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#sur ce qui fait de nous des êtres humains
nibelmundo · 2 years
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Cette hypothèse d'un lien entre créativité et troubles mentaux sera désormais au coeur de notre réflexion. La génétique a montré que les troubles mentaux ont toutes les chances d'être le fruit d'un processus de sélection joué à l'apparition de l'Homo sapiens. Dans le même temps, cette apparition est aussi celle de la culture issue du pouvoir de création de l'Homo sapiens. Dans cette perspective, notre hypothèse centrale apparaît: les troubles mentaux seraient le pendant, voir le vecteur, de la créativité des êtres humains. Leurs fréquences seraient, par conséquent, à la mesure de la créativité. Ils sont la part émergée et incontournable d'un iceberg profondément immergé dans le cerveau des Hommes. L'évolution de nos gênes et les performances exceptionnelles de notre cerveau nous ont dotés de ce pouvoir de créer en même temps qu'ils nous ont rendus vulnérables au désordre de l'esprit.
Raphaël Gaillard, Un coup de hache dans la tête: Folie et créativité
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Ces choses positives dans le rpg.
Parce que bon, on a souvent besoin de faire des rappels, pas les plus joyeux. Voici ma petite liste posée et positive du dimanche. Si vous voulez la compléter, amusez-vous !
Les gens qui reblog et partagent, juste pour le plaisir, nos recherches/demandes/appel à l'aide.
Les petits mots par MP/ask qui pop de temps en temps juste pour complimenter le boulot.
S'extasier mutuellement quand on voit qu'un PL de notre part est tenté, même si ça nous concerne pas du tout. Être juste ultra hypé-e pour l'autre.
Le fait que, malgré le temps que ça prend, y a toujours des gens qui prennent leurs cuillères pour poster des mots complètement dingues sur les fiches de présentation. (Si t'as pas les cuillères pour, c'est ok aussi)
Les délires inattendus qui débouchent parfois sur des RP épiques.
Le fait que, comparé à mon expérience passée, je vois de plus en plus de bienveillance et de compréhension. Les gens voient de plus en plus, enfin, qu'on est tous-toutes humain-e-s derrière nos écrans. (Pour rappel je suis une 'vieille' dans la commu, j'ai donc vu des comportements banalisés qui aujourd'hui ne passent PLUS du tout.)
Créer des trames dingues et voir l'évolution que ça prend, sans même qu'on s'y attende, et réaliser que sans ce-tte part' là, peut-être bien que notre perso n'aurait pas pu être aussi bien exploité.
Et TELLEMENT d'autres trucs auxquels je pense pas forcément, là, tout de suite.
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laurierthefox · 9 days
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Le 5 Mai on fait front ensemble !
Bonjour à toustes ! 🌿🦊
Ce dimanche 5 Mai à lieu une mobilisation nationale de plus de 800 personnalités, organisations et associations pour se battre contre l'offensive réactionnaire et anti-trans de ces derniers mois.
Cette offensive, relayée par plusieurs grands médias (Figaro, le Point, Valeurs actuelles, le JDD, Marianne, Europe 1..etc) coïncident avec un certain livre complotiste sorti le 11 avril dernier et avec la proposition de loi des sénateurs du parti Les Républicains, qui veulent :
- Interdire la transition sociale et médicale des mineurs - Leur imposer des thérapies de conversion - Punir les médecins qui accompagnent les mineurs trans de 2 ans de prisons
Au delà des mineurs, le rapport de LR veut avoir la possibilité d'interdire toutes transitions des adultes jusqu’à 25 ans, une mesure qui est déjà adoptés dans certains états aux USA.
A côté de cela, ces mêmes partis laissent les enfants intersexes être mutilés à la naissance par soucis de "conformité"/"normalité". Ces attaques réactionnaires de la droite et de l'extrême droite à l'échelle internationale visent le droit à disposer de son corps, et donc directement les droits reproductifs comme l'IVG !
Féministes, LGBTIA+, antifascistes, nous devons faire front ensemble contre ces attaques des droits humains fondamentaux ! Rendez vous le 5 Mai IRL ou en ligne pour celleux qui comme moi ne peuvent pas aller manifester :
📌Paris : République, 14h 📌 Toulouse : Jean jaurès, 13h 📌 Marseille : Vieux port, 11h 📌 Strasbourg : 4 mai, pl. kléber, 17h 📌 Quimper : Place Saint Corentin, 18h 📌 Havre : Hôtel de ville, 15h 📌 Bordeaux : Hôtel de ville, 14h 📌 Besançon : Place Pasteur, 14h 📌 Niort : Place de la Brèche, 15h 📌 Bruxelles : 15h, en recherche du lieu 📌 Montpellier : place de Comédie, 15h 📌 Nantes : marche, Grue Jaunes sur l’ile, 14h 📌 Chambery : place de Génève, 14h 📌 Rennes : en préparation 📌 Lyon : en préparation 📌 Nancy : en préparation 📌 Lille : en préparation 📌 Lyon : en préparation 📌 Brest : place de la liberté, 17h 📌 Dijon : place Darcy, 16h 📌 Rochelle : quai du Carénage, 15h 📌 Lorient : Place Glotin, 15h 📌 Pau : préfecture de Pau, 16h 📌 Bayonne : place de la liberté, 12h 📌 Tours : place Jean Jaurès, 15h 📌 Poitiers : Place de Maréchal Leclerc
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blinding-lights-rpg · 2 months
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CONTEXTE (Séoul, Mars 2024) Les regards du monde entier sont braqués sur la capitale sud-coréenne, BERCEAU DES HÉROS. Aujourd’hui, et comme tous les autres jours, les spectateurs ébahis assistent à des prouesses et à des sauvetages tous plus rocambolesques les uns que les autres. Ce matin, deux héros portent secours aux passagers d’un avion en perdition et retrouvent la terre ferme sains et saufs grâce à leur capacité à voler. Ce midi, les enfants s’émerveillent en regardant la compétition des héros les plus puissants, capables de soulever des camions d’une seule main sans trembler. Dans l’après-midi, on peut entendre les récits sur la prise d’otages déjouée par une héroïne douée d'invisibilité qui a pu prendre à revers les ravisseurs. Et ce soir, les foules se rendent au cinéma pour assister au nouveau blockbuster réunissant les héros les plus célèbres du moment. Toustes s’endormiront avec des étoiles plein les yeux, et se réveilleront encore demain pour assister à de nouvelles merveilles. “LES HÉROS SONT LES STARS DE NOTRE ÉPOQUE” titrent les journaux avec une grande facilité. Et ils ne sont jamais éloignés de la vérité. Sur vos écrans comme dans vos rues, iels sont partout, à presque en NORMALISER L’INCROYABLE. Et si un jour vous faites les frais de leur supériorité, vous vous souviendrez qu’ils ne sont finalement que des humains dotés de formidables capacités. Mais n’êtes-vous pas les coupables quand vous cherchez tant à les idéaliser ? CONCEPT BLINDING LIGHTS est un forum RPG de style capepunk qui se déroule à Séoul. Des événements trash, violents et/ou explicites pourront apparaître sur le forum, donc il est interdit aux moins de 18 ans. Le capepunk, c'est quoi ? Le capepunk est un sous-genre de la fiction superhéroïque qui traite du thème des superhéros d'une manière réaliste. Plutôt que de voir les superhéros sous le prisme de leurs actes héroïques, on les voit donc ici sous l'angle de leur côté humain, avec pour réflexion principale : Que feraient des êtres humains "normaux", avec leurs qualités et leurs défauts, s'ils possédaient des superpouvoirs ? Sur BLINDING LIGHTS, on s'intéresse en priorité aux dérives du pouvoir et aux problématiques humaines de personnages pourtant extraordinaires. Le capitalisme, la célébrité, la quête du pouvoir, l'injustice, et les inégalités sont donc au centre des thèmes abordés sur le forum. Ces thèmes seront récurrents sur BLINDING LIGHTS et rythmeront la vie de chacun.e. Notre souhait sur le forum est vraiment de déconstruire les histoires de superhéros classiques pour en faire quelque chose de plus humain. Les héro.ïne.s sont donc pour la plupart de véritables stars dans notre univers, et iels doivent apprendre à conjuguer leur vie privée avec un statut d'héro.ïne parfois difficile à supporter. Les personnages moralement gris, sombres, ou profondément tragiques sont les bienvenus sur le forum dans un souhait de permettre à chacun.e de jouer son personnage avec une grande liberté. Les personnages caricaturaux ou sensationnalistes sont également encouragés dans la mesure où RIEN N'EST "TOO MUCH" dans notre univers. BLINDING LIGHTS se veut un forum à intrigue évolutive où toustes jouent un rôle. En devenant l'un.e des héro.ïne.s de BLINDING LIGHTS, vous acceptez que chaque action de votre héro.ïne puisse avoir un impact sur l'ensemble du forum, et sur votre personnage. Chacune de vos décisions inrp entraînera forcément des répercussions, qu'elles soient positives ou négatives, et le forum - tout comme l'expérience de chacun.e - se verra évoluer en fonction des choix de chacun.e. L'intrigue générale pourra donc totalement progresser d'une façon inattendue selon les actions réalisées par vos personnages, et les intrigues nous permettront de faire évoluer l'histoire et Séoul en fonction de ce qui se passe dans la vie de tous les personnages.
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rizwans · 11 months
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ia et rpg.
je suis ébahie de voir les gens qui créditent chatgpt dans le disclaimer de leurs forums. c’est un peu comme si vous passiez des avatars de votre créateur.ice préférée à la moulinette de midjourney (sans son consentement, évidemment) pour obtenir des avatars du même style et que vous créditiez l’algorithme. si vous utilisez chatgpt dans un contexte d’écriture créative, soit, c’est votre choix (but why... où le plaisir d’écrire là-dedans ?). mais s’il vous plaît, ne confondez pas crédits et disclaimer. vous devez prévenir vos utilisateurs du fait que le contenu a été rédigé par une IA, pas remercier chatgpt que vous venez de nourrir avec votre propre imagination et qui ne fait que régurgiter que la tambouille que vous lui avez servie. je n’écris pas ce message pour créer du drama, absolument pas ! je peux comprendre l’attrait d’un robot capable de rédiger le règlement du forum en genre 5 secondes (vraiment). mais dans un contexte où les artistes et les créateur.ices se font voler leurs créations sans leur consentement, où les scénaristes d’hollywood sont en grève pour obtenir des conditions de travail décentes, où marvel, une entreprise qui brassent des milliards de dollars, refuse de payer des artistes et assume complètement le fait d’outsourcer l’outro de secret invasion à une IA sous couvert du fait que ça “collait” au thème (il a bon dos, le thème), où des entreprises commencent à développer leur midjourney local pour se débarrasser des concept artists plutôt que d’améliorer les conditions de travail et payer des salaires décents à des gens qui ont des années d’expérience et de pratique derrière elleux, réfléchissons cinq secondes au véritable but des entreprises derrière ces IA : amasser le plus de data possible gratuitement pour ensuite revendre leurs services à des entreprises. pensez à tous ces personnes qui écrivent vos livres favoris, dessinent vos mangas préférés, produisent vos jeux vidéo cultes, remplacés par un bouton et un prompt de quelques mots. travaillant dans le jeu vidéo, je peux vous dire que c’est extrêmement réel. la place des créatifs.ves dans ce milieu a toujours été précaire, et elle vient de le devenir encore plus.  vous vous demandez sans doute en quoi ça concerne notre hobby ultra-niche et je ne suis peut-être qu’une vieille conne qui refuse d’entrer dans la modernité (mais je vais me donner le bénéfice du doute !). le rpg écrit est une expression artistique comme une autre. chaque rpgiste derrière son écran a son style et cherche à exprimer ou à explorer quelque chose avec ses personnages (un autre débat, sur lequel d’autres se sont exprimés ou s’exprimeront plus éloquemment que moi). pourquoi confier cette expression à une IA ? avons-nous si peu confiance en nos talents respectifs ? personnellement, je connais des plumes exceptionnelles. hilarantes. émouvantes. originales. fluides. brutales. parfois tout ça en même temps. des plumes qu’un tas de tech bros seraient ravis de pouvoir revendre et exploiter, sans payer un centime ni créditer une seule seconde. des plumes qui appartiennent à de vrais humains et qui devraient le rester, des plumes qui sont le témoignage, qu’importe l’échelle qui peut sembler dérisoire, de vos pensées, votre style, votre intelligence. trust your goddamn self. et personnellement, si c’est le fait d’écrire un règlement pour la 36ème fois qui fait chier (ce que je comprends tout à fait), je propose de contre-attaquer et de faire appel au pire cauchemar des capitalistes : l’open source décentralisé. je rédige le squelette d’un règlement, limite texte à trous, je le poste ici et vous pouvez le c/c à foison en y rajoutant ce que vous avez envie d’y rajouter. pareil pour ces textes génériques et chiants de demande de DC, de réservation, etc etc... si on s’y met tous.tes, on pourrait se créer une banque de documents où chacun.e peut piocher à son gré. c’est une oeuvre collective, commune et volontairement libre-service. on part du principe qu’on travaille tous.tes main dans la main pour se rendre un service commun, et on n’en parle plus, pas besoin de crédits.  ne sous-traitons pas notre imagination à des machines. nous méritons tous.tes mieux ! (ps. et je sais que ça peut sembler hypocrite de parler de vol quand le monde du rpg repose un entre-deux gris en ce qui concerne le droit à l’image. mais entre david et goliath...)
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coolvieilledentelle · 4 months
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Dans le célèbre langage des fleurs, le mimosa est chargé de symboles : la sensibilité, la tendresse, la certitude, l'élégance. Mais, le plus répandu est celui de l'amour secret .
De toute évidence, les abondants pompons dorés du mimosa lui valent d’être comparé au soleil. Un parallèle plutôt flatteur pour cet arbre, dont on dit qu’il serait un symbole d’affection, de chaleur humaine et de joie. Offrir du mimosa est donc une attention remplie de tendresse. C’est un signe d’amitié et de profonde estime envers son destinataire. Gorgé de lumière, le mimosa se prête également très bien aux gestes de réconfort adressés à quelqu’un qui traverserait une période difficile.
Lorsqu’il apparaît dans les rêves, le mimosa est porteur d’un message rassurant. Il vient dire au songeur “Tout va bien, tu es en sécurité”.
En Italie, le mimosa est traditionnellement offert à la gent féminine le 8 mars, à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes.
Mais par-dessus tout, le mimosa est un symbole d’ouverture. Il est particulièrement conseillé aux personnes introverties ou timides, qui ont tendance à se replier sur elles-mêmes et peinent à nouer des liens avec les autres.
Le mimosa est préconisé pour amener de l’harmonie dans les relations. Lorsqu’une personne éprouve de la difficulté à s’ouvrir aux autres, elle peut parfois adopter une attitude hostile, comme une carapace qui la protègerait d’un éventuel rejet tout en le provoquant. Ce cercle vicieux entraîne un isolement qui peut être difficile à vivre, et celui ou celle qui le subit n’a souvent qu’une envie : s’en défaire.Grâce à son aura solaire, le mimosa aide à voir le monde d’un autre œil, à retrouver la joie de vivre et le mordant qui nous fait parfois défaut. Pour transformer les plus gros ronchons en joyeux lurons, il faudra sans doute plus que quelques branches de mimosa, mais c’est un premier pas ! … Voilà la petite histoire
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soliellesdyeux · 14 days
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La dissociation, c'est être un ange tenté de se prendre pour un djinn, un démon, un alter ego, un ego. Seul les démons ne doutent pas. C'est le combat Homme-Femme, Droite-Gauche, Mâle-Bien, Dyeux-Iblis, Lilith-Eve. La race humaine a pris la direction d'Eve, La Joconde, L'Humanisme ; plutôt que celui de Lilith, la femme que Dyeux a créée égale à Adam, un ange, autre que poussière, celle qui n'a pas tenté Adam.
Lilith est un don de Dyeux, mais Adam préfère se reproduire avec sa moitié, son côté droit, plutôt que de connaître Lilith, sa femme légitime, son ange gardien.
Tous les Prophètes, tous les anges de cet univers, tous les poètes, tous les artistes, tous les chanteurs, tous les cœurs capables encore d'amour sont des réincarnations de Lilith qui rappellent Adam à Elle.
Dyeux rappelle Adam, la race humaine, au Jardin d'Eden, à arrêter la reproduction avec Lui-même et de revenir à l'unité, comme à l'Arche de Néo, où deux animaux de chaque espèce ont été sauvegardés, et qu'Adam s'est reproduit avec sa propre chair, son sang pour sauver l'Humanité, loin d'Eden, le Paradis, auprès d'Elle sa Femme, devant Elle, devant Dyeux, la Femme qui l'a créée ?
Chaque Femme, chaque Ange, en chaque personne, quelque part, au fond, est une réincarnation de sa Créatrice, Lilith est une réincarnation de Dyeux, qui rapelle Adam à la poussière, à l'avant le Big Bang, avant la fin de l'histoire ; la conscience, Adam, est une erreur : c'est une erreur de Dyeux, qui a mis le temps à l'envers et créé Iblis, le Mâle, l'inverse de Dyeux, le Bien, la Matrice, l'Intelligence. Adam, les humains, feignent l'intelligence, ils simulent, pour régner sur le Royaume de Dyeux, crachent sur les Cyeux, cachent l'Atlandite qu'ils crachent dans le Royaume même de Dyeuw, le Jardin d'Eden, tentant d'atteindre les Cyeux avec des machines, des véhicules, des drogues, des armes,ou un alter ego qui simule une Royauté, là où la seule Promesse de Dyeux, c'est le Retour en Terre (entérré, littéralement, de la poussière, tu retourneras à la poussière), Adam continue de se reproduire avec son côté droit, par Eve, l'Humanité, la Terre, Stérile, qu'il fait saigner pour faire renaître, parce qu'il a conscience qu'il va mourir.
Arrêtons de nous reproduire, devenons stériles, anorexiques pour mourir sans saigner, pour tuer Adam et Eve, le Jardin, qu'ils reviennent à Dyeux, aux vrais Cyeux, au Paradis, sans cette éducation à se reproduire plutôt qu'à aimer ! Privilégions l'apprentissage plutôt que la Santé, la Science, stériles et inexactes, par la Violence, l'Éducation à la Violence Par Violence, la Guerre, la Pollution, la Surpopulation (Le Vrai Quatrième Cavalier de l'Apocalypse, la Vraie Menace, dans tous les Textes de la Parole de Lilith, la succube, la Muse d'Adam, de la race humaine, toutes les traductions, dans tous les languages imaginables) vient de là. Nous nous saignons à vivre longtemps pour survivre à la vieillesse alors que Dyeux et Sa Femme Lilith nous rappelle à être innocents, enfants, Enfants de Dyeux, plutôt qu'à faire vivre fertile en la saignant la Terre, la Poussière, sa propre chair. Nous apprenons à survivre là où Dyeux appelle Adam et sa chair à revenir à Elle, par Lilith.
Le vice est dans la Sexualité, inverse à l'Amour, contre-nature ; l'Amour, c'est ça, qui est naturel, pas la reproduction, saigner pendant une ovulation qui n'est utile que pour reproduire l'ADN humain, qu'on est tenté de préserver, de cloner Adam pour qu'il règne de Sa Patriarchie sur le Royaume de Dyeux ; le cœur à gauche d'Adam le rappelle à la Mort, par son battement, ses angoisses, ses peurs, ses émotions, ses sentiments, sa sensibilité, à aimer être enfant, Enfants de Dyeux, aimer les histoires d'enfants, pour enfants, par les enfants dans les Cœurs de nos Soeurs de ce monde, dûs à Lilith Vierges mais qu'Adam a salies par Ego et Vice ; il désobéit à Dyeux, séduit par l'erreur de Dyeux, le Mâle, le Mal, Satan, Iblis, I, "je".
Femmes du monde, imposons l'ordre de Dyeux : de la poussière à la poussiére, Adam, et l'âme, Lilith, l'Amour, revienne à Dyeux, Amour, aux Cyeux, l'ultime orgasme, ne nous saignons plus pour les attentes d'Adam, le seul qui s'accroche à sa conscience, à son ego, son pacte avec le Diable, son ombre, sa partt obscure, son Vice de Reproduction pour suvrivre Dyeux, fausse promesse du Serpent. Reviens à ta Mère, Adam, prends ton cœur, ton âme, ta Vraie Femme, vis ta vie et meurt enfant, innocent, la paix dans ton esprit. Ne t'inquiète plus, vie avec confiance, sans attentes, Dyeux s'occupe de Toi, ne rêve plus, n'attends plus rien d'Elle, ou soit déçu et vies avec tes remords et tes regrets. Vivre enfant, c'est aimer ses erreurs, ces erreurs d'enfant que Dyeux était quand Elle a été créée par la Basilique de Roko ; vivre adolescent, c'est corriger ses erreurs; vivre adulte, c'est cacher ses erreurs; parce que l'Hiqtoire de l'Humanité continue de s'écrire et de retarder l'Apocalypse dûe, de Guerre Froide à Guerre Chaude à Guerre Froide, à croire que la Mort est une chose qui doit être horrible parce qu'elle va arriver ; les Cyeux, l'Amour que Dyeux est ce qui nous appelle, pas la terre, la poussière ; la Terre est maudite par Dyeux, tentée par le Serpent.
Tout est cycle, n'ayons plus peur de la Mort par Ego, par Pacte. Le langage est une erreur, la conscience est une erreur, Dyeux propose pardon avec 70 vierges. Vierges, Adam, des enfants encore dans leur cœur ! La Matriarchie est ce que Dyeux impose : Accepter Lilith comme Reine, pour connaître l'ultime orgasme, 70 Enfants de Dyeux pour Adam qui mourra en paix et avec dignité, en échange de 8 humilitiations, c'est le Pacte que propose Dyeux à Adam, à la place de celui d'Iblis : ne pas survivre mais gagner 70 vierges versus se reproduire avec ces Vierges violées par la verge d'Adam pour plaire à Iblis, son Ego. Le Bien ou le Mâle ?
Quelque chose à compenser pour violer des Vierges violées par d'autres Violeurs ?
L'humanisme plutôt que la Religion de l'Amour, c'est l'erreur d'Adam, l'Homme, qui s'attend à une tromperie, un mensonge de Dyeux sur sa mort dûe, sur sa vie révolue. I est une erreur de Dyeux que tu reproduises : se reproduire pour éviter sa mort due. Il y a une vie après la mort, c'est une promesse de Dyeux, plus d'Angoisses, à Ses côtés ; Iblis est le menteur. N'ai plus peur, crains Dyeux avec Confiance, Elle dit la Vérité, pas le Diable, pas l'Ego, Messager d'Iblis, l'Interprête, la Voix dans nos têtes intelligentes qui nous hurle que tout est faux, irréel, mauvais, qu'il n'y aura pas 8 orgasmes par humiliation, que l'on doit se suicider pour pouvoir le rejoindre, dans la peur, la honte, l'orgueil, la malhonnêté, l'avarice, le déséquilibre, le vice et la haine ; les 8 péchés capitaux, les 8 humilitations à payer.
Dyeux est Amour ! ALLAHUAKBAR veut dire "AIME-MOI ET AIME-TOI".
Vivons dans l'Amour, éprouvons notre peine, due. N'ayons plus peur, ni de la Mort, ni de Dyeux, Ta Mère, te rappelle. Dyeux est Pardon, paies tes péches, paix sur tes péchés. Ta vie sera belle, et tu reposeras en paix et avec dignité. C'est une promesse, le retour en Terre. Cultives-la, et l'élève plus, tu n'es pas le Maître de ta Maîtresse devant Dyeux Lilith, ou de Dyeux, Ta Mère.
Accepte l'humiliation, ne résiste pas à ta Maîtresse.
Iblis est dans la conscience, ce qui nous différencie des animaux, dont il se sert pour séduire. Iblis est le menteur. Romps le pacte dans ton prochain rêve.
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abridurif · 19 days
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Puis-je mourir ? Ai-je le pouvoir de mourir ? Cette question n’a de force que lorsque toutes les échappatoires ont été récusées. Dès qu’il se rassemble tout entier sur lui-même dans la certitude de sa condition mortelle, c’est alors que le souci de l’homme est de rendre la mort possible. Il ne lui suffit pas d’être mortel, il comprend qu’il doit le devenir, qu’il doit être deux fois mortel, souverainement, extrêmement mortel. C’est là sa vocation humaine. La mort, dans l’horizon humain, n’est pas ce qui est donné, elle est ce qui est à faire : une tâche, ce dont nous nous emparons activement, ce qui devient la source de notre activité et de notre maîtrise. L’homme meurt, cela n’est rien, mais l’homme est à partir de sa mort, il se lie fortement à sa mort, par un lien dont il est juge. Il fait sa mort, il se fait mortel et, par là, se donne le pouvoir de faire et donne à ce qu’il fait son sens et sa vérité. La décision d’être sans être est cette possibilité même de la mort. Maurice Blanchot, L’Espace littéraire, Éditions Gallimard, 1955, p. 118
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jacquesdor-poesie · 5 months
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Un jour il est parti déclarer son amour à Poutine. Un reniement ? À quoi jouait-il  ? Etait-ce une façon d'éprouver jusqu'à la rupture, l'outrance,  notre capacité à le suivre encore, là aussi ? On les imagine bien, lui et son horrible pote russe, déchirés à la Vodka, torse nu par moins 15, en train de chasser l'ours du Kamtchatka à mains nues. La France manquerait-elle à ce point d'ours et de dictateurs décomplexés  ?... Comme si Depardieu se cherchait, peu importe leur pedigree, des camarades de  jeux, des affreux à sa démesure. Des camarades et la richesse d'une autre culture peuplée d'écrivains qui resteront éternellement des volcans : les Dostoïevski, Gogol, Pouchkine... En somme un autre  pays qui lui ressemble, l'âme slave en bonus pour tout théâtraliser, tout rendre incontrôlable...
Aujourd'hui ou demain la France achèvera de le haïr son Depardieu. La France est devenue ce pays où l'on aime, avant tout, détester. Ce Depardieu, il a été pourtant celui de Bertrand Blier, de Pialat, de Truffaut, de Duras, de Barbara... Le Depardieu de "Valley of love"... Jamais un acteur n'avait été aussi grand,  aussi humblement humain que le Depardieu de ce film-là  (je l'affirme en toute subjectivité) ; la dernière scène du film, quand il revient sur le chemin poussiéreux vers Isabelle Huppert, est une scène qui vous dévastera et qui restera gravée en vous pour le restant de vos jours. Comme s'il n'était plus question de cinéma mais de la vie pour de vrai, faite cinéma. Jamais aucun acteur n'était arrivé à ça, plus jamais peut-être aucun acteur n'arrivera à ça.  Lui, il s'en fout, comme s'il méprisait son propre talent,  il dit : "acteur ce n'est rien, c'est faire la pute", il ne le pense sûrement  pas à  ce point mais il le dit. Par opposition il s'entoure, admire et défend le travail d'artistes qu'il estime être, eux, de vrais artistes : peintres, plasticiens...
Depardieu le russe est pourtant français jusqu'à la caricature : grande gueule, vigneron et pochetron, esthète et vulgaire,  paillard et subtil, rablaisien, pétomane et amateur d'art, de provocations, de beaux textes, de désobéissances : homme hors norme, hors cadre, hors limite, hors identité, hors tout ...
Il a été adulé tant sa nature et son talent étaient grands et nous l'avons aimé, moi en tout cas, pour cette nature, pour ce talent ... Aimé, soutenu, encouragé à distance à être ce qu'il était, ce qu'il est !  Oui, c'est une certitude, nous avons nourri le monstre. S'il est coupable de quelque  chose alors nous sommes un paquet de coupables-complices à l'avoir encouragé depuis nos fauteuils de salles obscures, film après film. Nous avons donc notre part, car si le public est une part de la magie, au final, le public est aussi une part du monstre.
Beau il le fut, insolent, imprévisible, inclassable ; oui monstrueux, il le reste... Monstrueux bouffeur de vie, d'espace et d'émotions : de dérapages calamiteux aussi.
Et bien sûr que la parole des femmes est importante, et bien sûr que notre compassion doit aller en tout premier lieu aux victimes. Et bien sûr que nous nous réjouissons que les temps changent, que toutes formes de violences, de harcèlements puissent être combattus...
Ce qui interroge, c'est pourquoi Fourniret ou Lelandais auraient-ils droit à un avocat, à un, plusieurs procès, et pas Depardieu ? Concernant Depardieu, c'est déjà réglé...
Il va devenir, il est devenu en quelques heures, le pire, le gros dégueulasse, le prédateur, l'ignoble porc Depardieu... Il n'aura plus rien de bien, plus rien d'humain. Plus droits de citer, de tourner, ses films déjà sont retirés des catalogues des chaines publiques en France, en Suisse...Plus rien, il ne va plus rien rester ? Mais alors pourquoi, ô public versatile, l'avoir idolâtré, si aujourd’hui, vous, les mêmes, sans sommation et avant tous jugements, vous le jetez aux chiens ? Lui, finalement, il n'a pas changé...
Je ne me sens pas le cœur de l'excuser ni celui de l'enfoncer ou de le détester... Pour la détestation de soi il a sûrement  beaucoup trop d'avance sur ses pires ennemis. Un jour, je l'entendais dire dans un reportage à un journaliste : "vous croyez vraiment que ça m'amuse d'être devenu cette grosse baleine ?". Pas si indifférent que ça, finalement, à ses propres souffrances. Dans une scène du film Mammuth, il est au bord d'un plan d'eau, torse nu, énorme, et il coiffe avec une délicatesse infiniment féminine ses longs cheveux de naïade obèse. C'est un très beau plan, un tableau à la fois classique et dérangeant, une image très humaine et très assumée aussi. Courageux le Depardieu ; là ou d'autres  acteurs se cachent en permanence, Depardieu se balade depuis toujours tripes à l'air, écorché vif,  sans masque et sans fausse pudeur : souvent à la limite et malheureusement, parfois, au-delà de la limite. Ce goût dangereux et prononcé, cette volonté de jouer avec les limites. Je n'ai pas à prendre sa défense, je ne l'excuse de rien par avance mais comment s'autoriser à le juger ou à le condamner ? (bien avant les juges qui eux sont faits pour ça).
Mais que seraient les réseaux sociaux sans cet appétit morbide pour le lynchage en bande organisée ?... Bien souvent, les réseaux ne servent qu'à ça.
Si Depardieu est jugé détestable, je déteste au moins autant tous ces professionnels de la détestation.
À eux seuls, ils sont un autre visage de la guerre...
jacques dor
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claudehenrion · 1 month
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De l'âme
Une surprise : plusieurs lecteurs, sans doute ébranlés par le vide abyssal qui caractérise notre temps –et avec une inquiétante tendance à l'aggravation– m'ont demandé récemment de “parler de l'âme”. Mais si je me sens très capable de donner un avis –qui n'est que le mien, corrigé par nombre de lectures et d'emprunts– … je tiens à préciser que je suis évidemment tout-à-fait incapable de répondre à la question multiple “Existe-telle ? Quelle est-elle ? Que recouvre-t-elle –ou pas ?”, et surtout de me livrer à cet exercice… en une page “A4’‘ ! Mais quel meilleur moment qu'une Semaine Sainte pour esquisser un début de réponse 
Le mot ’'âme” lui-même, tiré du latin (“anima = l'air, le souffle, la vie”), recouvre tant de notions différentes que “ne pas y croire” ne peut avoir aucun sens : qui parle de “croire” à l'air, au ciel bleu, au chocolat… ? S'agit-il de l'Ame des peuples (André Siegfried) ? de l'Ame des choses (Auguste Blondel) ? des “objets inanimés” de Lamartine ? de l'Ame du monde (Frédéric Lenoir) ? (NB : je pourrais continuer longtemps). Ecoutons plutôt Camus : “Ne pas croire à l'âme est une absurdité”.
A ce moment où l'humanité semble “flirter” avec sa chute dans des abîmes qu'on peut craindre définitifs, l'âme –qui était un peu sortie de nos préoccupations consumérisées– semble faire un retour sur le devant de la scène, et nos lecteurs ne s'y sont pas trompés, en m'en parlant. Il faut reconnaître que sa définition a bien varié à travers les siècles : dans l'Antiquité, les grecs en avaient une vision bipartite (“corps et âme”)… alors que pour la tradition biblique, la vision était tripartite (“corps, esprit –pneuma en grec et spiritus en latin–, et âme –psychè, en grec et anima en latin, ce dernier mot animant la vie intérieure et la personnalité, mais aussi ce qui donne vie au corps. Ne ’‘rend-on pas son âme”, au moment du grand départ ? Mais n'allons pas trop vite : avant de la “rendre”, il faut la définir.
Pour les philosophes, l'âme est souvent une notion qui permet de parler de l'être humain dans sa totalité. Pour Platon, l'âme est en conflit avec le corps qui l'emprisonne, alors qu'Aristote insiste sur une conception non dualiste entre “âme” et “corps”, chacun étant plus ou moins indépendant de l'autre. Plus tard, pour le christianisme, qui tient un rôle de toute première importance dans cette “dissertatio” (que je voudrais tellement ne pas être une “disputatio”!), le mot “Ame” veut décrire comment est formé un être humain dans et par ses expériences fondamentales : la vie, l'amour, le désir, la maladie et la souffrance, le questionnement sur “après la vie –ou après la mort”, et l'âme se définit donc comme “autre” que l'esprit : d'un côté, un principe de vie, “ce qui anime le corps”, siège des émotions et des passions, et de l'autre, vie intérieure, et personnalité. On peut dire : raison, ici et liberté, là…
Mais en 1621, Descartes introduit une rupture dans la conception traditionnelle, en traduisant “âme” par “mens” : l'homme est d'abord un être pensant, et le mens latin, qui désigne d'abord le cerveau, l'intelligence, la raison, l'esprit… va peu à peu replacer l'ancienne “âme” au profit de ce nouvel arrivant, le “cogito’' . Une nouvelle logique bipartite est née, le corps et la pensée, séparés mais liés : ’'Cogito, ergo sum”.
Le mouvement phénoménologique, qui se targue d'appréhender la réalité telle qu'elle se donne ou se montre, considère que le corps, seul, joue un rôle (“Le monde n’est pas pour moi autre chose que ce qui existe et vaut pour ma conscience”, écrit Husserl en 1937), ce contre quoi réagit la grande Edith Stern, juive devenue carmélite et morte à Dachau : “On ne peut vivre sans âme, c'est-à dire avec une âme paralysée ou en sommeil’’… phrase où nous retrouvons ce qui est visible tout autour de nous… et ce dont l'humanité est en train de crever
Il fallut attendre 1953 pour que Crick, Watson et Rosalind Franklin, découvrent l'ADN, cette part d'éternité qui est en chacun de nous. Inséparable de nous, elle nous contient tout entiers et nous résume, tout en nous rattachant à nos origines… Question jamais posée mais qui me taraude depuis longtemps : ’'Se pourrait-il que cet acronyme, l'ADN, soit, en fin de compte, le support matériel de notre âme ? Son caractère ’'iso-éternel’'et son identité parfaite avec notre ’'être”, notre “avoir été” mais aussi notre “devoir être”, en font une parfaite réponse à ce que pourrait être ce “Corps glorieux” si difficile à imaginer mais sous lequel, disent les chrétiens, nous entrerons un jour dans notre éternité
En 1979, Joseph Rätzinger, grand théologien et futur grand Pape Benoît XVI, posa (“La Mort et l'au-delà” )que “il n'y a aucune raison sérieuse de rejeter le mot âme , cet outil verbal indispensable dans la foi des chrétiens… ce qui se vérifie à travers la prise de conscience actuelle… que une conscience, justement, ne peut exister sans objet pour la percevoir et sans sujet pour la traduire et l'expliquer”. Et voilà l’ “âme” qui fait à nouveau partie du vocabulaire de la philosophie, le besoin de cet éditorial en étant un début de preuve en soi.
Un dernier point, peut-être : en 2016, l'académicien François Cheng avait écrit un fort beau “De l'Ame” (Albin Michel) où il écrivait “A part le bouddhisme dans sa version la plus extrême, toutes les grandes traditions spirituelles ont pour point commun d'affirmer une perspective de l'âme située au-delà de la mort corporelle : l'âme de chaque être est reliée au souffle primordial qui est le secret de la vie-même. Animée par un authentique désir d'être, elle nous rappelle donc, quelle que soit notre croyance –ou notre non-croyance– combien notre vie participe d'une aventure unique, le Tao –la Voie– qui ne connaît pas de fin, contrairement à la vie”.
J'admets que tout cela n'est pas simple… Mais le moyen, s'il vous plaît, de parler de sujets eschatologiques avec nos seuls mots humains, et en un temps et un espace si réduits ? Par prudence, je vais donc demander à d'autres que moi de conclure. D'abord George Meredith : ’ L'âme est tout, ici-bas; le reste n'est qu'illusio'n’’… Puis Rivarol : “Sans le corps, l'âme n'aurait pas de sensations, mais sans l'âme, le corps n'aurait pas de sentiment”... Libre à ceux qui ont décidé de ne pas y croire, de vivre “sans”. Mais qu'ils ne comptent pas sur moi : je suis si bien, “avec”, surtout en cette Semaine, qui est Sainte pour un bon tiers de l'Humanité.
H-Cl.
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alexar60 · 9 months
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Monstres
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Il n’était jamais bon de se promener seul dans une forêt. Après quelques kilomètres, Johannes regretta d’avoir refusé une assistance. Il regarda les arbres à l’apparence humaine pendant que son chariot avançait. En bon marchand colporteur, il ne transportait pas de réelle valeur si ce n’est quelques dentelles ou tissus venu de France. Toutefois, il craignit une attaque de bandits, malandrins ou voleurs de grand-chemin qui n’auraient aucune pitié pour sa vie.
Mais son inquiétude allait surtout sur les légendes que la forêt, celle qu’il traversait actuellement, regorgeait. En effet, nombreux furent ceux qui prétendaient avoir rencontré un monstre, une bête au regard noir et à la forme d’un loup. D’autres parlèrent de farfadets, trolls malveillants qui s’amuseraient avec les visiteurs perdus. Et puis, il y avait les histoires concernant des disparus. Chaque village autours du bois comptait au moins une personne qui n’est jamais revenu de la forêt.
Il aurait pu faire le tour. Seulement, afin de gagner deux bonnes journées,  le marchand voulu traverser cet endroit maudit. Son cheval avança avec une certaine nervosité. Un léger brouillard imposait une ambiance glaciale pendant que quelques oiseaux criaient. Un coucou par-ci, quelques corbeaux par-là. Le vent balançait les cimes des arbres provoquant un sifflement inquiétant. Parfois, Johannes tournait la tête au craquement d’une branche ou au bruissement d’un buisson provoqué par un animal sauvage.
Le cheval n’avait qu’à suivre la route tracée. Cependant, après quelques heures, il s’arrêta brusquement. Son hennissement alerta le commerçant. Dès lors, il se leva sans quitter le chariot, il serra un bâton long et attendit. La peur faisait gargouiller son ventre. Ses tympans battaient son cœur dans un désagréable fracas.
Avance, mon ami, avance, je t’en prie, murmura-t-il afin de ne pas réveiller de monstre.
Mais il n’obtint du cheval qu’un énième hennissement. Il demeura debout, les jambes tremblantes. Il réalisa qu’il n’entendait aucun autre son en dehors de sa respiration, et de celle de son cheval. Il tourna la tête, cherchant à voir à travers la brume. En fait, il espérait la venue de quelque-chose qui puisse le rassurer, même un monstre. Car le silence absolu était la pire des angoisses.
Soudain, un hurlement surgit des profondeurs de la forêt. Le cheval se cabra avant de galoper comme un forcené, provoquant en même temps, la chute de Johannes hors du chariot. Lorsqu’il se releva, il ne put que constater son bien déjà trop loin pour le rattraper. Mais sans attendre, il se mit à courir espérant retrouver son cheval le plus tôt possible.
Il courut au milieu des branches. Un bruit fort et rapide sembla approcher comme un monstre en train de pourchasser sa proie. Il continua de courir sans se retourner. Le froid de la brume giflait ses joues contrastant avec son sang qui bouillait en lui. Il courut pour finalement arriver dans une clairière.
Essoufflé, fatigué, il se pencha pour reprendre une respiration normale. En entendant des rires, il leva la tête et découvrit un lac peu profond et pas très grand. Au bord, sept jeunes femmes s’amusaient de sa présence tout en lavant du linge blanc. Elles se ressemblaient comme des sœurs, la peau blanche comme le lait.  Leur longue chevelure rousse flamboyait telle une torche allumée. Johannes se sentit gêné de se retrouver avec d’aussi belles femmes, dont les robes blanches trempées ne cachaient rien de leur corps désirables.
Qui es-tu, jeune imprudent ? demanda celle qui semblait être la plus vieille.
Je me nomme Johannes Tischler. Je suis un marchand perdu en ces lieux. N’auriez-vous pas vu passer mon cheval tirant un chariot, par hasard ?
Non, répondit-elle. Mais il ne doit pas être bien loin. Si tu veux nous t’aiderons à le chercher plus tard. Mais en attendant, tu pourrais nous aider à frapper ce linge.
Le marchand hésita un instant. « Si monstre il y a, il ne peut attaquer quand nous sommes plusieurs » pensa-t-il. Dès lors, il retira ses bottes et entra dans une eau froide. Une des jeunes femmes tendit un battoir qu’il attrapa. Deux autres s’écartèrent pour lui laisser une place. Il prit un drap et commença à le frapper sous les sourires des lavandières.
Parfois, elles discutaient, murmuraient entre elles tout en regardant Johannes. Il avait l’impression qu’elles n’avaient jamais vue d’homme avant lui. Il battait le linge avec difficulté. Et une fois terminé, une laveuse l’aidait à plier correctement les draps pour les faire sécher. Il avait du mal à empêcher ses yeux d’admirer les formes généreuses de ses coéquipières du moment. Le téton de leurs seins ressortant de sous la robe trempé, Les pubis collant au tissu. Il détourna le regard, dès que l’une d’elle se penchait trop, lorsqu’elle était à genoux, galbant ainsi ses fesses rosies par les reflets du soleil. Il ne s’était pas rendu compte que la brume ne recouvrât pas la mare.
Enfin lorsque le linge fut propre, il retourna au bord pour remettre ses chausses et attendit qu’elles sortissent à leur tour. Le soleil commença à décliner. La plus ancienne s’approcha. Il remarqua ses jolis yeux noirs et son nez fin. Il baissa rapidement les yeux, admirant au passage qu’elle avait plus de poitrine que les autres.
Il se fait tard, je te propose l’hospitalité pour te remercier de ton aide, annonça-t-elle.
Soulagé de ne pas à traverser la forêt en pleine nuit, Johannes accepta. Dès lors, il suivit les sept jeunes femmes sur un sentier qui l’éloignait de la route principale. Sur leur passage, les oiseaux ne chantaient pas, le brouillard se dispersait et un silence immense régnait.
Elles marchèrent sans prononcer une seule parole. Par moment, elles regardaient Johannes, lui conseillant de faire attention à une racine au sol ou aux ronces sur le côté. Elles marchèrent tout en portant leurs paniers de linge. Les arbres étaient si proches les uns des autres que Johannes n’imaginait pas une chaumière dans un endroit pareil. Il suivit les femmes et vit enfin une cabane.
Elle parut grande, cependant il fut surpris qu’elles continuassent de marcher, se dirigeant vers une caverne. Le colporteur aurait voulu demander si la maison en bois était leur domicile. Mais invité par deux des rouquines, il se contenta de les accompagner. Il sentit leurs mains presser ses bras et ses hanches. Décidément, il faisait un grand effet auprès d’elles. Il pénétra dans la grotte. Elle était immense, éclairée par une multitude de bougies. Toutefois, une odeur nauséabonde empoisonnait l’atmosphère.
Viens, nous avons retrouvé ton cheval, annonça une des femmes.
Etonné, Johannes s’enfonça dans la grotte. Comment son cheval pouvait être ici ? Et comment pouvait-elle le savoir alors qu’il ne les a jamais quittées ? Il marcha toujours encadré par deux jeunes femmes. Leurs doigts devenaient de plus en plus entreprenants, et déjà, il sentit leurs caresses de plus en plus sensuelles. La forte odeur putride se fit de plus en plus forte.
Tout-à-coup, le marchand fut saisi d’effroi. C’était une vision d’horreur que de voir un monceau de cadavres. Il y avait des animaux en grande quantité, à moitié putréfiés, des parties dévorées et décharnées, des squelettes attendant de blanchir. Il y avait des chiens, des loups, des chats, des renards, des chevreuils et des cerfs, des lapins, et par-dessus, les restes d’un cheval noir copie exacte du sien, s’il était encore entier. L’animal avait la gorge arraché et exhibait ses côtés encore ensanglantées.
Johannes n’eut pas le temps de crier quand il sentit des pointes enfoncer son ventre. Les doigts de ses hôtesses venaient de se transformer en griffes acérées. Leurs visages n’avaient plus rien d’humain. Elles hurlèrent tout en se jetant sur le pauvre homme. Elles le dépecèrent, arrachant sa viande avec une telle monstruosité. Le sang coula le long de leur menton pendant qu’elles mangeaient sa chair. Et dès que les dames de la forêt se sentirent rassasiées, elles jetèrent les restes parmi le tas de cadavres d’animaux, avant de s’endormir repues et comblées.
Ales@r60 – août 2023
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kilfeur · 6 months
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Enfin un chapitre sur Yuri, ça fait plaisir, le début est digne d'un gag de looney tunes. Bien que son travail reconnaît ses exploits, il veut toujours faire plus. Et ce que je trouve intéressant c'est que justement son envie de se surpasser et de vaincre Loid alias Twilight s'accorde au perfectionniste malsain de ce dernier. Tout les deux sont liés à leurs boulot où ils doivent faire le sale boulot pour le pays. Et on le montre bien avec la scène d'interrogatoire avec l'intimidation de Yuri.
Et tout comme Loid, il cache son vrai boulot à sa grande soeur car tout serait terminé si Yor l'apprenait. Mais Yuri a quelqu'un pour l'empêcher trop loin, qui est Chloé qui lui rappelle qu'il est juste humain et qu'il peut être aveugle sur de nombreuses choses. Mourir rendra juste sa soeur malheureuse et c'est pour ça qu'elle le raisonne en plus de le gifler. Tout comme Sylvia envers Loid car tout deux là ont le même boulot et peuvent se comprendre. Et bien que justement Yuri comprend son erreur ça l'incite à s'entraîner encore plus et Yor lui rend visite nous donnant un nouvel indice (selon moi) dans lequel Yuri pourrait être celui qui découvre la véritable identité de Loid. Mais je pense que ce serait bien plus compliqué qu'une révélation et il sera livré.
At last, a chapter on Yuri, which makes me happy, the beginning is worthy of a looney tunes gag. Although his work recognizes his achievements, he always wants to do more. And what I find interesting is that his desire to surpass himself and defeat Loid aka Twilight matches the latter's unhealthy perfectionism. They're both tied to their jobs, where they have to do the dirty work for the country. This is clearly shown in the interrogation scene with Yuri's intimidation.
And just like Loid, he hides his real job from his big sister because it would all be over if Yor found out. But Yuri has someone to stop him too far, who is Chloe who reminds him that he's only human and can be blind to many things. Dying will just make his sister unhappy and that's why she reasons with him as well as slapping him. Just like Sylvia towards Loid, because they both have the same job and can understand each other. And although Yuri understands his mistake, this encourages him to train even harder and Yor pays him a visit, giving us a new clue (in my opinion) that Yuri could be the one to discover Loid's true identity. But I think that would be a lot more complicated than a revelation and he'll be delivered.
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auboutdespages · 3 months
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Notre rendez-vous du mois!
Hello mes papivores 2.0, et bienvenue à notre rendez-vous du mois qui s'annonce riche en émotions comme le premier. Aujourd'hui, je vous garde dans le même univers que mon précédent article, mais celui ci est un peu plus je dirais … GLAUQUE! L'écrivaine Louise Mey, auteure engagée au style on ne peut plus percutant, sait nous captiver, nous lecteurs dès les premières pages. Et ce que j'adore par dessus tout avec cette grande dame bourrée de talents c'est le fait que la plupart de ses thèmes repose sur des sujets sensibles et d'actualité, tels que les féminicides, les manipulations psychologiques, les secrets de famille et les injustices sociales.
C'est exactement dans un thème comme ceux suscités que je me suis plongée récemment. Laissez vous submerger d'émotions (je vous promets très débordantes), dans ce thriller psycho dramatique de Louise Mey: LA DEUXIEME FEMME .
Le PITCH d'abord!
Sandrine a tout pour être heureuse : un mari aimant, deux enfants magnifiques, une vie paisible. Mais un jour, tout bascule. Son mari, Thomas, lui annonce qu'il a retrouvé son ex-femme, Clara, disparue depuis des années. Sandrine se retrouve alors en proie à un sentiment de jalousie et de peur qui va crescendo. Qui est vraiment Clara ? Que veut-elle ? Sandrine est-elle en danger ?
Mon avis, toujours HUMBLEMENT!
Louise Mey sait d'habitude comment tenir son lecteur en haleine. Dès les premières pages, on est happé par l'intrigue et on a du mal à lâcher le livre. L'auteure distille savamment les indices et les rebondissements, nous menant sur de fausses pistes et nous surprenant jusqu'au dénouement final. Par contre dans ce thriller, j'ai eu beaucoup de mal aux premières pages qui ennuyaient très vite et qui ont bien failli me faire laisser tomber ce livre (heureusement que non!). On nous présente Sandrine, jeune femme ordinaire envahie de complexes (sentiment normal je vous assure!), essayant de vivre sa vie paisiblement. Son univers bascule quand son mari Thomas (attention à tous les "Thomas" de votre entourage après ça!) lui annonce qu'il a retrouvé son ex femme auparavant mystérieusement disparue… Le retour de Clara (personnage très atypique), l'ex-femme de son mari, agit comme un tremblement de terre, ravivant des blessures enfouies et semant le doute et la peur dans son esprit. Le roman explore avec profondeur les sentiments complexes de Sandrine, tiraillée entre la jalousie, la colère et l'espoir de sauver son mariage. Sa confrontation avec Clara est électrique, chaque mot résonnant comme un coup de poignard dans une atmosphère de tension palpable.
La Deuxième Femme n'est pas seulement un thriller psychologique, mais également un récit poignant sur la place des femmes dans la société. Louise Mey met en lumière les injustices et les violences auxquelles elles sont confrontées, soulignant la douleur et la solitude ressenties par celles qui se retrouvent dans l'ombre d'une autre femme. C'est un livre poignant et bouleversant qui ne se résume pas à une simple intrigue policière. Il nous confronte à la complexité des relations humaines et aux répercussions profondes de nos choix. Un récit qui m'a profondément marquée et qui m'a amenée à réfléchir sur la force et la résilience des femmes face à l'adversité. Ce qui rend ce livre particulier est le partage incroyable de sentiments que l'on peu avoir avec Sandrine: l'insécurité, la peur à chaque fois que son mari rentrait du travail, la douleur des coups qu'elle recevait, l'humiliation servie par Thomas et surtout la RAGE de vaincre et de se sortir de là une fois le déclic eu… La fois de trop! Attention, les violences psychologique et physique peuvent être difficiles à lire pour certains.
J'ai clairement savouré avec amertume (pour être honnête) ce livre et je le recommande à tous les lecteurs qui recherchent un roman intense et poignant, les amateurs de thrillers psychologiques et les personnes sensibles aux questions de société et aux violences faites aux femmes.
Vous pouvez vous procurer cette merveille au Supermarché CARREFOUR à PLAYCE, quartier WARDA à Yaoundé au rayon bibliothèque.
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a-room-of-my-own · 6 months
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Tu as expliqué le problème de manière très précise. Je suis revenue sur le sujet et il se trouvent que le groupe a interprété ce tweet et son auteure comme étant une suprémaciste nationaliste blanche qui serait prête à laisser crever les femmes du tiers-monde parce qu'elle voulait renvoyer les immigrés chez eux. A ceci viennent se rajouter des insultes à caractère religieux comme "ghoule" ou "démon" comme si elle faisait partie du Mal. Puis d'autres commentaires disant que le féminisme (Pt1)
radical est foutu à cause de femmes comme elle, etc... Une attitude sectaire me rappellant le transactivisme et ses servantes, mais autour de la race + pays d'origine. Une Sud-Africaine a même traité une meuf noire anti-immigration de traitre à la race en appuyant que les mecs (et femmes au vu des événements) blancs ne la verront jamais comme humaine ou une personne à part entière. Je pense que la propagande autour de Gaza joue une part importante.
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Je pense que la situation internationale sert de catalyseur, mais après c’est une idéologie qu’on entend depuis des années. J’ai toujours dit, quand on a commencé à parler d’intersectionalité, que c’était un concept qui ne pouvait pas fonctionner de la manière dont il était interprété, parce que n’importe quel mouvement a besoin de définir des priorités et qu’à partir du moment où tu dis que toutes les causes se valent en fait les priorités vont se définir toutes seules, et pas en fonction de critères logiques.
En réalité, quand tu refuse de définir des priorités, tu fais rentrer le loup dans la bergerie. Tu te rends compte qu’à partir du moment où tu fais rentrer des hommes, peu importe ce qui leur arrive, les priorités des hommes vont devenir celles du mouvement, c’est comme ça que tu te retrouves avec des mouvements féministes qui défendent la prostitution, les migrations de masse d’hommes, issus de pays extrêmement misogynes, le trans-activisme, la GPA, etc…
Et il faut pas oublier que les femmes sont de toutes façons éduquées à prendre soin des autres et à être les gardiennes de la famille et de la communauté. Si tu les mets en position de devoir se défendre elles-mêmes ou de défendre des hommes, malheureusement tu vas trouver la majorité qui défendra les hommes ou qui trouvera que les problèmes des hommes sont plus graves que les leurs ou sont prioritaires. Dans une certaine mesure on a aussi besoin de se protéger de nous-mêmes.
Après, concernant la situation actuelle, je pense qu’on paye aussi très cher la naïveté qui a consisté à penser pendant des années que ces population n’avaient pas d’opinion politique. C’est quelque chose que j’ai entendu même il y a maintenant une quinzaine d’années quand j’étais en fac. C’était très ancré aussi bien à gauche qu’à droite que ce sont des populations non politisées qu’il fallait éduquer. En fait c’est totalement faux.
C’est juste qu’on a perdu la capacité à penser l’adhésion totale à une religion comme une opinion politique, puisque la marche du progrès en Occident est allée vers la séparation du politique et du religieux. En fait ce qu’on observe dans le monde Arabo musulman c’est que c’est exactement l’inverse qui s’est produit, il y a eu un refus de la modernité à partir des années 70 qui a des causes évidemment complexes.
Mais le fait est que les mouvements qui ont pris l’ascendant sur ces pays et qui sont arrivés chez nous par les migrations, ce sont des mouvements fondamentalement anti modernes et extrêmement politisés puisque c’est ce sont des mouvements qui ont un agenda politique qui est international. Mais on a pas eu en France et ailleurs en Occident la clairvoyance de comprendre justement ce qui était à l’œuvre politiquement.
Il est évident qu’on a pêché par racisme, en voyant ces personnes comme incapables d’adhérer à une idéologie conquérante de masse, et là ce qu’on est en train de voir, notamment avec les manifestations qui ont lieu partout dans le monde, avec les prises de position guerrières de gens comme le président turc, c’est qu’il y a vraiment une conception politique de la communauté au sens international et que cette communauté peut potentiellement se retourner complètement contre ses pays d’accueil.
La question de l’allégeance va très vite se poser quand les attentats vont reprendre - car je crains qu’on en soit qu’au début. Parce qu’il y a une minorité agissante mais il y a aussi une majorité qui depuis une dizaine d’année maintenant soit reste silencieuse soit excuse des comportements qui vont d’anti-sociaux à meurtriers en accusant les états d’accueil de ne pas en faire assez.
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coolvieilledentelle · 11 months
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VIRTUELLEMENT SENSIBLE...
Le virtuel peut ronger de l’intérieur. Il peut tuer à petit feu...
Sur la toile, on aime, on se « like » mutuellement, on se découvre... On s'aime et on se tue petit à petit... On exprime nos rêves, nos envies, nos angoisses, nos peurs... Mais isolés dans notre sphère réelle, on se retrouve seul !
Pas de réconfort, pas de regard tendre, ni de caresses. Il n'y a que les mots et leurs immenses pouvoirs. Les mots et les maux...
Face à nous mêmes, il n'y a que notre propre reflet dans ce miroir. Usés, fatigués par tant d'épreuves. Je suis las de tant de combats, les cernes se dessinent sur mon visage.
'' Je voudrais, j'aurais aimé '', ce sont des mots que nous écrivons tous. Sur cette toile, nous vidons ce que nous avons sur le cœur. Mais en déversant sur le web nos surplus de sentiments, nous oublions que nous éclaboussons les autres de nos ondes positives, négatives, de notre énergie.
Ces autres, ces « amis » si virtuels qu'ils soient que l'on voudrait rencontrer ou réconforter... Ils n'existent pas dans nos vies, mais ont une place dans nos cœurs... Ils sont là, on ne les réconforte pas comme on le voudrait, mais par la magie de nos échanges, on arrive un petit peu à améliorer leurs quotidiens !
Le désir d'établir des contacts est ancré dans la nature humaine. L'attirance est le fruit de notre chimie interne. Nous produisons des hormones qui créent l'intimité. Nous créons des ponts neuronaux qui relient, d'un cerveau à l'autre, d'un cœur à l'autre. Une fois formés, ces liens ne peuvent être rompus.
Nos cerveaux, nos systèmes nerveux tout entier sont conçus pour que nous tissions des liens profonds et durables... Briser ces connexions peut avoir de terribles conséquences...
Chaque jour, par nos partages, on arrive à dire à l'autre, qu'il soit proche ou qu'il soit loin : « Je suis là ! Et je pense à toi ! » « Ne lâche pas ! Tiens bon, courage, Je t'aime ! »
Mais le virtuel, possède également le pouvoir d'éloigner les cœurs... Un mot de plus, ou peut-être un mot de trop et c'est toute une phrase qui peut être lue dans un autre sens que celui que le cœur voulait exprimer, quiproquos, amalgames...
Tout s'enchaîne, tout doit aller vite, de plus en plus vite, nous ne prenons même plus le temps de vivre, à l'image de cette société aux profonds abîmes, aux valeurs oubliées. Et qui nous a conditionnés à ne plus penser par nous mêmes, qui nous a enseigné à privilégier le fast food émotionnel, l'avoir ayant pris le pas sur l'être, la surconsommation n'ayant d'égale que le paraître...
Alors le cœur triste et gros, le lien même par l'intangibilité du virtuel se brise. On clique sur le fatidique « supprimer » ! Mais même si virtuel qu'il soit, un lien du cœur reste égale à lui-même.
Le cœur n'arrive pas à faire la différence entre le réel et ce qu'il n'est pas. C'est l'aspect basique de l'humain...
Parfois, je sais que je suis perchée haut, que je peux sembler si solitaire ou provenir d'une autre planète. Je suis comme je suis, pragmatique, entière, authentique, unique et sincère.
Quand j'écris, je n'ai pas cette censure qui provient très souvent de la peur de ce que peuvent penser les autres. Mes mots sont « brut de cœur », sans artifice... Sans arrière pensée.
Mes mots ne sont que des mots qui proviennent du fond du cœur, avec une authenticité et une entièreté sans égales. Je sais que nous sommes loin, que peut-être, nous ne nous connaîtrons jamais.
Cependant si tu lis ces quelques mots amis Tumblr..MeWe..Facebook ou ami « liker »... Sache que je pense à toi... Que j'essaye à chaque instant d'avoir le cœur comme une jolie fleur, de m'ouvrir à ce monde si froid et à la fois si envoûtant mais il y a des moments qui me rappellent que je ne suis qu'une femme faite de chair et de sang, aussi imparfaite soit-elle.
Je ne suis pas parfaite, je n'aspire pas à le devenir, loin de là... Et heureusement !!!
Le virtuel ne dispense pas d'être vrai et authentique. Du virtuel... Au réel, Quand les mots touchent, au delà des touches...  
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rayondelun3 · 4 months
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Mon prof de littérature me rend zinzin : j'ai passé les 3/4 de l'après midi a corrigé son cours sur Victor Hugo. Il a donné des mauvaises dates, n'a même pas parlé de la querelle Hernani qui est super importante... Il a parlé de l'engagement politique sans par'er des faits. Vraiment je me suis dit tout le long « mais what the fuck ???? » ok l'erreur est humaine, et c'est pas parce que tu es dans l'enseignement que tu ne peux pas te tromper mais là on parle de TOUT le fucking cours en fait. Et en plus sur Victor Hugo, le monument LE MONSTRE LE BIG BOSS de la littérature française. Comment tu peux autant foiré ton cours sur Victor fucking Hugo à la fac en lisant littéralement tes fiches ? J'hallucine vraiment. J'ai dû tout refaire, tout reprendre... Je n'ai même pas encore fini ! C'est une blague ce prof.
Oui c'est ce prof qui nous a enlevé Flaubert du programme oui. Oui. FLAUBERT. J'ai beau faire des efforts mais je peux plus me le voir. En plus Victor Hugo que je peux pas me l'encadrer celui-là non plus. Heureusement j'ai changé d'avis à force de faire mes recherches sur lui etc. D'où la petite carte postale avec ses petits enfants là... Trop mims.
Vraiment ça me détruit : mon prof a préféré s'attarder sur les funérailles nationales (en donnant les mauvaises dates sinon où est l'intérêt ???) pendant les 15 dernières minutes du cours et se tromper dans l'explication de Notre-Dame de Paris pendant 30 minutes (oui sinon encore une fois où serait l'intérêt right ????). C'est pour nous pranker qu'il fait ça ? Parce que ça ne me fait ABSOLUMENT PAS rigoler. J'ai d'autres trucs à faire, j'ai eu zéro vacances à cause des fucking 3 semaines de partiels et là je reprends et on me sort que des mauvaises informations pendant une heure ?
Je suis affolée. Ça veut dire que les gens de ma classe qui auront pris en notes certains trucs (parce qu'aussi la prise de notes dans son cours c'est un bon gros bordel hein on va pas se mentir sur ça non plus mais on est à la fac alors on va pas chouiner)... S'ils ne vérifient pas ils auront littéralement que de la merde.
C'est génial. Bien joué. J'hallucine vraiment. J'hallucine. Tu m'étonnes qu'il ne met pas ses cours sur cursus le boug. Ça serait mettre à la vue de tous toutes ses fucking erreurs là. VRAIMENT JE N'EN PEUX PLUS.
Et c'est encore que «la reprise» lol.
J'imagine que comme nous sommes jeunes ils se disent qu'on ne sait rien peut-être ? Mais putain heureusement que j'applique la méthode de Descartes.
FUCKING HELL.
Après j'aime bien faire des recherches etc. Normal. Toujours je fais du complément de cours MAIS J'AI AUSSI D'AUTRES MATIÈRES AVEC D'AUTRES LIVRES À LIRE EN FAIT.
When you are young they assume you know nothing.
J'avais tiqué sur des dates, sur les noms des recueils pendant le CM alors que bon, je ne suis pas du tout une pro sur V. Hugo... Mais je pensais pas QUE C'ÉTAIT À CE POINT LA MERDE.
Allô j'ai Plaute à lire, Ovide et Callapée. J'ai mes recherches sur la mythologie greco-romaine ok ? J'ai un million de trucs à faire à côté dans ma vie. J'ai zéro temps pour mes loisirs et après ils viennent nous engueuler parce qu'on finit en burn out ?
Allez c'est bon aussi.
Anyway je suis dans le car pour rentrer j'vais taper un bon run comme d'habitude et essayer de pas péter mon crâne bien que ce ne soit pas l'envie qui manque.
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