Tumgik
#série du couloir
lours-postal · 1 year
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2023 – 318 & 298
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mochademic · 5 months
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100 Days of Productivity [Day: 51] || 100 Jours de Productivité [Jour: 51]
an endless hallway of windows, the smell of old parchment, clean linen and birdsong, the crisp chilling of your lungs in the morning air.
heyhihello! finally making another one of these posts for the first time in a weeks - it's a little hard to believe it's been that long! after spending some much needed time away with my partner, I've been finishing up the semester & catching up on life post-vacation. I'm very thankful I was able to have that time before diving head first into the last 4 weeks of the year. I completed my very first set of francophone exams, finished a short story that is currently being edited, & picked up one of the most challenging custom projects I've attempted to date. hopefully I can finish the year off strong.
currently listening // Catching On by Elephante, Nevve
un couloir interminable de fenêtres, l'odeur du vieux parchemin, du linge propre et du chant des oiseaux, la fraîcheur de vos poumons dans l'air du matin.
Bonjour ! Salut ! Bienvenue ! Je fais enfin un nouveau billet pour la première fois depuis une semaine - j'ai un peu de mal à croire que cela fait si longtemps ! Après avoir passé du temps avec mon partenaire, j'ai terminé le semestre et rattrapé la vie après les vacances. Je suis très reconnaissante d'avoir pu prendre ce temps avant de plonger tête baissée dans les quatre dernières semaines de l'année. J'ai passé ma toute première série d'examens francophones, j'ai terminé une nouvelle qui est en cours d'édition, et j'ai repris l'un des projets personnalisés les plus difficiles que j'ai tenté jusqu'à présent.
chanson // Catching On par Elephante, Nevve
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kamomille9 · 1 year
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Fanfic Pendranièvre
Avec toutes les fanfictions que j'ai lu sur Arthur et Guenièvre dans l'univers d'AA je me lance enfin !!! Vive KAAMELOTT et mon chéri qui m'a fait découvrir cette série et qui maintenant s'en mord les doigts parce que j'arrête pas de les regarder XD
Bonne lecture à toutes et tous !!
Le Cœur a ses raisons…
Résumé : Après la faute commise par Arthur avec Dame Mévanwi, Guenièvre décide que c’en est trop. Elle veut partir. Pour aller où ? Rejoindre Lancelot ? Certainement pas ! Guenièvre voulait être libre et quel était l’intérêt de quitter l’homme que l’on aime pour un homme que l’on n’est pas sûre d’aimer ? Elle avait besoin de plus de certitudes car tout ce que la Reine de Bretagne avait jamais voulu c’était aimer et être aimer en retour…
Chapitre 1 : l’Annulation
Guenièvre Pendragon pensait avoir une patience et une tolérance infinies. Cependant, même la Reine du Royaume de Logres avait ses limites. Son mari avait joué avec ces limites pendant près de 15 ans et aujourd’hui la jeune femme ne pouvait pas laisser passer cette trahison. La femme d’un chevalier… Mévanwi de Vannes… Cette goutte d’eau avait fait déborder le vase de Guenièvre. Il lui semblait que son cœur, saignant depuis des années de la maltraitance émotionnelle de son mari, avait fini par s’ouvrir en deux. L’air lui manquait terriblement et les larmes coulaient abondamment sur ses joues laiteuses.
La nuit était pourtant calme au château de Kaamelott durant laquelle elle avait surpris le Roi avec sa nouvelle conquête. Recroquevillée dans son lit, elle n’arrivait pas à calmer la tempête qui régnait dans sa poitrine. Elle ne pouvait tout simplement plus supporter sa condition de Reine de Bretagne. Il fallait qu’elle fasse quelque chose, qu’elle se sorte de cette situation avant qu’elle ne meure de chagrin ou qu’elle finisse par se jeter par la fenêtre de sa chambre… Elle y avait tant pensé durant ses dernières années ou le poids de la solitude se faisait de plus en plus oppressant. Seulement, à quoi cela servirait-il ? Arthur lui avait dit lui-même : elle n’était « Rien » …
Lorsque le jour se leva enfin, elle avait pris sa décision : elle ne voulait plus être la femme d’Arthur Pendragon. Elle n’était pas aussi bête que son mari et la cour du château le pensait. Elle savait que ce n’était pas si simple d’annuler un mariage… En tout premier lieu, elle devait se renseigner sur la manière dont elle devait procéder… Les lois bretonnes étaient complexes, elle aurait donc besoin d’un spécialiste pour l’aiguiller discrètement sur la marche à suivre. Elle savait que le Père Blaise se levait toujours très tôt. Elle prit donc le temps de s’habiller d’une robe bleu clair toute simple ne nécessitant pas l’aide d’Angharad. Elle n’avait pas envie de voir son amie et bonniche avant que son plan ne soit mis en marche.
Elle traversa donc le château, rasant les couloirs, ne croisant que les quelques serviteurs s’affairant avant le réveil des bourgeois. Guenièvre finit par atteindre la salle des archives sans encombre. Le Père Blaise était effectivement là, griffonnant sur un parchemin, concentré sur sa tâche. Elle racla légèrement sa gorge afin de signifier sa présence au cureton qui releva finalement le nez de son papelard.
_ Ma Reine !? Il est rare de vous voir ici de si bon matin.
_ Oui… C’est-à-dire que j’avais une question a vous posé plus ou moins urgemment, voyez-vous ? répondit-elle, forçant un sourire sur son visage fatigué.
_ Si je peux vous aider…
_ Il ne s’agit pas de moi mais d’une amie… Elle souhaiterait se renseigner sur comment faire annuler un mariage. Quelles seraient les conditions requises ?
_ Il est très difficile voir quasiment impossible d’annuler une union au royaume de Logres… répliqua le Père Blaise en fronçant les sourcils.
_ Je m’en doute bien ! Mais quels seraient les prérequis ? Peut-être ses raisons entrent-elles dans le cadre de la juridiction !
Le prêtre, outre le fait d’être extrêmement surpris par l’éloquence de sa Reine, commença tout de même à fouiller dans son barda afin de trouver la loi demandée. Il finit par trouver un petit parchemin listant les conditions à remplir afin de rompre une union légitime.
_ Y a-t-il eu bigamie, fraude ou manque de compréhension ?
_ Pas à ma connaissance, accorda Guenièvre, feignant de réfléchir intensément.
_ Il y a aussi la non-consommation de l’union, ajouta-t-il en haussant les épaules.
_ Ce qui veut dire ?
_ Ce qui veut dire que si pour toute raison l’un des époux n’a pas été capable de consommer le mariage, cela peut donner lieu à une annulation.
Les choses de l’amour dont elle avait toujours été privée… Guenièvre ne pouvait pas mieux tomber, elle rentrait pile-poil dans cette catégorie. Néanmoins, il y avait un hic…
_ Comment est-il possible de prouver que le mariage n’a pas été consommé comme vous dites ?
Le Père Blaise fronça à nouveau les sourcils d’incompréhension. Où la reine voulait-elle en venir à la fin ?
_ Je suppose qu’un examen gynécologique effectué par un médecin assermenté, ou ce qui s’en rapproche le plus, prouvant la pureté de la femme devrait suffire.
Guenièvre hocha alors la tête comme si l’information ne lui était pas plus importante que cela…
_ Et une fois les preuves rassemblées, les époux doivent-ils signer un papier stipulant l’annulation du mariage où les preuves suffisent-elles ?
Il se pencha une nouvelle fois sur le texte de loi avant de répondre par la négative. Pas besoin de signer quoique ce soit, l’attestation et le texte de loi suffiront.
_ Je vous remercie Père Blaise de m’avoir accordé un peu de votre temps. Puis-je emprunter cette loi ? Je vous la rendrais très certainement demain après l’avoir montrée à mon amie, s’empressa-t-elle d’ajouter en voyant sa réticence.
_ Bien entendu… mais demain sans faute alors !
_ C’est promis !
La reine pris donc le parchemin, le roula délicatement avant de souhaiter une bonne journée au prêtre. Guenièvre avait bien remarqué les expressions du cureton, elle savait qu’il se doutait de quelque chose et se fit la réflexion de lire attentivement le texte de loi afin de vérifier par elle-même ses dires. Une première étape de franchie, il fallait à présent passer à la suivante… Dans ce château, il n’y avait qu’une personne qui soit familière avec les examens et autres petits bobos de l’assistance : Merlin.
Il était tôt. Le château était encore largement endormi quand Guenièvre atteignit le laboratoire du druide. Elle espérait juste qu’il serait déjà réveillé. Elle frappa donc poliment avant d’entrer doucement dans la pièce. Il n’y avait personne mais elle entendait distinctement des bruits de pas venant de l’arrière.
_ Ma Reine ? Vous êtes bien matinale aujourd’hui !
L’enchanteur remarqua alors le sourire d’agacement se peignant sur son charmant visage.
_ Je sais… J’ai besoin de vous pour une affaire assez délicate…
_ Si cela concerne la magie s’est inutile, il est nul en sortilège ! scanda Elias en débarquant dans la pièce à son tour.
_ Rassurez-vous Elias, ça n’a rien à voir ! rétorqua Guenièvre alors que Merlin ouvrait déjà la bouche afin d’enguirlander son collègue.
_ Ah ? Pourquoi donc avez-vous besoin de moi alors ?
_ Comme je vous le disais c’est assez délicat mais vous êtes la seule personne en qui je peux avoir confiance et dont la déclaration ne pourra être contestée.
Merlin et Elias se regardèrent alors à la fois surpris et curieux. Ils n’osèrent ouvrir leurs bouches, attendant que la reine se décide.
_ Je souhaiterais que vous effectuiez un examen gynécologique.
Les deux hommes ouvrirent grands les yeux.
_ Mais pourquoi donc ? et sur qui ?
_ Sur moi-même, afin de vérifier ma condition d’une part et de lever le doute sur un point en particulier.
_ Sur quel point ? demanda alors Elias, craignant ce que la Reine allait répondre…
_ Ma virginité.
_ Ma Reine… Pourquoi voudriez-vous…
_ Cela ne regarde que moi ! Mais sachez que j’aurai besoin d’une attestation signée de votre main, en fait de vos mains à tous les deux tant qu’à faire, stipulant les résultats exacts de l’examen.
_ Ma Reine… dans quel but voudriez-vous…
_ Ma question est : pouvez-vous le faire ou non ? coupa Guenièvre une seconde fois.
Pour une fois, les deux enchanteurs ne savaient vraiment pas où se mettre et restaient étonnamment silencieux.
_ Dites-le moi tout de suite si vous ne pouvez pas afin que j’aille quérir le médecin du village qui lui saura ! s’exclama-t-elle devant le mutisme des deux acolytes.
_ Très bien, ne vous énervez pas…
Sans un mot, Elias commença par dégager la table de tous les objets s’y trouvant. Ils la nettoyèrent comme ils purent avant de la recouvrir d’un drap et de demander à Guenièvre de s’y allonger.
L’examen ne dura pas si longtemps que cela��: quinze à vingt minutes tout au plus, mais pour Guenièvre, qui n’avait jamais été touchée, il sembla durer une éternité. Pour la première fois, les deux enchanteurs travaillèrent de concert afin d’effectuer leur tâche du mieux possible. Elias utilisa même un ou deux sortilèges afin de confirmer leurs conclusions. Ils devaient se couvrir un maximum et être sûrs de leur résultat si jamais on venait leur demander des comptes. Ce moment gênant passé, ils se penchèrent sur une feuille de parchemin vierge et commencèrent à écrire leurs conclusions.
_ Pouvez-vous en faire trois exemplaires, je vous prie, dont un que vous garderez pour vous ?
Merlin et Elias acquiescèrent d’un commun accord et finalement tendirent à la reine ses deux parchemins attestant de son indubitable virginité.
_ Je vous remercie bien… murmura-t-elle doucement gardant encore quelques instants la tête baissée avant de la relever dignement en sortant du laboratoire.
Une fois partie, Merlin et Elias poussèrent un soupir comme si la pression s’évacuait finalement de leur corps.
_ Ça craint ça… mais là vraiment ! commenta Elias en levant les bras au ciel.
_ Je ne sais pas ce qu’il a bien pu faire cette fois… mais c’était la fois de trop visiblement… ajouta Merlin en s’appuyant sur la table.
_ J’ai toujours dit qu’elle finirait par craquer ! C’est un miracle qu’elle soit restée aussi longtemps vu comment il la traite ! poursuivit l’enchanteur vêtu de noir.
_ Je le sais bien ! Mais malgré tous mes efforts j’ai jamais pu lui faire comprendre à cette tête de mule que Guenièvre était faite pour lui !
Elias leva les yeux au ciel mais préféra ne pas répondre. Jamais au grand jamais le roi n’acceptera ce fait.
En ce milieu de matinée, le château de Kaamelott n’avait jamais paru aussi calme… C’était le calme avant la tempête.
-o-
Voilà pour ce premier chapitre ! j'espère qu'il vous plaira !
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alexar60 · 1 year
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Transylvanie express (Épilogue)
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Tous les épisodes sont disponibles ici.
Audrey sortit rapidement de la gare. Elle attendit avec patience tout en observant les alentours. Elle cherchait du regard quelque-chose de précis. Et ce quelque-chose était un homme, celui qu’elle avait aperçu sur le précédent quai. Il marchait portant un sac à dos, ses mains tenaient les bretelles à hauteur de la poitrine. Il avait un peu moins de quarante ans, elle avait un but.
Elle savait comment faire pour ne pas être repérée, se fondant littéralement dans les murs. Elle n’était plus qu’une ombre se baladant à la vue du soleil et de tous. Aussi, personne ne réalisa que la silhouette noire n’avait pas de propriétaire. Elle suivit le quarantenaire content de rentrer chez lui. Il sifflotait gentiment.
Le reste de la journée se passa sans qu’il n’aperçoive la jeune femme. Elle resta cachée dans une armoire puis dans un coin de la chambre. Elle attendit patiemment, écoutant les discussions plus ou moins personnelles. Elle s’imprégna de sa vie, de sa famille. Il était marié et avait deux beaux et jeunes enfants. Lorsque son épouse partit coucher les petits, elle approcha avec subtilité, sans faire de bruit. Confortablement installé dans son canapé, il était passionné par le film, une vieille série noire déjà vu maintes fois.
Lentement, elle se positionna dans son dos. Puis elle approcha la tête afin d’humer le parfum de sa prochaine victime. Soudain, le froid l’envahit. Dès lors, il tourna la tête pour vérifier que la porte-fenêtre du balcon était bien fermée. Il entendit sa femme raconter une histoire aux enfants avant de se reconcentrer sur la télévision. Elle s’imprégna de son odeur. Alors, elle comprit pourquoi il était si attirant. Puis, elle retourna dans la chambre du couple.
La patience demeurait être son fort. Elle attendit qu’il se couche. Il embrassa sa femme puis il s’endormit. Elle maudit l’épouse pendant sa lecture, laissant logiquement la lumière allumée. Elle attendit une petite demi-heure, le temps d’un chapitre ou deux. Enfin, la nuit entra dans la pièce. Aussitôt, elle sortit bien qu’elle savait que la rivale ne dormait pas encore. Mais ce n’était pas grave. Elle approcha doucement de l’homme, absorba de nouveau son odeur. Et assurée qu’il était dans un profond sommeil, elle s’allongea lentement contre lui, pour entrer dans son rêve…plus précisément, pour diriger son rêve.
Il savait que le château était ensorcelé ; il était là pour vaincre une malédiction. Il marcha dans les couloirs à la recherche d’un démon. Juste avant, il avait ordonné à ses hommes d’occuper les lieux. Certains surveillaient les jardins pendant que d’autres inspectaient les salles. Il se retrouva seul après avoir grimpé des escaliers. Une porte l’intrigua car il ne l’avait pas vu durant son dernier passage. Du coup, il l’ouvrit rapidement s’engouffrant brutalement dans une chambre.
Il n’y avait rien de dangereux. C’était une banale pièce comme on en trouvait dans les musées. Quelques tableaux accrochés aux murs décoraient l’endroit. Une jeune femme dormait sur un lit, tournant le dos au visiteur. Il approcha, admira ses cheveux bouclés. La couleur châtain, l’odeur de lilas et de caramel n’étaient pas commune. Au contraire, elles ravivèrent de vieux souvenirs. Alors, il se permit d’admirer le visage de la dormeuse. Il resta stupéfait en reconnaissant une amie d’enfance.
-          Marina ? C’est bien toi ? s’exclama-t-il.
Elle ouvrit lentement les paupières, puis elle releva la tête. Un sourire éclatant se figea sur son visage blanc. Il avait toujours aimé ses yeux bleus. Il avait craqué pour elle à cause d’eux quand ils étaient au collège. Elle tendit les bras pour réclamer un câlin.
-          C’est toi, Maël ? Tu es venu me sauver ? demanda-telle avant d’ajouter : Serre-moi dans tes bras, j’ai si froid !
Dès lors, il s’exécuta constatant que sa peau était glacée. Ils restèrent enlacés pendant un long moment. Elle sanglotait, murmurait des mots doux. Elle se confiait en parlant de ses inquiétudes. Il répondait qu’elle n’avait rien à craindre. Alors, elle l’embrassa, d’abord sur l’épaule, puis sur maladroitement sur le menton. Son geste rappela à Maël un souvenir égaré dans sa mémoire tout en réveillant le désir.
Désormais, il était à sa merci. Elle avait déjà oublié Yannick Ridel. Il n’avait été qu’un moment, une victime qui s’en est sorti. Parce qu’elle a voulu l’épargner. Il n’avait pas été le premier pour qui, elle ressentit de l’amour. Et il sera vite oublié dès qu’elle aura goûté à cet homme.
Lentement, elle déshabilla Maël, tâtant ses muscles, écoutant les battements de son cœur, et frôlant du bout des doigts les principales veines  de son cou, la partie la plus sensible et la plus charnelle. Elle embrassa son amant qui s’évanouit de plaisir. Elle le caressait, le suçait, elle jouait avec lui de haut en bas.
On ne voyait rien dans l’obscurité. La femme de Maël s’endormit sans remarquer la présence fantomatique d’un succube. Le monstre grimpa sur son mari. Elle le caressa du bout de ses griffes, elle avança la bouche faisant sortir une langue de serpent. Tout –à-coup, elle s’étendit entièrement sur son buste pressant ainsi ses poumons. Il n’arrivait plus à respirer. Alors, elle ouvrit la bouche pour aspirer lentement la petite flamme à l’origine de son âme.
Dans son rêve, l’amour se déchainait dans une passion torride. Maël réalisait qu’il était encore amoureux de Marina, et enfin, il pouvait l’aimer. Tantôt, elle le dominait, tantôt c’était lui qui gérait les ébats. La passion dictait le songe jusqu’à ce qu’il découvre qu’il n’avait plus de jambe. Son corps avait fusionné avec celui de Marina ! Immédiatement, il hurla cherchant à se débarrasser d’elle. Mais elle riait, continuant à le baiser. La peau de la jeune femme s’écailla, une odeur putride remplaça le parfum de lilas et caramel. Il hurla, hélas, rien de sortit de sa bouche. Plus il paniquait, plus il criait et plus il suffoquait. Il chercha un peu d’air, écartant les lèvres. Il exposa son cou, elle en profita de suite.
Ses dents déformées et pointues arrachèrent la gorge du malheureux. Le sang gicla sur le lit, sur le visage du monstre et sur les murs. Elle se délectait de cette vie prise. Il n’était pas question qu’il résiste ni qu’elle le prenne en affection. Il était question de faire son job ; il était condamné, et elle était venue pour la sentence.
Maël ne bougea pas, il ne sentit pas le poids du succube sur son ventre. Elle inspira la dernière étincelle de vie. Il mourut enfermé dans son cauchemar. Elle resta encore quelques instants allongée sur le corps encore chaud de sa proie. Audrey reprit lentement forme humaine tout en restant invisible aux yeux de la femme qui dormait toujours. Elle l’observa un peu.
-          Tu vivras encore longtemps, susurra-t-elle.
En réponse, la veuve soupira tout en restant endormie. Alors, le succube se releva et glissa jusqu’à la porte. Elle traversa l’appartement et sortit, pleine d’énergie, heureuse d’avoir le goût de la vie sur le palais. Elle marcha dans la rue. Curieusement, son ombre n’apparut pas sous la lumière d’un lampadaire. Elle  regarda le ciel. Elle sourit, elle avait oublié Yannick qui lui avait donné tant de mal et tant de plaisir. Elle s’éloigna du lieu de son crime. Étrangement, elle n’aimait pas voir les cadavres froids au matin. Plus tard, Maël sera déclaré décédé à cause d’une embolie pulmonaire.
Pendant ce temps, notre héros éteignait la lumière de son nouveau logement. C’était une chambre dans un dortoir. Il venait d’écrire le premier chapitre d’une nouvelle sur son ordinateur : Ses mémoires de voyage à bord de l’express du Transylvanie.
Fin
Alex@r60 – février 2023
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putainsoumise · 10 months
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2ème partie 1ère rencontre d'une longue série Stephane a Disposition
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J’étais gèné qu’elle s‘en soit aperçu. Je ne savais pas quoi répondre et je n’ai pas eu le temps de lui répondre, qu’elle me dit de lui retirer sa chaussure… Elle me tend son pied et je lui retire sa chaussure. Elle commence par faire glisser lentement son pied entre mes cuisses… tout en remontant elle insiste et en appuie sur mon sexe quelques secondes… puis continue et remontant encore… jusqu’aux tétons qu’elle pris soin d’exciter avec son orteil… elle joue quelques instant avec les pinces qui me font de plus en plus mal… pendant ce temps son autre pied se frotte sur mon sexe dressé. Je suis de plus en plus excité. puis elle continue et remonte son pied jusqu'à ma bouche… J’étais prêt à embrasser ou lécher à nouveau quand elle me dit
Suce le Je prends son pied entre mes main et je commence à le lécher
Tu es sourd ? Je ne t’ai pas dit LECHE mais SUCE LE! Je ne suis pas certain de bien comprendre.
Ouvre la bouche J’exécute… et elle me rentre ses orteils dans la bouche puis tout doucement elle les enfonce de plus en plus en faisant de légers vas et viens
Mais tu es une bonne petite salope pour sucer comme ca… continue comme cela et applique toi bien… je sens que tu vas plaire a beaucoup de monde… Après quelques minutes elle retira son pied et me dit Soudain elle me dit
Cela suffit redresse toi et baisse les yeux Elle me passe le collier que j’avais acheté autour du cou, sort de son sac à main une laisse qu’elle accroche à l’anneau du collier. Elle me tient en laisse… elle enfile sa chaussure et me traînant derrière elle nous faisons quelques pas dans le couloir… Sa démarche chaloupée devant moi me met dans un état second… Arrivés au bout de ce couloir nous faisons demi-tour... elle me regarde d’un air amusé puis revenons vers la cabine… arrivé à coté de la cabine elle me demande de me remettre à genoux.
Bon Il faut que je téléphone à des amis… Et puis non tiens c’est toi qui vas appeler… Tu vas tomber sur Anne ou Jacques et tu leur dis que je passerais dans 30 minutes. Mais je te préviens tu ne fais aucune allusion sur quoique ce soit… Tu ne dis que ce que je t’ai demandé. Elle sort de son sac un carnet, le feuillette puis décroche le téléphone, fait le numéro et me tend le combiné. Ca sonne... Une fois… Deux fois… On décroche… c’est Anne
Bonjour Madame… Je suis Stéphane et je vous appelle de la part de Madame XXXX qui m’a chargé de vous prévenir de sa visite, elle sera chez vous dans environ 30 minutes
Ok merci Stéphane Bonne fin de journée au revoir. La conversation a été un peu plus longue mais cela ne présentait pas grand intérêt. Madame me félicita pour cette conversation… puis les événements s’enchaînèrent… Une fois le téléphone raccroché… elle tire sur la laisse et m’entraîne dans les toilettes des femmes… De pire en pire… je ne sais plus quoi faire je panique totalement… Elle ouvre la porte des toilettes pour handicapés (plus large que des toilettes habituelles) et me pousse à l’intérieur… Elle entre et referme la porte en la verrouillant.
Très bien tu me sembles être au niveau de ce que tu m’as dit être… dévoué... obéissant… soumis à souhait mais es tu capable de me donner totale satisfaction ?
Je ne sais pas Madame… je ne sais pas ce que vous attendez de moi
TOUT, je veux tout de toi et que tu me sois TOTALEMENT DEVOUE, que tu obéisses au moindre de mes ordres
Oui Madame, je désire réellement vous appartenir afin de devenir votre esclave et assouvir vos désirs et plaisirs. Elle s’esclaffe et me dit :
PARFAIT, J’AIME CE LANGAGE mais tu as encore beaucoup de chemin à parcourir… Retire ta veste A peine l’avais je retiré et accrochée au porte manteau qu’elle me plaque au mur face contre la paroi… elle se serre contre moi… les pinces touchant le mur me mordent les seins et j’ai de plus en plus mal… Elle me place un foulard sur les yeux… puis elle me retourne… tire la laisse de côté… et je la sens se frotter contre moi… une jambe entre les miennes… son genou remonte entre mes cuisses pour venir appuyer sur mon sexe (en érection depuis longtemps) Elle commence à me palper de partout… serre mes fesses à pleine main… m’enfonce deux doigts dans la bouche en faisant des vas et viens… Puis ses mains descendent sur mon torse, elle joue rapidement avec les pinces puis glisse sur mon ventre et à travers mon pantalon elle attrappe mon sexe à pleine main… Je n’en peux déjà plus… l’excitation est à son comble… je tremble de partout d’excitation et de plaisir... elle me comprime le sexe… m’écrase les couilles… puis elle s’écarte et me laisse ainsi dans un état proche de l’orgasme… elle me dit
Baisse ton pantalon et appuis toi sur la réserve d’eau des toilettes. J’exécute, Je suis maintenant pantalon baissé, le cul nu et offert à ses caprices, ses mains reprennent leur promenade sur mon corps … elle me masturbe avec vigueur 10 secondes puis arrête… elle me presse les couilles de plus en plus fort les tire avant de me caresser l’anus… Elle me demande…
Je continue ou pas ?
Oui Madame, utilisez moi comme vous le désirerez
J’ADORE CELA mais sache que tu peux toujours me dire STOP j’arrêterais… et selon mon niveau de satisfaction atteint tu seras ou ne seras pas mon esclave c’est à toi de voir !
Oui madame Elle est derrière moi… Je lui tourne le dos… mais je l’entends fouiller dans son sac… sans rien voir de ce qui se passe… puis après quelques secondes… je sens un corps froid glisser sur mon anus… puis se faire insistant… puis se retirer… puis de nouveau se faire de plus en plus insistant… puis me forcer… de plus en plus fort… Puis me pénétrer d’un coup et d’une telle force que j’en vacille… de douleur… la douleur et le plaisir mélangés me font perdre mes moyens. Je ne le saurais que plus tard mais en fait elle vient de me sodomiser avec un plug ENORME… qui de plus s’avèrera être vibrant. Mais pour le moment elle n’a fait que de me le mettre violemment avec des vas et viens de plus en plus profonds
SUPERBE, de plus tu es vraiment une bonne salope et tu prends bien Cela me plait énormément… Retourne toi et mets toi à genoux. J’exécute. Elle me guide la tête sur son sexe et me demande de la lécher. Elle me plaque la bouche sur son sexe …
Allez lèche moi et correctement petite salope Je m’y emploie du mieux que je peux… elle m’empoigne par la tête et me guide pour son plaisir. Mes lèvres s’abîment sur son sexe … ma langue la pénètre et la lèche en douceur… je fais de mon mieux… Son goût est sucré… Son odeur suave… je suis son objet de plaisir. Je parcours les plis et les replis de son sexe… elle guide ma bouche… j’excite son clitoris… je l’entends gémir… Elle laisse à peine suinter son nectar dans ma bouche et d’un coup me rejette en arrière…
Stop ca suffit. Je l’entend baisser l’abattant des toilettes et me dit assieds toi sur les toilettes J’exécute je m’assieds… je sens le plug me pénétrer encore plus profondément. Elle m’enfile un préservatif puis elle vient s’empaler sur mon sexe qui n’en peut plus d’être en érection. Elle s’enfonce mon sexe en elle… Elle se pénètre sur le gode vivant que je suis devenu…elle s’excite elle même à son rythme avec les mouvements qui lui plaisent… je suis au bord de l’extase… Elle me viole… et je ne suis plus que son jouet sexuel à sa merci… quand enfin elle jouit en lâchant des gémissements de plaisirs. Je n’ai pas éjaculé mais le plaisir est intense… je reste tendu et cela m’en fait mal. Je n’en puis plus j’aurais tellement aimé l’accompagner dans ce plaisir. Elle se dégage. Je prends mon sexe en me caressant pour me masturber et en finir quand je reçois une gifle magistrale
Qui t’a permis de te branler ? espèce de sale petite pute… tu te prends pour qui pour décider de toi même ? Je ne sais plus ou me mettre… elle me lance
Ne recommence jamais à prendre des initiatives de ce genre. Tu veux être mon esclave … A partir de maintenant tu l’es, je t’ai pris donc je te possède. A partir de maintenant je ne tolèrerais plus aucun écart que cela soit bien clair. Habilles toi. Cela suffit pour l’instant je n’ai pas de temps à perdre… j’ai rendez vous… et puisque tu n’as rien à faire tu vas m’accompagner.
Oui Madame Sans rien voir venir je me prends à nouveau une gifle magistrale…
MAITRESSE... Tu es idiot ou quoi ? je viens de te le dire. A présent je suis TA MAITRESSE tu n’as pas compris ou quoi ? J’exige que tu utilises ce terme systématiquement à chaque fois que tu t’adresse à moi… sauf quand je t’appellerais Stéphane face à des gens non initiés… dans ce cas tu me diras Madame. Est ce bien clair salope
Oui Maîtresse
Parfait … Tout à l’heure tu as appelé chez Anne et Jacques… nous y allons ensemble… Mais j’exige une discrétion absolue, je ne veux aucune allusion sur notre relation Maîtresse Esclave c’est compris ? Ce sont des amis qui ne pratiquent pas, donc si on te questionne tu te présenteras comme une connaissance de travail, point barre. A la moindre incartade de ta part tu en subiras les conséquences Est ce bien clair
Oui Maîtresse
Bien, avant d’y aller je veux que tu mettes ton carcan a pointe il faut que je vois cela… Je sors donc le carcan que je le fixe sur mon sexe encore en érection… Les pointes me mordent mais c’est supportable.
Très intéressant… Regarde moi Je lève la tête elle me fixe droit dans les yeux et je sens sa main empoigner le carcan en le serrant… Elle serre de plus en plus fort tout en me regardant fixement. Arrivé à un certain stade la douleur se fait trop grande et je grimace de douleur… Elle sourit avec un petit air de satisfaction sadique
Tu me plais quand tu grimaces. J’aime que tu souffres par et pour moi. Bon habille toi nous y allons Je remonte mon pantalon et je m’habille. Elle détache mon collier et le range dans son sac. Nous sommes remontés et nous partîmes chez ses amis Anne et Jacques.
Cette première rencontre a été le début d'une relation éducative qui a duré plus de 2 ans et le début d'une grande aventure qui a suivi
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mokarosenoire · 11 months
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À partir du 6 juillet 2018, la diffusion d'émissions télévisées commencera sur AT-X, TOKYO MX, KBS Kyoto, TV Aichi, Sun TV, TVQ Kyushu Broadcasting, BS 11
【Diffusion de l'information】 AT-X: tous les vendredis de 20h30 à 21h00 à partir du 6 juillet Broadcasting Diffusion répétée disponible TOKYO MX: tous les vendredis du 6 juillet 22h30-23h00 KBS Kyoto: tous les vendredis de 24h30 à 25h00 à partir du 6 juillet TV Aichi: Tous les vendredis du 6 juillet 27: 05 - 27: 35 Sun TV: tous les vendredis de 23h30 à minuit tous les vendredis du 6 juillet TVQ Kyushu Broadcasting: Du 7 juillet tous les samedis 26: 25 ~ 26: 55 BS 11: Tous les vendredis du 6 juillet de 27h00 à 27h30 ※ Il est possible que la date et l'heure de la diffusion soient modifiées sans préavis.
【Introduction】 Une jeune fille, Rachel, qui s'est réveillée au plus bas niveau dans le sous-sol du bâtiment. Elle a perdu la mémoire et ne pouvait pas comprendre pourquoi elle était là. En montant les étage, apparaîtra devant elle dans le bâtiment du meurtrier connu sous le nom de Zack muni d'une Faux comme un shinigami, son visage couver avec des bandage. "S'il vous plaît exaucez mon souhait ... s'il vous plaît, s'il vous plaît, tuez-moi" "Si nous sortons d'ici ensemble, je te tuerais." Leurs liens étranges approfondissent leurs "serments". Où suis-je censé être? Dans quel but? Quel destin les attendent? Deux couloirs de la mort pour échapper à un bâtiment scellé a commencé ... ...! 【Le personnel】 Original: Makoto Sanada (Magazine du jeu) Directeur: Kentaro Suzuki Composition de la série: Fujioka Bikkyo Design de personnage · directeur de dessin total: Matsumoto Miki Directeur artistique: Wei 斯 曼 (Studio Chulip) Couleur: Kana Tanabe Directeur de la photographie: Akihiro Takahashi Edit: Yuji Kondo (REAL-T) Directeur Acoustique: Miwa Iwami Effet acoustique: Kayama Oyama Musique: Eiki Sakamoto (Cape bruyante) Production musicale: Lantis Production d'animation: J.C.STAFF Production: Comité de production "Angel of Slay"
OP Thème Song: "Vital" Masaaki Endo Chanson thème ED: "Pray" Rachel (CV Chikasa Haruka) 【Cast】 Rachel CV: Haruka Chisuga Zack CV: Nobuhiko Okamoto Danny CV: Takahiro Sakurai Eddie CV: Natsumi Fujiwara Cathy CV: Mariya Ise CV Gray: Yoshitada Otsuka 【アニメ公式サイト】satsuriku.com 【公式Twitter】@strk_tenshi ゲームマガジン 好評配信中 対応機種:Windows ジャンル:サイコホラーADV https://gamemaga.denfaminicogamer.jp/satsuriku/ Application pour smartphone uniquement diffusée Système d'exploitation pris en charge: iOS 10.1 ou version ultérieure, Android 6.0.1 ou version ultérieure terminal compatible: iPhone 5s ou version ultérieure https://gamemaga.denfaminicogamer.jp/satsuriku/lp.html © 2018 Makoto Sanada / Vaka · DWANGO · KADOKAWA / Comité de production «Ange du Slay»
-Haruka Chisuga : n'a fait aucun perso que je connais, mais vous en connaîtrais surement vous!
-Nobuhiko Okamoto : a fais, musashi de shugo chara - Narunosuke de Bleach - Ryo Takiguchi de Durarara!! - Takumi Usui de Maid Sama! - Dagger de Black Butler: Book of Circus - Yuu Nishinoya de Haikyū!! - Karma Akabane de Assassination Classroom - Katsuki Bakugo de Boku no hero académie - Gladion de Pokemon lune et soleil et  Rei Ogami de Code:Breaker
-Takahiro Sakurai : a fais, Claude Faustus de Black butler - Izuru Kira de Bleach - Kururugi Suzaku de Code Geass - Sting Eucliffe de Fairy tail - Izumo Kusanagi de K project et Sasori de Naruto Shippuden
-Natsumi Fujiwara : a fais Emiru Niikura, Ariel, Kōki Hatori, l'un des enfant dragon de Mahou tsukai no yome - Tooru Mutsuki de Tokyo Ghoul:re
-Mariya Ise : a fais, Riku de eyeshield 21 - Sora Egami de La Fille des enfers - Levy Macgarden, Roméo Combolto de Fairy Tail - Mika Harima de Durarara!! - Kirua de Hunter × Hunter - Legu de Made in Abyss et Antarcticite de L'Ère des Cristaux
-Yoshitada Otsuka : a fais, Kikuji Banchō, Shōichirō Hitomi, Takehiko Hitomi, Katsuo Nabeshima de Détective Conan - Narrateur de Durarara!! - Abuto de Gintama - Jiraya de Naruto - Little Ogre de Soul Eater - montblanc norland de one piece - Tenkei Iwafune de K project
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davidfakrikian · 1 year
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DVDvision - La Collection Épisode 3
L'histoire de DVDvision vol.1 continue ! Et voici l'épisode 3 de la série, quand le magazine commence enfin à prendre forme !
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La couverture A de DVDvision 3 initialement prévue.
Numéro 3 - Février 2000 - 
100 pages
Editeur : Seven Sept
Directrice de publication : Véronique Poirier 
Rédacteur en chef : David Fakrikian
Rédacteurs principaux : Yannick Dahan, Christophe Lemaire, Stéphane Lacombe, Jean Sébastien Decamp, Fathi Beddiar, Benjamin Rozovas, Rafik Djoumi, Patrick Nadjar, Nicolas Rioult, François Jamin.
Sommaire : La trilogie Die Hard, le premier Matrix sous influences, Charlie Chaplin, Fantomas, Clair de Lune.
DVD : Collector Matrix / Die Hard, conception par Christelle Gibout.
Notes : Le numéro qui nous a fait faire un grand pas vers la formule idéale du magazine. On y retrouve, sous une forme ou une autre, les bases et graphismes de toutes les rubriques qui feront l'identité de DVDvision tout au long de son existence, même si rédactionellement, le contenu est loin d'être abouti. 
Fort du succès des ventes, l'éditeur Seven Sept décide de poursuivre l'aventure. Eh oui, DVDvision se serait arrêté au n°2 (le 3ème en comptant le hors-série James Bond 007), si les ventes n'avaient pas été au rendez-vous ! Suite au non renouvellement de contrat "terminated" de l'équipe graphiste précédente, nous avons droit à un véritable défilé de candidats à la direction artistique au cours du mois de janvier 2000, mais sans parvenir à trouver la personne adéquate.
Seven Sept m'allège d'une grande partie du travail, en embauchant Christelle Gibout pour s'occuper du DVD offert dans chaque numéro. Christelle est historiquement après moi la deuxième salariée du magazine. Tout à coup, il n'y a plus un seul bureau dans le couloir devant les toilettes de Seven Sept, mais deux. Et je dois dire que ça fait du bien. Tout d'abord parce-que c'est plus agréable d'avoir une belle blonde en face de soi plutôt qu'un mur toute la journée, mais aussi, parce-que c'est la première d'une longue série de collaboratrices intelligentes, efficaces et compétentes dans l'histoire de DVDvision, qui va rapidement devenir un magazine avec un fort pourcentage de femmes à des postes-clefs, chose que certains lecteurs me reprocheront souvent par courrier interposé. 
La valse des candidats continue, sans qu'on trouve chaussure à notre pied, et nous finissons par dire oui à un directeur artistique par défaut, alors que le temps pour maquetter le magazine arrive a terme (il reste à peine 10 jours avant de boucler), et qu'il n'y a plus le choix.
Suite à l'entretien final avec ce D.A., un dernier candidat se présente dans nos bureaux sans prévenir, à 17h30. Il a entendu dire qu'on cherchait un D.A., mais là, c'est trop tard. On lui dit, mais il insiste. Tout d'abord, avec Véronique, on a envie de le reconduire, mais je me dis que peut-être... qui sait ? Au pire, on perd 20 minutes. On accepte donc de le recevoir. Son nom est Philippe Lambert, et son pitch nous séduit tellement, que nous déchirons sur le champ le contrat du directeur artistique précédent (qui n'aura donc jamais travaillé sur le magazine !), et commençons de suite le lendemain avec Philippe Lambert la course contre la montre, à peine une semaine avant la date limite !
Bien que son passage ait été court sur DVDvision, le rôle qu'a joué Philippe Lambert dans le lancement du magazine a été déterminant : c'est le premier graphiste qui comprend où je veux en venir, et matérialise ce que j'ai en tête, professionnellement et sans fioritures. Tout en faisant d'excellentes suggestions, fort de son expérience... De plus, il amène une autre collaboratrice, Paola Boileau (fidèle de Christophe Gans depuis l'époque Starfix, et directrice artistique du magazine HK), pour l'assister dans son travail. L'ADN de Starfix et HK, par ricochet, s'injecte dans le magazine, qui prend aussitôt une tout autre tenue, plus proche de ce que j'avais en tête au départ.
Cette combinaison de talents va payer, même si nous allons être pris par le temps. Ce numéro est en effet conçu et maquetté du lundi, au mardi de la semaine suivante, week-end inclus ! Et puisque je suis atteint de James Cameronite aiguë, j'ai en plus décidé d'augmenter la pagination à 100 pages, et de passer au dos carré, pour simplifier les choses ! On décide aussi avec l'éditeur d'insérer le DVD à l'intérieur du magazine, et de ne pas le cellophaner, ce qui permet de le feuilleter avant de l'acheter, une décision qui va faire monter encore plus les ventes (et éviter les problèmes comme avec le numéro précédent, où des gens ont cru acheter le film La fin des temps pour 5,95 €).
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La couverture B finale, intervertie avec la A en dernière minute.
In extremis, Véronique suggère de changer la couverture, peinte par Joel Casano (HK), et de remplacer Carrie-Anne Moss, initialement prévue, par une photo de Keanu Reeves qui était à l'origine située en page 73, pour le sommaire du cahier multi-media. On a un gros débat sur le sujet, puisque clairement, Carrie-Anne Moss est le mec dans le film, et Véronique tout comme moi, aurait préféré la garder elle en couverture. Mais Véronique a le feeling que le public va plus répondre présent si Keanu est en couve, (c'est après tout, le héros principal du film). La couverture originale se trouve du coup déplacée page 73, où était la couve finale avant !
La suite va lui donner raison. A sa sortie, ce numéro, (qui comprend dans son DVD un making-of de Die Hard 3 truffé de scènes coupées, et toujours inédit à ce jour, mais dont vous pouvez revoir un condensé sur notre chaîne YouTube), explose tous les records de vente précédents, montant à 32 000 exemplaires vendus sur les 50 000 du tirage ! C'est 64% de ventes, là ou les journaux se vendent au mieux à 35%, et montent au maximum à 60%, uniquement quand par exemple Grace Kelly meurt et fait la couverture de Paris Match. Je ne sais pas si vous imaginez, mais c'est le genre de truc qui est absolument impossible sur un nouveau magazine. Et toute la profession, qui nous prenait jusque là pour des fous, (parce-que à ce moment-là, le DVD est encore regardé par tout le monde comme un marché de niche pour les geeks comme le Laserdisc, et qu'ils pensent tous que "jamais ça ne remplacera la VHS parce-que ça n'enregistre pas"), commence tout à coup à nous prendre TRÈS au sérieux...
La citation de ce numéro : "Ça commence a ressembler à un magazine !"  (David Martinez - Février 2000)
copyright © David Fakrikian 2006-2008 / DVDvision.fr
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lifextime · 10 months
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20 anecdotes sur " The MAW"
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Dernière partie sur ma série des anecdotes & théories concernant le jeu " Little Nightmares". Dans cette partie là, nous allons aborder " The MAW" (déjà mentionné dans les articles précédents), qui est le lieu central ou se déroule l'intrigue du premier opus.
Le nom du navire “Maw” dans le jeu fait référence à la bouche (mouth en anglais), symbolisant la voracité et l'appétit insatiable des personnages du jeu.
Certains joueurs ont établi des connexions entre le Maw et des thématiques sociales contemporaines, comme la société de consommation excessive et l'exploitation des plus faibles.
The Lady est considérée comme la propriétaire du Maw, le navire étrange dans lequel se déroule l'histoire du jeu.
The Maw est le principal cadre du jeu Little Nightmares. C'est un navire gigantesque et sombre, qui sert à la fois de maison et de prison pour de nombreux personnages.
Le Maw est composé de différentes zones, chacune avec son propre thème et ses propres défis. Parmi elles, on trouve la cuisine, la chambre d'hôtel, la salle à manger et le repaire de The Lady.
Le bâteau est un lieu cauchemardesque où règne une atmosphère oppressante et sinistre. Il est rempli de pièges, d'énigmes et de dangers mortels qui mettent à l'épreuve les capacités des joueurs.
Certains joueurs ont découvert des objets et des environnements qui semblent hors du temps, suggérant que le Maw pourrait exister dans une réalité alternative ou un univers parallèle.
Le Maw est habité par divers personnages étranges et déformés, chacun ayant sa propre histoire et son rôle dans la dynamique de ce lieu étrange.
Il est conçu de manière à créer un sentiment constant de claustrophobie et d'isolement. Les espaces sont souvent confinés, les couloirs sont étroits et sombres, et il y a peu de zones ouvertes.
Le navire est en constante évolution, avec des pièces et des éléments architecturaux qui se déplacent, se transforment ou se déforment, ajoutant à la nature changeante et imprévisible de cet environnement.
Les noms des ennemis dans le jeu, tels que le chef cuisinier appelé “The Janitor” ou les jumeaux cuisiniers nommés “The Twins”, reflètent les rôles qu'ils jouent dans le fonctionnement du Maw.
Les développeurs ont soigneusement conçu les décors du Maw pour créer une esthétique unique et inquiétante, combinant des éléments industriels, des objets de la vie quotidienne et des éléments grotesques pour créer une atmosphère dérangeante.
Certains fans ont remarqué des références à l'histoire de la Seconde Guerre mondiale dans le jeu, comme des uniformes militaires et des masques à gaz, suggérant que le Maw pourrait être une métaphore des horreurs de la guerre.
Le Maw est une métaphore de la société consumériste et oppressante, où les personnages sont réduits à des objets ou à des marchandises et où la quête de pouvoir et de contrôle est dominante.
Certains décors du jeu sont inspirés de lieux réels, comme l'escalier en colimaçon de l'hôtel de ville de Stockholm, qui a été utilisé comme référence pour créer les escaliers du Maw.
C' est un endroit où règne la faim insatiable. La nourriture est un thème récurrent, avec des repas extravagants et des personnages qui se livrent à des actes cannibales.
Le Maw est également un lieu de désespoir et de désolation, où les personnages semblent piégés sans espoir d'échapper à leur destin funeste.
Les environnements du Maw sont remplis de détails visuels et sonores subtils qui racontent des histoires implicites sur les événements passés et les souffrances endurées.
Le Maw est un lieu où la peur et la tension sont omniprésentes, avec des moments de fuite, de cachette et de poursuite qui maintiennent les joueurs sur le qui-vive.
C' est également un endroit où les joueurs doivent résoudre des énigmes et surmonter des obstacles pour avancer, ajoutant une dimension de réflexion et de stratégie au gameplay.
Les différents niveaux du Maw sont conçus de manière à créer une progression dans l'horreur, avec des dangers de plus en plus intenses et des révélations choquantes au fur et à mesure de l'avancement du jeu.
Le Maw est en quelque sorte un personnage à part entière, avec sa propre personnalité et son impact sur les personnages et les événements du jeu.
Certains fans ont établi des liens entre les symboles et les motifs récurrents dans le jeu, tels que l'œil et les masques, suggérant des thèmes de surveillance, d'identité dissimulée et de manipulation dans le Maw.
Certains joueurs ont interprété le Maw comme une représentation de l'inconscient collectif, avec ses symboles et ses horreurs reflétant les peurs et les obsessions humaines les plus profondes.
Les développeurs ont inclus de nombreux détails cachés et des easter eggs dans le Maw, incitant les joueurs à explorer et à découvrir des secrets supplémentaires sur cet environnement mystérieux.
Le Maw est régi par ses propres règles et lois, créant un système de pouvoir et de hiérarchie entre les personnages qui y résident. Les plus faibles sont souvent exploités et opprimés par les plus forts.
Les joueurs peuvent découvrir des salles secrètes et des passages cachés dans le Maw, offrant des raccourcis, des objets cachés et des éléments supplémentaires de l'histoire du jeu. Ces découvertes encouragent l'exploration et la curiosité.
Le Maw peut être perçu comme une allégorie de la condition humaine, explorant des thèmes tels que l'oppression, la perte d'identité et la lutte pour la liberté.
Les environnements du Maw sont souvent délabrés et en état de décomposition, renforçant l'idée d'une société en déclin et d'une humanité corrompue.
Le Maw représente un monde inversé où les normes et les valeurs sont distordues, créant une atmosphère de distorsion et de désorientation pour les joueurs.
Sources :
Wikia / Vikan Gaming / Reddit
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sassenashsworld · 1 year
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Veux-tu être mon Valentin?
[N’intègre pas vraiment la série The Path of the Private, mais un spécial St-Valentin pour mon détective préféré. J’avais pensé faire un one-shot complètement hors-série mais je pense qu’il serait intéressant de voir la réaction de Silver à une prospect pour Nick Valentine. Il n’y a pas qu’elle qui peut torturer les autres mouahahaha]
Nous sommes revenus à Diamond City en route pour le château. Nora veut aller vérifier comment en est l’entrainement des nouvelles recrues sous le commandement de Ronnie, mais elle voulait pouvoir se reposer un peu au Home Plate avant de retourner sur la route. Pour ma part, je profite de notre temps en ville pour me mettre à jour avec l’agence, mais Ellie n’a aucun nouveau dossier pour moi. Je lui confie ma part de capsule gagnée en compagnie de Nora et elle met la bourse dans son tiroir.
« Piper vient me chercher dans moins de quinze minutes pour passer la soirée au Dougout. Travis et Vadim veulent planifier la soirée de la St-Valentin pour les célibataires de la ville et je fais partie du comité. »
« En tant que célibataire ou tout ce temps passé en compagnie de nos amis a payer quelque part? »
Ellie se contente d’un petit gloussement mais je décide de continuer de respecter sa vie privée. Le jour où elle voudra m’en parler, elle le fera. Sa seule et unique relation à cette date s’étant terminée de façon catastrophique (j’ai dû mettre le jouvenceau derrière les barreaux), elle se montre très prudente avant de s’avancer. Je lui fais confiance.
Piper finit par débarquer comme d’habitude telle une tornade dans mon bureau, me salut avec enthousiasme et repart bras-dessus, bras-dessous avec ma secrétaire.
Le calme des plus totale retombe autour de moi dès qu’elles referment la porte. Je m’allume une cigarette en m’assoyant à mon bureau, fermant les yeux un instant pour savourer le silence.
C’est certain que ma partenaire est silencieuse plus souvent qu’à son tour, mais ce n’est pas nécessairement le calme et la tranquillité à chaque pas, au contraire. Nos aventures sont souvent dangereuses, sinon on se retrouve au milieu de dizaines de personnes, au mieux à diriger ou nous consultant, au pire complètement survoltés comme au bar de Sanctuary.
Le silence et le calme ne font plus vraiment partis de ma vie donc et je savoure aussi pleinement ce moment que la cigarette que je grille tranquillement.
Parlant de grillé, ça sent le grillé dans l’air et ça ne vient pas de ma mauvaise habitude. Dans le silence total de l’agence, j’entends autant que je sens le grésillement d’une énergie qui s’accumule autour de moi et j’ouvre les yeux soudainement. Mais que…
Je n’ai pas le temps de me poser de question lorsque je vois un premier arc d’énergie fendre l’air à moins d’un mètre de moi. Je me lève précipitamment et je me lance dans le couloir menant à ma chambre alors qu’une véritable tempête électrique envoie des arcs partout autour d’un point centrale à hauteur d’homme, envoyant voler des dossiers et accessoirement tout ce qui se trouvait sur nos deux bureaux, à Ellie et moi.
Le temps que l’étrange phénomène se développe, il disparait déjà, et le silence revient, aussi plombant.
Puis j’entends un soupire. Le soupire d’une femme.
Curieux, je m’avance prudemment dans mon office pour constater l’état lamentable dans lequel se retrouve la pièce. Tout les dossiers qui ne se trouvaient pas dans un classeur sont maintenant réparties aux quatre coins du plancher, les fans de bureau aussi sur le sol, il y a même un crayon planté dans le mur et mon cendrier a laissé une belle trainée de cendre derrière lui.
Mais ce qui attire le plus mon attention, c’est ce qui se tient à l’endroit exacte où le phénomène a commencé ; une femme me tourne le dos. Je me doute bien que c’est une femme à voir la cascade de cheveux d’or qui lui retombent sous les épaules et le galbe unique de ses jambes qui se dévoilent sous une jupe courte. De hauts talons encouragent ses mollets à garder une forme irréprochable. Lorsqu’elle se tourne dans ma direction, mon cœur s’arrête.
« Jenny? »
« Pardon? »
« Jenny, c’est toi? »
« Ma désignation est X3-42, nommée communément Aiden par mon créateur. »
Je regarde mieux la fille. Non, ma mémoire de Jenny me confirme mon erreur. Ses yeux étaient d’un bleu plus foncé, le blond de ses cheveux plus pâle. Son nez était aussi plus retroussé et ses pommettes plus rondes. La femme qui se tient devant moi semble plus délicate, une ossature qui ressemble beaucoup à celle de Nora avec des traits ciselés, les yeux plus clairs, mais les cheveux plus or brûlés. Ses sourcils presque aussi pâles que ses cheveux sont délicats comme ceux de Nora, se soulevant de surprise en réalisant à qui elle parle.
« Vous… vous êtes l’un de ces synthétiques prototype de la deuxième génération, non? Qui ont une matrice de personnalité permettant le libre arbitre et le développement de la pensée propre? »
« L’un? Je suis le seul et unique qui parcourt cette terre, pour ce que j’en sais. Enfin, je n’en ai jamais rencontré un seul autre. »
« Je n’ai pas assez d’information à ce sujet pour vous confirmer ou vous infirmer s’il y en aurait d’autre. »
Sa voix à quelque chose de très rafraichissant, toute en douceur. Je pensais qu’Irma avait un ton caressant, quoiqu’une voix profonde. Cette Aiden a une voix très caressante mais plus haute perchée. Si elle n’avait pas un accent si tendre, ça pourrait me faire penser à la voix de Nora. Mais Nora a un ton plus cassé et plus souvent qu’autrement sarcastique (au mieux ironique).
La femme brosse son tailleur impeccable qui détonne particulièrement par les jours qui courent. Elle me tend ensuite une main délicate parfaitement bien manucurée. Je tends la mienne maladroitement.
« Valentine, Nick Valentine. Détective privé. »
« Enchantée Monsieur Valentine. Il semble que je sois parfaitement bien tombée, pour une fois. »
Je me rappelle enfin mes manières. Je tire la chaise d’Ellie pour l’inciter à y prendre place. Je n’ai pas encore digéré toute l’information de son arrivée fracassante ni de sa… désignation, mais une chose est certaine, c’est une dame, et elle a droit à des égards.
« Vous… vous êtes… de l’Institut? »
« Une Courser, en effet. Enfin, je l’étais. Merci. »
Elle prend gracieusement place en posant les mains sur ses genoux dans un geste irréprochable. Une véritable lady. Je me laisse retomber dans ma chaise, me sentant infiniment lourdaud autour d’elle. Pourtant, je n’ai jamais vraiment eu cette particularité malgré le poids de ma structure.
« Une ancienne Courser? C’est possible? »
« Seulement avec beaucoup de chance. J’ai réussi à brouiller mon signal et l’Institut est à présent aveugle à mon repérage. »
« Pourquoi avez-vous fait ça? »
Elle soupire comme soupirerait un oiseau, le même soupire de soulagement que j’avais entendu immédiatement après son arrivée.
« J’ai été conçue pour être charmante et amicale envers les sujets qui, rassurées par mes manières peu menaçantes, se laissent plus facilement attraper. Mais la compassion faisant parti de ma programmation, je ne pouvais tolérer de participer aux atrocités qu’on exigeait de moi. »
« Une rare erreur de calcul de la part de nos amis les boogeymans. »
« Loin d’être leur première. Ce sont des humains. Les humains commettent des erreurs. S’ils étaient entièrement efficaces, nous n’aurions pas cette discussion. »
Je réserve mon jugement. Comme elle a si bien soulevé, elle a été conçue pour mettre en confiance et je serais nigaud de tomber dans un tel panneau. Mais pourquoi s’en serait-elle vantée d’emblée? Qu’est-ce qu’elle gagne à me soulever directement qu’elle est l’Ennemi avec un grand E? En attendant de le découvrir, je préfère rester neutre. À défaut, j’offre une cigarette à la dame qu’elle décline poliment.
« Je ne fume pas, Monsieur Valentine. Mais c’est très généreux à vous de me l’offrir. »
« Est-ce que ça vous dérange si j’en fume une? »
« Pas le moins du monde. Je m’introduis chez vous à l’improviste, la moindre des choses est de vous laisser à votre aise. »
Charmante, en effet. Mais j’en connais une autre très charmante. Aussi charmante qu’un serpent. Elle m’a plutôt appris à me méfier des demoiselles qui se pointent à l’improviste dans ma vie, surtout si c’est de manière inopinée. Je m’apprête à continuer tout en douceur mon interrogatoire quand la porte s’ouvre justement sur mon autre moineau. Elle semble toujours castée par la simple pensée, celle-là.
Elle ouvre donc grand la porte, la tête penchée comme si elle était prise dans ses pensées.
« Nick, je pensais à ça et…
Son regard vient de se poser sur mon invitée improvisée et elle a littéralement figé sur place, les lèvres légèrement entrouvertes par sa dernière syllabe. À les avoir à présent toutes les deux dans le visuel, il n’y a plus vraiment de comparaison possible. Oui, elles ont toutes les deux les pommettes hautes, le regard intelligent et des cheveux quand même assez longs et pâles, mais les ressemblances s’arrêtent là.
Aiden fait penser à une institutrice toute en grâce, Nora n’a pas volé son titre de Général. Justement, son regard devient dur comme l’acier en croisant celui doux comme un mouton de la nouvelle.
« Je te dérange… »
« En fait, tu peux peut-être m’aider. Nora, je te présente Aiden. Aiden, voici ma partenaire, Nora. »
« Enchantée madame. »
La synth se lève et tend une main aérienne à mon amie qui la saisit avec une grimace de dédain évident. Je pense que la demoiselle n’apprécie pas de tomber sur une fille visiblement de la haute venue trop tard dans mon logis. En fait, je ne le pense pas, j’en suis certain. La poignée de main dur juste le temps de le dire et Nora rétracte la sienne comme si elle venait de se brûler. L’autre frotte le bout de ses doigts comme si elle venait de toucher quelque chose de sale et je crois que ça n’aide pas du tout à la faire mieux accepter.
« Aiden ici présente semble être venue me retrouver pour un problème, mais elle n’a pas encore eu le temps de l’aborder. »
J’invite les deux dames à prendre chacun un siège. Je suis stupéfait de constater qu’elles ont la même manière de s’assoir. Différentes ou semblables. Est-ce que Nora était comme Aiden dans son ancienne vie? Toute en douceur et en grâce? Je secoue la tête en souriant pour moi-même. Non, je ne crois pas que Nora ait jamais été douceur, même si sa grâce est indubitable. Quelque chose d’un peu brute mais hautain, alors qu’Aiden semble raffinée à l’excès, mais comme si elles étaient du même matériel de base.
Ou peut-être que je les compare parce que ce type de femme ne se croise plus par les temps qui courent. Elles semblent se ressembler tout simplement parce qu’elles ne ressemblent à rien qui a pu être vomit par les terres désolées ces deux cents dernières années? Sûrement.
Une fois les deux femmes installées, je m’allume enfin ma cigarette.
« Donc, commençons par le commencement. Pourquoi êtes-vous venu à moi? »
« Parce que je dois retracer une organisation capable de m’aider à me faire une nouvelle vie. J’ai pensé que le détective le plus célèbre du Commonwealth serait le plus à même de me porter assistance. »
« Le seul » que déclare Nora dans un toussotement.
Je lui lance un regard en coin puis souris à mon haute après avoir recraché ma boucane vers le côté pour ne pas l’envoyer en direction de mon invitée.
« Quel genre d’organisation? »
« Ils se font appeler le RailRoad. »
Et pas besoin d’être détective pour comprendre la tension qui s’empare immédiatement de Nora. D’ailleurs, la nouvelle venue semble le percevoir aussi.
« C’est un heureux hasard que Whisper en personne se présente au moment où j’en requiers l’assistance. »
Quand on parle d’une mauvaise tactique. En tout cas, côté tomber les masques, cette femme est une vraie pro. Comme la pro de la gâchette qui dégaine immédiatement Deliverer et qui le braque en direction d’Aiden, bondissant sur ses pieds.
« Nick! Elle est de l’Institut! »
« Une Courser. Je sais. Elle me l’a dit. Remet ton arme au fourreau. »
Nora me perce de son regard, semblant penser que j’ai complètement perdu la tête. Plutôt que de m’obéir, elle avance dans ma direction dans un geste protecteur sans lâcher sa cible du regard. Ça serait presque attendrissant.
« Silver, couchée! »
Elle grogne mais rengaine finalement. Plutôt que de retourner à sa place, cependant, elle s’assoit sur le coin de mon bureau en gardant les yeux bien fixés sur l’autre femme.
« Je sais que dans la procédure standard, un caretaker aurait pu m’aider, mais j’avoue que ma situation est un peu différente de celle d’un synthétique ordinaire. Tenter de tâter le terrain me ferait voir et connaître et assurément attirerait sur quelques alliés potentiel le courroux de l’Institut. »
« Elle siffle bien, le rossignol » grogne Nora.
« Justement, ne serait-ce que les oiseaux dans le ciel du Commonwealth servent à dessin l’endroit d’où je viens pour me repérer si j’ose me montrer. »
« Pour ça que je les tue à vue » que continue mon amie.
« Alors, qu’attendez-vous de moi? » que je lui demande.
Elle se penche dans ma direction et il m’est donné de constater que son habit a prévu un décolleté très plongeant dans cette position. Je me force à garder mes yeux bien ancrés dans les siens.
« Je savais que votre meilleure amie était un membre important de l’organisation du railroad. J’espérais que vous pourriez m’aider à m’infiltrer dans leurs bonnes grâce. J’ignore si je peux vraiment être sauvée, mais qui n’essayerait pas d’avoir une vie meilleure? »
Nora persiffle en croisant les bras, visiblement irritée.
« Vous en savez, des choses. »
« Depuis que vous avez éliminé Z2-47, vos faits et gestes sont épiés par l’Institut. Il ne leur a pas échappé que vous étiez en contact avec des synthétiques dissidents malgré toutes vos précautions. J’y ai vu une opportunité. »
« Une opportunité? »
« Une opportunité d’échanger en bonne intelligence. Je vous mets en garde, vous m’aidez à m’échapper. »
Nora pose sa main sur mon épaule et je sens dans ce geste la vérité. Elle a peur. Les seuls moments où elle cherche un contact avec moi, c’est pour me rassurer ou pour se rassurer. Si elle pose aussi ostentatoirement la main sur mon épaule devant quelqu’un d’autre, c’est qu’elle se sent au supplice. Ses doigts s’enfonçant dans le replie de mon manteau sont une question.
« Qu’est-ce que tu en penses? »
Je me penche pour retrouver mon cendrier et je me tourne pour y écraser ma cigarette en me tournant vers mon amie. Je lève les yeux sur elle et je fais un léger geste du menton.
« Tu ne sembles pas la sentir. »
Elle se tord d’une légère grimace. Je retourne mon attention sur la nouvelle.
« Vous nous dites que l’Institut garde un œil sur Nora depuis qu’elle a abattu un Courser et en échange, vous voulez qu’on vous révèle des informations sur une organisation ultra secrète. Je ne trouve pas que les plateaux de la balance sont très à niveau sur ce coup-là. C’est évident que l’Institut doit avoir un œil sur Nora depuis qu’elle a abattu un Courser! »
La jeune femme devant moi hoche la tête de compréhension.
« J’ai une liste de synthétiques infiltrés. Pour chaque étape que vous me ferez parcourir vers ma liberté, je vous révélerai un nom. »
Nora toussote.
« Désolé. Je ne crois pas que ça me soit utile. »
« Pas utile de savoir lequel de vos settlers vous vend dès qu’il aperçoit Deacon à Sanctuary? Pas utile d’empêcher les attaques groupées contre vos settlements chaque fois que vous essayez d’approcher l’Institut? »
« Alors là, je pense qu’on a une monnaie » que je soulève.
Et ma Silver qui grince des dents. Elle se lève et se dirige vers la porte.
« Je vais contacter le RailRoad. Nous discuterons de votre cas et ce que nous pouvons pour vous. Préparez votre liste et elle est mieux d’être avérée. »
« Ne doutez pas de ma bonne volonté. »
Nora se tourne vers elle une dernière fois, la main sur la poignée.
« Je n’ai pas besoin de douter ou croire. Si vous osez faire quoi que ce soit qui compromettrait la sécurité d’une personne à qui je tiens, je vous traquerai, je vous trouverai et je vous ferai supplier la mort de venir vous prendre. »
Elle sort sur cette dernière note oh combien joyeuse. Elle a de la prestance, la belle. Je souris quand la porte se referme, puis je me tourne vers l’autre demoiselle.
« En attendant, vous avez fait remarquer que vous promener au grand air ne vous ferait pas le plus grand bien. J’imagine que votre petit tour de magie pour apparaître où vous voulez est plutôt limité, sinon vous seriez apparu directement dans l’organisation, non? »
« En effet. Je ne pouvais me téléporter qu’à partir de l’Institut vers une destination enregistrée. Ne vous en faites pas, j’ai effacé mes coordonnés et personne ne peut savoir que je suis ici. »
« Mon agence est enregistrée? »
« Vous êtes un synthétique très connu. »
Je me renfrogne, me frottant le menton en réfléchissant.
« Je ne suis pas certain que ce soit une bonne nouvelle. Mais en attendant, j’ai cru comprendre que les Gen III sont plutôt similaires aux humains niveau besoin. Avez-vous faim? »
La belle s’étire quelque peu, étouffant un bâillement.
« Je vous avouerais que je viens de passer ces derniers jours à organiser mon évasion sans vraiment dormir. Je serais plutôt fatiguée. »
« Hmm. Je ne suis pas certain que Nora accepterait de vous loger au Home Plate, elle ne semble pas vous blairer. »
Je me lève et lui tends la main, l’invitant à me suivre. Mais plutôt, elle reste la main dans la mienne, me regardant dans les yeux.
« Je vous avoue que je la comprends. »
Je baisse mon regard sur sa main tandis qu’elle fait un autre pas vers moi, souriant légèrement.
« Hm. Je ne sais pas si le Dougout est un endroit idéal pour se terrer » que j’essaie de réfléchir.
« Les rues de Diamond City sont sous le contrôle d’un agent double de l’Institution. »
« Donc pas moyen non plus de vous faire évacuer vers Goodneighbor. Il ne reste qu’une possibilité. »
Je lève à nouveau les yeux pour rencontrer de très près les siens couleur du ciel. On pourrait s’y envoler.
« Même si je vous vois venir, je ne voudrais surtout pas vous incomber un tel fardeau. »
« C’est pourtant vous qui avez demandez. »
Son autre main se pose sur mon épaule, se rapprochant encore d’un pas. Je sens maintenant son souffle sur mon visage tandis qu’elle lève le sien, étant d’une taille légèrement plus petite à la mienne.
« Je vous suis donc obligée? »
« Je ne vous obligerais jamais à rien, ce serait une façon indigne de traiter une dame telle que vous. »
Elle entrecroise ses doigts avec les miens, rapprochant légèrement sa main de mon cou. Même si j’adore flirter pour le jeu, je trouve que celui-ci ressemble un peu trop à un jeu dangereux.
« Alors comment traitez-vous les dames telles que moi? » qu’elle me murmure à l’oreille en se levant sur la pointe de ses pieds.
De ma main de métal, je lui saisie le menton pour la ramener devant moi.
« Mademoiselle, je ne sais pas ce que vous pensez faire, mais je pense que vous perdez votre temps. Ce vieux synth n’est pas d’un bois qu’on peut enflammer. »
« C’est votre amie qui vous en a convaincu? »
« Plutôt mon vécu. »
« Quel dommage qu’on vous ai fait croire un tel mensonge. »
Cette fois, je peux sentir son corps brosser mon manteau tandis qu’elle se rapproche encore à ce qu’on pourrait dire plus de distance du tout, sa voix restant un souffle de tendresse qui pourrait presque m’y faire croire.
« Je vous l’ai dit, c’est la vie qui me l’a enseigné. Ce n’est pas un mensonge. »
« Laissez-moi vous prouver que oui. »
Elle ferme les yeux en refermant l’espace qui séparait ses lèvres des miennes, mais j’avoue que je suis un peu trop saisie pour répondre immédiatement. Lorsque sa main sur mon épaule vient se poser comme un voile sur ma nuque, je ne peux plus résister et je goûte ce fruit que je me suis interdit si longtemps. Le fruit se croque avec délice et devient immédiatement une folie des sens, son sucre coulant sur mes lèvres et sa chaleur se déversant dans mon corps comme si il était encore de chair et de sang. Ma main de métal vient immédiatement cueillir le creux de ses reins et je comble le peu d’espace qui pouvait encore exister en l’attirant à moi, complètement submergé.
« Fichtre… »
Je crois que ce sont mes dernières paroles, ce soir-là. En effet, j’ai pu étendre la belle dans mon lit, mais j’avouerais qu’elle y a très peu dormi. Plutôt, la professionnelle de la technologie de l’Institut m’a appris tout ce qu’elle savait sur la manière dont j’avais été conçu, et nous avons conçu ce que j’appellerais le triomphe de ma conception. Il serait sans dire que pour l’espace d’une seule nuit, je me suis sentit plus vivant que depuis toutes ces décennies depuis lesquels je parcours les terres désolées.
Alors pour répondre à la question d’Hancock, définitivement, j’ai de très nombreuses zones érogènes. Pour répondre à la question de Nora, je sais me servir de ma bouche pour autre chose que la dépiter. Pour répondre à ma question existentielle, je possède maintenant entièrement quelque chose qui m’appartient à moi, et à moi seul.
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miguel76350 · 1 year
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Scarlett Johansson va faire sa toute première série, un thriller sur Amazon
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Une nouvelle star de cinéma a cédé aux sirènes de la télévision et du streaming. Après avoir réussi à faire venir Julia Roberts sur le petit écran (pour Homecoming), Amazon s'offre Scarlet Johansson. L'actrice de Marvel va rejoindre Juste Cause, un thriller juridique pour Prime Video, basé sur le roman de John Katzenbach.
Juste Cause est centré sur une journaliste Floridienne, Madison "Madi" Cowart (Johansson) chargée d'interroger un détenu dans le couloir de la mort au cours des derniers jours avant son exécution.
Une première adaptation du livre, Juste Cause, avec Sean Connery et Laurence Fishburne, était déjà sortie au cinéma en 1995. Et Scarlett Johansson, alors fillette de 11 ans, jouait déjà dedans ! Mais là, elle aura carrément le rôle principal (celui tenu par Sean Connery à l'époque) devenu féminin pour l'occasion.
Il s'agira de la première série de Scarlett Johansson si l'on excepte son apparition en guest star (dans son propre rôle) dans Entourage et ses premiers pas à l'écran dans un épisode de la série Le Client, adapté du livre de John Grisham.
La série Juste Cause sera écrite par Christy Hall (I Am Not Okay With This). Aucune date pour le moment.
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skip-chiantos · 2 years
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Jour 6 : Lueur
    C’est le dernier jour à l’internat. Après une semaine et demie d’examens, où chaque épreuve nous rapprochaient un peu plus des vacances et d’une nouvelle ère de nos vies, nous avions juste envie de nous détendre. Certains avaient décidé de rester dans leurs chambres, et de célébrer en petits comités la fin de cette drôle de période, d’autres s’étaient rendue à la fête organisés par le Conseil de Vie Lycéenne. Nous, nous avions d’autres plans ; Yan avait récupéré le passe partout du concierge. Notre internat était vieux et pleins de légendes circulait à son sujet ; outre les classiques histoires de fantômes d’élèves qui s’étaient suicidés, une légende raconté qu’il y avait toute une série de couloirs souterrains qui menaient aux catacombes du château qui surplombait les bâtiments. Dans toute la région, ce château était célèbre pour l’histoire du baron sanglant qui hanterait les ruines. Il aurait terrassé de ces ennemis avant de sombrer dans une folie meurtrière et auraient massacré sa famille, laissant les corps pourrir dans une mise en scène morbide. 
    Nous étions réunis à notre table habituel à la cafétéria pour planifier notre sortie ; nous étions 5, trois garçons et deux filles. Maria ne semblait pas motivée, Edouard s’inquiétait plus du risque de rencontres supernaturel. On rigola de bons cœurs ; au cours de ces trois années ensemble, on ne comptait plus les soirées où il avait réussi à se créer des crises de paniques à cause de soi-disant fantômes qui venaient le torturé. Il commençait à y avoir des chamailleries qui mèneraient à l’inévitable bataille de nourriture et Maria et moi-même quittâmes rapidement la cafétéria, rejoint quelques minutes plus tard par les garçons. Nous nous dirigions vers le coin fumeurs. Je n’avais qu’une idée en tête ; Maria été enfin célibataire, et j’espérais secrètement avoir une chance. Être lesbienne dans un lycée de campagne avait conditionné ma vie sentimentale, j’étais le faire valoir sexy des filles qui voulaient s’encanailler, et qui finissait toujours par rester dans des relations hétéros. Mais cette fois-ci, j’y croyais sérieusement, parce que Maria avait affirmé haut et fort que “les mecs, c’est fini pour moi !” et qu’il ne se passait plus une heure de la journée sans qu’on ne s’échange des SMS de plus en plus équivoques. Alors cette escapade nocturne tombés à merveille. L’occasion de pouvoir enfin concrétiser ce rapprochement. 
Au terme d’intenses débat, on décida de se retrouver à 22h à côté du grand chêne. À cette heure-là, les surveillants serait tous trop occupés à gérer les débordements de la soirée. Personne ne ferait attention à nous. On se dirigea vers les dortoirs ; les garçons montèrent à leurs étages quand Maria et moi nous dirigions vers l’enfilade de porte et de couloirs à franchir pour rejoindre nos chambres respectives. À peine entrer dans le premier dortoir des filles, nous avons été assaillis par l’excitation ambiante. Arrivée au bout du couloir, alors que je me moquais gentiment des autres filles qui semblaient paniquer à l’idée de la dernière soirée, Maria m’avoua qu’elle aurait bien aimé y aller, même si c’était un évènement niais et cucul. Je m’arrêtais dans le couloir :
-”Tu sais, je me disais pareil, mais après je me suis dit que ça serait dommage de me retrouver à danser seul ou de devoir encore repoussés les forceurs.”
-”Et si on y allait ensemble ?”
-”Carrément, je serai ta cavalière” lui répondis-je d’un ton charmeur. Elle rougit légèrement et replaça ses cheveux derrière ces oreilles. 
-”On se retrouve dans une quinzaine de minutes devant ma chambre ? et ne dit rien aux gars, je préfère qu’on soit juste toutes les deux.”
-”T'inquiètes “lui dis-je avec un clin d’œil complice.
Nos chemins se séparé là, elle était arrivée à son étage et je devais encore descendre au sous-sol. À peine la porte fermés, je dévalais les escaliers en quatrième vitesse, courait dans le couloir malgré l’interdiction et me précipitai dans ma chambre :
-”Les filles, urgence ; j’ai réussi à inviter Maria au bal.”
J'eus droit à une cacophonie de réponse où je puis entendre pêle-mêle:
-”Trop bien, depuis le temps que tu crush sur elle !”
-”Ta tenue ça va pas du tout”
-”Je peux te maquiller en fille ?”
-”C’est qui Maria ?”
Je répondais d’une traite en commençant à me déshabiller pour me changer :
-”Oui, les gars sont pas au courant, inventez-moi un mytho si vous les croisiez, je vais mettre ma chemise d’examens, un pantalon noir, mon blazer et ça le fera, non, pas de maquillage, je me maquille jamais, je vais pas commencer aujourd’hui mais tu peux essayer de styliser mes dreads, Maria, c'est cette bombe atomique qui est enfin célibataire et je laisserai personne me mettre entre moi et elle cette fois-ci !”.
À peine changé, Émeline commençait déjà à faire des nœuds dans mes dreads pour en faire une sorte de chignon coiffés décoiffés. Je doutais franchement du résultat jusqu’à ce qu’elle ajoute son bandana noires. Elle fit un pas en arrière et courut à sa chambre. Je regardais mes camarades de chambrés pour avoir leurs avis. Unanimes, elles me répondirent :
-”Déboutonne encore un peu plus ta chemise”. Avant que je n’eus le temps de protester, Émeline été revenus avec une paire de boucles d’oreilles pendantes, qu’elle tordit et accrocha à mes plugs.
-”Meuf t'est sûre ?”
-”Oarf, je les avais volés celles-là, et comme ça t’est féminin et boutch à la fois.”
-”Butch, pas boutch”.
 Je regardais l’heure à mon téléphone et tâtai les poches de ma veste ; tout y était. Je courais à nouveau dans le couloir pour arrivée pile à l’heure devant la porte de sa chambre. Je toquais deux fois à sa porte. Une de ces camarades de chambre vient m’ouvrir en gloussant. Je ne comprendrai jamais ce code social. Maria m’attendait assise sur son lit. Une de ces amies terminé de la maquiller. Mon cœur battait la chamade ; elle était encore plus belle dans sa robe corail. La couleur se mariait à la perfection avec sa peau halée et ses longs cheveux bruns. L’amie qui m’avait ouvert la porte me posa une question. Je n’avais rien entendu et lui demandait de répéter, ayant toutes les difficultés du monde à ne plus regarder ma cavalière. Elle gloussa à nouveau. Le maquillage de Maria était terminé : 
-”On y va ?” me demanda t- elle, visiblement pressée.
Je bafouillais en lui ouvrant la porte. Je ne savais plus quoi dire, j’étais juste soufflée par sa beauté., Ma réflexion fut interrompue par notre arrivée dehors. Elle m’attrapa la main pour nous extirper du groupe de garçons qui attendait leurs cavalières. 
-”On va s’en fumer un avant d’aller danser ?”
-”On va dans la cour intérieur ?”
Tout le long du chemin, elle n’avait pas lâché ma main. J’étais sur un petit nuage et j’essayais tant bien que mal de maintenir la conversation. Il y avait déjà une foule conséquente dans la cour intérieur, où l’odeur du cannabis nous indiquait que les surveillants avaient clairement d’autres chats à fouetter. Elle m’attira un peu à l’écart. J’allumais l’objet du délit et lui tendais rapidement.
-”Je ne m’attendais pas à ce que tu viennes aussi vite aussi bien habillée et coiffée.
Je rigolais :
-”Je me suis dit pareil, désole d’avoir bafouillé en venant te chercher, mais cette robe… t’es absolument charmante dedans.”
Elle rigola à son tour :
-”Je pensais pas que les lesbiennes pouvait être aussi canard ! Mais venant de toi, j’aime beaucoup le compliment. Elles sont super jolies tes boucles d’oreilles.” elle s’était rapprochés de moi et avait posé sa main sur ma joue tout en me disant ça. Voyant que le joint était terminé, je l’attrapais par la taille et lui proposait d’aller danser.
La grande salle était bondée. L’accès au buffet quasiment impossible, la musique mauvaise, mais je m’en foutais, elle avait repris ma main pour me diriger dans la foule dansante. Planquées au milieu de cette foule, ces bras autour de mon coup, mes mains sur sa taille, rien n’importait. Nos corps se rapprochaient à chaque chanson qui passait, je ne voyais même plus le temps passé. Alors que mes lêvres commençait à se promener sur sa nuque et que son corps ondulés contre moi, elle m’attrapa la main et m’emmena dehors. Il y avait une cursive sur la gauche du bâtiment, où les couples venait chercher une première intimité. J’eus à peine le temps de réaliser ce qui se passait qu’elle m’embrassait. Je lui rendis immédiatement son baiser, l’attirant un peu plus à moi. 
-”Nana ?! Maria ?!” Nous nous retournâmes et virent, stupéfaite, Edouard, qui reboutonnait prestement son pantalon. La jeune femme qui l’accompagnait baissa sa robe qui était alors remontée très haut sur ces cuisses. La scène fut interrompue par la sonnerie de mon téléphone Yan essayait de me joindre ; il était, 22h30. Je criais à l’intention de mon ami :
-”On est en retard” ! Maria passa sa main sous ma veste, me prit par la taille et me dirigea vers le lieu de rendez-vous. Une fois au calme, je lui dis : 
-”Yan va être furieux de voir qu’on est en retard”.
Elle se retourna vivement et m’embrassa. 
-”Je m'en fout, ce soir la seule chose qui m’importe, c’est toi.”
Je lui rendit son baiser. Fougueuses, nos mains se faisaient moins timides dans l’obscurité de cette zone du campus, quand nous furent à nouveau interrompus par Edouard. Il était accompagné par la fille que nous avions croisée auparavant, une gothique avec des jambes interminables. 
-”Oh désolé, je voulais pas vous interrompre, je pensais que vous alliez au lieu de rendez-vous, au fait, je vous présente Pauline, Pauline, voici mes amies, Nana et Maria, elles ont prévu d’explorer les souterrains avec nous ce soir. “ Maria lui claqua la bise, je regardais Edouard avec de grands yeux ; lui qui paraissait si timide, si loin de toutes les préoccupations typiques de notre âge, avait réussi à inviter un avion de chasse à notre sortie nocturnes. Par quelques expressions faciales bien sentie, nous exprimâmes respectivement l’étonnement et le respect mutuels.
-”J’ai toujours voulu savoir ce qu’il y avait dans les souterrains, j’adore les histoires de fantômes.”, nous expliquai avec beaucoup d’engouement Pauline. Maria étouffa un rire en reprenant ma main. Je bafouillais quelques chose et Edouard enchaina :
-”Ouais grave, et puis surtout, ça sera l’occasion d’avoir un peu intimité” en plaquant sa main sur les fesses de sa partenaire qui gloussa. Maria et moi nous regardâmes choquer et je ne puis retenir :
-”Mais qui es-tu, esprit lubrique qui a pris possession du corps de mon ami si discret.” Alors que Pauline allait se jeter sur Edouard, Maria lui attrapa le bras et commença à papoter avec elle en se dirigeant vers le vieux chêne. Nous leur emboitèrent le pas, et je pris à part Edouard :
-”Tu m’explique ?”
-”Toi d’abord.”
-”Oh ça doit pas te surprendre, tu sais que depuis la seconde, j'ai toujours trouvé Maria très attirante, j’ai tenté le tout pour le tout vu qu’elle est célibataire, et visiblement, c'est réciproque, quoi que ce soit.”
-”C’est vrai que je suis plus surprise que Maria soit avec toi, je la croyais pas… ”
Je l’interrompit:
-”ehehehe non. Pas de supposition hâtive sur l’orientation sexuelle d’une personne.
-”Ouais d’ailleurs, tes conseils de drague en ligne m’ont bien aidé avec Pauline, en vrai ça fait deux mois que je suis dans ces dm, et elle vient de larguer son mec. Elle m’a dit qu’elle en avait marre qu’il soit aussi terre à terre, mais je me demande si c’est pas le nude que je lui ai envoyés qui à jouer, enfin j’veux dire, je cache quand même…
-”Stop. Frère, j’aime les femmes, je veux pas savoir ce qu’il y a entre tes jambes, ni comment tu veux t’en servir avec elle. “ On explosa de rire. Le chêne était en vue. Maria revient vers moi et m'attira un peu à part pendant qu’Edouard allé présenter sa copine.
-”On leur dit quoi ?”
-”Rien, lui répondis-je en l’attirant vers moi. Et sur le bout de ces lèvres, j’ajoutait: ils n’ont pas à savoir, on s’en fout, on leur dira quand on aura eu la discussion, et en attendant, profitons et amusons-nous.” C’est elle qui initia le baiser, son corps chaud contre le mien.
-”Tu as raison, et puis dans les tunnels, on aura de l’intimité comme dit l’autre.” on continua à s’embrasser quand Yan cria :
-”Eh les filles, si vous avez besoin de… ”. Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que Maria lui hurla dessus :
-”Tu ferme ta gueule et tu t’avise pas de manquer de respect à ma meuf, petite bite.”
Choquée, mais heureuse, je la rattrapait par la main pendant que Bouly se tordait de rire. 
Après quelques mots échangées les uns avec les autres, Yan ouvrit la porte de la salle Pingpong. Il entra le premier, suivi d’Édouard et de Pauline, puis de Bouly qui se roulait une cigarette. Maria me susurra à l’oreille :
-’Au pire, on leur fait faux bond, et on va à l’étage ?” je lui répondit en souriant, sentant sa main glissait sur mes fesses.
-”Après si tu veux, mais là ya quand même moyen de bien s’amuser ; Bouly et Yan ont bien fumés vu leurs yeux. “
-”Tu parle, ça va partir en cacahuètes avec Édouard et sa nympho, non mais t’a vu comment elle lui  attrape le cul ?!” on rigola devant l’image. Nous étions devant La porte. L'excitation était palpable. Yan fit tourner laborieusement la clé dans la serrure. La porte craqua quand elle s’ouvrit. Devant, nous, un escalier. Bouly sortit une lampe torche de son pantalon baggy et ouvrit la marche. Yan le suivait de près. Alors que nous sortions nos téléphones pour avoir de la lumière, toujours mains dans la main, on se retenait de rire quand Edouard expliqua que ces couloirs servaient en réalité à la maintenance, et qu’il y avait peu de chances qu’ils puissent mener aux souterrains du château, en raisons du décalage de périodes de constructions. Maria me chuchota à l’oreille :
-”Non mais regarde-le qui étale sa science alors qu’au repas du soir il flippait comme pas deux.”
Nous sommes rapidement arrivés en bas. Sous nos pieds, de la terre battues. Nous étions dans une seconde pièce où s’entassaient des restes de matériels agricoles. Au fond de cette pièce, un couloir au plafond bas s’enfonçait dans l’obscurité. Bouly rompit le silence :
-”Comment ç'aurait-été lourd de poser des caissons là !” Edouard lui prit la lampe torche des mains et se dirigea vers le couloir. On lui emboita le pas.  Derrière nous, Yan agrippait le bras de Bouly.
-”Mec, jle sens pas.” Maria serra un peu plus fort ma main. Les murs paraissaient anciens. J’essayais de me rassurer en me disant que c’était juste à cause de l’humidité qu’ils avaient prématurément vieillie, mais l’air été sec. Aria se colla à moi. On ne voyait pas à deux mètres devant nous, et on ne voyait déjà plus la salle précédente. Dans le silence de nos pas étouffés par la terre, on entendit :
-” Oh Édouard, ça m’excite cette ambiance.”
Bouly étouffa un rire, Yan commençai à flipper.
-”C’était quoi ce bruit ?”
Maria répondit :
-”Relax, c’était juste Bouly qui rigole, détends-toi.”
J’ajoutais :
-”Oui, dans ce couloir, il n’y a qu’une bande d’ado libidineux, avec le stéréotype de l’ado cool et un trouillard. Rien à craindre.”
Un souffle froid coupa court à notre conversation. Maria serra un peu plus fort en corps ma main. Yan glapit. Bouly souffla :
-”Trop cool”
Et un soupir équivoque émergea du couple devant nous. Alors que nous étions figés, retenant notre souffle, une lueur apparu au loin. Yan décampa immédiatement. Bouly le rattrapa en râlant. Il ne restait que des couples dans ce couloir. On sortit tous nos téléphones pour éclairer devant nous, et recommencer à avancer. Maria me chuchota à l’oreille :
-”Si j’avais imaginé un truc pareil pour mon dernier jour ici.”
-”Pareil, mais, tu sais quoi, je commence à comprendre Pauline, c’est super excitant en fait.” La lueur revient. Edouard glapit à son tour. Puis la lueur s’éteint de nouveau. Le souffle se fit lui intense.
-”Je crois qu’on en as assez vu. On devrait faire demi-tour et profiter du reste de la nuit à l’air libre.” murmura Edouard ; Malgré la force du souffle, je l’entendit comme s’il 'était à mes côtés. On marcha très vite jusqu’à la sortie, sans un mot. Dehors, Yan vomissait sous le chêne. Bouly avait sorti sa flasque et nous la tendit. Pauline l’attrapa la première et bu.
-”Wow, vous en faites une tête, vous avez vu quoi ?”
Je ne savais pas quoi répondre. Mais je voyais que Maria avait froid. J’enlevais ma veste pour la glisser autour de ces épaules. Pauline lâcha la flasque et répondit :
-”J’ai vécu le truc le plus flippant de ma vie. À un moment donné, j’ai entendu une voix qui m’a dit de partir. Et on est tous partis.”
-”C’était Édouard qui nous a dit de partir “ articula Maria. Elle reprenait des couleurs. Edouard attrapa la flasque et bu ce qu’il en restait. Il déglutit :
-”J’ai rien dit. J’étais trop excité par ce qui se passait.”. Je lui jetai un regard choqué. Bouly pris la parole en nous attrapant par l’épaule ;
-”Eh j’vous propose un truc ; on laisse tomber cette histoire. On essaye pas de trouver une explication. On a le passe, autant en profiter pour faire de la merde dans les bâtiments, c’est pas des couples qui vont repousser cette idée ?” On lui sourit. Yan vint vers nous.
-”Je suis désolé d’avoir flippé, je crois que c’est la fumette qui m’a pas réussi. J’ai de l’alcool dans ma piaule, venait on va se murger.”
-”Moi j’ai envie de retourner danser, tu viens Edouard ?” exigea Pauline en attrapant la main d’Édouard. Ils s'éloignèrent. Bouly voulu les rattraper en leur disant :
-”c’est pas par là le bon chemin pour aller danser.” mais Yan l’attrapa par le bras en lui disant :
-”Chut. Observe le maitre en action, on a clairement beaucoup à apprendre de lui.”
Yan passa son bras autour de la taille de Bouly, qui lui rendit son geste. Les étoiles qui brillaient, voilà la lueur sous laquelle je voulais finir cette soirée. Maria me souriait en humant ma veste… Ce sont mes derniers souvenirs nets de cette soirée. Le reste est confus, entre le gout de ces lêvres, le vol du stock de vin dans la salle des profs, les jeux à boire qui dérapent sur le toit, la fin de la nuit toutes les deux… J’écris ces mots alors qu’elle s’est endormi sur mon épaule. Demain, on aura enfin les résultats du bac, même si aucun de nous ne se fait du souci. On a prévu quelques festivals ensemble,  je sens qu’on va passer un bon été, et peut-être que cette lueur, c’était notre avenir ; terrifiant de se jeter dans l’inconnu, mais terriblement excitant. 
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lours-postal · 1 year
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2023 – 323, 234, 298, 318
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formationonline · 15 days
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Analyse Complète sur la Formation OnlyCash de Fortumedia : Votre Guide Complet avant de Vous Engager
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Fortumedia, également connu sous le nom de Manoah Labranche, est une figure incontournable du monde des affaires en ligne, notamment en ce qui concerne la rentabilisation de vos talents sur les réseaux sociaux.
Peut-être avez-vous déjà croisé le nom de sa formation, OnlyCash, mais vous vous demandez si elle mérite vraiment votre attention ?
Vous êtes au bon endroit.
Dans cet article, nous allons explorer en détail tout ce que vous devez savoir sur cette formation et déterminer si elle représente une opportunité à saisir.
Êtes-vous prêts pour cette nouvelle aventure ?
Qui est Fortumédia alias Manoah Labranche
Manoah Labranche, mieux connu sous son pseudonyme Fortumedia sur les réseaux sociaux, s’est imposé comme une figure majeure dans l’univers entrepreneurial français. Son parcours est celui d’un entrepreneur qui a su déjouer toutes les attentes. Dès l’âge de 17 ans, Manoah a fait ses premiers pas dans le monde de l’entrepreneuriat avec une idée audacieuse.
Aujourd’hui, son nom résonne dans les couloirs du monde des affaires en ligne, particulièrement lorsqu’il s’agit de valoriser les compétences sur les réseaux sociaux. À travers ses diverses initiatives, il a forgé une réputation solide en tant qu’expert dans le domaine.
Fortumedia a créé plusieurs formations en ligne à succès, évoluant dans l’ombre de l’anonymat, il a déjà fait plus d’un million d’euros de vente en ligne. Cependant, c’est avec la sortie récente de son dernier programme, OnlyCash, qu’il a choisi de se révéler au grand jour. En partageant son expertise et ses connaissances avec un public plus large, il offre désormais une opportunité unique à ceux qui souhaitent tirer parti de son expérience dans le domaine de la monétisation des compétences sur les réseaux sociaux
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1. Introduction à OnlyCash de Fortumedia : Une Vue d’Ensemble
OnlyCash est bien plus qu’une simple formation en ligne ; c’est un système élaboré pour guider les entrepreneurs à travers chaque étape du processus de création et de gestion d’une agence OnlyFans prospère. 
Elle est dispensée par Manoah Labranche, également connu sous le nom de Fortumedia sur les réseaux sociaux. Grâce à son expertise dans le domaine de la gestion d’agences OnlyFans, Fortumedia s’est rapidement imposé comme une référence en matière de monétisation sur cette plateforme. La formation vise à équiper les participants des compétences et des stratégies nécessaires pour réussir dans l’univers compétitif d’OnlyFans.
La Vision Innovante de Manoah Labranche à Travers OnlyCash
La vision de Manoah Labranche transparaît clairement à travers sa formation révolutionnaire, OnlyCash, développée par Fortumedia. Cette formation représente bien plus qu’un simple guide pour naviguer dans l’univers complexe d’OnlyFans; elle incarne une approche novatrice pour les entrepreneurs désireux de tirer parti de cette plateforme unique. En effet, OnlyCash va au-delà des stratégies conventionnelles pour offrir aux participants une perspective nouvelle sur la manière d’exploiter pleinement le potentiel d’OnlyFans.
Son objectif ?
Fournir un manuel exhaustif pour ceux désireux de démarrer et de faire prospérer une agence OnlyFans florissante…
C’est également offrir au grand public l’accès à la vaste audience de la plateforme OnlyFans, un univers du divertissement pour adultes où l’intimité et la créativité se rencontrent, permettant aux créateurs de contenu de se connecter directement avec leur public pour monétiser leurs compétences et talents.
2. Au cœur de OnlyCash : Contenu Essentiel et Compétences Clés pour Dompter OnlyFans et MYM
La formation OnlyCash de Fortumedia va bien au-delà d’une simple série de leçons ; c’est plutôt une voie vers la réussite pour les entrepreneurs souhaitant naviguer dans l’industrie du divertissement pour adultes avec une approche à la fois stratégique et éthique. Elle vise également à aider les modèles à optimiser leur visibilité et leurs gains sur OnlyFans.
Voici un aperçu de ce que vous apprendrez dans cette formation :
a. Introduction à OnlyFans et à l’Industrie du Divertissement pour Adultes : Un survol pour comprendre le marché et ses opportunités.
b. Création et Gestion d’une Agence OnlyFans : Découvrez comment établir une structure d’entreprise efficace, de sa conception à sa gestion quotidienne.
c. Recrutement de Modèles : Stratégies et bonnes pratiques pour attirer et fidéliser des talents. Approche des modèles potentiels, persuasion pour une collaboration avec votre agence et établissement de relations professionnelles solides.
d. Stratégies de Monétisation : Techniques avancées pour maximiser les revenus des comptes gérés, incluant le pricing, les promotions et les partenariats.
e. Marketing et Promotion : Exploitation des réseaux sociaux, du SEO (Search Engine Optimization) et d’autres canaux digitaux pour accroître la visibilité et l’engagement.
f. Gestion des Contenus : Création, planification et optimisation de contenu pour OnlyFans. Astuces pour maintenir un flux de contenu attrayant et engageant.
g. Aspects Légaux et Éthiques : Conseils juridiques pour naviguer dans l’industrie en respectant la loi et les normes éthiques.
Chaque module est présenté à travers des vidéos, des ressources complémentaires et des bonus pour approfondir vos connaissances et optimiser votre réussite.
Ressources Complémentaires et Techniques Spéciales
Études de Cas : Analyse approfondie de cas concrets d’agences et de modèles ayant rencontré le succès sur OnlyFans. Ces études fournissent des perspectives précieuses sur ce qui fonctionne concrètement, vous permettant d’apprendre des réussites et des erreurs des autres.
Modèles de Documents et Checklists : Accès à une gamme complète de ressources pour simplifier votre travail quotidien, comprenant des contrats, des modèles de messages pour le recrutement et des listes de contrôle pour le lancement de campagnes promotionnelles.
Techniques Spéciales : Exploration de méthodes non conventionnelles mais efficaces pour se démarquer sur OnlyFans. Cela peut inclure des stratégies de tarification innovantes, l’utilisation de l’IA pour la gestion de contenu ou des astuces pour accroître l’engagement des abonnés.
En intégrant la formation OnlyCash, vous vous engagez dans un programme complet qui va au-delà de simples survols des sujets. Il vous prend par la main et vous guide à travers chaque détail crucial pour votre succès sur OnlyFans.
Cliquez ici pour accéder à la formation OnlyCash >>>
3. Réévaluation de la Formation OnlyCash : Convient-elle à Votre Profil ? Qui sont les Entrepreneurs Idéaux pour Exceller sur OnlyFans ?
La formation OnlyCash s’adresse à un large éventail de participants, notamment :
Que vous soyez à la recherche de complément de revenu,, que vous débuter sur les business en ligne, ou que vous êtes vous êtes un expérimenté, Manoah à pensé à vous.
A. Les Entrepreneurs qui partent de zéro : Si vous êtes débutants dans le marketing digital, vous n’avez pas à vous inquiéter, OnlyCash fournit un cadre méthodique pour appréhender le fonctionnement d’OnlyFans et vous accompagne à chaque étape de la création et de la gestion d’une agence, même si vous débutez sur la plateforme.
B. Les Entrepreneurs expérimentés : Si vous possédez déjà une expérience en marketing en ligne ou en gestion d’entreprise numérique, OnlyCash peut enrichir vos compétences. La formation explore des stratégies propres à OnlyFans, vous offrant ainsi la possibilité de diversifier vos activités et d’optimiser vos gains.
C. Personnes en quête de revenu complémentaire sur OnlyFan : Les individus souhaitant élargir leurs sources de revenus sur OnlyFans trouveront dans OnlyCash une ressource précieuse. Que vous soyez un créateur de contenu désireux d’optimiser votre approche ou un entrepreneur cherchant de nouvelles opportunités, cette formation vous fournit les outils nécessaires pour tirer le meilleur parti de la plateforme.
D. Les Curieux et les Novices : Les individus qui cherchent simplement à en savoir plus sur le fonctionnement d’OnlyFans et sur les opportunités qu’il offre en termes de monétisation des compétences et du contenu, la formation OnlyCash est faite pour vous.
En résumé, la formation OnlyCash est conçue pour toute personne désireuse d’explorer et de réussir dans le monde du divertissement pour adultes en ligne, que ce soit en tant qu’entrepreneur, créateur de contenu ou gestionnaire de modèles.
4. Avantages et inconvénients de la Formation OnlyCash : Pourquoi Opter pour cette Formation ?
Aucune oeuvre humaine n’est parfaite, tout comme la formation OnlyCash, il y a des points forts comme de points faibles.
Avantages de OnlyCash :
Formation exhaustive : OnlyCash ne laisse aucun aspect crucial de l’industrie OnlyFans dans l’ombre, offrant ainsi une base complète pour lancer votre entreprise avec assurance.
Accès à vie : Une fois inscrit, vous disposez d’un accès permanent et sans restriction à tous les modules et aux ressources de la formation, vous permettant de progresser à votre rythme et de revisiter le contenu selon vos besoins.
Soutien individualisé : Manoah et son équipe fournissent un soutien continu et des conseils personnalisés à chaque participant, les accompagnant dans leur parcours pour surmonter les obstacles et atteindre leurs objectifs avec confiance.
Manoah a Réussi : Pour avoir du succès dans un domaine donné, il est important de suivre ou voir tricher ceux qui ont déjà réussi dans ce domaine, alors avoir Manoah Labranche comme
Expertise en Gestion d’Agence : La formation met particulièrement l’accent sur le renforcement des compétences essentielles à la gestion réussie d’une agence OnlyFans. De la création de l’entreprise à la gestion opérationnelle au quotidien, elle fournit une base robuste pour ceux qui envisagent sérieusement de se lancer dans ce secteur.
Garantie de rentabilité : La formation offre une garantie “Rentabilisé ou Remboursé”, vous assurant que si vous ne recouvrez pas votre investissement initial dans un délai défini, vous avez droit à un remboursement intégral, soulignant ainsi l’engagement de l’équipe à votre succès.
Inconvénients de cette formation OnlyCash :
Coût de la Formation : Le coût initial de la formation peut représenter un obstacle pour certains, bien que le potentiel de retour sur investissement soit attrayant.
Morale : la question des normes éthiques et des implications légales liées au recrutement de modèles OnlyFans doit être abordée avec précaution pour maintenir une réputation professionnelle irréprochable.
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5. Notre Avis et celui des Utilisateurs : Ce qu’en Pensent Ceux qui ont Suivi la Formation
Les avis des utilisateurs de la formation OnlyCash sont largement positifs. Sur Trustpilot, les retours sont un excellent baromètre de la qualité et de l’impact de ces programmes sur leurs participants. , la formation a reçu une note moyenne de 4.9/5 sur Trustpilot, basée sur plus de 347 avis. 
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La majorité des commentaires sont positifs, et mettent généralement en avant la qualité des formations et la pédagogie utilisée. ils reflètent les expériences individuelles des utilisateurs. Seulement que le taux de satisfaction élevé ne garantit pas un succès universel et il est conseillé de faire ses propres recherches avant de s’engager dans une formation.
Manoah Labranche reste néanmoins un excellent marketeur qui a su rassembler et fédérer une communauté de clients et d’ambassadeurs autour de lui, à la manière de Andrew Tate, Yomi Denzel ou encore Alex Hitchens.
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6. Conclusion : Est-ce que OnlyCash de Fortumedia en Vaut la Peine ?
En conclusion, la formation OnlyCash de Fortumedia offre une opportunité exceptionnelle pour ceux qui cherchent à réussir dans l’industrie d’OnlyFans. Avec son contenu complet, son soutien personnalisé et sa garantie de rentabilité, cette formation est un investissement précieux pour ceux qui sont prêts à s’engager sérieusement dans ce domaine. Si vous cherchez à maximiser vos revenus sur OnlyFans, OnlyCash pourrait bien être la clé de votre succès.
Si vous envisagez de vous lancer dans l’industrie d’OnlyFans, la formation OnlyCash de Fortumedia pourrait être exactement ce dont vous avez besoin pour réussir.
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xpoken · 1 month
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Le premier album, enregistré en 2002, était dédié aux sentiments d'Adam pour son ancien amant et s'appelait Songs about Jane ("Songs for Jane")
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Les musiciens ont tourné un clip plutôt provocateur pour la chanson She Will Be Loved, dans laquelle le héros (interprété par Levin) embrasse une passion pour la mère de sa petite amie.  La vidéo a ouvert une série de vidéos "scandaleuses", vers lesquelles le chanteur s'est davantage intéressé.
 En 2005, les musiciens ont reçu le premier Grammy Award du meilleur nouvel artiste et de la meilleure performance vocale pop par un duo ou un groupe d'une chanson pour le tube This Love.  Les disques suivants publiés par l'équipe ont été un grand succès.  La vidéo de la chanson Animals du 5e disque de Maroon 5, dans laquelle la femme du chanteur a joué, est devenue mémorable et scandaleuse.
Dans la vidéo, Levin a joué le rôle d'un maniaque travaillant dans le vernis à viande, qui commence à poursuivre un visiteur régulier - une belle blonde.  Après la diffusion de la vidéo érotique sanglante, le chanteur a été accusé de promouvoir la violence et d'autres péchés.  Mais cela n'a fait que jouer en faveur de la croissance de la popularité du groupe.
 Non moins original - mais plus "chaste" - était le clip de la chanson Sugar.  Selon l'idée d'Adam et du réalisateur David Dobkin, la vidéo a été réalisée "surprise".  Des emplacements ont été spécialement sélectionnés pour accueillir de véritables célébrations de mariage.  Au plus fort des vacances, une scène impromptue a été construite dans les couloirs avec un rideau qui est tombé au bon moment, et des musiciens sont apparus devant les invités.  Seuls les prétendants savaient ce qui se passait, gardant tout secret.
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SAMEDI 16 MARS 2024 (Billet 2 / 4)
« LA SALLE DES PROFS » (1h 39min)
Un film d’Ilker Çatak, avec Leonie Benesh, Michael Klammer, Rafael Stachowiak…
Titre original : « Das Lehrerzimmer »
Ce film a remporté 5 récompenses lors de la 73e Cérémonie du Deutscher Filmpreis qui s’est tenue à Berlin le 12 mai 2023 : le « Lola d’Or » du Meilleur Film (équivalent de notre César du Meilleur Film) et ceux de la Meilleure Actrice, du Meilleur Réalisateur, du Meilleur Scénario et du Meilleur Montage.
Le film, sorti sur les écrans en Allemagne le 4 mai 2023, a surtout battu des records d’audience et a été choisi pour représenter l’Allemagne aux Oscars.
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Ce n’était pas ce film que nous devions voir mais le film italien « Il reste encore demain », ÉNORME succès en Italie. Mais au dernier moment, Marina ayant lu le synopsis, a eu peur des nombreuses scènes de violence conjugale annoncées et a préféré que nous allions voir un autre film.
C’est pour cela que nous nous sommes retrouvés au Pathé Opéra (« La salle des profs » ne se joue plus que dans 3 salles à Paris) et ne l’avons pas du tout regretté car après une journée de réflexion, nous avons décidé de lui accorder tous les deux ❤️❤️❤️❤️ sur 5.
Vous lirez dans la critique ci-dessous tout ce que nous en avons pensé. Nous savons que ce n’est pas lui qui a remporté l’Oscar du Meilleur Film International mais « La zone d’intérêt » de Jonathan Glazer. Ayant vu les deux, pour nous, incontestablement, c’est « La salle des profs » que nous avons préféré. A tous points de vue et de loin !
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Une série de vols dans un établissement scolaire bouleverse la vie des profs et des élèves.
Tolérance zéro : tel est le mot d’ordre. On ne badine pas avec la discipline au collège Emmy-Noether. Il y a des vols dans l’établissement. L’administration soupçonne un élève d’origine immigrée. Carla, qui enseigne les mathématiques et les sports à une classe de cinquième, ne l’entend pas de cette oreille. Il faut chercher ailleurs. Dans la salle des profs, elle a laissé la webcam de son ordinateur branchée. Sur l’écran, la coupable pourrait bien être une des secrétaires portant un chemisier à motifs. On voit clairement sa main se diriger vers la poche de la veste posée sur le dossier d’une chaise et en extraire le portefeuille.
Carla prévient ses supérieurs. C’est une erreur. Le droit à l’image existe. La secrétaire en question fond en larmes, ne met plus les pieds au bureau. Cela jase. Le scandale rejaillit sur le fils de la suspecte, qui est dans la classe de Carla. Les rapports deviennent électriques. Les enfants s’en mêlent. L’héroïne tâche de garder la tête haute. Au début des cours, on continue de se saluer en frappant en rythme dans ses mains. Elle croit à son métier. Il a ses risques. Derrière les pupitres, les chuchotements se multiplient. La révolte gronde. L’insolence est de rigueur. Un terrible engrenage commence à broyer les certitudes.
Le proviseur, bien embêté, adopte un profil bas. Cette histoire risque de gêner sa promotion. Quelle idée a donc eu Carla de donner une interview au journal des élèves ? Voici de doux adolescents qui se transforment en meute, comme s’ils se retrouvaient dans « Le Village des damnés » (extraordinaire petit film d’horreur que JM a vu il y a très, très longtemps – NDLR du Blog). Cela fait peur.
La pédagogie se heurte à un mur. Il est question de racisme, d’injustice. Le vernis se craquelle. Une réunion avec les parents tourne au procès. Le ton monte. Leonie Benesch est cette abeille qui se cogne contre les vitres. Il faut la voir arpenter les couloirs au pas de course, grimper les escaliers quatre à quatre, affronter les regards fuyants, être saisie de bouffées d’angoisse. Elle récapitule tout l’alphabet des sentiments. Colère, espoir, incompréhension, détresse alternent sur son visage de porcelaine.
L’éducation est compliquée comme ce Rubik’s cube qu’elle a offert au jeune Oskar. Renvoi, conseil de discipline, quelle attitude adopter ? Le film est fort. Il évite tout manichéisme, décrit de l’intérieur les coulisses d’une profession, opte pour une image de format étroit qui enserre l’intrigue dans un décor kafkaïen, le tout sur un air de violon lancinant. Le suspense est là. Sur l’estrade ou au gymnase, l’équilibre est délicat à maintenir, entre autorité et empathie. L’idéalisme a des traces de craie sur les doigts. La fin reste ouverte, comme une porte, comme une lettre. « La Salle des profs », d’Ilker Çatak, représente l’Allemagne aux Oscars. On espère que les votants lui mettront 10 sur 10. (eh non, cher Eric, l’Académie lui a préféré « La zone d’intérêt » mais nous sommes d’accord avec vous – NDLR du Blog).
(Source : « Eric Neuhoff, critique cinéma au Figaro »)
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mokarosenoire · 11 months
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"S'il te plaît, tue-moi"          - Juillet 2018- La diffusion d'animation TV commence!
【Introduction】 Une jeune fille, Rachel, qui s'est réveillée au plus bas niveau dans le sous-sol du bâtiment. Elle a perdu la mémoire et ne pouvait pas comprendre pourquoi elle était là. En montant les étage, apparaîtra devant elle dans le bâtiment du meurtrier connu sous le nom de Zack muni d'une Faux comme un shinigami, son visage couver avec des bandage. "S'il vous plaît exaucez mon souhait ... s'il vous plaît, s'il vous plaît, tuez-moi" "Si nous sortons d'ici ensemble, je te tuerais." Leurs liens étranges approfondissent leurs "serments". Où suis-je censé être? Dans quel but? Quel destin les attendent? Deux couloirs de la mort pour échapper à un bâtiment scellé a commencé ... ...!
【Personnel】 Original: Makoto Sanada (Magazine du jeu) Directeur: Kentaro Suzuki Composition de la série: Fujioka Bikkyo Design de personnage · directeur de dessin total: Matsumoto Miki Directeur artistique: Wei 斯 曼 (Studio Chulip) Couleur: Kana Tanabe Directeur de la photographie: Akihiro Takahashi Edit: Yuji Kondo (Real-T) Directeur Acoustique: Miwa Iwami Effet acoustique: Kayama Oyama Musique: Noisy Cloak Production musicale: Lantis Production d'animation: J.C.STAFF Production: Comité de production "Angel of Slay" 【Cast】 Rachel CV: Haruka Chisugu Zach CV: Nobuhiko Okamoto 【Anime Site Officiel】 satsuriku.com 【Officiel Twitter】 @ strk_tenshi
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