Tumgik
#Image du père
kilfeur · 3 months
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Je trouve ces sauts d'humeur bien plus présents face à Alastor. Sans compter que le fait qu'il ignore qui est le démon de la radio montrant justement qu'il est distant mais aussi négligeant en tant que seigneur envers son peuple. Ce dernier s'amuse exprès à le provoquer et se faire bien voir par Charlie en la brossant au sens du poil en la félicitant et la touchant même. Alors qu'on a montré que justement Alastor a une aversion de toucher ou d'être touché. Ces compliments sont aussi ce que Charlie cherche à travers son père qui par sa visite bien qu'il veut être présent veut aussi faire bonne image.
I find these mood swings much more present with Alastor. Not to mention the fact that he doesn't know who the radio demon is, which just goes to show how distant he is, but also how negligent he is as a lord towards his own people. The radio demon takes pleasure in provoking him and making Charlie look good, rubbing her up the right way, congratulating her and even touching her. Alastor has been shown to have an aversion to touching or being touched. His compliments are also what Charlie is looking for from his father, who wants to make a good impression with his visit, even though he wants to be present.
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lerefugedeluza · 2 months
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Aujourd'hui, ça fait six mois jour pour jour que j'ai créé ma chaîne youtube.
C'est fou de me dire qu'en si peu de temps, c'est presque devenu quelque chose de normal pour moi de publier des vidéos de mes pensées sur internet. D'autant qu'au début, je n'en menais pas large, ma timidité rendait le bouton "publier" comme le truc le plus angoissant du monde, et j'avais toujours peur que je ne sais qui tombe sur mes vidéos et m'insulte de tout les noms et se moque de moi.
Enfin, cela dit, la plupart des personnes de mon entourage ne sait toujours pas que je fais mes petites vidéos dans mon coin, et je pense que si un jour mon père ou mes collègues tombent sur ma chaîne, je déménage en Alaska et je change de nom.
Mais en dehors de ça, je suis contente d'avoir appris à faire les choses naturellement et à ne plus angoisser chaque fois que je mets mes images en ligne.
Prochaine étape, et pas des moindres : réussir à me filmer en public et ne pas prendre mes jambes à mon cou chaque fois que quelqu'un passe dans la rue où j'essaie de tourner une scène (ça m'évitera d'avoir un comportement plus que suspect aha). Je sais que quelques uns d'entre vous ici suivent mes vidéos, donc merci beaucoup, car c'est aussi grâce à votre bienveillance et vos gentils retours que je n'ai pas abandonné dès le début ♡
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 103
J'ai pris de grande décision d'organisation du travail.
Depuis que nous nous sommes rencontrés, Olivier m'a proposé plusieurs fois de me confier la création des parcs et Jardins des maisons qu'il fait construire. Sur la base d'une création par mois (c'est le rythme qu'il a lui même) je serais à même de me faire un salaire des plus confortable. Je n'aurais qu'à dessiner et veiller à la réalisation par l'entrepreneur de mon choix.
Après en avoir bien discuté avec Marc et mon banquier (le père de Ric), je suis arrivé à l'organisation suivante : constitution d'une micro société, travail à la maison et sur le terrain (environ un mi temps tout compris). J'ai négocié mon départ de la boite où je bosse avec la promesse que je les consulterai systématiquement dans mes appels d'offre (ce sont de bons professionnels) et un job en mi temps pour Jimmy (ce dernier ne le sait pas encore).
A Marc, je confie que ça devrait me laisser tout mes après midi que je consacrerai à mes activités annexes. Lundi, mardi, vendredi je m'occuperai de Jimmy, mercredi du jeune bourge que va me trouver Jean et jeudi d'Emma. Les soirs et WE nous étant réservés. Le tout devant se mettre en place dans le mois à venir. Il me traite gentiment d'ordinateur. Je lui dis alors que le mieux serait d'ajouter une chambre à l'appart au dessus des communs pour jimmy. Il en convient et me charge de le faire puisque ce sont pour mes futurs revenus.
C'est assez facile, je fais appel à un aménageur de comble et nous ajoutons une pièce de 25m² prise dans les combles au dessus des garages. Une porte avec l'appart la fait bénéficier du séjour (tv...), des sanitaires et de la cuisine. Je veille particulièrement à l'isolation phonique entre les deux chambres, que Samir et Ammed puissent baiser dans leur coin. En une semaine, la chose est faite et la peinture sèche (merci le placo).
Le samedi de la sélection du blondinet, je suis arrivé de bonne heure chez Jean (en remplacement de mon coaching). Comme à chaque fois qu je mets les pieds dans cette maison, je me fais violer par la mère de Jean. Je la laisse faire, c'est grâce à cela qu'elle accepte encore les plans dépucelage que lui amène Jean. Dès le passage de la porte d'entrée, elle me saute dessus et me roule un patin. Je lui mets direct la main au panier et mes doigts s'enfoncent dans sa chatte moite. Elle ne porte pas de culotte ! Je pince son clito et elle commence à haleter. J'insiste et sous mes doigts elle jouit en se mordant les lèvres. Jean débarque sortant de son lit, la gaule matinale déformant son slip. Je lui dis de lui préparer les trous pendant qu'elle va me sucer. Je sors le service 3 pièces par la braguette et alors qu'elle me pompe, Jean l'emmanche. Quelques va et vient dans la chatte et je lui dis de me préparer son cul, je préfère. Elle pipe maintenant aussi bien qu'un mec. Elle m'avale jusqu'aux couilles sans tousser. Mes mains dans ses cheveux, je lui donne mon rythme, m'enfouissant à chaque fois jusque derrière ses amygdales. Estimant son trou prêt, Jean décule et me passe une kpote. je me couvre et après un échange de place, je m'enfonce entre ses fesses. C'est encore pas mal. Pas trop dilaté, son anneau serre bien ma bite.
Jean m'a remplacé et nous nous embrassons par dessus sa mère. La situation m'excite un max et je jute dans ma kpote alors que sous ma langue je sens Jean faire de même dans la bouche de sa mère. Je m'écarte et la vois avaler le sperme de son fils. Je sors, elle n'a pas jouit. Je lui dis que tout à l'heure avec les petits jeunes elle pourra se faire plaisir. Nous l'envoyons à la maison de la piscine et j'attends devant l'écran du PC qui me renvoi les images du lieu, Jean accompagner le premier sélectionné. Il a bien bossé et je vois apparaître un jeune blond même type de physique que Jimmy (corpulence, pas origine !) dans l'entrée. Il le conduit à sa mère et le laisse après avoir expliqué : Kpote, gel et ce qu'il est autorisé à faire. Il parait un peu gauche et la mère de Jean doit prendre les devants. Elle le dénude et ça me confirme la première impression, fluet, très blanc de peau et petit zizi. Ça a vraiment l'air d'être son dépucelage. Il ne sait par quel bout commencer et elle en profite pour se faire brouter le minou copieusement. Nous la voyons tenir la tête du minet bien enfoncé sur sa chatte et prendre un premier pied. Elle l'attire sur elle et après l'avoir Kpoté, prend son spaghetti dans sa chatte. Je bande devant l'écran. Je dis à Jean que ma sélection ne va pas traîner et que je vais dès aujourd'hui tester ses " produits ". Comme il hésite à comprendre, je détaille. Je lui dis que dès qu'il sera dans le cul de sa mère j'irai moi même tester le siens, un peu à la façon où l'autre bourge s'était fait son pote. Il me fait remarquer qu'avec mes 20cm x5 ça risque d'être un peu difficile pour une première. Je sors ma baguette magique et l'occurrence un flacon de poppers (celui de Xavier le plus puissant que je connaisse). Quand à l'écran nous voyons sa mère se faire enculer, je descend vite et entre dans la pièce. Le gamin est surpris mais la mère de Jean le tiens bien dans ses bras écrasé contre ses seins. Je lui dis de continuer et me prépare. Je lui dis de sentir et dans la minute qui suit, il est chaud, très chaud. Tellement que je peux direct lui mettre deux doigts graissés dans le cul et qu'il se trémousse dessus. Kpoté, j'approche mon gland de ce passage vierge et sans m'attendrir enfonce mes 20cm entiers. Comme il gueule un peu fort, je lui repasse le flacon sous le nez et il se tait comme je sens son anneau s'ouvrir un peu plus. Miamm que c'est bon de sodomiser un puceau. Avec me faire mettre par Marc, c'est ce qu'il y a de meilleur au monde. Je prends mon temps et explore de mon gland sa cavité anale. Il à l'air d'apprécier et ne débande pas. Je lui tourne la tête et lui roule une pelle, il ne me refuse pas sa langue et semble avoir oublié la meuf qu'il était en train de baiser. Je fais signe à la mère de dégager, elle va se doucher et moi je continu avec le blondinet. La séparation d'avec la meuf est passée sans problème et je change de position. Couché sur le dos, il me chevauche. Ça me permet de voir si il continue de lui même ou pas. Il ne quitte pas ma bite et prenant appuis sur mes pecs, il galope avec un rythme régulier, (merci la jeunesse dorée qui fait de l'équitation). Le premier il me jute dessus mais continu à me branler la queue avec son cul. Il ne cesse que quand je lui prends les hanches pour le maintenir enfoncé sur ma bite en train de remplir la kpote. Encore au fond de son cul, je lui demande si ça va, il me répond qu'il ne s'attendait pas à être doublement dépucelé en venant ce matin. Je lui dis alors que si ce genre de plan l'intéressait, je pourrai lui organiser quelques rencontres " intéressantes ". Il me dit pas non et me donne son tel, et adresse mail. Je le laisse partir. Il est temps le second va bientôt arriver. Physiquement il ne me plait pas du tout. Jeune, blond, fluet mais un je ne sais quoi dans son visage me mets mal à l'aise. Je dis à Jean de s'en occuper mais que de mon coté je vais continuer avec le premier pour voir si il m'ira.
Je rentre à la maison et m'installe sur internet. J'envoi un massage au blondinet et j'ai la surprise de recevoir une réponse aussitôt. Nous discutons en direct. J'en apprends plus sur lui, famille (il a un petit frère de 12ans auquel il vient d'apprendre à se masturber, je garde l'info dans un coin de ma tête pour dans quelques années on ne sait jamais), amis (pas beaucoup), distractions (vu son physique, peu de sport en dehors de l'équitation). Je lui demande jusqu'où il serait intéressé coté sexe. Il me répond qu'étant puceau la veille, il avait tout à apprendre et que l'aperçu que je lui avais donné ce matin lui laissait envisager de bons moments à venir. J'aime cette ouverture d'esprit ! Je lui dis que si il voulait je pouvait m'occuper de meubler ses mercredis après midi. Il me dit alors être libre aussi les WE, ses parents étant quasi inexistants (obligations professionnelles, Lyon's clubs divers prennent tout leurs temps).
Voilà une bonne seconde recrue ! Je ne regrette pas d'avoir laissé tomber avec la deuxième sélection de Jean. J'en parle le soir même à Marc et lui propose de le faire venir le dimanche à venir.
Mercredi.
J'emmène Jean à son nouveau client et futur " permanent ". En route je lui explique le deal. Etre au service exclusif du mec (en tarifé) sauf quand nous (Marc et moi) en auront besoin lors de touze. Je lui ai négocié un minimum " syndical " : un soir par semaine et les WE hors périodes d'examens (càd à partir d'un mois et demi avant l'épreuve) avec concertation. Je lui fais part aussi de la demande de changement de body de la part de nos clients ce qui explique les derniers événements.
Cela va faire quelques fois depuis le gang bang qu'il pratique ce grand black. Il trouve que j'aurais pu trouver pire. Quand je lui dis le trouver peu enthousiaste, il me répond que c'est la monogamie qui le trouble un peu. Je lui dis que de ce coté là il sera totalement libre de baiser ailleurs. Il me dit alors que c'est d'accord et que le type est bien à niveau que ce soit financier que dimensionnel (rappel, monté 27 x 7). Il me demande quel est le deal pour moi (c'est gentil d'y penser). Je lui dis une rente mensuelle du montant de 10 passes. Il siffle en me disant que c'était plutôt le commerce que j'aurais du faire au lieu du jardinage.
Il me reproche juste de ne pas lui avoir expliqué dès le début, il a un peu paniqué, et eu peur que je le laisse tomber comme une vielle chaussette. Je le prends dans mes bras et le serre très fort. Je le rassure et lui dit qu'il fait partie de ma " famille " à moi. Que si le plan que je lui ai organisé ne lui convient pas, il faudra qu'il me le dise et on envisagera autre chose. Il sait que je lui dois beaucoup (et pas que financièrement), je le laisserai pas tomber.
Il me demande si il pourra passer nous voir quand même, je le rassure et lui dis que cette transaction est soumise à son acceptation et le temps qu'il estimera devoir ou vouloir le faire.
Nous entrons dans la propriété. Le mec est sur le perron de l'entrée à nous attendre.
Il nous accueil avec effusions et couve Jean d'un regard lubrique. Nous discutons des derniers détails. Jean insiste sur le fait d'être libre. Le mec accepte et Jean lui dit alors que ce que j'ai négocié peut se faire.
Tout mois commencé étant dû, ;il me donne mon chèque et pour la dernière fois je les accompagne dans sa chambre.
Jean se met à poil rapidement et attaque les fringues de son client. Il bande dur malgré la taille du monstre. Jean se met au travail. Il pompe, pompe et pompe encore. Le black lui tient la tête et sodomise sa gorge au plus loin qu'il peut (c'est-à-dire pas entièrement pour son malheur. Jean crache régulièrement quand le gland sort pour lubrifier.
Son nouveau boss se penche et lui prépare la rondelle avec ses doigts. Avec ses 7cm de diamètre, il prend bien le temps de dilater le cul de Jean. J'ai confiance, dans le gang bang, c'était le seul à faire attention à Jean et à le prendre avec précautions. Les autres brutes n'étant venus que pour prouver leur coté dominant !
Je les laisse achever leur rencontre seul et attend Jean au salon. J'explore la bibliothèque. Quelques ouvrages peu communs, épreuves d'écrivains, illustrations originales... cet homme a du goût (la preuve il s'est entiché de Jean !).
Quand ils réapparaissent, notre hôte a l'air content et Jean ravi.
Je le questionne pendant le trajet de retour. Il me dit qu'ils ont un peu discuté après la baise et ont trouvé, ensemble, un accord sur le long terme. Il ne veut pour l'instant rien me dire de plus, j'attendrai !!
JARDINIER
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alexar60 · 9 months
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Camille
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Mes grands-parents avaient acheté une résidence de vacances du côté de Vannes. Pour la crémaillère, ils avaient invité toute la famille à passer quelques jours. Je devais avoir cinq ans et découvris des cousins que je ne connaissais pas. En fait, il s’agissait surtout des enfants des  cousins de ma mère.
Lorsque nous arrivâmes devant la maison, nous vîmes un terrain immense sur lequel se promenaient de nombreuses personnes. On était plus proche du repas de mariage que d’un simple weekend à la campagne. Avec ma sœur, nous nous retrouvâmes au milieu d’une farandole de personnes que nous ne connaissions pas. J’eus le droit à des surprises, des bonjours d’étonnements, des bisous baveux de vieux adultes, des « mais qu’est-ce qu’il a grandi, il n’était pas plus haut que trois pommes la dernière fois qu’on l’a vu ! ». Bref, je n’étais pas à mon aise. Alors, je m’éloignais et pendant que ma sœur était prise en charge par mes cousines, je regardais les cousins jouer ou discuter. Tous étaient plus vieux que moi d’au moins cinq ans. Comme je me sentis exclu, je visitais ce grand terrain. Il y avait des fleurs alignées en cercle ou en carré, des tulipes, des hortensias, des roses et j’en passe. Il y avait des arbres mais aucune branche ne me permettait de grimper dessus. Je marchai lentement sans savoir quoi faire. Je voyais toujours les adultes discuter et les entendais rire. En fait, j’étais le seul à ne pas être réellement ravi d’être en cet endroit.
Avant de faire demi-tour, je vis une petite fille. En apparence, elle était plus vieille de deux ans, peut-être trois. Ses longs cheveux blonds semblaient briller avec un reflet de soleil. Elle lisait assise au milieu d’un cercle de livres ouverts. Elle me sourit avant de dire bonjour. Dès lors, j’approchais tout en rendant son sourire.
Comment t-appelles-tu ? demanda-t-elle.
Alexandre.
Enchantée, moi c’est Camille. Que fais-tu ici ? Tu n’es pas avec les autres en train de jouer ?
Non.
J’étais timide. Même avec une cousine, je restais timide. J’observais les livres. Ils n’avaient aucune image, ne comportant que des textes. J’approchai la tête pour les regarder de plus près lorsqu’elle demanda :
Sais-tu lire ?
Je hochai négativement de la tête. Dès lors, elle me proposa d’approcher et de jouer à la maitresse d’école. Je m’assis à côté d’elle et l’écoutais attentivement cherchant à comprendre le sens des lettres, les mots qu’elle prononçait. Ce n’était pas un exercice facile car je n’arrivai pas à lire parfaitement les lignes qu’elle montrait du doigt. Toutefois, je réussis à retenir quelques mots.
La matinée se passait à écouter Camille faire sa leçon de lecture. Soudain, un appel annonça le repas du midi. Je me levai immédiatement et rejoignis la famille sans m’occuper de Camille. Je n’entendis pas cette dernière courir avec moi. A l’instar des repas de famille, celui-ci fut long et pénible. Je regardai les plats se suivre, j’attendais le suivant. Je restais à la table des enfants écoutant les grands cousins déblatérer des idioties pour se la péter, et les cousines dont les plus petites  somnolaient à moitié. Après avoir fait tour visuel du groupe, je ne remarquais pas Camille. Je demandai à Carole, ma cousine la plus proche si elle savait où elle se trouvait. Mais, Carole ne put répondre car elle ne la connaissait pas. Cependant, en sortant de table, elle m’aida à chercher Camille, en vain. Elle questionna les adultes.
Camille ? Chérie, on a une Camille parmi nos petits-enfants ? interrogea mon grand-père.
Non, répondit ma grand-mère. Et dans les petits-neveux non plus.
J’expliquai où je l’avais rencontrée. Ma grand-mère caressa mes cheveux recoiffant la raie au passage. Puis, elle expliqua que des enfants du hameau venaient parfois dans le bois car il n’était pas clôturé. Déçu, je passai le reste du weekend à m’ennuyer.
Durant les vacances suivantes, je revis Camille. Elle était au même endroit à lire. Elle n’avait pas changé et portait une couronne de fleurs sur la tête. Elle me reconnut, me sourit et proposa de me faire une leçon de lecture. Je l’écoutai lire un passage des trois mousquetaires d’Alexandre Dumas. Je ne comprenais rien mais restais captivé par sa façon de parler. Je sentais une douceur enivrante m’envahir, je sentais des papillons chatouiller mon ventre. Il faisait beau et j’étais heureux de la revoir, heureux qu’elle ne m’oublie pas. Je montrais mes prouesses en lecture et regrettais de ne pas avoir de crayon pour montrer que je savais aussi écrire.
Je passais l’après-midi avec Camille, oubliant ma famille, mes parents qui partageaient leur temps avec mes grands-parents. J’oubliais ma sœur qui préférait jouer à la poupée sur la terrasse. Quand ma mère m’appela pour le goûter, je proposai à Camille de venir. Elle refusa préférant se nourrir de connaissances. Je partis lui promettant de revenir avec un morceau de chocolat dans du pain. A mon retour, Camille et ses livres avaient disparu.
Toutefois, elle était présente le lendemain puis le surlendemain. Nous jouions à lire et à écrire car cette fois-ci, j’avais pris du papier. Elle lisait énormément et j’écoutais. Parfois, elle me faisait lire corrigeant quelques mots ou la ponctuation. Elle avait pris une pièce de théâtre. Je ne comprenais rien mais c’était drôle de lire chacun son tour. On se donnait des personnages. Parfois, elle prenait une grosse voix pour parler à la place d’un homme. Le soir, je repartais rejoindre la famille.
Par la suite, je la questionnai sur ses parents, où elle habitait exactement. Elle restait évasive me signalant que sa demeure était complètement noire et humide. Son père était ingénieur. Quant à sa mère, elle ne travaillait pas. Pourtant, elle aurait dû être médecin.
Il y eu une nuit étrange. Je dormais dans la même chambre que ma sœur. Nous avions chacun notre lit. Je fus réveillé par un son bizarre. Je compris qu’il s’agissait du grincement de la porte, à cause d’un courant d’air. Le drap de mon lit se leva et ma sœur  s’allongea à côté de moi. Cela arrivait qu’elle fasse des cauchemars. Alors, elle préférait me rejoindre plutôt que de rester seule dans son lit. Enfin, je crus que c’était ma sœur parce que cette nuit, je reconnus le visage de Camille. Elle parla doucement.
Ça ne te dérange pas que je dorme avec toi ? J’ai froid et j’ai peur. Il fait tout noir.
Je laissai mon amie se blottir contre moi. Son corps, ses mains étaient gelées. Je ne l’interrogeais pas sur sa présence dans la maison. Nous dormîmes. Au matin, elle avait disparu. Je me levai seul. Ma sœur était déjà debout. Je descendis à la cuisine et demandai si quelqu’un avait vu Camille partir. On me dévisagea. Mes parents pensèrent que j’avais une copine invisible. Je compris que j’avais rêvé.
Durant l’après-midi, lorsque je revis Camille, toujours au même endroit, je parlais de ce rêve. Elle sourit et baissa la tête. Elle choisit un livre : Alice au pays des merveilles. Dès lors, je restai obnubilé par cette histoire fantastique. J’écoutais la petite fille lire avec passion. Et pour la première fois, je comprenais l’humour dans un récit.
Camille n’était pas là pendant les vacances suivantes. J’avais sept ans. Je passais souvent dans le bois au fond du jardin en espérant la voir, mais je ne voyais que de l’herbe et des arbres. De temps en temps, je m’asseyais ou m’endormais en attendant son retour. Elle n’est jamais revenue. Les années passèrent sans que je n’oublie la petite fille rencontrée au fond du jardin de mes grands-parents. Ce même jardin rétrécissait en vieillissant. Le bois ne semblait pas si grand. Mais le regard de l’adolescent n’est pas celui de l’enfant.  De temps en temps, je retournais dans cette petite forêt à me souvenir que j’y avais vécu de très beaux moments. J’imaginai un livre oublié posé sur l’herbe par Camille. Cependant, il n’en fut rien.
Cela faisait vingt ans que je n’avais plus entendu parler de Camille. J’écoutais un documentaire télé sur des enquêtes non résolus. Quelle fut ma surprise que de voir le portrait de Camille entre celui de ses parents. Sa famille était portée disparue dix ans avant notre rencontre. Aussitôt, je suivais l’affaire avec attention. La famille de Camille passait des vacances dans le même hameau où se trouvait la maison secondaire de mes grands-parents. Il y avait bien quelques suspects, seulement personne n’avoua quoi que ce soit. Après une nuit de réflexion à  chercher à comprendre pourquoi je l’avais rencontrée, pourquoi je lui avais parlé et pourquoi, elle n’avait pas changé, c‘était surtout ce lieu noir, humide et froid qui m’intriguait. J’appelai dès le matin mon grand-père. Nous discutâmes de cette affaire.
Au fait Papy, tu as déjà pensé à faire sonder le jardin ?
Pourquoi faire ? répondit-il avec une voix étonnée.
C’est presqu’une ferme. Et je me disais qu’il devait peut-être y avoir un puits caché ou quelque-chose comme ça. Une cave ?
 Tu sais que ça pourrait être une bonne idée. Un puits m’aiderait pour arroser les fleurs.
Deux mois plus tard, ma mère appela. Elle m’annonça qu’on avait trouvé des corps dans un puits fermé chez ses parents. La maison faisait la une des journaux télé. Effectivement, je reconnus la maison. De nombreux gendarmes encerclaient la demeure. Néanmoins, on pouvait remarquer un groupe de personnes en combinaison blanche en train de marcher vers un trou entre les arbres. Et le lieu du trou était la position exacte où Camille lisait.
Quelque-jours plus tard, je passais voir mes grands-parents. Ils racontèrent la découverte du puits et celle de Camille et de ses parents. Mon patriarche gardait le journal qui expliquait les causes de la mort. Ils avaient été exécutés d’une balle en pleine tête. L’enquête aboutit que c’était en pleine nuit et qu’ils dormaient au moment des faits.
J’accompagnais ensuite mes grands-parents vers le puits.  Nous regardâmes pendant un long silence ce trou ouvert. L’atmosphère était remplie à la fois d’émotion et de libération. Un vent frôla mon visage. Je levai les yeux et crus apercevoir la silhouette d’une petite fille qui s’effaçait doucement.
C’était juste bouché par une dalle en béton et recouvert d’un tapis de verdure, annonça papy. Le puits ne contient plus d’eau.
C’est grâce à ça que les ouvriers ont vu les ossements, ajouta mamy.
Mon grand-père me regarda avec son air perplexe. Il posa sa main sur mon épaule puis hocha la tête en souriant.
Je me souviens que c’était à cet endroit que tu jouais tout seul quand vous veniez. Tu prenais toujours du papier et des crayons et tu jouais ici…Elle s’appelait comment déjà ton amie imaginaire ? Camille ?
Je répondis d’un geste de la tête.
Comme la petite qui était dans le trou, murmura-t-il.
Il ne posa pas d’autres questions. Nous rentrâmes et je passais la nuit chez eux.
Lorsque ma première fille est née, nous l’avons appelée Camille par hommage. Et elle a adoré apprendre à lire.
Alex@r60 – août 2023
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ivo-oz · 3 months
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🩸🩸🩸
ℌ𝖊𝖊𝖇𝖊𝖘 : 𝕲𝖊𝖓𝖊𝖘𝖊
〖chapitre 3 〗 Attention, ce texte sera peut-être modifié à l'avenir afin de le perfectionner
Dans un sursaut, mes yeux s'ouvrent dans une salle sombre au mur de pierre. Toujours à genoux, je constate que ma situation n'a nullement changé. Les mains clouées à la froideur de la pierre, le sang s'échappant lentement des plaies béantes, peignant ainsi la pierre en rouge.
C'est drôle, il m'a fallu deux jours pour ne plus y penser. Les premiers jours se sont remplis de cris et de pleur. Ridicule ! La futilité de cette douleur me rend tellement honteuse.
Les blessures que je porte en moi sont plus grandes que ses clous. Il est vrai que c'est la première fois que je suis confronté à de tels châtiments physiques, mais j'aurais dû me réjouir.
Je ne penserai pas que l'humilier devant les représentants du royaume le pousserait à me souhaiter autant de mal. J'aurais préféré garder la mobilité de mes mains. Mais bon, si c'est le prix à payer.
Non, ne crie pas, ce n'est pas de la douleur.
Quelle image de moi j'aurais si je me réabandonne à cette facilité ? J'ai subi plus grave, plus longtemps. Ce ne sont que des plaies, elles s'effaceront. Mes vraies blessures, elles n'ont pas cicatrisé et pourtant, je les supporte. Succomber à de telles frivolités serait juste dévalorisant. La vraie douleur n'aurait plus de sens.
Un grincement métallique interrompit ma somnolence. La porte est ouverte. J'ai beau être dos à elle, je peux quand même sentir le son des talons frapper la pierre dans ma direction. Un son grave, puis aigu, grave et encore aigu. Une paire de bottes désassorties. Ho, c'est Fides qui a été chargé de me libérer.
Vous êtes en retard. J'en pouvais plus de lutter contre le sommeil pour m'éviter de m'ouvrir la peau davantage.
Tout en entrant dans mon champ de vision, Fides arrache les clous qui bloquaient mes mains.
Je n'ai pas crié, j'ai pu me contenir haha, mon sourire partit immédiatement quand je découvris les énormes trous béants que contenaient mes mains dorénavant. On peut y voir à travers.
J'ai . . .
C'est répugnant mon dieu.
Mes mains
qu'es que . . . comment . . .
mon dieu.
—Mes excuses, Père Inhonoris a tardé à me donner les clés.
— Vous pouvez me soigner ?
— Je n'ai pas ces compétences, un médecin vous sera assigné dans deux jours.
— Vous vous moquez de moi, mes plaies vont rester ouvertes pendant cinq jours en tout. Je ne pourrai plus jamais écrire.
— Vous m'envoyez navrer, mademoiselle.
Un ange passe.
— Navrée ‽ Vraiment ‽ Ôte-moi ce mot de ta bouche quand tu me parles ! Mais quel genre de soutien hypocrite, tu penses me faire avaler ! Ça ne sert à rien de me mentir si mon état ne t'inspire que de l'apathie !
Le souvenir de mes mains perforées aurait presque pu être oublié si mon sang ne s'était pas mis à accélérer dans mes veines. Mon cœur hurle dans ma tête, m'obligeant à me taire.
—Avez-vous du temps à m'accorder ? J'aurais besoin de coudre mes plaies. Bien sûr, je ne voudrais pas abuser de votre gentillesse. Vous pouvez déléguer le travail à un de vos collègues si c'est trop demandé. J'espère que je n'ai pas manqué de politesse, vous savez, trois jours sans pouvoir pleinement dormir me font perdre pas mal de notions. Comme la clémence par exemple.
— Pardonnez-moi Je m'exécute.
Toute pressée, elle s'engouffre dans l'ouverture de la porte. Elle ne m'aide même pas à monter... Haha, elle doit avoir peur de demander . . . Haaaa, j'en avais besoin tout de même.
Je sens l'air frais de la pièce effleurer les cavités de mes mains. Le sang a arrêté de couler et fait maintenant place au vertige et à la fatigue.
Ho, le temps, et puis qu'est-ce que c'est au final ? Tant pis si le soleil sera couché quand j'aurai atteint la fin des escaliers.
3 minutes après, Fides accourut pour m'éviter un malaise sur les marches et se mit à m'aider à atteindre ma chambre.
— N'ayez crainte, nous serons bientôt à vos appartements.
Mes yeux balaient le sol et les murs comme un pendule oscillant entre le conscient et l'inconscient. Un pendule se stoppant net lorsqu'une certaine odeur lui parvient. Odeur de café . . . de miel. Cela me sortit de mon vertige.
Hum
11h
Il est 11 heures, grand-père doit être dans son bureau.
— Que faites-vous ? Votre chambre se situe dans le couloir gauche.
— Ne me crois pas si bête. Je vais simplement dire bonjour à Papi.
— Vous entendez vous, c'est lui qui vous a châtié. Ne l'humiliez pas davantage, il risquerait de vous bannir.
— Tu n'es pas convaincante, cesse de mentir, bon sang.
Boitant en direction de la porte, je finis ma route en m'affalant sur la poignée de la porte. Haha, tant pis pour la surprise.
Je pousse la porte en m'aidant difficilement de mon épaule, mes mains étant inutilisables. Grand-père est juste derrière. L'encadré de la porte dévoile progressivement son visage et les émotions qui le parcourent quand il découvre le mien.
L'iris de ses yeux dilaté, la rigidité qu'adopte son corps. Toute cette attention pour moi. Il s'efforce d'être calme et ça m'est tellement jouissif.
Pourquoi est-il aussi surpris ? Pensait-il me soumettre ? Tu ne me connais pas assez. Que pense-t-il de moi ? Que penserait Inhonoris Cornecuus ? Toute sa vie et son existence ont servi à bâtir cet empire, à se hisser au rang de roi. Être à son niveau est la seule motivation qui me pousse à me faire violence dans mes études. Enfin, avec les blessures, ça va être plus compliqué. En marchant ou plutôt vacillant vers lui, le sang pulsant dans mes mains m'empêche de continuer. Aucun de mes muscles actifs ne m'épargne de douleur.
Finalement, je ne sais que dire, mon esprit m'échappe, des idées, des bribes me viennent, mais les paroles demeurent insaisissables.
Je lève faiblement ma main et avec un grand sourire, le plus beau que je puisse faire, je le salue avant qu'un voile noir ne mette fin à mon geste.
SUITE (un jour . . . ) PRECEDENT
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romainmeynier · 2 months
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À seize ans, j’empruntais chaque samedi le RER E jusqu’à Magenta, puis la ligne 5 jusqu’à Breguet-Sabin, où je tentais en skateboard de sauter par dessus quelques volées de marches, ce que nous évitions de faire dans notre banlieue pavillonnaire, à cause du bruit des roues sur le bitume qui gênait les voisins. Plus jeune, vers mes dix ans, ma mère m’apprit à déchiffrer la signalétique du métro parisien pour que, plus âgé, je puisse m’y guider seul. J’ai embrassé une fille sur un quai aux abords de Notre-Dame, puis une autre sur le quai d’en face, bien des années plus tard ; des deux se dégageait la même odeur corporelle légèrement âcre et traînante que je gardai ensuite dans le nez plusieurs heures. Paris ne me manque pas lorsque j’en suis loin, mais je n’ai jamais envie d’en partir. Le matin, dans la ligne 2 en direction de Porte-Dauphine, s’il y a de la place, on peut s’asseoir dans le sens de la marche pour ne pas se sentir nauséeux, ou dans le sens inverse pour admirer le soleil se lever entre Jaurès et Barbès-Rochechouart. Quand j’étais en colonie de vacances, je disais aux autres enfants : Je viens du quatre-vingt-treize, du neuf-trois, pour les effrayer, ce qui généralement n’avait aucun effet sur eux. Plus tard, pour séduire une fille, j’avais simplement dit : de Paris, sans résultat, avant d’apprendre qu’elle venait de Marseille. La nuit, fenêtre ouverte, j’entends des coups de feu qui ne sont que des pétards qui explosent ou des objets qui tombent. Le 13 novembre 2015, je sortai du restaurant cinq minutes avant l’attaque, non loin, puis j’ai regardé à l’abri le nombre des victimes augmenter sur un écran d’ordinateur ; je suis ressorti vers cinq heures du matin dans une ville morte ; le 15 novembre, j’ai reçu un SMS qui disait : Le père de B. est mort au Bataclan ; le lundi 16 novembre, dans le métro, une fille pleurait à chaudes larmes, sans discontinuer, je me souviens avoir pensé, sans trop y croire, mais pour me rassurer, qu’elle avait peut-être été licenciée, ou trompée ; je me souviens aussi d’une femme qui lisait, l’air de rien, ou se forçait à lire. Je n’ai pas pu lire dans les transports pendant environ un mois. Je suis habitué à trois librairies, dans mon arrondissement ; par loyauté, quand je me rends dans l’une, j’entre aussi dans les deux autres, si bien que mon budget librairie est bien trop important ; l’intérieur de mon appartement est saturé de livres. J’ai passé une dizaine de nuits dans différents hôtels avec une fille que je n’aimais pas et qui m’a demandé en fiançailles. Quand je regarde les traces de calcaire déposées sur les verres nettoyés à l’eau courante, je pense que ces mêmes traces doivent être présentes à l’intérieur de mon corps, sur mes organes, aussi je décide d’acheter des packs d’Evian, puis me ravise en repensant aux cinq étages de mon immeuble et à l’écologie. Dans la rue, je songe parfois au milieu de la foule que la vie de chaque passant est contenue dans leurs têtes, qu’ils avancent en superposant les images de la ville à celles de leurs existences, de leurs histoires, que Paris les contient toutes et que je n’en suis qu’un fragment.
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cliozaur · 9 months
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- This chapter reads like a patchwork, taking us into the realm of memory and archives. It's an intriguing blend of the expectations and preparations for the riot, interwoven with recollections of these preparations as past events. Hugo employs an effective strategy to convey the mass nature of the event—through the polyphony of conversations, diverse locations, and participants. Some scenes may seem familiar—the way secret societies are presented bears resemblance to what we've already learned about Les Amis. However, the crucial point is that they were not the sole ones; not absolutely unique.
- Then, Hugo delves into "the archives," describing the material remnants left from that period: "There was nothing but words, transparent yet vague—sometimes idle reports, rumors, hearsay." These involve police agents' reports and remnants of enigmatic inscriptions on pieces of paper that can still be deciphered. Hugo painstakingly reproduces these fragments. I was truly impressed by the plethora of police reports Hugo provides as evidence of the seriousness and extensive scale of the preparatory work.
- Another astounding aspect is the omnipresence of weapons and discussions revolving around them. Even children's discoveries during their games are documented in police reports: “In a ditch on the boulevard, between Père-Lachaise and the Barrière du Trône, at the most deserted spot, some children, while playing, discovered beneath a mass of shavings and refuse bits of wood, a bag containing a bullet-mould, a wooden punch for the preparation of cartridges, a wooden bowl, in which there were grains of hunting-powder, and a little cast-iron pot whose interior presented evident traces of melted lead.” Countless other stories narrate the preparation and concealment of weaponry. The uprising was conceived as a violent revolt from its very inception.
- The working class, alongside educated stump orators and members of secret societies, fuels the preparations. Nonetheless, the bourgeoisie endeavors to insinuate itself into the process by posing inquiries: “They said: “How is the rising coming along?” in the same tone in which they would have said: “How is your wife?”” and by (sometimes) proposing their weapons.
- Concluding the chapter, Hugo conjures an image of the "savages of civilization" (an oxymoron)—individuals aspiring to elevated ideals yet pursuing them through violent means: “They demanded light with the mask of night.” They yearned for light while shrouded in the veil of night." And then we encounter their antithesis—pleasant, smiling individuals who “insist gently on demeanor and the preservation of the past, of the Middle Ages, of divine right, of fanaticism, of innocence, of slavery, of the death penalty, of war, glorifying in low tones and with politeness, the sword, the stake, and the scaffold.” These are much worse than “the savages,” “barbarians of civilization,” because they are “the civilized men of barbarism.” And in the last sentences Hugo distances himself from any form of violence: “Neither despotism nor terrorism. We desire progress with a gentle slope,” and he is placing great hope in god’s will in this question. Interesting but not very effective.
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Quelques trucs bien. Juin 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
Entendre un rossignol chanter à la nuit tombée 
Essayer une robe toute en soie pour le mariage civil de ma fille. Apprécier la douceur et arrêter mon choix  
Partir un week-end en bateau et en pseudo colonie de vacances avec les collègues. Fêter le départ en retraite du doc mais regretter déjà son absence future
Faire le premier bain de mer. Manger des fruits de mer 
Partir une journée en Italie, sur la Riviera dei fiori. Apprécier la Dolce vita 
Recevoir un paquet dans ma boîte aux lettres. Me réjouir comme d’un cadeau. Reconnaître une amitié en découvrant deux livres à lire 
Prendre conscience parfois que le boulot est vraiment difficile : urgence, violence et négligence 
Consoler une collègue de travail qui craque et éclate en sanglots. La prendre dans mes bras et ne rien dire puisque trop c’est trop 
Préparer mon sac pour le séjour aux îles ce week-end. Me sentir adolescente, prévoir bouteille d’alcool et cigarettes 
Acheter un nouveau maillot de bain. Une pièce. Penser que cela sied à mon âge. Me trouver quand même sexy 
Attendre la naissance du bébé, au jour le jour. Attendre, être patiente et avoir hâte ! 
Subir encore un orage de grêle à la mi-juin. Il n’y a plus de saison ! Apercevoir les premières lucioles. Sentir venir l’été 
Découvrir un délicieux salon de thé dans le village, qui fait aussi bouquiniste, pour accueillir les moments précieux comme une rencontre avec mon amie Béa 
Retrouver ma cousine et retourner 10 jours en adolescence. Retrouver les secrets et les confidences, sans regrets et avec confiance
Parler avec ma cousine de mon hyper-sensibilité enfin acceptée et du chemin parcouru jusqu’à maintenant 
Regarder avec ma cousine de vieilles photos de famille : mon père enfant, mes oncles et tantes, mes grands-parents paternels, mes arrière-grands parents aussi. Des générations, jeunes alors, aujourd’hui disparues et qui vivent encore en nous. Montrer et raconter les images en noir et blanc à mon fils
Recevoir l’annonce du départ à la maternité pour ma fille. Pleurer de joie et sentir les flots d’émotions déborder par les yeux sans discontinuer pendant les 23 heures du travail
Être rassurée d’entendre ma fille au téléphone, elle-même apaisée de la douleur par la péridurale. L’écouter parler d’amour intense et immense pour son conjoint et cette nouvelle famille qui arrive avec son bébé. Pleurer encore d’amour pour l’enfant qu’elle était et la maman qu’elle devient
Boire une bouteille de Prosecco avec ma soeur et ma cousine en attendant la naissance du bébé. M’endormir dans l’ivresse et la fatigue
Me réveiller toutes les 2 heures en guettant un message. Recevoir la première photo de ma fille et mon petit-fils peau à peau
Guetter encore des nouvelles de ma fille. Attendre vainement dans l’angoisse que la délivrance se soit bien passée. Pleurer encore au téléphone quand nous pouvons enfin nous parler 
Tenir enfin ce bébé nouveau-né dans mes bras. Pleurer et m’émerveiller devant la perfection de son anatomie et le naturel des réactions des jeunes parents 
Recevoir la visite de ma fille avec son conjoint et leur bébé nourrisson. Le présenter à la famille, et pleurer encore partageant l’émotion de ma mère, devenue arrière-grand-mère et de ma nièce, hyper-sensible elle aussi
Sentir la fin d’année scolaire se précipiter. Fêter les départs des collègues de travail. Trouver les mots pour rendre hommage 
Dire au revoir et à l’année prochaine pour l’Atelier d’écriture 
Penser à de nouveaux projets et de nouvelles médiations de travail 
Attendre avec impatience les vacances d’été 
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helshades · 6 months
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Ce qui me fascine, au fond, dans le déni du délire antijudaïque conjoints des extrêmes-droites complotistes tant christo-franco-natiochauvines qu'islamistes repris quasiment tel quel par la Gauche béni-oui-oui américanisée de ces dernières années, c'est moins le cynisme électoraliste évident chez certains que la sincérité toute aussi évidente chez d'autres.
Il y a une espèce de voile magique sur les yeux d'une partie du gauchisme post-moderne qui glapit son « antisionisme » à tout bout de champ en essentialisant tellement ce fameux sionisme qu'il ne fait aucun doute qu'il s'agit de juiverie et pas de positionnement politique. Je repense souvent au titre du plus célèbre brûlot de la papesse de l'indigénisme francophone, ce Les Blancs, les Juifs et nous fiévreux de bêtise satisfaite où l'on entend tinter la machine à sous entre chaque ligne — parce que le racisme anti-tout-sauf-arabe-et-musulman rapporte, depuis une paire d'années, quand même.
Bref, j'ai l'impression que pour les petits blancs qui composent le gros de l'électorat éléfiste, le Juif est une sorte d'Überweißer qui bénéficie de tous les privilèges censément accordés à la naissance de toute personne de la race et qui de surcroît jouit de ce don suprême du statut de victime ultime et éternelle en raison de son histoire récente comme objet du pire massacre de l'Humanité. Il ne faut pas perdre de vue la logique post-moderne de l'identitarisme qui hiérarchise les groupes humains en fonction du nombre de cases à cocher dans le bingo intersectionnel. Le Juif est une figure intensément problématique parce qu'il est à la fois « blanc » (dans la tête de ses ennemis, ethno-nationalistes européens notoirement exceptés) et victime de racisme systémique à travers l'histoire mondiale. Or, il s'opère une véritable jalousie de la victimité, un ressentiment marqué pour qui appartiendrait à un groupe aux souffrances indéniables, ou tout au moins qui requièrent un plus grand effort pour les minimiser voire les nier.
Il y a un refus généralisé à gauche en Occident à l'heure présente de reconnaître la part de racisme féroce qui sous-tend le grand mouvement international de « soutien à la Palestine » — en prônant l'annihilation pure et simple d'Israël et généralement de tous les juifs — alors même que des drapeaux de l'État islamique ont endeuillé les mêmes cortèges londoniens d'où l'on a chassé des militants gays, et que la foule massée à Sidney scandait « Gas the Jews! ». Une chose que l'on m'a répétée toute mon enfance me revient aussi en tête ces derniers temps : comme on fait son lit, on se couche. Les anglophones ont une expression similaire à propos des gens avec lesquels on choisit d'aller se coucher.
Les Israéliens ont rassemblé un vaste panel de journalistes étrangers pour leur montrer des images et vidéos issues de caméras de surveillance qui ont capturé une partie des massacres du 7 octobre. Ils ont quelque peu tardé à le faire ; ils ont choisi de ne pas publier ailleurs ces éléments, par respect disent-ils pour les familles. En réalité, on sait que des clips iront alimenter en boucle la propagande jihadesque, la tuerie géante du 7 octobre ayant donné lieu à de grandes manifestations de liesse dans le monde. Les journalistes, occidentaux surtout, sont chargés d'aller répéter dans leurs pays respectifs la réalité du pogrom, d'ores et déjà niée par pléthore de bonnes âmes qui se persuadent avec application que d'éventrer des femmes enceintes ou arracher les yeux et couper des doigts à des parents devant leurs enfants, de décapiter des vieillards à coups de bêche ou de filmer le viol de petits garçons pour en envoyer la vidéo à leurs pères — que tout ceci constitue un acte de résistance à l'oppression.
Je ne publierai pas de photos ni de vidéos démontrant l'horreur d'une boucherie délibérée dirigée contre les seuls civils. L'image est une arme de guerre. Il ne fait aucun doute que Tsahal ne se prive pas de s'en servir. La seule attitude digne et sage pour la population occidentale si éloignée de ce conflit devrait être de ne pas prendre parti et de pleurer tous les morts en frères, de quelque côté qu'ils mourussent. Je ne pense pas avoir besoin de contempler le cadavre d'un nourrisson étêté et vidé comme un poisson, ni le corps tordu d'un père pleurant prostré sur le corps de ses enfants, pas plus que des ruines ou des bâtiments en flammes, pour honnir la guerre et ce qu'elle fait à ceux qui l'ont parfois peut-être appelée de leurs vœux par ignorance mais qui ne l'ont jamais décidée.
Je suis révulsée, plus que tout, par le soin méticuleux que mettent tant de progressistes autoproclamés à se coller des œillères quand il s'agit d'islam. J'y vois un profond mépris, en réalité, pour l'objet professé de leurs attendrissements : il est là, le plus veule et feutré des racismes, dans le refus constant de reconnaître un libre-arbitre et la même capacité au mal chez le musulman que chez un autre. Ces aveugles-là n'hésiteront d'aucun royaume, et leur lâcheté perdra tous ceux qui voient encore quelque chose. Pourquoi faut-il toujours qu'ils ne voient dans l'islam que ce qu'en clament ses plus sinistres chantres ? Pourquoi ne veulent-ils comme porte-parole que les plus extrémistes idéologues, qui ne s'embarrassent même plus de taqîyya pour séduire ces cuistres masochistes ?
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twoboysacar · 8 months
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Réflexion autour d'une nouvelle alliance
Toutes celles qui ont suivi de près ou de loin Minncon '23 (les 9 et 10.09) ont remarqué que JP portait une nouvelle alliance, comme Brookesallow l'a relevé dans ce post publié sur son journal.
En soit, cette information n'a rien de bien extraordinaire. J2 sont connus pour en avoir différents exemplaires dont ils changent au gré de leur humeur (ou selon un code que personne n'a encore pu déchiffrer à notre connaissance).
Mais...
... cet été a pour le moins été étrange du côté d'Austin, en particulier dans la famille P. (Again, merci Brookesallow pour ce récapitulatif )
Alors, penchons-nous sur les différents modèles arborés au fil des ans par JP :
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Wedding ring officielle
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Si on observe bien, on voit clairement une constante dans toutes ces alliances : l'impression qu'elles sont constituées de 2 bagues distinctes. Comme si une seconde avait été glissée au-dessus de l'anneau initial.
Voyons maintenant l'alliance arborée par JP à Minncon :
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Un simple ruban d'or, fait d'une seule pièce.
Notre conviction : jusqu'à cet été, il portait à son doigt le symbole même de sa vie privée. C'est à dire au centre de sa vie et de son anneau la relation qu'il entretient avec JA, protégée des regards par son image officielle d'homme marié père de famille.
Au vu de ce qui précède, il n'y a pas besoin de beaucoup réfléchir pour arriver à la conclusion que quelque chose a changé dans la vie de JP. Qu'il a décidé de mettre de l'ordre, et qu'il a choisi entre son coeur et son image...
... et en comparant les photos de ces "vacances" étranges, et celles des panels de la semaine passée, la réponse est facile pour nous, qui portons fièrement notre chapeau d'alu.
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a-room-of-my-own · 6 months
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Pour être parfaitement franche, je suis un peu mal fichue depuis hier à cause d'images que j'ai vues du 7 octobre — pas grand-chose, en réalité, enfin pas grand-chose par rapport au reste, dans la mesure où la victime était en vie et fait peut-être partie des otages capturés par le Hamas, mais je suis tombée dessus complètement par hasard au détour d'une vidéo où je ne pensais pas en voir. C'était une gamine, rhabillée avec ses vêtements souillés après un viol en réunion, donc, bon. Je ne décrirai pas.
La question que je me pose depuis que le camp soi-disant pro-palestinien a commencé de nier l'étendue du massacre, son caractère antisémite, voire la réalité même des tortures (il faut mettre en doute tout ce qui vient d'Israël mais accepter sans critique tous les chiffres avancés par les organes officiels d'une junte militaire), c'est la suivante : faut-il publier des images, voire des vidéos, du massacre du 7 octobre ? Les autorités israéliennes ont fini, comme on le sait, par réunir des journalistes étrangers pour les leur montrer, devant l'ampleur du déni international ; au départ, il n'était pas question de publier des images d'adolescentes en train de se faire réduire en bouillie, des torches humaines ou des profanations de cadavres, par respect envers les familles des victimes, mais aussi, on le dit moins souvent, parce que ce genre de matériau se retrouve assez rapidement sur des sites pro-Hamas qui les diffuseront triomphalement.
Faut-il montrer ces images, sous prétexte que le Hamas a toujours mis en scène obscènement la détresse des civils palestiniens, quitte à se livrer à de grossiers montages à l'occasion (voir l'affaire des enfants en cage) et connaît parfaitement les codes d'accès aux télévisions occidentales dont les journaux du soir adorent les garçonnets sales et les pères éplorés ? Je n'en suis pas du tout certaine, pour ma part. Avant tout parce que j'ai le sentiment que l'on pourrait toujours attacher un grand nombre de ces fanatiques de la grande cause palestinienne à un fauteuil de dentiste façon Orange Mécanique pour leur montrer des combattants du Hamas en train de mettre le feu à des mères avec leur enfant dans les bras qu'ils y verraient encore un noble acte de résistance. Il est évident que Lives Matter à géométrie variable.
C’est face à l’ampleur du négationnisme qu’ils ont été obligés de le faire et c’est absolument déchirant. Je suis pas mal de comptes israéliens, et j’ai vu des images que je ne peux pas enlever de ma tête. Cette jeune fille dont tu parles notamment, des gens brûlés dans leur voiture, et une vidéo d’intervention sur le festival qui m’a rappelé les images du bataclan sur lesquelles j’étais tombée à l’époque.
C’est de la pure barbarie.
Et force est de constater que même chez nous, on l’a vu au moment des attentats de Toulouse, des enfants juifs tués, ça n’intéresse pas grand monde. C’est d’ailleurs ce que disait récemment à la télé le grand-père des petits Sandler. Il a raison. Pour moi à cette époque l’absence de manifestation a été un signal fort et annonçait ce qu’on est en train de vivre. Honnêtement j’essaie de compartimenter mais je commence à avoir peur de ce que l’avenir nous prépare.
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homomenhommes · 5 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 33
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Quelques heures plus tard, avec la voiture de Marc, je ramenais les jumeaux chez eux. ;Si je devais tester leur père, celui ci devait de son coté avoir décidé de passer à l'attaque. En effet, à peine la porte passée, il rappelle à ses fils que faire la fête le WE s'est bien mais qu'il y a les devoirs à faire et qu'il serait temps qu'ils s'y mettent. Les jumeaux font mine de faire la tête et me disent au revoir avec chacun une pelle bien appuyée. Comme ils montent à leur chambre, leur père m'invite à entrer au salon car il avait des conseils à me demander. A peine assis dans le canapé, il met en marche le lecteur de DVD et sur l'écran plat géant (au moins 130), je vois défiler les images d'un film de cul homo. Il m'explique que intrigué par ce que ses garçons lui avaient dit de la chose et voulant en savoir plus, il s'était acheté ça ce WE. Je prenais la jaquette et vu que c'était un des derniers CADINOT. De jeunes mecs TBF essentiellement imberbes qui baisaient à chaque coin de rue. Il me demanda si ce type de film reflétait la réalité. Les joues un peu rouges, je le fixais et lui dis que ça pouvait être le cas mais pas uniquement. Il n'existait pas que des homos de ces ages là ! il rit et en convient. Je lui dit que pour ma part j'appréciais bien les mecs de mon age mais aussi les plus âgés, que cela dépendait du physique. Il se mit debout devant moi et déjà peu vêtu, il ôta son polo découvrant un torse aux poils bruns tondus à 5mm couvrant sans les cacher des pecs d'un beau volume et des abdos plus que corrects. Sous son jeans, son sexe avait pris de l'ampleur et déformait le tissu laissant présager un engin de belle dimensions.
Il me demanda ce que j'en pensais. Plutôt que de parler, j'étais quand même un peu troublé, j'ai glissé à genoux, les yeux fixés sur son entrejambe, j'ai défait sa boucle de ceinture et baissé le zip. Sans slip, son sexe est directement venu frapper mes lèvres. Comme me l'avait dit ses fils, il était long (22cm comme Marc) épais, veiné, circoncis. Il différait d'avec celui de mon homme par le gland. Si celui de Marc est conique, celui que j'avais sous les yeux était lui plutôt rond en forme de grosse prune.
Comme j'ouvrais la bouche pour parler, il a poussé son bassin en avant et plaçant ses mains derrière ma tête, il est entré totalement. Je me suis un peu étranglé, surpris qu'il aille aussi vite aussi loin. Il me dit alors que c'était encore meilleur que ce qu'il avait imaginé aux récits de ses fils. Je poussais des deux mains sur ses cuisses car tout à l'écoute de ces nouvelles sensations, il avait oublié que je devais respirer !
Alors que j'aspirais l'air si nécessaire au maintien de ma vie, il s'excusa de sa maladresse mais que c'était vraiment supérieur à toutes les pipes qu'il avait connu. Je m'empressais de pomper ce sexe, résolu à ne pas le détromper. Je devais lui faire la pipe du siècle pour le convertir à nos pratiques. Une de mes mains est venue entourer la base de ses couilles et tout en maintenant un rythme soutenu et un avalage complet de sa bite, j'ai doucement tiré ces dernières vers le bas.
Sur l'écran, les jeunes comédiens de Cadinot étaient passés à la vitesse supérieure et s'enculaient les uns les autres. Attirant mon regard sur ces actions, il me demanda si j'étais partant. J'avalais une dernière fois sa bite et bloquant le gland au fond de ma gorge je le massais en déglutissant plusieurs fois rapidement. Puis je me reculais et dis OK de la tête. Je fis voler mes vêtements et il me siffla quand nu, je me suis tourné vers lui. Ma plastique ressemblait beaucoup à celle des acteurs du film en un peu plus musclé quand même. Il attrapa une Kpote dans sa poche (il avait vraiment prévu le coup !) je lui en recouvris le sexe et me suis placé à 4 pattes sur la table basse pour qu'il puisse me sauter debout.
Alors que j'attendais le contact de son gland, c'est sa langue qui est venue se poser sur mon anus. J'ai apprécié l'attention car excité comme il était, je m'étais attendu à être enculer à la hussarde.
Quelques coups de langues et pas mal de salive plus tard, je l'ai entendu se relevé et j'ai senti aussitôt son gland se poser et pénétrer mon intimité. Lentement, pour bien sentir toute la différence d'avec une meuf, il m'a enculé. Progressant cm par cm, écartant mes fesses, il a entré toute sa bite dans mon cul. Les mains sur mes épaules, un dernier coup de rein l'assura que je m'étais tout pris. Je l'avais laissé faire. Maintenant, alors qu'il entamait un retrait, je faisais pulser les contractions de mon anus massant sa hampe sur tout le trajet et lui bloquant le gland, l'empêchant de sortir totalement. Il gémit de plaisir sous ce traitement. Il me dit qu'aucune des salopes qu'il avait baisé ne lui avait fait cela avec son cul, et pourtant il en avait sauté des chaudasses ! ses mains sur mes hanches, il a accéléré la cadence.
Comme je tournais la tête en arrière pour le regarder, par la porte, j'ai vu assis dans l'escalier les jumeaux en train de nous mater. J'ai sorti le grand jeu, venant de moi même m'empaler sur son dard. Il me dit alors que j'étais vraiment une salope moi aussi qui ne demandait que de la bite. Il était très endurant et malgré tout mon savoir faire, il réussit à me limer une bonne demi heure avant de remplir la Kpote, tétanisé au fond de mon cul.
C'est à ce moment là que les jumeaux se sont mis à applaudir. Surpris, leur père s'est retirer brutalement le passage du gland faisant le bruit d'une bouteille qu'on débouche et s'est retourné pour voir ses deux fils hilares. S'étant repris, ils leur confirma que baiser un mec avait quelque chose d'excitant que les meufs n'avaient pas. Comme je me redressais, ils se sont approchés de nous et alors que Tic (Vassili) m'essuyait le cul, Tac (Ptior) ôtait la kpote et épongeait le sexe de son père. Levant le bout de latex devant nos yeux, il nous fit remarquer la dose de sperme qui la remplissait. Il y en avait plus de 3cm dans le fond ! comme le père négligemment nous disait que c'était habituel, il se fit bousculer à coup d'épaule par ses fils.
Nous avons remis nos pantalons sur nos fesses et Tic est parti chercher des Cocas pour nous désaltérer. Sur l'écran le film finissait, avec un tableau de groupe où tous les protagonistes étaient autour d'une piscine. Je fis remarquer que des la belle saison revenue, nous pourrions faire ce genre de tableau à la maison ! Quand Tac a demandé à son père si baiser avec moi lui avait plut, ce dernier lui a dit que n'était ce la chatte dont je n'étais pas pourvu, ma bouche et mon cul valaient dix fois ceux d'une femme. Que sur la centaine de meufs qu'il avait tiré, aucune n'avait ce niveau de pipe, ou cette science de la sodomie passive. Et pourtant il en avait baisé des salopes ! Tic qui revenait avec les rafraîchissements lui demanda si il serait intéressé pour découvrir encore plus de choses de mecs. Le père lui répondit que si ça avait ce niveau d'excitation sexuelle, il est OK.
Quand je suis renté à la maison, j'ai dit à Marc que le père des jumeaux était prêt à tester les rapports entre mecs à une plus grande échelle que mon simple petit cul. Le récit de mon enculage, excita suffisamment Marc pour que je sois obligé de le calmer d'une pipe qui me servit l'apéritif 15mn plus tard avec 6 belles giclée de sperme. J'en gardais les 2 dernières pour les partager avec le donneur en lui roulant un patin.
JARDINIER
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acrazybayernfan · 7 months
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Mick/Charles please? I miss them 🥲
(You can write it in French if you want haha 😂 but anyway I’ll never judge you for mistakes in English since I’m the first one to do them)
Thank you my dear what a nice request ! So here we go, I hope you will like it because it's a bit special (🤦🏻‍♀️)
Au château du Baron Rouge, vivaient deux gentils princes, l’un blond comme les blés, l’autre brun comme le soir, l’un aux yeux bleus, l’autre aux yeux verts, l’un est l’héritier et l’autre le prédestiné, l’un est le fils du baron et l’autre son protégé. Ils grandirent tous les deux ensembles la tête emplie des mêmes rêves, des rêves de petits de garçons, des rêves de victoires, des rêves de gloire. Puis le temps vint pour eux de quitter le vieux château et d’aller faire leurs armes auprès d’un ami du baron. 
Pendant deux ans messire Sebastian va leur apprit tout ce qu’il leur fallait savoir. 
Charles s’avéra à même de savoir tout faire d’instinct, que soit pour le maniement des armes, des chevaux, la musique ou la danse ; il excellait en tout et pour tout. Mick, plus jeune, le regardait faire émerveiller, lui auquel il fallait, en comparaison, tant de temps pour assimiler les nouvelles choses qu’on lui enseignait. Tout autre que lui aurait été jaloux de cet étranger dont le talent semblait éclipser le sien mais Mick avait le cœur trop généreux pour cela et cette âme d’or ne pouvait renfermer aucune amertume, ni aucune jalousie. Après son père et Sebastian, Charles était la personne au monde pour laquelle il avait le plus d’admiration. 
Charles fut le premier à être fait chevalier et debout dans l’église où avait lieu la cérémonie Mick suivait des yeux son ami descendant l’allé centrale éclairée par le soleil couchant qui faisait rutiler son armure en pensant que les anges devaient briller d’une pareille lumière. Le jeune chevalier monta sur son cheval, un magnifique étalon noir que lui avait offert Sebastian, qu’il fit se cabrer, imitant l’image qui se trouvait sur son écu : un cheval noir cabré sur fond de grenat. 
On se réjouit des heureux évènements de cet journée durant un banquet qui se prolongea fort avant dans la nuit. Puis au petit jours Charles se leva, revêtit son armure et fit amener son cheval. Mick n’avait pas osé s’endormir de peur que son compagnon ne parte sans qu’il ait pu lui dire au revoir, et blottit dans sa chambre il guettait le moindre bruit, prêt à s’élancer au moindre signal. Lorsqu’il entendit les pas lourds d’un homme en arme résonner dans l’escalier de la tour où ils logeaient, il se précipita hors de sa chambre juste à temps pour saisir son ami dans ses bras au moment où il arrivait devant sa porte. Charles lâcha un petit amusé en voyant ainsi son jeune camarade se jeter sur lui. Il laissât Mick l’éteindre pendant plusieurs secondes puis doucement il éloigna le corps encore frêle de son ami. Leurs regards se croisèrent et c’est alors qu’il vit que les yeux couleurs d’azur de Mick pleins de larmes. Charles sourit tristement puis il vient passer une main affectueuse dans les cheveux d’or de son compagnon de toujours. Il dit la première bêtise qui lui passa par la tête afin de réconforter le jeune garçon et ayant enfin obtenu de lui un sourire, il se détacha délicatement de Mick et poursuivit sa route. 
Le fils du baron le suivit en silence, il regarda Charles mettre ses gants, monter à cheval, saisir sa lance et son bouclier puis il s’approcha du bel étalon et se collant contre son encolure il lui recommanda de prendre bien soin de son cavalier. Après quoi il se tourna vers Charles et accrochant à sa selle un mouchoir de brocard rouge qu’il avait hérité de sa mère il dit : « Beau doux sire, que la sainte image brodée sur ce mouchoir vous protège et vous garde, et puisse-t-elle vous rappeler celui qui attendra votre retour avec plus d’ardeur encore que les fleurs attendent le retour du printemps. »
Quelques instants plus tard Charles était parti, parti à la quête d’aventure, parti à la quête de gloire afin d’honorer le nom de la grande maison des Ferrari dont il était devenu la grande espérance, il partit en attendant que quelques années plus tard Mick en face de même, pousser lui par le désir de conserver la gloire qui entourait le nom de son père. 
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havaforever · 7 months
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LE REGNE ANIMAL - On a beaucoup entendu parler de ce film "coup de poing", alors oui, il est violent, certainement aussi choquant, anxiogène et parfois même bouleversant. Le propos est fort mais court, la portée de l'image est intense, mais la longueur du film délaye un peu la puissance d'un message qui au final manque un peu d'élaboration.
Et donc, Le Règne Animal est avant tout une attaque en règle bien sentie et légitime sur la folie humaine dans sa barbarie la plus crasse, faisant vivre avec force l’assertion hobbesienne de l’homme loup pour l’homme. C’est pour certains le besoin primal et instinctif de domination, y compris et surtout sur ce qu’ils ne maîtrisent pas. Pas besoin d’un certificat diplômant d’éthologie pour entrer au cœur du sujet. Mais point de catégorisation ou de binarité chez Thomas Cailley, ni homme ni femme, ni homme ni bête, encore quelques gentils et pas mal de méchants, mais il déclare aussi son amour à l’humanité quand celle-ci est portée par le cœur battant des héros discrets.
Mais le propos n'a pas toujours lieu de cité, Le règne animal, c’est aussi du grand spectacle visuel, auditif, bestial et quasi olfactif ! Croisement foisonnant et parfois délirant des genres, entre typiquement le film de genre, en mode univers SF totalement assumé et décomplexé, de la bonne grosse vanne au moment où l’angoisse nous étreint le plus, avec en supra la quête maternelle, le besoin de se renifler et une quête d’affection toujours dramatiquement inassouvie.
Nous sommes ainsi ramenés à notre condition animale de bipède social, dans cette magistrale démonstration Darwinienne qui remonterait le temps en sens inverse…
Le plus parfait exemple du coté très décalé du film, est la scène de la voiture avec le moment Pierre Bachelet, et l’anthologique Elle est d’ailleurs (1980) chanté à tue tête à travers la forêt. Un véritable délire père/fils que de rouler à tombeau ouvert dans ce territoire hanté par des créatures hybrides homme/animal, en cherchant la femme, la mère, avec "Et moi je suis tombé en esclavage" qui hurle dans le poste. Au-delà de l’atypisme de la situation et du jeu extrême du contraste, c’est un grand moment de cinéma. François embarque son fils au préalable sceptique sur la quête de la femme de leur vie, à tous deux.
Au-delà du traité didactique sur la condition humaine, Le règne animal, c’est un geste, une intention, une mise en scène. La forêt ici filmée, c’est le monde, évidemment. L’homme, le locataire dégénéré. La démonstration est visuellement magistrale sur l’homme et l’animal qui ne font qu’un. Le message est poétique, avec cette aspiration du retour à la terre, la prédominance du retour à notre condition première et une ode onirique où le cinéaste laisse exploser toute la brillance de son inventivité, qui va jusques dans les recoins un peu glauques de sa créativité.
Pas de morale, pas de chute, pas de conclusion, les images défilent parfois pour elles-mêmes, délestées de tout propos. C'est à la fois la force et la faiblesse de ce film, dont le scénario n'est pas à la hauteur d'une idée peut-être plus choquante que profonde. Sur la fin, l'adolescent rappelle à son père qu'il fut un temps où il admirait les prouesses technologiques des humains. L'insertion fait mouche alors que la caméra du réalisateur s'emballe dans les profondeurs de la forêt, elle semble avoir subi les mutations qui rapprochent les machines du fonctionnement humain… La boucle est bouclée.
NOTE 16/20 - Expérience originale dans un cinéma français qui semblait tourner en rond. Le règne animal nous sort de nos paysages habituels, c'est un film à la fois fantastique, onirique, cauchemardesque et pop et sa catégorisation dans les inclassables en fait un vrai moment de cinéma : rare, intense, perturbant.
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mariepascaleremy · 25 days
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NIKOLA TESLA, UN GÉNIE ?
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Nikola Tesla était un hyper-polyglotte qui pouvait parler huit langues dont : le serbo-croate, l'anglais, le tchèque, le français, l'allemand, le hongrois, l'italien et le latin. Sa mémoire était si remarquable qu'on dit que même dans ses dernières années, il était capable de réciter par cœur de longues formules mathématiques et bon nombre des poèmes héroïques les plus célèbres du monde dans leur langue d'origine. Certains de ses poèmes préférés à citer étaient "Faust" de Goethe, "La couronne de la montagne" de Njegoš, "La comédie divine" de Dante, "Hamlet" de Shakespeare, "Le pèlerinage de Childe Harold" de Byron et "Eugene Onegin" de Pouchkine. Tesla a hérité sa mémoire extraordinaire de son père qui, selon Tesla, pouvait réciter de mémoire de nombreux livres classiques de son époque et, s'ils étaient détruits, pouvait les réécrire dans leur forme originale. Le père de Tesla l'a également aidé dans son développement mental en testant le jeune Tesla dans toutes sortes d'exercices - comme l'a dit Tesla, "deviner les pensées de l'autre, découvrir les défauts d'une forme ou d'une expression, répéter de longues phrases ou effectuer des calculs mentaux. Ces leçons quotidiennes avaient pour but de renforcer la mémoire et la raison et surtout de développer le sens critique, et étaient sans aucun doute très bénéfiques. Il a également affirmé avoir eu une mémoire eidétique (forme accrue de mémoire photographique et autobiographique. Sur Terre, moins de 100 personnes vivraient avec cette capacité à tout retenir en un clin d'œil, y compris les petits détails apparemment insignifiants pour le commun des mortel) et un processus de pensée qui lui ont causé beaucoup de stress et de problèmes dans son enfance, et souvent ses sœurs ont dû l'aider à distinguer les images qui venaient de son esprit par opposition aux choses réelles. Ces images de son passé bloqueraient efficacement les objets de la vie réelle et interféreraient avec les schémas de pensée de Tesla. Il a fallu plusieurs années et un fort pouvoir de volonté jusqu'à ce que Tesla soit capable de prendre le contrôle de sa mémoire eidétique et de ses processus de pensée, ce qui aiderait finalement Tesla à former une nouvelle méthodologie d'invention.
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hotp-rpg · 11 months
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tw : décès d'un mineur
Andromeda, Oregon, 18 mai 2023 On pouvait entendre au loin le fracas des vagues se cassant contre la roche, si on tendait assez l'oreille, le bruit étouffé par la forêt qui absorbait tout son ne venant pas d'elle. Le clapotement permanent des gouttes de pluie contre le macadam venait alourdir l'atmosphère déjà bien austère. Naomi Ortega se tenait devant le cadavre de Josh Foster et avait encore du mal à réaliser qu'il s'agissait vraiment de lui. En quinze ans de carrière comme shérif d'Andromeda, elle avait vu des choses. Tout le monde ici avait vu des choses. Mais là c'était un gamin, qu'elle connaissait depuis à peu près toujours. Elle avait déjà pris le café avec sa mère, amené sa voiture qui ne démarrait plus à son père. Elle était même presque certaine que son petit frère, Owen, était ami avec lui. Et pourtant il était bien là, son corps sans vie abandonné à la lisière de la forêt, à quelques mètres seulement de la sortie de la ville. Naomi savait qu'elle devait prévenir les Foster, non seulement pour confirmer l'identité du corps mais aussi parce que c'était la chose censée à faire ; prévenir les parents qu'elle venait sans aucun doute de trouver la dépouille de leur fils aîné. Elle prit alors quelques minutes de plus pour trouver le courage et surtout, les mots. Ces dernières semaines elle avait l'impression de ne faire que ça, essayer de trouver les mots. « Personne ne l'a vue depuis samedi, Sarah. » « Je suis navrée Mrs Ellis, on n'a pas de nouvelles pour l'instant. » « On est allés vérifier chez les Parrish, mais personne n'a vu Jacob. » Les disparitions d'enfants et d'adolescents de la ville étaient de plus en plus nombreuses et honnêtement, Naomi commençait à vraiment ne plus savoir quoi faire. Où chercher. A qui demander de l'aide. Alors elle improvisait, dans l'espoir qu'elle finirait par comprendre ce qu'il se passait. Mais le problème était qu'elle n'avait toujours pas compris et que ça faisait maintenant bien vingt minutes qu'elle se tenait devant le cadavre d'un des gamins disparus. Aucun n'avait été retrouvé et elle priait jusque là pour qu'ils reviennent tous sains et saufs. La preuve que ses prières n'avaient pas aidé était pourtant bien là et c'est une image qu'elle n'oubliera pas de sitôt. Naomi ne savait toujours pas quoi faire ; elle composa donc le numéro des Foster, espérant une fois de plus qu'elle trouvera les mots justes. Au moins pour cette fois.
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