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#psychiatrie
lebenstripper · 4 months
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Du wirst niemals die Hölle in meinem Kopf verstehen.
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svennytkyra97 · 5 months
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Das Einzige, woran ich immer denke, ist alles hinzuschmeißen, mich in eine Klinik einweisen zu lassen und ratlos an die Wand zu starren, weil mir für alles im Leben die Energie fehlt.
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conatic · 9 days
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skinyyangel · 1 year
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Die Wunden werden tiefer, die Maske wird schwerer zu halten
Doch niemand darf sehen, dass ich wieder mittendrin bin
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blackjessy · 8 months
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Ich fühle mich traumatisiert von einer Klinik die mir helfen sollte.
Auch wenn der letzte Aufenthalt fast ein Jahr her ist; das darf sich doch nicht immer noch so anfühlen ?!
Sie sollten mir helfen und mich nicht festhalten, fixieren und nachhaltig traumatisieren!!
Ich bin wütend, irritiert, enttäuscht und traurig...
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basilepesso · 3 months
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Flicards : je vous l'ai dit hier soir, vous pratiquez un harcèlement intense et totalement criminel sur moi et mes amis et notamment ma compagne et collaboratrice Anne Pangolin Guéno, et mon ex-compagne.
J'ai prévenu que nous vous attaquerions collectivement en justice, et j'ai donné le chef d'accusation. Vu les circonstances votre carrière est LITTÉRALEMENT TERMINÉE.
Cela dit vous avez la possibilité de vous arrêter immédiatement, et nous réfléchirons aux suites à donner à vos agissements. L'IGPN va de toute façon être saisie en France, et les organes identiques dans les autres pays.
Basile Pesso.
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beautifullstarvation · 4 months
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Knowing you’re going to the psych ward again means starving yourself until you get there
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nextposition1 · 6 months
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auteureanonyme · 1 month
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Dissociation
Je sentais mon âme se disloquer. Une partie de mon âme m’arracha la poitrine, et se désolidarisa de moi. Je n’étais plus elle et elle n’était plus moi. Elle me regardait de haut, et s’éloignait. Hors de moi, et dépourvue de toute émotion elle assistait, spectatrice, à la remontée de tous mes souvenirs. Ils s’étaient engouffrés par toutes les plaies et, un à un, ils me frappaient : le cœur, les poumons, l’estomac. À chaque flash correspondait un coup brutal. Et l’un comme l’autre me provoquaient des douleurs indicibles.
Au moment où l’imminence de ma mort ne faisait plus aucun doute, où l’intensité de ma souffrance ne pouvait plus croître, je sus que tout cela était bien réel. Aucun esprit n’invente ce qui peut le détruire. Il s’efforce, au contraire, de s’en débarrasser par tous les moyens. Tout était donc sorti, comme les balles d’une arme à feu. Les mots avaient fui de ma bouche, presque malgré moi. J’avais commencé à parler. C’était une vraie déchirure. Chaque détail qui traversait mes lèvres était une partie de moi que je distribuais. J’aurais voulu l’envelopper et faire promettre aux oreilles qui m’entouraient d’en prendre grand soin. Mais la réalité fut celle d’un vrai silence. Le silence de ma solitude, lourde et pesante. Le silence des quelques oreilles choisies et à qui j’avais confié ces bouts de moi. Le silence de la vie quand rien ne se passe et rien ne se passera. Les cris à l’intérieur de moi  
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purplebonestoughts · 9 days
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Délires
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Se réveiller, avoir les membres raides, un poids dans la poitrine, une douleur sourde de rouille, des rouages qui tournent mal. Tout tire, tout grince. Et puis, croiser nos parents, ne plus prendre la peine de leur dire bonjour parce qu'ils ne répondraient pas, de toute façon. On n'existe pas vraiment, pas pour de vrai. On n'est pas de réelles personnes. On peut nous ignorer, nous maltraiter et, parfois, je suis à peu près sûr qu'on ne nous voit même pas, qu'on ne nous perçoit même pas, qu'on a oublié jusqu'à notre existence. C'est comme d'être un objet, moins qu'un objet, une machine tantôt concrète, tantôt moins tangible qu'un hologramme, un fantôme misérable et, parfois, quand nos émotions débordent de notre coeur de métal rouillé, quand on hurle presque de douleur, on saisit alors que quelque chose ne va pas dans notre poitrine - une anormalité - qu'on se doit de l'ouvrir, de regarder ce qui ne va pas, de réparer. Qu'on doit se fendre en deux, écarter nos côtes et aller chercher dans nos entrailles de machines la cause de ces émotions qui n'ont rien à foutre là. On existe que si ça arrange bien les autres. Quand iels se sentent seul-e-s, on est là. Quand iels ont besoin d'un bouc-émissaire, on est là. À chaque fois qu'on voit une preuve qu'on n'existe que dans certains contextes, sous certaines conditions, voire pas du tout, je la note. Je ne sais pas si on délire ou pas. Après tout, il y a plusieurs conditions qui pourraient expliquer ces perceptions, pas vrai ? La dépersonnalisation et la dissociation, d'abord... mais aussi, pourquoi pas, l'identité de genre ou l'alter humanité. On se considère comme otherkin, mais à quel point est-ce qu'on a conscience de notre humanité ? Ça dépend franchement des moments. Et puis il y a ces moments où, pour le moindre signe d'hostilité de la part d'une personne, que ce soit réel ou perçu, notre psyché se déchire et il ne reste que la peur. C'est une sombre masse noire qui dégouline sur nos épaules et esserre notre poitrine de vieux métal rouillé. On ne peut plus penser correctement. On devient obsédé-e-s par l'idée que la personne est en train de chercher un moyen de nous nuire. Qu'elle va nous faire du mal, c'est sûr et certain. Si cette personne est dans le même habitat que nous, on est terrifié-e-s à l'idée qu'iel vienne nous agresser durant notre sommeil. Parfois, plutôt rarement depuis qu'on a des médicaments pour gérer ce genre de crises, on bloque notre porte en espérant que ça sera suffisant pour survivre. Et ça non plus, on ne sait pas si c'est un délire. Je ne sais pas non plus si on a une pensée désorganisée lors de ces crises. Je pense que c'est très possible, vu comme dès qu'on a une émotion un peu forte, qui nous échappe un peu, on peine à "attraper" nos pensées. On peine à s'exprimer parce qu'on ne parvient plus à structurer ce qu'on veut dire et c'est affreux parce que justement, dans ces moments-là, on a désespérément besoin d'être compris-e-s. Et ça n'arrive jamais parce que : 1 - Les personnes qui nous écoutent veulent rarement aider 2- Ça devient plus difficile de nous comprendre, vu qu'on n'arrive pas à s'exprimer et à organiser notre propos. Avant, quand on était en "crise émotionnelle", on avait un petit carnet dans lequel on jettait nos maux. Quand on se relisait, ça ne faisait même pas de sens pour nous.
En une phrase : On doute de notre diagnostic. C'est un peu dur, mais grâce à quelques-un-e-s de nos ami-e-s on l'accepte petit à petit. Il est sans doute fondé. Surtout que le psychiatre nous a bien précisé que, pour lui, on est dans une sorte d'entre deux entre l'autisme et le trouble schizoaffectif, ce qui pourrait expliquer les symptômes fluctuants et pas tout à fait nets. Et puis je suppose que les représentations que les médias font des schizophrénies nous affectent malgré nous. La vie n'est pas un stéréotype de cinéma ! Au moins, si on veut voir le bon côté des choses, ce diagnostic nous donne l'opportunité d'en apprendre plus sur nous même et c'est toujours ça de pris ! PS : Je suis vraiment reconnaissant qu'on ait des personnes qui en ont vraiment quelque chose à faire de notre existence. Ça compense pour toutes les fois où on se sent perdre en substance.
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lebenstripper · 3 months
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Du bist das was ich brauche, auch wenn es niemand versteht.
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svennytkyra97 · 6 months
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Borderline zerstört alles auf einen Schlag, plötzlich kniest du nur noch auf Trümmern und wartest, bis sie dich erschlagen.
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conatic · 11 months
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Until all are free, no one is free
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journalofunhappiness · 4 months
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Psych ward is a place where you get help, they say. Mental healthcare staff will take care of you and make you feel better, they say. They will only act in your interest, they say. First thing they do is take away your freedom. Then they take away your privacy and dignity. And finally, they break your will, because to get out of there you have to abide by their rules. Psych ward is a place like hell, I say.
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teatreeoilgirl · 6 months
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Ich bin jetzt stationär und mir wurde schon von mehreren Leuten gesagt, dass ich total entspannt wirke. Dabei bin ich das überhaupt nicht, ich zeige mich nur ungern verletzlich.
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beautifullstarvation · 4 months
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Walking the thin line between
Wanting to look as sick as I am
and
Making sure medical professionals don’t suspect anything so they don’t pump me full of food
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