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#utopie
gregor-samsung · 9 months
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“ Attilio ed Emilio Bandiera erano figlioli di un contrammiraglio della marina austriaca, di cui essi stessi facevano parte, l'uno come alfiere di vascello e l'altro come alfiere di fregata. Non volendo servire l'Austria, dopo aver preso parte ad alcuni moti rivoluzionari, essi si erano ricoverati a Corfù. E in quel contatto con altri esuli in terra straniera; in quel comunicarsi continuo di aspirazioni e di speranze, più rincresceva loro l'inedia che l'esilio. Ond'è che decisero una spedizione arditissima, quasi folle per ardimento. Insieme a Ricciotti, a Moro e a pochi audacissimi, pensarono di compiere uno sbarco sulle coste di Calabria. Ivi avrebbero cercato di far rivoltare le popolazioni calabresi e, se fossero riesciti, di mettere in fiamme tutto il regno di Napoli. Nel 1844, nella notte dal 12 al 13 giugno, i due fratelli Bandiera partirono per la spiaggia calabrese. Era in essi presentimento di morte. Quasi al momento di partire Nicola Ricciotti ed Emilio Bandiera così scrivevano a Garibaldi: « Se soccomberemo, dite ai nostri concittadini che imitino l'esempio, poiché la vita ci venne data per utilmente impiegarla; e la causa per la quale avremo combattuto e saremo morti, è la più pura, la più santa che mai abbia scaldato i petti degli uomini; essa è quella della libertà, della eguaglianza, della umanità, dell'indipendenza, dell'unità d'Italia ». Erano buoni e sinceri: aveano soprattutto la giovanile ingenuità senza di che non è possibile compiere né tentare imprese come quella cui essi si avventuravano. La sera del 16 giugno il piccolo drappello sbarcò sulla costa calabrese, alla foce del fiume Nebo. Il luogo dello sbarco era tristissimo: ma la terra d'Italia parve a essi sacra e la baciarono all'arrivo. Il piccolo drappello, mal guidato, inesperto dei luoghi, aveva anche nel suo seno chi dovea tradirlo. Gli esuli speravano di trovare al loro arrivo popolazioni desiderose di rivolte: e trovarono l'ostilità e la indifferenza. Nella valle di San Giovanni in Fiore — paese già sacro alla leggenda religiosa — circuiti da soldati del re, dopo disperata lotta in cui parecchi morirono, dovettero arrendersi. Un mese dopo, i due fratelli Bandiera furono fucilati, il 25 luglio, in quella stessa terra da cui avevano sperato partisse il segnale della rivolta. Mai nessuna morte fu più compianta della loro. Erano giovani, ricchi, di alto casato: avevano rinunziato con serenità superumana a tutte le gioie della vita. Aveano tutte le qualità per destare negli animi il compianto, e la loro morte fu una delle cose che più nocquero a Ferdinando II. “
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Brano tratto dal saggio breve Eroi (1898) raccolto in:
Francesco Saverio Nitti, Eroi e briganti, Edizioni Osanna (collana Biblioteca Federiciana n° 3), Venosa (PZ), 1987¹; pp. 18-19.
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andywalchsworld · 23 days
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2018 - Utopie. Was wäre wenn...
"Wenn alles eine Einheit bildet"
von Guido Zimmermann
Augsburg Alter Postweg 66
#streetartphotography #augsburg #friedensfest2018 #utopia #augsburgeransichten #streetart #canon_photos #canonphotography #spring2024
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vhscorp · 2 years
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À regarder comment le monde évolue, je crains qu’un jour on soit tous convaincus que le bonheur n’est qu’une utopie mensongère, une fumisterie, une lointaine chimère...
VH SCORP
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oneliferpg · 2 months
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Groupes
Le projet avance de plus en plus, nous sommes certaines de pouvoir l'ouvrir courant du mois de mars, la date vous sera précisée en amont ne vous en faites pas. Et en attendant, pour vous donner une petite idée plus précise du forum, et vous projeter peut-être un peu plus, voici un descriptif des groupes que vous pourrez retrouver sur One Life.
Utopistes
Véritables passionnés, ils aiment la vie, la beauté du monde et des personnes, peu importe leur parcours et les épreuves qu’ils ont enduré. Personnalités positives, ils sont du genre à rêver et aimer rêver, à toujours voir le verre à moitié plein et à se battre coûte que coûte pour obtenir ce qu’ils désirent. Parce qu’ils veulent vivre avant tout, profiter de toutes les richesses du monde et ils y croient eux, à un monde meilleur sans injustice ni haine. Parce que si on devait arrêter d’y croire, à quoi bon vivre ?
Réalistes
Personnalités terre à terre et peut-être un peu fatalistes parfois, ils ne sont pourtant pas mécontents de leur sort. Bien sûr, ils rêveraient de plus grand, d’un monde meilleur et sûrement plus simple mais ils savent bien que ce n’est pas possible. Parce que tout comme le blanc a besoin du noir et la lune a besoin du soleil, ils sont convaincus que l’équilibre est la clé pour que le monde se porte bien. Alors ils avancent pour eux et pour leurs proches, ils subissent un peu parfois mais ils essayent de prendre chaque événement vécu avec philosophie.
Dystopistes
Pour eux, le monde est pourri, infecté d’un mal qui ne se soignera jamais, comme une longue nuit qui ne se terminerait jamais. Peut-être ont-ils vécu trop de mauvaises choses dans leur vie pour être encore capables de voir comme le monde peut être lumineux. Alors ils se contentent de vivre, de se trouver un but qui leur semble pourtant si difficile à atteindre, et ils ont cette colère et ce désir d’exploser en eux, de crier à quel point ce monde craint et à quel point l’être humain est une espèce foncièrement mauvaise quoi que les autres en disent.
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nacht-durst · 5 months
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Der Tropf in den Ozean, der einmal ganz gross war und nun schrumpft. Bedeckt von Gabeln aus Plastik, Flaschen ohne Post, verdreckt, durch das System, dass ja auch zu funktionieren schien. Zumindest für jene, die den Dreck nicht sehen müssen. Es tauchten mal die Fische der tiefsten Meere an bunten Korallen hindurch und nun?
Wie wollen wir handeln? Wer schreibt noch Utopien?
— geschrieben Lilie Zahn Oktober 2023
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klimt7 · 2 years
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rosagraefe · 1 year
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raus aus
dem katastrophenfilm
rein in
die utopie
leave
disaster
movies
for
utopias
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sammeldeineknochen · 9 months
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Die stets als Drohkulisse inszenierte Utopie einer Welt ohne menschliche Arbeit scheint sich nicht so recht einstellen zu wollen.
Sebastian Hotz: "Mindset", S.141
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jonnybigoud68 · 9 months
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Si je devais partir alors j'emmènerais tous les mots du monde pour que plus personnes ne souffrent.
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lebibliocosme · 10 months
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Terra humanis
Titre : Terra humanis – Récit d’un XXIe siècle utopique Auteur : Fabien Cerutti Éditeur : Mnémos Date de publication : 2023 (juin) Synopsis : Aux côtés de la jeune et brillante Rébecca Halphen, de Luc Lavigne, son mari, et de la dizaine d’étudiants internationaux qui composent leur groupe d’amis, Fabien Cerutti nous propose de vivre jusqu’en 2109 le destin haletant, profondément humain et…
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blogapart3bis · 10 months
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« Rossignol » d’Audrey Pleynet
Aujourd'hui sur Blog à part – « Rossignol » d’Audrey Pleynet Une station spatiale utopique où les multiples cultures peuvent s’y rencontrer. Rossignol, d’Audrey Pleynet, s’intéresse à une femme qui va tout changer. #sciencefiction #utopie
Quelque part dans l’espace, il existe une station spatiale, lieu utopique où les multiples cultures peuvent s’y rencontrer. Rossignol, court roman d’Audrey Pleynet, s’intéresse à une jeune femme parmi tant d’autres habitants, mais qui pourrait bien tout changer. Court roman, donc: environ 128 pages, paru dans la collection Une heure-lumière du Belial. Court, mais largement encensé par la…
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surlapisteducentaure · 7 months
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17 octobre : balade mise en selle
Hier j'ai monté Utopie. Je ne sais pas si la vie au pré la rend plus zen, mais je l'ai attrapée sans problème (par contre elle faisait de drôles de grimaces quand je lui ai donné un bonbon... mal aux dents ? Elle n'a pas semblé avoir de problèmes par la suite avec le mors.) et elle a été cool au pansage (bon, sans doute plus à la recherche d'un autre bonbon que d'un câlin, mais en tout cas elle avait l'air beaucoup plus détendue). J'ai dû faire un peu vite, car après elle, il fallait que j'aille préparer Toro, le cheval de C. Un selle-français bai, très sympa au box en tout cas. C'était bizarre de préparer un cheval tondu avec ce poil si court et si fin, quand Utopie et tous les autres sont peu à peu en train de se transformer en nounours.
C. nous a emmenés dehors, une dernière sortie avant l'hiver je suppose. Au bout du chemin, on se lance au trot. Bien actif, le trot ! J'abandonne vite l'idée de trotter enlevé, comme cette fois où on était partis en trotting (avec Utopie d'ailleurs).
Dans le chemin qui descend, je sens qu'Utopie n'arrive pas à trotter plus vite, et comme on est en queue de peloton, il a fallu prendre le galop sur quelques foulées pour rattraper Sornette. On repasse au pas en arrivant à la grosse route et... on fait demi-tour.
Et quand on est revenus à l'intersection précédente, de nouveau demi-tour, avec pour consigne de rester au trot en équilibre. Et avant d'arriver à la grosse route, hop, encore demi-tour, on remonte le chemin au trot... assis. o.O Je pense que le fait que le chemin monte un peu jouait, parce que franchement, c'était pas si mal, j'arrivais même à discuter avec Ph.
On a ensuite refait la descente en gardant le trot enlevé (vraiment pas facile). J'ai remarqué que ma jambe gauche était plutôt fixe, mais ma jambe droite faisait complètement l'essuie-glace. Et maintenant, on a le droit de redescendre le chemin au pas... en faisant des montées de genoux. Ouille. Je sens bien la différence de mobilité à gauche et à droite, je suis tellement plus raide à gauche... Un dernier aller-retour au pas, une fois debout sur les étriers, et une fois les jambes pliées. Ça tire.
Retour tranquille alors que la nuit tombe, Utopie a eu un peu chaud elle aussi, mais elle a presque eu le temps de sécher sur les 2 petits kilomètres au pas pour rentrer. De nouveau au pansage, elle était cool. C'était tellement plus agréable que de devoir me battre avec elle et avoir peur de me prendre un coup de pied ou de me faire mordre, comme ça a pu être le cas par le passé. J'ai bien aimé le concept de balade de mise en selle aussi. C'est certainement plus intéressant pour les chevaux que de tourner en rond pendant une heure, et ils ont aussi souvent un peu plus d'allant.
J'ai pas fait de photo parce qu'il faisait noir et que je croyais que mon téléphone était mort... du coup en rentrant j'ai fait un dessin
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C'est les vacances maintenant, et pour l'instant, cette nouvelle année se passe plutôt bien. Pourvu que ça dure !
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improvisateur777 · 2 years
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Divagation utopiste !
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Pour casser tous les verrous, ouvrir toutes les portes ou franchir tous les obstacles... faites le avec des fleurs, c'est tellement agréable et très efficace !
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sdaryane · 1 year
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Le décor à l’envers...
J’ai souvent tendance à dire que je ne suis pas comme les autres mais en réalité rien n’est plus ressemblant à un être quelconque qu’un autre être qui se dit différent du premier !
Je sais bien que je n’ai sans doute aucune excentricité ni aucune particularité qui mérite que l’on s’arrête sur moi ou bien que je demeure inoubliable aux yeux du commun des mortels. Toutefois, je refuse ce postulat et m’insurge quand on me parle « des gens » comme si je devais m’y apparenter ou les comprendre !
Malgré mon association évidente avec l’archétype de la femme traditionnelle et conservatrice, je me présente constamment comme étant décalée, exceptionnelle et unique ! Sur ce dernier point, je finis par penser que c’est bel et bien mon statut d’enfant unique qui m’oblige à insister sur ma singularité.
Pourquoi détestais-je autant que l’on me jette dans le pot commun ? Quel était ce besoin permanent de bénéficier d’un statut particulier aux yeux du reste du monde ? Avais-je une raison supérieure à ma conscience ou étais-je tout simplement imbue de moi-même et finalement narcissique ?
Pour être honnête, je n’avais jamais autant creusé le sujet ! Aujourd’hui, je me pose enfin ces questions car je traverse une crise émotionnelle et existentielle. Quelle est la différence avec toutes celles déjà traversées jusqu’ici me direz-vous ? Eh bien, tout simplement que l’âge avançant je m’aperçois que je gaspille trop de temps dans la mélancolie et la douleur. Il est temps pour moi de vivre enfin la vie que j’ai décidé de mener. Il est temps que je sois réellement heureuse et pas seulement forte. Il est temps que je vive mon texte sacré et que je me positionne définitivement au cœur de la cible.
Mais alors comment dois-je m’y prendre ? Décidément, je ne peux pas m’empêcher de me jeter à nouveau dans un tourbillon de questions…C’est comme si, chaque fois que je m’approchais de la solution le problème s’intensifiait…
Après tout, lorsque je réussi à défaire le nœud formé par mes colliers entremêlés je ne sais pas comment j’y suis parvenu alors je vais conclure que ce n’est pas le « comment » qui est important désormais, mais plutôt le « quand » !!!En effet, cela devient urgent. C’est vital pour moi de passer à l’étape suivante de ma vie. Je dois véritablement finir de me réaliser et vivre enfin cette liberté retrouvée. Je ne parle pas d’indépendance ni d’autonomie car ce sont des notions déjà acquises mais bel et bien de paix intérieure que seul un être totalement libre d’entraves et de carcans peut ressentir.
C’est cette face cachée de l’iceberg que je dois découvrir, l’envers du décor qui me permettra d’atteindre mon vrai moi et d’être enfin celle dont je rêve depuis toujours. Cet être parfaitement équilibré, serein et dénué d’ondes négatives car il se crée son propre bonheur…
Comme dirait Marko avec son superbe accent albanais : « Bon chance » !
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sehrmerkwuerdig · 1 year
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Die Utopie wird immer besser, während wir auf sie warten.
Alexander Kluge
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