Tumgik
#c'est toi qui pleure !
1er-monde · 2 months
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tealviscaria · 5 months
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J'utilise pas Spotify mais Youtube a aussi fait une recap. Bon, la recap n'est pas du tout surprenante, je pourrais la faire moi-même (y a aussi seulement une (1) femme dans mes top 5, vraiment avec @pigeonneaux on gagne le féminisme 🤝).
Alors, si vous avez envie, vous pouvez m'envoyer un nombre dans mes ask et si (d'après le playlist que Youtube a crée) vous tombez sur une chanson qui n'est pas d'Orelsan (ou Orelsan-adjacent), vous gagnerez euhhhh... la prix de pouvoir se sentir exceptionnel.
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lisaalmeida · 2 months
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UN BILLET DE FEMME
Puisque c'est toi qui veux nouer encore
Notre lien,
Puisque c'est toi dont le regret m'implore,
Ecoute bien :
Les longs serments, rêves trempés de charmes,
Ecrits et lus,
Comme Dieu veut qu'ils soient payés de larmes,
N'en écris plus !
Puisque la plaine après l'ombre ou l'orage
Rit au soleil,
Séchons nos yeux et reprenons courage,
Le front vermeil.
Ta voix, c'est vrai ! Se lève encore chérie
Sur mon chemin ;
Mais ne dis plus : " A toujours ! " je t'en prie ;
Dis : " A demain ! "
Nos jours lointains glissés purs et suaves,
Nos jours en fleurs ;
Nos jours blessés dans l'anneau des esclaves,
Pesants de pleurs ;
De ces tableaux dont la raison soupire
Otons nos yeux,
Comme l'enfant qui s'oublie et respire,
La vue aux cieux !
Si c'est ainsi qu'une seconde vie
Peut se rouvrir,
Pour s'écouler sous une autre asservie,
Sans trop souffrir,
Par ce billet, parole de mon âme,
Qui va vers toi,
Ce soir, où veille et te rêve une femme,
Viens ! Et prends-moi !
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jeanchrisosme · 3 months
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Être une bonne personne n’est pas une faiblesse. N'oublie jamais cela. Peu importe si parfois cela se passe mal, peu importe si parfois tu as laissé tomber. Sois gentil. Sois compréhensif. Sois intense, vrai avec toi-même et avec les autres. Ne fuis pas le changement. Le changement n’est pas incohérent, s'il le faut. Parfois, ne pas changer, c'est cela qui l'est . Stagner, s'arrêter, s'entêter. C'est ça qui l'est. Sois émotif, sensible et pleure si tu veux. Profondément, honnêtement. Oublie ceux qui ne te comprennent pas, et ne cherche pas à convaincre. Continue ta route. Regarde, aide, donne un coup de main, fais toute la différence. Pas de contrepartie, pas de récompense. Vivre en paix est ta récompense. Avoir conscience tranquille est ta récompense. Sois libre. Tu n'appartiens qu'à ce que tu ressens. C’est la meilleure, la seule, forme de liberté. Refuse tout ce qui blesse. Et n'oublie pas: Être une bonne personne n'est pas une faiblesse...
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unesimplevie · 8 months
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...Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l'amour de la patrie
Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs
Il n'y a pas d'amour heureux
Mais c'est notre amour à tous les deux
Aragon
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nx1100 · 5 months
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Tr
“Öyle tuhaf ki bir an çıkıyorsun aklımdan, sonra bir şarkı çalıyor ve sensiz geçen her güne ağlıyorum.”
Fr
"C'est si étrange qu'un moment tu quittes mon esprit, puis une chanson joue et je pleure pour chaque jour qui passe sans toi."
Ang
"It's so strange that one moment you're out of my mind, then a song comes on and I cry for every day that passes without you."
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youtube
Willie Nelson est l'un des piliers de la Country Music américaine. A quatre vingt quatre ans, il a sorti en 2017, un album intitulé "God's Problem Child" dont est extrait cette superbe chanson. Une lettre d'amour joliment interprétée par la voix profonde de l'artiste.
♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡
L'amour d'une femme
L'amour d'une femme est plus profond que celui d'un homme.
Dans un endroit qu'elle seule comprend
C'est un toucher apaisant, c'est une lame de couteau.
Mais c'est l'amour d'une femme, l'amour d'une femme qui te donne la vie.
L'amour d'une femme est plus fort que celui d'un homme.
Mais il peut tenir votre cœur au creux de ses mains
Il gardera la foi pendant la longue nuit noire
Il faut l'amour d'une femme, l'amour d'une femme pour voir la lumière
Ça te fera voler ou couler comme une pierre.
Ça te laissera planer ou te laisse tout seul.
Si tu crois sa parole, peu importe ce que tu auras entendu,
Ce que l'on en dit, il n' y a pas de vie pour toi sans elle maintenant.
Ça te fera voler ou couler comme une pierre.
Ça te laissera planer ou te laisse tout seul.
Si tu crois sa parole, peu importe ce que tu auras entendu,
Ce que l'on en dit, il n' y a pas de vie pour toi sans elle maintenant.
Si jamais l'amour d'une femme trouve ton âme
Il brisera ta volonté et prendra le contrôle
Parce que la chose même pour laquelle ton cœur pleure
Est l'amour d'une femme, l'amour de cette femme et rien de plus
C'est un amour de femme pour lequel tu vis.
♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡
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queerborealbabe · 3 months
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Burn out
When a house burns You can't stay in Listening to TV You shout You cough You cry You call the firefighters You take refuge with the neighbor Who calms your anger, your rage a bit ridiculous Against this damn cold and expired extinguisher Stuck on your heart That stopped you from saving yourself All alone By yourself
But when it's your desire To live To work To love And to make love That completely burned down You can stay in front of the TV Screaming silently Without any cough to betray you And even if you call the fire brigade The psychologist, or your mother You'll still have to find the right words To convince them But more importantly To convince you That you need to take refuge Of your routine And above all Of yourself
-
Surmenage Quand une maison brûle Tu peux pas rester à l'intérieur À écouter la TV Tu cries Tu tousses Tu pleures Tu appelles les pompiers Tu te réfugies chez le voisin Qui calme ta colère, ta rage un peu ridicule Contre cet extincteur froid passé date Collé sur ton cœur Qui t'as empêché de te sauver Tout seul Par toi-même Mais quand c'est ton goût De vivre De travailler D'aimer Et de faire l'amour Qui a complètement cramé Tu peux rester devant la TV À crier silencieusement Sans toussotement pour te trahir Et même si tu appelles les pompiers Le psychologue, ou ta mère Il faudra d'abord que tu trouves les bons mots Pour les convaincre Et surtout Te convaincre Que t'as besoin de te réfugier De ta routine Et surtout De toi
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satinea · 5 months
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JOIE*
Comme tendrement rit la terre quand la neige s'éveille sur elle!
Jour sur jour, gisante embrassée, elle pleure et rit.
Le feu qui la fuyait l'épouse, à peine a disparu la neige.
S'il te faut repartir, prends appui contre une maison sèche.
N'aie point souci de l'arbre grâce auquel, de très loin, tu la reconnaîtras.
Ses propres fruits le désaltéreront.
Levé avant son sens, un mot nous éveille, nous prodigue la clarté du jour, un mot qui n'a pas rivé.
Espace couleur de pomme.
Espace, brûlant compo-
tier.
Aujourd'hui est un
Jouve.
Demain verra son bond.
Mets-toi à la place des dieux et regarde-toi.
Une seule fois en naissant échangé, corps sarclé où l'usure échoue, tu es plus invisible qu'eux.
Et tu te répètes moins.
La terre a des mains, la lune n'en a pas.
La terre est meurtrière, la lune désolée.
La liberté c'est ensuite le vide, un vide à désespérément recenser.
Après, chers emmurés éminentis-simes, c'est la forte odeur de votre dénouement.
Comment vous surprendrait-elle?
Faut-il l'aimer ce nu altérant, lustre d'une vérité au caur sec, au sang convulsif!
Avenir déjà raturé!
Monde plaintif!
Quand le masque de l'homme s'applique au visage de terre, elle a les yeux crevés.
Sommes-nous hors de nos gonds pour toujours?
Repeints d'une beauté sauve?
J'aurais pu prendre la nature comme partenaire et danser avec elle à tous les bals.
Je l'aimais.
Mais deux ne s'épousent pas aux vendanges.
Mon amour préférait le fruit à son fantôme.
J'unissais l'un à l'autre, insoumis et courbé.
Trois cent soixante-cinq nuits sans les jours, bien massives, c'est ce que je souhaite aux kaîsseurs de la nuit.
Ils vont nous faire souffrir, mais nous les ferons souffrir.
Il faudrait dire à l'or qui roule : «
Venge-toi. »
Au temps qui désunit : «
Serai-je avec qui j'aime?
O, ne pas qu'entrevoir! »
Sont venus des tranche-montagnes qui n'ont que ce que leurs yeux saisissent pour eux.
Individus prompts à terroriser.
N'émonde pas la flamme, n'écourte pas la braise en son printemps.
Les migrations, par les nuits froides, ne s'arrêteraient pas à ta vue.
Nous éprouvons les insomnies du
Niagara et cherchons des terres émues, des terres propres à émouvoir une nature à nouveau enragée.
Le peintre de
Lascaux,
Giotto,
Van
Eyck,
Uccello,
Fouquet,
Mantegna,
Cranach,
Carpaccio,
Georges de
La
Tour,
Poussin,
Rembrandt, laines de mon nid rocheux.
Nos orages nous sont essentiels.
Dans l'ordre des douleurs la société n'est pas fatalement fautive, malgré ses étroites places, ses murs, leur écroulement et leur restauration alternés.
On ne peut se mesurer avec l'image qu'autrui se fait de nous, l'analogie bientôt se perdrait.
Nous passerons de la mort imaginée aux roseaux de la mort vécue nûment.
La vie, par abrasion, se distrait à travers nous.
La mort ne se trouve ni en deçà, ni au-delà.
Elle est à côté, industrieuse, infime.
Je suis né et j'ai grandi parmi des contraires tangibles à tout moment, malgré leurs exactions spacieuses et les coups qu'ils se portaient.
Je courus les gares.
Cœur luisant n'éclaire pas que sa propre nuit.
Il redresse le peu agile épi.
Il en est qui laissent des poisons, d'autres des remèdes.
Difficiles à déchiffrer.
Il faut goûter.
Le oui, le non immédiats, c'est salubre en dépit des corrections qui vont suivre.
Au séjour supérieur, nul invité, nul partage : l'urne fondamentale.
L'éclair trace le présent, en balafre le jardin, poursuit, sans assaillir, son extension, ne cessera de paraître comme d'avoir été.
Les favorisés de l'instant n'ont pas vécu comme nous avons osé vivre, sans crainte du voilement de notre imagi' nation, par tendresse d'imagination.
Nous ne sommes tués que par la vie.
La mort est l'hôte.
Elle délivre la maison de son enclos et la pousse à l'orée du bois.
Soleil jouvenceau, je te vois ; mais là où tu n'es plus.
Qui croit renouvelable l'énigme, la devient.
Escaladant librement l'érosion béante, tantôt lumineux, tantôt obscur, savoir sans fonder sera sa loi.
Loi qu'il observera mais qui aura raison de lui; fondation dont il ne voudra pas mais qu'il mettra en œuvre.
On doit sans cesse en revenir à l'érosion.
La douleur contre la perfection *.
René CHAR
"Le Nu perdu et autres poèmes"
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pleasecallmealsip · 4 months
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my translation (fr -> chn) of a poem
LOUISE MICHEL, a poem titled "Saint-Just" (1861), after the Archangel.
Source:
Daniel Armogathe and Marion Piper, A Travers la Vie et la Mort (Paris : Maspero, 1982)
路易治•米雪尔(1830-1905),代号“安灼拉”,教师、作家、巴黎公社的一员。米雪尔写了一辈子,从小说到散文到诗歌都写,从1871年一直写到了第一次俄囯起义前夕。
《圣茹斯特》这首诗,写在米雪尔三十岁,尚未组入公社时。
Louise Michel, Janvier 1861 :
Saint-Just
圣茹斯特
Ombre d'un citoyen, Saint-Just, je te salue !
Viens, frère, parle-moi : l'heure est-elle venue ?
           Les Pharaons vont-ils tomber ?
Vois-tu, souvent la nuit, quand l'horizon est sombre,
Je m'en vais en rêvant, et près de moi ton ombre
           Se dresse et semble me parler.
一道公民的影子,圣茹斯特,你好哇!
来,兄弟,来告诉我:是那一刻已经到了?
那些法老可要倾覆?
你看,往往在夜晚,地平线暗淡之时,
我做着梦走出来,而我身旁你魂识
出现,似要与我倾诉。
Et nous allons tous deux, moi dans l'ombre indécise,
Toi dans l'éternité ; nous allons, et la bise
           Pleure les morts et les proscrits.
Et tout ce qui jadis éblouissait le monde,
La liberté, l'honneur, semble dormir sous l'onde.
           Le silence même a des cris.
我们两人一起走,我在犹豫的影中,
你在永恒里:我们走着,干冷的北风
为死者和流民哭号。
而往日中一切曾让世界眩晕之物,
自由,光荣,仿佛都睡在水波的底部。
静寂自有他的绝叫。
Une immense hécatombe, un sépulcre, un repaire,
Voilà ce qu'ils ont fait de la patrie, ô frère.
           L'aigle a fondu de son rocher,
Les chacals ont rampé, l'hyène immonde est venue
Et l'on ne voit plus rien sur terre et dans la nue,
           L'avenir peut-il abdiquer ?
屠戮一场、坟一座、窝巢一处供藏匿,
他们就把祖囯做成了这样,噢,兄弟。
老鹰弃巨石而飞扑,
豺狼已汹汹横行,肮脏的鬣狗来袭,
从地上到云中再无人能看得明晰,
未来难道可以屈服?
Vois ce qu'ils ont, ces loups, fait de la République ?
Ce peuple au cœur ardent, ce peuple magnifique
           Prend pour maître un aventurier ;
Il ne s'éveille plus au bruit de son histoire,
Même sous le fouet ; c'est à ne pas y croire,
           Sa honte est à terrifier.
你可看到这狼群对共和囯的所为?
这人民心怀热诚,这人民美丽宏伟
奉投机者为其主宰;
他们不再苏醒于他们历史的声势,
即使备受鞭打;这真让人匪夷所思,
这羞耻该叫人惊骇。
Oh ! Du moins, autrefois, dans vos luttes sanglantes,
Le cœur battait à l'aise, et des ailes géantes
           Emportaient votre esprit en haut ;
On pouvait, en mourant sur la place publique,
Crier de l'échafaud : « Vive la République ! »
           Oh ! C'était grand et c'était beau !
噢!至少,在从前,你们血腥的战斗里,
心自在地跳动着,有那巨大的羽翼
撑起精神向高处飞;
你们最后上广场赴死时也仍然会
在行刑的高台上疾呼:“共和囯万岁!”
噢!何等雄壮、何等美!
Aujourd'hui, tout se tait ; on entasse dans l'ombre,
Pour qu'ils ne parlent plus, des prisonniers sans nombre,
           Car la mort ferait trop de bruit.
Et quand on voit parfois que cette agonisante
Qu'on appelle la France a murmuré, mourante,
Un soupir dans l'affreuse nuit ;
而今天,万物失声;没有编号的囚犯
被挤在阴影里,为教他们不再交谈,
因为死亡震耳欲聋。
当有时我们看见这引人哀惧的
名叫法兰西的将死之人低语着,
叹息在可怕的夜中;
Quand elle a tressailli de honte ou de colère,
L'homme qui la soumet, horrible bestiaire,
           Sur elle étend son hideux bras !
Et nous souffrons cela ! Ce néant nous domine !
Le nain pour piédestal a pris une colline
           Et nous le regardons d'en bas.
当她因羞耻或因愠怒而瑟瑟发抖,
那迫使她屈服的男人,卑鄙的猛兽,
丑陋的手臂掠过她!
而我们为此受难!这虚无占据我们
侏儒*拿小丘垫脚,自当是坛上的神
我们从下方观望他。
[*侏儒:拿破仑��世。]
Oh ! Vous nous méprisez, vous, ombres magnanimes,
Qui donniez, frémissants de vos désirs sublimes,
           Jusqu'à la bonté de vos cœurs.
Vous qui saviez briser dans le fond de vos âmes
Toute faiblesse humaine et qu'on traitait d'infâmes,
           Effrayants et saints éclaireurs !
噢!你们厌弃我们,你们,宽仁的影子,
在崇高的期冀中振颤,你们行恩赐
直至献出心底的善。
你们知道如何在你们的灵魂深处
突破一切人性之弱,声名却遭污辱,
可畏而神圣的哨探!
Oh ! Vous étiez bien purs, quoique étant implacables,
Et vous étiez bien grands, apôtres formidables
           De l'auguste fraternité,
Or, tandis que mes yeux se remplissaient de larmes,
Une nuit, j'entendis comme un lointain bruit d'armes
           Dans le silence répété.
噢!你们如此纯洁,虽也无情顽固,
你们是如此高大,引人敬畏的圣徒,
怀抱着庄严的博爱,
而如今,恰当我双眼被清泪所充盈,
有一夜,却听到了刀枪在远处争鸣,
响彻这单调的静态。
C'étaient eux !  Les géants, les terribles archanges
Qui pour ouvrir la route ont mis dans leurs phalanges
           La mort, comme on met un faucheur.
C'étaient eux qui, le cœur saignant sur la victime,
Frappaient le souverain, montrant de loin l'abîme
           Aux rois livides de frayeur.
是他们!那些巨人和恐怖的大天使,
他们为开辟道路而在方阵间设置
死亡,像设置镰刀兵。
是他们,心脏在受害者上滴血涓涓,
一边打倒了君主,遥指无底的深渊
吓得诸王面色铁青。
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Comme je regardais cette cohorte sombre,
Un d'eux, s'en détachant, vint près de moi dans l'ombre
           Et me tendit ses pâles mains,
Comme les donne un frère après les jours d'absence,
Et je lus dans son âme, au milieu du silence,
           L'arrêt terrible des destins.
正当我注视着这黑暗中的一大伙,
其中一位出了列,在阴影中走近我,
苍白的手向我伸出,
像几天前离家,刚回来的兄弟那样,
我从他魂中读到,在寂静的正中央,
命运的恐怖判決书。
Tous deux nous paraissions à peu près du même âge,
Et soit que ce fût l'âme, ou l'air, ou le visage,
           Ses traits étaient pareils aux miens.
Et Saint-Just me disait dans la langue éternelle,
« Entends-tu, dans la nuit, cette voix qui t'appelle,
           Écoute, l'heure sonne, viens ! »
我们两个人看上去似乎年龄相仿,
而无论是灵魂,还是气质,还是面庞,
我们属同类、站同排。
圣茹斯特用永恒的语言对我说道:
“你可听见,夜深时,这嗓音向你呼叫?
听着,是时候了,快来!”
铝硅磷 法译中 共和历二百三十二年 霜月 芦苇日。
note:
Entendre这个词的本义是注意到一件事,更源头的意思是物件延展它的跨度,与它同源(都来自古法语)的是英文的intend。英译这首诗的时候,entendre也许可以被译为hearken。
米雪尔从诗的开头到此处所说的话都有可能是(那些被)圣茹斯特(所代表的革命者们)在说,而不是诗人自己在说。
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lesideesmoites · 6 months
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Lovée dans les lignes
tristes de ton visage
c'est moi qui pleure et toi qui boit
mes larmes et les essuie.
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uneessencesensible · 5 hours
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N°1476 – Samedi 14 juillet 2018
Jeudi 12 juillet.
« - Tu n'y as pas pensé toi ? - Penser à quoi ? - À souhaiter son « anniversaire ». - Quel anniversaire ? - Celui du dix juillet. - Tu parles d'un anniversaire toi. - Bah si, c'est comme une résurrection pour ton père. Il est comme Dieu. »
               
Ce soir.
Un anniversaire... Non, pour moi, un anniversaire de résurrection comme tu dis, c'est un moment où tu te dis « J'ai failli le perdre, mais heureusement, il est là ». C'est un moment où tu remercies la vie de lui avoir donné une seconde chance. Une seconde chance que la personne ait su saisir. Non, pour moi, nous en sommes très loin. Nous lui avons sauvé la vie et tout ce qui nous avons eu comme remerciements, ce ne sont que des pleurs, de la violence, de la vulgarité. Des faits tragiques dont on aurait pu se passer, après ce que nous avons traversé quelques années auparavant. Comme si ce n'était pas assez, il en a rajouté une couche. Plus épaisse. Plus lourde. Plus difficile à gérer et à digérer.
[...]
. Je sais que tu prends énormément sur toi. J'en ai conscience tu sais. Je fais de même. Pour toi. Pour que je sois à peu près bien quand je te laisse seule avec lui. Mais franchement, j'aurai aimé le voir comme un dieu. Ou juste ressentir quelque chose de positif pour lui. J'aimerais ressentir de l'affection. Mais je n'y arrive pas. Je ne ressens même pas un dixième de ce que je peux ressentir pour toi. C'est vide. Ce n'est pas simple de s'avouer cela. D'avouer que nous ne n'aimons pas réellement un parent. Voire pas du tout. Ce n'est pas une place facile à prendre. Facile à accepter au départ, quand on se rend compte que l'on préfère être loin de la personne qu'être tout prêt d'elle. Mais c'est ainsi. Je dois vivre avec.
Edit : Aujourd'hui, je vis -mieux- tout ce foutu passé. Bien que je suis une thérapie à cause de tous ses gestes, ses paroles, j'avance peu à peu. Ceci dit, sa présence m'est toujours aussi irritable. Je crois bien que ça, ça ne changera jamais.
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jeanchrisosme · 8 months
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Si tu m'aimes ne pleure pas ! Si vous saviez l'immense mystère du ciel où je vis maintenant, si vous pouviez voir et entendre ce que je vois et entends parmi ces horizons sans fin, et dans cette lumière que tout investit et pénètre, tu ne pleurerais pas si tu m'aimes. Nous voilà maintenant absorbés par le charme de Dieu, de ses expressions de bonté infinie et des reflets de sa beauté sans limites. Les choses du passé sont si petites et éphémères à la comparaison. L'affection pour toi est coincée : une tendresse que je n'ai jamais connue. Je suis heureux de t'avoir rencontré à temps, Même si tout était si éphémère et limité à l'époque. Maintenant l'amour qui me tient au plus profond de toi, C'est la pure joie sans coucher de soleil. Pendant que je vis dans le serein et en attendant ton arrivée avec exaltation parmi nous, c'est comme ça que tu penses de moi ! Dans vos batailles, dans vos moments de réconfort et de solitude, Pensez à cette merveilleuse maison, là où la mort n'existe pas, où nous nous dissoudreons ensemble, dans le transport le plus intense vers l'inépuisable source d'amour et de bonheur Ne pleure plus si tu m'aimes vraiment !
Saint Augustin
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swedesinstockholm · 14 days
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14 avril
rebel wilson l'actrice australienne a perdu sa virginité à 35 ans, je l'ai vu dans mes suggestions youtube rebel wilson talks losing virginity at 35, clickbait suprême s'il en est, je me suis jetée dessus en espérant que ce soit pas une blague ou un coup de marketing. elle l'a révélé dans le cadre de la sortie de son autobiographie. elle a juste mis beaucoup de temps à se rendre compte qu'elle était lesbienne en fait. c'est toujours la même histoire. aujourd'hui elle a 44 ans elle est fiancée et elle a un bébé qu'elle a eu via une mère porteuse. moi je suis à deux ans d'avoir 35 ans et je pleure dans mon lit parce que r. vient de me dire qu'il était attiré par adrianne lenker et que je serai jamais cool et androgyne comme adrianne lenker. il a dit en plus elle est habillée comme moi et j'ai dit t'es attiré par les filles qui s'habillent comme toi? et il a dit eh bien je remarque que oui et j'ai failli lui dire alors je sais comment je vais m'habiller la prochaine fois qu'on se voit mais heureusement je me suis retenue.
après m'avoir dit bonne nuit j'ai vu un moucheron sur ma jambe et j'avais envie qu'il me mange. qu'il fasse un trou dans ma cuisse et me dévore petit à petit jusqu'à ce que j'existe plus. je peux même plus écouter adrianne lenker maintenant. elle est en couple avec une fille en plus, elle est censée être là pour me réconforter. peut être que je ressemble tout simplement pas assez à une lesbienne pour que r. tombe amoureux de moi. j'arrive pas à croire qu'on est attirés par le même type de filles. il manquerait plus qu'il soit attiré par les garçons qui lui ressemblent. et là je peux encore moins concourir. je suis courte sur pattes et dodue j'ai des gros seins et je suis moche avec les cheveux courts.
il va la voir en concert en mai juste après son propre concert, il connait sa violoniste elle lui a filé une place gratuite, j'ai dit ohlala la soirée de rêve et il m'a dit viens!!! mais c'est la veille du mariage de s. et adrianne lenker c'est complet depuis longtemps et surtout SURTOUT hors de question de faire la potiche-groupie amoureuse toute seule dans le public à son concert. et lui il va probablement pas faire comme moi à la maison poème et sacrifier sa vie sociale pour rester discuter avec moi dans un coin. non mais le culot. jamais de la vie j'aurais osé l'embarquer dans une conversation sur les traumas de mon enfance, en pleine gloire de post-représentation, non mais c'est pas vrai. j'en ai marre que notre relation soit déséquilibrée. il représente trop pour moi. pour lui je suis une parmi. pour moi il est le.
cet après-midi je suis partie me promener toute seule le long des champs et à un moment j'étais un peu en hauteur à la croisée de deux chemins et le vent faisait voler mes cheveux au soleil et je me suis rappelé d'un moment de dimanche dernier, juste après la fin des lectures quand je nous ai servi des verres d'eau sur un coin de la scène pendant qu'on se congratulait mutuellement et puis je me suis retournée et j'ai vu r. assis tout seul dans les gradins presque vides et je lui ai souri en lui faisant un pouce en l'air et il m'a répondu en faisant je sais plus quoi et puis il faisait semblant de jouer le solo de guitare qui était en train de passer et je le regardais en souriant, c'était comme si on bouclait la boucle, ou qu'on recommençait depuis le début, mais cette fois tu tombes amoureux de moi ok?
à chaque fois que je croisais des gens pendant ma ballade cet après-midi j'étais l'amoureuse. quand je me promène dehors j'endosse toujours une occupation, selon mes préoccupations du moment. parfois je suis l'écrivaine, parfois je suis la serpillère, parfois je suis la winneuse parfois je suis la loseuse, parfois je suis la paumée, etc. aujourd'hui j'étais l'amoureuse. si mon crâne était transparent les gens que j'ai croisés n'auraient vu que r.
15 avril
j'ai accompagné maman et m. au centre commercial pour me changer les idées cet après-midi mais bof j'étais assise sur un fauteuil mauve avec le regard perdu dans le vide à me demander si je devais arrêter de porter des robes pendant que maman essayait des doudounes fines à petits bourrelés et que m. la conseillait. dans le supermarché j'arrivais tellement plus à me porter que je me suis appuyée contre un bout de rayon en semi catatonie. à chaque fois j'oublie que les centres commerciaux m'aspirent l'âme. en passant devant la librairie j'ai vu deux de mes anciennes collègues. j'ai oublié leurs noms parce que je les mentionne pas dans mon texte. ça m'a rappelé dimanche dernier et ça m'a un peu remonté le moral. quand j'y travaillais je me demandais ce que je pourrais en tirer, artistiquement, je voulais en faire un film, un court-métrage, mais finalement j'en ai fait un poème. mon ancien responsable serait fier de moi.
aujourd'hui je me suis dit que peut être que je devrais arrêter d'écrire. j'ai déjà perdu le raisonnement qui m'a menée à cette conclusion, c'est plutôt que j'ai réalisé que je pouvais pas me contenter d'avoir juste l'écriture dans ma vie. je suis pas comme laura vazquez par exemple. au bout d'un moment ça me monte trop à la tête et je vois plus que des mots et des phrases et des choses qu'on dit et qu'on redit comme ça ou comme ça mais c'est toujours la même chose. au bout d'un moment je sature et tout me semble ridicule. donc il me faut autre chose. pour contrebalancer. qu'est-ce que je ferais si j'arrêtais complètement d'écrire? par quoi je me définirais? il faudrait bien que je me trouve une autre destinée. j'ai envie d'arrêter rien que pour voir ce que je ferais, même si je ferais très probablement rien du tout.
ce matin par exemple j'étais allongée sur mon lit au soleil avec la fenêtre grande ouverte à lire mon journal de 2004 en écoutant le premier album de muse pour me mettre dans le contexte et j'interrompais régulièrement ma lecture pour chanter avec matthew bellamy et aussi avec sa guitare en me tortillant sur mon lit, c'était cathartique, c'était mieux qu'une séance de psy ou n'importe quoi vraiment, peut être que je devrais faire ça tous les matins, pour purifier mon âme. bon mais je lisais mon journal en vue de l'écriture d'un texte sur l'été 2004, donc ça reste une occupation liée à l'écriture.
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thesonofdio · 10 months
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London Bridge
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Pov Dominic :
Ahhhh c'était un super concert ! L'ambiance, les lumières, les gens qui chantaient ! C'était mental !
Adam pose sa main sur mon épaule et ris.
Adam: C'était un super concert t'a assuré Dom !
Tom: Ouai ! C'était génial mec !
Moi: J'ai rien fait c'est les gens qui était déchainer ! Et puis toi Adam t'étais ouf à la guitar !
Je fait le signe des rockeurs avec ma main droite en tirant la langue et on ris.
Adam: On va se prendre une bière ou on rentre directement ?
J'allais répondre que je connaissait un bar pas très loin, mais j'entendis Tom bailler a côté de moi.
Moi: On est tous crevé, on ferait mieux d'aller se coucher à la coloc'.
Tom: Ouais, je vais appeler un taxi.
Tom s'avance sur le trottoir et lève sa main. Un taxi arrive s'arrête et nous fait signe de monter. On s'installe tous à l'arrière et j'appuie m'a tête sur la fenêtre et regarde le paysage défiler devant mes yeux.
On passe dans une rue, on tourne à droite puis on arrive dans une autres rue.
On arrive sur le grand London Bridge. J'observe l'eau et les quelques bateaux qui flotte. Je regarde aussi les immeubles au loin avec toute leurs lumières allumer.
La voiture me berce et je ferme un peut mes paupières. Pour finalement les rouvrir ne trouvant pas le sommeille, je me redresse et continue de regarder la vue depuis le pont.
Quand soudain je vois une silhouette sur le rebord du pont. Cette silhouette a les bras grand ouvert. Je suis plutôt loin mais je peut voir que c'est une fille de dos. Elle va sauter ! Je me redresse d'un coup et cris au chauffeur.
Moi: Arrêtez vous ! Arrêtez vous ! Putain ! Regardez là bas !
La taxi s'arrête d'un coup. Je montre du doigt la silhouette. Puis je descend du taxi et cours jusqu'à l'autre bord du pont. Je cours jusqu'à ne plus avoir de souffle. Fook j'ai oublié mon inhalateur dans le taxi ! Pourquoi ce pont est aussi large ?!
J'arrive à quelque mètres de la fille. Elle est toujours de dos. Elle à de long cheveux bond mais les pointes sont teintes en bordeaux. Je l'entend sangloter et décide de m'approcher doucement pour ne pas qu'elle m'entende. Je n'ai pas le temps de discuter avec elle, il faut qu'elle descende ! Sinon elle va faire une connerie...
Je suis juste derrière elle et elle ne me vois toujours pas. Elle est debout sur la rembarde en métal, donc sa taille est à la même hauteur que ma tête.
D'un coup j'enroule sa taille de mes bras et la tire en arrière vers moi. On tombe tout les deux à terre et je resserre la prise que j'ai sur elle pour ne pas qu'elle s'enfuis et qu'elle n'essaye à nouveau de sauter.
Je relève la tête, je suis au dessus d'elle. Je me pousse et m'assoie à côté d'elle en essayant désespérément de reprendre mon souffle mais mon asthme me rattrape. Adam arrive quelque secondes après avec mon inhalateur, suivie par Tom. Je le remercie et reprend mon souffle.
La fille a mes côtés se relève alors difficilement puis s'assoie en tailleur, la tête baissée ses cheveux cachant son visage. Je l'entend a nouveau pleurer, alors je m'approche d'elle prudemment et pose ma main droite sur son épaule gauche. Elle se redresse soudainement et se met debout en reculant de quelques pas.
Je vois enfin son visage... Elle a des yeux bleu claire, ils sont hypnotisant. Mais ils sont rougis par ses pleures, ses joues sont trempées de larmes et ses lèvres soubresaute aux rythme de ses épaules qui se baisses et se soulèves. Elle respire difficilement. Je lui tend mon inhalateur en restant loin pour ne pas l'effrayer. Elle me lance un regard remplie de haine mais aussi d'incompréhension et de tristesse. Elle est désespérer ça se voie.
Elle s'avance vers moi et prend mon inhalateur, ses mains tremble. Puis elle balance mon inhalateur par terre et me fout une gifle !
Moi: Mais qu'est-c'qui te prend ?! T'es pas bien ! Je viens de te sauver la vie !
Elle: Justement ! Je t'ai rien demander, pourquoi t'a fait ça ?! Je te connais même pas ! Putain j'avais vraiment pas besoin de ça...
Elle murmura la dernière phrase comme si elle se parlée à elle même. Elle a les mains sur son visage et je l'entend pleurer de nouveau. Elle se rassoie par terre et enfouie sa tête dans ses bras, les jambes sont remontée sur sa poitrine. Je m'accroupis devant elle et l'entoure délicatement aves mes bras.
Moi: C'est bon, ça va aller. Je suis là. Murmurais-je à son oreille.
Elle relève la tête et je remet une de ses mèches de cheveux derrière son oreille.
Moi: Comment tu t'appelle ?
Elle: Coline. Coline Douglas.
Adam: Et t'a quel âge Coline ?
Adam s'accroupis aussi et lui sourit gentiment.
Coline: J'ai dix-neuf ans. Depuis un mois.
J'ouvre en grand mes yeux, puis je me relève et m'appuie contre la rembarde. Ma tête tourne et je sent une main se poser doucement sur mon épaule. Tom se met à côtés de moi.
Tom: Ca va Dom ? T'a pas l'aire bien.
Moi: T'a entendue, elle à que dix-neuf ans... Comment on peut avoir des pensées suicidaire quand on est aussi jeune ? Qu'est ce qu'elle à pu vivre pour vouloir mourir avant d'avoir eu le temps de vivre ?!
Tom: J'en ai aucune idée c'est à elle qu'il faut demander ça.
Je me retourne et vais voire Coline qui c'était remise debout, c'est larmes ont arrêtées de couler et elle discute calmement avec Adam. Quand j'arrive vers eux Adam se retourne vers moi.
Adam: Elle n'a nul-part où aller, elle peut venir dormir à la coloc' ?
Moi: Bien sûr ! Vient suis-moi, on à laisser le taxi en plans depuis tout à l'heure, il va nous faire payer chère.
Adam, Tom et moi rions, mais Coline se fondit aussitôt en excuse.
Coline: Oh je suis vraiment désoler ! C'est ma faute excusez moi les garçons !
Je rigole de plus belle face à sa mine désoler. Je l'a prend pas les épaules.
Moi: Mais non t'inquiète pas pour ça, c'est rien.
Je lui fait un grand sourire et elle souri légèrement. Elle est vraiment belle je trouve... Qu'est ce que j'raconte entre moi ?! On rentre dans le taxi, Tom monte à l'avant er s'excuse auprès du chauffeur qui ne nous en veut pas finalement. Adam est placé derrière le conducteur, Coline est au milieu et je suis derrière Tom. Personne ne parle durant tout le trajet.
On arrive enfin devant l'immeuble et je descend. Pendant que Tom paye - quoi ? C'est son tour de payer le taxi c'est comme ça - , j'aide Coline a descendre. Adam descend à son tour suivie de Tom. Je sort les clefs, on entre dans le hall, puis on montre les escaliers pour atteindre le cinquième étage. Oui, le cinquième... Non l'ascenseur est en panne, depuis quatre ans... C'est du foutage de gueule oui je sais !
J'ouvre l'appartement et on rentre tous. Tom et Adam vont se coucher directement.
Moi: Euh Coline ?
Coline: Oui ?
Moi: Je suis désoler mais il n'y a que trois chambres.
Coline: Et le canapé ?
Moi: Bah y'en à pas...
Coline: Quoi ?
Elle se retourne va dans le salon et regarde les trois pouf qui y sont disposé. Je ris de sa tête déconfite face à ça.
Moi: C'est pas grave, tu peut dormir dans ma chambre. Je suis le seul a avoir un lit deux place.
Elle sourit et me remercie puis on va dans ma chambre. Je lui donne un de mes T-shirt qui est noir et je vais prendre une douche pendant qu'elle se change.
Quand je revient, je la trouve allonger dans le lit à moitié en train de dormir. Alors j'éteins la lumière et vais me coucher aussi.
Coline: Tu sais, je suis désolé pour toute à l'heure; quand je t'ai crié dessus et que je t'ai giflé.
Moi: T'inquiète pas pour ça.
Je lui lança un sourire qui se voulait réconfortant même si on est dans le noir.
Moi: On parlera de tout ça demain...
Puis je lui embrassa le front avant de la prendre dans mes bras et de m'assoupir.
Here's a little one-shot to give hope to you who read this <3 take care of you guys
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Le secret de la rencontre
Lorsque l'adolescente nocturne fut arrivée devant la cabane dont la seule issue sur le dehors était une porte si exiguë que seul un corps glorieux aurait pu se glisser dans son ouverture, elle entendit, dans le silence de l'aube, sangloter à l'intérieur celui qui la pleurait comme on pleure les morts.
Et elle frappe à la porte et la voix demande de l'intérieur: Qui est à la porte? Elle répondit: C'est moi.
Alors il y eut un grand silence, et les arbres eux-mêmes cessèrent leur murmure et ne laissèrent plus fuser les premières notes des oiseaux chanteurs.
Mais la voix ne répondit pas de l'intérieur et la porte exiguë ne s'ouvrit pas...
Alors l'adolescente s'enveloppa du voile de la méditation et, sans une plainte, sans un soupir, elle s'étendit à terre contre la porte.
Et toute la journée et toute la nuit, elle resta étendue, la tête enfoncée dans le voile de la méditation, et elle mûrissait ainsi en son cœur la notion essentielle qui veut que les privilégiés de l'amour meurent d'abord complètement à eux-mêmes avant de se présenter devant l'Amour.
C'est pourquoi, prête désormais à aborder la porte, elle se leva et alla d'abord s'abluer à la rivière puis d'un pas assuré elle revint vers la cabane et heurta la porte.
Et la voix demanda de l'intérieur: Qui est à la porte ? Et l'adolescente, cette fois, répondit: C'est Toi.
Et la porte s'ouvrit d'elle-même...
Et le reste est le mystère des privilégiés de l'Amour.
Légende arabe
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