Tumgik
#rhétorique
oreilletendue · 6 days
Text
Le zeugme du dimanche matin et de Cécile Portier
«Son expression est si changeante et toujours égale. C’est avec la même voix qu’elle m’appelle au meurtre, au stupre, ou à table.» Cécile Portier, «Inter(faces)», dans Surveillances, publie.net, 1996, 166 p., p. 117-130, p. 121.   (Une définition du zeugme ? Par là.)
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
dsirmtcom · 5 months
Text
FL - Platon, Phèdre ou De la Beauté
FL - Platon, Phèdre ou De la Beauté #Philosophie #MardiCestPhilosophie #Platon #Socrate #Beauté #Discours #Parole #Écrit #vrai #Vraisemblable #Rhétorique #Psychagogie
Fiche de lecture n° 47 Éléments biographiques et de doctrine Cf. Doctrines et vie des philosophes illustres : Socrate. L’œuvre Le Phèdre fait partie des œuvres de la période de maturité (385-370). Il comprend deux personnages : Socrate et son ami Phèdre, aristocrate athénien, partisan des Sophistes. Les incontournables La palinodie : 243a-d. Le mythe de l’attelage ailé : 246a-d. Le mythe…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
parentslabd · 5 months
Text
Tumblr media
On t'a rien demandé toi..
0 notes
information-2-0 · 7 months
Text
youtube
1 note · View note
lejournaldupeintre · 1 year
Text
Rhétorique
Numeric etching / Briat 2022 – –https://lejournaldupeintre2.wordpress.com/ Painting news project Les tableaux du peintre Twitter – – –https://lejournaldupeintre2.wordpress.com/ Painting news project Les tableaux du peintre Twitter – – – – – – – – – –
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
lechalonphilo · 2 years
Text
Combattre la fausseté dans les discours - Mon premier livre !
Salut les esprits libres ! Dans cet article je t'explique ce que contient mon livre et comment l'obtenir ! Dis-moi ce que tu en penses et n'hésite pas à me donner ton avis ! #philosophie #logique #communication #rhétorique #logique #arguments #fallacieux
Pour voir la version vidéo c’est ici : Explication : Combattre la fausseté dans les discours – pour en finir avec les arguments fallacieux est mon premier livre ! C’est un petit guide ou je vous dévoile 26 types d’argumentations fallacieuses à l’aide d’exemples et ou je vous explique comment vous en défendre ! En fait, c’est un guide de défense contre les forces du mal haha ! Plus sérieusement,…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
Text
Quand est-ce qu’on a décidé d’utiliser le mot “caucasien” pour des Européens blancs comme des culs alors que la région du Caucase est littéralement limitrophe à la Turquie et l’Iran, des pays dont les habitants sont largement considérés comme n’étant pas blancs ? Est-ce que c’est parce que la partie nord est en Russie ?
33 notes · View notes
insecateur · 9 months
Text
Tumblr media
c'est grave si j'ai pensé au frein du pénis
4 notes · View notes
chifourmi · 2 years
Text
Waah une question conne m'est venue en tête. Le torse des tétraplégiques ne bouge pas quand ils respirent du coup??
(16/09/2022)
11 notes · View notes
oreilletendue · 13 days
Text
Le zeugme du dimanche matin et de Louis Sébastien Mercier
«Ses cheveux proprement tressés formaient un nœud derrière sa tête, et un léger soupçon de poudre leur laissait leur couleur naturelle. Ce simple accommodage ne présentait point une pyramide plâtrée de pommade et d’orgueil, ni ces ailes maussades qui donnent un air effaré, ni ces boucles immobiles qui, loin de retracer une chevelure flottante, n’ont d’autre mérite que celui d’une roideur sans…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
lickthecowhappy · 1 month
Text
I struggled with this one so please be nice to me. I think the prolonged exposure to low grade sadness made me grumpy.
The French text in this poem is taken from Gustave Flaubert’s 1842 novela Novembre.
And for the record, I don't think Crowley is really this much of a sad sack, it's just artistic license.
Translated version is below the cut.
Tumblr media
Deux Langues de Nous
Rhapsodies poétiques,  I stuttered and struggled- laid utterly bare- surrounded by the words of infamous poets,  all fleeing my grasp like timid prey. souvenirs de mauvaises lectures,  How desperate I was to recall any  soliloquy, monologue, or profession of love  crafted so carefully by the human heart. hyperboles de rhétorique,  I could not compare thee to a Summer's day,  nor my love to a red red rose; I only scrabbled for  any stale crumb of affection my mouth could offer. que toutes ces grandes douleurs sans nom,  We couldn't say it, unspoken all those years-  until I put a name to what could have been,  and took “Us” with me when I left. mais le bonheur aussi ne serait-il pas  une métaphore inventée un jour d’ennui?  Perhaps I was not created to be loved,  only to be used and discarded. Cast down  once Love, Herself, tired of me. J’en ai longtemps douté,  For one bitter moment I believed in my  withered soul that you might hold me dear.  How foolish I must have seemed in your eyes. aujourd’hui je n’en doute plus. You and I were speaking two different languages and you were never very good with French. I suppose we both learned that the hard way.
[Translation]
[Two Languages of Us]
[Poetic rhapsodies,] I stuttered and struggled- laid utterly bare- surrounded by the words of infamous poets,  all fleeing my grasp like timid prey. [memories of bad readings,] How desperate I was to recall any  soliloquy, monologue, or profession of love  crafted so carefully by the human heart. [rhetorical hyperboles,] I could not compare thee to a Summer's day,  nor my love to a red red rose; I only scrabbled for  any stale crumb of affection my mouth could offer. [all these great nameless pains,] We couldn't say it, unspoken all those years-  until I put a name to what could have been,  and took “Us” with me when I left. [But maybe happiness too, is a metaphor  invented on a day of boredom?] Perhaps I was not created to be loved,  only to be used and discarded. Cast down  once Love, Herself, tired of me. [I doubted it for a long time,]  For one bitter moment I believed in my  withered soul that you might hold me dear.  How foolish I must have seemed in your eyes. [today I no longer doubt it.] You and I were speaking two different languages and you were never very good with French. I suppose we both learned that the hard way.
42 notes · View notes
orageusealizarine · 6 months
Text
Le plaisir sexuel a à voir avec l'acte créatif - on utilise les mêmes termes, les mêmes secousses, les mêmes oublis de soi-même pour les décrire. Enthousiasme, excitation de l'esprit - ravissement artistique ou plaisir amoureux. Émerveillement tout à fait sensible dont la pure spiritualité n'est qu'un mensonge. S'émerveiller, c'est toujours sentir, sentir, sentir - pas de jouissance intellectuelle, seulement un sursaut des sens. S'émerveiller, c'est sentir la lumière couler sur la peau et la traverser, c'est s'arrêter devant la beauté tremblante qui nous saisit tout à coup - pénétration visuelle ou olfactive ou kinesthésique. Synesthésique, la plupart du temps.
Et si s'émerveiller, c'est jouir du réel et que l'écriture n'est qu'un acte d'émerveillement (je ne crois ni à l'art didactique, ni à l'académisme - et la rhétorique n'est qu'une pure pragmatique du langage, donc une technique), je vois dans l'érotisme, un jouir des corps, un émerveillement sensoriel. Je rêve à cette fusion, une jouissance totale, de l'être épousé à l'univers et à sa propre chair. Un enchantement qui ne peut se traduire que par une exclamation. Bien sûr, l'art et la vie sont lyriques. Comme l'extase.
Pas moins d'excitation devant la réalité qui m'entoure (le réel organique comme le décor urbain) que devant un corps désirant qui sait la force créative de ce désir. Puisque l'amour (le vivre) ne saurait, pour moi, être un acte de consommation : qui voudrait prendre du plaisir sans y voir cette émotion artistique me met dans une colère folle. Pas de consommation dans le désir. Et pas de différence fondamentale entre l'émerveillement et l'orgasme, entre la jouissance et l'écriture.
Je suis excédée : à genoux devant mon propre désir - mon émerveillement.
25 notes · View notes
information-2-0 · 7 months
Text
youtube
0 notes
aurevoirmonty · 5 days
Text
Tumblr media
"Ne pas avoir l’entendement de ce réalisme de l’Idée signifie s’en tenir à un plan, somme toute, infra-politique : celui du naturalisme et du sentimentalisme, pour ne pas dire de la rhétorique patriotarde. Idée, Ordre, élite, Etat, hommes de l’Ordre — qu’en de tels termes soient maintenus les rangs, tant qu’il sera possible."
Julius Evola, Orientations (1950)
9 notes · View notes
Text
Il faut donc considérer le poème comme la transmutation ou l’effet dans la parole de l’état de poésie - un manifeste de la poésie vécue (…). De fait, le poème ne vaut que s’il vibre, pour le lecteur ou l’auditeur, de l’écho de l’expérience qui en est son origine et sa seule justification - il n’est sinon qu’un effet de rhétorique dont notre besoin n’a que faire. Aucune analyse bien sûr ne saurait en rendre compte ni prouver cette vie dans la langue, seule la comprend mystérieusement en nous notre soif insatiable d’être. La poésie, voyez-vous, c’est avant le poème : une position décidée qui est le fondement d’une éthique. Il s’agit d’être exact avec la vie.
Jean-Pierre Siméon. La poésie à vivre. 2023
12 notes · View notes
lromarf · 1 month
Text
Chapitre III
Malgré tout leur amour pour les variations de saison et le renouvellement des collections, les rédactrices mode étaient réfractaires au changement. Souples à leur entrée, elles se coulaient dans le moule du magazine, ce contenant sans aspérité qui lissait leur créativité. Elles s'y pliaient d'autant plus volontiers que ce moulage chic et classique leur assurait une promotion. En effet, depuis le décès de la fondatrice madame Béatrice, les étapes de l'évolution en interne étaient aussi rigoureuses et respectées que celles d'une recette de macarons : les nouvelles rentraient au poste d'assistantes si elles avaient été stagiaires et les directrices le devenaient si elles avaient été rédactrices. En plus de produire des macarons réguliers, le process produisaient de loyales soldates. Or si les rangs étaient propres, soignés, fidèles, organisés, ils manquaient d'originalité et les régents s'étaient visiblement lassés de cette uniformité.
Larson avait été la réponse. Promouvoir une exception comme on aurait pris une reine étrangère pour mélanger le sang et fortifier des alliances. Ainsi n'avait-il pas été aussi bien accueilli par les équipes que par ses supérieurs. L'investiture fulgurante du nouveau DA inquiétait. Les paramètres d'accès au pouvoir été brusquement bousculés, ce qui déstabilisait les plan de carrière de chacune et angoissait d'autant plus que les nouveaux n'étaient pas clairement établis. On déplorait déjà ce changement et on s'inquiétait de cette nouvelle ère sans être capable de la définir, elle retirait du pouvoir sans qu'on sache qui allait le récupérer. Aussi chez Madame B, on attendait dans une fébrilité inquiète et suspicieuse, la première réunion du mois comme un test, une épreuve pour ce DA si distinct.
A dix-sept heure, la salle de réunion au premier étage bourdonnait d'une attente impatiente. La rédactrice mode principale, la rédactrice beauté et lifestyle, la rédactrice lingerie attendaient autour de la table ronde de la salle de réunion. Sandrine avait choisi cette table en 2002 après quelques problèmes de management pour créer plus de dialogue dans l'équipe. A travers la porte ouverte, les rédactrices guettaient l'arrivée de la rédac chef. Larson dos à la porte révisait sa proposition.
On le lui avait dit et répété, on attendait de l'audace. Une idée novatrice, du jamais vu. Dans son costume noir, il ressemblait à un élève sérieux prêt pour son oral, une pochette fermée devant lui. Son équipe, quatre cygnes blanc et minces aux yeux charbonneux bavardaient avec les rédactrices des autres départements. Cette idée l'amusait, il s'imaginait dans un ballet russe avec le mauvais rôle. Black Swann. Ou le vilain petit canard. L'une ou l'autre tant que l'histoire se terminait bien pour lui.
Les bavardages cessèrent quand Sandrine arriva avec du retard suivie de son assistante. Avec ses yeux pochés, trempés dans l'encre, sa silhouette sombre, elle pouvait obtenir le rôle. Une blouse de gaze transparente aux épaules gonflées qui montrait un soutien-gorge triangulaire opaque, une jupe crayon en cuir brillant, des escarpins vernis. Un autre genre de cygne.
-"Bien commençons." Elle s'installa à sa place habituelle. " Que voyez-vous pour octobre ?" Les plus anciennes savaient que la question était rhétorique et qu'elles ne sortiraient cette pièce que lorsqu'elles auraient explicitement formulé ce que Sandrine avait en tête. Elle ajouta pour les guider. "De la nouveauté, de l'audace, de la mode." Le programme politique habituel. Et comme en politique, les mots indiquaient les intentions, rarement la réalité ; les plus anciennes le savaient aussi.
Larson novice la prit au pied de la lettre. Il ouvrit son dossier et fit glisser les photos A4 de sept mannequins en direction des rédactrice autour de la table. "Une série sur les visages de demain comme Lindbergh en 88. Une couverture uniquement de mannequins noires et métisses."
Il sourit fier de son audace. Personne ne parlait, les rédactrices n'osaient pas toucher les portraits avant que celle en chef ne s'exprime. Elles reconnaissaient les visages pour les avoir vus défiler au compte goutte. Larson qui s'attendait à cette paralysie pesante gardait un esprit volontaire. Sandrine regarda de plus près le visage à l'expression neutre, celui d'une jeune fille de 19 ans qui avait signé l'année même chez Elite.
"C'est audacieux", commenta-t-elle avec visage sérieux en examinant les autres photos que les rédactrices lui passaient. Elle les étala devant elle. Les photos se chevauchaient sur la table. "Sept, c'est trop." Le visage aux cheveux courts et le sourire aux dents du bonheur furent écartés. Satisfaite, elle hocha la tête devant les cinq portraits. Puis elle se prit le menton dans la main. Quelque chose clochait. "Es-tu certain que ces filles soient assez connues? Qu'elles parlent au public ?" Il avait anticipé ce doute. "C'est à nous de leur parler, de toucher le public avec une image sincère de la beauté." Sandrine fit la moue dubitative. "- Madame B ne fait pas dans la sincérité. Tu n'es pas là depuis longtemps, mais j'imagine que tu comprends que nous représentons un idéal, un fantasme de la femme." - Exactement! Les filles de Madame B n'ont jamais ressemblé à leur public, elles incarnent une image parfaite de ce qu'elles voudraient être. C'est à nous d'inventer cet idéal à venir inventer cette image parfaite! De créer ce désir de ressemblance."
Sceptique devant la rhétorique bancale et enthousiaste de Larson, sa curiosité éveillée se transforma en agacement. Elle n'avait pas envie de ressembler à ses filles. Elle avait exprimé ses objections, il persistait. Elle émit un son nasal qui exprimait toute sa réserve. "Qu'en pensez-vous? "
Muettes, les rédactrices oscillaient entre leur opinion et ce qu'elles pensaient devoir dire. Aucune ne voulait prendre partie entre deux supérieures. L'une d'elle osa prendre la parole : "C'est ... novateur". Finalement, l'assistante de Sandrine, loyale reformula l'opinion de sa cheffe : "Je ne suis pas sûre que le public s'y retrouve, ne va-t-il pas se sentir exclu ? Va-t-il vouloir leur ressembler ?" La rédactrice beauté renchérit regardant alternativement Larson et Sandrine attendant un encouragement : "Peut-être une seule suffirait? L'idée d'une série est intéressante. Quelque chose de plus varié, non? -Dans ce cas-là autant publier la photo de Lindbergh et montrer qu'il n'y a eu aucun changement en vingt ans. C'est aussi ça l'audace, affirmer ne pas vouloir changer, répliqua Larson dont l'enthousiasme glacé devenait cassant.
Abasourdie par l'insolence de Larson, les rédactrices braquèrent leurs yeux écarquillés sur Sandrine. Travaillant dans la mode depuis 20 ans, mannequin puis rédactrice, elle avait l'habitude de collaborer avec les égos d'artistes et leurs caprices, moins de les gérer dans son équipe. Elle aimait travailler avec des gens créatifs mais elle refusait d'entrer en conflit dès le début.
Lors de leur première rencontre, il lui avait semblé plus calme. Après tout, il n'avait peut-être que le professionnalisme et l'assurance de son âge. Pourtant elle aurait chassé un caprice, il aurait pu l'amuser. mais ce n'était pas l'immaturité d'un jeune créatif. Autre chose. Une ambition au-delà la sphère esthétique. Un détail qui l'agaçait de manière irrationnelle. Un agenda politique. Cette découverte était insupportable, dégoûtante. Elle se targuait de laisser ça à l'extérieur de son champ de travail. De se concentrer sur la mode, et uniquement la mode. Elle était engagée à sa manière, attachée aux images qui lui plaisait, celles qu'elles trouvaient belles, et à l'idée qu'elle avait du magazine. La politique c'était autre chose. Chacun son métier. Elle ne l'aurait pas imaginé aussi évident, aussi missionnaire.
"Demain, je veux des propositions sur la base de l'idée de Larsen. Soyez créatives!"
Son appel à leur créativité sagement éduquée tempérerait, elle l'espérait, les extravagances de Larson et lui donnerait du temps pour trouver une réponse adaptée. Elle ne s'avouait pas qu'elle avait été dérangée par cette proposition. Les raisons pour lesquelles elle ne l'avait pas aimée lui venaient au bout des lèvres et lui déplaisaient fortement.
3 notes · View notes