Tumgik
#Testone di mi--
temtamtom · 7 months
Text
Tumblr media
Romano stole his heart his sweatshirt. He can’t keep getting away with it!!
This was for a Romano request (but I couldn’t resist sneaking in some RoMerica). I accidentally deleted the draft post with the ask on it sorry!😭
Also thanks Grem for letting me use your Alfred palette, though I didn't use it to its full extent here.
Tumblr media
151 notes · View notes
Text
Tumblr media
fratellini pasolini gattini stupidini 🐱🐱
7 notes · View notes
homomenhommes · 2 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 104
Vendredi fin d'après-midi.
Samir arrive avec Jimmy, Ammed de son coté.
Je leur fais visiter l'appart modifié et précise aux trois que j'ai pris soin de l'insonorisation (ce qui les fait rire). Nous testons. Les gémissements simulés ne passent pas entre les deux pièces. Jimmy me dit que c'est dommage, il aurait bien aimé les entendre baiser ensemble. J'en profite pour le prévenir que de temps en temps il aura un compagnon de jeux. Ça l'intrigue.
Samir et Ammed commencent l'entretien de la maison et je discute avec Jimmy le temps que la salle de muscu soit faite. Je lui demande s'il est toujours partant pour que je m'occupe de lui. Il me répond positivement. Je lui explique que je lui ai trouvé un travail à mi-temps. Il me regarde craintif, je lui explique le taf et que je l'introduirai auprès de mon patron, ça le rassure. Je lui dis aussi que l'autre mi-temps sera consacré à la baise avec des amis qui cherche un ptit mec comme lui. Je fais miroiter sous ses yeux l'aspect financier de la chose lui annonçant un revenu total mensuel (j'ai décidé de lui laisser 50% des passes) auquel il n'avait jamais pensé hors le trafic de shit. Ce sera presque de l'argent de poche, puisque de mon coté je prends en charge toute la logistique (fringues, protection, poppers...). Il essaye de me tirer les vers du nez concernant son futur compagnon de jeux.
Je ne cède rien malgré ses caresses, pipes et autres excitations sexuelles. Je fini par ne plus tenir et je le redresse alors qu'à genoux entre mes cuisses, il me pompe avec ardeur, pour le faire asseoir sur mes " genoux ". Bien sûr ma bite en a profité pour perforer son anus et l'arrimer à moi. Nous sommes face à face et il en profite pour m'embrasser. Après m'avoir picoré les lèvres, il glisse sa langue entre mes dents et je lui prends la tête pour appuyer notre pelle. J'aime ses lèvres pulpeuses aussi bien collées aux miennes que quand elles s'arrondissent autour de ma verge.
Bien que fixés par nos bouches, il ne cesse de monter et descendre faisant coulisser ma queue dans son anus. Avec lui tout paraît si naturel et évident que je vais lui confier Charles-Edouard (le ptit bourge). Il y gagnera en aisance.
Il m'excite bien et je fini par lui jouir dedans mes mains appuyant sur ses épaules pour le planter profondément. Quand il sent que le je remplis, il s'autorise à juter. Passage aux douches et nous montons attendre Marc au salon. Nous matons quelques dessins animés japonais.
Quand Marc arrive, je vais l'accueillir. Il a croisé Samir et Ammed qui partaient au donjon. Nous nous roulons un patin et je lui dis que Jimmy est là. Nous poussons jusqu'au salon et nous trouvons notre jeune ami à poil, à genoux sur la table basse, la tête posée sur la pierre et ses bras autour. En fait " un cul ", et très bandant ce cul !
Je passe ma main sur le jeans de Marc, il bande ferme. Moi aussi d'ailleurs. Je m'installe en bout de table, relève la tête de Jimmy et lui dis de me sucer. Marc de son coté vire ses fringues rapidement et après avoir juste craché sur la rondelle offerte, l'a pénétrée. Arrivé au fond, un petit coup de rein pour être bien sûr, propulse ma bite au fond de la gorge de Jimmy. Je n'ai pas à bouger, les va et vient de Marc engendrent le mouvement de pipe. C'est trop bon. Je demande à Marc si ça va, il me répond qu'il s'est ouvert comme une fleur mais qu'il sent bien et l'anneau et le boyau. Je suce deux de mes doigts (majeur et indexe) et viens les faire coulisser au coté du sexe de Marc. Ça marche, Jimmy accepte la dilatation supplémentaire. Quand je les retire, son anus se referme et serre de nouveau la hampe de Marc.
Entre le spectacle et les stimulations buccales sur mon gland, je ne tiens plus et jute dans la bouche de Jimmy qui avale consciencieusement. Marc me suit de près et dose son cul.
Il nous remercie pour cet accueil. Nous nous embrassons passionnément sous les yeux de Jimmy.
Nous le confions à Samir quand il vient nous prévenir qu'ils ont fini pour aujourd'hui. Je leur précise juste que si ils font quelque chose avec Jimmy c'est kpote obligatoire, la baise sans nous étant réservée à Marc et moi.
Le samedi après mon cours au père de Jean (et son niquage), je continue avec Jimmy dès mon retour. Assouplissement exclusivement, le fond est là, naturellement il arrive à prendre des positions extrêmes, mais je souhaite qu'il arrive au grand écart facial (il ne lui manque pas grand-chose) et qu'il approfondisse ses auto-fellations. ;Nous y passons une bonne heure et demie mais il progresse et le grand écart sera à sa portée rapidement.
Marc nous rejoint en nous annonçant qu'Eric viendra ce soir après ses cours nous aider à formater Jimmy. Nous passons une partie de l'après midi dans l'eau. Ça va entretenir la résistance de Jimmy sans le muscler outre mesure.
Quand j'entends la moto d'Eric, j'envoie Jimmy le recevoir et le suit pour voir comment il s'y prend (il ne porte sur lui qu'un des maillots de bain que je lui ai acheté).
Il lui ouvre la porte. Eric surpris se laisse faire. Après lui avoir pris le casque des mains et l'avoir posé sur la console de l'entrée, il dézippe la combi en cuir jusqu'en bas laissant surgir le paquet d'Eric encore contenu par le tissu du shorty. Il s'agenouille devant et lèche la bite par-dessus cette barrière. Il l'a mouille de salive et je peux voir les mailles coller au sexe d'Eric comme une deuxième peau.
Sans un mot, il tire l'élastique sous les couilles laissant se déployer la batte de base- ball black. Il commence par jouer avec le gland, léchant sa surface, le râpant de sa langue, glissant cette dernière sous la couronne, buttant sur le frein. Ça marche comme cela jusqu'à ce qu'Eric trop sensibilisé, lui enfonce sa bite d'un coup. Après un court moment d'appréhension (de ma part), je vois Jimmy accepter sans chichi l'envahissement violent de sa gorge. Eric lui ramone deux trois fois ses amygdales, sort totalement de la bouche vorace qui l'excite et remballe le matériel (avec difficulté il le place vers sa hanche gauche). Je m'approche alors pour l'aider à retirer sa combi. Il me dit que le " petit " a bien progressé et que je vais pouvoir rapidement l'utiliser. Je suis d'accord avec lui.
Nous entrons tous les trois au salon ou Marc à préparer l'apéro. Quand il voit la barre horizontale dans le shorty d'Eric, il lui demande si ça va. Réponse : difficile d'aller mieux. Eric se cale dans un canapé et Jimmy reprend les choses là ou ils les avaient laissées. A genoux entre les cuisses d'Eric, il se remet à le sucer. Marc sert un whisky à Eric et en lui passant le verre appui sur la tête de Jimmy pour voir si il était bien planté à fond. Il revient s'assoir à mes cotés. Ses jeans sont bien déformés et sa main sur ma nuque, après m'avoir rouler un patin, il pousse ma tête vers vers ses cuisses. Ma bouche s'crase sur la toile tendue. Je lui défais ceinture et boutons pour accéder au trésor caché. Excité par les " slurp, slurp " venant d'à coté, je tire l'élastique pour laisser la place à la bête de se déployer. Miamm je l'adore et je me jette dessus. Marc n'a plus besoin de me guider. Je lèche, suce, pompe. Elle est trop bonne sa queue. Il me l'enfonce bien dans ma gorge et je dégluti à coups rapide pour lui masser le gland, je sais qu'il adore ça.
Eric me demande s'il peut l'enculer. Je lui bien sûr sous Kpote. Il le pose, l dos sur la pierre froide de la table basse et protégé, graissé, il s'enfile en lui. Je regarde bien le visage de Jimmy. Ce dernier ne laisse paraitre que plaisir, aucunes crispations involontaires dues à la pénétration d'un tel sexe dans son cul. Un phénomène mon ptit beur ! Je m'approche et lui donne ma bite à sucer. Sans problème il me la bouffe jusqu'à l'os. Je me penche pour dégager mon cul et Marc vient s'y planter. Trop bon !!
Nous baisons jusqu'à ce qu'Eric sorte en urgence du cul de Jimmy, dkpote et arrose ce dernier de sperme. La pression était telle que j'en ai reçu sur mes propres abdos. Entre les stimulations buccales et le ramonage de mon cul par mon mec, à mon tour j'ai juté, direct dans l'estomac de Jimmy. Les spasmes de mon anus ont eu raison de Marc et je l'ai senti me doser4 ou 5 fois.
Au retour des douches, nous avons trouvé le dîner prêt, Ammed au service. Quand Marc a fait la remarque à Samir que ce n'était pas dans le deal, ils ont répondus en coeur que c'était pour leur plaisir.
Pour la soirée, nous allons au donjon. Après que nous l'ayons tous enculé l'un après l'autre en taille croissante (moi, Marc puis Eric), je l'ai fait chevaucher notre selle spéciale agrémenté de notre plus gros gode (le 28 x 7). Debout sur les étriers, la rondelle et le gode couvert de graisse, il s'est assis dessus à mon commandement. Tous les trois autour nous n'avions d'yeux que pour sa rondelle martyrisée. En fait nous l'avons vue se déplisser et s'ouvrir pour avaler le monstre jusqu'à ce que ses fesses se posent sur le cuir. Superbe spectacle. Eric me dit qu'il était prêt pour mes clients, vu la facilité avec laquelle il s'était enfoncé ce monstre dans le cul. Marc et convint et j'ai acquiescé.
Nous l'avons laissé faire quelques va et vient avant qu'Eric le soulève et les jambes un peu écartées, l'enfile sur sa propre bite. Automatiquement les jambes de Jimmy sont venues ceinturer la taille de son enculeur. Vu le faible poids de Jimmy et la force d'Eric, ils gardent la position quelques instants.
Quand Eric se couche sur un tatami, Jimmy place ces genoux de part et d'autre de la taille d'Eric pour continuer à se faire enculer. Je m'approche et glisse deux doigts le long de la bite d'Eric, ça rentre. Je m'agenouille et pose mon gland sous la couronne de celui d'Eric lors d'un " va " et profite du " vient " pour pénétrer Jimmy. Son anus s'ouvre sous notre poussée commune et il nous accepte tous les deux. L'anneau serre bien l'ensemble de nos deux bites. µJimmy souffle un peu mais reste tout sourire. Je lui demande s'il a mal, il me répond que c'est juste étrange comme sensation. Mes frottements contre la bite d'Eric, le fait exploser dans sa kpote. Je bascule en arrière entrainant avec moi Jimmy pour dégager et déculer Eric.
Marc prend place et nous reprenons nos positions. Marc dos sur le tatami, Jimmy à cheval planté sur les 22cm de bite et moi derrière à ajouter mes 20cm dans son cul.
Nous le laissons gérer. De lui-même il se lime sur nos bites réunies. Marc lui fait sucer deux doigts, il fait cela façon très salope ! Nous ne tenons bientôt plus et Marc et moi lui larguons nos réserves de foutre dans le boyau.
Je m'écroule sur son dos et Marc porte tout le poids. Naturellement nous sortons de son intimité. Son anus suit notre " débandade " et se referme juste nos glands sortis.
Douches, puis je le conduis à sa nouvelle chambre. Samir est en train d'enculer Ammed dans le séjour. Ils s'excusent. Mais je leur dis qe c'est moi qui suis entré chez eux sans prévenir, donc y'a pas de problème et en plus ils sont très beaux à voir ! Je pousse Jimmy jusqu'à sa chambre et lui dis de laisser son tonton tranquille. En repassant dans le salon, je ne peux m'en pécher de caresser le dos de Samir qui commence à se couvrir de sueur. Il tourne la tête vers moi et me propose de rester avec eux quelques instants. Je lui fais un bisou sur les lèvres, le remercie mais ne m'attarde pas.
Quand je rejoins Marc, je lui raconte. Il me demande pourquoi je ne suis pas resté. Je lui dis que pour aujourd'hui les autres ça suffisait, je voulais juste rester collé à lui toute la nuit !
JARDINIER
Tumblr media
~~
Tumblr media
+
Tumblr media
15 notes · View notes
bicheco · 2 months
Text
- Bicheco posso farti un test?
- Prego, tanto non ho un organo genitale maschile da fare
- Sei l'uomo degli eufemismi
- Anche quello, ma non solo. Vai con il test.
- È un test importante, quasi un testone, quindi pensaci bene prima di rispondere
- Io penso sempre bene prima di rispondere, e anche dopo aver risposto continuo a pensare bene
- Vabbè, andiamo avanti. Allora in questo test sei chiamato a fare una scelta.
- Ottimo, io amo le scelte e le scelte amano me, anzi le prescelte. Non so se hai colto la raffinata allusio...
- Sì l'ho colta, ma avrei preferito di no. Dicevamo, una scelta tra due opzioni.
- Fantastico, io adoro le opzioni e le opz...
- Bichè, cazzo di Buddha, fammi finire.
- Ok, però you are very permalos!
- Due opzioni: da una parte hai un pulsante rosso che farebbe scoppiare una guerra termonucleare che annienterebbe l'intero mondo ponendo fine alla razza umana. E dall'altra c'è ...
- Ti interrompo subito: premo il pulsante! Senza discussioni
- Non vuoi sapere l'altra ipotesi?
- È qualcosa di peggiore dell'estinzione dell'intera razza umana?
- No, è invece la poss...
- Pulsante rosso!!! Dove sta sto pulsante che lo premo adesso?! Portatemelo.
- Non esiste, era solo un test. Comunque bicheco mio, stai incarognito parecchio con l'universo, che ti è successo, che ti hanno fatto?
- Te lo dirò in un altro post. Per il momento ribadisco: pulsante rosso.
- Abbiamo capito. Ti và un caffè, così ti calmi un po'?
- Il caffè mi rende nervoso. Facciamo una bella bomba.... con la crema!
- A te ti salva l'ironia, sennò saresti da rinchiudere. Andiamo al bar va'.
- Ovviamente offri tu.
- Ovviamente. Ah, voi di Tumblr che siete arrivati a leggere fin qui, mettete il like. Grazie.
14 notes · View notes
vuotipienidite · 8 months
Text
ci siamo scelti
tra un’infinità di prime volte insieme
e spazi vuoti da riempire,
tu con la tua spontaneità sempre pronta a stupirmi
io con le mie parole che spesso ti sanno cullare.
unici ed infiniti,
proprio come numeri primi
che possono essere divisi solo uno, per una persona sola
(io per te, tu per me)
o per se stessi
proprio come noi quando cadiamo giù
e ci spezziamo soli per non volerci spezzare in due.
proprio come numeri primi,
infiniti e indivisibili,
non abbiamo fine se mi baci
quando mi tieni tanto stretto nei tuoi occhi
da rendere i miei solo uno specchio per la tua bellezza.
tu che sei la prima persona della mia vita
con cui vorrei aver sempre torto
e vorrei darti sempre ragione
anche se sono un dannatissimo testone,
tu che sei la prima persona che mi apre dentro ma solo per poi chiudersi in me,
tu che sei la prima persona che è la mia poesia e fa di me poesia,
tu che sei l’intera mia voce del cuore quando resto in silenzio,
tu
l’unica eterna mia luce,
il mio numero primo,
la prima,
la prima vera,
la primavera.
ed io che mi sento così matto ogni volta ti ho accanto
da pensare che se amare te è follia
non vorrei mai guarire da questa malattia.
18 notes · View notes
seoul-italybts · 1 month
Text
[✎ ITA] W Korea : V, Intervista per il Rilascio di 'FRI(END)S' | 21.03.24⠸
Tumblr media
__ “Tornerò presto”
Taehyung x W Korea
- Intervista per il rilascio di 'FRI(END)S' -
youtube
d. Dicci, come sono andate e cosa ne pensi delle promozioni per il tuo primo album solista?
Taehyung: Spero le persone che amano la musica lo apprezzeranno. Sono molto soddisfatto delle promozioni.
d. C'è qualche motivo particolare dietro al rilascio singolo di ognuna delle tracce?
Taehyung: Credo di aver infuso un po' della mia storia in ognuna delle canzoni, quindi invece che raggrupparle tutte insieme, spero le ascolterete individualmente, una ad una... Invece che tutte insieme in un sol colpo, tipo ta-ta-ta-dak!
d. Riguardo 'FRI(END)S'
Taehyung: Inizialmente, 'FRI(END)S' doveva essere inclusa in 'Layover', ma ho pensato sarebbe stato meglio rilasciarla separatamente. Quindi l'ho messa da parte ed è stata lì per circa 2 anni. Ecco perché l'ho rilasciata solo ora. È un brano che risveglia molti ricordi. L'ho ascoltata con gli amici e gli hyung più stretti e ho detto loro che volevo assolutamente rilasciarla, prima o poi. E ora è uscita.
d. La tua parte preferita [in 'FRI(END)S']?
Taehyung: “But once we cross the line / There's no denying you and / I can never turn around” [* Ma una volta superata quella linea / Non possiamo più negarlo, tu ed / Io non potremo più tornare indietro]. Sono versi dalla seconda strofa. In questa parte, c'è un vocalizzo che non uso spesso, e c'è anche un leggero cambio di tonalità che però fa una gran differenza, stilisticamente. È come una boccata d'aria fresca, quindi mi piace molto.
d. [Domande con la compitazione di 'FRI(END)S']
F per FIRST __ Cosa ti viene in mente quando senti la parola 'first ( primə)''?
Taehyung: La nostra prima esibizione, il nostro showcase... Abbiamo debuttato attraverso uno showcase. Non ci saranno state neppure 100 persone, quel giorno. E non esisteva neanche ancora il nome ufficiale 'ARMY'. Sul serio, mi piacerebbe tornare a quel periodo. Non ho mai provato tanta agitazione come quel giorno.
d. R per RE-(wind) __Il momento cui vorresti tornare?
Taehyung: Mi piacerebbe tornare alla mia infanzia, al primo anno di scuole medie. Ero un tale testone. Vorrei tornare ad essere quel ragazzino impertinente e sregolato.
d. I per IDENTITÀ __Che differenze ci sono tra V e Kim Taehyung?
Taehyung: Credo fondamentalmente la personalità sia la stessa, desideriamo e lavoriamo entrambi per realizzare obiettivi simili e la pensiamo anche allo stesso modo. Ma V è come una sorta di personaggio, è un alter ego creato da Kim Taehyung. Cioè, V ad esempio non mangia.. V esiste solamente sul palco. Quando scendo dal palco, torno ad essere Kim Taehyung.
d. E per EGO __ Qual è il punto di forza del tuo io interiore?
Taehyung: Il mio orgoglio. Ciò di cui vado fiero: il mio lavoro, il gruppo e le/i fan... Ogni volta che ci esibiamo, lo faccio con orgoglio. Amo me stesso così come amo ciò che faccio.
d. N per NEED (bisogno) __ Di cosa hai più bisogno al momento?
Taehyung: Di tempo. 24 ore al giorno non bastano. Nei giorni lavorativi, non faccio altro che lavorare e non mi rimane molto tempo per rilassarmi. Ho poco tempo anche per riposare e dormire. Di tanto in tanto, mi chiedo come sarebbe avere più tempo in una giornata.
d. D per DRAMA __ Se la tua vita fosse un drama, che genere sarebbe?
Taehyung: Credo sarebbe una commedia nera.
d. S per SPECIALE __ Ciò che vorresti dire a qualcuno di speciale?
Taehyung: [ai BTS] Al momento siamo distanti e manca ancora parecchio, ma fino al giorno in cui ci riuniremo, cerchiamo di riguardarci, essere felici e raccogliere le energie e allenare il fisico così da non restare senza fiato quando ci esibiremo in concerto. Quello che mi preoccupa di più, in tal senso, però sono io. Farò del mio meglio.
⠸ ita : © Seoul_ItalyBTS ⠸
6 notes · View notes
HCS-La Squadra’s Dictionary, where are they from? Part 2
Part 1 Melone and Ghiaccio
Formaggio; Illuso
Formaggio
Lazio, (Rome)
Tumblr media
Formaggio was born in the Centocelle district.
Knows how to properly cook 'Carbonara' and 'Spaghetti cacio e pepe'
Romanesco D.O.C
Says "AÒ" to start EVERY sentence.
Definitely NOT from Roma-Nord.
When He was a teen, Formaggio used to hang out in the Parioli district, only to bang a couple of young chicks from rich families.
Definitely NOT a Pariolino. (a native or inhabitant of Parioli · (informal) a person with a bourgeois standard of living and right-of-centre politics.)
Favourite expressions (dialect)
"Daje!" (Let's do this!/let's go)
"'Ndo cojo cojo." (I don't really know what I'm doing but I'm doing it.)
"Stacce." (It's the way it is. Whether you like it or not)
"Che tajo!" (So cool!)
"M'arimbarza." (I don't care.)
"ME STO A TAJÀ!" (I'm dying of laughter!)
"Stai a sgravà." (You got it all wrong)
"Me stai a cojonà?" (Who are you trying to fool?)
"Accanna. Accanna i gheims." ( Whatever you're doing. Stop it.)
"È na crema" (that's top notch)
"FIODENA" ( Linguistic contraction for "fio de 'na mignotta", son of a bitch.)
"Lo sto a fà" ( literally means: 'I'm going to do that' but it's used to express the opposite: 'Don't kid yourself, I'm not going to do that.)
"L'ho già fatto." (Now I'm DEFINITELY not going to do that)
"Sta pischella m'assangua." (I really like this girl.)
"Te dò una pizza che t'arestano pe' vagabondaggio!" (I'm gonna slap you out of this world.)
"Sei proprio da 'a Lazio." (This is the worst thing a Romano could say to anybody.)
"Mecojoni." (Damn)
"LI MORTACCI TUA" (Go fuck yourself)
"MANNAGGIA AR CORE DE CRISTO!" (Blasphemy)
Formaggio praising Illuso's cunningness
"Sei tarmente fijo de 'na mignotta che li papponi te stanno a cercà pe' offritte 'n lavoro."
(You son of bitch, you did it again.)
Formaggio driving with Ghiaccio
"AO', ma che è bisestile 'sto semaforo?"
(This red light is lasting more than 'Beautiful People')
Ghiaccio:"tasi diocancaro."
(Shut the fuck up.)
Formaggio criticizing Melone's babyface
"Sta maghina è pormonitica. Che c'hai preso un virus pe vedè tutto quer porno?"
(This thing is so slow. Are you sure you didn't catch a virus watching all that porn?)
Melone:"Boia deh, Un se po' lavorà 'hosì."
(For god's sake, I can't work like this.)
Bonus: Monetary Units in Romanesco
'NA PIOTTA /PAIOT: monetary unit corresponding to 100 lire or 100.000 lire.
UN MILLANTE/UN SACCO: monetary unit corresponding to 1.000 lire.
'NO SCUDO: monetary unit corresponding to 5,000 lire.
'NA FELLA: monetary unit corresponding to 100.000 lire.
'N BOCCOLONE/'N TESTONE/'NA BRANDA/'NA FRONDA: monetary unit corresponding to 1.000.000 lire.
Illuso
Piedmont, (Turin)
Tumblr media
He was born in Turin, but also worked as a model in Milan during his teenage years.
Illuso loves Milan but is always second to Turin.
Adds "già" at the end of every question.
"Roma provincia, Torino capitale" (Rome is a province, Turin the capital.) says EVERY Torinese ever. This sentence is written on many walls in Turin.
Anything under the 'Po' river' is 'Africa'.
Constantly harasses his teammates from the South by saying " Sotto al Po', tutti terroni".
Would never directly call Risotto 'terrone' (and neither would Ghiaccio) cause it may sound pretty offensive.
Illuso drinks the 'tamango' a cocktail with rumored hallucinogenic abilities that everyone loves.
Always argues with Ghiaccio that "Le Panche" Cocktail bar is better than any "Bacaro Tour".
Almost died when a GTT bus caught fire. This happens at the rate of one every 6 months.
Illuso is fond of 'Cri Cri' , hazelnut chocolate candies covered in sugar granules.
He heard that they are going to held '2006 Winter Olympics' in Turin and he's totally bragging it with Formaggio.
"Roma? Dove stava Roma già? È forse una provincia?" (Rome? I don't know her. Is it some kind of province?)
Favourite expressions (dialect)
"Non mi oso/non si osa." (I would never.)
"Com'è?" (how are you?)
"Ziofa." (filler word.)
"Boja faùss." (this clever imprecation historically substitutes a terrible blasphemy)
" Vate caté na mola!" (Go fuck yourself!)
"Fatti furbo." ( Get a grip/ stop talking nonsense.)
"Boh." ( I don't know.)
"Neh." ( True dat.)
"E bon." (That's it.)
"Piciu!" (dumbfuck!)
"Pirla!" (Milanese version of 'piciu')
"Preso bene/male." (I'm having/NOT having fun)
"Facciamo che..." (Let's...)
"Mica hai voglia di..." (Would you mind...)
"Oh basta là." (Quit it!)
"Cerea." (Goodbye)
70 notes · View notes
pu-ni · 8 months
Text
Nella vita sto scoprendo che è qualcosa di veramente difficile cambiare lavoro, scuola, città.... è troppo impegnativo, rimanere con gli amici, seguire gli studi. Avere tempo per te. Mettere assieme tutte le cose in solo ventiquattro ore. Ci vuole un testone, non mi sento pronta ma intanto mi levo i problemi che non farmi altro che fermarmi allo start. Non voglio vedermi lì in un futuro con i capelli bianchi e risucchiata dalla società per un blocco mentale
2 notes · View notes
vaginosibatterica · 2 years
Text
Oggi ho riempito un sacchetto di caramelle gommose (polpi zuccherati, vermetti gommosi, api frizzole); sono salita su per il campanile della città tirandomi giù la gonna ad ogni gradino e mi sono un po' spaventata quando le grosse campane in ferro battuto sopra la mia testa hanno iniziato a suonare. Ho trovato un posto immerso nel verde che mi piace: per dare un'idea di quanto sia difficile trovare del verde in cui starsene in pace senza dover camminare per ore, segnalo che le piante avevano tutte un cartellino. I pruriginosi morsi di insetti sulle mie gambe però dimostrano che perlomeno erano vere.
Al tavolo accanto un gruppetto di liceali ripeteva storia per l'esame di stato, io mi sono messa a leggere. Ho mangiato un pezzo di pan focaccia, ho dato molti baci. Ho fatto questa cosa vergognosa che è fotografarmi sorridente accanto ad una lunga sfilza di auto costose, tutte col simbolo giallo del cavallino sul cofano, e l'ho mandata a mio padre sperando fosse l'esca giusta perché rispondesse ai miei messaggi, cosa che non fa da più di un mese... Non ha funzionato :-(
Mentre guardavo affascinata i fiori di un giardino ho notato in un angolo nascosto tra i vasi un uomo di mezza età piccoletto con un grosso paio di guanti rossi: all'inizio ho pensato fosse il giardiniere, e mi sono per un po' chiesta quanto sarebbe stato sconveniente fargli i miei complimenti per le rose ed i gerani venuti su così alti e belli, poi però l'ho visto prendere piano piano le sembianze (il testone, la tuta di peluches) di Topolino e mettersi in un vicolo a fare le foto con i bambini per cinque euro.
Luca mi ha cucinato un piatto di spaghetti aglio e olio che abbiamo mangiato sul tavolo nel balcone. Il dirimpettaio che alla stessa ora si è messo a stendere i panni bagnati ci ha guardato un po' straniti. Credo sia perché nel balcone accanto, separato da un'alta rete, ogni centimetro del pavimento è coperto da sacchi della spazzatura lasciati a macerare da giorni da vicini non molto ligi alla suddivisione settimanale della raccolta differenziata.
#r
16 notes · View notes
jazzluca · 1 year
Text
DINOBOT SLUDGE ( Core ) Legacy EVOLUTION
Tumblr media
Quando nella recensione di Slug mi riferivo al fatto che i nuovi Dinobot Core di Legacy Evolution ad una prima occhiata parevano quantomeno sgraziati, diciamo che ce l'avevo sopratutto con uno in particolare, ovvero il buon SLUDGE, il quale per via della sua natura di Combiner del piccolo Volcanicus, sacrifica non poco l'estetica per una soluzione davvero... interessante delle sue modalità principali! ^^'
Tumblr media
Il ROBOT cerca infatti ovviamente di essere fedele all'iconografia classica del personaggio, e la scultura in generale è buona, sopratutto la testa, così come anche qui la colorazione è essenziale ed azzecata, col petto rosso, bacino, pugni e pannello centrale del torso neri, piedi dorati e faccia argentata... MA fa specie davvero le braccia così allargate rispetto al busto, per far posto praticamente alle zampe posteriori del dinosauro che di norma sono appese ai lati delle gambe ma che qui invece le sostengono proprio, come collegamento fra loro ed il bacino!!
Una scelta ovviamente basata sulla sua modalità combiner, quantomeno innovativa ma che sgrazia non poco la figura del robot, con ste zampone enormi sui fianchi, e fa davvero strano che appunto le cosce siano letteralmente staccate dal bacino, ma le gambe possano comunque muoversi classicamente, con tanto di pannello delle "mutande" sollevabile!
Tumblr media
La posabilità è la stessa del collega Slug, quindi, con le braccia rigide ai gomiti ma con balljoint sulle spalle, la possibilità di ruotare testa e bacino ( questa diciamo necessaria per il gestalt ) e per le gambe ho già detto sopra.
Tornando ai, uhm, lati positivi, a parte i difettoni estetici di qui sopra, ribadisco che il robot assomiglia assai al G1 classico, con tanto di testone del brontosauro dietro la schiena, così come ci sono le classiche ali, praticamente, solo che sono fuse alle braccia! ^^' "Interessanti" pure le gambe, che non sono vuote viste da dietro ma solo nelle parti interne verso il piede, per via della TRASFORMAZIONE.
Tumblr media
Questa è praticamente identica al G1, a parte le braccia che non diventano zampe anteriori, ma che seguono lo schema delle "ali" andando a chiudersi verso il petto, con le zampe che poi appaiono comunque dopo quest'azione; il bacino anche qui ruota e le gambe si ripegano classicamente, andando ad inglobare le braccia in un movimento che di primo acchito pare sia innaturale ma poi si infilano senza difficoltà.
Tumblr media
Il BRONTOSAURO robotico ... beh, da un lato è più compatto rispetto al triceratopo di Slug Core, giusto per paragonarlo doverosamente al collega, ma in pratica è solo una statuina che ricorda una versione di Bronto con didietro sproporzionato rispetto alle parti anteriori! ^^'
Tumblr media
Ok, carina la scultura ed i dettagli anche sulle ali argentate, e testa dorata, ma appunto perde del tutto il confronto col compagno Tricex, anche a livello di massa risultando più piccino del sauro coi corni. Avrebbe aiutato, chessò, magari la coda un po' più lunga, e magari come accessorio a parte / arma, visto che il nostro ne è del tutto sprovvisto.
Tumblr media
Poco altro da dire, insomma, e passiamo quindi direttamente al piatto principale, ovvero alla modalità combinata che lo rende STOMACO, BACINO, COSCE e financo parte esterna del petto di VOLCANICUS. Per farlo, bisogna partire dal robot e semplicemente alzare le braccia e ruotare le gambe all'infuori di 90° e piegarle poi in sù,  attaccando infine il pannello della coda di Slug sul foro nel petto, per poi agganciarlo al collega tramite le spine di questo sui fori fra testa e braccia di Bronto, così come si saldano assieme le braccia dei due.
Tumblr media
L'aggancio è davvero bello solido, non c'è che dire, e i due diventano un corpo unico, con Sludge che fa il grosso del lavoro, non solo come parte inferiore con tanto di cosce del piccolo gestalt, come dicevo, ma anche parte esterna del petto con i fori appositi che poi serviranno per agganciare i due Dinobot che diverranno le braccia. Grazie a ciò viene quindi giustificata la bruttezza del nostro Bronto nelle sue modalità principali, sacrificate alla grande per quella portante di Volcanicus.
Il torso del gestalt Dinobot si presenta ora quindi completamente, esibendo articolabilità alle cosce e la rotazione del bacino, anche se il retro di Tricex sulla schiena è ancora una signora zainata ingombrante.
Tumblr media
Peccato per le gambe inferiori di Sludge ai lati delle cosce di Volcanicus, che danno un po' fastidio sia esteticamente sia quando c'è da attaccargli gli arti del Junkion Scraphook, dato che il novello modello di Weaponizer sulla carta nasce apposta anche per interagire con il piccolo gestalt, solo che appunto per le gambe c'è questo summenzionato intralcio ( risolvibile ruotando il bacino di Volcanicus, ma rovinando così l'estetica ), così come i fori per le braccia sono un po' infossati, rendendo un po' sprecato metterci gli arti di un Deluxe.
Volcanicus, per quanto piccino, a occhio sarà alto quasi quanto un Voyager, quindi, in attesa degli altri Dinobot o in sostituzione degli stessi, per renderlo meno ridicolo ci vorrà semmai un Junkion di quella classe, cosa che al momento pare ancora confusa a livello delle liste ufficiosa trapelate dai soliti leak.
Tumblr media
Ma disquisizioni junkionane a parte, tornando al nostro Sludge, diciamo che preso così non lo consiglierei manco al fan più sfegato del Dinobot dal collo lungo, ma nell'ottica della collezione del team e della composizione di Volcanicus, è ovviamente imprenscindibile, salvo mettere per forza di cose le mani avanti sulle motiviazioni della sua resa estetica tutt'altro che eccelsa.
2 notes · View notes
givemeanorigami · 2 years
Text
Per quel "voglio una femmina", poi arrivasti tu, piccolo e tozzo, a mordermi i sabot, quelli azzurri e grigi che facesti in mille pezzi poco tempo dopo; arrivasti tu il maschio più testone, buffo, furbo, buono mai conosciuto e che mi ha scelto come mai nessun altro potrà fare. Per quella prima notte a casa, quando mi svegliarono di prima mattina perché piangevi e ti calmasti solo quando mi misi sul divano con un braccio a penzoloni, ad accarezzarti. Per quel gelato che mi facesti cadere, per quella volta che mi saltasti in braccio dopo essere scappato, per le lacrime che hai leccato via negli anni e per tutte le volte che, rientrando a casa tardi, battevi la coda per terra quasi a dire "ah, sei tornata? Alla buon ora!". Per quando diventavi la mia ombra se stavo via per più di due giorni, per tutto il cibo rubato e quello diviso. Per quella volta che dormisti ai piedi divano in quella prima notte a casa dopo essermi sfasciata una gamba e per quanto fosti bravo in quei lunghi mesi di stampelle. Per tutte quelle volte che bisticciavamo perché non stavi fermo a farti mettere la pettorina, per quando all'ultimo eri diventato bravissimo, per tutte le volte che ti sei messo sulla porta di camera mia e io non potevo chiuderla per andare a dormire senza doverti spostare. Per tutti quei ricordi e momenti che non so mettere giù a parole, grazie. Infinite volte grazie per avermi scelto, non poteva esserci nessun altro cane se non tu (e forse non ci sarà mai).
C'era una vita prima di te, ma io non la ricordo e questa dopo, senza le tue zampe sul parquet, mi sembra già troppo silenziosa.
Buon ponte, amico mio.
Tumblr media Tumblr media
2 notes · View notes
pettirosso1959 · 2 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Da Davide Teston:
Oggi ho sentito alla radio che la mimosa è fiorita in largo anticipo. Mah...
La mimosa: la si dovrebbe regalare alle donne l'8 di Marzo ma per quella data è orrenda perché sfiorita. E non da quest'anno. È sempre stato così. Mi ricordo che più di 35 anni fa con un mio compagno di scuola ne portammo un mazzolino a testa a compagne di classe e professoresse (in un ignobile gesto di paraculaggine): ma l'8 Marzo oltre ad avere il consueto odore di piscio aveva anche un colore simil-merdina essendo più vicino al marrone che al giallo.
E visto che si parla di scuola vi rammento una poesia di Ungaretti datata 1959, "Ultimi cori per la terra promessa".
Ogni anno, mentre scopro che FEBBRAIO
è sensitivo e, per pudore, torbido,
Con minuto fiorire, gialla irrompe
La MIMOSA.
S'inquadra alla finestra
Di quella mia dimora d'una volta,
Di questa dove passo gli anni vecchi.
1959. Febbraio. Mimosa.
0 notes
gaytamorfosi · 5 months
Text
Puoi stare con me
🇮🇹 ("You can stay with Me" Italian Version)
Tumblr media
Massimo beveva il suo caffè in piedi, nel mezzo del salotto, fissava gli oggetti che aveva appena acquistato per decorare il suo piccolo appartamento in centro a Milano. Quella casetta era costata un patrimonio, ma almeno ora abitava vicino alla banca dove lavorava. L'arredatore aveva fatto un ottimo lavoro, l'appartamento sembrava uscito da una foto in un catalogo di mobili, in più lo stile curato e l'ossessione per la pulizia di Massimo facevano si che l'appartamento restasse sempre perfetto, come nuovo. La vita di Massimo si divideva tra il lavoro e quel piccolo appartamento vuoto. Anche se lo spazio a disposizione era davvero poco, Massimo l'avrebbe condiviso molto volentieri, da tempo sognava una relazione, ma all'alba dei 45 anni il povero impiegato aveva smesso di fantasticare, anche perché le sue relazioni (nei rari casi in cui prendevano il via) non duravano più di qualche uscita. Massimo aveva qualche parente (che sentiva di rado) e un gruppetto di amici, al quale molto raramente si univa qualcun'altro.
Quel venerdì sera il piccolo gruppetto di amici di Massimo lo aveva invitato ad uscire per una pizza, ma era stata una giornata pesante e massimo non aveva voglia di uscire con le solite persone per sentire i soliti discorsi, men che meno davanti ad una fetta di pizza grassa e unta. Massimo digiunava spesso, aveva un rapporto complicato col cibo. Il suo fisico era gracile e sottile, talvolta la gente guardandolo si domandava come facesse un corpo così asciutto a reggere quel testone pieno di capelli neri. Massimo si sbarbava e si depilava: le strade di Milano pull lavano di ragazzi giovani, belli, magri, che godevano di ciò che la natura gli aveva donato. Massimo aveva rincorso per anni quell'ideale di bellezza, ma alla sua età ormai risultava quasi grottesco nell'incaponirsi a quel modo, limando e limitando la sua quel corpo minuto. Massimo era stato un ragazzino in carne ed aveva il terrore di tornare ad esserlo, il suo corpo avrebbe preso massa senza troppa fatica se lui non si fosse posto tutte quelle limitazioni; il suo corpo era come una quercia alla quale avevano riservato il trattamento di un bonsai, tagliando tutti i rami e senza dargli la possibilità di crescere.
All'una di notte una notifica interruppe la musica, che Massimo teneva come sottofondo da ore con la sua cassa Bluetooth. Nel gruppo di whatsapp "amici" Paride aveva scritto: "Ragazzi, ho perso l'ultimo treno, mi sa che devo vedere se passa un pullman sostitutivo o se riesco a chiamare un taxi". Paride non usciva sempre con Massimo e i suoi amici, perché abitava in provincia e doveva prendere il treno per raggiungere il centro di Milano. Era un ragazzo di 28 anni, non troppo alto, un po' in carne ma con un bel viso. Era un ragazzo educato e gentile, a Massimo piaceva molto ma sapeva di non avere chance con lui, perché Paride aveva una relazione con un altro ragazzo da alcuni anni, una relazione praticamente perfetta, se il matrimonio tra due uomini in Italia fosse stato legale quei due sicuramente sarebbero stati sposati. 
Tumblr media
Massimo era dispiaciuto di essersi perso un’uscita in cui c'era anche Paride, ma forse la fortuna quella sera gli aveva donato la rarissima possibilità di passare un po' di tempo da solo con lui. "Se vuoi puoi dormire qui da me" scrisse Massimo sul gruppo, arrossendo. Paride e Massimo, anche se ormai si conoscevano da anni, non avevano mai passato del tempo assieme da soli, c'era sempre anche il ragazzo di Paride o qualche altro amico. Oltre a questo Massimo era molto timido e raramente si inseriva nei discorsi degli amici, quindi se si era in gruppo Paride lo guardava a malapena. 
"Magari! Grazie mille Massimo, sto arrivando"
Dopo 25 minuti, che a Massimo erano sembrati un’eternità, Paride suonò il campanello e Massimo aprì la porta. Paride entrando si sfilò le scarpe, era già stato a casa di Massimo e sapeva bene che quella era la regola a casa sua, perché Massimo detestava lo sporco. Entrare in casa di Massimo per Paride era sempre un po' come entrare in un santuario, aveva il terrore di rompere o sporcare qualcosa, il solo respirare lo faceva sentire fuori luogo. Dopo qualche tiepido convenevole Massimo invitò Paride a sedere sul divano, la conversazione si esaurì immediatamente e piombò un silenzio imbarazzante. 
"Vuoi qualcosa da bere o da mangiare?" 
"Solo un bicchiere d'acqua, grazie, la pizza mi ha messo sete"
Paride bevve lentamente, tentando di colmare quel silenzio che pareva sospeso nel tempo. "Dormo qui?" disse Paride indicando un materassino gonfiabile preparato a dovere con lenzuola, cuscini e coperte. Il ragazzo solitamente era spigliato quando chiacchierava a con gli amici, ora invece sembrava quasi in imbarazzo. Anziché i suoi occhi, Paride fissava i piedi sottili dell'amico, abbracciati da due calzini bianchi e rossi dal tessuto sottile. Paride aveva un debole per i piedi maschili, non era proprio un fetish, ma c'era una sorta di attrazione. Distogliendo lo sguardo dalle calze e ponendolo a caso sul televisore spento pensò: "Chissà se questa cosa di far levare le scarpe agli ospiti è una scusa per vederli senza scarpe", poi si sforzò di pensare ad altro. "Se preferisci ti lascio la camera da letto, ho già cambiato le lenzuola" disse Massimo. L'immagine di Paride nel suo letto era eccitante per Massimo, anche se sapeva bene che non avrebbe osato unirsi a lui.
-No, questo materasso andrà benissimo, non voglio essere invadente.
-Sicuro?
-Si, mi fai già un grande regalo a farmi restare qui.
Massimo nel suo letto si addormentò a fatica, non ricordava l'ultima volta in cui un ragazzo si era fermato da lui a dormire; Paride non si era fermato per trascorrere la notte con lui, eppure Massimo era emozionato che lui fosse lì, in casa sua. Verso le tre del mattino Massimo si svegliò di soprassalto: Paride si stava infilando nel suo letto. "Che succede?" Chiese Massimo, "Scusa, non volevo svegliarti, mi sa che il materasso è forato, ti da fastidio se dormo qui?" Rispose Paride. 
-tranquillo, vieni, ti faccio spazio.
-grazie, scusami ancora, alla fine sono stato ancora più invadente di quanto pensassi
-scusami tu, non immaginavo che il materasso fosse forato.
Paride si infilò tremante nel letto, la sua pelle era gelata perché il pavimento era freddissimo, si accoccolò là dove il corpo di Massimo aveva scaldato le lenzuola. Il cuore di Massimo martellava come una grancassa nel suo gracile petto, era terrorizzato all'idea che Paride potesse sentirlo. Massimo non fece nemmeno in tempo a chiedersi perché il ragazzo non avesse scelto di spostarsi sul divano, il sangue lentamente abbandonava il cervello per colmare un'erezione pulsante, assai difficile da nascondere quando si divide il letto con un'altra persona.
Paride fingeva di avere già preso sonno, ma il fatto di dividere il letto con un uomo che non era il suo fidanzato non lasciava indifferente neanche lui. L'immagine dei piedi sottili di Massimo si ripresentava nella sua testa in continuazione, erano talmente perfetti, sembravano usciti da un disegno. Passavano i minuti, nella stanza regnava un silenzio tale da sembrare tangibile, vivo, come se il silenzio fosse una terza persona, che doveva prendersi il suo spazio e manifestare prepotentemente la sua presenza.
"Vorrei che non ci fosse questo imbarazzo, vorrei che il nostro rapporto fosse diverso" pensarono entrambi.
È nei momenti più impensabili che avvengono le cose più incredibili.
Mentre Massimo tentava di girarsi per nascondere l'erezione il suo piede sfiorò quello di Paride, che tentò di allontanarlo, ma muovendo la gamba per errore la infilò tra quelle di Massimo, accorgendosi che il padrone di casa era piuttosto eccitato. "Scusa" dissero in coro. "Ho tentato di trattenermi ma non posso farci nulla" aggiunse Massimo. "Lo prendo come un complimento" disse Paride trattenendo a stento una risata. "Chi l'avrebbe mai detto che eri così ben messo" disse Paride, "Un corpo così minuto abbinato a un pene così grande e invadente, bisognerebbe correggere le tue proporzioni". Da dove era uscita un'affermazione tanto assurda? Paride non poteva lasciare che il silenzio cadesse proprio in quel momento, l'imbarazzo sarebbe tornato e sarebbe stato molto più insopportabile di prima, quindi decise di continuare a parlare: "In realtà sei già abbastanza alto, ha senso che il tuo pene sia più grosso rispetto alla media". Massimo voleva sprofondare in quel letto, la vergogna lo stava divorando, non si accorse che il suo membro aveva iniziato a crescere più di quanto non facesse con una normale erezione, sembrava ubbidire alla fantasia di Paride come un soldato ben disciplinato. "Dovresti essere il tipo di persona che mangia in abbondanza e lavora per mettere su massa muscolare, perché quell'affare su un corpo tanto magro stona". Il corpo di Massimo si gonfiò; litri di sangue caldo e pulsante corsero lungo le fibre dei suoi muscoli, che moltiplicavano la loro dimensione di secondo in secondo. Massimo sembrava una persona diversa, non sembrava più un fuscello disidratato, ma era molto più simile alla quercia che la genetica gli avrebbe permesso di diventare, se solo non avesse saltato i pasti e si fosse iscritto in palestra. "Anche il tuo carattere andrebbe cambiato, dovresti essere un po' più audace, determinato, esigente e ambizioso".
Tumblr media
Un improvviso desiderio di rivalsa si accese dentro di Massimo, che ebbe il coraggio di ribattere: "Parli troppo, guarda che nemmeno tu sei perfetto, inizia a perdere qualche chilo". Il corpo di Paride iniziò a fare l'opposto rispetto a quello di Massimo e mentre tutto il peso in eccesso svaniva, la pelle del suo corpo diventava tonica e soda. Paride sembrava sempre di più uno di quei ragazzini tanto invidiati da Massimo. "Parli senza riflettere, sembri un ragazzino tra i 19 e i 20 anni". Paride ringiovanì rapidamente, dimenticando la relazione che aveva da 6 anni. "Ti sei preso troppa confidenza, non accetto commenti del genere da un amico qualsiasi, puoi permetterti di dire cose simili solamente se sei il mio ragazzo".
Tumblr media
Paride accese la luce sul comodino, nessuno dei due si sorprese di vedere l'altro totalmente trasformato. "Di che parlavamo?" Chiese Paride. Massimo ebbe l'impressione di aver discusso, ma non ricordava assolutamente ciò che aveva detto, poi abbassò gli occhi e vide l'erezione pulsante che, nonostante tutto, era ancora lì, più presente che mai. "Adesso ho capito perché mi hai svegliato" disse Paride infilando la mano nelle mutande di Massimo. 
La mattina dopo Paride si svegliò e vide il suo ragazzo, Massimo, mentre si vestiva  
-Vai a lavorare anche oggi?
-Vivere in due in centro a Milano non è economico, lo sai, per questo devo andare.
-Non puoi restare un po' qui con me a letto? Oggi è sabato...
-Ho già detto al mio capo che avrei finito un lavoro lasciato a metà.
-Sei proprio sexy in giacca e cravatta, sai?
Paride allungò le mani verso la cintura che Massimo aveva appena allacciato e iniziò a slacciarla, poi affondò la faccia sul suo pacco. "Non ti è basato quello che abbiamo fatto ieri sera?", disse Massimo mentre si eccitava nuovamente. "Anche tu hai ancora appetito" Rispose Paride con un sorriso malizioso.
------------------------------------------------------------------------------
𝘓𝘦 𝘪𝘮𝘮𝘢𝘨𝘪𝘯𝘪 𝘪𝘯 𝘲𝘶𝘦𝘴𝘵𝘰 𝘱𝘰𝘴𝘵 𝘴𝘰𝘯𝘰 𝘱𝘳𝘰𝘷𝘦𝘯𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪 𝘥𝘢𝘭 𝘸𝘦𝘣 𝘦 𝘢𝘭𝘵𝘦𝘳𝘢𝘵𝘦 𝘨𝘳𝘢𝘻𝘪𝘦 𝘢𝘭𝘭'𝘪𝘯𝘵𝘦𝘭𝘭𝘪𝘨𝘦𝘯𝘻𝘢 𝘢𝘳𝘵𝘪𝘧𝘪𝘤𝘪𝘢𝘭𝘦. 𝘚𝘦 𝘴𝘦𝘪 𝘪𝘯𝘧𝘢𝘴𝘵𝘪𝘥𝘪𝘵𝘰 𝘥𝘢𝘭𝘭𝘢 𝘱𝘳𝘦𝘴𝘦𝘯𝘻𝘢 𝘥𝘪 𝘲𝘶𝘢𝘭𝘤𝘩𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘦𝘯𝘶𝘵𝘰 𝘤𝘩𝘦 𝘳𝘪𝘵𝘪𝘦𝘯𝘪 𝘦𝘴𝘴𝘦𝘳𝘦 𝘥𝘪 𝘵𝘶𝘢 𝘱𝘳𝘰𝘱𝘳𝘪𝘦𝘵à, 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘢𝘵𝘵𝘢𝘮𝘪 𝘱𝘦𝘳 𝘳𝘪𝘮𝘶𝘰𝘷𝘦𝘳𝘭𝘰. 𝘨𝘳𝘢𝘻𝘪𝘦.
------------------------------------------------------------------------------
𝘛𝘩𝘦 𝘪𝘮𝘢𝘨𝘦𝘴 𝘪𝘯 𝘵𝘩𝘪𝘴 𝘱𝘰𝘴𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘦 𝘧𝘳𝘰𝘮 𝘵𝘩𝘦 𝘸𝘦𝘣 𝘢𝘯𝘥 𝘢𝘳𝘦 𝘢𝘭𝘵𝘦𝘳𝘦𝘥 𝘵𝘩𝘢𝘯𝘬𝘴 𝘵𝘰 𝘢𝘳𝘵𝘪𝘧𝘪𝘤𝘪𝘢𝘭 𝘪𝘯𝘵𝘦𝘭𝘭𝘪𝘨𝘦𝘯𝘤𝘦. 𝘐𝘧 𝘺𝘰𝘶 𝘢𝘳𝘦 𝘣𝘰𝘵𝘩𝘦𝘳𝘦𝘥 𝘣𝘺 𝘵𝘩𝘦 𝘱𝘳𝘦𝘴𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘰𝘧 𝘢𝘯𝘺 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘦𝘯𝘵 𝘵𝘩𝘢𝘵 𝘺𝘰𝘶 𝘣𝘦𝘭𝘪𝘦𝘷𝘦 𝘵𝘰 𝘣𝘦 𝘺𝘰𝘶𝘳 𝘱𝘳𝘰𝘱𝘦𝘳𝘵𝘺, 𝘱𝘭𝘦𝘢𝘴𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘢𝘤𝘵 𝘮𝘦 𝘵𝘰 𝘳𝘦𝘮𝘰𝘷𝘦 𝘪𝘵. 𝘛𝘩𝘢𝘯𝘬 𝘺𝘰𝘶.
1 note · View note
sandnerd · 6 months
Text
L'attacco dei giganti - Ep 89 - Peccatori
Eh lo so. Avevo detto "Nei prossimi giorni", eppure ho lasciato passare i mesi, e d'un tratto da che era marzo siamo a novembre, ed ho tranquillamente lasciato arrivare la fine della serie senza aver commentato il penultimo episodio. Ma ciò mi permette di rinfrescarmi la memoria per poter al meglio seguire la fine della fine, l'ultima puntata, l'ultima con la U maiuscola, quella finale, non so se si è capito, ma è la fine, chiaro? Lo scorso episodio è stato letteralmente una pioggia di emozioni, un temporale, un diluvio universale, e tutti i fazzoletti che avevo in casa non sono bastati a placarlo, e tutt'ora rileggendo il mio commento il pianto minacciava di tornare. Ma non possiamo cincischiare con fazzoletti e metafore, abbiamo un lavoro da fare, ossia commentare il penultimo episodio della terza parte della stagione finale dell'attacco dei giganti. E andiamo.
Tumblr media
I nostri eroi sono distrutti dal dolore per il sacrificio di Hange, nessuno spiccica una parola, anche Pieck (ciau Pieck!) che in fin dei conti Hange l'ha conosciuta tipo due giorni prima, capisce quanto è grave l'atmosfera e che non è il caso di disturbarla. Armin intanto fa la conta dei danni causati da quel figlio di buon padre di Flock, che francamente se ci avesse lasciato due episodi fa sarebbe stato meglio, perchè infatti il serbatoio s'è potuto riempire solo a metà e Ymir sola sa se arriveranno a Salta. Ma abbiamo con noi Onyankopon, che dichiara che porterà i nostri eroi a destinazione dovesse costargli la vita; Onyankopon, veramente sei un tenerone, ma se la benzina finisce non è che tu possa fare molto eh. A meno che il velivolo non si possa alimentare a sputo, in quel caso saremmo a cavallo. Ma s'apprezza comunque l'impegno. E conclude dicendo che adesso grava su Armin la responsabilità di risolvere la situazione, tutti quanti contano su di lui. Quasi quasi la vedo la risposta di Armin, "Grazie mille Onyankopon, adesso sì che sono sereno, mi ci voleva questo peso per alleggerire il nervosismo, sei un amico". E facciamolo sto piano.
Tumblr media
Mettiamo di sottofondo la musica di Mission Impossible e torniamo a fare i disegnini col gesso trovato chissà dove, saremo anche in emergenza mondiale, ma un pezzo di gesso per fare i disegnini c'è sempre. Bersaglio della missione è Eren, che ora come ora si è digievoluto in una sorta di cupolone di ossa, o per dirla con le sempiterne parole amorevoli di Levi, in un grosso insetto. Logica vuole che colui che comanda l'ammasso di ossa sia nella collottola della struttura, sono 4 stagioni e passa che tagliamo collottole, ormai me le sogno la notte. Ed invece no, perchè il boss finale deve essere overpower, e se ricordiamo bene, Eren ha inglobato il gigante martello, che ha la squisitissima capacità di spostare la propria coscienza dove cacchio je pare, può pure fare un cordone che raggiunge sotto terra l'estremità opposta del globo e nascondersi lì, e buona fortuna scemi! Ma non complichiamoci la vita, che già siamo messi male così. Dunque a questo punto diventa bersaglio non solo la collottola di Eren, bensì tutto lui. Pieck propone di usare la tattica usata da Armin a Liberio, quando ha ucciso tutti quegli innocenti, piccoli e grandi, vecchi e giovani, uomini e donne, sai quando ha fatto quel massacro, sangue per le strade, gente morta abbrustolita dappertutto…Caspita Pieck, se davi un pugno ad Armin facevi meno male. Ma il biondo incassa la frecciata e prende in considerazione la proposta, dicendo che potrebbe funzionare. Ma vuole usarla come ultima risorsa, prima vuole parlarci con quel testone (wink wink) di Eren, e solo se rimane di coccio passiamo alle maniere forti. Quanto è attuale tutto ciò?? Adesso, a novembre 2023, con non so quante guerre in corso, quanto è prorompente e sublime il concetto che un comandante prima di usare le armi e la distruzione voglia tentare prima la strada del dialogo? Quanto?? Ve lo dico io, una cifra. Anche Mikasa è d'accordo con Armin, sarà anche determinata ma sai com'è, ad uccidere la persona che ama sarebbe un attimo restìa.
Tumblr media
Ma poniamo che dobbiamo quindi passare alla tattica boom, visto che Eren controlla i giganti tramite il sangue reale di Zeke, non sarebbe meno complesso trovare ed uccidere il gigante bestia? In tal modo fermeremmo il boato dei giganti, che è la cosa più urgente in questo momento, poi per riempire di schiaffi quel testone di Eren il tempo c'è. Ed allora così sia, Levi, un ammasso di testosterone che l'idrovolante pesa qualche tonnellata in più solo con lui a bordo, si fa avanti e dichiara che eliminerà il suo vecchio nemico, la scimmia. Chiede agli altri di prestargli la loro forza per riuscire nell'impresa, e sì, Levi, ti presto pure io la mia forza, anzi te la regalo, fa' di me ciò che vuoi.
Tumblr media
Questo è l'obiettivo, per far volare a destinazione questo idrovolante e salvare l'umanità hanno ucciso loro compagni, non renderanno vane le azioni di cui si sono macchiati. Adesso, con questa presa di coscienza, per Connie è possibile comprendere l'incredibile fardello che sono stati costretti a sopportare Reiner, Berthold ed Annie, quando sono stati chiamati traditori e sono stati visti come nemici, quando sono stati tragicamente divisi tra le persone che li avevano cresciuti nel continente ed i loro compagni su Paradis ai quali si erano affezionati. Reiner da coraggio a Connie, ed anche Jean ammette di non avere il diritto di giudicarlo, perchè ormai sono tutti diventati assassini per un bene più grande di loro e dei loro affetti. Ma quanto è bello vedere uomini grandi e grossi commuoversi e avere gli occhi lucidi? Non perchè io sia una sadica e mi piaccia vedere la gente che piange, ma è così rinfrescante e liberatorio vedere un così ampio corollario di emozioni, niente di taciuto o nascosto, semplice e pura sincerità tra persone che stanno mettendo il loro animo più intimo in gioco. Sublime. Ma Reiner non finisce qui il suo discorso; ha infatti l'impressione che Eren voglia essere fermato da loro, che stia commettendo tutto questo proprio per istigarli ad ucciderlo o comunque fermarlo. Ed anche Armin dice che lo pensava da un po'; infatti Eren può influenzare tutti gli eldiani, tutti tutti, portatori di giganti compresi. Eppure eccoli lì i nostri eroi, ad elaborare piani per fermarlo. Eren li sta lasciando fare, non li sta manipolando volontariamente, come se volesse, per dirla come Armin "vedere cosa sono capaci di fare". Eeeee qui la cosa cambia.
Tumblr media
Tutti si ritrovano in quel posto, come a dimostrare che la loro ipotesi che Eren li osserva ma non interviene di proposito è vera. E caspita se Eren ci ascolta allora tentiamo adesso la strada del dialogo! Armin ci prova, gli urla che adesso può fermarsi, ha talmente terrorizzato l'umanità che per secoli nessuno si avvicinerà di miglia a Paradis, la gente sarà talmente spaventata dalla minaccia dei giganti che costruiranno navi spaziali per andare su un altro pianeta, così Paradis avrà tutto il globo a disposizione se una mattina si sveglia con la luna storta. Ci provano tutti, Jean, Connie, che si scusa per non averlo capito ed averlo accusato per la morte di Sasha, anche Mikasa lo implora con la voce gonfia di emozione di tornare da loro e porre fine a tutto, perfino Levi gli dice che se smette adesso gli darà solo dei calci nel sederino (a me m'avresti già convinto, capitano oh mio capitano), ma Eren risponde a tutti loro che avanzerà, non fermerà il boato della terra; compare un bambino, il piccolo Eren, accanto alla fondatrice Ymir, ma a nulla servono le corse dei ragazzi, è impossibile raggiungerli. Eren risponde all'ultima domanda di Armin, vuole portare via la libertà al mondo per ottenerla a loro, e per questo sta lasciando tutti liberi di perseguire i loro obiettivi. Ognuno avanzerà, il dialogo è inutile, e l'unico modo di porre fine al boato è uccidere Eren. Fine delle trattative. E' stato bello.
Tumblr media
Ci spostiamo sulla nave dove abbiamo lasciato Annie e gli altri, la capoclan degli Hizuru ha dei rimorsi perchè è stata lei a fare incontrare Zeke ed Eren. Ma inutile pensarci, il passato non può essere riscritto. Ad interrompere il discorso arrivano Gabi e Falco, e Falco dice di aver visto un ricordo di Zeke, dopotutto è diventato gigante grazie al suo fluido spinale, è logico supporre che in questo vortice di passaggi di ricordi e sogni tra portatori di giganti qualcosa di Zeke sia arrivato a Falco; ed in questo ricordo Falco si librava nel cielo, volava, quindi è convinto di poterlo fare. Ed anche qui la cosa cambia. Hai presente un gigante volante quanto può essere strategicamente d'aiuto in una battaglia dove le fazioni sono tutte a terra?? Dunque mi dispiace Annie, ma forse forse parteciperai alla battaglia anche te.
Tumblr media
Intanto nel continente un treno si affretta ad arrivare verso la fortezza di Salta, da cui sono in partenza alcuni dirigibili. Sul treno ci sono molte nostre conoscenze, tra cui i genitori di Reiner, di Annie, di Gabi ed altri; e noto con poco stupore che la situazione sempre più tragica col passare dei minuti non ha insegnato a marleyani ed eldiani a collaborare insieme, anzi è rimasta una battaglia per la sopravvivenza, se ci fosse stato un eldiano capace di guidare il treno avrebbero felicemente ucciso il marleyano al comando. Ne usciremo migliori, dicevano. Ma le loro speranze vengono disattese, perchè poco prima di arrivare alla fortezza vedono volare via tutti i dirigibili, sono arrivati troppo tardi ed in lontananza già si staglia il vapore dei giganti che ridendo e scherzanddo hanno già spianato tutto il continente fino a lì. Seh, ridendo e scherzando, ridendo e sterminando semmai! Ma i dirigibili non stanno volando via, stanno andando contro i giganti, vogliono tentare di bombardarli. Fanno quasi tenerezza, una decina di supposte con qualche barile di esplosivo vogliono sterminare centinaia di giganti colossali capitanati dal gigante fondatore che solo lui è grosso qualche ettaro. Che teneri, veramente. Ci sarebbero state altre opzioni, tipo che ne so, sfruttare i suppostoni volanti per raccattare più superstiti possibili e portarli tutti in un posto sicuro, ma i militari so' loro, che ne so io di come si salvano degli innocenti.
Tumblr media
I dirigibili si dirigono dunque verso i giganti, e qui il comandante delle forze armate fa un discorso che onestamente dovremmo inciderci nel cervello, noi e tutti i politici del mondo, e che per ovvie ragioni scriverò per intero.
"A tutti i soldati dello squadrone di dirigibili e di questa fortezza! Questo è l'ultimo baluardo rimasto all'umanità. Sulle vostre spalle grava un peso incommensurabile. Tuttavia qualsiasi sarà il risultato sappiate che la responsabilità non sarà soltanto vostra. La colpa è di tutti noi adulti. Abbiamo utilizzato l'odio continuando a farlo crescere credendo che ci avrebbe salvato. Abbiamo scaricato ogni nostro problema sull'"isola dei demoni". E come risultato di tutto ciò è nato quel mostro che adesso è giunto a restituirci il rancore che abbiamo continuato a provare. Se mi sarà possibile avere di nuovo un futuro non farò mai più lo stesso errore. Lo giuro. Vorrei che tutti voi facciate un giuramento. Abbandoniamo per sempre quest'epoca di odio reciproco...diamo inizio ad un mondo dove avremo più considerazione del prossimo e qui diciamo addio ai nostri mostri."
Quanto è potente questo segmento. Quanta presa di coscienza che attanaglia lo spettatore, messo davanti ai propri demoni insensati ed al proprio odio immotivato. Ma gli anime sono per bambini. Mortacci di chi lo dice. Anche la signora Braun si accascia a terra sotto il peso delle sue colpe, perchè comprende finalmente di non aver mai visto suo figlio come un essere umano, bensì come uno strumento per vendicarsi di Paradis. Quanto ha sbagliato, come madre e come essere umano. Se ci pensiamo, è lo stesso identico errore che hanno fatto i genitori di Zeke con lui, non l'hanno mai visto come un bambino, per loro era lo strumento per vendicarsi di Paradis, era un oggetto utile alla restaurazione dell'impero Eldiano, non gli interessava di crescerlo con amore ed affetto, e sappiamo bene com'è andata a finire. La storia si ripete.
Tumblr media
Ed a morte si aggiunge morte, i civili da terra vedono il gigante fondatore creare con un fulmine una sua appendice a forma di gigante bestia, che con la classica posa di giocatore di baseball lancia rocce contro i dirigibili, facendoli a brandelli in tipo 30 secondi. Niente può fermare l'avanzata dei giganti, se non fosse per quella nuvoletta bianca alle spalle del fumo scuro sprigionato dal bombardamento fallito. Dalla nuvoletta spunta il velivolo pilotato da Onyankopon, è arrivata la cavalleria che non vede l'ora di disossare qualche gigante troppo cresciuto. Eccoli lì i nostri eroi, più incacchiati che mai, portati grazie all'ultima goccia di carburante proprio sopra il fondatore, per poter avvicinarsi il più possibile al gigante bestia. Da terra i civili vedono i nostri eroi trasformarsi ed apparire il gigante corazzato ed il gigante carro, increduli capiscono che le forze di Eldia stanno combattendo anche loro i giganti, non importa più il sangue e la provenienza, l'obiettivo ultimo è la fine del boato. Ed a questo guarda Armin, chiedendo ad Eren dov'è la libertà di cui tanto si riempie la bocca davanti a tanta morte.
Tumblr media
E che dire raga', questo episodio è un alzarsi in piedi, un tendere verso quella che sarà la fine. E come ci stiamo arrivando bene a questa fine, tutto è messo al suo posto in maniera perfetta, i personaggi si stanno riunendo nello stesso punto, la grande battaglia del nostro tempo ha inizio, col Signore degli anelli avevo sinceramente meno hype. Confermo quanto detto per la scorsa puntata, dove si è pianto naturalmente di più mentre qui abbiamo fatto un'analisi degli intenti delle parti in gioco, abbiamo vagliato le due alternative, tentato di metterle in pratica grazie ad Armin, abbiamo scoperto qualcosa che forse si dimostrerà un asso nella manica, ed Eren tuttavia rimane un po' oscuro nel suo intento, vuole distruggere il mondo ma nello stesso tempo lascerà i suoi compagni liberi di fare ciò che vogliono, anche ucciderlo se riescono. L'affetto che prova per loro non è stato dimenticato, anzi, è il motore ed il carburante di ogni sua azione, per loro vuole creare un mondo senza guerre, per loro sta massacrando milioni di persone, ma se loro non vorranno farglielo fare sono liberi di distruggerlo. Si farà comprendere nella puntata finale? Non rimane che scoprirlo, vi invito a sintonizzarvi qui "nei prossimi giorni" questa volta speriamo davvero, per parlarne insieme. Come al solito, offrite i vostri cuori! -Sand-
Tumblr media
1 note · View note
giancarlonicoli · 10 months
Text
28 giu 2023 11:24
“NON HO ANCORA DIGERITO IL PALLONE D’ORO A RIVERA” – VITA, GOL, ROSICATE E RIMPIANTI DI GIGI RIVA: "LE AMMIRATRICI HANNO FATTO DELLE FOLLIE PER ME, COSE CHE NON ERANO NORMALI" – IL NO AL MILIARDO DELLA JUVE, HOF, IL "BOIA DEL PRATER" CHE GLI SPEZZÒ UNA GAMBA NEL 1970 (“L’HO PERDONATO MA POTEVA EVITARE QUELL’ENTRATA” ), LA DEPRESSIONE E IL DOCUFILM SU SKY IN CUI VIENE RACCONTATO L’INCONTRO CON DE ANDRÈ: “A CASA SUA, BRINDAMMO CON UN PO’ DI WHISKY, VINCENDO ENTRAMBI LA TIMIDEZZA” - VIDEO -
Estratto dell’articolo di Elvira Serra per il Corriere della Sera
Ha sentito Ranieri?
«Gli ho telefonato prima della partita con il Bari. Mi raccomando, gli ho detto, guarda che tutta l’Isola è a tuo favore. Lui era un po’ commosso e un po’ teso per la gara».
Cinquanta minuti al telefono con Gigi Riva sono quasi un miracolo. Per certo un regalo della leggenda del Cagliari, l’uomo che ha riscattato un intero popolo con il suo tiro mancino, portando in Sardegna l’unico scudetto della storia. Era il 12 aprile del 1970 e sul campo dell’Amsicora Rombo di Tuono infilava con Bobo Gori i due gol della vittoria allo stesso club contro il quale i rossoblù di Claudio Ranieri hanno appena riconquistato la Serie A. Spegne la televisione, si mette comodo sulla poltrona, giura che non sta fumando nessuna sigaretta: «Le ho già fumate prima, ma non chiedermi quante perché mi vergogno».
Il suo ricordo più bello?
«Beh, lo scudetto. Avevamo festeggiato con tutta la squadra. Gli scapoli vivevano insieme in una foresteria e i tifosi venivano anche di notte a tenerci svegli».
(…)
De André è stato la sua colonna sonora. Ha mai visto un suo concerto?
«Sì, una volta, ma non l’ho aspettato alla fine perché dovevo prendere l’aereo. Ero già stato a casa sua, avevamo brindato con un bel po’ di whisky, vincendo entrambi la timidezza».
Nel docufilm che da ieri sta trasmettendo Sky, «Nel nostro cielo un rombo di tuono», c’è una scena in cui voi due siete di spalle. Per coglierne tutta la dolcezza bisogna aspettare i titoli di coda.
«Lo so... Anche se devo dire la verità: il film l’ho visto solo all’anteprima e ho una gran confusione in testa, ero emozionatissimo. Devo rivederlo da solo in casa con calma».
È riservatissimo: come ha ceduto a Riccardo Milani, che ha firmato la pellicola?
«Ma infatti la prima volta che mi ha mandato a dire che voleva fare un film su di me non ho detto sì. Poi è venuto lo stesso a trovarmi, mi ha spiegato cosa intendeva fare ed era una bella storia. È stato molto corretto sia con la Sardegna, perché la ama anche lui, sia con noi giocatori».
Oggi quale squadra le piace?
«Non seguo più il calcio. Cagliari a parte, mi piace solo la Nazionale: ora, dopo il buio, si è rimessa a posto».
Le sue partite più belle?
«Le partite importanti erano quelle di campionato contro Juventus, Milan e Inter: quando le battevi era una bella soddisfazione».
Tutti la volevano e lei, testardo, non ha ceduto nemmeno al miliardo offerto dalla Juve.
Ride. «Quando Arrica, il mio presidente, scoprì che non andavo, non fu contento per niente. Ma non sono testone: io ero una persona chiusa, avevo avuto un’infanzia tragica, i miei genitori erano mancati presto. Poi sono venuto a Cagliari e abbiamo costruito una gran bella cosa: lo scudetto era il sogno di ogni squadra».
Lo avete realizzato con Manlio Scopigno.
«È stato un maestro, un fratello maggiore: mi ha insegnato a vivere. Mi diceva: perché ti incavoli? Vieni, risolvi il problema. Lo sogno ancora».
E i suoi genitori li sogna?
«Sì, anche se so già che è impossibile ritrovarli in casa il giorno dopo e mi devo rassegnare. Mi spiace solo di non aver dato loro niente delle soddisfazioni che mi sono tolto io, non ho potuto farli partecipare, non hanno vissuto quel periodo, anni meravigliosi. È un vero dispiacere».
Come va con Gianna, la mamma dei suoi figli Nicola e Mauro?
«Bene. Mi viene a trovare tutti i giorni. Era un nostro desiderio: per me è un punto di riferimento».
Chi altro riceve in casa?
«Qualche compagno di squadra di allora e tutti gli amici importanti. Organizziamo delle cenette qui, cucino io le bistecche, mi piace rigirarle e portarle a tavola».
(...)
Ha perdonato Norbert Hof, il «boia del Prater» che le spezzò una gamba durante Italia-Austria nel 1970?
«Ma sì, l’ho perdonato. Certo, poteva evitare quell’entrata. Però dopo due anni mi sono fratturato un’altra volta e lì mi sono fatto male da solo...».
Ha digerito il Pallone d’oro dato a Rivera e non a lei?
«No, non ancora. Mi era stato promesso che l’anno dopo sarebbe toccato a me e poi invece mi sono fatto male».
Vogliamo parlare delle ammiratrici di allora?
«Aspetto ancora un po’ prima di raccontare le follie che hanno fatto, cose che non erano normali...».
A quale maglia è più affezionato?
«Ne ho di tutti colori, ma per me la maglia più bella resta quella bianca, pulita, senza sponsor, dello scudetto».
Quando torna allo stadio?
«Mai più. Mi piglia l’agitazione. Invece mi devo mettere in testa che la vita è questa».
Pochi mesi fa è scomparso Pelè, due anni prima Maradona: leggende che ha conosciuto. Un giorno lontanissimo giocherete insieme in Paradiso.
«Eh, non so se sarà lontanissimo... La loro morte mi ha fatto effetto. Alla mia età prima di dormire sei un po’ teso al pensiero: non è che la morte sia una grande cosa».
La depressione come va?
«Va e viene. Ma adesso l’ho un po’ superata».
(...)
0 notes
mynameisanxietyy · 1 year
Text
Bella bestia la gelosia…
Ma non sono pazza
Non sono esagerata
È che non voglio che le altre ti vedano come ti vedo io, uno splendido essere umano
Bellissimo
Divertente
Generoso
Talentuoso anche se un po’ testone❤️
Non capisco tante tue scelte, come il fatto di tenere tutte quelle ragazze con non so quanti legami puoi aver avuto negli amici stretti… ti faccio mancare qualcosa? È davvero un bisogno per te che non ne puoi fare a meno? Non lo accetto molto lo vedo come un comportamento sbagliato nei miei confronti ma mi farò passare anche questa…
Ma lo amo
Lo amo da morire.
Sono fiera di lui ogni giorno sempre di più.
0 notes