Tumgik
#tintement
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le son brille
par croyance en la lumière
sa face lissée qui s’offre
au temps qui s’impose
pour laisser passer midi
parmi les fleurs
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© Pierre Cressant
(samedi 3 septembre 2022)
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lisaalmeida · 6 months
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VOIX
J'aime les pierres, les étoiles et la lune qui embrasse les herbes du raccourci sombre J'aime les eaux de l'indigo et le doux regard Parmi les animaux, divinement purs. J'aime le lierre qui comprend la voix du mur Et les crapauds, le doux tintement Des cristaux qui s'éloignent lentement, Et de ma santé visage dur. J'aime tous les rêves qui se taisent Des cœurs qui sentent et ne parlent pas, Tout cela est infini et minuscule! Une aile qui nous protège tous! Immense, hoquet éternel, qui est la voix De notre grand et misérable destin! ...
FLORBELA ESPANCA
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jamie-007 · 1 month
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Petites histoires de l'histoire.
Il y a un certain temps, on utilisait de l'urine pour tanner les peaux d'animaux, donc les familles (appelées "pisse pauve") urinaient dans une marmite qui était achetée quotidiennement par des tanneries.
Pourquoi la plupart des mariages avaient-ils lieu en juin.
Le grand bain annuel se prenait en mai donc les gens sentaient encore bon plus ou moins en juin.
Cependant, chaleur aidant, les mauvaises odeurs refaisant surface, les mariées portaient un bouquet de fleurs pour les cacher.
D'où la coutume aujourd'hui de porter un bouquet lors du mariage.
Les bains étaient composés d'un grand bassin d'eau chaude.
L'homme avait le privilège de l'eau propre, puis les fils, les femmes et enfin les enfants.
En dernier lieu, les bébés.
À ce moment-là, l'eau était si crasseuse qu'on pouvait réellement le perdre dedans.
D'où le dicton : « Ne jetez pas le bébé avec l'eau du bain ! ”
Les maisons avaient des toits de chaume épaisses en paille, sans structure de bois dessous.
C'était le seul endroit où les animaux pouvaient se réchauffer, donc les chats et autres petits animaux (souris, insectes) s'y réfugiaient.
Quand il pleuvait, cela devenait glissant, faisant tomber les animaux qui s'y trouvaient.
Ce qui entraîna l'idiome : « Il pleut des chats et des chiens. ”
Cela posait également un vrai problème dans la chambre à coucher par exemple car le toit laissait passer insectes et autres excréments, salissant le lit et sa lingerie.
Un grand accroché par de grands poteaux offrait alors une certaine protection.
C'est ainsi que les lits à baldaquin sont nés.
Parfois, les moins pauvres pouvaient obtenir de la viande de porc.
Quand les visiteurs venaient, ils accrochaient leur bacon.
C'était le signe d'une certaine richesse : un homme pouvait
" ramener de la viande à la maison "
Ils en coupaient un morceau pour le partager avec les invités.
Ceux qui avaient de l'argent avaient des assiettes en étain. Les aliments à forte teneur en acide engendraient la lixiviation du plomb sur les aliments, causant la mort d'empoisonnement.
Cela se produisait le plus souvent avec les tomates, donc pendant des centaines d'années, les tomates ont été considérées comme toxiques.
Tout comme les tasses en plomb dans lesquelles on servait la bière ou le whisky.
La combinaison mettait parfois KO les imbibés pendant quelques jours.
On pouvait parfois même croire qu'ils étaient morts et on les préparerait pour l'enterrement.
Dans le doute, on les allongeait sur la table de la cuisine pendant quelques jours, la famille se rassemblait pour manger, boire en attendant de voir s'ils se réveilleraient, ..
Ainsi est née la coutume de tenir une veillée.
L'Angleterre est vieille et petite manquant d'endroits pour enterrer les gens.
On a donc commencé à déterrer des cercueils, emmener les os dans une "maison d'os" pour pouvoir réutiliser les tombes.
Lors de la réouverture de certains cercueils, plusieurs d'entre eux avaient des égratignures à l'intérieur, des malheureux avaient été enterrés vivants.
Pour éviter ces drames, une corde était attachée au poignet du cadavre se terminant à l'extérieur par une clochette.
On payait une personne qui passait la nuit près du défunt pour guetter le bruit d'un tintement.
En cas de silence, la personne était considérée comme réellement défunte.
Qui a dit que l'histoire était ennuyeuse ?
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cendres-et-volcans · 4 months
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Ce sont tes musiques que j'écoute, elles me parlent dans une langue que je ne comprends pas et racontent des histoires qui m'échappent forcément.
J'y ai posé nos mots et notre vécu, elles ont ton visage a présent, tes yeux barrés de mèches que je voulais écarter.
Le matin surtout, elles s'écoulent sous les brulances aquatiques ou tu me rejoins.
C'est la voix de l'opérateur qui nous relie, c'est un chassé croisé entre la réalité, les souvenirs et les projections. Ce que tu es, malgré l'absence,est la magnificience de ce que tu fus avec moi cette nuit de brouillard et de taxi.
Et moi je vis de cette image, dans l'incertitude d'un appel ou d'un message, je puise force et conviction dans le tintement de tes poignets
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humeurs-des-plaisirs · 9 months
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Les chaines
Mailles après mailles, Frisson au contact du métal froid, Qui se pose sur ta peau sensible, Au gré de ses désirs. Elle t'enflamme.
Chemin qui suit le relief de ton corps A souligner tes courbes, Pour en suivre toutes les sensibilités, Jusqu’à l’intime. Elle te révèle,
Serpentine à se glisser en toi Propre à révéler ton indécence. Quand elle se s’immisce, Et ouvre ton fruit défendu. Elle te possède.
Quand elle se referme, Poignets et chevilles entravés, Tu n’es plus que sa prisonnière, Prisonnière de tes désirs soumis. Elle t’asservit.
Comme un vêtement qui t’entoure, Tu la sens dans chacun de tes mouvements. Ton corps paré de ces délicieux secrets, Qui ne demande qu’à être révélés. Elle t’habille.
Du cliquetis de celles qui t’entravent, Au tintement délicieux qui t’accompagnent, Dans les danses syncopées de ton corps femelle, Au rythme donné par le chef d’orchestre. Elle te fait musique.
Une chaine pour chaque moment, Un esprit pour la désirer, Une main pour les poser sur ta peau, Et te mener vers l'indécence de plaisirs…
…Enchainés!
Texte original PSganarel
Les humeurs du valet
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De Emma à Jem
Cher Jem,
Comme promis, voilà les dernières nouvelles concernant la Maison qui S’accrochait à sa Malédiction. Spoiler : je pense que nous allons encore avoir besoin de ton aide. (Demande à Kit ce qu’est un spoiler si tu ne connais pas le mot.)
Donc voilà où nous en sommes : nous avons rassemblé tous les objets – selon nous – qui sont liés à la malédiction. Nous les avons installés dans la salle à manger et avons allumé des bougies, mais il ne s’est rien passé. Julian a dit que c’était comme si nous essayions de faire passer une soirée romantique à ces objets. Je crois que nous avons été optimistes en imaginant que ça pouvait être aussi simple !
Ces dernières semaines, nous avons récupéré un certain nombre de livres qui expliquent comment rompre les malédictions. Nous avons aussi fait quelques recherches sur internet, mais je dois dire qu’on ne peut jamais être sûr que ce qu’on trouve « en ligne » est une vraie formule magique ou quelque chose en rapport avec je ne sais quel jeu. Julian, évidemment, avait déjà lu les livres et remarqué les similitudes de la plupart des sorts pour rompre les malédictions. Dans tous les cas, il faut réunir les objets maudits et allumer des chandelles de suif. Heureusement nous avons pu acheter des chandelles de suif au Marché Obscur, et nous les avons disposées en cercle autour des objets. Quand nous les avons allumées, ça avait l’air très mystérieux et occulte.
Nous avons associé plusieurs sorts en latin trouvés dans les livres pour essayer d’obtenir quelque chose qui nous convenait. L’idée, c’était « Nous demandons à ce que la malédiction jetée sur ces objets soit rompue, au nom de l’Ange Raziel ». Nous avons fait de notre mieux pour avoir l’air important, comme si nous connaissions bien Raziel et allions le rejoindre au pub pour boire une pinte une fois que nous en aurions fini avec la malédiction.
Bon, je suis sûre que tu es horrifié par notre décision d’avoir entrepris ça nous même, et tu as raison, nous n’aurions pas dû, mais ça nous réjouissait tellement d’avoir tous les objets que nous avons pensé que nous pouvions au moins essayer. Après tout, ça ne pouvait pas faire tant de mal que ça ?
Eh bien si ! Beaucoup de mal ! Tout de suite un vent froid et humide s’est levé dans la salle à manger et a formé des cercles, éteignant la plupart des bougies. Je me suis mise à frissonner, non pas parce qu’il faisait froid (même s’il faisait effectivement très froid tout d’un coup), mais parce que j’avais la chair de poule. J’avais une horrible impression de noirceur envahissante, comme si ma vision devenait plus floue sur les côtés. Julian a commencé à feuilleter rapidement les livres, à la recherche d’un sort pour tout annuler.
Et puis, bien sûr, la boite à musique sur le buffet s’est mise à jouer toute seule. Et ce n’était pas du tout la mélodie qu’elle joue d’habitude, une valse de Strauss. C’était une autre mélodie, quelque chose de dissonant et criard (enfin, aussi criard que les tintements d’une boite à musique puissent être). Et elle était forte ! Bien plus forte que peut l’être n’importe quelle boite à musique, comme si le son était amplifié et propagé dans toute la pièce.
- Nooon.
Le mot avait été soufflé sévèrement, et j’ai senti une présence qui se glissait dans la pièce. Rupert, semi-transparent et le regard furieux. Il a passé une main lumineuse à travers les bougies pour en éteindre les flammes. Par l’Ange, le vent est retombé et l’air s’est réchauffé. Et j’ai senti que je pouvais de nouveau respirer. Julian et moi avons échangé un regard.
- Nephilim, a soufflé Rupert.
C’était certainement le plus que nous l’ayons entendu prononcer, en termes de vrais mots et phrases bien distincts. Je ne sais pas si c’était parce qu’il était en colère, ou parce que le sort pour rompre la malédiction avait eu un minuscule effet.
- Nephilim… ne jouez pas avec la magie. Tatiana joua avec la magie. Elle en fût… détruite.
Il était si irrité que les traits de son visage semblaient changer de forme. Ses yeux s’agrandissaient à tel point qu’il ressemblait à un personnage d’aminé. Les commissures de ses lèvres s’affaissaient.
- Cela ne vaut pas la peine de vous détruire, a-t-il soupiré. Trouvez une autre solution. Ou laissez-moi emprisonné.
Sur ces mots, il a disparu – il s’est envolé en plusieurs morceaux blanc argenté, comme des papiers qui volent dans le vent.
J’ai eu un frisson dans le dos. Rupert. Je crois que je le préférais quand il pouvait seulement déplacer des objets dans la poussière.
Bref, nous aurions besoin de ton aide. Peut-être nous faut-il un sorcier pour prononcer la bonne formule magique. Mais plus nous observons les objets que nous avons rassemblés, plus nous nous demandons si l’un d’entre eux n’est pas le bon. Il faut dire que nous avons suivi des indices douteux pour les trouver. Et nous avons tellement ennuyé Hypatia, Magnus et Ragnor que je ne pense pas que nous pourrions encaisser que l’un d’entre eux arrive pour nous dire que le problème vient des objets.
Du coup… est-ce que toi et Tessa accepteriez de venir nous rendre visite et jeter un œil à la question ? Peut-être que vous pourrez nous en apprendre plus sur les objets puisque vous en avez reconnus certains. Et avec un ex-Frère Silencieux et une sorcière, je suis sûre que nous aurons assez de sagesse magique pour comprendre ce que nous devrions faire. Nous aimerions bien vous voir tous les quatre, à vrai dire, si vous avez envie d’en faire une sortie en famille. Nous pourrons surveiller Mina pour vous ! Il y aura des scones ! Et maintenant que les elfes ont enlevé toutes les berces qui envahissaient les jardins, ils sont très jolis ! Agréables pour se promener, ou si Kit est d’humeur adolescente à ruminer, ils sont bien aussi pour ruminer. Est-ce que j’ai parlé des scones ?
Je vous embrasse,
Emma
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/690130561075986432/emma-to-jem
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luma-az · 9 months
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La musique des Sphères
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 10 août 
Thème : humanité/le musicien fantôme
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Qui a prétendu que seule l’humanité connaissait la musique ?
Seuls les humains écrivent la musique, oui. Ils ont eu cette idée étrange de passer par la vue pour transmettre le son. Pourquoi pas. D’ailleurs, ils ne le font pas tous, ni toujours, ni partout.
Mais ils ne sont absolument pas seuls à connaître la musique.
Tout le monde animal chante, bruisse et rythme sa vie de sons qui leurs sont propres et précieux, musiciens appréciés de leurs pairs, et parfois au-delà – surtout les oiseaux, sauf bien sûr les canards. Une musique de vie, de territoire, d’avertissement, de joie et de reproduction, une musique qui rythme les jours des musiciens.
Tout le monde végétal chante, aussi – discrets bruissements pour lesquels il faut tendre l’oreille, murmure des échanges chimiques entre les racines, pop léger des bourgeons et des fleurs qui éclosent, vibrations. Les musiciens de la chlorophylle ont un tempo lent, ça ne les empêche pas de diriger le monde, chefs d’orchestres discrets d’une vaste symphonie. Le monde entier, après tout, bat à leur rythme qui marque l’année.
Et le minéral, croyez-le ou non, joue aussi sa partition. Lente et grave, puissante et rocailleuse, égayée par le murmure d’un ruisseau et le tintement des gouttes de pluie, secoué par les grondements féroces de la terre et le claquement implacable du tonnerre – nul ne peut ignorer le plus puissant des musiciens, celui qui tient la vie de tous les autres dans le creux de sa paume.
Non, le talent propre à l’humanité, ce n’est pas la musique – c’est d’avoir su écouter celle des autres. Entendre ce que leurs oreilles ne pouvaient pas atteindre. Enregistrer chaque vibration, chaque rythme, et en jouer la musique secrète. Jusqu’au chant des  étoiles qui parvient jusqu’à nous, y compris les étoiles mortes, musiciens fantomes dont nous reconstituons méticuleusement la voix.
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orageusealizarine · 10 months
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“Quand je recevrai mon Bonheur, le Trouble ne m’aura pas quittée, je n’en doute pas, mais le Bonheur en changera la teneur, il en fera un instrument de joie, il tapera dans ses mains avec lui, il se mêlera à lui - tandis que moi, de tout mon cœur de bois, de tout mon corps de femme, de tout mon esprit, de toute mon âme, je serai en extase. Je serai remplie d’un plaisir si profond et d’une douleur si intense que le plus minuscule nerf composant mon être chancellera et titubera, intoxiqué, ivre de la plénitude de la Vie.
[...]
Quand je recevrai mon Bonheur, la vie sera une chose ineffable, sans nom.
Ce sera un bouillonnement et un rugissement ; un plongeon et un tourbillon ; des sauts convulsifs, des hurlements ; des tremblements sous l’effet de rêves délicats ; des frémissements et des torsions ; des scintillements, des éclairs qui brillent ; de doux chants ; des cris d’excitation exquise ; des vibrations terrestres semblables à celles d’un chêne énorme dans la tempête ; des danses ; des glissements ; des galops ; des ruées ; des gonflements et des jaillissement ; des vols planés ; des montées en flèche en haut - tout en haut ; des descentes dans des profondeurs inexplorées ; des rages et des délires ; des hurlements de pure joie ; des fusions ; des flammes ; on montera à cheval pour des courses triomphantes ; on rampera dans la poussière dans un plaisir absolu ; ça sonnera comme un énorme vacarme de trompettes ; ça sonnera faiblement, faiblement, comme le tintement lointain d’une harpe ; ça sanglotera, ça sera triste, ça pleurera ; ça sera la fête, ça fera la bringue ; ça rétrécira ; ça se gonflera d’orgueil ; ça sera allongé comme les morts ; ça flottera joyeusement dans les airs ; ça gémira, ça frissonnera, ça éclatera - oh, ça respirera l’Amour et la Lumière !”
Mary MacLane, Que le diable m’emporte
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pollonegro666 · 5 months
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2023/12/24 Mi papi ya tiene preparado el vino tinto que quiere para la cena de esta noche. Por favor, amigos, sírvanse un poco para hacer un gran brindis.
My daddy has already prepared the red wine he wants for dinner tonight. Please, friends, pour some to make a great clink of glasses.
Google Translation into French: Mon père a déjà préparé le vin rouge qu'il veut pour le dîner de ce soir. S'il vous plaît, les amis, versez-en un peu pour faire un grand tintement de verres.
Google translation into Italian: Mio padre ha già preparato il vino rosso che vuole per cena stasera. Per favore, amici, versatene un po' per fare un gran tintinnio di bicchieri.
Google Translation into Portuguese: Meu pai já preparou o vinho tinto que quer para o jantar esta noite. Por favor, amigos, sirvam um pouco para fazer um grande tilintar de copos.
Google Translation into German: Mein Vater hat bereits den Rotwein vorbereitet, den er heute Abend zum Abendessen haben möchte. Bitte, Freunde, gießt ein wenig ein, damit die Gläser laut klirren.
Google Translation into Albanisch: Babai im ka përgatitur tashmë verën e kuqe që dëshiron për darkë sonte. Ju lutem, miq, që disa të bëjnë një shirit të mrekullueshëm të syzeve.
Google Translation into Arabic: لقد قام والدي بالفعل بإعداد النبيذ الأحمر الذي يريده لتناول العشاء الليلة. من فضلكم، أيها الأصدقاء، لكي يقوم البعض بعمل عيادة رائعة للنظارات.
Google Translation into Armenian: Հայրս արդեն պատրաստել է իր ուզած կարմիր գինին այսօր երեկոյան ընթրիքի համար: Խնդրում եմ, ընկերներ, մի քիչ լցրեք՝ բաժակների հիանալի թխկոց պատրաստելու համար:
Google Translation into Bengali: আমার বাবা আজ রাতে ডিনারের জন্য যে রেড ওয়াইন চান তা ইতিমধ্যেই প্রস্তুত করেছেন। অনুগ্রহ করে, বন্ধুরা, চশমা একটি মহান clink করতে কিছু ঢালা.
Google Translation into Bulgarian: Баща ми вече е приготвил червеното вино, което иска за вечеря тази вечер. Моля, приятели, налейте малко, за да направите страхотно дрънкане на чаши.
Google Translation into Czech: Můj táta už připravil červené víno, které chce dnes k večeři. Prosím, přátelé, nalijte si trochu, abyste mohli skvěle cinkat sklenicemi.
Google Translation into Simplified Chinese: 我爸爸已经准备好了今晚晚餐他想要的红酒。 朋友们,请倒一些,让酒杯叮当作响。
Google Translation into Korean: 우리 아빠는 오늘 밤 저녁으로 원하는 레드와인을 이미 준비했어요. 친구 여러분, 술을 좀 부어서 멋진 유리잔이 부딪히도록 해주세요.
Google Translation into Croatian: Moj tata je već pripremio crno vino koje želi za večeru. Molimo vas, prijatelji, natočite malo da napravite sjajno zveckanje čaša.
Google Translation into Danish Min far har allerede forberedt den rødvin, han vil have til aftensmad i aften. Venligst, venner, hæld lidt op for at lave et fantastisk klirr af glas.
Google Translation into Slovak: Môj otec už pripravil červené víno, ktoré chce dnes na večeru. Priatelia, nalejte si, aby ste mohli skvele štrngať pohármi.
Google Translation into Slovenian: Moj očka je že pripravil rdeče vino, ki ga želi nocoj za večerjo. Prosim, prijatelji, nalijte malo, da boste odlično žvenketali.
Google Translation into Estonian: Mu isa on juba valmistanud punase veini, mida ta täna õhtusöögiks tahab. Palun, sõbrad, valage klaasi, et klaase kokku lüüa.
Google Translation into Suomi: Isäni on jo valmistanut punaviinin, jonka hän haluaa illalliseksi tänä iltana. Olkaa hyvät ystävät, kaada vähän lasien kolinaa varten.
Google Translation into Georgian: მამაჩემმა უკვე მოამზადა წითელი ღვინო, რომელიც მას სურს ამ საღამოს სადილისთვის. გთხოვთ, მეგობრებო, დაასხით ცოტა ჭიქის გასაკეთებლად.
Google Translation into Greek: Ο μπαμπάς μου έχει ήδη ετοιμάσει το κόκκινο κρασί που θέλει για δείπνο απόψε. Παρακαλώ, φίλοι, ρίξτε λίγο για να κάνετε ένα υπέροχο τσουγκρισμα των ποτηριών.
Google Translation into Guarani: Che ru ombosako’íma pe víno pytã oipotáva okaru haĝua ko pyharépe. Por favor, angirũnguéra, peñohẽ michĩmi pejapo haĝua peteĩ clink tuicháva umi vaso-gui.
Google Translation into Hawaiian: Ua hoʻomākaukau mua koʻu makuakāne i ka waina ʻulaʻula āna i makemake ai no ka ʻaina ahiahi i kēia pō. E ʻoluʻolu, e nā hoaaloha, e ninini i kahi mea e hana ai i ke kani nui o nā aniani.
Google Translation into Hebrew: אבא שלי כבר הכין את היין האדום שהוא רוצה לארוחת הערב. בבקשה, חברים, מזגו קצת כדי ליצור צקצוק נהדר של כוסות.
Google Translation into Hindi: मेरे पिताजी ने आज रात के खाने के लिए अपनी पसंदीदा रेड वाइन पहले ही तैयार कर ली है। कृपया दोस्तों, गिलासों की शानदार झनकार बनाने के लिए इसमें कुछ डालें।
Google Translation into Hungarian: Apám már elkészítette azt a vörösbort, amit vacsorára szeretne. Kérem, barátaim, öntsön néhányat, hogy nagy poharakat csorgasson.
Google Translation into Icelandic: Pabbi minn er búinn að útbúa rauðvínið sem hann vill í kvöldmatinn í kvöld. Vinsamlega, vinir, hellið smá til að gera frábært glös.
Google Translation into Indonesian: Ayahku sudah menyiapkan anggur merah yang dia inginkan untuk makan malam malam ini. Tolong teman-teman, tuangkan sedikit untuk membuat dentingan gelas yang bagus.
Google Translation into Japanese: パパは今夜の夕食に欲しい赤ワインをすでに準備してくれています。 友達の皆さん、グラスにカチャカチャという音を立てるために注いでください。
Google Translation into Kyrgyz: Атам кечки тамакка каалаган кызыл винону даярдап койгон. Сураныч, достор, бир аз куюп, стакандарды шакылдатыңыз.
Google Translation into Latvian: Mans tētis jau ir sagatavojis sarkanvīnu, ko vēlas vakariņās. Lūdzu, draugi, ielejiet, lai lieliski saskandinātu glāzes.
Google Translation into Malayalam: എന്റെ ഡാഡി ഇന്ന് രാത്രി അത്താഴത്തിന് ആവശ്യമായ റെഡ് വൈൻ ഇതിനകം തയ്യാറാക്കിയിട്ടുണ്ട്. സുഹൃത്തുക്കളേ, ഒരു വലിയ കണ്ണട ഉണ്ടാക്കാൻ കുറച്ച് ഒഴിക്കുക.
Google Translation into Malay: Ayah saya sudah menyediakan wain merah yang dia mahukan untuk makan malam malam ini. Tolong, kawan-kawan, tuangkan sedikit untuk membuat dentingan cermin mata yang hebat.
Google Translation into Malagasy: Efa nomanin’i Dada ny divay mena tiany hohanina anio alina. Azafady, ry namana, arotsaho ny sasany mba hahatonga ny solomaso mahafinaritra.
Google Translation into Mongolian: Аав маань өнөө оройн хоолондоо хүссэн улаан дарсаа бэлдчихсэн байгаа. Найзууд аа, аятайхан аяга цохихын тулд бага зэрэг асгана уу.
Google Translation into Dutch: Mijn vader heeft de rode wijn die hij vanavond wil eten al klaargemaakt. Alsjeblieft, vrienden, schenk wat in zodat een geweldig gerinkel van glazen ontstaat.
Google Translation into Nepali: मेरो बुबाले रातो खानाको लागि रातो रक्सी तयार गरिसक्नु भएको छ। कृपया, साथीहरू, चश्माको उत्कृष्ट क्लिङ्क बनाउन केही खन्याउनुहोस्।
Google Translation into Norwegian: Faren min har allerede forberedt rødvinen han vil ha til middag i kveld. Vær så snill, venner, hell litt for å lage et flott glass.
Google Translation into Panjabi: ਮੇਰੇ ਡੈਡੀ ਨੇ ਅੱਜ ਰਾਤ ਦੇ ਖਾਣੇ ਲਈ ਰੈੱਡ ਵਾਈਨ ਤਿਆਰ ਕਰ ਲਈ ਹੈ। ਕਿਰਪਾ ਕਰਕੇ, ਦੋਸਤੋ, ਐਨਕਾਂ ਦੀ ਇੱਕ ਸ਼ਾਨਦਾਰ ਕਲਿੰਕ ਬਣਾਉਣ ਲਈ ਕੁਝ ਡੋਲ੍ਹ ਦਿਓ।
Google Translation into Pashtun: زما پلار لا دمخه هغه سور شراب چمتو کړی دی چې هغه د نن شپې د ډوډۍ لپاره غواړي. مهرباني وکړئ ، ملګرو ، د شیشې عالي کلیک کولو لپاره یو څه واچوئ.
Google Translation into Persian: بابام از قبل شراب قرمزی را که برای شام امشب می خواهد آماده کرده است. لطفا دوستان مقداری بریزید تا یک لیوان عالی بسازید.
Google Translation into Polish: Mój tata przygotował już czerwone wino, jakie chce na dzisiejszy obiad. Proszę, przyjaciele, nalejcie trochę, żeby w szklankach rozległ się głośny brzęk.
Google Translation into Romanian: Tatăl meu a pregătit deja vinul roșu pe care îl dorește pentru cina de diseară. Vă rog, prieteni, turnați câteva pentru a face un clinchet grozav de pahare.
Google Translation into Russian: Мой папа уже приготовил красное вино, которое хочет сегодня на ужин. Пожалуйста, друзья, налейте немного, чтобы бокалы громко звякнули.
Google Translation into Serbian: Мој тата је већ спремио црно вино које жели за вечеру. Молим вас, пријатељи, сипајте мало да направите сјајан звекет чаша.
Google Translation into Swedish: Min pappa har redan förberett rödvinet han vill ha till middag ikväll. Snälla vänner, häll upp lite för att göra ett fantastiskt klingande av glasögon.
Google Translation into Sundanese: Bapa kuring parantos nyiapkeun anggur beureum anu dipikahoyong pikeun tuangeun wengi ayeuna. Mangga, babaturan, tuang sababaraha pikeun nyieun clink hébat gelas.
Google Translation into Tagalog: Inihanda na ng daddy ko ang red wine na gusto niya para sa hapunan ngayong gabi. Mangyaring, mga kaibigan, ibuhos ang ilang upang makagawa ng isang mahusay na clink ng baso.
Google Translation into Thai: พ่อของฉันเตรียมไวน์แดงที่เขาต้องการสำหรับมื้อเย็นคืนนี้ไว้แล้ว ได้โปรดเพื่อน ๆ เทเหล้าลงไปให้แก้วแตกกันหน่อย
Google Translation into Telugu: మా డాడీ ఈ రాత్రి డిన్నర్‌కి కావలసిన రెడ్ వైన్‌ని ఇప్పటికే సిద్ధం చేశారు. దయచేసి, మిత్రులారా, గ్లాసెస్ యొక్క గొప్ప క్లింక్ చేయడానికి కొన్ని పోయాలి.
Google Translation into Turkish: Babam bu akşam yemeği için istediği kırmızı şarabı çoktan hazırladı. Lütfen arkadaşlar, harika bir bardak şakırdaması için biraz dökün.
Google Translation into Ukrainian: Мій тато вже приготував червоне вино, яке хоче сьогодні на вечерю. Будь ласка, друзі, налийте трохи, щоб вийшов чудовий дзвін келихів.
Google Translation into Urdu: میرے والد نے آج رات کے کھانے کے لیے ریڈ وائن تیار کر لی ہے۔ براہ کرم، دوستو، شیشے کی ایک بڑی جھلک بنانے کے لیے کچھ ڈالیں۔
Google Translation into Uzbek: Dadam kechqurun kechki ovqatga xohlagan qizil sharobni tayyorlab qo'ygan. Iltimos, do'stlar, bir oz quyinglar, shunda ko'zoynagini ajoyib tarzda chayqating.
Google Translation into Vietnamese: Bố tôi đã chuẩn bị sẵn rượu vang đỏ mà ông ấy muốn cho bữa tối nay. Các bạn ơi, hãy rót một ít để tạo ra tiếng kêu leng keng tuyệt vời.
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e642 · 10 months
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Des fois quand je ne bouge pas, que je suis statique quelque part, je suis persuadée que le temps s'arrête partout, pour tout et en même temps que moi. C'est évidemment faux. J'aimerais que ce soit le cas, que le temps ne file pas, que les gens ne s'affairent pas, que le soleil ne se couche pas. Je me sentirais peut-être moins coupable de passer des heures le dos enfoncé dans ce matelas creusé depuis des années par cette position, les yeux rivés au plafond comme si je lisais un livre. C'est dans ce genre de moment que l'angoisse est la plus présente, tapie dans ma gorge, calquée à ma respiration. Quand je m'étends c'est pour me donner l'impression que l'angoisse peut se frayer un chemin dans tout mon corps et se répartir équitablement partout mais elle ne le fait jamais. Je reste seulement craintive du propre tintement de ma voix, je sais que j'existe mais c'est douloureux. Ces moments de vide me rappellent que je ne suis jamais très loin de tout ce que je m'evertue de refouler. Comme pour me rappeller à l'ordre. Un instant de répit et je redeviens l'enfant triste que j'étais. Si une seule pensée s'immisce dans ma tête, les autres affluent et pullulent. Tout fuse. L'irrationnel reprend le dessus, il n'y a plus aucun tri de réalisé, l'absurdité de certaines contrastent beaucoup. C'est fou de se laisser parasiter par autant de choses sur lesquelles je n'ai pas la main et de me culpabiliser pour ça en plus. Si je pouvais être ailleurs que dans ma tête 10 minutes par jour, je me porterai sans doute mieux. Être bloquée avec soi même ça met au pied du mur rapidement. J'ai l'esprit tellement vide qu'il se remplit de n'importe quelle merde qui peut passer. J'avais perdu cette habitude de tout me repasser et tenter d'imaginer des issues plus favorables, et elle est revenue. C'est certainement parce que ça faisait bien longtemps que je ne m'étais pas autant déçue et que je n'avais plus matière à discuter mes choix. Aucune situation n'est fixe pourtant j'ai l'effrayante impression que c'est trop tard. Que je me suis enlisée. Que c'est fini. J'essaie de colmater tous les endroits fragiles seule mais je suis évidemment dépassée par ça.
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tintement
le son brille par croyance en la lumière ; sa face lissée, qui s’offre au temps, qui s’impose pour laisser passer midi parmi les fleurs ; tintement effondré au parterre qui a débordé de sa propre mort
© Pierre Cressant
(samedi 3 septembre 2022)
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raibaru-san · 1 year
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Enquête à Blackwood Pines (Meurtres à Luton RP)
Pour @childrenofdarknight
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Quelques heures plus tôt.
Assise au bord du lit deux places qu'elle allait occuper durant son séjour, la jeune femme sonda l'écran de son ordinateur portable du regard. Soudain, une personne toqua à sa porte de manière guillerette, intonant une chanson. A la fin de celle ci, il se racla la gorge avant de demander.
Tu travailles encore ?
Après avoir reconnu la voix de son frère, la jeune femme ferma le clapet de son ordinateur avant de sourire puis de se tourner à moitié vers lui.
Moi, travailler ? Noooon.. Ok, je termine deux trois trucs et j'arrive.
On risque de rater le début du film si tu traînes trop et tu sais à quel point Manuella y porte de l'importance.
Ce dernier se décolla finalement son dos de la porte sur laquelle il était adossé avant de se résigner à hocher la tête, à lever le pouce puis à s'en aller.
Amélia soupira avant de se lever pour fermer la porte de sa chambre. Dès qu'elle revint vers le lit, elle s'y installa puis posa de nouveau son ordinateur sur ses cuisses avant de relever le clapet.
On pouvait voir sur l'écran le dernier journal de la ville de Luton où trois meurtres s'étaient produit très récemment.
1 ER MEURTRE - lundi 24 juillet 2023 Le premier meurtre s'était produit au début de la semaine en pleine nuit, dans un quartier calme de la ville. Le corps de la victime a été découvert par son colocataire le lendemain du meurtre. Elle n'avait jamais rien vu d'aussi barbare et sanglant. Même si les enquêteurs commençaient à peine à recueillir des preuves et à interroger les témoins potentiels, cherchant à identifier le tueur en série, le tueur n'avait pas perdu de temps pour tuer une seconde fois. 2 E MEURTRE - mercredi 26 juillet 2023 Un mercredi, cette fois-ci. La victime était une jeune femme dont le corps est cette fois-ci découvert par le concierge. 3 E MEURTRE - samedi 29 juillet 2023 Pour terminer, le troisième meurtre a eu lieu la veille. La victime était toujours une jeune femme, qui travaillait dans une boutique du centre commercial de Luton. On raconte qu'en tentant de fermer la boutique après une fermeture tardive, elle a été attaquée et poignardée. Encore une fois, sauvagement. Pour finir, son corps a été découvert le lendemain matin par un passant.
Retour au présent.
Et dire qu'à la base, elle était simplement venue à Luton pour prendre des vacances après ces derniers mois éprouvant.
Amélia venait d'arriver sur les lieux. Elle poussa la vieille porte rouillée dont les poignées étaient entourés de chaînes, déclenchant un tintement métallique et un crissement désagréable pour les oreilles.
Une fois à l'intérieur, elle ne prit pas le risque de refermer la porte. Elle avançait prudemment dans le hall de l'hôpital désaffecté, éclairant son chemin avec la lampe torche de son téléphone portable.
La jeune femme se rémémora un instant la véritable raison de sa venue : n'ayant pas confiance aux autorités locales, elle s'était lancée dans une enquête. Elle ne pouvait pas risquer le fait qu'il puisse arriver malheur à son frère et à sa soeur.
Soudain, un bruit la fit sursauter et elle braqua sa lampe torche dans la direction du son.
Il y a quelqu'un ? demanda-t-elle d'une voix hésitante.
Elle écouta attentivement mais il n'y avait pas de réponse. Amélia soupira et secoua la tête, se disant que c'était sûrement son imagination qui lui jouait des tours. Elle se remit en marche, scrutant les murs et les portes à la recherche d'un quelconque indice.
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pedanther · 1 year
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Some differences between the translations in chapter 98:
... et se glissant dans la cheminée en homme accoutumé à ces sortes de gymnastiques, il attira à lui la devanture de papier représentant Achille chez Déidamie, effaça avec ses pieds même la trace de ses pas dans les cendres, et commença d’escalader ...
... and slipping into the chimney like a man accustomed to that kind of gymnastic exercise, having effaced the marks of his feet upon the floor, he commenced climbing ...
Then, like a man who was used to this kind of exercise, he slipped into the chimney, pulling to behind him the paper screen representing Achilles with Deidamia, rubbing out with his feet even the traces of his footprints in the ashes, and began to climb ...
I’m not sure whether the older translator left out “the paper screen representing Achilles with Deidamia” because he considered it an irrelevant detail (which he’s done before) or because he recognised that its relevance is foreshadowing the return of Eugénie and Louise to the story by extending the “Hercules and Omphale” motif from the previous chapter and adding another mythical hero to list of people Eugénie has been compared to.
(Buss notes, by the way, that both the story of Hercules and Omphale and the story of Achilles and Deidamia involve the hero cross-dressing.)
—Eh bien, mes fils, répondit le brigadier, il faut que le brigand se soit véritablement distancé de nous ce matin à la bonne heure; mais nous allons envoyer sur la route de Villers-Cotterêts et de Noyon et fouiller la forêt, où nous le rattraperons indubitablement.» L’honorable fonctionnaire venait à peine, avec l’intonation qui est particulière aux brigadiers de gendarmerie, de donner le jour à cet adverbe sonore, lorsqu’un long cri d’effroi, accompagné de tintement redoublé d’une sonnette, retentit dans la cour de l’hôtel.
“Well, my boys,” said the brigadier, “the brigand must really have escaped early this morning; but we will send to the Villers–Coterets and Noyon roads, and search the forest, when we shall catch him, no doubt.” The honorable functionary had scarcely expressed himself thus, in that intonation which is peculiar to brigadiers of the gendarmerie, when a loud scream, accompanied by the violent ringing of a bell, resounded through the court of the hotel.
“Well, lads,” the brigadier replied, “the bandit must have got well away early this morning; but we shall send out along the roads to Villers-Cotterêts and Noyon, and scour the forest, and that is where, incontrovertibly...” The worthy officer had just given birth to this high-sounding adverb, with the intonation peculiar to his kind, when a long cry of terror, accompanied by the frantic ringing of a bell, shook the courtyard of the inn.
An example of the kind of choices a translator is faced with: what to do about the high-sounding adverb, when English grammar doesn’t allow it to be comfortably placed at the end of the sentence? Buss chooses to sacrifice a few words so that it’s the last word the gendarme speaks before being interrupted (which has the additional effect of highlighting the drama of the interruption); the older translator keeps the entire utterance, but leaves out the comment about the adverb.
Les deux femmes, serrées l’une contre l’autre s’enveloppant dans leurs couvertures, restèrent muettes à cette voix suppliante ...
The two ladies, pressing closely to one another, and drawing the bedclothes tightly around them, remained silent to this supplicating voice ...
The two women, clasped in each other’s arms, their blankets wrapped around them, remained deaf to this pleading voice.
Taken with everything else, “clasped in each other’s arms” gives a bit of a different picture than “pressing closely to one another”.
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coeurencrise · 10 months
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Cette année encore, l'été sera lourd. Le ciel sera brodé dans la grâce de la douleur et la chaleur, comme à son habitude, un joug visant à m'achever. Avant que mon chat ne quitte ce monde, j'espérais conquérir les saisons. Envelopper mon esprit de leurs attributs respectifs en me laissant petit à petit regagner par la joliesse de la vie battant au creux de ma nuque... jusqu'à hier, du moins. Ce drame s'est produit. Retour à la case départ, retour à la case "mais si, tu savais". Au fond, j'imagine qu'on est tous au courant et qu'on se persuade du contraire : l'existence est une belle merde.
Pourquoi est-ce que je ne me fais à rien ? C'est moi qui fais la difficile ? Je m'accroche à chaque once de regret et d'espoir gâté pour brasser mon amertume et, aussi rapidement que viscéralement, elle continue à macérer. Le processus s'accélère. À force, j'ai l'impression que ça me plaît : cueillir tout ce qu'il y a de désespérant pour encore plus me désespérer.
Je pense que je fais ça parce que la tristesse nécessite moins d'entretien que la joie. Que nulle lumière ne risque de s'éteindre en vivant dans l'obscurité, et quand je parle d'obscurité, je parle de fermer très fort les yeux pour ne pas se laisser tenter par la beauté des étoiles.
Ça fait quelques mois que je n'accueille plus les belles choses. Il n'y avait que mon chat, mon meilleur ami, pour aisément défaire le verrou ayant condamné mon cœur. Les animaux doivent être envoyés par Dieu en personne pour être capables de tels miracles.
Quand je regardais Kuro, j'apercevais un ange. Ses miaulements étaient pour mes oreilles le tintement des clochettes réservé aux âmes montant aux cieux. Ce "simple" chat était un symbole de paix, une aide à la guérison. Un royaume de tendresse tenant sur quatre pattes. La preuve même que ce monde abrite du bon. Près de lui, tout semblait soudain beau et juste. Bien sûr que je suis aujourd'hui dévastée face à toute cette lumière réduite à néant. Mon soleil est mort.
Il y a une solitude propre à l'homme : la solitude ressentie près des siens. Ce manque d'appartenance qui tache et qui tue. Une solitude ne faisant pas sens en présence d'un ami animal.
Connaissant la portée des mots, quelle stupéfaction est-ce de se trouver face à une créature capable de faire surgir les merveilles de l'univers à travers sa simple existence.
C'est donc ça, la pureté ? Une chose qui ne s'apprend pas et que j'ai connu de près grâce à un amour de chat.
Je savais que le perdre ferait basculer mon quotidien en enfer. Ma souffrance n'a bien entendu rien d'étonnant, mais peut-on être préparé à ça ?
Kuro, qu'est-ce que tu me manques. Ça ne fait qu'une semaine que tu es parti mais tu me manques terriblement parce que je sais que ce n'est que le début. Que ce manque va s'accroître, qu'il va prendre encore plus de place.
Mon petit frère m'a dit qu'il se sentait vide et que même si rien ne pouvait te remplacer, il songeait à adopter un autre chat afin de lutter contre l'espace grandissant dans cette maison. Je pourrais le faire pour lui mais j'ai peur. Je ne m'en sens pas encore capable. Une voix me dit que toi, mon petit Kuro, aimerais qu'un autre profite de l'amour que j'ai à donner mais je ne sais pas. Je t'aime trop. Je t'aime toi. Tu m'as tout appris.
Sans toi, je ne suis qu'une terre de désolation.
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oneiric-misfit · 8 months
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Oberynxafab!OC / mature
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Résumé : "Et quand il posa son regard sur elle, il sut. Inévitablement, indéniablement, il sut. Comme il savait que le soleil se levait chaque matin, comme il savait que la lune brillait chaque et que le printemps succédait à l'hiver. Il sut, qu'il mourrait pour elle. Et quand elle le regarda, elle sut. Indubitablement, incontestablement. Jusqu'à ce que le soleil ne se lève plus sur leur monde, jusqu'à ce que les étoiles se meurent et que l'hiver soit éternel. Elle sut, qu'elle vivrait pour lui."
Mots : Env. 60 000
TW : Violence, sang, angoisses, fausse couche, v*ol, mort, smut, oral sex, deuil, torture, trahison, rupture.
Tags : Soulmate, enemy to lovers, second chance, smut.
Rating : Explicit / 18+
L’honnêteté Dornienne
Appelle-moi Oberyn
L’ordre appelle le chaos
La bête qui sommeille
Songes
Qu’est-ce que tu désir ?
Tintements
Orgueil
Mourir pour toi
Trahison
The Wistfull Princess
The Red Vyper
Nymor
Briser nos deux cœurs
Emporter mon âme
Enfer
Les amants maudits
Celle qu’il avait trouvé sans jamais l’avoir cherché
Amour crucifié
L’héritière des sept couronnes
Deuil
Purgatoire
Jusqu’à ce que notre mon disparaisse
Chapitre Bonus : Sororité
Chapitre Bonus : Je ne suis personne
Chapitre Bonus : Une marque noire sur son âme
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grand-mechant-loup · 1 year
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Je vais te faire mal...
«  Je vais te faire mal tu sais ? »
Comment j’en suis arrivé à prononcer cette phrase ?
Cela fait 6 mois que S et moi sommes ensemble, quoi que cela veuille dire. Nous nous voyons régulièrement, le plus souvent que nos emplois du temps nous le permettent, nous faisons l’amour toutes les nuits que nous avons en commun et c’est incroyablement bon.
S est ouverte, et nous avons rapidement trouvé l’un et l’autre ce qui nous procure du plaisir. Pour autant, je sens que la communication est difficile pour elle. Mais pas tout le temps. Elle parle aisément de sa faculté à éjaculer par exemple (j’ai pour ma part assez rapidement identifié ce qui pouvait l’amener à cette effusion). Mais quelque chose n’est pas dit et je sens qu’elle aimerait aborder le sujet. Cependant cela ne viendra pas d’elle.
Un jour elle me dit qu’elle a lu quelques jours auparavant une nouvelle érotique. J’essaie de la questionner mais elle ne m’en dit pour le moment pas plus.
Quelques semaines plus tard je reviens à la charge et lui demande de quoi parlait cette nouvelle. Elle tourne un peu autour du pot, et ne me répond pas vraiment.
«  C’était sur un blog. Il y en avait beaucoup. Si je la retrouve, je te l’enverrai. »
Et de fait elle finit par me l’envoyer.
La nouvelle parle d’une femme qui participe à un jeu entre adultes. Plusieurs hommes sont assis à une table. La femme est sous la table. Une cloche retentit et à chaque tintement, la femme doit sucer un homme de son choix et si possible le faire jouir. Les hommes de leur côté ne doivent pas laisser transparaître leur trouble éventuel.
La femme n’a pas le droit de s’occuper de plus d’un homme à la fois sous peine d’être punie. Evidemment, elle fera ce qu’il faut pour être punie.
Ce que je relève, et que S me confirme d’ailleurs, c‘est l’aspect domination/soumission. « C’est quelque chose qui m’excite beaucoup. »
Je creuse un peu la question pour connaître son expérience dans le domaine. Elle me parle de contrainte, de cravache…
De mon côté je pratique volontiers la fessée et l’idée lui plait. J’émets l’idée de nous procurer une cravache et elle valide avec enthousiasme.
Il y a donc eu une nuit de découverte. De fessées d’abord qui m’ont permis de déterminer ce qu’elle était capable de supporter. Le fait est que mes mains ne semblent pas atteindre sa limite de douleur.
Nous passons donc à la cravache. Je demande à S de s’agenouiller face au mur, le cul vers moi. Elle tend les fesses. Elle est excitée.
L’expérience est nouvelle pour moi et pourtant je me glisse aisément dans mon nouveau rôle. Je teste un peu l’élasticité de l’outil et très rapidement je suis prêt. Je maîtrise le claquement efficacement. S gémit bruyamment à chaque coup qui vient lui brûler l’épiderme. Son corps ondule comme pour mieux appréhender la douleur mais jamais elle ne demande d’arrêter ni ne cherche à se soustraire à mes coups que j’intensifie pourtant avec une excitation non dissimulée.
Après cette séance, ses fesses garderont des stries qu’elle m’enverra en photo.
J’en garde un trouble que je n’aurais pas imaginé.
Quelques jours plus tard S doit se rendre dans une autre ville pour un voyage professionnel. Elle me propose de la rejoindre à l’hôtel. Je lui explique que je ne vais pas pouvoir prendre le train avec la cravache qui dépasse de mon sac. Cependant, j’ai l’idée d’un outil de remplacement. Elle me demande lequel mais je préfère le lui montrer le moment venu.
Le soir, nous sommes dans le lit de l’hôtel, je l’embrasse. Le moment est d’une tendresse rare. Nous sommes excités.
« - Je vais te faire mal tu sais ?
- Oui je sais.
- Tu en as envie ?
- Oui j’en ai envie. »
Je lui demande alors de reprendre la position de la dernière fois, à genoux, face au mur. J’ai déroulé ma ceinture en cuir, j’en ai fait une boucle dont je règle la longueur pour qu’elle ne soit ni trop longue, ni trop courte. Rapidement, je lui assène le premier coup. J’observe sa réaction. Elle gémit et tortille des fesses comme pour appeler un nouveau coup. Je m’exécute à cette injonction tacite.
Je multiplie les coups, je ne mesure pas vraiment la force que j’y mets. Elle gémit, elle crie. Parfois, je fais une pause et empoigne son sexe trempé pour y enfoncer mes doigts brusquement comme je sais qu’elle aime. Puis je reprends mes coups.
Quand j’estime que continuer pourrait la faire basculer dans une douleur prédominante qui l’empêcherait de penser l’acte, de l’intellectualiser et donc d’y prendre du plaisir, je m’arrête. Je lui demande alors de s’allonger. Je lâche ma ceinture et je m’applique désormais à lui donner du plaisir, comme pour la récompenser de sa résistance à la brûlure du cuir.
En très peu de temps elle enchaîne trois orgasmes. Elle éjacule abondamment à chaque fois et nous finissons la nuit dans une flaque. 
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