Tumgik
#toi moi et mon chien
playvodma-films · 1 year
Text
Optez pour « Toi, moi... et mon chien » sur PlayVOD Maroc
Cher friand de comédies romantiques, vous serez ravi d’apprendre que « Toi, moi... et mon chien » est disponible en streaming sur PlayVOD Maroc. Ce site vous permettra également de télécharger la production pour plus tard.
Tumblr media
0 notes
praline1968 · 4 months
Text
Tumblr media
Mon beau Charly,
Mon petit bouchon,
Ma beauté suprême,
Ma petite merveille,
Il y a 1 an aujourd’hui, tu prenais ton envol à 3h40 alors que tu étais dans mes bras.
Tu étais agité, j’ai essayé de t’apaiser mais je n’y suis pas arrivée à mon plus grand désespoir.
Malgré des signes d’affaiblissement que j’avais mis sur le compte d’un début de vieillesse,
Je n’ai pas vu, senti, compris, qu’une tumeur grandissait dans ton ventre depuis des mois.
Le poids des regrets et de la culpabilité me ronge un peu plus chaque jour.
Ton départ est le plus grand malheur de ma vie terrestre, nous étions si fusionnels.
Tu étais ma boussole, tu étais ma lumière, aujourd’hui, sans toi, je suis perdue dans le noir.
J’ai perdu le goût de vivre, plus rien n’a d’intérêt ni de sens dorénavant.
J’attends juste la fin au plus vite en espérant que je pourrai enfin te retrouver.
Tumblr media Tumblr media
Tumblr media Tumblr media
Tumblr media
🎤 Michel Pépé ~ Le coeur des anges 🎧
youtube
Tumblr media
(Petit poème que j’ai écrit pour toi le 24 décembre 2022)
🩵 Mon Charly 🩵
Il y a 9 ans, tu apparaissais et venais combler ma vie,
Tél un don venu du ciel, tu rallumais mes jours et mes nuits,
Pour moi, revenait alors le goût de vivre, l’énergie,
Un vrai bonheur, un éclair de temps et de vie qui déjà s’enfuit,
Et me laisse dans un silence, une solitude et une détresse infinie.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Petit chien de caractère, petit être d’exception,
Tes grands yeux noirs respiraient l’intelligence,
Coquin, joueur, espiègle, bavard et râleur,
Tu t’exprimais toujours avec ferveur,
Florilège d’intonations sonores,
Tu t’affirmais avec assurance, énergie et passion,
T’avoir dans mon existence fut une extraordinaire chance.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Tes mimiques, ta joie de vivre, tes discours, ta drôlerie,
Emplissait la maison de joie, de rires et de fantaisie,
Ta démarche aérienne si gracieuse, telle une élégante danseuse,
Ton majestueux panachon exprimait ton humeur toujours joyeuse,
Ta présence nous inondait d’amour et rayonnait d’une manière inouïe.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Ce si triste et douloureux dernier soir,
Malgré ton hospitalisation, je t’ai ramené dans ta maison, près des tiens,
Je ne voulais pas que tu restes à la clinique sans personne ni rien,
Seul dans cette cage, dans la peur, l’angoisse, le froid et le noir,
Je ne sais pas si ma décision fût la bonne,
J’espère juste que ce choix aurait aussi été le tien.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
La nuit de ce 22 décembre qui a vu s’éteindre ta lumière,
Quand ton souffle s’est subitement arrêté,
Et que ton petit corps dans mes bras a soudain cessé de s’agiter,
J’ai senti ton esprit s’envoler, tu étais enfin libéré.
J’ai alors ressenti cet indescriptible vide abyssal où s’arrête l’univers,
Incommensurable et insupportable déchirure qu’à jamais j’aurai du mal à porter.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A présent, il me reste les médicaments pour ne pas sombrer,
Pour parvenir à trouver le sommeil et ne plus penser,
Malheureusement, chaque jour, il faut bien se réveiller,
Retrouver et affronter cette terrible réalité,
Cette douleur immense, il faudra beaucoup de temps pour l’effacer 💔
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A jamais, pour toujours, je t’aime mon Charly 💕 💞
J’espère te retrouver bientôt pour l’éternité dans l’amour infini 🙏🏻
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
279 notes · View notes
Text
Artist in the Family (1/1) (jegulus)
"Papa! Papa! Look! I drew you a picture." Harry called as little feet scurried across the entry way.
Regulus looked up from his desk in the family room, and turned in his chair just in time for his little boy to crash into his legs and flop a picture in his lap.
"Wow! C'est magnifique!" Regulus praised.
Pudgy little hands pointed to the people coloured on the page. "C'est moi, et toi, and dad, and look look le petit chien!" Harry jumped around as he spoke.
"I think this one should go on the fridge, yes?" James called from the doorway, where he was leaning against the frame.
Regulus picked up Harry and nodded. "Yes I think so," he said as they walked towards the kitchen. "Mon fils l'artiste," he added and Harry smiled brightly.
"How was the rest of your day, love?" Regulus asked as he set Harry on the counter and put the drawing on the fridge with a little star magnet.
Harry rambled on about playing outside and learning a new sharing song and how he got to be line-leader today, as they started to prepare dinner together.
Regulus listened and nodded along, but couldn't help but think about how he and James had the chance to raise a little human and support him in whatever he wanted to do. There would be no squashing dreams, and here he got to celebrate pictures of their family and whatever it meant to do the happy-chart and revel in the joy that filled his son and poured over into his own heart.
225 notes · View notes
borgien · 13 days
Text
Tumblr media
Il y a cette photo de nous que vous m’aviez adressée, que vous aviez composée selon l’imagerie bien connue de l’animal vaincu par la chasseresse... Vous arborez cette élégance teintée d’érotisme (niché dans vos sous-vêtements qu’il m’était permis parfois d’admirer) qui me stupéfiait à chacun de nos rendez-vous et qui exacerbait mon désir de vous... Et je suis à vos pieds, tel un animal, à demi-nu, paré de quelques voiles et dentelles comme vous le désiriez (et qu’il m’excitait de porter pour et devant vous). Animal, c’était ce que vous m’aviez promis de devenir lors de notre première rencontre si j’acceptais de nouer avec vous une relation, certes particulière, mais qui me conduirait vers des plaisirs que, pensiez-vous, je désirais au fond de moi, vous les aviez reconnus en moi m’aviez-vous dit... Animal, mais pas un toutou, m’aviez-vous dit, comme l’imagerie bon marché de ce genre de relation le fait trop souvent apparaître, même si sans doute vous (nous nous vouvoyions encore lors de cette première rencontre, et vous passeriez au tutoiement notre relation conclue) porterez parfois un collier, mais pas un collier de chien, un collier qui dit l’appartenance, le dévouement et l’obéissance... Non je ferai de toi cet animal dont la soumission envahira ton âme, paralysera ta chair et alors j'épuiserai tout ton corps et parfois, ce ne sera pas sans sauvagerie, une sauvagerie brutale, viscérale, dans un cri... tes cris de plaisir et de souffrance mêlés.
18 notes · View notes
cestvraimentpasdrole · 3 months
Text
Un homme d'affaires doit se rendre à l'étranger pour quelques jours;
>il convoque le bon Saïd, son fidèle domestique, et lui explique la situation :
> - Tu vois, je dois aller à l'étranger quelques jours ; fais bien attention à ce que tout se passe bien ici, et pour n'importe quel problème, appelle-moi.
> - Oui monsieur, toi pas faire de soucis.
> Après quelques jours, l'homme d'affaires, n'ayant pas de nouvelles, appelle Saïd :
> - Ciao, Saïd, comment ça va ?
> - Tout très mal !
> - Pourquoi ? Qu'est-ce qui s'est passé ?
> - Manche de la pelle cassé.
> - Mais Saïd, sacrebleu, tu m'as presque flanqué un infarctus. Tu me dis que ça va mal, et ce n'est que le manche de la pelle qui est cassé !?
> Mais, pris de remords, il pense que Saïd pourrait se froisser, et il cherche alors à adoucir le ton :
> - Comment c'est arrivé ?
> - Oh rien, j'enterrais le chien.
> - Quoi ?! mon chien, que j'aime comme un fils ?! Mais comment s'est arrivé ?
> - Tombé dans piscine !
> - Mais Saïd, c'est un Terre-neuve, un chien qui nage; comment a-t-il pu se noyer dans la piscine ?
> - Pas d'eau dans piscine, et lui tombé, mort.
> - Mais comment ça, il n'y avait pas d'eau dans la piscine ?! Mais puisque la semaine dernière on a fait le nettoyage et mis l'eau pour l'été !
> - Oui mais l'eau prise par pompiers pour éteindre incendie.
> - Incendie, mais quel incendie Saïd ?
> - La maison a pris feu !
> - Ma maison ?! Mais comment ça s'est passé ?
> - Chapelle ardente de madame maman, une bougie près de tenture, tout brûlé.
> - Chapelle ardente, ma mère est morte ? Mais on a fêté l'autre jour ses 70 ans, et elle était en pleine forme !
> - Oui, mais hier nuit votre mère n'arrivait pas à dormir, alors allée demander aide à votre femme, mais l'a vue dans le lit avec votre meilleur ami, et elle morte d'infarctus.
- Mais enfin Saïd, ma femme me trahit avec mon meilleur ami? Saïd, je m'absente 4 jours et ma vie est foutue!... Il n'y a vraiment rien de positif ?
- Si, patron, vous souvenir que l'autre semaine, vous faire test pour Sida ?
- Oui.
- Voilà... ça positif !
10 notes · View notes
vhscorp · 2 years
Text
LETTRE À MON EX-ÂME-SŒUR…
Je ne saurais dire combien de fois par jour je pense à toi. Ni le nombre de nuits où tu t’invites dans mes rêves. Je me sens comme un orphelin. Comme un chien abandonné sur une autoroute. C’est une peine infinie que d’aimer plus que tout au monde quelqu’un qui ne vous aime plus. Qui ne vous désire plus. Pour qui vous n’êtes plus qu’un souvenir, une simple page de son histoire qu’il a définitivement tournée. Je sais que jamais tu ne me reviendras. Je le sais raisonnablement. Mais tout mon être se révolte à cette idée, s’y refuse obstinément. Je ne cesse d’imaginer des scénarios de retrouvailles passionnées, où nous nous étreignons pendant des heures, où nos bouches ne se quittent plus, où nous nous promettons l’éternité. Et puis la réalité revient, glacée, violente et implacable : tu n’es plus là. Tu m’as quitté. Alors mon cœur se tord de douleur et je m’effondre en larmes. Et que dire de ce que je ressens lorsque je t’imagine dans les bras d’un autre… Moi qui ai toujours été de nature pondérée, calme et bienveillante, je deviens soudain un monstre de jalousie, empli de fantasmes haineux et meurtriers. Je me fais peur. Je crains de devenir fou tant je souffre. Je me dis souvent que je voudrais ne jamais t’avoir connue, ne jamais t’avoir aimée. Quand je me regarde dans la glace, je ne vois plus qu’un homme détruit, un pâle fantôme, un spectre larmoyant que toute forme de confiance en lui a abandonné. J’ai le sentiment que je ne pourrai plus jamais aimer, que je ne pourrai plus jamais croire en quelqu’un, que jamais je ne parviendrai à faire le deuil de notre histoire. Cette souffrance est tellement insupportable. Si terrible, si obsédante, si douloureuse. Dieu, comme tu me manques…
V. H. SCORP
87 notes · View notes
perduedansmatete · 10 months
Text
si aujourd'hui était une crise d'angoisse en fait ma vie est juste une longue crise d'angoisse et là je lui ai dit que je savais pas pourquoi mais je crois que je sais quand même un peu le départ de celle-ci on devait se voir aujourd'hui il me répond pas il est sorti tard donc je sais qu'il dort mais j'attends j'attends j'attends je suis pas bien depuis le réveil on se parle un peu il met quinze ans à répondre c'est pas son habitude mais moi je m'en foutrais si on devait pas se voir sauf que si donc ça m'angoisse de pas savoir quand sortir de cette foutue cage (ma chambre) au final je pars en ayant envie de pleurer je lui dis que je suis super angoissée il me dit de rentrer si je suis pas bien puis qu'il est inquiet je lui dis non je veux te voir car j'étais déjà dans le bus (oui il y en avait encore) j'ai pas aimé qu'il me dise de rentrer donc je suis pas bien mais je finis par arriver
c'est super il m'offre mon premier cadeau d'anniversaire (un livre des moomins <3) puis quand je suis dans ses bras il me dit "c'est nul je pensais que t'arriverais plus tôt je vais devoir sortir pas trop tard" ce qui m'énerve atrocement car je peux pas savoir gros débile que t'es chez toi si tu me réponds pas surtout que j'ai passé la journée à rien foutre si ce n'est angoisser mais il me dit surtout "tu veux qu'on sorte ensemble ?" ce à quoi je lui réponds "où ?" pour l'emmerder et aussi car je vois son sourire en coin et que je ne comprends pas pourquoi il me demande ça donc il boude me dit qu'il est très sérieux nanani qu'il veut sortir avec moi (pas dehors) que je le prends pas au sérieux nanana et quand je lui dit non il ronchonne encore plus et ça a duré mille ans comme ça blablabla "t'aimerais être ma copine ? répond moi" "moi je veux qu'on soit ensemble je rigole pas" je me souviens plus de tout j'ai l'esprit embrouillé donc ellipse mais à un moment il me dit en substance qu'il sait que je veux aussi, on se dit qu'on en est pas très loin en vérité mais il me dit de lui répondre oui ou non dans un autre monde, je lui redis non puis peut-être puis j'en sais rien en même temps qu'on s'embrasse collés tous les deux moins habillés qu'avant mais ça m'énerve car dans un autre monde j'en sais rien je sais pas ce que je voudrais il n'existe pas et dans le monde dans lequel on est la question ne se pose même pas et il le sait très bien puisque ce n'est pas possible de toute façon et que normalement ni lui ni moi n'avons jamais voulu que ce soit le cas
on couche ensemble il me dit de lui dire oui on est ensemble ou un truc du style pour qu'il continue alors je m'exécute donc pendant ce temps on est ensemble, il m'appelle mon amour parmi tout le reste et ça m'interpelle car il ne m'appelle jamais comme ça puis fin du spectacle il doit bientôt partir moi aussi mais en fait non mes potes ont annulé il me montre une meuf et me dit qu'elle est toujours là (à mon bar pref qu'il squatte ce gros squatteur) en me demandant si je l'ai déjà vu (non) et en me disant qu'elle est trop belle sans contexte j'ai pas compris puis je crois que c'est quand j'étais dans ses bras posés devant le ventilo qu'il m'a dit "on est ensemble" en souriant et qu'on s'est dit que ça puait la merde on pensait que c'était juste l'odeur du chien mais en fait c'était bien la merde qu'il avait chié par terre donc je le regarde nettoyer le carnage tout nu à quatre pattes par terre c'est drôle je le vois rarement comme ça puis on recouche ensemble il téléphone on doit se dépêcher y a plus de bus il me griffe fort ensuite il me dit genre "ça va ? tu étais toute bizarre" ou alors c'était avant quand on parlait et qu'il me disait qu'il savait que j'étais pas au max, qu'il le voyait et d'ailleurs ça m'énerve car on en parle tout le temps en ce moment et que je sais pas quoi lui dire de plus j'ai pas la solution à tous les problèmes et j'ai pas réponse à toute les questions
bref ellipse ellipse ellispe je pars en vitesse dans le stress lui aussi il me fait un bisou je veux pleurer dans le métro et puis dans le rer, je me dis heureusement que j'ai pris un pull pensant rentrer tard avec des potes vu le carnage qu'est mon dos dans mon petit débardeur mais c'est moi qui ai réclamé sans réfléchir et puis je me dis que ça me soûle je veux pas être sa copine et je comprends pas pourquoi il m'a fait tout ce cinéma aujourd'hui je veux juste qu'on soit copains mais même ça c'est la merde c'est le stress on est plus censés l'être on se voit comme des agents secrets c'est drôle et j'aime bien les totally spies mais c'est fatiguant et j'aurais bien aimé sortir avec lui et ses potes ce soir pour m'amuser je suis jalouse il les voit plus souvent qu'on ne se voit en ce moment puis ça m'énerve il me hairait sil lisait ça mais j'ai l'impression d'être à côté de sa vie alors qu'il est complètement dans la mienne du coup j'ai marché longtemps j'ai pleuré sur un banc dans le froid il m'a envoyé "tu te sens pas bien ???" et en effet j'ai juste envie de m'asseoir par terre sur la route en attendant qu'une voiture me passe sur le corps comme ses mains l'ont fait tout à l'heure parce que j'ai RIEN COMPRIS à cette courte mais longue journée si ce n'est que ça va pas du tout, que les gens sont trop bizarres et que je me sens super nulle car j'ai l'impression de tout flinguer à chaque fois avec mon ambiance pourrie mais j'arrive plus à processer les informations en ce moment ce qui me laisse sans réponse à me donner et à lui donner ce gros débile que j'aime quand même
14 notes · View notes
praline1968 · 7 months
Text
Tumblr media
💙💙
MON GALOPIN
Tu nous quittais le 13 octobre 2010 me laissant anéantie à vie.
Je me recueille devant ton urne chaque soir, et la bougie sera allumée ce soir pour te rendre hommage 🕯️ 🕊️
Merci de tout mon cœur pour tout ce que tu m’as apporté durant ton vivant, cet amour inconditionnel qu’on ne trouve pas chez les humains 🙏🏻 🙏🏻
Je ne t’oublierai jamais, je t’aimerai toujours 💗
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
(Poème écrit pour tes 20 ans le 12 février 2011)
🤍 MON GALOPIN 🤍
Mon petit cœur, Mon petit amour,
Mon fidèle compagnon, mon ami le plus cher,
Ce 12 février marque pour nous un jour anniversaire,
Celui qui, ce beau jour de 1991, en Ardèche, t’a vu naître,
Tu aurais eu 20 ans aujourd’hui, si seulement tu avais vécu,
Mais la grande roue impitoyable de l’univers ne l’a pas voulu.
Nous espérions tellement l’atteindre ce chiffre de 20,
Pour continuer ensemble vers de beaux lendemains,
Nous voulions tant battre tous les records connus,
Mon petit cœur, mon petit amour, t’en souviens-tu ?
Il y a 2 ans, un AVC sur toi, violemment s’abattait,
Te privant de l’usage de tes pattes, cruellement paralysées,
Devant le pénible spectacle, le désespoir nous envahissait,
Et des torrents de larmes de mes yeux jaillissaient.
Alors qu’à l’unanimité, la grande majorité te condamnait,
Après tant et tant d’efforts déployés et renouvelés,
Durant des heures entières et de longues journées,
Soudain, dans un ultime élan, tu te relevais et tu marchais.
Devant l’étonnement de nos grands yeux écarquillés,
Cet incroyable miracle, de bonheur nous remplissait,
Je t’ai admiré pour cette force unique, cette volonté.
Exceptionnel petit chien, battant, tu l’as toujours été,
Ce jour béni d’entre tous fût le plus beau de ma vie,
Dans cette douloureuse épreuve, tu m’as tant appris.
Cette rage de vivre, depuis, tu l’as toujours gardée,
Le 13 octobre 2010, un nouvel AVC destructeur te frappait,
Cette fois, brutalement et sournoisement, te terrassait,
Enfermant ton petit corps dans une paralysie totale,
Signant ainsi au fer rouge la condamnation finale.
Durant la dernière nuit, tes appels au secours retentissaient,
Et me contraignaient à prendre la décision tant redoutée,
D’abréger tes jours et ta souffrance, et choisir de te délivrer,
Effroyable décision que je ne pourrais jamais me pardonner,
Je le sais, tu voulais vivre encore et ne jamais nous quitter.
Sur la table du vétérinaire, ton petit corps sans vie gisait,
Devant mes larmes de désespoir et ma terrible détresse,
Dans un ultime pleur, tu me suppliais de m’accrocher.
La piqûre contenant le poison mortel ne voulait pas agir,
Sentant mon immense chagrin, tu refusais encore de partir,
Avant que tes yeux et ton cœur ne s’éteignent à jamais,
Me laissant là, abandonnée, impuissante et brisée.
Alors, en hommage à ta force et ton énorme courage,
Comme un emblème, je porte ton collier à mon poignet,
Pour que ton combat ne soit pas vain et ne finisse en mirage,
De me relever et d’être encore plus forte, je te promets,
Afin que ton âme si pure et si belle, puisse vivre en paix.
J’attends maintenant le jour béni de nos retrouvailles,
Ce jour sacré qui nous verra toi et moi à jamais réunis,
Ma seule volonté enfouie au fond de mes entrailles,
Celle de te retrouver enfin pour l’éternité, au paradis.
Je t’aime, à jamais, pour toujours,
Mon petit cœur, Mon petit amour.
💙💙
youtube
🎤 Michel Pépé ~ L’ascension céleste 🎧
56 notes · View notes
lavoiedeleau · 28 days
Text
La liberté de vivre seule
Un nouveau chapitre le jour j'apprend à vivre seule dans mon appartement, sans chien ni relation toxique.
Toute une étape avec une grosse peur de l'abandon, j'ai toujours vécu soit colocation, très entouré et de plus avec un traumatisme de la solitude chez toutes les femmes de ma famille (sans présence masculine). J'en avais conscience et pourtant c'était compliqué, à faire le deuil de l'ancienne vie (famille, amis, ex et mon premier bébé mon chien).
J'ai commencé alors à faire des méditations pour couper les liens toxiques au fond de mon être. J'avais l'habitude d'en faire avec la sophrologue toutes les 3 semaines, en travaillant sur la liberté d'agir et de pensé seule, de retrouver mon corps et coeur.
Je culpabilisais de passer de super moment avec mes amis et mon nouveau petit amis et d'un autre sens d'être constamment triste du aux événements passées. Cette sensation sera de moins en moins forte mais durera presque 1 an, de bataille contre et envers moi même et cette tristesse. Avec un parent dépressif, je savais qu'il fallait que je travail sur moi et me guérir car la génétique n'était pas en ma faveur.
A cette époque mes géants (comme j'aime les appellés : mes maitres apprentissage) étaient Chloé bloom ( ose briller) et François Lemay ( tu es une plus merveille du monde, ton affaire c'est de t'occuper de toi et tout est toujours parfait.
Une nouvelle femme voyait le jour à ce moment la, remplis d'espoir et de sagesse.
'm learning to live on my own in my flat, without dogs or toxic relationships.
I'd always lived with a flatmate, surrounded by lots of people, and all the women in my family had been traumatised by loneliness (with no men around). I was aware of this and yet it was complicated, mourning the loss of my old life (family, friends, exes and my first baby, my dog).
So I started doing meditations to cut the toxic links deep inside me. I used to do them with the sophrologist every 3 weeks, working on the freedom to act and think on my own, to rediscover my body and heart.
I used to feel guilty about having a great time with my friends and my new boyfriend, and on the other hand about being constantly sad about past events. This feeling became less and less strong but lasted for almost 1 year, a battle against and towards myself and this sadness. With a depressive parent, I knew I had to work on myself and heal myself because genetics weren't in my favour.
2 notes · View notes
submissivegayfrenchboy · 11 months
Text
30 / 05 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec mon ami @tidodore2
- LES MUSULMANS SONT MEILLEURS ! -
PARTIE PAR submissivegayfrenchboy
Riyad était un très beau mâle arabe grand et musclé très dominateur qui ne supportait pas les homos. Or, la fille blanche avec qui il sortait avait un frère gay. Chaque fois que Riyad venait voir sa petite amie, son frère cadet le soûlait à parler de la communauté LGBTQIA+, alors que Riyad est un musulman conservateur dégouté par les homos.
Un jour, vêtu d'un survêtement gris, il cracha sur le pédé sortit son immense pied, et le frère pédé se jeta dessus pour le lécher.
PARTIE PAR tidodore2
RIYAD : "Mais ferme ta gueule sale pédé !!! J'en ai marre d'entendre tes discours à la con sur les "droits " des tapettes comme toi ! Regarde, j'ai juste à lever mon pied et tu te mets à genoux devant moi pour me lécher comme un chien ! Ça c'est la vraie nature des tafiolles blanches comme toi !!!"
Tumblr media
PARTIE DE submissivegayfrenchboy
PÉDÉ : "Pardon je suis désolé ! Est-ce-que je peut avoir le "droit" de lécher tes pieds ! Je t'en supplie l'odeur est trop enivrante ! Je ferais tout ce que tu veut, je t'en supplie, laisse moi lécher tes pieds si grands 😍 !"
Le pédé lécha les pieds de celui qui baisait sa sœur. En échange d'avoir le privilège de lécher ses pieds, il disait du bien de Riyad à ses parents pour qu'ils acceptent un musulman dans la famille.
Le pédé avait retiré tous les signes LGBTQIA+, ce qui plaisait à ses parents peu fiers de leur fils gay. Ils ne réalisaient pas qu'il se détournait de son idéologie LGBTQIA+ uniquement parce-que il voulait plaire à Riyad. Il avait promis de lui trouver un petit ami. Riyad voulais dire par là un mâle musulman.
Les parents du pédé eurent le plaisir de voir leur fils cesser de parler des Droits LGBTQIA+, mais uniquement pour devenir un garçon blanc qui vénére les musulmans.
Les parents blancs eurent le déplaisir de voir leur fille se marier avec un grand mais beau musulman, alors que leur fils blanc voilé et féminisé épouser un gros mâle arabe poilu.
Celui-ci était un oncle de Riyad, et il emporta le pédé en Turquie, où il vécut en femme obéissante et jamais ne revit ses parents.
Mais il était heureux d'être aux pieds d'un vrai mâle viril qui l'aimait.
FIN DE L'HISTOIRE
+++++++++++++++++++++++++++++++++++
🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇺🇲🇬🇧
PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with my friend @tidodore2
- MUSLIM MEN MATTERS, WHITEBOYS! -
PART BY submissivegayfrenchboy
Riyad was a very handsome, tall and muscular Arab male who was very dominating and couldn't stand gay people. However, the white girl he was dating had a gay brother. Every time Riyadh came to see his girlfriend, his younger brother would get drunk talking about the LGBTQIA+ community, while Riyadh is a conservative Muslim disgusted by gay people.
One day, wearing a gray tracksuit, he spat on the fag and took out his huge foot and the faggot brother threw himself on it to lick it.
PART BY tidodore2
RIYADH: "Shut the fuck up, you faggot!!! I'm tired of hearing your bullshit talk about the 'rights' of gays like you! Look, I just have to lift my foot and you start knees in front of me to lick me like a dog! That's the true nature of white sissy boys like you!!!"
Tumblr media
PART OF submissivegayfrenchboy
FAG: "Excuse me, I'm sorry! Can I have the "right" to lick your feet! I beg you, the smell is too intoxicating! I'll do whatever you want, I beg you, let me lick your feet, it's so big 😍!"
The faggot licked the feet of the one who was fucking his sister. In exchange for having the privilege of licking his feet, he spoke well of Riyadh to his parents so that they would accept a Muslim into the family.
The faggot had removed all LGBTQIA+ signs, which pleased his parents who were not proud of their gay son. They didn't realize that he was turning away from his LGBTQIA+ ideology only because he wanted to please Riyadh. He had promised to find him a hot boyfriend. By that Riyadh meant a Muslim male.
The faggot's parents were pleased to see their son stop talking about LGBTQIA+ rights, but only to become a white boy who worships Muslims men.
The white parents had the displeasure of seeing their daughter marry a tall but handsome Muslim, while their veiled and feminized white son married a fat, hairy old Arab male, one of Riyadh's uncles.
This one took the faggot to Turkey, where he lived as an obedient woman and never saw his parents again. But he was happy to be at the feet of a real manly male who loved him.
END OF THE STORY
+++++++++++++++++++++++++++++++++++
@muslimfeet @eurabiansub2 @torinya @muslimsfuckeuropeanwomen @feeterotica @fartfagoutlet @fartsandfacesitting @arabmanrebeu @muslimahreminder @muslimahxxxx @whitebois4muslimmen @muslimmasterlookingforsissy @eurabiafuture2023 @eurabianfutureuk @garconsoumis @soumispourdomi @batlopeparis @cefrankahba @cefransoumisblog @babtouboloss
55 notes · View notes
luma-az · 9 months
Text
Pour les poubelles et le poulet
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 9 août 
Thème : démolition/coyotes et renards
. .
« Sérieusement… ça fait mal au cœur de voir ça.
— Alors ne regarde pas.
— Mais je ne peux pas ! C’est notre maison qui part ! — C’était.
— Quoi c’était ?
— C’était notre maison.
— Mais…
— Maintenant c’est un chantier d’autoroute. Fais avec.
— On t’a jamais dit que tu n’avais pas de cœur ?
— Parfois, et surtout on ne m’a jamais dit que je manquais de cervelle. Réfléchis, sac à puce. Qu’est-ce qui arrive avec les autoroutes ?
— Des voitures.
— Et avec les voitures, des… ?
— Des… accidents de voitures ?
— Oui, c’est certain que toi et les autres coyotes vous allez devoir faire sacrément gaffe à vos fesses poilues, surtout la nuit. Mais je ne te parle pas de ça. Moi, je te parle d’une aire d’autoroute. D’un relai. D’une cité-dortoir vide toute la journée pendant la migration humaine quotidienne. Et qu’est-ce qui va arriver avec tout ça ?
— Heu… des chats ?
— Oui, si tu veux. Mais surtout…
— Parce que c’est vachement bon, les chats.
— Ça ne vaudra jamais un poulet. Non, ce qui va arriver en masse, ce sont les poubelles !
— Oh.
— De la nourriture à volonté ! Du bœuf ! Du porc ! Du mélange bizarroïde délicieusement salé ! Du chocolat ! Et surtout le summum de la gastronomie humaine : du poulet ! Pense à tous ces os de poulet qui nous seront offert encore plein de chair ! Et les restes de poulet frit ! De sandwich de poulet ! De…
— Vous, les renards, vous aimez bien le poulet, non ?
— On aime le poulet exactement à la mesure de ce qu’il mérite !
— Tu baves.
— Evidemment ! Et tu devrais baver avec moi ! Pense aux poubelles !
— Pour l’instant, je pense surtout qu’ils sont en train de démolir notre maison, et ça me rend triste. Je préfère chasser ma nourriture et rentrer tranquillement dans mon terrier que de devoir esquiver leurs voitures, leurs chiens et leurs fusils, tout ça pour une poubelle au poulet.
— Tu n’as pas le goût du challenge. Peut-être que parce que les coyotes sont nuls quand il s’agit d’ouvrir une poubelle un peu sophistiquée.
— Alors tu devrais peut-être en parler à quelqu’un qui te comprend, comme un raton-laveur.
— Et pourquoi pas, ils font des merveilles avec leurs petites pattes… hé, reviens ! Ne sois pas vexé, je ne vais pas te remplacer par un raton-laveur ! Je voulais juste te remonter le moral !
— Franchement, pour quelqu’un qui se vante d’être tellement intelligent, il y a des fois où tu es juste vraiment con. »
.
.
9 notes · View notes
swedesinstockholm · 2 months
Text
7 février
ras le cul ras le cul ras le cul je viens de regarder un documentaire sur pomme et un documentaire sur november ultra et j'en ai marre de rien faire de ma vie. aujourd'hui c'était l'anniversaire de r. oui encore il est là oui j'aurais tant aimé oublier que c'était son anniversaire mais mon cerveau me l'a rappelé toute la journée alors évidemment j'ai passé l'après-midi à m'entrainer à chanter you still believe in me des beach boys au piano en remplaçant toutes les paroles par joyeux anniversaire parce que c'est ma spécialité de faire des cadeaux d'anniversaire adorables aux gens qui m'aiment pas cf. mon zine pour a. avec des dessins aux crayons de couleur de son chien qui fait un road trip à travers les états-unis. l'année d'après je lui ai fait une playlist, et l'année dernière elle m'a même pas répondu, alors cette année je me suis rabattue sur r. je me suis enregistrée mille fois et j'ai fini par lui envoyer la moins nulle, en voice memo pas en vidéo parce que je me sentais moche. il a répondu merciii et c'est tout. ça m'apprendra à écouter mon gros coeur de merde. enfin non ça m'appendra pas puisqu'année après année je recommence. en ouvrant fb j'ai vu que c'était l'anniversaire de ludvig aujourd'hui aussi. évidemment qu'ils sont nés le même jour. je suis sûre qu'il aurait eu un petit mot sympa pour ma chanson lui.
8 février
j'ai rêvé qu'on me disait que je devrais faire du cinéma parce que ce que j'avais à dire et ma sensibilité se prêtaient bien à l'image, à ce médium-là, un truc comme ça. j'essaie de faire une vidéo pour le festival videoex mais je sais pas ce que j'ai à dire. en revenant de delhaize sous la pluie je me disais que j'aimerais bien travailler sur quelque chose qui me sorte de moi-même. ça me ferait du bien.
quand m. est arrivée elle m'a demandé ça boume ça gaze? et j'ai dit non et toi? et elle m'a répondu un petit ça va. elle m'a pas demandé pourquoi ça allait pas mais rien que de dire non ça m'a fait du bien. de le poser devant moi. on a passé l'après-midi à discuter dans la cuisine en se faisant écouter des nouveaux morceaux et je sais pas comment je survivrais sans voir m. de temps à autre. elle m'a ramené une pierre transparente de sel cristallisé qu'elle a trouvée dans le désert en espagne, elle date de quand y avait la mer dans le désert, ça me fascine. j'arrêtais pas de la tripoter dans tous les sens. elle a un endroit qui est tout lisse comme du verre et sur la tranche on voit plein de petites strates comme des grands escaliers en cristal. je l'ai laissée en bas sur l'évier mais j'ai envie de l'avoir près de moi pour dormir. le jour où j'aurai une table de nuit c'est le premier truc que je mettrai dessus.
cécile et gauthier sont arrivés un peu plus tard, ils ont ramené des gobelets en plastique que jeanne avait fait faire pour les trente ans de thibaud avec son nom, 30 ans et autour du 30 plein de petits objets qui le caractérisent: des baskets de sport, un chat, des billets de banque, une bouteille de vin, un ballon de foot, des cartes de poker, et plein d'autres trucs nuls. elle lui avait organisé un weekend surprise dans une grande maison à la campagne avec tous leurs amis. j'ai un peu de mal à concevoir qu'y a des gens pour qui les anniversaires sont synonyme de joie et de fête et de surprises et de bons souvenirs. bon mes trente ans étaient loin d'être mon anniversaire le plus pourri, mais quand je compare avec les gens qui ont des vraies vies avec des amis et des copains et des copines qui leur font des surprises, je me dis que je suis pas au même niveau. et la seule raison pour laquelle j'étais pas déprimée pour mes trente ans c'était que j'étais amoureuse de a. et qu'elle m'avait dit qu'elle m'enverrait un cadeau. qu'elle n'a jamais envoyé, ou il est jamais arrivé, le mystère demeure, j'ai jamais osé lui demander.
quand je suis arrivée à la maison trempée jusqu'aux os en revenant de delhaize j'avais deux messages de r. qui me disait qu'il avait enfin écouté ma chanson et que c'était trop mimi avec beaucoup de i. comment font les gens pour avoir des vies si occupées? et pourquoi moi je suis si peu occupée que j'ai le temps de passer une après-midi entière à répéter you still believe in me au piano pour un garçon que j'ai vu deux fois dans ma vie? bon je l'ai pas apprise pour lui, j'étais déjà en train de la jouer, mais quand même. je savais pas si y avait quelqu'un dans la maison d'à côté et je m'imaginais la voisine à bout de nerfs à force de m'entendre chanter joyeux anniversaire qui se disait j'espère qu'il va l'apprécier sa putain de chanson des beach boys. désolée madame mais il l'a même pas écoutée le jour-même, non mais vous y croyez?
10 février
j'ai enfin bu un jus d'ananas ce soir dans le cadre d'une piña colada sans alcool parce que j'en ai marre d'avoir la tête qui tourne. je suis contente qu'ils soient tous là pour me distraire. ce matin je me suis levée d'une humeur exécrable et j'ai cherché un morceau d'arnold schönberg avec le mot flowers dans le titre parce que dans mon rêve c'était marqué sur mon ordonnance: flowers d'arnold schönberg, mais apparemment ce morceau n'existe pas. peut être que c'était juste des fleurs de bach. j'ai du me mettre devant un épisode de newport beach avec une grosse tranche de brioche tartinée de chocolat pour faire remonter mon moral (ç'a marché) et puis on est partis au resto dans la forêt où j'étais pas retournée depuis que j'étais petite et j'ai mangé une grosse escalope viennoise avec des frites (bof) et une glace vanille-fraise en dessert pour faire les choses jusqu'au bout. j'arrête pas de manger des beignets de carnaval aussi, j'arrête pas de dire que je vais prendre mon corps en main mais je le fais pas.
5 notes · View notes
selidren · 10 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Printemps 1906 - Champs-les-Sims
4/19
Voyant cela, Grand-Mère s'est bien sur pressée de mettre sur pieds le mariage de la décennie. Selon ses propres mots, on ne marie pas l'héritier de la famille Le Bris tous les jours. Si Constantin s'est vite agacé par son attitude enjouée et pressante, je la comprends quand à moi. Mis à part Tante Daphné, Grand-Mère n'a jamais pu marier ses enfants comme elle l'aurait souhaité. Oncle Matthieu s'est uni contre le gré de sa mère dans la clandestinité, ma Mère, durant la brève période où elle fut héritière, n'a jamais eu cette chance, et Tante Lucrèce n'était de toute évidence pas candidate au mariage.
Je me demande où elle est aujourd'hui. Et repenser à elle ainsi me remplit de tristesse. Son départ m'a en quelques sortes coûté une autre mère. J'aimerai simplement savoir si elle va bien.
Mais peut importe. Tous ces préparatifs ont cependant été subitement mis à l'arrêt par un tragique événement : la mort subite de Servais, mon beau-père. Comme vous le savez peut-être, il était instituteur de la République et enseignait aux enfants du village à l'école publique. En pleine leçon de morale, il a soudainement été pris d'une douleur au coeur et s'est effondré devant ses élèves. Son coeur s'est simplement arrêté de battre et les pauvres enfants ont assisté impuissant à son décès. Mon petit Alexandre, qui avait alors sept ans, était de ceux-là, et comme les autres, il a vécu à cette époque une passe très difficile. Moi qui espérait préserver mon fils le plus longtemps possible, le Seigneur lui a envoyé cette épreuve malgré tout. Rassurer mon fils a pris toute mon énergie et a convaincu Grand-Mère de mettre une halte temporaire aux préparatifs du mariage.
Transcription :
Alexandre : Qu'est-ce que vous étudiez Tante Rose ?
Rose : Un essai du Docteur Camille Guérin. Il étudie la tuberculose et j'espère pouvoir un jour être à sa hauteur.
Alexandre : C'est un bon médecin ?
Rose : C'est un vétérinaire.
Alexandre : Pourquoi lire le livre d'un vétérinaire si vous voulez soigner des êtres humains ?
Rose : Car il serait idiot de penser que ce qui atteint nos animaux domestiques ne peut nous atteindre nous. Ses travaux aideront beaucoup de gens, j'en suis sure.
Alexandre : Vous voulez dire que quand le chien de Cousine Jeanne m'a mordu, il aurait pu me transmettre une maladie ?
Rose : Peut-être. Tu as bien nettoyé la plaie ?
Alexandre : Je ne me souviens plus. C'est Maman qui s'en est chargée, en tous cas, ça m'a fait très mal. Ensuite, elle a mis un produit très désagréable dessus et elle a bandé ma main.
Rose : C'est bien, c'est important de bien nettoyer un plaie, c'est un mode de transmission très commun de l'animal à l'homme.
Alexandre : Tant mieux... mais si ça a été mal fait, il faudra me couper la main ?
Rose : Pour éviter la nécrose, il faut amputer parfois oui.
Eugénie : Enfin, Rose !
Eugénie : Veux-tu cesser de raconter ce genre de choses à cet enfant ? Inutile de le troubler davantage.
Rose : Il pose des questions Grand-Mère, et il déteste qu'on élude le sujet. Lui mentir ne serait pas lui rendre service.
Eugénie : Seigneur, qui te demande de lui mentir ? Contente toi d'atténuer certaines réalités. Lui parler de maladie, d'amputation... Tu veux lui faire encore plus peur ? Des fois je me demande si ton frère n'a pas déteint sur toi.
Juliette : Il parle beaucoup de la mort en ce moment.
Eugénie : En tous cas, faisons notre possible pour qu'il sorte apaisé de cette épreuve. Donc, plus de discussion sur la tuberculose ou que sais-je encore.
Juliette : Si il te pose des questions, parle lui plutôt des remèdes Rose. Des vaccins, des gens qui guérissent miraculeusement du cancer. C'est ce que je fais, et je l'entends moins pleurer la nuit.
Eugénie : Remercions le ciel dans ce cas, et espérons qu'il n'ait plus jamais à voir la mort en face.
Eugénie : Et stoppons cette affreuse discussion. Il est temps d'évoquer les fiançailles de Rose.
Juliette : Ah, tu vas enfin te fiancer avec Zéphir ? Et tu ne me l'avais même pas dit ?
Rose : Parce qu'il ne s'est encore rien passé. Zéphir et moi prenons notre temps.
Eugénie : Tu sais que ce n'est pas prudent ma petite. Je ne suis pas rassurée que tu vives ainsi à la ville chez ton cousin tout en étant célibataire. Je préférerai te voir avec un mari au bras...
Rose : Plutôt que je ne m'enfuisse avec un de mes camarades de classe. Pourquoi attendez-vous toujours le pire de moi Grand-Mère ?
Eugénie : J'ai confiance en toi, ce sont tous ces hommes avec lesquels tu étudie qui m'inquiètent. Leur esprit doit être rempli de mauvaises pensées en te voyant.
Juliette : Il faut épouser Zéphir alors ! Avec une bague à ton doigt, ils arrêteront de te regarder. Le problème serait réglé n'est-ce pas ?
Eugénie : Tout à fait ma chérie. Si seulement ta soeur faisait preuve de la même jugeote que toi.
Rose : Mais enfin, arrêtez de monter en épingle la moindre de vos idées... Je ne risque rien en étudiant avec eux, et aucun ne me regarde. Ils regardent le professeur et prennent des notes. Ils sont comme moi venus étudier, pas pêcher la demoiselle comme on ramasse une prostituée dans la rue.
Eugénie : Rose !
Juliette : Qu'est-ce qu'une prostituée Grand-Mère ? Rose en est-une c'est cela ?
7 notes · View notes
Text
SONNET A SIR BOB
( Chien de femme légère, braque anglais pur sang . )
Beau chien, quand je te vois caresser ta maîtresse,
Je grogne malgré moi - pourquoi ? - Tu n'en sais rien . . .
- Ah, c'est que moi - vois-tu - jamais je ne caresse,
Je n'ai pas de maîtresse, et . . . Ne suis pas beau chien.
- Bob ! Bob ! - Oh ! le fier nom à hurler d'allégresse ! . . .
Si je m'appelais Bob . . . Elle dit Bob si bien ! . . .
Mais moi je ne suis pas pur sang . - Par maladresse,
On m'a fait braque aussi . . . Mâtiné de chrétien.
- Ö Bob ! nous changerons, à la métempsycose:
Prend mon sonnet, moi ta sonnette à faveur rose;
Toi ma peau, moi ton poil _ avec puces ou non . . .
Et je serai sir Bob _ son seul amour fidèle!
Je mordrai les roquets, elle me mordrait, Elle! . . .
Et j'aurai le collier portant Son petit nom.
British channel, 15 may.
Tristan Corbière, Les amours jaunes _
3 notes · View notes
unmatindoctobre · 6 months
Text
-Deuxmilleneufcentvingtdeux- ✨
Hey salut là haut,
Bah faut pas chialer hein, il pleut comme vache qui pisse.
Franchement, t’abuses. Est ce que j'ai les yeux mouillés moi, bien sur que non. Bah, j’ai toujours pas la capacité de te mentir.
Tu m'emmerdes.
Putain, t’as loupé des trucs cette année j’te l’dis. Enfin, t’as du voir..T'as même pas eu peur, j suis sure. Bah évidemment que non. T'as vu ? Ouais, j’ai arrêté les compotes, et d’mettre ma clé dans la même serrure qu'une autre. J’ai enlevé la bague & j’ai mangé le chien. 
Oui oui, une connerie, mais merci d'avoir laisser faire. On s'est quand même bien marré à y croire. Enfin surtout moi. J’ai alors, pensé à toi. 
Ah oui, j’ai changé de job dans la foulée. Les gamins j’ai arrêté. Non, bah t’sais j’ai eu les meilleures têtes d’affiche en sept ans, gamins et parents compris, j’me suis arrêtée au bon moment, je pense. Pis bon, les pâtes c’est bon mais c’est quand même meilleur avec du parmesan dedans quoi. 
Dans ma logique implacable, je me suis dit que m’occuper d’adultes en situation de handicap ce serait moins physique et plus reposant. Bah oui, Sherlock, j’étais en court circuit le jour où j’ai décidé çà. Le pire ? J’ai eu un super pouvoir de persuasion, les gars n’ont pas douté de moi une seconde. Moi, tous les jours, je me demande ce que je fous là. Mais, ça n’as pas l’air de trop se voir, alors je continue. 
Ils sont plus ou moins verbaux, enfin, les insultes c’est plutôt acquis, bizarrement.  Ils font semblant de pas m’entendre, alors moi, je parle avec les mains. J’ai grave enrichi mon vocabulaire d’ailleurs. Pour la plupart, ils nous font croire qu’ils peuvent pas marcher. & quand Quentin le kiné débarque avec ces bouclettes vénitiennes, et ces yeux bleus attendrissants, voilà que tout le monde se met debout. Ouais, tout le monde se lève pour Quentin. c’est bon, tu l’as ? J’ai alors pensé à toi. 
T’as payé un monaco à Mamie ? J’espère que tu l’as pas loupé, sérieusement. Evidemment, que oui, je sais que tu l’as fait. Et je suis soulagée, que tu puisses la voir, jalouse d’elle, qu’elle te voit toi. J’ai alors, pensé à toi. 
J’ai appris la perceuse, les chevilles Molly et la pince. Quelle merde, mais satisfaisant et pour de vrai, c’était drôle. Surtout quand depuis le salon, Elle s’est mise a voir la fenêtre du bureau. Hum, tu l’as vois ma jolie fleur tenant sa perceuse, et qui tout d’un coup sent que le mur a été bien trop facile à percer. Je te le donne en milles, Elle est passée au travers, comme ma carapace. Comme dans du beurre. 
Tu l’adorerai. Vraiment. J’me suis même pas fachée, elle est jolie quand elle est gênée. J’ai alors, pensé à toi. 
Et tu sais pas quoi, j’ai des plantes. Nan, des vraies qu’il faut arroser, tourner à la lumière. Dans des jolis pots. Y’en as pas une qui est morte, encore en trois mois. C’est beau ,hein. Le pire ? Elles font de nouvelles feuilles ces connes, et moi je m’extasie. Ouais, tout arrive. Vraiment. 
J’ai alors, pensé à toi.
J’ai arrêté de fumer. Oui, encore. Depuis 40 jours, enfin grosso modo hein parce que bon, l’entourage n’a pas toujours la patience d’être avec moi, complètement sereine alors, oui des fois la clope sert de drapeau blanc. Mais, je tiens. Heureusement, il reste la bière et le bon vin. 
Je te laisse, je dois aller faire des muffins au chocolat. 
Je t’embrasse, autant que tu me manques, fort. 
Joyeux Anniversaire - ciel -  pour tes huits ans la haut et nos huit ans sans toi. 
Je t’aime, toujours. 
4 notes · View notes
rewindthetimee · 11 months
Text
À LA CROISÉE DES CHEMINS—Chaos chapitre 5
Saison : Printemps, il y a un an
Lieu : Centre-ville
Tumblr media
Kuro: Ouaip’, ouaip’. D’acc, tu vas manger chez ta pote aujourd’hui.
… T’es sûre que c’est “une” pote, et pas “un” pote, hein ?
Tu veux que je vienne te chercher quand vous aurez fini ? Pas besoin ? Ah ouais ? Ils te ramèneront à la maison… Ok, ça marche.
Enfin, j’suppose que ton amie prendrait peur si elle voyait un mec comme moi débarquer pour te récupérer. Appelle-moi si t’as besoin de quoi que ce soit, d’acc ?
À toute, fais en sorte de rentrer avant qu’il fasse nuit.
(Mhh… Ma soeurette est assez distante en ce moment. C’est donc ça, la phase rebelle ?)
(Au moins, elle arrive déjà mieux à s’exprimer que quand maman est morte.)
(Elle a sa propre vie désormais, faudrait pas que je m’y immisce de trop.)
(Haha. “Pourquoi tu vas pas t’amuser avec tes amis, Aniki ?” qu’elle m’a dit. Mais y’a personne avec qui je suis assez proche pour appeler comme ça, sans prévenir.)
(Si y’a bien quelqu’un que je considère comme un ami, c’est Morisawa. Mais si des gens nous voyaient ensemble, ça lui causerait un tas de problèmes.)
(Bordel. Je commence sérieusement à me demander si c’était vraiment une bonne idée d’intégrer cette école. J’ai beau être en deuxième année, j’arrive toujours pas à m’intégrer.)
(Bien sûr, ça reste toujours mieux que le collège, dans le temps où je traînais avec des mecs dangereux et que je me retrouvais embarqué dans des affaires pas nettes…)
(Enfin, si ça me permet de faire de mal à personne, c’est pas si mal d’être tout seul.)
Tumblr media
Kaoru: Hééé, Kiryuu-kun !♪
Woah, woah, qu’est-ce que tu fais ici ? T’as pas l’air dans ton assiette~ Tu t’es fait rejeter par une fille ou quoi ?
Kuro: … Hakaze. T’as pas tout à fait tort.
Kaoru: Je vois, mon pauvre~ Si t’étais pas un mec super baraqué, je me serais fait une joie de te réconforter, Kiryuu-kun.♪
Kuro: J’en veux pas de ton réconfort. M’adresse pas la parole, allez ouste !
Kaoru: Ouah ?! Je me fais chasser comme un vulgaire chien errant… Je pensais pas que tu me détestais à ce point~ Perso, je préférerais être en bons termes avec toi, tu sais.
Si t’étais mon garde du corps, je pourrais me balader à l’école en toute sécurité.
Kuro: Demande à quelqu’un d’autre. Je compte pas être le bouche-trou de qui que ce soit.
Kaoru: C’est justement parce que t’es un homme, un vrai, que c’est toi que je veux et personne d’autre. Mais peu importe, c’est pas comme si j’avais envie de me retrouver impliqué dans ce qu’il se passe à Yumenosaki de toute façon.
Mais avant tout, est-ce que t’es libre là maintenant, Kiryuu-kun ? Une de mes connaissances tient une représentation à la salle de concert, alors je me demandais si tu voulais qu’on y fasse un tour ensemble.
Allez, c’est moi qui paie ! Estime-toi heureux, c’est rare que je fasse une fleur pour un homme, tu sais~♪
Kuro: Mmh… C’est pas comme si j’avais quoi que ce soit de mieux à faire, alors j’veux bien passer un peu d’temps avec toi.
J’entends une voix assez énergique venant de l’intérieur. Hé, ce serait pas Morisawa ?
Kaoru: Morisa-qui ?
Enfin bref, si t’es d’accord, alors suis-moi.
Contrairement au cursus d’idoles de Yumenosaki, les hommes et les femmes sont les bienvenus dans cette salle de concert~ Peut-être ferons-nous une rencontre intéressante.♪
Lieu : Salle de concert souterraine
Tumblr media
Kaoru: Mon Dieu… C’est encore plus bruyant que ce que j’imaginais.
(Qu’est-ce que ça signifie ? La foule est si dense que c’en est presque impossible de bouger…)
(Si je me retrouvais accidentellement collé à une fille ça me gênerait pas du tout, mais jusque là j’ai vu quasiment que des mecs. C’est donc ça, l’Enfer.)
(Mh ? Y a une odeur agréable qui flotte dans l’air…)
Kuro: H-hé, Hakaze ? Tu vas où, comme ça ?
Kaoru: (Sniff, sniff… C’est le genre d’odeur qu’on ne peut avoir qu’en prenant particulièrement bien soin de ses cheveux avec une dizaine de produits de beauté. Je suis persuadé qu’elle appartient à une magnifique beauté japonaise bien propre sur elle. ♪)
Souma: …? Puis-je vous estre utile ?
Kaoru: Hein, c’est un meeec...? Mon odorat me ferait-il défaut ?
Souma: P-pourquoi semblez-vous si desconforté [1]? Estes-vous souffrant ? Votre visage est livide…
Est-ce parce que la populace est dense ; estes-vous cacochyme ?
Si vous le souhaidiez [2], je puis vous raccompagner jusqu’à la sortie.♪
Kaoru: Ah~ Désolé, mais tu pourrais ne plus m’adresser la parole ?
C’est vrai, je ne me sens pas très bien, mais c’est parce que je m’attendais à faire une merveilleuse rencontre, donc je me sens un peu trahi, tu vois~?
Souma: Je vous demande pardon ? Veuillez articuler de sorte à ce que je vous comprenne !
Mon comportement est-il source de vos malheurs ?
Kaoru: Mais pourquoi est-ce que tu continues de t’approcher…
Les hommes, c’est niet, ça m’intéresse pas ! Tu pourras revenir quand tu te seras réincarné en une belle jeune femme. Bye-bye~♪
Souma: C’est vous qui m’avez approché ! Espèce de fripouille mal élevée !
… Ouah ?
Kuro: Ah, désolé. Je t’ai bousculé sans faire gaffe. … J’t’ai pas fait mal au moins ?
Souma: Ah, vous estes le gentilhomme que j’ai rencontré auparavant…
Écartez-vous, je me dois d’abattre mon jugement sur cet homme impudent. Je ne déshonorerais point le clan Kanzaki en fuyant après avoir été insulté de la sorte !
Kuro: J’comprends pas trop ce qu’il se passe, mais tu ferais mieux de te calmer. C’est déjà suffisamment chaotique là-dedans, en plus d’être bondé de monde.
Si quelqu’un se met à agir violemment, y’aura forcément des blessés.
Attends, mais comment on en est arrivés là, déjà ?
Souma: Hélas… J’ignore moi-mesme la raison. Dès que ce gentilhomme est monté sur la scène, un creuset des plus furieux s’est formé.
J’ai l’impression d’avoir été avalé par un tsunami.
Kuro: Un gentilhomme, tu dis… Tiens donc, si c’est pas Sakuma.
Tumblr media
Rei: ♪~♪~♪
Kuro: (Va savoir pourquoi, il est en train de chanter comme s’il vivait sa meilleure vie. Qu’est-ce que la superstar de l’école fait à s’amuser dans un district aussi délabré…?)
Traduction FR : Yunaël
Correction FR : Rewind
Traduction anglaise : Soph
Ancien Français pour dire “découragé”.
Ancien Français pour dire “souhaiter”.
6 notes · View notes