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« L’humanité devra mettre un terme à la guerre, ou la guerre mettra un terme à l'humanité. » (John Fitzgerald Kennedy)
(Photo : Elliott Erwitt)
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MARDI 23 AVRIL 2024 (Billet 1 / 3)
« CIVIL WAR » (1h49)
Un film d’Alex Garland, avec Kirsten Dunst, Wagner Moura, Cailee Spaeny, Nick Offerman…
Synopsis : Une course effrénée à travers une Amérique fracturée qui, dans un futur proche, est plus que jamais sur le fil du rasoir.
Notes Allo Ciné (Pro : 3,7 / Spectateurs : 3,7)
Marina ne supportant pas les films « de guerre », JM est donc allé tout seul le voir. Le petit article ci-dessous dit tout ce qu’il en a pensé, il est donc inutile qu’il rajoute quoique ce soit, il confirme juste la dernière phrase du critique : « Civil War » est un des meilleurs films qu’il ait vus depuis le début de l’année et il lui donne entre ❤️❤️❤️❤️,2 et ❤️❤️❤️❤️,5 sur 5 (désolé, il n’a pas pu trancher).
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Après "Men", film fantastique original et dérangeant, Alex Garland réussit un blockbuster politique distopique en prise direct avec le climat politique américain actuel.
La peur d'une guerre civile en Amérique du nord remonte aux origines du Nouveau Monde, terrain d'une révolution en 1776 et d'une guerre civile de 1861 à 1865. Alex Garland l'actualise avec intelligence et sens du spectaculaire, à la lumière de la confrontation Trump-Biden, sans jamais les nommer, mais comme une métaphore de leurs divisions.
Photographe de guerre, Lee (Kirsten Dunst) couvre la guerre civile qui embrase les États-Unis. Téléobjectif au point, elle remonte de New York à Washington le fleuve des événements avec la conviction qu'elle va photographier la mort du président des États-Unis.
« Civil War » est un formidable film de politique fiction tel que ne nous en a pas donné Hollywood depuis longtemps ! L'approche du futur vote présidentiel américain du 5 novembre 2024 est en filigrane de « Civil War », parce que les mots de « guerre civile » ont été cités avec ironie dans les commentaires sur la rivalité entre Biden et Trump, tant les sondages séparent à 50/50 les deux candidats (au 8 avril, Donald Trump n'aurait que 0,3 point d'avance sur Joe Biden).
Cette réactivité du cinéma américain à sa conjoncture immédiate est une constante du cinéma d'outre-Atlantique. C'est la même que celle qui parlait de la Guerre du Vietnam dès « Retour » de Hal Ashby (1978), trois ans après un conflit majeur du XXe siècle. Alex Garland fait œuvre de sens politique et de mise en scène dans « Civil War ». Très bien écrit, nous prenant dès le début dans le feu de l'action sans en expliquer les causes, le long-métrage suit une ascension dramatique jusqu'à une fin ouverte inventive.
Le film tient en haleine de bout en bout, où Kirsten Dunst (« Virgin Suicides » et « Marie-Antoinette » de Sofia Copplola, entre autres…) trouve ici un de ses meilleurs rôles, avec une justesse qui sent un futur Oscar. La caméra est au plus près des personnages tout en prenant en compte la dimension des enjeux, alternant les échelles de plans avec dynamisme. Un grand film, dans la lignée de ce que donnait le meilleur du cinéma politique américain des années 1970, avec la touche d'un metteur en scène exigeant dans ses sujets et dans leur traitement. Un des meilleurs films depuis le début de l'année !
(Source : « France Info Culture »)
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MARDI 23 AVRIL 2024 (Billet 2 / 3)
SOFIANE PAMART
La musique était une évidence pour lui. Très jeune, on lui détecte l’oreille absolue, alors qu’il était capable de reprendre une musique entendue à la télévision sur un petit piano/jouet en plastique. Voyant le talent de son fils, sa mère décide de l’inscrire au Conservatoire de Lille à l’âge de 7 ans. Il en sortira 16 ans plus tard, médaillé d’or à 23 ans seulement, sachant interpréter du Ravel ou du Chopin sur le bout des doigts.
Mais la musique classique n’est pas vraiment sa tasse de thé. Esprit libre, Sofiane Pamart puise aussi ses inspirations dans le jazz, le hip-hop et le rap. Il ne veut pas rentrer dans des cases et aspire à s’émanciper des traditions et mélanger les genres. Loin d’un musicien aux méthodes traditionnelles, il aime composer à l’oreille.
Il est rock, il est rap… il est jeune et il cartonne ! Sofiane Pamart, depuis 4 ans, est pris dans un tourbillon de succès et d'engouements. 
Si vous ne savez pas qui est Sofiane Pamart, sachez que ce n'est pas n'importe qui : plus de 400 000 albums vendus, 18 singles d’or, 2 disques d’or et 4 singles de platine. Il est le premier pianiste de l'histoire à avoir affiché complet à l'Accor Arena Paris-Bercy, tout comme ses 5 concerts à l'Olympia, 11 mois avant les dates !
Succès incroyable, il doit tout à son talent et au piano : « Le piano a été l'instrument qui m'a ouvert toutes les portes de ma vie. Les rencontres, les établissements que je fréquente, c'est grâce au piano. Quand j'allais pas bien ou que j'avais un trop plein d'émotions que j'avais du mal à exprimer : c'est aussi au piano que je me confiais ».
Sofiane Pamart sort son troisième album, « Noche » : « C'est la nuit en Amérique Latine. Je me suis donné comme exercice de composer tout mon album, uniquement de nuit, après mes concerts lors de ma première tournée en Amérique Latine. J'avais des pianos qui m'attendaient dans mes chambres d'hôtels et je me suis jeté sur eux pour raconter ce que je vivais, comme un carnet de bord ».
(Source : « francebleu.fr »)
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La vidéo que nous avons mise dans la visionneuse est un « tout petit exercice de style », rien à voir avec les albums de sa composition qu’il a déjà sortis - nous avons acheté en 2022 sur iTunes son avant dernier, « Letters », qui est une pure merveille - mais elle vous donnera une idée de son jeu, de la fluidité de ses arpèges et de l’émotion qu’il est capable de transmettre.
Lors de la dernière Cérémonie des Césars, c’est lui qui jouait du piano juste avant la remise du César de la « Meilleure Musique Originale ».
Nous n’avons pas encore écouté son album « Noche », ça ne saurait tarder…
Nos petits doigts (et oui, le pluriel parce que nous sommes deux…) nous disent que sa variation sur la chanson de Renaud, « Mistral gagnant », ne vous laissera pas indifférents.
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MARDI 23 AVRIL 2024 (Billet 3/3)
Nous n’avons toujours pas vu le film italien (« Il reste encore demain »), il ne se donne plus qu’à 19h30 et pas dans le cinéma le plus proche de chez nous. Les soirées étant de plus en plus fraîches, nous n’avons pas envie de rentrer tard et encore moins d’attraper froid !
Par contre nous avons regardé la dernière « Echappée Belle » sur France 3, tournée aux « Emirats arabes unis ». Nous l’avons tellement appréciée que cela nous a vraiment donné envie d’aller y faire un séjour. C’est noté pour dans une prochaine vie.
Un lieu, tout proche du Louvre Abu Dhabi, sur l’Île de Saadiyat, « LA MAISON DE LA FAMILLE ABRAHAMIQUE », consacré aux trois religions abrahamiques (le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam), nous a particulièrement touchés. Cf le tout petit document ci-dessus (1 minute).
Si vous n’avez pas vu l’émission, vous pourrez certainement la retrouver sur votre Box en Replay, nous vous la recommandons chaleureusement.
Sur Internet, cliquez sur le lien ci-dessous.
Émirats arabes unis, l'ère du changement - Documentaire en replay (france.tv)
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MARDI 16 AVRIL 2024 (Billet 1 / 3)
« ÉTIENNE DINET, PASSIONS ALGÉRIENNES »
Du 30 janvier 2024 au 9 juin 2024 à l’Institut du Monde Arabe
Cette exposition est la première consacrée à l’artiste depuis 1930.
Nous y sommes allés dimanche avec Ghislaine (une sœur de Marina), notre beau-frère, Pierre et une amie, Marie-Ange (T.).
Tout de suite vous dire que nous l’avons BEAUCOUP appréciée, peut-être parce que certains d’entre nous aimaient bien le courant orientaliste dans la peinture du XIXe (Ingres, Delacroix, pour ne citer qu’eux…), peut-être parce que, curieux, nous n’avions jamais entendu parler de ce peintre auparavant bien que certains de ses tableaux soient exposés au Musée d’Orsay, peut-être parce que c’était une occasion de nous retrouver et de faire quelque chose ensemble (la journée se terminant pas un dîner à la maison avec, pour rester dans la note, un tagine au poulet, citrons confits, olives et petits artichauts, cuisiné par Marina)… il est vrai aussi que la plupart des tableaux exposés ne nous ont pas laissés indifférents, bien au contraire, nous en aurions volontiers accroché 2 ou 3 chez nous… mais une chose est sûre : nous avions réservé une VISITE GUIDÉE et notre GUIDE s’étant révélée une excellente conteuse, elle a beaucoup compté dans le plaisir que nous avons pris à visiter cette Expo.
Pour nous résumer, si cet artiste vous intéresse, SURTOUT, choisissez une « visite guidée ». Sans, vous verrez des tableaux, avec, vous verrez le peintre ET ses tableaux. Le récit de la vie de cet homme et l’amitié/collaboration qui le liait à son « compagnon de voyage », Sliman Ben Ibrahim, nous ont passionnés. Les tableaux, au fur et à mesure des commentaires de la guide, ont pris alors une tout autre dimension.
Lisez le petit texte ci-dessous avant de regarder les photos que nous avons choisies pour clore ce Billet
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Algérien d'adoption, Étienne Dinet (1861-1929) est l’un des seuls peintres orientalistes à avoir échappé au reproche d’exotisme et au procès fait au regard colonial. Dès 1895, il renonce à toute source d’inspiration en dehors des sujets algériens et s'installe définitivement en 1904 à demeure dans l’oasis de Bou-Saâda. L'exposition permet de découvrir son œuvre et l’amour incandescent qu’il porta à un pays dont il épousa la terre, la foi et la cause.
Étienne Dinet naît en 1861 dans le milieu cultivé d’une famille d’avoués parisiens. Il se détourne tôt du modèle familial, pour entrer plutôt à l’École des Beaux-Arts. Il fait la découverte passionnée de l’Algérie en 1884 dont il peindra les oasis du Sud algérien, des instantanés de vie et la nature. Mais ce sont avant tout les habitants du Sahara qui seront au centre de ses préoccupations. Converti officiellement à l’islam en 1913, sous le nom de Nasreddine, il usera notamment de son influence pour plaider la cause des soldats indigènes.
(Extrait de la Plaquette de l’Exposition)
Ouverture 
Du mardi au vendredi : 10 à 18h
Du samedi au dimanche et jours fériés : 10 à 19h
Tarifs
Plein tarif : 8 € / - de 26 ans : 4 € / - de 18 ans : gratuit
Adresse
1, rue des Fossés Saint Bernard 75005
Métro : Cardinal Lemoine
Bus : 63, 67, 86, 87, 89
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En quittant l’Expo, nous sommes allés sur la terrasse de l’Institut et, grâce à un ciel dégagé, avons pu voir l’avancée des travaux de reconstruction de la toiture de Notre Dame.
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De retour à la maison, les plus frileux s’étant couverts, nous nous sommes installés sur la terrasse où nous avons pris l’apéro. Par contre, trop frais malheureusement pour dîner dehors.
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Ci-dessous, 1 petit tableau d’Etienne Dinet dont nous nous sommes servis comme « marque-place ».
La jeune-fille a même fini « encadrée » sur une étagère de la petite bibliothèque de l’entrée.…
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MARDI 16 AVRIL 2024 (Billet 2 / 3)
Maïlys, notre nièce, et sa petite famille sont en ce moment à Essaouira, dans un superbe Riad où ils avaient déjà passé une excellente semaine il y a 2 ans ou un peu moins.
A l’époque, ils étaient quatre mais depuis, un troisième enfant est arrivé. Vous le connaissez peut-être… Il s’appelle Simon. Ce n’est pas la peine d’en dire plus, sa p’tite bobine vous raconte tout. Petit détail (mais le diable n’est-il pas dans les détails ?), le bleu de ses yeux est tout à fait raccord avec les barques du port et le ciel d’Essaouira !
Nous les embrassons bien fort et leur souhaitons d’EXCELLENTES vacances.
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MARDI 16 AVRIL 2024 (Billet 3/3)
Le vendredi 12 avril, à la première séance de l’après-midi, nous sommes allés re-voir « LES CHORISTES » dans une version restaurée en 4K qui ressort en salle à l’occasion des 20 ans de la sortie du film.
Nous n’avons pas du tout été déçus. Quelques jours auparavant nous avions regardé un « C à vous » dont la dernière partie était consacrée à cet événement, en présence du metteur en scène Christophe Barratier et du jeune « Pépinot », Maxence Perrin (le fils de Jacques Perrin qui avait un petit rôle dans le film mais qui en était surtout le Producteur).
Ne manquez pas les 14 minutes de l’émission (voir tout en bas de ce Billet), vous allez apprendre plein de choses et vous donnera peut-être envie de faire comme nous… surtout si vous avez des enfants ou des petits-enfants.
Gérard Jugnot y est INCROYABLE !!! Nous avons donné tous les deux ❤️❤️❤️,6 sur 5 à ce film.
Nous avions choisi une séance à 13h au Pathé Montparnasse (dans lequel nous ne remettrons plus jamais les pieds, tellement ce cinéma, le plus cher de Paris, est d’une froideur abyssale !), parce qu’ensuite nous voulions déjeuner en terrasse au Sélect. Marina y commande toujours une assiette d’os à moëlle et JM, une andouillette AAAAA.
Au fait, savez-vous pourquoi ces andouillettes ont cette appellation ?
Et bien parce qu’elles correspondent à une classification créée en 1970 par une Association regroupant des professionnels dans la restauration, les media, l’industrie alimentaire et la gastronomie : « l’Association Amicale des Amateurs d’Andouillette Authentique », dite aussi « 5A ».
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MARDI 9 AVRIL 2024 (Billet 1 / 3)
« ET PLUS SI AFFINITÉS » (1h 20min)
Un film d’Olivier Ducray et Wilfried Méance, avec Isabelle Carré, Bernard Campan, Julia Faure et Pablo Pauly.
Présenté en avant-première au Festival de l’Alpe d’Huez, les 2 acteurs principaux obtiennent les récompenses de meilleurs acteurs et le film, le Prix Spécial du jury et le Prix du Public.
La critique du Figaro ci-dessous dit très bien tout ce que nous en avons pensé.
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Dans cette comédie très bien interprétée, un couple coincé reçoit ses voisins entreprenants.
« L’amour, enfant de bohème, n’a jamais connu de loi... » La rengaine est prémonitoire mais Xavier (Bernard Campan) ne le sait pas encore. Alors qu’une élève massacre avec application Carmen à la flûte à bec, ce professeur de musique blasé l’écoute à peine, ne cherchant même pas à lutter contre la somnolence qui le gagne. Il aurait sûrement été moins pressé de voir le cours se terminer s’il avait su ce qui l’attendait chez lui. Sophie, sa femme (Isabelle Carré), a invité à dîner Adèle et Alban (Julia Faure et Pablo Pauly), leurs voisins du dessus dont l’intensité sonore des ébats nocturnes ne fait pas débat.
À peine sont-ils arrivés que les premières piques fusent entre ces deux couples que tout oppose, l’un bourgeois et coincé, l’autre bien plus jeune et moins conventionnel. D’autant que la cuisson lente d’un gigot de sept heures va laisser du temps pour des préliminaires savoureux, avant que cette soirée explosive ne parte en vrille, de révélations en rebondissements. Adapté de « Sentimental », un film espagnol lui-même tiré d’une pièce de théâtre, « Et plus si affinités » est une belle surprise. Anatomie de la vie conjugale à la mode partagée, ce vaudeville filmé à huis clos sur les désirs enfouis et l’usure amoureuse ne ménage pas ses effets, aussi drôles qu’efficaces.
Il faut déjà saluer la durée du film, rare aujourd’hui, d’une heure vingt seulement, qui exploite jusqu’à l’os (du gigot) son thème, sans s’éparpiller dans des digressions inutiles. La mécanique est implacable, les répliques s’enchaînent et le rythme ne faiblit pas. À l’apéritif, on se jauge et on se provoque, avant de passer à table, au sens propre comme au sens figuré. En amuse-bouche devant les verrines, face à leurs hôtes bouche bée, Alban et Adèle confient pratiquer le « sexe en groupe », terme qu’ils préfèrent à « partouze ». « C’est plus joli comme expression » précisent-ils. « En langage militaire, exaction, c’est plus joli que massacre mais ça reste quand même une boucherie », leur rétorque Xavier. Avec les entrées, une nouvelle révélation va faire grimper la folie. Personne ne sera épargné.
Bernard Campan est formidable en mari aigri, sarcastique et ronchon, Isabelle Carré, tout aussi épatante dans le rôle de la maîtresse de maison empathique et bien élevée qui va se révéler bien plus surprenante, prête aussi à interroger leur couple usé par vingt-cinq ans de vie commune. À leurs côtés, Julia Faure en psychologue comportementaliste pour animaux domestiques et Pablo Pauly en pilote fanfaron et arrogant sont des partenaires de taille.
Aucune raison de bouder son plaisir !
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Ayant vu la bande-annonce (voir ci-dessus... surtout, ne la ratez pas !), au début, nous avons été surpris car nous pensions que c’était un film comique. Or, ça n’est pas du tout le cas. Pour vous donner une idée de l’humour TRES particulier de « Et plus si affinités », disons qu’il se situe entre « Cuisine et dépendances », « le Prénom » et « Le dieu du carnage »… Si vous avez vu l’un de ses trois excellents films, vous saurez de quoi nous parlons.
Nous lui avons donné tous les deux ❤️❤️❤️,5 sur 5.
Et si cela peut vous rassurer et peut-être vous inciter à aller le voir, sachez que les spectateurs l’ont noté 3,8 et tous les critiques « Pro » l’ont bien apprécié, à l’exception du Monde et de Télérama… ce qui est pour nous un gage de qualité (🤪).
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MARDI 9 AVRIL 2024 (Billet 2 / 3)
« UN ÉTÉ 42 », un film de Robert Mulligan
S’il vous plaît, regardez la bande-annonce ci-dessus. En vrai, ce n’est pas une bande-annonce, contrairement à ce qui est écrit sur la vidéo, plutôt le début du film... et le doublage en français de la voix du jeune narrateur est catastrophique. Pourtant, c’est ce document que nous avons choisi parce que c’est celui où l’on entend le mieux la musique de Michel Legrand. Elle a connu un grand succès à l’époque et a permis à son compositeur d’obtenir l’Oscar de la Meilleure Musique de Film.
Pardon pour l’aparté personnel, JM à l’époque a adoré ce film et l’histoire (triste) qu’il raconte, tellement bien « illustrée » par la musique. Depuis, il ne peut plus l’écouter sans que les larmes ne lui montent aux yeux. Dans un tout autre domaine, la musique de Puccini agit de même sur sa sensibilité. Un mystère.
Quelques mots sur le film sorti en 1970 avant de vous dire pourquoi nous vous en parlons aujourd’hui.
Le pitch : « 1942, États-Unis. Adolescent timide, Hernie fait la connaissance de Dorothy, dont le mari est parti au front. Il tombe follement amoureux de la belle jeune femme qui ne voit en lui qu’un ado sympathique. Bientôt elle apprend que son mari a été tué à la guerre… »
La jeune femme, c’est Jennifer O’Neill (c'est elle que vous avez vu sur le frontispice) et l’adolescent, c’est Gary Grimes. Tous les deux n’ont pas eu par la suite une carrière mémorable dans le cinéma… mais dans ce film, Dieu que Jennifer O’Neill, ancien mannequin, était belle !
Vendredi dernier, nous étions invités à l’anniversaire d’une (grande et vieille) amie qui fêtait ses 95 ans. Pour des raisons de respect de la vie privée de la personne qui nous recevait, nous ne rentrerons pas dans les détails mais l’anniversaire a eu lieu dans la dernière demeure du compositeur Michel Legrand.
Imaginez l’émotion de JM lorsqu’il a vu, dans une des bibliothèques, les 3 Oscars que le musicien a remportés. Le premier, pour la chanson phare du film « L’Affaire Thomas Crown » de Norman Jewinson (1968), « The Windmills of Your Mind » (« Les Moulins de mon cœur » en français) et le troisième pour la musique de « Yentl » de Barbra Streisand en 1983. Mais, vous l’aurez deviné, c’est son deuxième Oscar pour « Un Eté 42 » qui l’a le plus fasciné. C’est simple, il n’a même pas osé le prendre dans ses mains. Il l’a juste « pris en photo », avec ses deux compagnons.
Ce vendredi 5 avril a été une MERVEILLEUSE journée, à tous points de vue !
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MARDI 9 AVRIL 2024 (Billet 3/3)
« TAGLIATELLES DE POIREAUX À LA CARBONARA »
Marina, spectatrice assidue de l'émission de Laurent Mariotte, "Les petits plats en équilibre" avant les Infos de la Une à 13h, avait noté cette recette qui lui avait paru sympathique et gourmande. Elle nous l’a faite hier soir et nous nous sommes régalés.
Comme nous savons que certaines lectrices/abonnées ont déjà reproduit des recettes proposées sur le Blog et qu’elles en avaient été très satisfaites, nous publions celle-ci qui ne devrait pas les décevoir.
Cuisson : 15 min Préparation : 15 min
Ingrédients (pour 4 pers.)
4 poireaux 100g de lardons fumés 100g de pecorino (ou de parmesan) fraîchement râpé 1 œuf + 2 jaunes d’œufs Poivre
La recette
Ôtez les deux premières couches des poireaux, fendez-les en deux et rincez-les sous l’eau. Coupez-en deux pour séparer les verts des blancs de poireaux et émincez-les dans le sens de la longueur de façon à obtenir des tagliatelles.
Faites bouillir une casserole d’eau salée et plongez-y les verts de poireaux pour trois minutes de cuisson et ajoutez les blancs pour trois minutes supplémentaires. Egouttez le tout dans une passoire.
Faites dorer les lardons à la poêle. Ajoutez les tagliatelles de poireaux et mélangez.
Pendant ce temps, mélangez le fromage aux œufs et poivrez.
Stoppez la cuisson des lardons et des tagliatelles de poireaux, versez la sauce dessus et mélangez le tout.
Servez dans des assiettes creuses et dégustez aussitôt
Notre conseil : Si vous voyez que la sauce est un peu trop liquide, ne stoppez pas de suite la cuisson des lardons/tagliatelles de poireaux une fois la sauce versée. Attendez un peu que les œufs « prennent ». C’était le tout petit bémol qui pouvait être amélioré dans le plat de Marina…
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MARDI 2 AVRIL 2024 (Billet 1 / 3)
Pour vous changer un peu des images dramatiques des inondations qui passent en boucle sur les chaînes d’info en continu, vous trouverez ci-dessus un petit reportage sur le printemps qui pointe le bout de son nez sur notre terrasse.
Ah si nous pouvions appuyer sur « Avance Rapide » et nous retrouver 2 ou 3 semaines plus tard avec quelques-uns d’entre vous, sympathiquement installés, pendant que le maître de maison cuisine à la Plancha, par exemple, ses « Gambas façon Thaïe » !
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MARDI 2 AVRIL 2024 (Billet 2 / 3)
Le résultat est bluffant. Laurent Gera imite à la perfection Fabrice Luchini. Mais il n’invente rien, le texte commenté par l’humoriste est exact, à la virgule près (si tant est qu’il y ait une virgule dans le texte).
Lorsque vous lisez les commentaires sur You Tube à la suite de cette vidéo, c’est une unanimité contre le choix de cette chanteuse. Nous en avons sélectionné un, parmi les plus softs. Nous sommes tout à fait d’accord avec Claude W.
Flash-Back. Souvenez-vous, lors du bicentenaire de la Révolution Française, il y a eu un superbe défilé sur les Champs-Elysées organisé par Jean-Paul Goude et chorégraphié par Philippe Découflé et puis, clou du spectacle, la chanteuse américaine Jessye Norman, drapée dans un drapeau français, au pied de l’Obélisque de la Concorde, a fait vibrer la France et 800 millions de téléspectateurs à travers le monde, avec son interprétation mémorable de la « La Marseillaise ».
Américaine et noire, elle a pourtant fait l’unanimité. Faut dire que le Président de l’époque, qu’on l’ait apprécié ou pas, était incontestablement d’une tout autre culture que notre Président actuel.  
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@ClaudeWolteche
Il y a 2 semaines
« Le pire de tout, c'est, qu'une fois de plus, on ne peut avoir d'opinion sans être affublé d'une étiquette de racisme !!! Je trouve ce choix catastrophique et non pas à cause de sa couleur ou de son origine ! Elle peut être la meilleure chanteuse du monde, écoutée par tout le monde que cela ne change pas le fait qu'elle n'est pas adaptée à du PIAF ni à une cérémonie représentant l'Olympisme ! Mon opinion n'est basée QUE par son style, son attitude, son extrême vulgarité ! Par contre, j'estime que ceux qui l'ont choisie l'ont fait par racisme... Le « racisme positif » reste du racisme !!! Elle représente parfaitement le même choix que le Président Macron, à la Fête de la Musique en 2018, avait fait lorsqu’il avait demandé à quelques DJ, dont Kiddy Smile, de venir animer une piste de danse au Palais de l'Élysée. Personne n’oubliera le tee-shirt de ce dernier... »
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MARDI 2 AVRIL 2024 (Billet 3/3)
« LE JEU DE LA REINE » (2h)
Un film de Karim Aïnouz (un metteur en scène brésilien d’origine algérienne), avec Alicia Vikander, Jude Law…
« Il était une fois un roi malade et colérique qui régnait sur un royaume corrompu », les premières phrases du film, en forme d’incipit de conte, sont prononcées par une future Reine d’Angleterre, Élisabeth 1ère. Sa voix introduit un épisode de sa jeunesse auprès de son père, Henri VIII. Elle aurait tout aussi bien pu fredonner une comptine que les Anglais apprirent par la suite : « Divorcée, décapitée, décédée, divorcée, décapitée, vivante », moyen mnémotechnique de se souvenir du sort des six épouses du célèbre monarque.
Une fois n’est pas coutume, « Le Jeu de la Reine » s’intéresse à la dernière. La « vivante », Catherine Parr, qui assista son mari jusqu’à la mort de ce dernier en 1547. C’est en ressuscitant cette figure d’une épouse longtemps assimilée à la nurse d’un roi décrépit que le cinéaste Karim Aïnouz s’aventure sur les terres ripolinées du film en costumes. Et ça ne sent pas la naphtaline ! Malin, il transbahute la cour des Tudor dans le Devonshire.
À Londres, la peste fait des ravages et voilà ce beau monde investissant avec cage à perroquet, colliers en forme de chaînes et manteaux à épaulettes XXL, les moindres recoins d’un château qui semble fort mal chauffé dans son nuage de brume.
Catherine Parr (Alicia Vikander), Reine régente, est à la manœuvre pendant que son mari guerroie en France. Elle gère plutôt efficacement les affaires courantes (moues dédaigneuses des puissants du royaume) et fait réviser leurs leçons à ses beaux enfants, tous deux orphelins. Le jeune Édouard, (branche Seymour, mère décédée) futur héritier, et Elisabeth (branche Boleyn, mère décapitée) à qui elle enjoint d’aller plus loin que la traduction littérale des textes. Il s’agit de former une femme qui pense. La reine se rend aussi en catimini dans la forêt. Elle y rencontre la prédicatrice Anne Askew, une amie d’enfance impliquée dans la Réforme. L’expédition ne passe pas inaperçue auprès de ses opposants qui estiment qu’elle a un peu trop d’influence sur le roi vieillissant.
Justement, Henri VIII (Jude Law) affligé d’un ulcère à la jambe rentre plus tôt que prévu de la campagne de France. Branle-bas le combat au château, le stress se diffuse dans toutes les antichambres. « Je ne sais jamais ce qu’il va faire, ni ce qu’il pense », déclare la jeune Elisabeth, défaite. Jude Law, ogresque à souhait, tonne, éructe, joue au jeu du chat et à la souris avec sa femme qui esquive, tout à tour câline ou ferme.
Karim Aïnouz filme l’histoire en regardant par le trou de serrure, la confrontation du couple. Il introduit le thriller psychologique dans cette Angleterre filmée comme un tableau. Chacun avance ses pions : le mari retors et violent, l’épouse maligne et déterminée. Il est le feu, elle joue avec. Visage impassible mais cœur battant à tout rompre, Alicia Vikander affronte avec une belle audace un Jude Law aussi méconnaissable qu’inquiétant. Le roi est mort. Ouf ! Vivante.
(Source : « lefigaro.fr »)
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Nous avons beaucoup aimé ce film dont nous avions repoussé à 2 reprises le jour de la séance, suite à des conditions climatiques DÉ-TES-TABLES !
On ne peut pas dire qu’il ait fait meilleur lorsque nous y sommes allés, disons qu’il faisait juste un peu moins pire.
L’article ci-dessous dit très bien tout ce que nous avons particulièrement apprécié dans ce film, l’interprétation entre autres des 2 comédiens principaux (si vous ne le saviez pas, nous vous aurions mis au défi de reconnaître Jude Law, un des plus beaux acteurs de sa génération, dans le rôle d’Henri VIII) mais aussi tout le reste de la distribution. Les costumes, les décors… parfaits ! Quant à l’histoire, même si dès le début nous connaissons la fin (quoique…), l’angoisse qui s’installe au fur et à mesure de son développement est digne d’un thriller.
Nous avons donné tous les deux ❤️❤️❤️,5 sur 5 à ce film.
NB. Pour finir, nous vous mettons 2 liens à la fin de ce Billet, le premier concernant la sixième Reine, Catherine Parr et le second, Henri VIII. Si vous les ouvrez et les lisez aussi attentivement que nous l’avons fait, vous vous apercevrez très vite que l’autrice du livre dont s’est inspiré le film, Elizabeth Fremantle, s’est très largement éloignée de la vérité historique mais, par contre, est restée fidèle au sens principal de l’« action » de Catherine Parr sur son époque et sur l’avenir « spirituel » du Royaume d’Angleterre. Comme disait Alexandre Dumas : « Il est permis de violer l’histoire, à condition de lui faire un bel enfant ! »…
Les 2 liens en question :
Sous-estimée, la sixième et dernière femme d’Henri VIII façonna l’Angleterre | National Geographic
Henri VIII — Wikipédia (wikipedia.org)
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JEUDI 28 MARS 2024 (Billet 1 / 3)
« SCANDALEUSEMENT VÔTRE » (1h40min)
Un film de Thea Sharrock, avec Olivia Colman, Jessie Bucley, Timothy Spall, Eileen Atkins…
Titre original : « Wicked Little Letters »
Reposant sur l’opposition entre deux actrices au sommet de leur art, Olivia Colman et Jessie Buckley, cette comédie dramatique en salles depuis la semaine dernière fait rire autant qu’elle touche.
Une fois de plus, le titre original s’avère plus parlant : « Wicked little Letters » (« Méchantes petites lettres » ou « Petites lettres perverses ») résume bien mieux le film que le banal « Scandaleusement vôtre ». Car c’est bien de lettres dont il s’agit dans cette comédie britannique : des missives reçues, en 1920, dans une petite ville côtière anglaise par la très prude Edith, fille d’un notable, issue d’une famille très à cheval sur les convenances, une vraie « grenouille de bénitier ».  
Or, le clan ne va pas être déçu : les courriers, reçus quotidiennement ou presque par Edith, donnent dans les insultes fleuries - Edith se voit ainsi traitée de « vieille salope perfide », de « sale roublarde de merde », et on en passe (beaucoup et des bien pires !)… Bientôt, les écrits anonymes vont virer à la dénonciation de différents comportements malsains et autres perfidies des villageois.
Rapidement, les soupçons se portent sur l’une de ses voisines, Rose, récemment arrivée d’Irlande, veuve et mère élevant seule son enfant. Car celle-ci n’a pas la langue dans sa poche, jure en permanence comme un charretier, et passe pour une fille vulgaire et légère.
Une histoire vraie qui a jadis secoué le Royaume-Uni
Mais une policière locale, hélas peu écoutée par ses supérieurs car cumulant à leurs yeux une triple « tare » - elle est une femme, débutante et d’origine indienne, soupçonne rapidement le coup fourré et mène l’enquête pour innocenter Rose qui, de son côté, ne fait rien pour lever le pied et continue de s’enfoncer. Un procès retentissant s’ensuit, qui va déboucher sur une énorme surprise…
Fantastique traité de grossièretés difficilement imaginables, tiré, c’est à peine croyable, d’une histoire vraie qui a jadis secoué le Royaume-Uni, « Scandaleusement vôtre », aussi drôle qu’émouvant, se double d’une chronique sociale bien sentie sur les mœurs britanniques de l’époque.
(Source : « leparisien.fr »)
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Cette critique parue dans Le Parisien résume assez bien ce que nous avons pensé de ce film. Un film distrayant, sans prise de tête, très british, très classique dans sa mise en scène… Un film de dimanche après-midi, mais réussi.
Nous ajouterons juste une chose, l’actrice qui interprète Rose, Jessie Bucley, est craquante à souhait quand elle sourit. Elle a sûrement contribué aux ❤️❤️❤️,5 que nous avons donnés tous les deux à « Scandaleusement vôtre ».
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JEUDI 28 MARS 2024 (Billet 2 / 3)
Le 24, c’était le « dimanche des Rameaux », une Fête chrétienne très importante. La plupart d’entre vous la connaisse, pour les autres, ce serait trop long à raconter ici. Un court résumé quand même : elle commence très bien et se finit très mal.
Mais la fin de la fin est très belle.
Quant aux « rameaux », la tradition veut qu’après avoir brulé ceux de l’année précédente au début du carême, les cendres servant à la cérémonie du « mercredi des Cendres »… les fidèles en prennent de nouveaux et les fassent bénir le jour du « dimanche des Rameaux ».
Nous n’allons pas vous mentir, nous n’avons pas participé à cette Messe car nous étions invités à déjeuner (excellent repas au demeurant et très agréable moment passé en compagnie de Marie-Ange T. qui nous recevait). JM a juste pris ces photos avant de partir mais en rentrant, il y avait la Messe de 18h30 et nous sommes allés nous recueillir à l’intérieur de l’église (*), notre « voisine ».
(*) Commencée en 1926, puis inaugurée le 4 juillet 1930, l'église est l'œuvre de l'architecte Charles-Henri Besnard. Il employa pour cela des techniques qu'il avait brevetées quelques années plus tôt comme des éléments de ciment armé moulé. C'est la première église au monde construite avec cette méthode.
L'église est dédiée à Saint Christophe. A l’intérieur, douze panneaux peints par Jac Martin-Ferrières retracent sa vie.
Le fronton de l'église, en brique et béton, est orné d'une grande statue du Saint réalisée en béton, œuvre de Pierre Vigoureux.
L'église, les façades et toitures du centre paroissial annexe sont protégées depuis 1975 et inscrites au titre des Monuments Historiques suite à une campagne nationale sur la protection de l'architecture des XIXe et XXe siècles.
(Source : « wikipedia.org »)
NB Si vous avez un smartphone, en scannant un QR Code à l’entrée, vous pouvez avoir une visite commentée de l’église. Avec le même smartphone, vous pouvez aussi nous appeler un peu avant et nous nous ferons un plaisir de vous recevoir.
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JEUDI 28 MARS 2024 (Billet 3/3)
« MONDIAUX DE PATINAGE ARTISTIQUE (Canada – Montréal) »
Le Français Adam Siao Him Fa a remporté la Médaille de Bronze samedi aux Mondiaux de patinage à Montréal, à la faveur d'une incroyable remontée dans une compétition gagnée par l'Américain Ilia Malinin.
19e après le programme court mercredi, Adam Siao Him Fa a merveilleusement réagi sur le programme libre pour s'offrir, après une longue attente, la médaille de bronze dimanche aux Mondiaux de Montréal (Canada).
Le Français de 23 ans a maîtrisé tous ses envols, notamment ses quatre quadruples (lutz, salchow et deux boucles piqués, dont un en combinaison avec un triple) et même abandonné sciemment deux points en s'autorisant un backflip (salto arrière), figure interdite qui le caractérise et qui a provoqué l'ovation du public du Centre Bell.
C'est la première médaille française chez les hommes depuis 14 ans (depuis celle de Brian Joubert en 2010) !
« Ce Championnat a été synonyme de hauts et de bas pour moi. Cela a été beaucoup d'émotions, a réagi Adam Siao Him Fa. Je suis content d'avoir pris ma revanche par rapport au programme court, c'est vraiment ce que je voulais », a-t-il ajouté, évoquant « la meilleure performance » de sa vie. Le Français avait remporté en janvier dernier un deuxième titre de Champion d'Europe.
(Source : « lequipe.fr »)
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Il fut un temps où les Championnats de Patinage Artistique étaient diffusés à la télévision sur une grande chaîne nationale. Malheureusement cette époque est révolue, il faut aujourd’hui être abonné (en payant) à la chaîne « L’Equipe ». En revanche, le téléspectateur peut n’échapper à aucun match de football ou de rugby. Parfois même, un programme initial est remplacé au dernier moment par la retransmission d’un de ces matchs !
Et c’est bien dommage, surtout pour ceux, comme nous, qui n’en regardons jamais ! Si c’est un problème d’audience, pourquoi le patinage (dont peut-être l’horrible défaut est d’être qualifié « d’artistique ») n’est pas rediffusé par exemple en seconde partie de soirée sur une chaîne faisant partie de la TNT ?
Nous dédions ce Billet à tous nos lecteurs/abonnés qui se sentent frustrés de cette grave lacune de notre Service Public, dont sûrement notre cousine Catherine (W.B.).
PS Nous avons fait des recherches sur la musique, très particulière, choisie par le jeune patineur français et grâce à Shazam nous avons appris qu’elle était de l’excellent compositeur contemporain, Max Richter et que le morceau s’appelle « Departure », déjà tout un programme.
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MERCREDI 20 MARS 2024 (Billet 1 / 2)
Hier, Pierre Guettre et sa petite équipe de jardiniers sont venus « ouvrir » notre terrasse. Vous savez que nous n’avons pas d’enfants, ni de petits-enfants… notre BB à nous, c’est ELLE, sise au sixième et dernier étage de notre immeuble.
L’hiver, comme les ours d’antan (il parait qu’à cause du réchauffement climatique, ça n’est plus le cas), elle hiberne. Mais un peu avant le printemps, nous lui faisons se refaire une beauté. Il y a des années, c’était nous qui nous en chargions mais à un moment cela nous est devenu de plus en plus difficile.
Un peu par hasard, suite à une maladie dont était atteinte une de nos plantes, nous avons fait intervenir un jardinier trouvé sur Internet. Il s’appelait Pierre. Il a sûrement été de très bon conseil et efficace car lorsqu’il nous a dit que nous pouvions utiliser ses services au titre de l’« AAD » et bénéficier d’une aide de l’Etat, nous avons très vite décidé de lui confier « l’ouverture » et la « fermeture » de notre terrasse. Cela fait quelques années qu’il s’en occupe, elle ne s’est jamais aussi bien portée, nous lui en sommes très reconnaissants… et nos vertèbres du dos aussi !
Vous trouverez ci-dessus des photos des « travaux ». Ils s’y sont mis à quatre, toute la journée, et nous pouvons vous dire qu’ils n’ont pas chômé (surfaçage de tous les pots, engrais, taillage des plantes, toutes les dalles passées au Karcher, remise en route et vérification de l’arrosage automatique, etc.) ! Nous leur avons même demandé de changer les trompe l’œil de la cheminée et des murets du fond. Ils étaient en bois, donc fragiles. Il aurait fallu les dévisser tous les ans pour les repeindre. Nous ne l’avons jamais fait. Du coup, ils ne tenaient que 3 ans en moyenne. Comme ce sont des articles très coûteux, et que cela aurait dû être notre 4e investissement, nous avons préféré opté pour des treillis en plastique, certes un peu moins esthétiques mais beaucoup plus pérennes.
Puis ci-dessous, des photos de la terrasse après leur passage.
Bien sûr, à part les Corettes du Japon, les Lilas des Indes n’ont pas encore fleuri (mais il y a déjà plein de petits bourgeons qui pointent le bout de leur nez, idem pour la vigne vierge), ni les lauriers, les pivoines, les spirées et les hortensias pour ne citer qu’eux.  Tout ce petit monde, comme la Belle au Bois Dormant, va se réveiller en temps et en heure… leurs Princes Charmants étant le Printemps, le soleil, la chaleur et pour les Lilas, le mois de juillet.
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Et pour finir, nous étions invités hier soir à dîner chez nos voisins du dessous. Christine, la maîtresse de maison, cuisine divinement bien et ses menus sont toujours différents et originaux. Nous nous sommes régalés. Jugez plutôt : en entrée, une crème brûlée aux champignons, puis des pavés de saumon en croûte d’amandes et, au dessert, une salade d’agrumes bien fraîche, surmontée d’un granité au Mojito. Une tuerie !  Soirée gourmande et très sympathique, nous avons passé un excellent moment.
En rentrant, nous avons voulu tester nos éclairages… un prétexte pour déguster un petit digestif (Schweppes aux agrumes / Grand Marnier). Voir les photos ci-dessous.
NB Nous vous en parlons chaque année, si vous êtes à la recherche d’un jardinier et que vous souhaitiez utiliser ses services régulièrement, téléphonez-nous, nous vous donnerons avec plaisir les coordonnées de Pierre. Ceci est bien entendu une publicité totalement désintéressée…
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Nous n'avons pas choisi le même paparazzi que Kate ex-Middleton et la photo n'est pas truquée... Par contre, nous trinquons à votre santé !
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