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#plaire à un homme
mediumhounkpe · 2 years
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Utilisez la magie pour briser un couple à distance -Comment briser un couple à distance.
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Utilisez la magie pour briser un couple à distance -Comment briser un couple à distance. Utilisez la magie pour briser un couple à distance -Comment briser un couple à distance. Comment briser un couple à distance vise à ce que deux personnes s’éloignent physiquement l’une de l’autre. Il s’agit généralement d’un couple, mais il peut concerner également d’autres catégories (des membres d’une même…
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alexar60 · 9 months
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Voyance
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Comme à ses habitudes, Philippe entra en grande pompe dans le temple, bousculant la tranquillité des pèlerins. Ces derniers s’empressèrent de quitter le lieu car le roi était connu pour ses moments de colère. Ses lieutenants s’amusaient de cette situation cocasse. Ils riaient en voyant ces grecs, la trouille au ventre, déguerpir sans demander leur reste. Néanmoins, une fois dehors, l’un d’eux pestait ou crachait sur ce roitelet barbare qui prétendait être civilisé.
Philippe observa le temple, la beauté des statues, la splendeur des décorations. Il était obnubilé par la richesse exposée. Il s’approcha d’une table sur lequel reposait un ciboire en or.
Par Zeus, je sens que je vais me plaire ici ! Annonça-t-il.
Ne prononce pas son nom ! Ce lieu est sacré, ici les dieux ne portent pas de nom !
Le prêtre avança d’un pas assuré. La garde de Philippe recula tellement le regard du vieil homme les impressionnait. Il approcha du roi borgne, huma son odeur qui manquait de parfum. Puis, tout en inspirant un grand coup, il bomba le torse. L’œil de Philippe s’écarquilla, car d’ordinaire, un homme s’imposant à lui de cette façon, finit avec une épée dans le ventre et la gorge ouverte.
Que viens-tu faire ici, petit roi ? demanda le prêtre.
Des toussotements résonnèrent dans le temple. Le macédonien ne s’attendait pas à un pareil affrontement. Il posa la main sur le pommeau de son glaive. La colère commençait à monter. Mais un de ses fidèles le rappela à la raison : « Tuer le grand prêtre ne serait pas une bonne idée ».
Je viens pour laver mes pêchés et connaitre mon avenir, dit-il
Effectivement, j’ai entendu parler de tes pêchés…meurtres, pillages, viols, torture…ils sont nombreux, affirma le prêtre.
Mais son rôle est « de les faire expier » et non de juger le pêcheur. Dès lors, l’homme en toge blanche ordonna au roi et à son escorte de le suivre. Ils se dirigèrent vers d’autres salles expliquant leur utilisation. En même temps, Philippe admira les somptueuses richesses présentes dans chaque partie du temple. Il fut émerveillé par l’autel sacrificiel, les ustensiles en or ou parés de diamants. Il apprécia le plafond peint d’une salle resplendissante. Il aimait tout de cet endroit.
Mais ce qui le frappa le plus fut sa rencontre avec un groupe de jeunes femmes. Elles étaient magnifiquement habillées. En voyant le groupe de barbares autour du prêtre, elles discutèrent entre elles. Certaines se demandant qui étaient ces hommes, d’autres s’ils étaient brutaux. Philippe questionna sur leurs présences, pendant que ses soldats affichaient leurs plus beaux sourires.
Ce sont de jeunes prêtresses venues s’initier aux mystères des grands dieux, affirma le maitre du temple.
Ils quittèrent la pièce, sans remarquer qu’une des filles observait le borgne. Elle avait reconnu celui qui avait vaincu les Thraces et assouvi les grecs. Elle se doutait qu’il y avait un coup à jouer pour son avenir. Elle ne se voyait pas finir comme grande prêtresse de Zeus.
Les jours passèrent et le roi de Macédoine trouva les journées longues qui se limitaient aux prières et à l’instruction. Par contre, ses nuits étaient courtes. En effet, il avait gardé la tradition macédonienne de faire des fêtes qui se transformaient en orgie. Bouffe, boisson et sexe à volonté. Les pèlerins se plaignirent de ses exactions nocturnes, des cris et des chants trop forts. Si bien que le grand prêtre ne savait que faire. Il demanda l’aide de Zeus, en déposant une offrande aux pieds de sa statue. Mais il fut distrait par la venue d’une jeune novice.
Elle proposa son aide et exposa un plan pour calmer Philippe. Il était venu pour des questions, elle proposa de lui donner des réponses. Le prêtre gratta sa barbe, en se questionnant sur les vraies raisons de l’implication de la jeune femme. Après tout, elle était jeune et pourrait profiter de ses charmes. Et puis, il voulait aussi que l’aristocratie macédonienne vienne régulièrement à Samothrace. Leur argent permettrait de faire de l’Ile le plus grand centre religieux du monde connu.
Un soir, alors que les convives commençaient à manger et s’abreuver de vin, La jeune femme s’incrusta dans la villa du roi. Elle fit une énorme impression par sa robe blanche qui ne cachait pas grand-chose de ses courbes ni de ses colliers et bracelets. Ses cheveux longs coiffés en nattes longeaient ses seins ronds et bombés. Elle resta debout, défiant le roi étendu qui mangeait une cuisse de poulet.
Qui es-tu ? Vien-tu nous faire le plaisir de danser ? Demanda un des fidèles lieutenants
Je suis Polyxéna, fille de Néoptolème, sœur d’Alexandre le Molosse et princesse d’Epire. Je suis prêtresse de Dodone, le sanctuaire divinatoire de Zeus, et par la demande de ce dernier, je suis venue pour annoncer ton avenir.
Eh bien, je t’écoute, réagit Philippe.
Non, pas ici. Seul à seul car telle est la décision de Zeus.
Dès lors, il se leva et proposa à Polyxéna d’entrer dans sa chambre. Il s’assit attendit tout en croisant les bras. A ce moment, Polyxéna savait qu’elle jouerait avec la crédulité du roi. Et si cela ne fonctionnerait pas, il pouvait lui faire les pires horreurs ; lui arracher le nez et la langue, lui crever les yeux, ou l’offrir en pâture à ses hommes. Elle savait que sa naissance royale ne la sauverait pas.
Elle débrocha sa tunique, offrant à l’œil du roi de voir un corps sculpturalement parfait. Il faut dire qu’elle descendait d’Hélène de Troie. Puis elle s’agenouilla et avança au son de ses colliers s’entrechoquant. Il s’amusait de la voir se dodeliner lentement, le regard se remplissant de désir. Elle mordit sa lèvre supérieure et, facilement, elle écarta les cuisses de Philippe. Il se laissa faire, sentant les mains de la jeune prêtresse faire monter son ardeur.
Les oracles se passent toujours comme ça à Dordone, murmura un de ses proches qui observait la scène.
Non, je crois qu’ils lisent l’avenir en interprétant le bruit de feuilles de chêne, répondit son collègue.
Ils avaient ordre de surveiller car Philippe avait trop d’ennemis pour le laisser seul, même avec une magnifique femme. Ils regardèrent celle-ci jouer avec le sexe du roi. Elle utilisait aussi bien ses doigts que sa bouche. Elle s’amusait à le faire soupirer en effleurant du bout des lèvres son membre gonflé.
Soudain, elle renversa le roi qui faillit se fracasser le crane. Toutefois, surpris, il se mit à sourire en la voyant le chevaucher. Il sentit son organe entrer dans une fente chaude et moelleuse. Il se contenta de caresser ses cuisses fermes tout en admirant ses seins se balancer au-dessus de sa tête. Le corps de Polyxéna était chaud, le sien devenait bouillant.
Elle ferma les yeux, dansait sur Philippe provoquant un va-et-vient long et torride. Il regardait ses lèvres s’entrouvrir. Il regardait ses jolies dents blanches pincer le bout de sa langue. Il commençait à aimer cette femme qui semblait être encore une gamine. Puis, elle gémit avant de se mettre à parler :
Je vois ! oui, je vois un homme qui fera plier la Grèce. Je vois cet homme qui gouvernera sur le monde civilisé…Oui, je vois un conquérant. Il vengera les grecs des humiliations des Perses…Il combattra et vaincra la Perse. Je vois un homme qui deviendra un Dieu…Il gouvernera sur la Perse…Il unifiera la Grèce et la Perse…Je vois un homme qui créera des cités aux confins du monde. Je vois un homme qui sera vénéré pendant des siècles.
Lorsqu’il sentit la jouissance l’envahir, il se redressa collant sa poitrine musclée contre la sienne. Elle partait aussi, gémissant de plaisir. Après avoir repris son souffle, Polyxéna embrassa le borgne qu’elle ne trouvait pas beau. Enfin, elle le regarda, fixa de ses yeux pleins de certitude et ajouta :
Voilà ce que je vois en toi !
Philippe calma ses orgies au profit de nuits intimes avec Polyxéna. Peu avant son départ de l’ile, il proposa d’épouser la jeune femme. Dès lors, la princesse régna sur le royaume de Macédoine et se fit appeler Olympias. Elle eut deux enfants avec Philippe, qui pourtant, ne l’aimait plus. Il la détestait parce qu’il avait compris qu’il a été trompé. Jamais il ne deviendra cet homme évoqué par l’oracle. Cet homme n’était autre que son propre fils et celui de Polyxéna. Celui qu’on appellera Alexandre le Grand.
Alex@r60 – août 2023
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sabinerondissime · 3 months
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On m'a déjà reproché de publier seulement des photos d'hommes minces et musclés. Mais essayez de trouver de belles photos d'hommes avec un corps dit ordinaire ou en surpoids et vous verrez que c'est compliqué. Et je suis la première à le regretter car le corps d'un homme n'a pas besoin d'être parfait, tout comme celui d'une femme. La beauté se cache dans l'attitude, l'intelligence, l'humour, l'honnêteté, la présence. Alors bien entendu, on ne peut pas plaire a tout le monde mais chacun de nous, homme ou femme, peut plaire à cette personne qui nous voit tel que les autres ne peuvent nous voir.
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Today, a Transformation question for you! Using the following men: Michael B. Jordan, Henry Cavill, Joe Manganiello, KJ Apa, Jason Momoa, which of the following options would you like to be transformed into by them? :
The Socks: You are whichever pair of socks this man decides to wear for the day, wrapped tightly around their feet no matter what. You can still smell and taste. Perhaps he wears a pair to the gym, or while on a run? Perhaps he wears you on a cold evening, a thick pair to keep his feet nice and warm? On some instances, perhaps he uses you as a cum sock?
The Underwear: You are a pair of form fitting boxer shorts, wrapped around the waist of this man, accentuating every feature you are covering tightly. Your face is on the back, only ever seeing, smelling and feeling this mans ass. You'll be sat on, farted on/in, and wedged in deep to his asscrack. His ass is your life now.
The Tank Top: You are this mans favourite tank top, he wears you every time he goes to the gym. You are tight and show off all his muscles, and you are often damp with his work out sweat. You also manage to soak up his musk, to the point he and others can't smell it, meaning he'll keep wearing you for a long time without washing you.
The Sweet: You are something like a lollipop or a piece of deliciously flavoured candy that they put into their mouth to suck on. When they do, you feel great plesure all over your body. Luckily, you will not be eaten. Whenever a piece of candy or a lollipop is finished, your conciousness transfers to the next piece he will suck or lick, an endless cycle of being a sweet treat for your master.
The Mirror: you are now a mirror, positioned in a prominant spot on this mans wall, always able to see everything that is going on in the room. Whatever they do in their room, you will get to see it: their face staring back at you, their naked body when they like to check themselves out, having sex, and all the dirty little secrets they may have that they hide in the bedroom. You see what they are doing when they think nobody is watching, and you get to watch them forever. Because you are a mirror, you will never be touched by them.
02 / 03 / 2024
ASK ANSWERED
Wow your game is amazing, really creative!!
Thanks you so much, but it's so hard!!!!! I want to be everything for everyone of them!
I loved the propositions 😍
Here is the link about why i want to write about inanimate transformation 😊
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🇫🇷 FRANÇAIS / FRENCH 🇫🇷
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE
HUMILIÉ PAR UNE CÉLÉBRITÉ #76
JASON MOMOA
LES CHAUSSETTES HUMAINES 🧦 DE JASON MOMOA
Être assistant-réalisateur sur le tournage d'une publicité d'une marque de vêtements était déjà une super expérience professionnelle, mais que impressionnant acteur Jason Momoa en soit le mannequin était encore plus incroyable ! Malheureusement, les chaussettes qu'il devait porter avaient disparus, perdus par les équipes costumes. Paniqué, le réalisateur de la publicité te demanda de toute urgence si tu acceptais de remplacer les chaussettes.
Désirant plaire à cet homme influent et sentant que ce tournage pouvait orienter ta carrière, tu as accepté. Il t'avait dit que cette transformation serait provisoire, alors tu n'as pas été plus craintif que cela lorsque ton patron t'a installé dans le "transformateur", une machine rare qui n'était utilisé pour transformer des humains en objets qu'en dernier recours. Les stagiaires et les subalternes étaient les cibles de cette machine qui n'avait pas servi depuis longtemps.
Or, dans sa précipitation, le réalisateur du film a appuyé sur le bouton "transformation définitive permanente" sans s'en rendre compte. Tu étais devenu des chaussettes, une joli paire rose mais très confortable.
Le gigantesque et viril Jason Momoa était habillé en rose, la douceur de la couleur contrastant avec son physique très masculin. Sitôt qu'il t'a essayé, l'acteur ressenti immédiatement une sensation de plaisir : ce qui était autrefois ta bouche se situait au niveau de ses longs orteils, et le transformateur changeait les humains en objets en leur faisant éprouver des sens humains. Tu avais donc face à toi les orteils et les pieds de Jason Momoa que tu sentais et que tu léchais chaque fois que toi, la chaussette, rentrait en contact avec ses pieds. Jason Momoa avait donc l'impression qu'on lui donnait un bain de langue, et c'est toi qui sentait et aspirait l'odeur de ses pieds suants, et absorbait sa transpiration.
Jason Momoa n'avait jamais eu des chaussettes aussi confortables, alors il demanda à les garder après le tournage de la publicité. Dans l'espoir que tu disparaisses et qu'on ne puisse pas accuser le réalisateur de sa faute professionnelle, il t'as laissé partir sans remords. Tu n'as plus jamais quitté les pieds de Jason Momoa, il te portait constamment car il n'avait plus à sentir ses pieds puants, sans savoir qu'un être humain avait été transformé, certes avec son accord mais sans savoir pour que ce soit toute sa vie. Dans l'impossibilité d'appeler à l'aide, tu as donc été contraint de vivre pour le restant de tes jours en étant collé aux longs pieds virils et puants du bel acteur Jason Momoa.
FIN DE L'HISTOIRE
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🇬🇧🇺🇸 ENGLISH / ANGLAIS 🇺🇸🇬🇧
PERSONAL FICTIONAL STORY
HUMILIATED BY A CELEBRITY #76
JASON MOMOA
- THE LIVING SOCKS OF JASON MOMOA -
Being an assistant director on the set of a clothing brand commercial was already a great professional experience, but having impressive actor Jason Momoa as the model was even more incredible! Unfortunately, the socks he was supposed to wear had disappeared, lost by the costume teams.
Panicked, the director of the ad urgently asked you if you agreed to replace the socks. Wanting to please this influential man and feeling that this shoot could guide your career, you accepted. He had told you that this transformation would be temporary, so you weren't more fearful than that when your boss installed you in the "transformer", a rare machine that was only used to transform humans into objects. It was used if there was no other solution. Trainees and subordinates were the targets of this machine which had not been used for a long time.
However, in his haste, the director of the film pressed the “permanent definitive transformation” button without realizing it.
You had become socks, a pretty pink pair but very comfortable. The gigantic and virile Jason Momoa was dressed in pink, the softness of the color contrasting with his very masculine physique.
As soon as he tried you, the actor immediately felt a sensation of pleasure: what was once your mouth was located at the level of his long toes, and the transformer was changing humans into objects by making them experience human senses. So you were facing Jason Momoa's toes and feet, which you smelled and licked every time you, the sock, came into contact with his feet. Jason Momoa felt like he was being given a tongue bath, and you were the one smelling and inhaling the scent of his sweaty feet, and absorbing his sweat.
Jason Momoa had never had such comfortable socks, so he asked to keep them after filming the commercial. In the hope that you would disappear and that the director could not be accused of professional misconduct, he let you go without remorse.
You never left Jason Momoa's feet again, he constantly carried you because he no longer had to smell his stinky feet, without knowing that a human being had been transformed, certainly with his consent but without knowing so that it would last his whole life. Unable to call for help, you were forced to live the rest of your life glued to the long, stinking virile feet of handsome actor Jason Momoa.
END OF THE STORY
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TANK TOP of MICHAEL B. JORDAN
I'm probably inspired by the fact that Michael B. Jordan wears this in real life 🥵 He is godly so obviously I'd love being on his body 😍
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In my last article about Michael B. Jordan, i gave you my opinion about him as Hercules, and you'll find the link of the story i wrote about Michael B. Jordan as a dom master 😊
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UNDERWEAR of KJ APA
I am in love with him but worshipping his ass would be an incredible honor, a real dream.
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That's why i included his butt in the story i wrote about him being a sadistic master 🥵
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THE CANDIES 🍭🍬 OF HENRY CAVILL
I know His Lordship God Henry Cavill is a perfect divinity, a straight white alpha male and I'm just a skinny twink but.... ISN'T THE PERSPECTIVE OF BEING ETERNALLY SUCKED ON BY HENRY CAVILL A DREAM LIFE 🙏🥵🙏🥵🙏🥵🙏 !!!!!!
Just like in these AI pics, I'd love being in candy heaven where Henry Cavill eats, suck and lick me. Obviously I'd love to lick him too!
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THE MIRROR 🪞 OF JOE MANGANIELLO
Is there someone that wouldn't like to spent his whole life doing nothing else that watching Joe Manganiello's godly body?! 🥵
Imagine if he is aware that I'm his mirror and that he sometimes train his poses or that he does strip tease for his mirror even though I'll stay in permanent horniness 🤤
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I have heard recently that he divorced from Sofia Vergara because he wanted kids and her no. Should i write about Joe Manganiello having kids with me? 😍
@jasonmomoadaily @henrycavilledits @joemanganiellospain-blog @kjapas @jasonmomoaaddict-blog @kjapaland @henrycavillworld @kjapavibes-blog @joemanganiellospain-blog @kjapa-daily @jasonmomoa-theman @jasonmomoaonline @joemanganielloesp-blog @henrycavillworld @henrycavillworld4 @kjapaslaugh @joemanganiellosource @michaelbjordan @michaelbjordan-news @kjapaa @tidodore2 @leftprogrammingroadtripdean @faginparis @faggotdreams @faggotscometoworship @fagsworshipalphas @gayhopefullove @lovefanfiction01 @innerpiratefun
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Un vrai homme veut plaire à la même femme tous les jours car il sait que l'amour vrai, c'est quelque chose qu'on choisit encore et encore....
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randomnameless · 2 months
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3H est un otome game ???? Alors là c'est la meilleure
La classe des Lions de Saphir c'est un peu ça lol
Plus sérieusement, avec l'introduction de l'avatar qui est censé représenter le jouer et la mise en avant des relations parasociales ("coucou moi c'est Linfan et je suis votre fils/fille!" osef) on a de plus en plus d'éléments qui poussent les jeux FE vers le fameux "dating sim", l'avatar va se marier avec qui? Le type ténébreux et mystérieux, le mec toujours optimiste, l'archétype de la princesse de glace qui ne se dégèle qu'aux cotés de son love interest, la tsundere, la hikikomori...
Bref, les personnages sont presque tous réduits à être de potentiels love interest et donc à entrer dans une case pour "plaire" au joueur...
Malgré tout, on ne va pas se mentir, FE n'est pas pensé/réalisé pour être un jeu qui vise un public féminin - si on peut tout autant faire son choix entre "waifus" et "husbandos", la cinématique d'introduction de Camilla est bien là pour rappeler que même si on joue Corrine, le public majoritairement visé reste... le public masculin qui est capable de jeter de l'argent non virtuel pour acheter des unités Gullveig sur FE Heroes.
"Oui mais random, les jeux peuvent aussi viser le public féminin qui trouve les femmes attrayantes!"
Certes, mais il ne faut pas se voiler la face - c'est quelle version de Billy que Dedel dessine dans le jeu?
Si certains (ou certaines?) on pu voir de l'inclusivité dans ce jeu, ben tant mieux pour eux, mais on ne m'enlèvera pas l'idée que les relations F/F dans ce jeu (et dans Nopes!) c'est juste pour titiller la nouille de joueur - surtout quand on les compare aux nombreuses (mais sous-entendues comme dans le reste de la franchise!) relations M/M.
Monica qui compte le nombre de fois où Dedel sourit ou parle ou mentionne le nom de Barney/Hubert/le chat gris du monastère c'est... absolument pas du même niveau que Rodrigue qui jure à Lambert de s'occuper de son fils et qui ne jure que par Lambert même des années après sa mort (et ce alors que Nopes nous révèle que Matthias aussi était censé faire partie de la bande, mais qui c'est qui nous parle sans arrêt de Lambert, Rodrigue ou Matthias? Est-ce qu'ils étaient juste "potes"?), ou Dimitri et Felix/Dedue...
Il y a Doro, qui a plus d'affinité avec certains personnages féminins, mais d'un point de vue "Doyliste" comme on dit, qui est le personnage féminin qui est attiré par les autres femmes? Bernie, Leonie ou Doro ?
Qui peut se marier avec Billie, Mercedes ou Annette?
J'entends que Billy ne peut pas non plus se marier avec Dimitri et Claude, donc niveau inclusivité M/M on est pas là non plus, mais justement.
FE Fodlan, pour la représentativité sur le volet "dating sim" est au ras des pâquerettes, en faisant du cru, l'avatar Billie aime les pastèques (sauf Dedel!) parce que Cuboon l'a bien dit en expliquant que deux femmes en maillot de bain c'est un "milk truck" - Billy lui finit avec des tokens pour faire progressiste mais rien de bien méchant qui permet de mettre en avant une relation M/M entre l'avatar du joueur et un personnage - Alois et Gilbert sont tellement ignorés par la fanbase et les devs qu'ils ont été retirés de Nopes, Yuri a vu le jour avec un DLC et Jeritza... n'est jouable que dans une route de FE16.
En gros, un jeu où les personnages féminins attirés par les femmes ont toutes de grosses poitrines, ça me fait d'avantage penser au mindset "milk truck" de Cuboon (avec les sous-entendus dégeulasses qui vont avec!) qu'à un effort d'IS de faire de l'inclusivité.
FE a toujours traité les relations homoerotiques avec assez de classe chez les hommes, alors voir la façon dont les couples entre femmes sont explorés... parfois ça passe (même si ça souffre toujours de la comparaison avec leur "alter ego" entre hommes!) et parfois, ça finit en alts de FEH où deux femmes sont "attirées" l'unes par l'autre par une sorte de magnétisme mammaire qui les forcent à presser leurs seins l'une contre l'autre.
Loin d'être un otome game, FE16 pour moi se rapproche d'un dating sim à destination d'un public spécifique, qui n'est absolument pas le public des otome games.
Heureusement que ça reste tout de même un jeu FE donc malgré tout appréciable, mais quand on se rend compte que le choix entre Fleur Vermeille et Neiges Argentées se résume à "et tu veux finir avec quelle waifu? Rhea - que tu dois avoir harcelé pour faire un soutien A pour obtenir toutes les réponses et sa conclusions pendant le début du jeu - ou Dedel?" je pense que je ne fais pas partie du public visé par FE16.
Et ça reste quand même une bonne chose que FE Fodlan ait réussi à toucher plus de joueurs que ceux qui étaient visés par les développeurs de Fodlan - si tout le monde a pu en tirer quelque chose de positif ou au moins passer un bon moment c'est tant mieux, même si je pense qu'il ne faut pas prêter trop d'intentions aux développeurs qui ont toujours eu l'arrière-pensée de faire une carte "Dedel en nuisette".
C'est un peu comme un anniversaire, tu prépares un gâteau pour l'enfant qui fête son anniversaire parce que c'est son préféré, mais ses copains le mangent aussi et le trouvent super bon : tant mieux pour tout le monde non?
Mais il ne faut tout de même pas oublier que le gâteau, au début, n'avait pas été fait pour leur faire plaisir à eux.
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e642 · 3 months
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Mais en fait, ça m'a mis grave un coup de mou cette journée. Je suis hyper démotivée par les cours, ça me rend malade de rester statique en amphi et prendre des notes et pas respirer jusqu'au rendu des résultats. Puis rentrer chez moi et attendre, beaucoup scroller sur mon téléphone. Manger mal, enfin, jamais savoir comment faudrait que je mange. Puis, il m'a demandé de me faire belle pour ce we, mais j'ai pas envie. Je suis inconfortable dans toutes les fringues, je déteste mon corps trop plat, mon visage rempli de creux. Jsais que j'ai de la chance d'être en bonne santé, d'avoir un corps fonctionnel et que le reste c'est anecdotique mais je me sens comme une merde. Jsaurais pas dire quand est ce que je me suis trouvée belle, bien habillée, séduisante pour la dernière fois. J'ai pas confiance en moi, ça transpire la meuf fragile qui a zéro estime d'elle. Quand j'étais en L2, célibataire, j'avais pas plus confiance en moi, pourtant je me lançais, j'aimais plaire, me maquiller, sortir, acheter des petites robes flatteuses. Plus maintenant. C'est pas que j'aime plus c'est que j'arrive pas à passer outre le fait que jme regarde qu'avec du dégoût et du mépris. J'me sens indésirable. Laide. Ridicule. Elle me manque cette période où j'étais tellement une bad bitch, jsais que c'est de l'ego, que jai pas à chercher le regard approbateur et séduit des hommes mais quand t'arrives pas à te situer, ya que les autres qui peuvent t'aiguiller. Ça fait semi pitié, semi sens. Si je kiffe autant les fringues amples c'est pas parce que j'aime être à la mode, c'est parce que ça me permet d'oublier ce corps affreux, de bien le cacher.
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Vieillir
J'ai voulu faire un selfie, car il y a des semaines que je n'en ai pas fait, peut être même des mois. Mais impossible de me plaire sur la dizaine de photo que j'ai faite. Ou alors, je dois mettre un filtre et je me retrouve avec une peau lisse comme celle d'un bébé. Donc, ce n'est pas moi. Le but, ce n'est pas seulement de publier une belle photo , mais de publier une photo qui me ressemble !
Alors, je n'en ai publié aucune, j'ai tout effacé et j'étais au bord des larmes parce ce que je sais que désormais, chaque année qui passe va détruire un peu plus mon apparence. Je ne me suis jamais trouvée aussi "moche" que cette année, celle de mes 55 ans. Mais dans 2 ans, je trouverai sûrement toutes les photos de cette année très jolies !
Vieillir c'est vraiment terrible, surtout à l'époque des filtres, et des blogs de femmes qui te disent comment être belle. On se compare sans arrêt et passer la cinquantaine, on se sent rapidement hors course. Moi, j'ai la quasi certitude que je ne peux plus plaire à personne, exception faites de ces hommes qui ne pensent qu'au sexe et qui sauteraient sur n'importe qu'elle femme du moment qu'elle est d'accord. Mais que quelqu'un me regarde et me trouve belle, où juste jolie, où simplement à son goût, je n'y crois plus.
Et ce n'est vraiment pas évident d'accepter que désormais ma vie devra se vivre sans amour.
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mediumhounkpe · 2 years
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Comment récupérer son ex à distance pour de bon
Comment récupérer son ex à distance pour de bon
Bon rituel pour faire revenir son ex à distance- Voyant compétent HOUNKPE TRAVAIL RAPIDE EFFICACE A 100% ET DISCRET.Appel/WhatsApp: +229 98880709e-Mail: [email protected] Comment reconquérir son ex ? Bon rituel pour faire revenir son ex à distance-Comment faire revenir l’être aimé gratuitement- Faire revenir son ex à distance magie- faire revenir son ex à distance-Comment faire revenir…
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Opération speciale
Chap: 1
Ce soir, il m'a prévenu que l'on allait sortir. Comme souvent.
Je suis assise à côté de lui, côté passager. Mes chevilles liées par des menottes dont il garde la clef dans sa poche de pantalon. Une vieille habitude depuis que je vis chez lui. Ou plutôt, depuis qu'il m'a interdit de partir de chez lui!
Il a toujours peur que je me sauve. Il m'attache ou m'enferme en permanence. Pour moi ce n'est pas vraiment une nécessité, je n'ai pas d'endroit où aller, pas d'argent. Je ne sais même pas si je partirais dans l'éventualité où il me laisserait libre.
Il est dur mais plutôt juste. Je subis au quotidien. Je m'attache à lui comme un otage qui se lie à son gardien. Je m'habitue à cette vie finalement. Mon cerveau se vide.
Plus d'envies. Plus de rêves.
Je deviens un automate. Je subis sans me plaindre. Les quelques punitions que j'ai reçues les premiers temps m'en ont dissuadées. Les cachets qu'il me donne plusieurs fois par jour aussi j'imagine. Je me sens las. Sans énergie. Je n'étais pas comme cela avant.
Il est pharmacien. C'est facile pour lui de me rendre à sa merci. De me droguer. De faire de moi un zombie.
Nous avancons dans Strasbourg et nous nous rapprochons du centre. Le regarde par la fenêtre de la voiture. Le regard vide. Le paysage urbain défile. Des lumières. Des boutiques en train de fermer. Des passants.
J'imagine la soirée que je vais passer.
Je n'ai pas peur. Je n'ai plus peur. Je m'habitue a être malmenée. J'aurai mal sans doute. Je passerai un mauvais moment. Ça m'est égal. Je pense à après. Quand il irait travailler demain matin. Je serai enfin seule. Enfermée dans ma chambre. Mais seule. Je dormirai. J'ai toujours envie de dormir depuis que je suis chez lui. Les cachets sans doute...
Il se gare le long d'un trottoir. Il y a un peu de monde dans la rue. Je pourrais crier. Demander de l'aide.
Même pas la force. Même pas l'envie. Juste l'idée qui me traverse l'esprit...
Il défait les menottes et me regarde d'une manière menaçante:
- Je te fais confiance petite pute! Tu restes bien docilement à côté de moi, d'accord?
- oui Maître.
Je me garde bien de lui dire que je n'ai pas la force ni l'énergie de fuir ou de demander de l'aide. Il doit bien le savoir de toute manière.
D'ailleurs je ne peux pas lui parler. Il me l'a interdit. Je peux juste lui répondre. Et encore, avec calme, politesse et en baissant les yeux! Réponses courtes obligatoires. J'ai été punie plusieurs fois au début pour manque de respect. Je fais attention désormais. Ses punitions font trop mal.
Il fait le tour de la voiture et m'ouvre la portière.
- merci Maître.
Il me prend sous le bras, gentiment.
Nous commençons à marcher. Comme des amoureux. Nous donnons le change j'imagine, pour les autres passants.
Je fais l'objet de quelques regards de mecs que nous croisons. Je suis habillée un peu court pour ce début de soirée. C'est lui qui choisi mes tenues.
Il est fier que les hommes me regardent.
Il me chuchote à l'oreille:
- tu vois petite pute, tu plais aux hommes! Je suis fier de toi!
- merci Maître... je réponds en chuchotant également.
Dans ma tête, un sourire passe. La satisfaction. J'avoue ressentir une certaine fierté à plaire. Presque de l'excitation.
Nous arrivons en bas d'un immeuble. Il sonne.
Nous entrons lorsque la porte se déverrouille....
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homomenhommes · 10 days
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Très souvent de cochon, ou pouvant faire allègrement la part belle à la sardine ou au thon, la rillette est une bénédiction assez sous-cotée, face à l’omniprésence du sacro-saint pâté. Et pourtant mes asticots, se demander si l’on est plus rillettes ou pâté, est aussi crucial que se questionner si l’on désire plus un homme marié ou un petit célib. Enfin, ce n’est qu’un avis très personnel… Il faut voir la rillette comme un instrument de convivialité, servant de mise en appétit avant des festins accomplis. En apéritif pour accompagner un beaujolais assez jeune, ou en entrée pour se faire le chemin de la becquée, ce mets gras vous mettra dans de véritables beaux draps. Diable, que se batailler les filaments de chair à bout de couteau est un moment privilégié et rempli d’égo. Bouge-toi de là, le plus gros sera pour moi ! Vous aurez compris, mes braves vertébrés, que la rillette est pour moi objet sacré. Laissons pour une fois le pâté là où il est, et plongeons-nous avec veine dans ce délice né en Touraine.
En effet mes agneaux de lait, je vous mens si je vous apprends que les rillettes viennent du Mans. Bien que popularisées dans la ville de la Sarthe grâce à sa production plus industrialisée, c’est bien à Tours que les rillettes ont commencé à jouer, auprès des gourmets, des jolis tours. Mon ami météorologue dirait que grâce au ciel, et surtout aux commerçants de bouche de notre douce Gaule, nous pouvons en tartiner aux quatre coins de la métropole. En parlant de marchand de bien, je vous avais parlé il y a quelques semaines d’un coquin volailler, portant la casquette avec autant d’élégance qu’un Hollandais sur les bords de la Méditerranée. Le chenapan faisait du poulet sa madeleine de Proust, en le déclinant de façon variée. Je vous le donne en mille mes élégants faisans, le bougre proposait de la rillette de poulet ! Vas-y l’écrevisse, fais-moi goûter à ta merveille assaisonnée…
Ici, la volaille cuite longuement dans la graisse faisait office de salle d’attente, avant que ma pintade farcie finisse de me détendre. Mazette, lorsque l’assiette apparut sous mon nez fuitant d’humidité, l’émotion me comblait et me faisait gracieusement renifler. Les longueurs charcutières s’imbriquaient avec la précision d’une orgie rêvée, faisant penser que les volatiles souhaitaient jouer au Mikado, jadis passe-temps désiré. Une tomate cerise coupée en deux, venait rafraîchir l’écuelle avec l’élégance de la légère brise s’avançant pour caresser nos œufs. Je laissais le soin à mon accompagnante de profiter jovialement du potager, et de ses saveurs acidulées. Et puis, impossible de relater cet instant sans mettre en relief le plus sous-évalué des condiments. La coquetterie verte ébranlait nos palais avec sa tonicité légendaire, vinaigrant nos bouchées et nous rappelant que le cornichon avait tout pour plaire. Dorénavant, nous pouvions passer à la suite avec sérénité, la basse-cour ayant pris domicile dans nos entrailles, chichement.
Quel plaisir de parler de la rillette, qui pour un charcutier est une belle fenêtre sur le savoir-faire qu’il aspire à retransmettre. Laissons penser les ignares que la grasse se badigeonne seulement sans grâce dans des sandwichs, et prions ensemble pour qu’elle se propose encore largement sur des tables de maître. Monsieur le volailler, merci pour ce moment.
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havaforever · 4 months
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PAST LIVES - Il y a des œuvres dont on sait qu’elles vont nous plaire dès les premiers instants. Past lives, nos vies d’avant est clairement de cette catégorie. Mieux, elle nous cueille dès le départ pour ne plus jamais nous lâcher. Et il faut souligner que c’est un premier film, ce qui rend cet essai poétique et parfaitement maîtrisé encore plus louable, et plus touchant.
La réalisatrice et scénariste Céline Song a bien sûr mis beaucoup de son expérience dans cette histoire presque autobiographique, ce qui est souvent l’apanage des premières œuvres. Cette immigrée nord-américaine (ou émigrée sud-coréenne selon d’où on se situe) a donc réalisé un film qui lui ressemble. Elle y fait un parallèle fort avec sa propre histoire, nous la fait presque partager, et nous gratifie d’une passionnante et sublime histoire d’amour pas comme les autres. Elle se caractérise par un amour d’enfance qui se transforme en une sorte de relation manquée qui s’étire sur près de trois décennies. Et que c’est beau, que c’est juste, sensible et intelligent, tout en nuances et en délicatesse.
On sort du film plein de baume au cœur. On n’a pas vu le temps passer (hormis quelques minuscules petites longueurs au milieu du film) et on a assisté à quelque chose de presque magique. Quelque chose qui nous fait encore croire à l’amour sous toutes ses formes même quand il n’est pas consommé.
Le titre fait référence à une sorte de légende bouddhiste prônant les âmes liées à travers la réincarnation mais n’a pour autant rien de surnaturel, de spirituel ou de métaphysique. Ce qui est impressionnant, c'est que cette histoire nous fait rêver, mais justement parce qu'il n’y a pas plus terre à terre. C’est juste l’hypothèse invoquée par les personnages, comme une sorte d’espoir ou la promesse de se retrouver dans une autre vie qui suffit à faire décoller le récit, à sublimer la relation inaboutie.
Song déjoue tous les clichés propres aux films sentimentaux en choisissant le réalisme et la justesse de ton et de point de vue. C’est doux comme une caresse, tendre comme une étreinte et souvent beau à se damner. Elle parvient même à rendre les échanges virtuels de la seconde partie intéressants et cinégéniques. Le trio de de comédiens qui incarne ce film sublime est dans la même harmonie. Sans leur précision de jeu, le long-métrage n’aurait pas le même impact...
Mais au-delà de la puissance des sentiments qu’elle convoque, à travers de simples discussions et la dissection d’un amour qui ne dit pas son nom et ne se réalisera pas, Song nous met une claque de mise en scène encore plus impressionnante puisqu’il s’agit d’un coup d’essai. Sans jamais être prétentieuse ou ostentatoire, sa réalisation est dans la même lignée que le fond de son film : belle, pudique, sobre tout en étant parfois majestueuse.
Un plan sur une flaque de pluie à la magie éthérée, un autre d’une pureté aseptisée où on voit le personnage principal assoupi tandis qu’en second plan flouté arrive un homme qui deviendra son mari ou encore celui qui voit deux enfants prendre deux ruelles différentes, symbole d’une séparation qui les marquera à vie. Même sa façon de filmer New York est pleine de goût.
La séquence initiale est aussi fûtée et originale que le film est bon. On y voit nos trois personnages principaux dans un bar tandis que la discussion de deux personnes qu’on ne verra pas tente de savoir quelles sont leurs liens, ce qui amorce un petit suspense en plus bien vu en plus d’être une idée judicieuse.
Et, enfin, cette fin déchirante de simplicité, bouleversante de tristesse et flirtant avec la nostalgie et la mélancolie des plus grands films romantiques achève de nous convaincre. «
NOTE 16/20 - Past lives, nos vies d’avant est un grand film d’amour du même niveau que N’oublie jamais ou In the Mood for love. Un moment privilégié, où quelque chose de fort et de profondément sensible parvient à se dire et à se faire entendre en chacun de nous.
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submissivegayfrenchboy · 10 months
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25 / 06 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
Hey! Pour une fois je voulais écrire sur un personnage qui a un handicap. J'espère que vous apprécierais cette histoire interraciale.
C'est moi qui ai créé la première illustration.
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE
LE TOUTOU D'UN HOMME NOIR AVEUGLE
Darnell est un homme noir grand et musclé, fort, beau et très attirant. Il adorait faire du sport dans un parc et n'avait aucun complexe à exhiber son corps de rêve devant d'autres. La sueur coulait sur ses muscles sans qu'il ne voit que, depuis plusieurs heures, quelqu'un le surveillait. Oui, Darnell était espionné par un petit garçon blanc qui se trouvait moche. Il n'avait aucun ami et aucune confiance en lui.
Un jour il avait vu Darnell courir torse nu avec un short ne parvenant pas à contenir son immeuble bite noire. Depuis, le petit garçon blanc moche, nommé, Gaspard, n'avait qu'une seule passion : admirer Darnell. Il passait des heures à admirer ce grand homme noir sauter, courir, étendre ses bras... Lorsqu'il commençait à regarder Darnell, il lui était physiquement impossible de s'arrêter. Quand il voyait partir Darnell, il pleurait car il pensait que jamais un grand homme noir sublime et physiquement impressionnant tel que lui voudrait passer du temps avec un petit garçon blanc moche, et encore moins l'aimer. Du moins le croyait il.
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Un jour où comme d'habitude Gaspard admirait Darnell, celui-ci, vêtu d'un simple short bleu coordonné à son chapeau, entendit Gaspard faire un bruit en marchant près de lui.
DARNELL : "Hey il fait chaud ici ! Ramène moi ma boisson, garçon blanc !"
Gaspard se demanda comment il avait su qu'il était un garçon blanc, mais il préféra saisir l'occasion de plaire à l'homme dont il est amoureux. Il vit le sac de sport de Darnell contre un arbre et lui ramena sa boisson énergisante. Darnell l'a bu et posa ses mains sur les épaules de Gaspard.
DARNELL : "Tu t'es montré un gentil garçon blanc. Maintenant sèche moi."
Gaspard chercha dans le sac une serviette mais remarqua qu'il n'y en avait pas.
DARNELL : "Comment ça il n'y en a pas ?"
GASPARD : "Regardez ! Vous ne voyez pas ?"
DARNELL : "Non, justement, imbécile de garçon blanc ! Je suis aveugle !"
Aveugle ? Si cet homme noir arrivait à être si fort en faisant son sport, comment pouvait il avoir oublier sa serviette pour essuyer sa sueur? Gaspard eu l'envie d'être à son service.
GASPARD : "Je sincèrement désolé, monsieur, je ne voulais pas vous offenser."
DARNELL : "Okay c'est pas grave. Bon alors je vais devoir me sécher quand même. Lèche ma sueur !"
Le garçon blanc n'hésita pas et lécha la sueur du torse de Darnell avec joie et désir. Il lécha la sueur si goûteuse et Darnell apprecia la soumission du garçon blanc. Il lui proposa de venir chez lui. Gaspard a porté le sac de Darnell et se sentait fier de servir un homme noir si masculin.
Arrivés chez Darnell, celui-ci pris le garçon blanc dans ses bras et l'embrassa avant de lui faire sucer son énorme mais délicieuse bite noire.
Depuis cette rencontre, le grand homme noir aveugle passa du temps avec Gaspard le garçon blanc pas très beau. Darnell apprecia davantage ce garçon si attentionné mais Gaspard craignait qu'il ne l'aime pas assez pour avoir le désir de se mettre en couple avec lui.
Gaspard voulait prouver à Darnell sa soumission. Un jour où Darnell devait recevoir un chien guide d'aveugle, il fut prévenu par message téléphonique d'un retard de l'arrivée du chien.
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Gaspard le lu avant lui et eu l'idée de se faire passer pour le chien. Il conduisit son ami noir à quatre pattes en aboyant. Il fut si convaincant en chien pour aveugle que Darnell ne s'en était pas rendu compte. Cela se passa à plusieurs reprises. Gaspard avait été si souvent moqué pour son physique qu'il ne craignait plus le regard des autres. Il voulait plaire à Darnell et être son chien blanc.
Au bout de plusieurs fois à se faire passer pour son chien guide d'aveugle, Gaspard finit, en larmes, par expliquer à Darnell qu'il n'avait jamais reçu le chien guide d'aveugle et que c'était lui qu'il avait promené. Darnell comprit que le garçon blanc inférieur avait menti par amour et lui pardonna.
Gaspard resta le chien de compagnie de son maître noir aveugle mais ils étaient enfin en couple comme l'avait toujours rêvé le garçon blanc qui vénérait son amoureux noir.
Darnell et lui formaient un couple interracial gay uni et solide, prouvant que l'handicap et la laideur ne sont pas des freins à l'amour.
FIN DE L'HISTOIRE
La deuxième illustration est de cet artiste.
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🇺🇸🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇸
Hey! For once i wanted to write a story including a character who have a disability. I hope you'll like this interracial gay story. 😁
I am the one who made the first illustration.
PERSONAL FICTIONAL STORY
A LIVING DOG FOR A BLIND BLACK MAN
Darnell is a tall, muscular, strong, handsome, and very attractive black man. He loved to play sports in a park and had no complex showing off his dream body in front of others. Sweat ran down his muscles without his noticing that, for several hours, someone had been watching him. Yes, Darnell was being spied on by a little white boy who thought he was ugly. He had no friends and no self-confidence.
One day he had seen Darnell running around shirtless with shorts failing to contain his immovable black cock. Since then, the ugly little white boy, named Gaspard, had only one passion: to admire Darnell. He spent hours admiring this tall black man jumping, running, stretching his arms... When he started looking at Darnell, it was physically impossible for him to stop.
When he saw Darnell leave, he cried because he thought that a tall, gorgeous, physically impressive black man like him would ever want to spend time with an ugly little white boy, let alone love him.
At least he believed so.
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One day when as usual Gaspard admired Darnell, the latter, dressed in simple blue shorts that matched his hat, heard Gaspard make a noise while walking near him.
DARNELL: "Hey it's hot in here! Get me my drink, white boy!"
Gaspard wondered how he knew he was a white boy, but he preferred to seize the opportunity to please the man he is in love with. He saw Darnell's gym bag against a tree and brought back his energy drink. Darnell drank it and put his hands on Gaspard's shoulders.
DARNELL: "You showed yourself a nice white boy. Now clean me off."
Gaspard looked in the bag for a towel but noticed that there was none.
DARNELL: "How come there isn't?"
GASPARD: "Look! Can't you see?"
DARNELL: "No, that's right, you stupid white boy! I'm blind!"
Blind ? If this black man managed to be so strong doing his sport, how could he have forgotten his towel to wipe his sweat? Gaspard wanted to be at his service.
GASPARD: "I sincerely apologize, sir, I did not mean to offend you."
DARNELL: "Okay it's okay. Well then I will have to dry myself anyway. Lick my sweat!"
The white boy didn't hesitate and licked the sweat from Darnell's chest with joy and desire. He licked the sweat so tasty and Darnell appreciated the submission of the white boy. He suggested that he come to his house. Gaspard carried Darnell's bag and felt proud to serve such a masculine black man.
Arrived at Darnell's, he took the white boy in his arms and kissed him before making him suck his huge but delicious black cock.
Since that meeting, the tall, blind black man has been spending time with Gaspard, the not-so-handsome white boy. Darnell appreciated this caring boy more, but Gaspard feared that he didn't love him enough to have the desire to be in a relationship with him. Gaspard wanted to prove to Darnell his submission.
One day when Darnell was to receive a guide dog for the blind, he was notified by telephone message of a delay in the dog's arrival.
Gaspard read it before him and had the idea of ​​pretending to be the dog.
He led his four-legged black friend barking. He was so convincing as a dog for the blind that Darnell hadn't noticed.
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This happened several times. Gaspard had been so often mocked for his appearance that he no longer feared the gaze of others. He wanted to please Darnell and be his white dog.
After several times pretending to be his guide dog for the blind, Gaspard ends up, in tears, by explaining to Darnell that he had never received the guide dog for the blind and that it was him that he had walked. Darnell understood that the inferior white boy had lied for love and forgave him.
Gaspard remained the companion dog of his blind black master, but they were finally a couple, as the white boy who venerated his black lover had always dreamed of.
He and Darnell were a united and solid gay interracial couple, proving that disability and ugliness are not barriers to love.
END OF THE STORY
The second illustration is from this artist.
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guesswhogotaname · 1 year
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Here we go again... 
Ça faisait loooooongtemps l'équipe ! Me revoilà après avoir ouvert un dossier perdu sur le bordel de mon ordi intitulé "FICS" et boum je tombe sur cette pépite hehehe! On est toujours sur cet ✨AU multilanguage kt ✨j'espère que ça va vous plaire, n'hésitez pas à partager vos idées et vos critiques ! 🤟 Voilà, kiffez bien votre lecture les djeunes !
Le jour qu'elle avait tant attendu arrivait enfin.
Son cœur battait à la chamade dans sa poitrine, tout le monde la regardait s’avancer vers l’autel. Elle souriait, ravie, impatiente, nerveuse. Tous les représentants des terres celtes étaient venus en Carmélide pour son mariage ; elle était épiée, chaque geste, chaque pas étaient méticuleusement observés, détailler. Elle n’était pas belle, elle le savait, mais elle se sentait fière. Fière d'être la digne fille de sa mère et de son père ; celle qu'on avait choisi pour l'Élu des Dieux. En silence elle leur adressa une prière ancienne, espérant être à la hauteur de ce qu'on attendait d'elle. Son fiancé était là, habillé d’une tunique bleu ciel, la couronne de fleur posée sur sa tête, son air bougon, agacé, ses cheveux noirs, coupé court, tellement différent des hommes d’ici. 
Elle arriva à sa hauteur, mais n’osa pas rencontrer son regard. C'était encore un geste trop démesuré pour elle. Devant eux, le prêtre s’avança, vêtu d’une longue robe sombre, et d’une lourde croix pendant à son cou. Il avait un calice doré entre ses mains. 
« Au commencement, le Seigneur Dieu dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul. » Il prononça lentement, pesant contre sa langue le poids de ses mots. 
Ghenifar ne connaissait pas les rites ou les coutumes des chrétiens. Sa mère crachait sur leur pratiques barbare et austère. Son père n’en pensait pas mieux. Son enfance avait été bercée de contes et de légendes ; des Dieux puissants qui se transformaient en rivières ou en forêt, des géants qui siégeaient au sommet des plus hautes montagnes, et qui observaient les Hommes avec compassion et une certaine forme de sévérité. Créatures omniprésentes, toujours parmi eux, témoins silencieux. Ils étaient impétueux et sa famille lui avait appris à craindre la foudre, à lire les signes des sécheresses, les corbeaux morts qui annoncent la peste, les hivers trop rudes qui présagent la guerre. Elle obéissait aux croyances de sa mère et de son peuple. 
Le prêtre continuait son sermon dans cette langue bizarre, aux sonorités écorchées, aigües ; la dévotion dans ses paroles et dans ses yeux rendait son discours presque touchant. 
Ghenifar s’agita, inconfortable ; elle tritura nerveusement la manche de sa robe de noce, inquiète de ce que les Dieux pensèrent d’elle. Ils la foudroieraient sur place si elle prêtait un serment à une icône factice. Elle essaya discrètement de faire signe à sa mère qui se tenait à sa gauche. Cette dernière hocha la tête, grande Reine-Guerrière, elle ne fléchira pas devant les envahisseurs et leur idole de bois. Mais aujourd’hui, les Éternels feront exception pour le bien du peuple celte. 
Ghenifar retourna son attention sur la cérémonie. L’homme, qui se fait appeler « Père » par les invités, approcha le verre des lèvres de son époux. Il prit une gorgée, avant un soupir. 
« Le sang du Christ. » Confia le prêtre devant elle, lui tendant la coupe où reposait un breuvage odorant et ocre à l’intérieur. 
Ghenifar ne comprenait pas les mots, mais elle obéit. Les druides de son pays faisaient ça aussi, ils partageaient dans une jatte plate le sang d’un animal sacrifié et ils le buvaient chacun leur tour, subissant la prophétie envoyée. Dans ces croyances, ce n'était pas anodin, le sacrifice d'un être vivant était nécessaire seulement pour mes fêtes importantes ou avant les batailles décisives. Ici, les gens boivent du sang comme d'autres boiraient-ils du vin ou du lait... Les druides ne prenaient jamais part, ils n'avaient pas de chef, ils servaient les Dieux. Pourquoi alors cet homme que tous appelle "Père" est au service du Roi ? Ghenifar eu soudainement une boulé d'angoisse logée au dessus de sa poitrine, le prêtre était peut-être un mauvais présage, il apporte le dieu usurpateur... Mais tout le monde attendait, impatiemment, elle devait faire comme eux.
Elle fut surprise quand elle prit une lampée du liquide âpre qui puait le vinaigre. C’était du vin. Elle ne put retenir une grimace, le goût infect restait sur sa langue et descendait dans sa gorge. Ce n'était pas du sang. Son futur époux l’observa, étonné de sa réaction, mais il eut un demi-sourire amusé. 
Ghenifar ne put s’empêcher de rougir. 
Le prêtre reprit, dans une voix monotone et solennelle. « Vous avez écouté La parole de Dieu qui a révélé aux Hommes le sens de l’amour et du mariage. Vous allez vous engager l’un envers l’autre. » 
Son époux leva les yeux au ciel, marmonna quelque chose entre ses dents, ses iris sombres ne masquant rien de son agacement absolu. « Oui, bon, allez, grouillez-vous, on n’a pas toute la journée… » 
« Je peux pas aller plus vite c’est les codes ! » 
« Vous savez où je les mets vos codes à la con ? » Il menaça, la mâchoire crispée par sa colère contenue.  
Des murmures se propagèrent dans l’assemblée. Outré, le prêtre semblait avoir les yeux qui sortaient de son crâne. Il souffla un « Enfin Sire ! » en faisant un signe de croix sur son cœur. 
Ghenifar restait muette, elle observait la scène sans en saisir le sens. Les coutumes chrétiennes étaient particulières. Dans sa famille, la foi était pratiquée par des chants et des danses. On appelait les Dieux à rejoindre les festivités, les gens voulaient les honorés par des jeux et d’immense banquet. 
Arthrhy se tourna vers elle et enfin leurs yeux se rencontrèrent. Ghenifar resta suspendue à ses lèvres, observant méticuleusement son futur époux prononcé des mots en brittonique pour que tous ici puis comprendre son affection. Tous allaient être témoins du début de la plus belle histoire d’amour jamais écrite. Elle était si heureuse d’entendre ses vœux, et son cœur s’envolait comme un oiseau libre et fou. 
« Aujourd’hui, Naofa Gwenhwÿfar… » Il n’arriva pas à terminer sa phrase ; les mots avaient pourri sur sa langue et l’odeur amère de la trahison emplissait ses narines. Il la regarda un instant. Elle était d’une beauté attendrissante, presque triste. Elle aussi portait une couronne de fleurs sur ses cheveux bruns, quelques pétales s’étaient perdues dans ses boucles, son visage rond à peine sorti de l’adolescence, ses grands yeux noisette, pétillant d’une joie immense. Elle était trop jeune pour être une épouse, pour être Reine. En déclarant ses vœux d’un mariage éternel et heureux, Arthrhy la condamnait à une vie bien malheureuse. Il avait honte. « Je vous prends pour être ma femme. » Il eut le temps d’une inspiration, les mensonges collaient à sa langue et son palais, il avait l’impression de s’étouffer. La dernière fois qu’il avait prononcé ses mots, c’était par amour et non par devoir. Il trahissait Aconia, et il trahissait cette jeune femme dont il ne connaissait que le nom. Tout les Dieux, anciens et nouveau, devraient le maudirent à l’instant pour son impunité. « Je promets de vous aimer pour le meilleur, pour le pire, dans la maladie ou dans la santé, jusqu’à ce que la mort nous sépare. » Il termina rapidement son scandaleux mensonge, le cœur serré dans sa poitrine.
Lui qui avait cru être un homme intègre, loyal et juste… Il était comme tous les autres ; avide de pouvoir, ce mariage n’était qu’une passerelle pour affermir son privilège sur le trône de Bretagne. Il n’était qu’un menteur, un lâche. Il n’avait rien de l’étoffe des héros et des rois de légende. Ses poings se serrèrent, et sa mâchoire se crispa. Il aurait voulu hurler de rage, mais il resta droit, digne de l’image que le peuple avait d’un souverain. Son règne commençait et le poids sur ses épaules était déjà incommensurable. 
Le roi Léodagan se racla la gorge, il était légèrement embarrassé. 
« Ma fille ne parle pas brittonique, sire. » 
« Elle peut le dire en sa langue natale, ce n’est pas important. » Répondit le Roi, indifférent. 
Les mots rassurants, mais autoritaires de son père lui parvinrent ; un ordre força le serment hors de sa bouche. C’était à son tour de prononcer les vœux qui l’uniraient à jamais à cet homme. 
Ghenifar était terrorisée, ses lèvres tremblèrent, le sang pulsait dans ses veines à une cadence vertigineuse. Elle n’avait pas la force d’élever les yeux, elle fixa le médaillon de son époux, et elle serrait si fort le bouquet dans ses mains que les fleurs elles-mêmes vacillaient. Ce n'était que des mots, elle les avait apprit par cœur dès son enfance, sa mère lui récitait en coiffant ses cheveux indociles, elle répétait "un jour, ma fille, tu épousera un homme, et tu nous rendra fière." Elle avait vécu avec cette épée au bord de la gorge. Elle était une fille, elle devinerait femme et mère, c'était son devoir. Maintenant, elle devait prouver son héritage de femme. Rendre ses parents fiers, être digne. Elle avait presque envie de pleurer et s'enfuir en courant.
« Tha mi… Tha mi… » Elle regarda ses parents qui lui firent un signe impatient de continuer. « Tha mi a' mionnachadh… » Ghenifar balbutia, effrayée du son de sa propre voix dans le silence respectueux de la cérémonie. Toutes ces hommes et ces femmes qui écoutaient son élocution bancale, incertaine, proférer des paroles sacrées, elle était indigne de ce qu’on lui donnait. Elle devina son visage écarlate, ses joues en feu. Ses yeux se levèrent, acte absurde et maladroit, mais elle vit le regard de son époux, sincère et patient. Quelque chose se dénoua dans ses entrailles, libéra sa gorge, et elle sentit les mots coulés hors de ses lèvres avec sérénité et douceur. 
« ‘S mi-mionnachadh air sith 's air gaol a bhi seasamh. Cridhe gu cridhe 's làmh an làimh. Gus an diugh, gu m’ anail mu dheireadh, cha bhi mi ach leatsa. » Elle lui jura un dévouement éternel avec une conviction troublante, Arthrhy en avait mal au cœur. 
L’épouse qu’on lui avait promise était une âme douce, innocente, charmante. Il regrettait de ne jamais pouvoir l’aimer ni de lui offrir ce qu’elle désirait. 
Le prêtre posa sa paume à plat sur sa croix, sans dissimuler son émotion. C’était un mariage réussi, contrairement au précédent qu’il avait eu le malheur d'officier… 
«Le Créateur dit : Voilà pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu’un. » Il déclama à l’assemblée, captive par les Saintes Écritures. «  Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! »
Des invités applaudirent, des convertis chrétiens, ou des amateurs de belles paroles. La famille de la mariée ne semblait pas autant ravie par ces déclarations. Le Roi de Carmélide maugréait dans sa barbe et tapait du pied. Un païen reste un païen. Les paroles des chrétiens ne valaient rien, et le Roi de Carmélide ne se laisserai pas duper. Il cracha derrière son épaule, ces Dieux à lui maudissaient déjà cette union. Mais pour le pouvoir, il fallait faire des sacrifices, même si c'était sa fille qu'il déposait devant l'autel du jugement. C'était elle qui subirait les conséquences de l'avarice de ses parents...
« Vous pouvez embrasser la mariée. » Le prêtre Blaise frappa dans ses mains joyeusement. 
« Hein ? Quoi ? »  Demandèrent à l’unisson Arthrhy ainsi que le père de l’épousée. 
« Bah, c’est dans le livre, il faut que… »
« Devant tout le monde ? » Le Roi s’exclama, le bout des oreilles rouges, et il essaya de toutes ses forces de ne pas prendre compte du fou rire de Léodagan.
« Bah Sire… C’est pour prouver que votre amour est — »
« Ah non, ne commencez pas ! Bon bah… »
Arthrhy ne savait plus où poser son regard, déconcerté, il marmonna une insulte envers le prêtre, ou Dieu, ou peut-être lui-même. 
Ghenifar tourna la tête vers ses parents, cherchant une réponse auprès d’eux, mais son père se tenait les côtes pour ne pas rire, sa figure transformée par une grimace. Sa mère, avec une discrétion immense, murmura de sorte que tous les invités pouvaient l’entendre « Feumaidh tu pòg ris  ! » Ghenifar était rouge jusqu’à la racine de ses cheveux. 
Arthrhy prit les mains de sa femme dans les siennes. Ce n’était qu’un baiser, rien de bien compliqué. Il avança légèrement son visage vers elle, et il avait l’impression que son cœur tremblait. C’était elle qui franchit la dernière limite, un peu brutalement, leurs bouches se rencontrèrent, comme un choc. Le monde se mit à gronder des hurrahs et autres acclamations des invités. Ghenifar sentait le soleil fondre dans son ventre et l’irradier de lumière et de bonheur. 
Arthrhy s’éloigna rapidement sans considérer celle qui venait de devenir sienne, son visage fermé dans une expression rude. Il gagnait un royaume, un peuple obéissant et soumis à son pouvoir indiscutable. Son destin était lancé, et pourtant il était vaincu. Il avait perdu. 
Elle le suivit du regard, interdite devant l’autel, son bouquet à la main, ses rêves plein les yeux. Elle comprit sa place : aux premières loges du début d’une tragédie. 
Les paroles du prêtre résonnaient dans sa tête comme un avertissement, un oracle ombrageux. Les dés étaient jetés ; elle eut comme un vertige, au fond d'elle-même, elle sombrait. Elle devait enterrer cette enfance candide et son adolescence naïve, pour devenir Autre. Elle s’était liée à un homme, le peuple voulait d’elle la bénédiction de porter ses héritiers, cette figure fidèle et inébranlable aux côtés d’un roi tout puissant. Voilà son rôle, épouse et mère. Un devoir qui lui semblait effroyable, impossible. Le monde comptait sur elle pour accomplir une tâche épouvantable et colossale. Elle prit une profonde inspiration, essayant vainement de calmer les battements hystériques de son cœur. Elle savait ce qui l’attendait désormais. 
La nuit de noces. 
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Abandonner tout... Ça me tenterait bien... Mais jusqu' où traîner ma carcasse... Elle devient lourde avec ses regrets et tous ses cadavres qui me suivent partout... Leur creuser une tombe... J'ai tant essayé... J'ai noyé la douleur dans mon sang... Dans les larmes... Mais mon coeur est usé et je vieillis si vite... Tout se décompose malgré les efforts... Je ne dors plus sans la peur au ventre d'un réveil soudain... En finir... Ne laisser qu'un goût amer de mon passage sur cette planète... Enfin si j'ai pu compter ne serait ce qu'une poignée de secondes... J'ai donné jusqu'à mes rêves, mes espoirs... Pour au final finir seule... En tête à tête avec la mort qui me nargue... C'est trop facile d'achever ma vie ainsi... De décider de craquer après des années à serrer les dents... Certes je pars en lambeaux... Mais mes démons intérieurs vont devoir comprendre que je suis trop têtue pour lâcher prise... Je vis un cauchemar permanent... Avec la haine qu'on m'a injecté... Je rêve parfois encore de paix sombres et de paysages nocturnes... D'un lieu qui reflète ce que j'aime... De briser le silence avec ma plume... De plaire aux miroirs brisés... D'aimer exister différemment... Marcher la tête levée vers les étoiles... Être essoufflée à force de rire... Ne plus suffoquer dans un recoin de ma chambre... Jeter les lames rouillées... Mes craintes... Mes séquelles... Accepter qu'on me touche à nouveau... Puis la réalité me rappellent que les hommes sont néfastes... Violents, abusifs, haineux, brutaux... Manipulateurs, menteurs... Alors je retourne au fond de mon trou... Et le temps m' emporte peu à peu... Étrangement je n'ai pas peur de m' éteindre à petit feu... Je suis simplement déçue de voir que les gens se ressemblent tous... Que personne ne s'attache réellement... Puis les abandons je m'y fais... Ils sont aussi nombreux que les entailles sur mon coeur... Le néant est réel... Et pas uniquement pour moi...
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chifourmi · 1 year
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Après mon diplôme je vais changer de tête et avoir le style que je veux. Fini d'avoir peur de ne pas plaire aux hommes. La recherche de la validation masculine à cause de mes daddy issues à un moment y en a marre. Là j'ai l'impression d'être un sims standard, plutôt joli mais sans charme. Je ressemble à toutes les filles avec des cheveux bruns longs et lisses.
(17/02/2023)
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