insistes assez longtemps et que tu lui fais ton air de chien battu, mais quand c’est pour une surprise proche dans le temps, elle sait résister. Quand vous êtes appelées, Kate te prend le bras et t’amène jusqu’à la scène. 
Les premières notes de Lay All Your Love On Me commencent et tu la regardes en rigolant. Bien évidemment, elle a choisi cette chanson ! Mamma Mia ! est votre film et vous connaissez les musiques sur le bout des doigts. Vous avez même créé vos propres chorégraphies durant votre enfance en vous inspirant de celles du film. 
Kate commence à chanter et tu attends patiemment, ton micro en main. Kate bouge sur la scène sans regarder où elle met les pieds. Au moment où elle chante “I beg of you”, son regard est concentré sur toi. La voyant sur le point de tomber, tu la rattrapes à temps alors que sa voix se fait instable sur la dernière note qu’elle doit tenir. Tu commences à chanter le refrain, gardant ta main sur son bras pour éviter un nouvel accident. Tu continues ta partie en rigolant face aux singeries de Kate. Quand elle chante le refrain, Kate se rapproche de toi et pose sa main sur ta joue en chantant dramatiquement. Tu essayes de cacher ton trouble en la voyant si proche de toi, comme à chaque fois que vous arrivez à cette partie de la chanson. À ce moment-là, tu voudrais l’embrasser, mais tu te retiens de toutes tes forces. Tu la fais tourner, espérant créer une légère distance. 
Vous continuez à vous amuser jusqu’à ce que la musique se termine. Comme pour les autres participants, vous êtes applaudits alors que vous retournez à votre table. Vous restez encore un peu avant de rentrer, la fatigue commençant à se faire ressentir. 
Le dernier jour, vous visitez un peu plus calmement, ayant fait les lieux les plus importants, à l’exception du Golden Gate Bridge. Vous avez gardé le célèbre pont de San Francisco en dernier, voulant l'admirer durant le coucher de soleil. 
Par chance, il n’y a pas beaucoup de personnes avec vous. Vous trouvez un banc pour pouvoir le regarder tranquillement. En attendant que le soleil se couche, tu continues à lire Le Vagabond Solitaire à Kate, sa tête posée sur tes genoux pendant que tu caresses ses cheveux. Quand elle te fait signe que c’est l’heure, tu ranges ton livre dans ton sac et Kate se rassoit comme il faut. Vous regardez le soleil descendre dans le ciel silencieusement, la main de Kate a naturellement trouvé son chemin dans la tienne entretemps. Alors que tu es perdue dans tes pensées, la voix de ta meilleure amie te ramène à la réalité.
-Alors, j’ai réussi à te faire changer d’avis ? Tu aimes cette ville ?
-Bien essayé, mais non. Il y a des choses intéressantes mais je ne suis toujours pas convaincue, avoues-tu avec un sourire.
-Un jour, je te ferai changer d’avis !
-C’est une menace ?
-Une promesse, corrige Kate en serrant ta main légèrement.
Vous restez silencieuses à nouveau, seulement cette fois, tu n’admires pas le soleil, mais Kate. Sentant ton cœur s’emballer, tu essayes de te calmer. Tu continues à la regarder avant de reprendre la parole : 
-Merci d’être venue avec moi, au fait. 
-Tu sais que je suis toujours contente de passer du temps avec toi.
-Et merci de ne pas avoir dit “je te l’avais dit”, ajoutes-tu, faisant froncer les sourcils de Kate. Ne mens pas, tu rêves de me le dire depuis que Sarah m’a plaqué. Tu n’arrêtais pas de me dire qu’elle me briserait le cœur et je ne t’ai pas écouté.
-Je ne te l’ai pas dit car tu souffrais déjà assez. Tu avais besoin que je te soutienne, pas que je te mette encore plus mal. Un jour, tu trouveras quelqu’un que tu mérites, j’en suis sûre.
-Ouais, dis-tu, peu convaincue.
-Peut-être que tu l'as même déjà rencontré, suggère Kate d’une voix douce.
Ton regard perdu posé sur Kate, tu n’es pas sûre de comprendre ce qu’elle sous-entend. Tu as peur de trop lire entre les lignes. Kate se rapproche de toi tout en te donnant le temps de reculer si tu le souhaites. Tu ne bouges pas et elle prend ça comme un bon signe. Délicatement, elle pose ses lèvres sur les tiennes. Au début, tu ne réagis pas, surprise. Kate arrête de t’embrasser, les joues rouges d’embarras. 
-Désolée, je n’aurais pas dû t’embrasser. C’était bizarre, bafouille-t-elle en évitant ton regard.
-Non, je pourrais m’y habituer.
Tu prends sa main, attirant son attention sur toi. Ses yeux passent de vos doigts liés à ton visage et enfin à tes lèvres. Tu te rapproches d’elle et te penches pour l’embrasser. Kate répond à ton baiser instantanément. Tu poses ta main de libre sur le bas de sa nuque et Kate pose la sienne sur ta joue, approfondissant votre baiser. Vous continuez à vous embrasser, le coucher de soleil sur le Golden Gate Bridge devenant un lointain souvenir. Quand vous n’avez plus d’air, vous vous séparez, mais gardez vos visages proches avec un léger sourire. 
-Finalement, je crois que j’aime San Francisco.
Le sourire de Kate s’agrandit à ton affirmation avant qu’elle repose ses lèvres sur les tiennes, vous autorisant à vous habituer à ce nouveau changement dans votre relation.
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{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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offerteolivia · 8 months
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Ce matin, mon homme m’a envoyé un message me disant que je devais passer à la maison ce midi car il avait un cadeau pour moi.
Connaissant sur le bout des doigts mon coquin, je me doutais de ce qu’était le cadeau.
Lorsque je suis arrivée à la maison, j’ai trouvé deux kanaks entièrement nus assis sur le canapé, en train de se branler.
Leurs queues étaient toute raides.
Mon homme était assis sur le fauteuil en face d’eux et me les présenta.
Ils étaient tous deux en stage dans la société de mon homme.
Mon homme leur avait dit qu’il adorerait les voir démonter sa femme et qu’elle allait adorer ça.
Sans mettre arrêtée un instant depuis que j’avais passé la porte, je me suis dirigée vers le canapé tout en déboutonnant ma robe par le devant et me suis assise entre ces deux magnifiques et virils jeunes hommes.
J’ai remplacé aussitôt leur main par les miennes. Leurs mains se sont rapidement sur mon corps en train de me caresser les seins et mes tétons.
J’ai remercié mon homme du cadeau qu’il était en train de me faire et rappelant que j’allais adorer me faire baiser devant lui par ces deux belles queues.
Elles étaient bien dures. Comme elles le sont à 20 ans.
L’un deux, s’est levé et s’est assis sur l’accoudoir du canapé, m’incitant à me pencher en avant pour le prendre en bouche.
Dès que j’ai gouté à la queue du premier, j’ai senti la langue du deuxième commencer à se frayer un chemin dans ma chatte.
Il avait écarté mes fesses et avait littéralement enfoncé son visage pour entrer sa langue au plus profond.
Pendant ce temps-là, je me faisais pilonner la bouche par une queue comme si elle me baisait.
Des fois, je sortais la queue de ma bouche pour la lécher et pour la branler en regardant dans les yeux le jeune homme.
Il m’a demandé « madame, on espère tous les deux que vous allez aimer qu’on vous prenne à deux en même temps comme dans les films. »
J’ai tout de suite compris qu’ils voulaient me prendre en double.
Je lui ai dit que j’allais adorer les recevoir tous les deux.
Pendant qu’on était en train de parler, mon amant de derrière avait remplacé sa langue par sa queue bien longue et me donnait de beaux et violents coups de queue.
J’adore me faire prendre comme ça en levrette.
Je me suis retournée car j’avais envie de gouter à l’autre queue, beaucoup plus épaisse.
Rapidement le premier que j’avais sucé s’était allongé par terre et ma demandé de venir sur lui.
Quand je me suis exécutée, je me suis rendu compte que mon homme était assis juste devant moi. Je le voyais en train de profiter du spectacle en se branlant.
J’ai commencé à sourire en le voyant prendre aussi du plaisir quand j’ai senti le deuxième se présenter derrière.
Il est entré en moi très doucement et quand après quelques vas et viens il s’est retrouvé entièrement dans mon cul, ils ont tous les deux commencé des vas et viens en décalé.
Quand le premier était tout au fond de ma chatte, le deuxième était presque sorti de mon cul.
C’était tellement bien synchro que je leur ai demandé si ils avaient répété. Ils m’ont répondu que « oui mais sans la femme ».
J’avoue que c’était divin. Je sentais très bien leurs deux belles queues en moi et quand celui qui était allongé a glissé sa main pour me titiller le clito en même temps, je me suis sentie partir très rapidement.
J’allais presque jouir quand mon homme a présenté sa queue toute dure devant ma bouche pour que je le suce car il allait lui aussi jouir.
Quelques secondes plus tard, je jouissais et recevais le nectar de mon homme tout en gémissant.
En m’entendant, mes deux amants ont accéléré la cadence.
J’ai senti le premier jouir en moi pendant que l’autre était sorti pour jouir sur mon dos.
Après quelques minutes de tranquillité pour récupérer, les deux stagiaires m’ont remercié, se sont rhabillés et sont partis.
Moi je suis restée allongée quelques instants avant de remercier mon homme et repartir au travail.
J’adore sauter un repas pour me faire sauter ainsi 😊
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75zit · 1 year
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… Mon maître rebeux avait décidé que nous allions sortir dans un bar gay, c’est un bar qui organise des soirées à thème. Ce soir là c’était soirée kiffeurs. Bien sûr c’est lui qui avait choisi les vêtements que j’allais porter. Son choix s’était arrêté sur un ensemble survet en cuir vegan, avec un jock strap, des cho7 blanches Lacoste que je portais par dessus l’élastique du bas du pantalon, qui était remonté au dessus de mes chevilles, et ma paire de TN noires. Sous la veste du survet il avait décidé que je ne mettrai rien d’autres qu’un harnais, qu’il voulait que tout le monde voit en ne remontant pas le zip jusqu’en haut.
Quand nous sommes arrivés au bar, l’endroit était gavé de monde, tous sappés dans le thème de la soirée. Je passais devant pour créer un passage à mon maître qui était collé juste derrière moi. Si je suis son soumis à dispo en privé, quand on sort, il me traite face aux gens comme son copain ou un pote en fonction des circonstances.
On est arrivé au bar pour commander un verre et ensuite on s’est frayé un chemin parmi la foule.
Il salua quelques connaissances et trouva un groupe de potes qui étaient installés à un table.
On s’est installés avec eux mais comme il n’y avait qu’une seule place de libre, mon maître s’asseya et me dit de m’asseoir sur lui.
Je kiffes quand il me considère comme son copain et qu’on a des attitudes de couple.
La soirée se passait, on discutais avec ses potes lorsqu’il me dit à l’oreille : « j’ai envie de toi salope, j’ai mon zob bien raide qui se frotte contre ton boule, j’ai envie de te pénétrer maintenant ».
Bien sûr ses paroles m’ont chauffé direct surtout que d’être à califourchon sur lui me donnait envie aussi de me faire ken.
Le pantalon de survet qu’il avait choisi a, en plus de la matière qui est kiffante, une autre particularité bien hot : il a un double zip devant et derrière.
Lui avait choisi de mettre un débardeur blanc qui marque bien sa musculature, une veste de survet adidas chile62 et un bermuda en jean un peu destroy avec des AM90 aux pieds.
Il me dit : « soulève toi un petit peu que je bouge ma queue qui est coincée ». Bien sûr c’est ce que je fît et me réinstalla sur lui quelques secondes après.
Il m’avais tiré par les hanches vers lui de façon à être maintenant assis juste au dessus de son zob que je sentais en effet raide et bien dur.
Tout en continuant à parlait avec le groupe, je sentais qu’il commençait à baisser la fermeture éclair arrière de mon survet mais ne pouvait pas le faire en entier. Là j’ai compris : il voulait que je m’assois sur sa queue bien raide, devant tout le monde, sans que personne ne s’en rende compte et continuer à faire semblant de rien. Le bar était tellement full que personne ne s’en serait aperçu. Je décidais alors de l’aider dans son entreprise, me souleva à peine et discrètement passa ma main sous la table de façon à attraper la tirette du zip et l’ouvrit entièrement.
Je me suis calais à nouveau contre mon maître et doucement tira sur les côtés de mon pantalon de façon à ce que l’ouverture de la fente arrière s’écarte bien. Je pouvais maintenant sentir sa tige bien raide contre la raie de mon boule. J’en avait le vertige et des bouffées de chaleur. Il me dit à nouveau à l’oreille « soulevé toi encore un peu discrètement, fais en sorte que que personne ne remarque rien, je vais te foutre ma grosse queue de rebeux dans ton cul de salope et tu vas t’empaler dessus ». Putain j’avais vu juste, il voulait m’enculer devant tout le monde. Waouh j’en pouvais plus d’excitation. Je me suis donc soulevé discrètement comme si je cherchais quelque chose dans la poche de mon pantalon. Lorsque je sentis son gland contre mon trou bien ouvert, je me suis délicatement assis : fuck mon maître était entrain de me bzer devant tout le monde au milieu d’un bar sans que personne ne s’en aperçoive.
Je kiffais ma race, je sentais des petits coups sec dans ma chatte pendant que nous continuions à discuter. Nous avons continué comme ça pendant un bon moment, tantôt c’est moi qui bougeait mon boule, tantôt lui m’attrapait par les hanches ou passer sa main dans mon dos, sous la veste pour attraper le harnais et tirais à fond pour me niker bien profond. J’étais en extase d’avoir la teub de mon maître dans le boule tout en ayant l’air de rien devant ses amis. Et le plus excitant encore c’était quand de temps en temps il me susurrait des choses à l’oreille comme « Tu la kiff sale tapette la queue de ton maître et te faire bzer devant tout le monde » ou « je vais te féconder sale chienne comme une pute au milieu du bar »… putain c’est clair que je kiffais ça….
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... My Arab master had decided that we would go out to a gay bar, it's a bar that organises theme parties. That evening it was a kiffeurs evening. Of course it was he who chose the clothes I was going to wear. His choice had been decided on a vegan leather overcoat set, with a jock strap, Lacoste white soxs that I wore over the elastic at the bottom of the pants, which was raised above my ankles, and my pair of black TN. Under the overcoat jacket he had decided that I would put on nothing but a harness, that he wanted everyone to see by not raising the zip to the top.
When we arrived at the bar, the place was full of people, all covered in the theme of the evening. I was passing by to create a passage to my master who was stuck just behind me. If I am his submissive available in private, when we go out, he treats me in front of people like his boyfriend or a friend depending on the circumstances.
We arrived at the bar to order a drink and then we made our way among the crowds.
He greeted some acquaintances and found a group of friends who were sitting at a table.
We settled with them but as there was only one free seat, my master sat down and told me to sit on him.
I like it when he considers me his boyfriend and we have couple attitudes.
The evening was passing, we were talking with his friends when he said in my ear: "I want you bitch, I have my very stiff cock rubbing against your ass, I want to penetrate you now".
Of course his words warmed me up directly especially since riding on him also made me want to make myself fucked.
The overcoat pants he had chosen have, in addition to the material that is cheeky, another very hot feature: it has a double zip on the front and back.
He had chosen to put on a white tank top that marks his musculature well, an adidas chile62 overcoat jacket and a slightly destroyed denim bermuda shorts with AM90s on their feet.
He says to me: "lift yourself up a little while I move my cock that is stuck". Of course, that's what I did and resett down on him a few seconds later.
He had pulled me by the hips towards him so that I was now sitting just above his zob that I felt indeed stiff and very hard.
While continuing to talk with the group, I felt that it was starting to lower the back zipper of my survet but could not do it in its entirety. There I understood: he wanted me to sit on his hard dick, in front of everyone, without anyone realising it and continuing to pretend nothing. The bar was so full that no one would have noticed. I decided to help him in his business, barely lifted me up and discreetly passed my hand under the table so as to grab the zipper and opened it completely.
I fell against my master again and gently pulled on the sides of my pants so that the opening of the back slot moved away well. I could now feel his hard cock against the ray of my ass. I was dizzy and hot flashes. He says to me again in the ear "lift yourself up a little more discreetly, make sure that no one notices anything, I'm going to fuck you my big dick in your slutty ass and you'll stack yourself on it". Fuck I had just seen, he wanted to bugger me in front of everyone. Wow, I could do more excitement. So I got up discreetly as if I were looking for something in the pocket of my pants. When I felt his hard cock against my well-open hole, I gently sat down: fuck my master was bzering me in front of everyone in the middle of a bar without anyone noticing it.
It was fucking so good , I felt small dry blows in my pussy while we continued to talk. We continued like this for a long time, sometimes it was me who moved my ass, sometimes he grabbed me by the hips or passed his hand through my back, under the jacket to grab the harness and pulled hard to introduce me deep. I was ecstatic to have my master's dick in the hole while looking like nothing in front of his friends. And the most exciting thing was when from time to time he whispered things in my ear like "You like your master's dick and make you fucked in front of everyone" or "I'm going to fertilise you bitch like a whore in the middle of the bar"... damn it's clear that I liked that....
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 104
Vendredi fin d'après-midi.
Samir arrive avec Jimmy, Ammed de son coté.
Je leur fais visiter l'appart modifié et précise aux trois que j'ai pris soin de l'insonorisation (ce qui les fait rire). Nous testons. Les gémissements simulés ne passent pas entre les deux pièces. Jimmy me dit que c'est dommage, il aurait bien aimé les entendre baiser ensemble. J'en profite pour le prévenir que de temps en temps il aura un compagnon de jeux. Ça l'intrigue.
Samir et Ammed commencent l'entretien de la maison et je discute avec Jimmy le temps que la salle de muscu soit faite. Je lui demande s'il est toujours partant pour que je m'occupe de lui. Il me répond positivement. Je lui explique que je lui ai trouvé un travail à mi-temps. Il me regarde craintif, je lui explique le taf et que je l'introduirai auprès de mon patron, ça le rassure. Je lui dis aussi que l'autre mi-temps sera consacré à la baise avec des amis qui cherche un ptit mec comme lui. Je fais miroiter sous ses yeux l'aspect financier de la chose lui annonçant un revenu total mensuel (j'ai décidé de lui laisser 50% des passes) auquel il n'avait jamais pensé hors le trafic de shit. Ce sera presque de l'argent de poche, puisque de mon coté je prends en charge toute la logistique (fringues, protection, poppers...). Il essaye de me tirer les vers du nez concernant son futur compagnon de jeux.
Je ne cède rien malgré ses caresses, pipes et autres excitations sexuelles. Je fini par ne plus tenir et je le redresse alors qu'à genoux entre mes cuisses, il me pompe avec ardeur, pour le faire asseoir sur mes " genoux ". Bien sûr ma bite en a profité pour perforer son anus et l'arrimer à moi. Nous sommes face à face et il en profite pour m'embrasser. Après m'avoir picoré les lèvres, il glisse sa langue entre mes dents et je lui prends la tête pour appuyer notre pelle. J'aime ses lèvres pulpeuses aussi bien collées aux miennes que quand elles s'arrondissent autour de ma verge.
Bien que fixés par nos bouches, il ne cesse de monter et descendre faisant coulisser ma queue dans son anus. Avec lui tout paraît si naturel et évident que je vais lui confier Charles-Edouard (le ptit bourge). Il y gagnera en aisance.
Il m'excite bien et je fini par lui jouir dedans mes mains appuyant sur ses épaules pour le planter profondément. Quand il sent que le je remplis, il s'autorise à juter. Passage aux douches et nous montons attendre Marc au salon. Nous matons quelques dessins animés japonais.
Quand Marc arrive, je vais l'accueillir. Il a croisé Samir et Ammed qui partaient au donjon. Nous nous roulons un patin et je lui dis que Jimmy est là. Nous poussons jusqu'au salon et nous trouvons notre jeune ami à poil, à genoux sur la table basse, la tête posée sur la pierre et ses bras autour. En fait " un cul ", et très bandant ce cul !
Je passe ma main sur le jeans de Marc, il bande ferme. Moi aussi d'ailleurs. Je m'installe en bout de table, relève la tête de Jimmy et lui dis de me sucer. Marc de son coté vire ses fringues rapidement et après avoir juste craché sur la rondelle offerte, l'a pénétrée. Arrivé au fond, un petit coup de rein pour être bien sûr, propulse ma bite au fond de la gorge de Jimmy. Je n'ai pas à bouger, les va et vient de Marc engendrent le mouvement de pipe. C'est trop bon. Je demande à Marc si ça va, il me répond qu'il s'est ouvert comme une fleur mais qu'il sent bien et l'anneau et le boyau. Je suce deux de mes doigts (majeur et indexe) et viens les faire coulisser au coté du sexe de Marc. Ça marche, Jimmy accepte la dilatation supplémentaire. Quand je les retire, son anus se referme et serre de nouveau la hampe de Marc.
Entre le spectacle et les stimulations buccales sur mon gland, je ne tiens plus et jute dans la bouche de Jimmy qui avale consciencieusement. Marc me suit de près et dose son cul.
Il nous remercie pour cet accueil. Nous nous embrassons passionnément sous les yeux de Jimmy.
Nous le confions à Samir quand il vient nous prévenir qu'ils ont fini pour aujourd'hui. Je leur précise juste que si ils font quelque chose avec Jimmy c'est kpote obligatoire, la baise sans nous étant réservée à Marc et moi.
Le samedi après mon cours au père de Jean (et son niquage), je continue avec Jimmy dès mon retour. Assouplissement exclusivement, le fond est là, naturellement il arrive à prendre des positions extrêmes, mais je souhaite qu'il arrive au grand écart facial (il ne lui manque pas grand-chose) et qu'il approfondisse ses auto-fellations. ;Nous y passons une bonne heure et demie mais il progresse et le grand écart sera à sa portée rapidement.
Marc nous rejoint en nous annonçant qu'Eric viendra ce soir après ses cours nous aider à formater Jimmy. Nous passons une partie de l'après midi dans l'eau. Ça va entretenir la résistance de Jimmy sans le muscler outre mesure.
Quand j'entends la moto d'Eric, j'envoie Jimmy le recevoir et le suit pour voir comment il s'y prend (il ne porte sur lui qu'un des maillots de bain que je lui ai acheté).
Il lui ouvre la porte. Eric surpris se laisse faire. Après lui avoir pris le casque des mains et l'avoir posé sur la console de l'entrée, il dézippe la combi en cuir jusqu'en bas laissant surgir le paquet d'Eric encore contenu par le tissu du shorty. Il s'agenouille devant et lèche la bite par-dessus cette barrière. Il l'a mouille de salive et je peux voir les mailles coller au sexe d'Eric comme une deuxième peau.
Sans un mot, il tire l'élastique sous les couilles laissant se déployer la batte de base- ball black. Il commence par jouer avec le gland, léchant sa surface, le râpant de sa langue, glissant cette dernière sous la couronne, buttant sur le frein. Ça marche comme cela jusqu'à ce qu'Eric trop sensibilisé, lui enfonce sa bite d'un coup. Après un court moment d'appréhension (de ma part), je vois Jimmy accepter sans chichi l'envahissement violent de sa gorge. Eric lui ramone deux trois fois ses amygdales, sort totalement de la bouche vorace qui l'excite et remballe le matériel (avec difficulté il le place vers sa hanche gauche). Je m'approche alors pour l'aider à retirer sa combi. Il me dit que le " petit " a bien progressé et que je vais pouvoir rapidement l'utiliser. Je suis d'accord avec lui.
Nous entrons tous les trois au salon ou Marc à préparer l'apéro. Quand il voit la barre horizontale dans le shorty d'Eric, il lui demande si ça va. Réponse : difficile d'aller mieux. Eric se cale dans un canapé et Jimmy reprend les choses là ou ils les avaient laissées. A genoux entre les cuisses d'Eric, il se remet à le sucer. Marc sert un whisky à Eric et en lui passant le verre appui sur la tête de Jimmy pour voir si il était bien planté à fond. Il revient s'assoir à mes cotés. Ses jeans sont bien déformés et sa main sur ma nuque, après m'avoir rouler un patin, il pousse ma tête vers vers ses cuisses. Ma bouche s'crase sur la toile tendue. Je lui défais ceinture et boutons pour accéder au trésor caché. Excité par les " slurp, slurp " venant d'à coté, je tire l'élastique pour laisser la place à la bête de se déployer. Miamm je l'adore et je me jette dessus. Marc n'a plus besoin de me guider. Je lèche, suce, pompe. Elle est trop bonne sa queue. Il me l'enfonce bien dans ma gorge et je dégluti à coups rapide pour lui masser le gland, je sais qu'il adore ça.
Eric me demande s'il peut l'enculer. Je lui bien sûr sous Kpote. Il le pose, l dos sur la pierre froide de la table basse et protégé, graissé, il s'enfile en lui. Je regarde bien le visage de Jimmy. Ce dernier ne laisse paraitre que plaisir, aucunes crispations involontaires dues à la pénétration d'un tel sexe dans son cul. Un phénomène mon ptit beur ! Je m'approche et lui donne ma bite à sucer. Sans problème il me la bouffe jusqu'à l'os. Je me penche pour dégager mon cul et Marc vient s'y planter. Trop bon !!
Nous baisons jusqu'à ce qu'Eric sorte en urgence du cul de Jimmy, dkpote et arrose ce dernier de sperme. La pression était telle que j'en ai reçu sur mes propres abdos. Entre les stimulations buccales et le ramonage de mon cul par mon mec, à mon tour j'ai juté, direct dans l'estomac de Jimmy. Les spasmes de mon anus ont eu raison de Marc et je l'ai senti me doser4 ou 5 fois.
Au retour des douches, nous avons trouvé le dîner prêt, Ammed au service. Quand Marc a fait la remarque à Samir que ce n'était pas dans le deal, ils ont répondus en coeur que c'était pour leur plaisir.
Pour la soirée, nous allons au donjon. Après que nous l'ayons tous enculé l'un après l'autre en taille croissante (moi, Marc puis Eric), je l'ai fait chevaucher notre selle spéciale agrémenté de notre plus gros gode (le 28 x 7). Debout sur les étriers, la rondelle et le gode couvert de graisse, il s'est assis dessus à mon commandement. Tous les trois autour nous n'avions d'yeux que pour sa rondelle martyrisée. En fait nous l'avons vue se déplisser et s'ouvrir pour avaler le monstre jusqu'à ce que ses fesses se posent sur le cuir. Superbe spectacle. Eric me dit qu'il était prêt pour mes clients, vu la facilité avec laquelle il s'était enfoncé ce monstre dans le cul. Marc et convint et j'ai acquiescé.
Nous l'avons laissé faire quelques va et vient avant qu'Eric le soulève et les jambes un peu écartées, l'enfile sur sa propre bite. Automatiquement les jambes de Jimmy sont venues ceinturer la taille de son enculeur. Vu le faible poids de Jimmy et la force d'Eric, ils gardent la position quelques instants.
Quand Eric se couche sur un tatami, Jimmy place ces genoux de part et d'autre de la taille d'Eric pour continuer à se faire enculer. Je m'approche et glisse deux doigts le long de la bite d'Eric, ça rentre. Je m'agenouille et pose mon gland sous la couronne de celui d'Eric lors d'un " va " et profite du " vient " pour pénétrer Jimmy. Son anus s'ouvre sous notre poussée commune et il nous accepte tous les deux. L'anneau serre bien l'ensemble de nos deux bites. µJimmy souffle un peu mais reste tout sourire. Je lui demande s'il a mal, il me répond que c'est juste étrange comme sensation. Mes frottements contre la bite d'Eric, le fait exploser dans sa kpote. Je bascule en arrière entrainant avec moi Jimmy pour dégager et déculer Eric.
Marc prend place et nous reprenons nos positions. Marc dos sur le tatami, Jimmy à cheval planté sur les 22cm de bite et moi derrière à ajouter mes 20cm dans son cul.
Nous le laissons gérer. De lui-même il se lime sur nos bites réunies. Marc lui fait sucer deux doigts, il fait cela façon très salope ! Nous ne tenons bientôt plus et Marc et moi lui larguons nos réserves de foutre dans le boyau.
Je m'écroule sur son dos et Marc porte tout le poids. Naturellement nous sortons de son intimité. Son anus suit notre " débandade " et se referme juste nos glands sortis.
Douches, puis je le conduis à sa nouvelle chambre. Samir est en train d'enculer Ammed dans le séjour. Ils s'excusent. Mais je leur dis qe c'est moi qui suis entré chez eux sans prévenir, donc y'a pas de problème et en plus ils sont très beaux à voir ! Je pousse Jimmy jusqu'à sa chambre et lui dis de laisser son tonton tranquille. En repassant dans le salon, je ne peux m'en pécher de caresser le dos de Samir qui commence à se couvrir de sueur. Il tourne la tête vers moi et me propose de rester avec eux quelques instants. Je lui fais un bisou sur les lèvres, le remercie mais ne m'attarde pas.
Quand je rejoins Marc, je lui raconte. Il me demande pourquoi je ne suis pas resté. Je lui dis que pour aujourd'hui les autres ça suffisait, je voulais juste rester collé à lui toute la nuit !
JARDINIER
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grand-mechant-loup · 11 months
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La Punition
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Nous sommes sur le canapé. Nous nous embrassons depuis quelques minutes. Mes mains se sont maintenant glissées sous ton haut. Je voudrais caresser tes seins mais je n'en fais rien. Je me retiens malgré nos baisers qui s'intensifient. Je m'éloigne alors un peu et je te regarde dans les yeux.
- Tu vas te lever, aller dans la chambre et retirer tous tes vêtements. Ta culotte aussi. Je veux que tu sois complètement nue. Puis tu t'assois sur le lit et tu m'attends sans bouger. Je n'en ai pas pour longtemps.
Tu souris. Tu sais que ça commence maintenant et tu quittes la pièce.
Pendant ton absence j'ouvre le sac dans lequel nous rangeons nos accessoires. Pour l'occasion j'ai totalement dégagé le comptoir. Je dispose dessus, bien alignés, les accessoires qui serviront à ta punition : le fouet (type martinet à longues franges), la cravache, les pinces à seins et le plug. J'ajoute un tube de lubrifiant.
Alors, calmement, je me dirige dans la chambre, le sac à la main. Tes vêtements sont bien pliés sur le fauteuil et toi, tu es assise sur le lit, nue, les mains posées sur les genoux. Je pose le sac parterre tandis que tu lèves les yeux vers moi. D'un doigt sous le menton, je t'invite à te lever. Tu obéis et je t'embrasse. Ta bouche est délicieuse et si je n'avais pas un plan précis de ce qui doit se dérouler, je continuerais probablement à goûter tes lèvres et ta langue de longues minutes.
Pourtant je m'arrête.
- J'ai des choses pour toi.
Je plonge une main dans le sac et en sors une paire de menottes en cuir. C'est la première fois que tu les vois en vrai. Je les passe à tes poignets mais je ne les attache pas entre elles. Tu fais tourner tes poignets sous tes yeux pour mieux les contempler et tu souris. Je t'embrasse à nouveau. Je ne résiste pas à ton sourire... à ces lèvres...
- J'ai encore autre chose.
A nouveau ma main disparait dans le sac et en sort une petite boite dans un papier cadeau. Je te la tends.
- Qu'est-ce que c'est ?
- Ouvre !
Tu déchires alors le papier, ouvre la boîte en carton et en sors un collier en cuir assorti aux menottes. Tu souris encore. Nous en avons parlé. Le collier est un marqueur du contexte de domination/soumission dans lequel nous sommes sur le point d'entrer.
Je prends le collier et je le passe autour de ton cou. Je fais glisser le cuir dans la boucle de métal jusqu'à ce que le collier enserre ton cou. Mes gestes sont sec et bien que je veille à ne pas t'étrangler, je veux que tu sentes une forme de brutalité.
Le collier est fourni avec une chaîne reliée à un mousqueton que je viens accrocher à une boucle prévue à cet effet.
Quelques instant je laisse la chaine pendre le long de ton corps, entre tes seins. Le spectacle est magnifique et je ne peux m'empêcher de sucer des tétons l'un après l'autre. Tu soupires.
Je prends ensuite la chaîne dans ma main.
- Suis-moi.
Je te guide alors à travers l'appartement et nous nous retrouvons face au comptoir. Tu regardes les objets qui t'attendent.
- Pose tes mains sur le comptoir et ne les bouge plus. Recule un peu tes pieds et écarte les à la largeur de tes épaules. Voilà comme ça. Tu n'as plus le droit de bouger désormais.
La posture que je te fais prendre te pousse à te cambrer légèrement. Ton cul est tellement beau. Je pose ma main sur tes fesses. Je les palpe un peu. Ta beauté évidente me trouble profondément. Ton corps fin et élancé pourrait paraitre fragile mais il ne l'est pas. Je devine les muscles sous ta peau. Je sais qu'il vont bientôt se tendre sous l'effet de la brûlure des coups.
Je m'approche de ton oreille :
- A partir de maintenant, tu as interdiction de bouger sans mon accord. Nous allons y aller progressivement. Je vais commencer par le fouet pour chauffer ta peau. Ton dos, tes fesses et tes cuisses. Quand j'estimerai que cela suffit, nous passerons à l'étape suivante.
Tu hoches la tête même si tu sais que tu n'as pas besoin d'approuver puisque c'est moi désormais qui décide. Seul un "stop" de ta part mettra fin à ce que tu t'apprêtes à endurer.
Je prends alors le fouet, je me positionne derrière toi, à ta gauche et je commence à lancer quelques coups légers pour appréhender le mouvement de l'outil. Je fais en sorte que les lanières viennent s'étaler sur ta peau. Je commence par ton dos puis tes fesses, puis tes cuisses, puis je reviens sur tes fesses. Parfois, d'un petit coup sec je fais légèrement claquer les lanières contre ta vulve en les faisant remonter entre tes cuisses. Tu sursautes, plus de surprise que de réelle douleur.
Les lanières en daim sont assez douce et il faudrait vraiment s'acharner pour causer une vive douleur. Cependant, ta peau a joliment rougi et tu commences à te tortiller.
- Ne bouge pas !
Je continue encore mes coups pendants quelques minutes, alternant les zones de ton corps... Je me dis d'ailleurs qu'une autre fois je fouetterai volontiers ton ventre et tes seins. Mais ce soir ce n'est pas au programme.
Je repose le fouet sur le comptoir.
- C'est bien.
Je pose une main sur ton cul et et je t'embrasse dans le cou. Ma main glisse le long de tes fesses jusqu'à ton sexe. Je glisse un doigt entre tes lèvres pour mesurer ton excitation.
Tu gémis. Ton sexe est bien mouillé et je fais aller et venir mon doigt. Quelques instants seulement, le temps de t'arracher quelques gémissements supplémentaires, et je m'arrête brutalement.
- N'oublie pas que tu es punie.
Je suis derrière toi et je pose mes mains sur tes menottes.
- Redresse-toi.
Tu obéis tandis que je guide tes mains dans ton dos. Elles se croisent au dessus de tes fesses et je les fixe en attachant les menottes entre elles. Les épaules en arrière, le dos cambré, cette nouvelle posture fait ressortir ses seins dont je m’occuperai bientôt.
- Ne bouge toujours pas.
D’une légère torsion des chevilles tu sembles t’ancrer un peu mieux dans le sol, sans doute parce que tu sais ce qui t’attend.
Je prends cette fois la cravache.De l'extrémité en cuir, je commence à caresser tes fesses puis ton sexe. Je le tapote à répétition, de plus en plus fort. Tu retiens une sorte de protestation mais tu ne cherches pas à fuir.
Je m’écarte un peu. Je pose la tête de la cravache sur ta fesse droite comme pour mieux mesurer la distance… puis le premier coup part. Il est sec et claque fermement ton cul. Tu encaisses quasiment comme si de rien n’était. Le deuxième claque à son tour. Tu gardes la même position, la tête haute et fière. Les coups se mettent alors à pleuvoir, zébrant à chaque fois un peu plus la peau déjà rougie de ton cul. J’entends quelques gémissements étouffés. Je ne te ménage pas et pourtant tu résistes. De temps en temps une de tes jambes semble flancher pour permettre à ton buste et ton cul de pivoter et ainsi échapper au prochain coup. Mais c’est une vaine entreprise, je te rappelle aussitôt à l’ordre en fouettant la jambe incriminée. Tu te redresses alors aussitôt, de nouveaux prête à recevoir ta punition avec dignité.
Ce châtiment dure plusieurs minutes. Parfois tu lâches un cri aussitôt étouffé. Un ricanement aussi qui semble dire que ce dernier coup était spécialement douloureux mais spécialement délicieux.
Quand j’arrête enfin de faire claquer le cuir, tu reprends ton souffle. Je me rapproche de toi et je fais glisser une main entre tes fesses jusqu’à ta chatte. J’enfonce deux doigts en toi. Ta mouille est épaisse. Tu gémis et je me fais violence pour ne pas continuer cette caresse délicieuse. Ce n’est pas le projet pour l’instant.
Je prends cette fois les pinces à seins. Tu les connais bien. Elle t’ont déjà torturée plusieurs fois. Me tenant toujours derrière toi, mes mains rejoignent ta poitrine, pressent une pince pour l’ouvrir et la referme doucement sur ton téton. Ton corps ne se débat pas mais je sens que ton esprit est en lutte. En lutte contre la douleur que tu refuses de laisser te submerger.
Mon autre main inflige la même douleur à ton autre sein. Je laisse alors retomber la chaîne qui relie les pinces. Son poids t’arrache un sursaut doublé d’un léger râle de douleur.
- Plus tu bougeras, plus tu auras mal.
Et pour mieux illustrer mes paroles je t’assène un violent coup de cravache. Tu tressautes. Ton corps ainsi secoué fait bouger tes seins et la chaîne qui amplifie alors la douleurs au niveau de tes tétons.
Et mes coups de se répéter encore et encore. À ce stade tu ne peux plus retenir tes cris et je garde une oreille attentive à un éventuel "stop" qui pourrait surgir entre tes cris. Mais il n’en est rien.
Quand j’arrête enfin les coups de cravache, ton cul arbore des zébrure violacées et profondes. Je te murmure que je vais libérer tes seins. Tu frémis car tu sais la douleur que cela va engendrer.
Lentement, je desserre la morsure exercée sur un sein. Un râle s’échappe de ta gorge. Il exprime tout à la fois le soulagement qu’une vive douleur.
Je libère ton autre téton et de nouveau tu sembles abandonner toute retenue. Ton ventre se crispe, tu te contorsionnes sur toi-même jusqu’à ce que la douleur semble un peu plus supportable.
Je ne te laisse pas le temps de reprendre tes esprits. Je t’invite à te rapprocher du comptoir et d’une pression entre tes omoplates tu comprends que tu dois te pencher en avant. Tes tétons endoloris rejoignent le plan de travail. Tu gémis doucement.
De mon pieds je t’oblige à écarter plus largement les jambes. Ton cul s’ouvre. Je prends cette fois le tube de lubrifiant et en fais couler entre tes fesses. Sans ménagement, mon index profite de l’épais liquide pour s’enfoncer dans ton cul. De toute sa longueur, assez brutalement. Tu parais surprise et pousse un petit cri quand le deuxième doigt te pénètre. Tu es si étroite qu’ils on peine à se mouvoir. Je les fais pourtant aller et venir quelques temps jusqu’à ce que le passage s’assouplisse.
Je m’empare alors du plug. Tu le suis du regard comme pour confirmer encore une fois, que tu le trouves bien gros (et il l’est). De mes doigts couverts de lubrifiant, je le badigeonne de haut en bas. J’en fais le tour. Plus pour faciliter ma tâche que pour t’épargner une douleur. Il est large et de toute façon, il vas te bousculer.
Je le pointe en l’entrée de ton cul et je le pousse délicatement par petites pression. Je veux bien te faire mal mais pas te blesser.
La progression est lente et tu serres régulièrement les fesses ce qui a pour effet de rejeter le plug. Je reprends inlassablement mes gestes, autant de fois que nécessaire jusqu’à ce que la partie la plus large du plug ait fini d’écarter ton cul. Quand il se refermera, tu éprouveras d’abord une vive douleur qui lorsqu’elle s’estompera laissera place à un soulagement. Mais pour l’instant tu résistes encore et ton cul refuse d’avaler ce que je lui impose.
Une dernière poussée achève mon travail et tu pousses un cris puissant. Bien qu’il ne change pas vraiment de position, tout ton corps semble se tendre. Tu gémis profondément. Je te laisse alors reprendre ton souffle. Quand je te sens apaisée, je t’invite à te redresser. À ce moment là, le plug est toujours fermement ancré dans ton cul. Les mouvements de ton corps semblent s’articuler autour de lui. Tes jambes tremblent un peu. Je te prends dans mes bras, je t’embrasse tendrement comme pour te ramener à un état de conscience qui t’as un peu échappé. Tes paupières papillonnent, tu me regarde furtivement. Je détache alors tes menottes l’une de l’autre, puis je les retire de tes poignets. Je t’embrasse encore puis enfin, je retire ton collier. La séance punitive est terminée.
Tu tombes alors dans mes bras. Tu approches ton visage de mon oreille que tu sembles vouloir lécher mais au lieu de ça je t’entends me murmurer :
- Maintenant, je veux que tu m’encules.
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arypurple · 11 months
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DL - Résumé foireux S01.ÉP10
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Précédemment, la Reine des grognasses avait pris possession du corps de Plante Verte ! Mais pourquoi donc ? On le saura bientôt. En attendant, on voit Cruella Cordelia (qui n'a pas perdu de temps à se mettre en robe) se remémorer le passé où elle se tapait son beau-frère (bienvenue dans la famille où même le patriarche se faisait sa propre cousine ~). Bref, j'aime pas la voix de ce gars en plus d'être aussi chiant qu'une vieille éponge bien humide et dégueulasse qui traîne à côté du robinet en attendant d'être jetée ! Apparemment, Karlheinz et son frère se sont battus pour elle (ce qui ne valait pas vraiment le coup, mais bon...) et Richter a perdu. Mais croyez-moi que ça ne les a pas empêché de copuler comme des lapins ! Oréo-sama arrive en demandant des explications et sa mère décide d'aller se reposer. Bah oui, Yui était pas assez forte pour mettre un coup de pied aux couilles... mais se battre contre l'âme d'une Fondatrice est plus facile. Sur ce, je te dis «Let's go, Yui!». Mais on est tout de même face à un gros problème: on a une grosse chaudasse qui a vu plus de saucisses que le ketchup lui-même dans le corps d'une loli jeune fille pure. Personnellement... je me fais beaucoup de soucis pour l'avenir de son corps (●´⌓`●). Enfin bref ! Richter explique à Ayato qu'après avoir fait un I Believe I Can Fly du haut du balcon, Cordelia était encore en vie et elle lui a demandé de lui arracher le cœur pour le mettre dans un autre corps. Il s'est dépêché avant que le p'tit con ramène son cul pour se faire un BBQ avec le corps de sa mère. Richter aurait pu le placer dans le corps de Beyoncé, Jennifer Lopez, Scarlet Johansson ou bien Megan Fox en sachant qu'elles étaient bien foutues... mais son choix s'est rapporté sur un adorable bébé (passion pour les enfants ? ~). D'ailleurs, vous constaterez que c'est biologiquement impossible de placer le cœur d'une femme adulte dans le corps d'un nouveau-né 🤔. La Reine des grognasses s'est rendue au lac et son fils la rejoint en lui rappelant quand elle s'amusait à le balancer dans le lac en guise de punition. C'est alors qu'Ayato utilise la carte inversion d'Uno pour pousser la daronne dans le lac. Cordelia faisait bien la fière avant de se rendre compte que Yui ne savait pas nager ~ Surtout que j'imagine que ça ne doit pas être évident de nager avec une robe sirène (d'ailleurs, il me semble avoir vue cette robe dans la fin Vampire de Kanato).
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Heureusement, la blondasse reprend le contrôle ou bien est-ce l'autre qui lui a laissé et Oréo-sama la sort du lac avant de la mordre plusieurs fois. Il est tellement shooté par son sang qu'il s'apprête à l'embrasser alors que sa mère peut posséder le corps à tout moment (bienvenue dans la famille !). Fedora-chan (qui n'a jamais été gêné de coucher avec sa mère de toute façon) et Yandere King s'incrustent en voulant boire. Plante Verte se barre pour retourner au manoir avant de prendre le couteau en argent. Tsundere Simulator (ils vont tous se ramener ou quoi ??!) décide aussi de la croquer plusieurs fois avant de disparaître en décidant de lui donner le couteau. Yui... BARRE-TOI DE CE PUTAIN DE MANOIR !!! Bon Dieu de merde, là ! Mais nooooon, on est maso, hein ??? Richter est là pour la brainwasher en lui disant que son sang les rendait fou (ce qui a toujours été le cas de toute façon) et qu'ils allaient se livrer bataille. Plante Verte avance vers le spectre de Cordelia après que tonton détestable lui ait dit d'accepter son destin. Mais... Mais merde, Yui... s'il te dit que ton destin c'est de le sucer, ne me dis pas que tu vas te mettre à genoux et... ah merde, on me dit qu’elle vient de se mettre à genoux ! Vous vous en doutez: il reste encore deux épisodes, ce qui veut dire que la connasse n'a pas encore complètement tiré profit du corps de cette Yui et elle prend de nouveau possession... même que ses yeux ont changé de couleur ! En même temps, elle a passé dix-sept ans sans la moindre relation sexuelle. Elle doit être frustrée et pressée de rattraper le temps perdu avec le tonton de ses garçons. Et que font les autres frères en ce moment ?! Oréo-sama doit encore être en train de freiner les deux autres cons qui veulent téter le sang de maman qui squatte le corps de Plante Verte, Subaru doit être en train de verser son sel bien comme il faut, Shuu doit faire sa sieste et Reiji doit être en train de se droguer ou bien de se branler sur un plateau d'échecs.
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fallenrazziel · 2 years
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Les Chroniques de Livaï #547 ~ SANS AMBITION, IL N’Y A PAS DE TALENT (août 846) Livaï Ackerman
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes. 
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Je suis sûr d'avoir fait le bon choix. Equipe entièrement masculine, huum... c'est une première, en général, les escouades sont mixtes, ça permet d'équilibrer pas mal de choses. J'espère que tous ces garçons vont pas finir par se bouffer le nez sans une présence féminine pour les recadrer...
Je jette un oeil dans le mess et constate que mes quatre soldats sont en train de papoter tranquillement devant un verre. Enfin, seulement trois ; Bernon ne fait qu'écouter comme à son habitude. Je sais pas encore très bien comment je vais le gérer, malgré ce que j'ai dit à Erwin... mais son talent mérite que je me creuse la cervelle.
Ils ont l'air de déjà bien s'entendre ; j'ai bien fait de les coller dans la même piaule. Erd et Gunther sont des braves gars, ils vont les mettre à l'aise. Mais pas trop non plus... Je vais devoir m'en mêler et donner le ton. Je tape fortement mes bottes sur le sol, annonçant mon arrivée et les quatre jeunes me regardent avancer vers leur table. Kryshan - bon, je vais finir par l'appeler Krys, c'est plus simple - se pousse sur son banc pour me faire de la place entre lui et son frère. Un verre plein semble m'attendre... J'enjambe le banc et renifle un peu... Du jus de pomme, ok, ça me va.
Au milieu de ces deux prodiges, je sens une grande vitalité, une énergie formidable nous entourer. Je me demande si Gunther et Erd le perçoivent aussi... Ils sont tous les deux particulièrement aimables et souriants, et ne font preuve d'aucune gêne à mon égard, comme si j'étais de leur rang. Je suis leur chef maintenant, il faut bien qu'ils le comprennent. Je suis pas à cheval sur le protocole d'habitude, mais leur décontraction innocente peut se révéler dangereuse sur le terrain. Enfin, je leur réserve de quoi les mettre au pas...
Je sirote un peu le jus de pomme, écoutant leurs bavardages, et le regard perçant de Bernon me fait tourner la tête. Il me scrute de façon neutre, puis hoche la tête sans que je puisse deviner à quoi il pense. Je me lance... Personne se moque de toi dans le régiment, ça roule ? Il acquiesce. Si quelqu'un t'emmerde, tu viens me voir. Mais ça arrivera probablement pas, les explorateurs sont des bonnes pâtes concernant les spécimens hors normes. Sauve autant de leurs culs que tu pourras et tu gagneras le respect, ça marche comme ça. Vous vous seriez fait chier comme des rats morts dans les brigades spéciales, vous avez bien fait de vous barrer.
Bernon sourit avec difficulté et observe Erd et Gunther de façon insistante, semblant leur demander quelque chose. Krys se penche en arrière sur le banc, scrute son frère puis se redresse en me faisant face. Comment ça marche, leur manège mental ? Bon, allez, qu'est-ce qu'il a dit ? Krys demande si je parle de cette façon avec tout le monde. Bernon trouve mon accent et mon vocabulaire assez extraordinaires. Ouais, ttcchhh, je parle comme ça, je suis né avec. Va falloir vous y habituer.
Et toi, explique-moi comment tu fais pour savoir ce qu'il pense. Il reste évasif, évoquant les micro-expressions, les sourcils, les mains, la bouche de son frère comme des indicateurs précis, des tas de détails qui, mis ensemble, forment des phrases qui lui paraissent tout à fait claires. Ca m'a tout l'air d'être de le magie tout ça. Je suis sûr que la bigleuse serait intéressée par vos cas. Bernon se penche pour me regarder et là, bizarrement, je comprends très bien sa question. La bigleuse, c'est le chef d'escouade de la section scientifique, vous pouvez pas la louper, elle est cradingue toute la semaine. Faites gaffe à pas trop vous approcher, c'est un germe ambulant. Krys rétorque qu'ils la connaissent déjà, car ils ont voyagé en diligence ensemble. Ouch... vous vous êtes lavés après, j'espère.
A propos de propreté... il va falloir couper vos cheveux. Ou au moins les attacher en permanence. C'est la règle. Et aussi, veillez à ne pas vous habiller pareil, que je puisse vous distinguer même de loin. Coiffez-vous et sapez-vous différemment, bref facilitez la tache aux autres. Ils hochent la tête ensemble et Krys sort de sa poche un élastique fin qu'il noue autour de sa tignasse. C'est déjà mieux.
Bon, pour ce qui est du travail d'équipe, vous vous entraînerez ensemble évidemment. Erd et Gunther, vous gardez votre tandem, Krys et... Ber - je vais m'y habituer... -, bien évidemment, vous formez équipe. Mais vous interchangerez durant les exercices, vous devez pouvoir vous adapter. Vous inquiétez pas, les nouveaux, on vous mettra au jus de toutes nos techniques et procédures dans toutes les situations ; on ne fait pas les mêmes choses que dans les autres escouades. Vous êtes dans l'élite maintenant. Mais vous apprendrez beaucoup sur le terrain. Les titans de bois, ça va cinq minutes, après on se fait chier sévère. Je vous emmènerai bientôt au Mur Rose histoire de le débarrasser des cancrelats qui y rôdent...
Krys saute sur ses pieds et annonce qu'il est prêt à y aller. Il me rappelle Claus, parfois, c'est pénible... Calme-toi, on y va pas aujourd'hui. Mais je vais vous donner une mission de la plus haute importance. Je capte parfaitement le sourire entendu de Gunther et Erd... Ils savent très bien quoi il s'agit.
Regardez autour de vous, les nouveaux. Les jumeaux obéissent, promènent leurs yeux sur les tables, les murs, le comptoir, le dessus des bancs. Vous voyez rien de choquant ? Bernon semble gêné mais secoue négativement la tête, sans savoir s'il fait bien. Ok, donc j'ai du travail avec vous. Je promène mon doigt sur la table, faisant un peu crisser mon ongle sur le bois, puis le retire et le montre aux deux frères. Vous voyez maintenant ? Là, cette graisse immonde. Dépêchez, que je puisse l'essuyer ! Ils acquiescent avec empressement et je peux enfin frotter mon doigt avec un vieux mouchoir.
Je me lève du banc et tous les quatre me suivent du regard. Le combat est jamais terminé, il se mène partout. Vous voyez, dehors, il y a une cohorte de saletés qui attendent de se faire buter. Elles sont dures à choper et plus on en tue, plus il en vient. La saleté ne meurt jamais. Il faut la nettoyer chaque jour. Dans votre quotidien, la saloperie est partout. Elle peut vous tuer aussi facilement que les titans si vous la laisser s'installer. La poussière, la crasse, les ordures, la graisse, la suie, la merde... je veux pas de ça autour de moi, et ça vaut aussi pour vous. On est militaires et c'est dur de rester propres tous les jours. Mais vous allez faire de votre mieux. Vous vous douchez au moins une fois par jour, et les cheveux doivent être propres. Vos vêtements aussi, pas de taches de quoi que ce soit. Vos lits, au carré. Et pour aujourd'hui...
J'indique du pouce la direction d'une pièce que mes deux vétérans connaissent bien : la buanderie. C'est bien ça. Vous avez deux heures pour nettoyer le mess du sol au plafond. Cet endroit est une porcherie, même l'écurie est plus propre. Ce sera parfait pour vous faire commencer le travail d'équipe ; Erd et Gunther vous montreront comment faire. Si vous ne parvenez pas à vous entraider, vous y arriverez pas. Ca demande méthode, discipline, coordination. Je reviens dans deux heures et je verrai si le test est réussi. Je peux être de très mauvais poil si c'est mal fait, je préviens...
Les jumeaux semblent stupéfaits - c'est rare de les voir ainsi - et je suis pas peu fier de les avoir mis dans l'embarras. Quoi, on vous l'a pas dit ? L'escouade d'opérations tactiques est aussi l'escouade d'élite du ménage. Ca fait partie de vos attributions maintenant.
Je m'éloigne rapidement, et leur lance un dernier avertissement avant de quitter la cantine. Oubliez pas : deux heures, pas une minute de plus. Gare à vos fesses.
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lecameleontv · 1 year
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Captures de l’Episode 3.02 - Hope & Prey/Le Cercle (1998) de la série TV Le Cameleon (V.O. : The Pretender).  
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(sortant de l’ascenseur, Mlle Parker et M. Parker retrouvent Lyle qui les attend) - Lyle :”J’espère que je ne vous dérange pas” - Mlle Parker : ‘L’espoir fait vivre” - M. Parker : “Allons mon ange ! ...” (jeux de regards)
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- Jarod : “Il a l’air d’être parti en coup de vent !” - Chasseuse de primes : “Un coup de fusil ça vous donne des ailes.”
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- Mlle Parker : “Je veux une photo du macchabé Sydney ou il pourrait y avoir d’autres morts !”
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- Jarod : “La vérité n’est pas toujours facile ... mais elle est vraie. Elle vous ouvre les yeux”
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- Sydney : Fenigor est un fantôme :) - Mlle Parker : Sydney, je ne crois pas aux revenants ! - Sydney : pourtant Le Centre en est truffé ! Et devinez où ils vivent ces temps-ci ?
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- Bodie : “On va avoir tous les chasseurs de prime à nos trousses !” - Jarod : “ Je me surpasse quand on me traque”.
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- Mlle Parker : “tiens tiens le médecin se soigne tout seul ?” - Sydney : “c’est une thérapie Mlle Parker, la vérité. Regarder en face ce que vous avez fait. Dans mon cas il s’agit d’une vengeance aveugle. Diriger son attention sur des moments constructifs, sur des personnes qui en valent la peine. “ - Mlle Parker : “Et ça marche ?” - Sydney : “Je vous vois flou... mais je vous vois”
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- Bodie, après lui avoir donné une information sur un lieu fermé depuis 20 ans concernant son père : “Une impasse” - Jarod : “Oh je commence à m’y habituer. Pour qu’il y ait un cul-de-sac, faut qu’il y ait une route. Et grâce à vous j’ai une nouvelle piste à suivre”
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Bodie, le personnage de cet épisode, est un militant Greenpeace, comme l’acteur Michael T Weiss... d’ailleurs il y a souvent un personnage à vélo dans les épisodes de la série (rappel : série américaine des années 90′)...
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Le co-producteur Tommy Thompson apparaît pour la 1ère fois également en tant qu’acteur dans cet épisode... et en pyjama (Broots aussi l’a remarqué^^)
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Patrick Bauchau a reporté des “lunettes” dans la série TV La Caravane de l’Etrange.
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Dans cet épisode, Jarod apprend que son père a fait la même chose que lui dans l’Ep. 1.14 mais pour un petit garçon.
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source : imdb
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evaspleen · 2 years
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Date: 2022/09/20
Title: soumise à de laides et vicieuses brutes.
L'homme était laid, trapu et costaud son visage était monstrueux comme frappé de mille coups et cicatrices l'expression qu'il avait alors qu'il bourinait la fille qui hurlait le corps cambrés par les cheveux empoigne.etait rustre et violente.
"tu vois il baise une pute, sa laideur fait fuir les femmes et toi tu vas leur donner envie je vais te donner à baiser à ce monstre regardes bien."
La caméra filmait le cul travaillé par une queue énorme et longue
Il l'enfoncait jusqu'aux couilles et lui fourait de coup de reins violent.
la pute hurlait et bougeait son cul pour aller plus loin, elle mis sa tête au sol et écarta bien sa fente pour y accueillir la queue qui la defoncait.
"c'est ça...couine salope.t'es.une.bonne pute, t'aime ça allez prends ça et dis le que t'aime la queue.
Oui oui j'aime la queue la tienne est bonne oooooh mets la moi bien dure.
Tu vas lecher mon cul elle sera plus dure encore  vazy lèche mets bien la langue huuuuum ah chienne tu me fais bander je vais t'enfiler tu vas sucer salope allez
Tu vois comme elle est dure
Oooooh elle a grossis encore je ne l'avalerai jamais.
Lèche là et suce je te paye pour la sucer tu suce."
"tu vois cette énorme queue ce visage immonde je lui offre ton corps de chienne. Tu mouillés salope ça t'excite et attend."
Il l'a prends par le cou et la force à le regarder dans les yeux les doigts fouillant sa chatte trempée.
" il ne sera pas seul ils seront trois à te baiser."
La main profite d'être trempée pour lubrifier le cul offert par les jambes bien hautes et tenue bien écartées elle gémit il accélère et glisse deux doigts de plus dans le trou serré.
L'un d'eux viens àvec sa chienne il sera notre esclave tu vas me voir me faire sucer par un homme en laisse lui baiser le cul en te regardant jouir.
Je te veux bien salope tout sera filmé et en direct tu dois donner envie de se faire baiser par ces types. On enverra des Copie à la poufiasse qui les méprise elle finira par les supplier de la baiser comme une putain.
Ça.commence ce soir.
Il se dégage et la laisse trempée folle d'envie de sexe .
Ne te fais pas jouir je veux que tu te jettes sur les bites ce soir.
Ils arrivèrent tous ensemble tous laids l'un louchait l'autre était défiguré par un nez immense et un air de profonde perversite il appuya de son regard sur les seins et le cul que laisse deviner la robe noire moulante fluide et courte.
Le.troisiemes portait une caméra qu'il installe face au salon il sort un petit objectif qu'il pose sur la table.
La porte claque sur un homme laissé seul dehors,il est nu sous un peignoir noir, il a froid et porte un collier de chienne. Il attend.
Elle les acceuille par un verre et son maître s'installe comme au spectacle.
Le vicieux attaque les choses sans s'asseoir et saisi les seins qu'il ne cesse de matter le laid trapu soulève la robe et Tate les fesses nues.
Elle ne porte pas de culotte la salope...
Il râle et empoigne la.chatte lisse il y mets.de.suite.deux doigts épais. Il est derrière elle pendant que l'air pervers de autre file des frissons à celle qu'il regarde en lui torturant les tétons il se régale visiblement de la vue de la femme gémissant et le lui dit
Je te regarde te faire baiser depuis des mois tu m'en as fait gicler du sperme et ce soir il va gicler dans ton cul. Tu couinnes déjà presque putain t'es faîte pour ça.
Le troisième se branle debout et filme.
Le trapu grogne comme un animal et sort sa queue elle paraît plus énorme encore qu'à l'écran.
Elle ne l'a voit pas encore mais la sens longue et lourde contre son cul le gland balancant sur le haut de sa cuisse l'exita immédiatement .
T'es trempée salope ta.chatte est gonflée viens nous la montrer.
Le maître lui ordonne de s'asseoir.
Fais ce qu'on te demande assied toi et écarte les cuisses montre ta chatte montre ton cul bien ouvert qu'on filme de belles images.
Elle obéi et s'assied sur le canapé jambes écartées le rustre se mets à genoux pour bien regarder le sexe trempé, il écarte les lèvres et y mets un grand coup de langue humide il la fourre àvec force dans le vagin de la fille qui commence à s'agiter. l'autre la calme en lui donnant sa queue à sucer , une queue trop longue à avaler..il tient sa bite d'une main et de autre tire sur les cheveux pour maintenir sa tête.
il fini par petit à petit bien lui baiser la bouche.
Son petit cul lui aussi est bien travaillé la langue qui lui fouillait la chatte l'encule à présent les deux mains immense de la brute écartant ses fesses.
Il pénètre le trou qu'il écarte de grands coups avant d'y mettre les doigts et de relever la tête pour la regarder sucer.
T'es bonne avale cette bite pour moi tiens tu les sens mes doigts dans ton cul petite pute
Pute et salope d'après ce qu'elle a montré d'elle.
Il s'était contenté de filmer boire et fumer depuis son arrivée. Il était très grand massif son sexe aussi . Il était très impressionnant le rustre se retira pour lui laisser l'accès aux cuisses qu'il écarta bien grand l'homme la pénétra d'une coup franc et sans la prévenir se mit à lui limer la chatte avec énergie sortant les seins de la robe pour en tirer les pointes que la brute vînt lécher en se branlant la queue raide.
Il avait envie s'enculer cette garce.
Il faut lui prendre le cul.
Haa il a raison vient t'asseoir sur moi rends ton cul bien disponible écarte tes fesses salope qu'on en fasse un fourreaux à queue..tu vas te faire bouriner le cul ma grosse queue te limant la chatte
Il faut ouvrir à ma chienne il est temps d'utiliser ses orifices.
Le maître se leva et revient àvec l'homme en peignoir.
Elle est assise sur la bite qui la pilonne la brute lui ordonne d'écarter son cul il l'a léche encore bien profond avide du trou qu'il ouvre de ses doigts enarmes.
Le vicieux s'occupe des seins il y accroche des pinces elle hurle il lui enfonce une queue raide dans la bouche lui demande de tirer la langue et y frotte son gland.
Le maître se fait sucer par l'homme à qui on intime de se déshabiller et de se mettre à quatre pattes il est clairement un objet.
Quand enfin la bite lui pénétra la fente baveuse et serrée elle cria de plaisir et de douleur le sexe était énormeuo aussi elle n'avait jamais eu la sensation d'être si prise.
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emmeler · 11 months
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A vouloir faire comme ci de rien n’était pour leur convenir, tout explose quand il ne faut pas. A vouloir tout refouler je me prends tout dans la gueule au pire moment. A vouloir être comme ils voulaient, je me suis perdue. C’est de ma faute. Mais en même temps on ne m’a jamais écouté auparavant. C’est eux qui m’ont poussé à tout cacher, c’est eux qui m’ont mis dans la tête que c’était une honte, que c’était stupide, qu’il fallait que je la ferme, que ça n’avait pas de valeur, que ce n’était rien. Si ce n’était rien, pourquoi j’ai toujours autant souffert ? Pourquoi j’ai aussi mal ? Pourquoi je tremble alors que je ne tremble jamais ? Pourquoi j’ai autant de haine ? Pourquoi j’ai envie de mourir ? Peut être que si on m’avait aidé plus tôt je n’en arriverais pas là. J’ai voulu faire des pauses plein de fois, j’ai appelé à l’aide plein de fois mais personne ne m’a entendu. Personne ne m’a écouté, tout ne monde a négligé mes émotions, et moi pendant ce temps là je n’ai fait que de faire ce qu’on attendait de moi, je n’ai fait que d’obéir au regard des autres, à leur regard, alors qu’eux, ils n’ont jamais été capable de me regarder juste 5 minutes et de me prendre en considération. Ça a toujours été eux eux eux, leur égoïsme et leurs petites idées. J’aurai préféré avoir un cancer, une maladie physique grave, au moins personne ne m’aurait fait chier, personne ne m’aurait remise en question, tout le monde m’aurait cru, personne ne m’aurait négligé, on ne m’aurait pas jugé si j’aurai eu besoin de soins, d’une hospitalisation. S’ils ne peuvent pas le voir de leurs propres yeux, ils n’en ont rien à foutre, il faut pisser le sang, il faut crever devant eux, ça n’existe pas, c’est du cinéma, je suis folle lol. Pourtant c’est ce que je fais, je crève devant eux, tous les jours un peu plus, depuis toujours. Mais ils sont aveugles, ils n’ont pas voulu le voir, ça ne se voit pas donc ce n’est pas assez important pour eux.
10 ans de mensonges. « Oui ça va », « Regarde j’ai des bonnes notes », « J’ai eu mon brevet », « Ça va pas et vous en avez rien à foutre, vous me rabaissez, mais je me force quand même à garder une scolarité à distance pour avoir mon bac pour vous », « Regarde j’ai eu mon bac », « J’ai eu mon permis », « Je déménage à 800km avec personne autour », « Ah j’ai trouvé un travail ! »,  « Cool j’ai trouvé mon apprentissage », « J’ai été admise à l’école », « Ah j’ai acheté la voiture que je voulais depuis mes 15 ans, elle est magnifique ! ». L’enfant exemplaire qui ne sort pas trop du cadre, qui n’a jamais fait de conneries, qui a toujours obéit. La belle façade. L’image, toujours l’image. La surface de l’iceberg car ils sont trop stupides pour accepter de voir la face cachée. Ils n’ont jamais voulu la voir, ils s’en foutent.
Tout ça pour ne jamais avoir été écoutée, pour ne jamais avoir été regardée, pour ne jamais avoir été soutenue, pour ne jamais avoir été félicitée car « Tu y arrives toute seule donc on pensait que tu n’en avais pas besoin », alors qu’en réalité ils sont juste centrés sur LEUR vie, et que moi bah, j’ai toujours dû me débrouiller. J’ai eu le confort de base et le confort matériel, mais derrière personne n’a été là quand j’en ai eu le plus besoin et ils ne seront jamais là. La preuve aujourd’hui. Je serai toujours seule. Je me sens ingrate, et en même temps, c’est sûrement car on m’a mis dans la tête que toutes mes pensées étaient stupides et n’avaient aucune valeur, que ce n’était rien, lol.
J’ai plus envie de parler a personne, une part de moi leur en veut et les déteste tous car s’ils s’étaient bougés le cul, s’ils avaient pris 5 minutes pour me regarder, pour m’écouter ne serait-ce qu’une fois dans leur minable vie, au lieu d’écouter leurs préjugés construits sur des conneries, s’ils avaient ne serait-ce qu’ouvert leur esprit fermé, je n’en serais pas là. Ils m’ont tué.
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