Tumgik
#résumé foireux
arypurple · 10 months
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DL - Résumé foireux S01.ÉP07
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L'épisode commence alors que notre adorable Plante Verte dort... en pleine nuit ?! Euuuh, okay ? Claude Faustus n’avait pas dit qu’elle devait pioncer uniquement en journé ? Mais elle n'arrive pas à dormir et va voir par la fenêtre au cas ou un exhibitionniste passerait, je suppose ? Et bah non, c'est le retour de Casper qui se tient dehors au beau milieu de la pluie (si seulement elle pourrait se faire frapper par la foudre... deux fois au même endroit !). Bref, quand elle se tourne en affichant un sourire narquois, Yui s'évanouit devant la fenêtre. D’ailleurs, à quel point l’animation était foutue pour donner l’impression qu’elle s’allongeait au sol pour faire genre de s’effondrer. La fenêtre s'ouvre donc toute seule donnant un BON courant d'air qui soulève sa robe comme Marilyn Monroe au-dessus d'une bouche de vapeur ! La demoiselle reprend connaissance avant d'ouvrir les yeux, affichant un regard vide. Ensuite, elle se rend... dans un canal souterrain, étant visiblement dans les vapes (bof, c'est sans doute ce bon vieux Reiji qui a un faible pour les drogues et qui lui a filé du GHB). Elle essaie soit de trouver la planque des Tortues Ninjas... ou bien elle a décidé d'aller flotter en bas avec Pennywise. Elle se retrouve ensuite projetée dans ce qui semble être le passé... et sans l'aide de la DeLorean ! C'est le passé des six frères et on voit d'abord les triplets essayer de poursuivre des chauve-souris. Euh... okay, ouais... c’est un passe-temps comme un autre. Et moi qui passais mon temps à courser des poussins et des chatons innocents. S'ensuit alors un rappel à l'ordre pour Ayato et on apprend que l'inconnue aux cheveux violets est leur mère... et accessoirement une véritable connasse ! Madame oblige son fils à étudier et ce dernier doit devenir le meilleur sinon il ne sera plus son fils et devra aller se noyer dans le lac. Ensuite, elle fait venir Kanato vers elle pour chanter. On passe du côté de Shuu et Reiji alors que la blonde vient de se blesser avec l'épine d'une rose blanche. Le blondinet revient à la maison avec un adorable petit chiot alors que Reiji est plongé dans son bouquin. Sa daronne, pas mieux que Cordelia, n'accepte pas ce comportement et le majordome lui prend le chiot (je présume qu'il a été abandonné ou bien zigouillé), avant que Shuu ne parte, en colère. S'ensuit alors une "intéressante" discussion entre Reiji et sa mère qui se contente de l'ignorer quand le garçon lui annonce qui a retenu un livre en entier par cœur.
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Plante Verte est ensuite projetée vers un autre endroit où un mini Subaru se tient devant une tour en attendant que Raiponce se décide à lancer sa putain de chevelure regardant une femme qui semble bien être sa mère. Bien entendu, la femme ne semble rien vouloir savoir de son fils et ce dernier fait la moue en laissant tomber son couteau en argent. Yui assiste ensuite à une scène où le tonton fait la cours à Cordelia (car on apprend enfin son nom, mais connasse lui correspond le mieux). Visiblement, cette dernière est bien enclin à se taper le tonton de ses fils... alors qu'Ayato les observe. Et puis, bam ! Tout se fige et la blondasse se fait griller par Cordelia avant d'avoir de nouvelles douleurs à son cœur. De retour au présent, la voix d'Oréo-sama la réveille. Naturellement, elle ne se souvient pas de comment elle est atterrie dans la planque des Tortues Ninjas et a conservé la petite coupure à son doigt à cause de la rose. Qui voilà ? Fedora-chan qui arrive, attiré par son odeur et ça fait aussi envie l'autre con qui l'a déjà sentie quelque part. Car oui, il n'y a rien de plus excitant que de mordre une belle blonde en nuisette à deux dans le canal souterrain, voyons ! Plante Verte tente la fuite, mais la porte la plus proche est verrouillée. Pour UNE fois qu'elle fuit et on fout en l'air sa tentative ?! Ayato pousse son frère pour la croquer en premier, mais le cœur de sa proie fait des siennes encore. Du coup, pervers-kun prend le relais avec la cuisse... encore la cuisse avant de lâcher une réplique digne de Dio: muda. Et monsieur nous sort cette anecdote que tout psychopathe sort à sa victime pour l'effrayer: le coup de "plus le papillon se débat dans la toile d'araignée, plus il s'empêtre" avant de mordre sa cuisse en disant "l'aimer". Ayato se joint de nouveau à eux avant de vite se lasser... et de la laisser là avec l'autre con. Mais oui, mon grand ! Largue-la comme une merde dans les égouts. Quoique ça aurait été mieux si elle tombaient sur les Tortues Ninjas ou bien Pennywise...
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About me ^^
My name : hayden
My pronouns : he/they
I’m French and I’m learning English by reading Marauders fic
Fandom : dead gay wizard from the 70s.
Ship I love : starchaser Wolfstar dorlene marylily emlily rosekiller xenodora (out of Marauders but them<3 drarry linny romione deamus)
Artists <3 : @industrations billie eillish, Arctic Monkeys, the neighbourhood, holokid, queen, nirvana, David Bowie, Gorillaz
My fav mutu : @just-an-octopus
Fuck jkr 🏳️‍⚧️
Retake et résumé foireux 🔛🔝
MBTI: ENTP
House: gryffindor
My marauders fancast
Sirius Orion Black: Ben Barnes, whataboutpadfoot (Andy) on Instagram
Remus John Lupin: Andrew Garfield, p4perback (Ethan) on instagram
James Fleamont Potter: Aaron Taylor Johnson
Regulus Arcturus Black: Timothée Chalamet, Daniel Millar
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kokonutcat · 8 months
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Hi! I just wondered if you spoke French? Because of the "utilise le chidori abruti"… Since it seems to be a reference to Crazybomb’s videos on YouTube :D
Hello!
Yes, it’s my first language and yup this quote indeed comes from le résumé foireux by crazybomb world. Glad that someone got the reference haha 😂
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ldngwkshsbnd · 4 months
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commentaires de l’épisode 12 de Only Friends part 5 : (-18) (eh bah alors ça faisait longtemps ça. ça m’avais manqué mais j’ai tellement de choses à faire que je panique et que du coup je prend pas le temps de faire ça. j’ai même du réduire mon temps à regarder mes séries, j’ai cru mourir les gars) (joyeux Noël et du coup je vous offre ce petit cadeau, j’espère que ça vous plaît)
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yyeeeeehhhh c’est bien ça mon chou, c’est ton homme et tu le garde.
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J’AI LA MÊME BAGUE AHAHAHHAHA. mdr je la mets h24 à mon cou maintenant. je vous jure ça m’a stressé c’est exactement la même.
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AAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH JSJDJDHDJDBDBDJFVDJDJJDJDKFB c’était y’a presque deux mois et je crie encore. il l’a embrassé en public, mon Dieu je vais faire un infarctus.
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oohhh c’est trop mignon. moi aussi je veux embrasser quelqu’un. il me reste encore très peu de jour pour kidnapper DongWook, faut que je me dépêche la.
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TU TOUCHES PAS CONNARD. C’EST UNE PROPRIÉTÉ PRIVÉ! DÉGAGE SALIPIOT!
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bah suicide toi alors.
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AH MAIS BEURK! MAIS BOSTON TU FOUS QUOI? IL A RIEN FAIT ET TOI TU SAUTE DESSUS! T’AS UN MEC EN PLUS ET IL EST LA. Boston je te défends depuis le début et là tu fais que de la merde, j’ai l’air crédible moi maintenant quand je te défend, nan je crois pas nan (*mime monsieur Salmon et sont zigzague*)
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oh nan c’est horrible, ils veulent me déchirer le cœur là? ton mec est en train de baiser l’ex du mec que t’as enregistré en train de le baiser aussi (tout le monde se ken entre eux c’est un nid à MST).
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MAIS NAN VOUS AVEZ RIEN DÉCIDÉ. tu crois qu’il a l’aire au courant notre petit Nick? nan je crois pas nan (*monsieur Salmon same*).
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MAIS C’EST HORRIBLE! (j’ai une ref dans la tête mais je sais pas d’où elle vient, des résumés foireux de snk je crois, bref) nan pauvre Nick, il lui a pardonner les pires merde et le con ça fait même pas une semaine vous êtes ensemble et sa bouche est déjà dans une autre. BOSTON TU ARRÊTES TES CONNERIES!
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to be continued ->
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j’espère que vous êtes contents, prochain épisode très rapidement ;)
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patoune-prod · 6 months
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Avalanche chapitre 67
L'Aventure Intérieure
(J'ai des références moisies parce que je suis une enfant des années 80 et que mon sens de l'humour est foireux)
Non cette fic n'est pas abandonnée, mais ces derniers mois, la vraie vie m'a botté le train avec une pointure 44 et j'ai dut réécrire ce chapitre à plusieurs reprises parce que RIEN N'ALLAIT.
Mais je continue. Je la finirais.
AO3 | FF.net
Résumé :  Ça y est. Sin est immobilisé et il est temps d’entrer. Ça risque fort de ne pas être une balade de tout repos pour Avalanche, mais au moins Riku est bien à l’abri sur le Haut Vent, n’est-ce pas?  N’est ce pas? 
Personnages :  Team Avalanche, Team SOLDAT+Qestra, Team Auvent, Team Sin, 
Tags spécifiques au chapitre :  Yuck factor, et je ne plaisante pas, ils vont se balader DANS une créature techno-biologique, ca va pas sentir la rose, décès tragique du hoodie des jumeaux, Goddess Powered Teenager, la subtilité c’est pas le truc des anciens, surtout pas celui de Minerva, référence à de l’expérimentation humain, et je répète : body horror, même si le corps en question est celui d’une baleine géante, surtout si c’est celui d’une baleine géante.
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youre-ackermine · 1 year
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"ShittyGlasses" as in "No snacks for shitty glasses"? Because A Slap on Titan is a gift to the world. Ngl I die when the Collosal disappears and the voice actor is like "HOUDINI NIGGGAAAaaaa" with the full Dopller Effect.
Welcome to my blog new follower 🙂
Well, this choice of "Shitty Glasses" in the title of my blog has nothing to do with "A Slap on Titan" as I had never heard of it before lmao but I'll watch a few episodes since you recommend it 😉
We have something similar in French "L'Attaque des Titans Résumé Foireux" a parody made by the Belgian CrazyBomb World btw if you wanna give it a try.
"Shitty Glasses" is one of my favorite Levi's nicknames for Hange, so this is the [utterly boring] reason why I use it here [sorry to disappoint 😔]
Thanks for dropping by in my ask box!!
Have a nice day / evening / night 🤍
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claudehenrion · 2 years
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Et l'anti-cyclone des Açores ? Où est-il passé ?
 Cela fait si longtemps que nous répétons : “il faut parler du temps qu’il fait, du climat qui s'effondre, de la météo qui déraille et des problèmes –très graves– de nos agriculteurs”… qu'il faut bien s'y mettre, un jour. Mais ça ne va pas être “coton”, parce que le discours officiel s'est cristallisé, radicalisé, durci à en devenir sectaire, et est passé “aux extrêmes” de gauche, un peu comme la Nation, contre toute raison : on en est à se demander s'il n'existerait pas une tentation apparente à la gauchisation de tout système social, avec le temps… ce qui ne peut présenter que des points négatifs : nous nageons dans des océans de mensonges énormes !
Le temps passant, on est bien forcé de constater qu'un organisme, le sinistrement célèbre GIEC, dont personne ne sait ni à quoi il sert, ni quel est son but, ni à quels besoins il répond, a pris sur ce sujet un “leadership” incontestable bien que de plus en plus contesté, au fur et à mesure qu'il se révèle que son approche n'a rien de scientifique mais répond à des options politiques et à des prises de positions liées aux modes les plus politiquement correctes… quitte à y ajouter de nouveaux chapitres ou à leur “rajouter une couche”. Rien d'étonnant à celà : la “macronie-Saison 1’’ a connu les mêmes dévoiements, avec un comité Théodule qui osait se dire ’‘scientifique” mais n'était qu'à la solde d'un pouvoir qui –on le découvre peu à peu– poursuivait des objectifs plus politiques pour ne pas dire... “plus foireux”.
A notre habitude, commençons par définir de quoi il est question, ici. Le GIEC est une émanation de l'ONU, dont tout le monde connaît les compromissions, les partis-pris, et une indéniable malhonnêteté intellectuelle due ou liée aux majorités qui se dessinent en son sein sur tel ou tel sujet par ailleurs controversé. Le GIEC compte 195 pays membres, et il se réunit normalement une fois par an. Des centaines de fonctionnaires et d'experts de ministères et d'instituts de recherche venant des pays membres, des organisations et des observateurs assistent à ces sessions. Cet ensemble obèse, inutile et redondant est dirigé par un Bureau de 35 membres, plus un président. On n'ose imaginer les tsunamis d'argent incontrôlé qui, bien  au-delà des budgets officiels, ruissellent à l’insu de notre plein gré !  
Contrairement aux idées reçues, le Giec ne mène aucune étude scientifique et se contente de faire la synthèse de la littérature, des études et des rapports récents et rédigés par des pouvoirs publics, des entreprises ou des organisations, et les actes des conférences, en matière de climat. Dans sa définition, il ne devrait pas faire de prévisions, mais produire des scénarios d'évolution, avec les habituelles marges d'incertitude (dont il ne fait jamais mention dans ses rapports). Ça, c'est la théorie. La réalité : une production continue de soi-disant prévisions invraisemblables mais présentées comme scientifiques, qui doivent être reçues comme autant de vérités iso-religieuses ou révélées, avec interdiction formelle de toute mise en question !
Chaque “rapport” tombe, comme parole d'évangile. Il se compose de plusieurs centaines voire plusieurs milliers de pages, mais résumé en une 15aine de pages, destinées à affoler le vulgum pecus et à enfermer les décideurs apeurés dans des impasses… Par construction, ils doivent (ou devraient) “dégager un consensus entre tous les pays”, ce qui est une gageure : on se doute des conciliabules anti scientifiques qui entourent ces négociations ! (Il faut noter que la sélection de ces “ceux-qui-savent” se fait, de manière incroyable, par appels à candidature (sic !) auprès des gouvernements et des  organisations ayant le statut d'observateur, puis ils sont choisis en fonction des besoins d'un équilibre entre les nationalités et les sexes.  L'échec de ce “Zinzin” est dans sa conception et dans sa création  !).
Regardons la réalité de ce sujet : au milieu d'une grande floraison d'ouvrages souvent passionnants qui traitent de ce “mensonge d'Etats” (pour une fois, Etat est au pluriel. C'est rare, même si l'Ukraine est en train de donner des lettres de noblesse à un nouveau genre littéraire et anti-historique : le mensonge d'Etat !), deux surnagent nettement et valent les 16 ou 20 euros demandés. Ils sont signés par Christian Gérondeau (“Les 12 mensonges du GIEC”) et François Gervais (“Impasses climatiques”). Comme vous vous y attendiez, toute cette forme de littérature, impressionnante dans son volume et surtout dans ses démonstrations difficilement “retoquables” tant les arguments sont sérieux, est, bien évidemment, chassée de tout le courant de non-pensée dit “Main Stream” qui représente les 99 % de la presse corrompue (on peut dire, plus simplement : “de la Presse”). Je les ai compilés à votre intention, et il faudra bien deux “billets” pour raconter l'abomination qui est en train de détruire la planète, et nous avec. Nous nous risquerons ensuite à esquisser une réponse timide à la question, angoissante : “Pourquoi et par qui, cette volonté haineuse et implacable mais persistante de détruire l'Humanité ?”.
Le résumé de la thèse (qui est en réalité une anti-thèse’’, tant ils se foutent de notre gueule) est, comme prévu, une synthèse, au fond facile à faire : comme chacun peut le constater chaque jour depuis que le premier “ex-hominien” a réussi à se dresser sur ses pattes (en voie d'être promues des jambes !), les écarts de température entre une belle journée ensoleillée et un petit matin plus ou moins blême atteignent facilement les 10 degrés, parfois plus. Et le même homo, mais devenu “viator” un peu plus tard, a pu remarquer que entre le nord et le sud de ce qui allait devenir “la France” d'abord, puis “la République”, puis l'atroce “Hexagone” avant d'être réduit aux humiliants “Territoires”, il y avait, il y a en permanence des différences de températures énormes (NDLR : la semaine dernière, il faisait à Mougins dans les 29 à 30° C, mais mes amis parisiens et autres suffoquaient, avec 10 ou 15° de plus, et ces différences  paraissent, en gros, presque normales !
Mais le GIEC, lui, prétend révolutionner la Terre entière et l'Humanité pour, à cause de ou grâce à des variations de quelques pouillèmes de degrés, minimes à en être invérifiables, mais agrémentées avec des conséquences terrifiantes le plus souvent impossibles à vérifier ! Nous reviendrons demain sur ces chiffres antinomiques, ces bobards institutionnels, ces prophéties de technocrates, ces terreurs fabriquées, cette vision déprimante de notre futur… et plein d'autres catastrophes... qui ne sont rendues plausibles que parce que notre présent, pourri par leurs fantasmes, ne s'ouvre que sur des drames artificiels reposant sur leurs analyses erronées…  Mais les nuls qui dirigent si mal le devenir de l'humanité s'en donnent à cœur joie, en matière de contre-vérités ! La maxime d'Adolphe Thiers “Gouverner, c'est prévoir”, à été réécrite par nos progressistes : “Gouverner, c'est mentir” ! (à suivre).
H-Cl.
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cartoonsforlife · 1 year
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I watched "Le Résumé Foireux de My Hero Academia saison 5 et 6" and it's so funny as fuck! 😂🤣 I fuckin' love their parodies! 😁🥰 (also, I'm the only one who prefers Dabi's french voice in this parody than the real one?)
Even if you don't speak French you can watch these videos with subtitles according to your language! 😉
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takonei · 3 years
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Beta AU as episodes of “Résumé foireux”
Part 3 of dumb posts. From CrazyBomb World’s “Résumés foireux” (ie: Shitty summaries). It’s the french equivalent of “[...] abridged”. There might be a part 4 with the same source bc they have a lot of good stuff.
It’s mainly a spoiler edition this time and I’m still keeping the 10 quotes format.
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Shuichi: Well, I mean, no offense, but you look like a fusion between Sans Undertale and Bob Marley Ryoma: I don’t accept negative criticism. See you later. - Monokuma: Without further ado, let us start the graduating exam -which is the killing game- with giant robots! Kaito: Uhh I didn’t get the memo Tsumugi: We’ve been told this would be a written exam with a multiple choice test - Shuichi: C’est de la poudre de perlimpinpin! Shuichi: Did you get that I was French? Shuichi: *finger guns* Mmmmmbaguette! -
Bonus: Spoiler edition under the cut.
Monokuma: It’s time for the game: “The second time limit”! Don’t forget kids, this is a mere time limit, no need to go all-out- Ryoma: *crafts about 58 firearms* Monokuma: Calm down guys, this is- Ryoma: *rebuilds Monodam as a weapon to end the killing game via arson* Monokuma: It’s just a time limit! Rantaro: *orchestrates an impossible murder case* Monokuma: You’re being extra! Rantaro, avoiding gunfire during his execution: Always mORE EXTRA - Monokuma: The Sanzu Garden motive just started! The first part will consist of running through a mine field! HERE WE GO! Shuichi: A mine field? He’s lost his mind! Kirumi, internally: Didn’t I mention? I hate you all. - Ryoma: Kiyo, I think you accidentally provoked Tsumugi’s execution. Korekiyo: If anyone asks, let’s just blame it on Monokuma. Deal? Ryoma: Deal. - Kirumi: Thank you, thank you. Naturally, let me remind you that I have not lost a single bit of my sanity in an involuntary manner during the killing game. Kirumi: In your face, Rantaro. Rantaro: Rantaro: RYOMAAA Ryoma: Yes, boss? Rantaro: WE’RE GONNA BEAT UP SOME MASTERMIIIIND Ryoma: Ughh, not again, I’m gonna get fucked up again. Rantaro: LIKE EVERY SATURDAY NIGHT, MY SWEET SOLDIER :) - Shuichi, pouring his heart out: Didn’t we suffer enough these last few days? We got stuck in a garden of hell, and Rantaro almost killed me! Kirumi: Shuichi. Do I have the face of someone who gives a shit. - Miu: Guys! Monodam- Miu: Wait. What happened to his arm? Kaito: He jacked off too hard in a bush. Kirumi: I just said you had pretty eyes! Shuichi: I don’t need much to get turned on, Kirumi! Miu: Ok cool, BUT MONODAM DISAPPEARED - Monokuma: You guys made someone go insane, you didn’t think about checking if he was going to be the biggest pain in the ass I’ve ever seen?! Rantaro:  -.-. .-. .. -. --. . / .- ... ... / -. .- . / -. .- . / -... . .- .-. Monokuma: MY MOM DOES NOT DRINK SPRITE, YOU LITTLE SHIT
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feledia · 7 years
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😂😂
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arypurple · 10 months
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DL - Résumé foireux S01.ÉP12
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Ça commence bien avec une musique hyper triste alors que les frères se plaignent que Plante Verte ait décidé de s'embrocher elle-même dans l'espoir de cesser tout ça (ce qui n'a pas fonctionné, malheureusement). Ils ont un sacré culot de critiquer alors que personne ne s'est bougé le cul quand elle pointait ce putain de couteau dans sa direction ! Le tonton a décidé de fuir par les tunnels souterrains, affirmant qu'il n'a pas le droit de mourir. Désolée Richter, mais j'attends que tu te décides à crever ! T'es chiant, inutile et même ta voix viole mes tympans. Du coup, alors que les frères ont l'air de se faire chier, que Tsundere Simulator s'amuse à staber des roses blanches et que le Butler réfléchisse à un moyen de se débarrasser de cette saloperie de MST Cordelia, le tonton inutile a largement le temps de visiter le manoir entier en tachant tout avec son sang avant de débarquer dans la chambre rouge de Christian Grey et... merde, je me suis trompée de scénario, là ! La robe est encore là à dégouliner de sang. Oui, sa robe dégouline encore de sang et je plains sérieusement la femme de ménage ! Laito qui voulait profiter de la chambre rouge débarque. Il dit à Richter qu'il n'avait rien remarqué... dude, t'es en train de dire qu'en tant que vampire, t'as jamais remarqué qu'une robe toute dégoulinante de sang traînait depuis dix-sept ans dans le manoir ?! Idem pour tes frères !? Pendant ce temps, Plante Verte devient assez blanche pour ressembler à Michael Jackson... tiens, il ne lui manque plus qu'un nez bien relevé et des cheveux noirs !
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Heureusement, Laito a tout le temps du monde devant lui pour se taper la discute avec son oncle. Prends ton temps, Fedora-chan ! Après tout, c'est pas comme s'il y avait une fille avec la poitrine transpercée qui repose sur le canapé ! Ensuite, le gamin demande si elle va crever. Bien sûr qu'elle va crever si vous restez plantés là à discuter ! Vient enfin le Butler qui a trouvé la solution miracle afin d'empêcher leur casse-croûte préféré de mourir. Monsieur arrive avec une petite fiole, affirmant que c'est une potion capable de la faire disparaître l'autre pouffiasse. J'espère que t'es sûr de ton coup, parce on les connaît les effets de tes potions 🙄.
Malheureusement, la potion ne peut être achevée que si on a un bout de la personne que l'on souhaite tuer... et intervint la facilité scénaristique lorsque Yandere King arracha la tête de Teddy (ça valait bien le coup de le protéger, tiens !) pour sortir une fiole avec les cendres de sa chère môman. Je ne vous dirais pas la passion de Kanato pour les cendres de ses victimes... ah merde, c'est dit ! Reiji mélange le tout et la potion est prête. Durant ce temps, Laito a eu la meilleure idée de tout l'anime: buter son oncle. Oui, il était grand temps que quelqu'un le fasse ! Sauf que... je ne suis pas persuadée qu'allumer un grand feu dans une pièce du manoir soit une brillante idée, même si c'est un noble de geste de calciner ce gars. Mais bon, advienne que pourra, je suppose ? Durant ce temps, Oréo-sama, qui a la potion en bouche, embrasse la princesse dans son sommeil pour lui faire avaler. Rapidement, Plante Verte reprend des couleurs et comme par magie, je suppose, sa blessure semble avoir disparue ? Non, mais je dis ça parce qu'il y a peu de temps, elle s'est stabée elle-même en plein dans la poitrine et alors qu'Ayato l'appelle par son prénom pour la toute première fois, elle s'assoit sur le canapé comme si elle n'avait jamais été blessée ! Mais bon, il faut se montrer super gentil avec elle pour mieux pouvoir la maltraiter dans la prochaine saison, voyons ᕕ( ᐛ )ᕗ Le suspens vous avait manqué ? Parce qu'à peine vient-elle de s'asseoir, Yui fixe les garçons avant de déclarer qu'elle a soif. S'ensuit alors le générique de fin et les frères qui proclament chacun un discours, tous plus malaisants les uns que les autres. Inutile de m'étaler sur la scène où Oréo-sama trouve Plante Verte sur le balcon pour lui donner son chapelet et que Claude Faustus verrouille de nouveau la pièce où se trouve la chambre de l'autre traînée. Sur ce, je vous dis à la saison prochaine ! Je sais pas si ce résumé foireux sera à la hauteur de vos attentes, mais j'ai fait de mon mieux, surtout que je voulais vraiment finir la première saison et que ça doit faire plus d'un an que je travaille dessus.
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x-scruffy-x · 5 years
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Ash: du coup c'est quoi tes passions dans la vie?
Larry: la prostitution !
Ash: comme 3/4 des hommes bravo! T'es pas un flocons de neige !
Larry: ah non! J'suis gigolo, les femmes payent cher pour mes p'tites fesses!
Ash and sal: ...
Sal: bah au moins ça fait jolie sur la page wikipédia
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dhiatzs · 3 years
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La zone industrielle
(J'avais prévu d'écrire ça en guise de suite à ma fanfic Je viens de là, mais vu que j'aurai plus la motiv de la continuer je pense, je pose ça là mdrr)
Fandom : Foot 2 Rue
Personnages : Requin et Tag
Résumé : Requin confie quelque chose de difficile à Tag. (Se passe quelques temps après Je viens de là, mais avoir lu la fic n'est pas une obligation)
Tags : Nostalgie, peur de l'abandon, discussion à coeur ouvert, peur de l'avenir.
Nombre de mots : 2317
De lourds nuages gris pèsent sur le ciel.
L’ambiance est étrange, dans cet endroit que Tag n’a jamais arpenté avant. Il a l’impression que des cris de mouettes devraient transpercer le ciel et les nuages, plutôt que le vol des avions et des pigeons ; l’impression qu’à tout moment, au détour d’une rue, ils vont tomber sur un pont reliant les bordures d’un fleuve gris. Mais non ; à la place, toujours plus de panneaux, de silhouettes d’horizons inatteignables coupées par plus et plus de préfabriqués.
Le temps est simplement lourd, et les passants aussi rares que le passage des voitures. Requin, à côté de lui, observe l’une des grues qui les cernent, l’air ailleurs.
Tag a beau connaître par cœur l’ambiance du chantier de Port-Marie, qui représente une miniature fidèle de zone de reconstruction, ce lieu le déstabilise : il n’a rien de semblable au terrain sablonneux qui a été témoin de tant de matchs spectaculaires. S’ils sont comparables en quelque chose, c’est en la façon qu’a la zone industrielle d’écraser le petit terrain par sa taille et son ampleur ; de là où ils se trouvent, ils peuvent apercevoir, à ce qui semble des kilomètres entiers, se dresser le nom d’une grande ligne de magasin. Il y a là-dedans quelque chose de désolant et de profondément mélancolique.
Le capitaine des Bleus a un sentiment de malaise et de tristesse, en laissant voguer ses yeux sur les mêmes masses grises et géométriques qui se dressent comme des matériaux grossiers sur leur chemin. Il y a en lui une mauvaise nostalgie, la nostalgie qu’il ressent en pensant à ses parents, le soir dans son lit, ou lorsque Gabriel et les Teknos évoquent les leurs. La même nostalgie de l’approche des vacances, de la perspective de rester seuls à l’internat pendant des journées entières. Une nostalgie pleine d’amertume et d’un sentiment froid d’échec. Le genre que les plus grandes victoires au Foot 2 Rue sont incapables de consoler bien longtemps.
- C’est pas terrible, hein ? l’interpelle Requin.
Tag se tourne vers lui, déconcerté ; le regard de son ami a quitté la grue pour suivre le sien en direction des commerces. Il faut une brève seconde à Tag pour se reprendre et s’essuyer les yeux pendant que Requin regarde ailleurs.
- Bah, c’est… C’est-à-dire que c’est… C’est un endroit comme un autre, dit-il, la boule au ventre.
Il reporte son attention aux grands oiseaux de métal, rouges, gris ou jaunes. Il comprend la fascination qu’elles exercent sur Requin ; lui-même a le vertige en les regardant :
- Qu’est-ce que tu crois qu’ils vont fabriquer avec toutes ces grues ?
- Plus de magasins foireux, pour plus de clients débiles, qui viendront là depuis leurs banlieues à trente ou cinquante kilomètres, Tag.
Ses yeux ont la même expression de flegme souriant qu’il lui a toujours connue, mais il y a quelque chose dans son ton cynique qui est dissonant de l’habitude. Tag se sent étrange à mesure que Requin poursuit :
- Je te dis ça, mais la vraie clientèle, je la connais pas, hein. Tout ce que je sais, c’est que le chiffre d’affaire doit pas être phénoménal.
Il pousse un soupir et se remet à marcher. Tag lui emboîte le pas ; un léger vent se lève, apaisant l’atmosphère étouffante, et le capitaine des Bleus en profite quelques secondes, avant d’enfin l’interroger :
- Pourquoi est-ce que tu m’as amené ici ?
- Il fallait que je te dise un truc. Heh, j’devais être plus inspiré tout à l’heure, je pensais que revenir là allait m’aider à trouver les bons mots, mais on dirait pas…
Tag baisse les yeux. Il a un poids indéfinissable sur la poitrine.
- T’essaie de me dire quoi, là… ?
La réponse, il l’a déjà.
Requin va partir.
Ben avait raison. Le dirigeant du vieux port ne lui ferait pas toute cette mise en scène s’il ne voulait pas lui parler d’un sujet capital, et qu’aurait-il d’autre à lui dire que l’évidence ? Tag a beau y être sans doute plus préparé que Requin ne le pense, il n’est pas prêt pour autant. Il a mal. Il se sent trompé, abandonné et trahi. Il a l’impression d’être le dernier informé d’une grande mise en scène – dans le fond, ce n’est pas vrai et il en a parfaitement conscience, c’est une surprise pour tous. Les autres membres de l’équipe du port le lui ont expliqué. Mais ce n’est pas moins amer, définitif et… en quelques sortes, injuste. Il le sent, quelque chose va changer si Requin les quitte. Si les Requins les quittent. Rien ne sera plus jamais comme avant.
C’est perdre des gens bien trop importants pour lui, dans le peu qu’il possède. Et Tag n’y est tout simplement pas prêt.
- Faut que je vous avoue un truc. J’suis…
- Je n’ai pas envie que tu partes.
Il a l’impression d’être capricieux comme un gamin, mais surtout, en saisissant l’expression de Requin, il a l’impression de faire fausse route. Mais le visage de l’autre ne tarde pas à se fermer :
- Ah… ils te l’ont dit aussi, alors.
- Ben nous a dit ce que tu lui as raconté. Mais je sais que Ben fait toujours des coups fourrés, alors j’aimerais bien comprendre ta version. C’est vrai que tu veux t’en aller ?
- Tag, si je t’explique tout, tu voudras bien m’écouter ? Et essayer de comprendre ?
Tag se tait. Il baisse les yeux ; il a un mauvais pressentiment, mais tel qu’il le voit face à lui, Requin n’a pas l’air de lui vouloir de mal. Il n’a pas l’air de trafiquer, pas l’air distant – non, il est juste fatigué. Rien à voir avec la marche, ou la maladie, ou la lourdeur de l’atmosphère. Ce que voit Tag, c’est le silence après les nuits d’embrouille, ou le parfum de nuit sur le port, où l’accompagnait Requin, ce sont tous les échecs et les moments à la con, des instants indécis.
Rien ne s’est jamais résolu dans les malentendus et les colères. Rien que pour ça, il essaie de se calmer un peu. Ce que lui demande Requin, ce n’est pas plus que ce que le capitaine des Bleus a pu demander de lui avant. Tag finit par hocher la tête, et pose une main sur son épaule :
- Ouais. Ouais je pense que je peux faire ça.
- Merci, Tag…
L’aîné lui sourit, un soupçon de bouleversement dans les traits, que Tag fait mine de ne pas voir. Au détour d’un trottoir, c’est effacé d’un revers de manche, et ils marchent lentement. Il a l’impression que le temps s’étire, qu’ils ne cesseront jamais d’avancer entre ces hangars et ces préfabriqués, et c’est une idée qui ne lui pose pas de problème. Il peut patienter un peu. Ils s’arrêtent près d’un banc, sur lequel ils s’assoient, Tag en tailleur, Requin perché sur le dossier, et il leur faut encore quelques minutes à regarder le Bricorama en face d’eux avant que Requin ne desserre sa mâchoire :
- Tu sais, ces trucs, c’était bien, à la base. Les magasins d’ici, j’veux dire. Ça avait son petit succès chez les banlieusards. T’imagine, avoir ça à portée, des gros commerces, alors que d’habitude t’as rien, ici ? Rien. Que des marchés et des baraques, ça en finissait pas… Ce genre de trucs, là, ajoute-t-il en désignant le Bricorama, j’ai passé ma vie quand j’étais môme à traîner à côté, à juste baver devant les gens qui ressortaient avec leurs caddies chargés à bloc. Je sais pas ce que ça t’inspire, à toi, mais pour moi c’était le cœur du monde. Pour Cartoon aussi, d’ailleurs, j’pense. Vous, vous rêvez d’être champions du monde de Foot 2 Rue, nous, on voulait juste dévaliser le Leclerc ou se retrouver enfermés une semaine à l’intérieur. Ou être proprios… T’imagine le bazar qu’on aurait mis là-dedans ?
Il rit, et l’image arrache un sourire attendri au Bleu.
- Bref, tout ça pour dire que… je sais pas… Ces trucs, aujourd’hui, c’est un peu dépassé. C’est pas la même allure qu’avant, tu vois ? On peut dire ce qu’on veut mais je vois rien, là-dedans, perso… Tu trouve pas ?
- Un peu, reconnaît Tag.
- Des centres commerciaux dans des zones industrielles, ça fait pas… ça fait pas plus envie que ça, hein ? Quand tu compare aux quartiers magnifiques dans les grandes villes, à leur équivalent ailleurs, aux endroits plus propres, plus jolis, qu’est-ce que c’est, ça ? Des espèces de tas de je sais pas quoi. C’est implanté, ça va rester encore un peu, parce que des gens connaissent et aiment bien, mais qu’est-ce que ça aura comme avenir ? Dans dix ans, vingt ans, tu les vois encore, ces trucs-là, ici ?
Il marque une pause, une expression étrange sur les traits, puis sourit. Puis il ricane, et doucement, il lève le bras, et embrasse les grues, le ciel gris, les commerces, les maisons, les pigeons qui devraient être des mouettes et les rares passants, comme pour en former un grand et unique tableau :
- Eh bah tout ça, Tag… Tout ce que je viens de décrire, ce dont j’viens de te parler, tout ça, c’est ma vie. C’est moi. Je suis paumé. Paumé, dépassé, sans avenir… Low-cost… une espèce de… d’excroissance nécessaire dont on sait pas quoi fiche.
- Requin, t’es pas…
- Laisse-moi finir. Ce que je veux dire, c’est que comme ces trucs, j’ai eu les yeux plus gros que le ventre. Je pensais que tout ce que je faisais, mes prétentions, ça allait quelque part, que j’étais capable. Tout…
- Tout ce que tu faisais ? répète Tag sans comprendre.
- Gérer.
L’expression du Bleu se perd dans des songes, alors que Requin enchaîne, morose :
- Gérer ma vie. Gérer celle de mes frangins. Puis gérer la rue. Et gérer les matchs, et le mondial, et c’est… (il se gratte la nuque, embarrassé) C’est dur à faire, Tag. Fallait que je sois honnête avec toi. Je peux assurer, je pourrai encore assurer longtemps, en soi, ça va, mais je veux juste continuer d’avoir la foi. D’avoir la foi, et de…
Il fait un geste, et sa main s’abat dans le vide.
- Et puis j’ai peur, merde. J’ai peur pour moi, j’ai peur pour mon équipe. J’ai peur que tout ce que j’ai pu faire, et essayer de garder debout, et construire… Tout le progrès, tout ça, vlan ! Du jour au lendemain, ça passe à la trappe, parce que j’ai pas fait gaffe ou je sais pas quoi. J’ai peur que Port-Marie soit plus sûr pour nous, un jour. J’ai peur que tout redevienne comme avant.
Tag ne sait pas quoi dire. Une nouvelle fois, sa main vient trouver l’épaule de Requin, alors qu’il digère tout ça, toutes les pensées dont son ami ne lui avait jamais parlé avant, et qui font sens. Toutes choses qui éclatent le confort de sa propre expérience, de sa façon de voir le mondial. Mais évidemment, que les choses ne sont pas simples pour tous. Il se perd dans son ressenti, entre ses émotions personnelles et celles de Requin, qu’il essaie de déchiffrer.
- J’ai pas envie de tout perdre. J’ai pas envie de partir, non plus. Le Foot 2 Rue, et vous, et la vie à Port Marie, c’est devenu immense, pour moi, je veux pas juste… vous lâcher et même pas avoir l’occasion de voir jusqu’où vous allez. J’veux être là le jour où vous gérez, ou le jour où vous gérez pas, j’veux pas juste… apprendre des trucs de loin.
Il marque un autre temps, plus bref.
- J’suis désolé, Tag. Je suis juste en vrac. Ça fait des jours que j’essaie d’en parler à quelqu’un, mais… dès que j’évoque ça, tout le monde pense que je veux juste vous laisser en plan, alors que non… Non. Tu comprends, hein ? Vous êtes… merde, Tag, vous êtes importants, pour moi.
Cette fois-ci, le silence est plus long.
Ils restent assis l’un à côté de l’autre, et le capitaine des Bleus fait de son mieux pour trier ses pensées.
Ce qu’il ne s’attendait pas à ressentir, après une conversation pareille, c’est cette espèce de soulagement qui semble avoir brisé les chaînes de l’étau de sa poitrine. Quand rien n’était dit, il peinait à respirer, et il lui semblait qu’il ne pourrait pas se détendre, que ça allait être la fin de son monde dès que Requin ouvrirait la bouche. Maintenant que tout est dit… Il se sent bien plus en paix et heureux que ce que son ami semble appréhender.
Requin veut s’en aller, oui. Ou en tout cas, c’est un possible qu’il faut maintenant que Tag envisage, et que les autres membres du Foot 2 Rue vont devoir accepter à leur tour, lorsqu’ils recevront la nouvelle. Ou sa confirmation, pour certains. Et pour être honnête, il aurait pensé se sentir plus révolté que ça. Au début, alors que leur discussion n’avait pas commencé, c’est ce qui bouillonnait au fond de lui, prêt à sortir après la tristesse. L’indignation. Il se souvient d’avoir pensé, après que Ben leur ait tout dit, que ce n’était pas possible. Qu’ils n’avaient pas le droit de les abandonner, qu’ils ne pouvaient pas les lâcher comme ça. Qu’ils étaient amis. Il ne comprenait pas, et encore maintenant, sa gorge se serre à l’idée de perdre contact et ne plus jamais se revoir.
Il aurait pu hurler, et refuser d’entendre. Il aurait pu éclater en sanglots, partir, s’isoler. Il aurait pu lui balancer à la figure qu’il n’avait pas le droit de partir, lui aussi. Il sait maintenant qu’il a bien fait de rester là, et d’attendre. Bras ballants, en silence, il a encaissé la nouvelle.
Parfois, mieux vaut se prendre un grand coup plutôt que d’essayer toujours d’éviter la douleur.
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misskittyspuffy · 4 years
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Inattendu (Chap. 1)
Relation : Buffy/Spike
Localisation : Comics, entre les saisons 10 & 11
Résumé : Buffy découvre que sa relation avec Spike a eu une conséquence que ni l’un, ni l’autre n’auraient pu anticiper.
Lien AO3
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CHAPITRE 1
C’était impossible.
Buffy fixait le test de grossesse entre ses mains, encore et encore, mais le résultat ne changeait pas. Ses yeux la piquaient de plus en plus, et elle sentit quelques secondes plus tard de chaudes larmes venir s’écraser sur ses joues ; ces dernières devinrent froides au fur et à mesure de leur parcours le long de son visage. La croix qui s’était affichée sur le test demeurait quant à elle fixe au centre du petit bâtonnet en plastique.
Elle était enceinte.
Elle essuya son visage d’un revers de main.
C’était trop tôt. Trop tôt pour eux, trop tôt pour elle, et sans doute trop tôt pour Spike. Ils n’étaient à nouveau ensemble que depuis quatre mois, et les choses marchaient vraiment bien entre eux. C’était différent de ce qu’ils avaient pu connaître. Ils apprenaient à s’ajuster à leur nouvelle relation, à se ré-apprivoiser après des années d’un parcours difficile.
Elle ne comprenait pas comment cela avait pu arriver. Ils n’avaient jamais pris de précautions, car ils savaient pertinemment qu’il n’y avait aucun risque vu la condition vampirique de Spike. Du moins, le croyaient-ils. Ils ne s’étaient jamais clairement posé la question, à vrai dire.
Et pourtant, le résultat était là. Clair et limpide. Et elle ne comprenait pas comment cela avait pu se produire.
Elle prit un instant appui contre le lavabo, le bas de son dos appuyé contre celui-ci, et ferma les yeux quelques secondes pour se remettre. Ce n’était pas la première fois qu’elle passait par ces émotions. L’année précédente, elle avait bien cru être enceinte. Mais tout cela ne s’était révélé être qu’un plan foireux d’Andrew, à cause duquel les symptômes de grossesse avaient fait leur apparition —une conséquence imprévue de son sortilège.
Les choses étaient différentes aujourd’hui. Les circonstances étaient différentes, plus notamment. Quand bien même il avait s’agit d’une fausse conclusion l’année précédente, elle avait à cette époque réalisé que sa vie n’était pas suffisamment stable pour lui permettre d’avoir un enfant et qu’elle n’était pas prête à assumer une telle responsabilité. Surtout que ce dernier n’avait même pas de père et avait été conçu, le croyait-elle, dans des circonstances douteuses.
La situation était différente aujourd’hui. Cet enfant était issu de sa relation avec un homme dont elle était amoureuse –et même ça, elle n’avait pas encore pu le lui dire. A fortiori, il s’agissait de Spike. Un vampire à qui la perspective d’avoir un enfant n’avait probablement jamais effleuré l’esprit et pour qui l’opportunité ne se représenterait peut-être pas.
Elle sortit précipitamment de la salle de bain et, attrapant son téléphone portable au passage, se dirigea vers l’ordinateur de Willow qui se trouvait posé sur la table-basse du salon. Elle se trouvait seule dans l’appartement. Dawn était à l’université, Willow se trouvait dans un café avec une amie de sa confrérie de sorcières qu’elle n’avait pas vue depuis un certain temps, et Spike était parti rejoindre Dowling pour une consultation sur un crime surnaturel, mais lui avait laissé entendre que ça ne durerait probablement pas longtemps. Elle devait agir vite.
Elle tapa dans la barre de recherche le nom de l’hôpital le plus proche, celui de Greenwich, et composa le numéro de téléphone qui s’affichait. La chance semblait être avec elle ; une place venait de se libérer suite à l’annulation d’un rendez-vous dans l’emploi du temps de l’un des médecins, ce qui lui laissait le champ libre.
Après une brève conversation, elle raccrocha. Le rendez-vous était pris pour dans une heure.
Incapable de rester en place aussi longtemps, elle prit la décision d’aller marcher, se dirigeant lentement mais sûrement vers l’hôpital dans lequel elle devait se rendre. Elle effectua plusieurs détours dans différentes ruelles, dans l’espoir d’évacuer l’adrénaline qui parcourait son corps. Son esprit était assailli par un flot ininterrompu de pensées qu’elle avait du mal à maîtriser.
Elle effectua sa marche pendant quarante-cinq minutes avant de finalement se rendre à son rendez-vous.
***
« Aucun doute à avoir, mademoiselle Summers. Vous êtes bien enceinte. »
La médecin, une femme d’une quarantaine d’années aux cheveux blonds coupés courts, venait de pénétrer à nouveau dans la pièce où Buffy se trouvait depuis environ une heure, installée sur la table d’auscultation.
La Tueuse se sentit assommée par la nouvelle. « Pas d’erreur du test, donc ? » demanda t-elle d’une petite voix.
« Les examens urinaires sont toujours moins fiables que les tests sanguins, mais dans le cas présent, les deux concordent. Considérant le dosage d’HCG dans votre sang, on estime que la conception remonte à six semaines. »
La doctoresse lui adressa un sourire bienveillant. Buffy sentait que ses jambes étaient devenues flageolantes et la nausée qu’elle avait eue le matin même semblait refaire progressivement surface. Elle avait au moins la confirmation qu’elle n’était pas un robot cette fois…
« Ça va aller ? » demanda la médecin un peu plus soucieuse, au bout de quelques secondes de silence.
Buffy tenta de reprendre ses esprits. « Oui… oui, ça ira. C’est juste… c’est une très grosse surprise, c’est tout, » finit-elle en replaçant une mèche derrière son oreille.
« Cette grossesse n’était pas prévue si je comprends bien ? » demanda t-elle par-dessus ses lunettes.
« Non… elle ne l’était pas, » répondit Buffy, perdue dans ses pensées.
« Si vous choisissez de la poursuivre, il faudra que vous pensiez à vous faire suivre au cours des différents cycles. Vous risquez de voir apparaître quelques symptômes. Leur intensité diffère souvent selon les femmes, je vous souhaite de faire partie des chanceuses. »
La Tueuse haussa les sourcils. « Oh, vu comment ça commence, j’en suis pas sûre, » dit-elle d’une voix ironique. Face au regard interrogateur de la doctoresse, elle continua. « Je ne m’étais pas spécialement inquiétée de mon retard de règles car ça m’était déjà arrivé, mais les nausées… Les nausées et mes douleurs à la poitrine sont ce qui m’a poussée à faire le test. »
« Un classique… Prenez du temps pour vous, digérez la nouvelle, et voyez quelles perspectives s’offrent à vous. Je suis sûre que tout ira bien. »
Buffy lui adressa un sourire. « Merci. »
 À SUIVRE...
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booksnunicorns · 4 years
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Eliza Knox, Tome 1 : Veuillez rendre l’âme — Fleur Hana
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Depuis que Dieu est mort c’est la merde, et ça ne risque pas de s’arranger.⁠ Trois siècles à faucher des âmes en solo pour Lucifer, et ma seule récompense est de me coltiner un (boulet) de stagiaire. En bonus, un titre (foireux) d’ambassadrice me tombe dessus pour représenter l'Enfer à San Francisco. Ça m'apprendra à tourner le dos aux péchés capitaux !⁠ Cerise sur le gâteau (de mon désespoir), des (abrutis) de métamorphes disparaissent dès mon premier jour.⁠ Ma mission ? Maintenir l’équilibre cosmique... (et accessoirement ma santé mentale).⁠ En plus, j’ai même pas prié que les anges se sont pointés, dont un (chiant) à se damner.⁠ Dieu a bien fait de se tirer, je vous le dis...⁠
Au croisement de Supernatural et Buffy contre les vampires, confierez-vous votre âme à Eliza ?⁠
De Fleur Hana publié en mars [ Amazon ] 300 pages
Les sorties d'urban fantasy sont rares, qui plus est en France alors quand ce titre a été proposé en service presse j'ai sauté dessus. Sans lire le résumé, juste avec la couverture et le sous-titre "veuillez rendre l'âme". Autant dire que ça correspond à l'ambiance qui s'en dégage, de l'humour avec une anti-héroïne un brin insociable, pas plus sur Terre qu'en Enfer. Elle vit dans son propre appart' sur Terre bien loin des siens, et complètement isolé des humains.
Nous n'avons pas affaire à des Démons, on parlera ici de Damnés mais en face évidemment, nous avons bien des Anges. Eliza est une faucheuse d'âme, elle récolte au quotidien son lot de mauvaise âmes... et pour cela, elle n'hésite pas à les faire basculer du mauvais côté obscur de la force, qu'importe s’il s’agit d’une belle âme. On voit dans ce premier tome toute une hiérarchie, chaque damné peut avoir un don qui l'amène vers une tâche afin de faire partie de cette vie d'après.
On se pose des question sur ce qu'elle a fait ou pour quelle raison elle aurait vendu son âme au diable, elle n'a pas l'air d'être à sa place. Un peu à part, elle ne cherche pas à se mélanger aux autres, mais bien malgré elle, elle finit par se retrouver à devoir gérer un apprenti, enquêter sur ces monstres bizarres et à collaborer avec une pléthore de Super Êtres.
Pour les lectrices qui aiment la romance. Oubliez ��a, dans ce premier tome, il n'y a rien à vous mettre sous la dent. On ne parlera pas de potentiel amoureux non plus, pour le moment les personnages secondaires ne sont pas assez développés pour qu'on puisse envisager quelque chose. Vous pourrez quand même shipper un peu sur le sexy du lot mais rien à mes yeux qui laisse présager quoi que ce soit. On est avant tout dans la mise en place de l’univers, la présentation des différents lieux et de la hiérarchie qui en découle. Il restera donc à voir les relations amicales s'épanouir dans les prochains deux tomes.
La trilogie commence bien je trouve, et moi qui ne suit pas forcément friande des histoires sur le combat du bien contre le mal version Ciel et Enfer, j'ai enchainé les pages et lu en un rien de temps ce premier tome ! 
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jezatalks · 6 years
Note
Toutes les questions un 7 :D 😌
7- Je n’ai pas de “meilleur.e ami.e”. Mais ceux les plus proches que j’ai sont Sacha (presque 10 ans qu’on se connait !), son copain Thomas et la convo groupée Skype.
17- Je dirais la rougaille saucisse ! (bonus si c’est de la saucisse fumée citronnelle)
27- “Jeza” un des diminutifs de mon prénom. “talks”, car je voulais parler de tout et de rien. Mais aussi qu’en vrai, je ne parle pas des masses à l’oral. Mais à l’écrit je suis une pipelette haha
37- Les tatouages j’hésite. Je pensais à une composition florale au niveau du buste/clavicule. Mais l’idée m’intéresse de moins en moins. Il y a peu, j’ai découvert le travail de Lionel Fahy (https://www.instagram.com/lioneloutofsteptattoo/) et j’aime beaucoup ses tatouages type “lignes”, sauf que je ne me vois pas avec une grande compo. Donc j’y réfléchis. Niveau percing, peut être des nouveaux aux oreilles, sauf je ne pense pas à mettre de bijoux le matin. ^^’
47- Avec un son raisonnable, je suis assez sensible au bruit.
57- A mes projets futurs (voyage, études,illustrations, projet de VN, vidéos, foodtruck, vie en ermite, où habiter, etc)
67- Oulaah, en entier c’était Le bizarre Incident du Chien Pendant la Nuit. J’essaye de lire régulièrement quelques pages Du Côté de Chez Swann. Mais j’ai beaucoup de mal à rester concentrée plus de 10 minutes…
70- M’être renversée une bouilloire sur la jambe. Brûlure au second (ou troisième degré ?) sur un diamètre de 8 cm. J’ai boité 2 semaines.
71- J’économise, mais ces derniers temps je me retiens de dépenser, j’ai repéré des fringues en fripes haha
72- Non :(
73- Ma house de couette est rose pale avec des taches bleutées.
74- En ce moment je suis passion chiens !
75- Hier/cette nuit minuit. Je commençais la saison 2 de The Wrong Mans (j’ai vu les 2 saisons hier soi haha)
76- Sachant qu’un de mes potes se surnomme (à raisons) Satan j’ai mon idée.
77- Le premier générique de Fin de France Five.
youtube
78- Etre bienveillant, à l’écoute, gentil, drôle, avoir les mêmes intérêts/goûts, aimer partager ses passions (exactement ce qu’est le crush maintenant amoureux ♥)
79- Je n’y ai pas réfléchit haha. Sûrement un jeu de mot foireux ou quelque chose du style “J’étais quelqu’un de très vivante, me voici morte”
87- Ça va bientôt faire un an pile que je n’ai pas pratiqué le coït à deux haha
97- Jamais en publique non, et ça ne me tente pas l’exhibitionnisme.
107- Oh que oui, trop souvent même. (je n’ai même pas Netflix en plus)
117- Très peu !(en partie à cause de mon anxiété sociale) Karpatt 2 fois, Ben l’oncle soul. Je ne compte pas les groupes de mon père. Sinon je pense aller voir Giedré en décembre !
127- J’étais coincée à côté de Nota Bene dans mon train pour Nantes en octobre dernier. J’ai croisé SolangeTeParle. Pour ces deux là, je ne me suis pas arrêtée. Sinon j’ai juste eu Maliki et Thomas Astruc en dédicace.
137- Je l’aime bien. Mais il faudrait que je reprenne le temps de m’appliquer. Je ne suis plus habituée à tenir mon crayon dans le but d’écrire (différent de dessiner)
147- Le résumé parfait de mon école d’art. (mais je retiens énormément de positif de ces deux années)
et voila ! Merci des questions ! :D
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