Tumgik
#petit jeu entre amis
fidjiefidjie · 4 months
Text
Petit jeu đŸ§â€â™‚ïžđŸ˜ 🐖 entre amis !
Source: Yog
👋 Bel aprùs-midi
678 notes · View notes
magicdreamspoetry · 4 months
Text
Petit jeu 🐕 ⚜ 🐖 entre amis !
123 notes · View notes
petit-atelier-de-poesie · 2 months
Text
QUELQUES TRUCS BIEN. FEVRIER 2024
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publiĂ© au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volontĂ© rĂ©guliĂšre de gratitude et d’optimisme. 
Tumblr media
Me faire tirer le portrait par un jeune patient de 10 ans. Le féliciter chaleureusement pour son talent, lui qui a tant de lacunes à l'école
Recevoir un nouveau jeu de poésie. Anticiper le plaisir 
DĂ©couvrir le gel au petit matin alors que j’espĂšre le printemps, tout comme les bourgeons sur les arbres 
Prendre le temps d’échanger avec mes deux plus proches collĂšgues. Nous faire mettre dehors par le chef de service. Continuer encore deux heures la conversation devant la porte 
Sentir que quelque chose s’est dĂ©bloquĂ© dans les derniĂšres sĂ©ances avec plusieurs de mes jeunes patients. Faire confiance (pour une fois) Ă  mon ressenti 
Mettre du sens sur les enjeux des relations récentes. Penser désormais à trouver les mots pour en parler 
Projeter un week-end au soleil du bord de mer entre filles
EspĂ©rer tenir bon jusqu’aux vacances d’hiver 
Acheter de nouveaux livres cartonnĂ©s pour mon petit Mateo. Étoffer sa bibliothĂšque de tout petit 
Lire des articles de psychologie pour enrichir ma pratique clinique et faire des liens 
FĂȘter l’anniversaire de ma plus jeune niĂšce, derniĂšre Ăąge avant sa majorité 
Accueillir la confidence d’une amie. Partager l’émotion. Prendre la valeur de la confiance 
Encourager une amie à avancer sur un projet 
Poser une date pour le week-end expo Mucha à Aix en Provence. Week-end entre filles 
Organiser une « soirée entre filles » de 50 à 60 ans. Apprécier la sororité 
Recevoir par mail puis par courrier le document officiel tant attendu par ma fille et moi-mĂȘme. L'appeler avec la voix qui tremble et les yeux qui piquent
Remarquer les arbres en fleurs sur le bord de la route : mimosas et amandiers 
ApprĂ©cier les journĂ©es qui s’allongent dĂ©jĂ 
Prendre l’apĂ©ro au soleil sur la terrasse de maman pendant que ma fille donne son repas Ă  mon petit Mateo
M’offrir des boucles d’oreilles en Ă©toiles dorĂ©es. Assumer mon cotĂ© Wonder Woman 
16 notes · View notes
homomenhommes · 3 months
Text
saga : SOUMISSION / DOMINATION 91
Gang Bang de Jean
Les semaines se suivent et se ressemblent, cotĂ© Taf, pas mal de travail en prĂ©vision du printemps, cotĂ© sexe, les mercredi avec Jean, les jeudi aprĂšs midi avec Emma et les fins de semaine avec les amis. Le petit Pierre n'a jamais eu d'aussi bonnes notes que depuis qu'il a emmĂ©nagĂ© avec Olivier. Il faut dire que ce dernier le tient au chantage. Mauvaise note = pas de sexe !! mais du coup nous le voyons beaucoup moins qu'avant ! J'ai calmĂ© le jeu sur les gang bang avec Jean, premiĂšrement je n'ai plus un besoin aussi urgent d'argent puisque j'ai une voiture et deuxiĂšmement ça me prend pas mal de temps Ă  organiser. Il n'empĂȘche que les amateurs attendent chaque avec impatience.
Fin janvier, un vendredi soir, devant l'insistance de certains (c'est sur qu'avec la taille de leurs bites, il ne baisent pas tous les jours, à la maison maman dit pas toujours oui !) et leurs propositions financiÚres (rien ne vaut un ralentissement de l'offre pour faire monter les prix), j'en ai organisé un avec Jean.
Si Ric leur avait plu la premiÚre fois, là, le fait que Jean soit un petit format longiligne et pùle, tranchait encore plus avec la bande de mùles blacks, un peu fort pour certains qui se pressait autour de lui. L'effet de leurs grosses bites noires défonçant le petit cul blanc était encore plus impressionnant que dans celui beaucoup plus musclé de Ric.
Jean s'est parfaitement comporté. En bonne salope, il s'est défoncé la gorge à avaler le plus profondément possible les queues hors normes qui le cernaient . Malgré toute sa bonne volonté, certain n'ont pu en rentrer plus de la moitié !
Ils ont joué avec son corps, l'enculant tous au moins deux fois chacun. Je veillais à ce que chaque sodo soit bien faite avec préservatif (j'y tiens à mon petit Jean !) et que le gel soit utilisé avec abondance.
Quand deux des mieux montés ont voulu lui faire subir une double sodo, je suis intervenu pour refuser. Déjà, ce genre de plan demande plus de temps que ses mercredi habituels pour s'en remettre, et surtout, je tiens à ce que son anus soit encore élastique, ce dont je ne suis pas sûr si deux bites de plus de 26cm x 8 le défonce !!
Vers minuit, (le gang bang a durĂ© 3 heures environ) j'ai appelĂ© Ă  la maison pour faire venir Samir et Ammed pour tout ranger. Pendant que je m'occupais de Jean (douchage, massage de l'anus, sĂ©chages et mise en place du plug pour qu'il fasse dessus ses contractions anales destinĂ©es Ă  lui refermer le cul), mes deux beurs ont remis le gĂźte comme neuf. Meubles remis en place, sol dĂ©barrassĂ© du sperme (et il y en avait une bonne quantitĂ© par terre) Ă  grand coup de lavette, cuisine rangĂ©e et poubelles fermĂ©es, nous sommes retournĂ©s Ă  la maison oĂč Marc nous attendait.
Une bonne nuit de sommeil. Je me levais tard, seul dans notre grand lit. Douche vite fait et je descends Ă  la cuisine. Je m'aperçois que je suis le dernier levĂ©. Marc prend son bol de cafĂ© debout pendant que Jean agenouillĂ© entre ses pieds lui bouffe la tige. Je l'ai vraiment bien dressĂ© ce petit ! Un vĂ©ritable accro Ă  la bite. Je me colle Ă  Marc pour lui faire un bisou avec la langue et aussitĂŽt je sens la bouche de Jean se refermer sur mon gland. Je bandouillais avant mais lĂ , le simple contact avec sa langue et ma queue se dresse immĂ©diatement ! Marc plus excitĂ© que moi pour s'ĂȘtre fait piper plus longtemps, s'Ă©carte, prend Jean sous les bras et le couche sur la table de la cuisine. Il se kpote (dans la maison il y en a partout des rĂ©serves Ă  kpotes) et aprĂšs lui avoir retirĂ© le plug, s'enfonce dans son trou. Je lui demande dans quel Ă©tat il est (le trou). Il me dit que pour un lendemain de gang bang, faut pas se plaindre, il sent bien les parois qui collent Ă  sa bite. L'anneau n'est pas encore des plus " nerveux " mais c'est dĂ©jĂ  pas mal. Je me mets en face de lui et enfile ma queue dans la gorge de Jean qui ne demandait que cela. Trop bon de le dĂ©foncer dĂšs le matin. En plus il en demande, sa bouche loin d'ĂȘtre passive aspire ma bite, quand je me retire, sa langue vient tourner autour de mon gland rendant l'exercice si excitant que je me rĂ© enfonce dans sa gorge pour calmer mes terminaisons nerveuses ! Quand Marc semble ralentir le rythme, il lance son cul au devant pour happer quelques cm de plus dans son trou !!
Nous sommes un moment dérangés par Samir et Ammed venu nous demander l'autorisation d'utiliser la salle de muscu. Ils ont admiré la capacité de Jean à servir dÚs le lendemain matin d'un gang bang. Quand je leur ai demandé s'ils avaient passé une bonne nuit, j'ai eu droit à un clin d'oeil de Samir et un léger rosissement des joues d'Ammed.
Nous avons fini Jean ou plutĂŽt nous nous sommes fini dans Jean puis sommes descendu tous les trois Ă  la salle de muscu rejoindre nos deux beurs.
Pendant que Jean transforme la zone des douches en hammam (eau chaude à fond) et disparaßt dans la buée, Marc et moi considérant notre activité précédente comme nous ayant suffisamment échauffés, sommes allé directement soulever des poids.
Je donnais par ci par lĂ  quelques conseils de positionnement Ă  Ammed et Samir quand ce dernier m'a demandĂ© quels types d'exercices et quels poids il doit mettre pour prendre du volume. Il me dit qu'il aimerait bien avoir mon physique, ça s'est trop gentil !! Rapidement je lui fais un programme. Ses jambes sont Ok par le foot fait plus jeune, trĂšs belles cuisses (ses quadriceps sont parfaits tout comme ses ischios) et mollets corrects. J'oriente donc le travail sur les pecs, le dos et les bras. La base est bonne sinon trĂšs bonne, il devrait prendre rapidement. Ammed, lui me demande plutĂŽt des conseils pour s'assouplir, il se trouve un peu raide, il me dit parfois peiner dans certaines positions. Sans ĂȘtre devin, j'imagine bien dans quel type de gymnastique il a besoin de souplesse !
La chaleur, l'ambiance, les sous entendus, le souvenir frais de notre baise avec Jean, tout ça fait que nous bandons tous comme des malades dans nos jocks.
C'est de Samir que vient la proposition de baiser ensemble. Dans un but trÚs pédagogique, bien sur, il veut me montrer les manques de souplesse d'Ammed !!! Pour que mes conseils soient plus pertinents.
Il me montre en demandant Ă  Ammed debout d'aller toucher avec ses mains le sol entre ses pieds. Ce dernier n'y arrive pas. Il a mĂȘme de la peine Ă  toucher ses chevilles. Je lui demande encore quelques positions qui me montrent son Ă©tat. Samir me glisse Ă  l'oreille que quand il le prend en chandelle il aimerait le voir se faire une auto fellation mais bien que correctement montĂ© (19.2cm de long) son gland reste quand mĂȘme Ă  au moins 2cm de ses lĂšvres. Je lui dis que comme nous sommes entre nous le plus simple ce serait de me montrer. Samir attrape Ammed et ils commencent Ă  se rouler un patin. Les queues se tendent encore plus. Marc et Jean m'ont rejoint et nous les matons ensemble. Samir pince les tĂ©tons d'Ammed qui sont assez dĂ©veloppĂ©s, il lui appui soudain sur la tĂȘte et tout naturellement Ammed embouche la brosse bite de Samir. Ils sont debout devant nous. Marc assis Ă  cotĂ© de moi bande raide. Il demande Ă  Jean de faire quelque chose. Ce dernier se met Ă  genoux devant nous et nous suce alternativement. Ammed met du coeur Ă  l'ouvrage. Il avale jusqu'aux couilles la bite de son pote. On peut voir son larynx se soulever au passage du gland de Samir. Je vais chercher gel et kpote. Samir me tend sa main droite pour que j'y Ă©tale le gel. AussitĂŽt aprĂšs il se penche au dessus d'Ammed pour lui mettre un puis deux et enfin trois doigts. Les trois doigts bien ancrĂ©s, il se redresse, tirant vers le haut le cul d'Ammed qui se retrouve Ă  4 pattes. Il demande Ă  Ammed de se positionner en chandelle pendant qu'il enfile une kpote. EquipĂ©, il encule son pote sans dĂ©licatesses particuliĂšre. Ce dernier encaisse bien, c'est bien lui le passif des deux. A chaque fois qu'il est au fond du cul d'Ammed, il appui fort pour que ce dernier se plie. Il nous demande en mĂȘme temps de vĂ©rifier et nous voyons bien qu'il manque plus d"un cm pour qu'il puisse s'auto sucer.
Comme je suis plus lourd que lui il me demande d'essayer à mon tour. Je quitte la bouche de Jean et me kpote. Je le remplace et m'enfonce avec délice dans le cul d'Ammed que je connais peu. Il s'ouvre bien sous ma poussée et prend sans problÚme mes 20cm. Je ne peux me retenir de pilonner un peu avant de faire ce pourquoi je suis en place. Je m'enfonce à fond et pousse encore aprÚs que mes couilles se soient posées sur ses fesses. Il gagne presque un cm d'un coup et arrive à se lécher le gland. Je lui dis de rentrer le ventre et il arrive alors à prendre son gland entre ses lÚvres. Marc qui nous observe lui demande soudain si il vient d'aller aux toilettes. Il pense qu'il fait que sa cavité abdominale soit la plus vide possible pour se plier plus facilement. A sa réponse négative, je décule et avec Samir, je l'emmÚne à coté pour lui faire un lavement. Comme nous venons de l'enculer profond, il faut pas mal d'eau et de fois pour lui vider les intestins. Nous voyons Marc patienté en ce faisant doucement sucer par Jean. Quand nous les rejoignons, Ammed a bien perdu 1 Kg ! il reprend la position. Samir lui graisse un peu le trou et kpoté je reprends ma position. Là, effectivement, il se plie plus facilement et quand je pousse alors que je suis a fond, il arrive direct à se bouffer la moitié de sa tige. Sami est ravi, il trouve ça hyper bandant et surtout il anticipe le fait qu'Ammed se jute dans la bouche quand il lui remplira le cul.
Marc se lĂšve et demande que je lui cĂšde la place. Il s'enfonce Ă  son tour dans Ammed. Ses 22cm pousse encore plus notre " chandelle " qui tĂšte consciencieusement son bout. Il se retire aprĂšs quelques instant et dit Ă  Samir de reprendre sa place. Samir qui ne dĂ©bandait pas s'est engouffrĂ© direct au fond du cul de son copain. Marc l'a soudain poussĂ© en avant et sans autre prĂ©paration qu'une nouvelle kpote bien lubrifiĂ©e, l'a enculĂ© virilement. Samir encore en train de chercher son Ă©quilibre au dessus d'Ammed n'a pu s'en dĂ©fendre ! Son trou moins aguerri que celui d'Ammed, s'est quand mĂȘme ouvert sous la pression du gland de Marc (je la connais sa bite, elle arrive Ă  entrer ou elle veut !). Il a juste Ă©mis un cri rauque. Avec Jean, nous avons rejoint le trio. Je me suis placĂ© sur le dos de façon Ă  pouvoir rouler des pelles Ă  Samir et ”Jean est venu s'assoir sur ma queue. Samir, la bite dans le fond d'Ammed, son trou envahi par Marc et sa langue se battant avec la mienne, a commencĂ© Ă  bien tripper.
Ses lĂšvres se sont dĂ©collĂ©es des miennes pour expulsĂ© un cri de dĂ©livrance au moment oĂč il a joui.
Tout son corps s'est contractĂ©, superbe Ă  voir, il a rempli sa kpote. Marc, avec difficultĂ©, a continuĂ© quelques va et vient dans son cul le faisant dĂ©coller une nouvelle fois puis, aprĂšs ĂȘtre sorti s'est lĂąchĂ© sur son dos, le couvrant de grand traits blancs de sperme. Ammed s'est jutĂ© une premiĂšre fois dans sa propre bouche, lĂšvres serrĂ©es autour de son gland puis il a ouvert grand la bouche pour qu'on le voie se juter dedans. 5 Ă  6 giclĂ©es sont venues la lui remplir !
De les voir tous les trois m'a amené à remplir ma kpote mes mains sur les hanches de Jean le maintenant assis sur ma bite. Le petit salaud en a profité pour maculer mes abdos se sa semence.
DĂ©boitĂ©s les uns des autres, couchĂ©s emmĂȘles sur les tatamis, nous n'avons Ă©mergĂ© de la stupeur post coĂŻtale qu'un bon 1/4 heure plus tard.
Nouveau passage sous les douches, Samir massant son petit trou peu habitué au passage des bites a avoué avoir pris un plaisir terrible.
Comme nous Ă©tions tous les 5 Ă  la cuisine pour reprendre des forces en pillant le frigo, Samir a demandĂ© Ă  Marc si ils pouvaient rester tout le WE MĂȘme si il n'y avait pas de travail. Sans demandĂ© d'explication Marc a bien sur acceptĂ©. Samir nous a dit qu'avec Ammed de retours dans leurs citĂ©s, c'Ă©tait plus possible de se voir (façon sexuelle), et que dĂ©jĂ  ils se voyaient pas la semaine alors ...
Marc leur a dit que cela ne posait vraiment pas de problĂšme s'ils voulaient emmĂ©nager tous les WE. La position de l'appart en tĂȘte du bĂątiment annexe l'Ă©loignait assez de la maison principale pour qu'ils y soient indĂ©pendants. Je n'aurais qu'Ă  y retirer les quelques bibelots et surtout ma collection de BD pour qu'ils y soient chez eux.
De plus cet arrangement sécurisera la maison plus sûrement qu'un systÚme d'alarme.
Quand Samir Ă©voqua de dĂ©duire le loyer de ce que nous leur payons, Marc a refusĂ©, l'appart est un cadeau. Samir en lui donnant l'accolade pour le remercier lui a dit alors que nous pouvions alors disposer d'eux comme nous le voulions. Sans ambigĂŒitĂ© cela se rapportait au sexe !
Je reconduis vite Jean chez lui oĂč ses potes du lycĂ©e doivent l'attendre pour baiser sa mĂšre. Je fonce et nous arrivons juste en mĂȘme temps qu'eux.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
11 notes · View notes
alioversus · 28 days
Text
Tumblr media
CollAGE D(ouble)
CollAGE D | Lotophagus Records | 2024
1. Le moteur tourne encore, mais le vĂ©hicule est Ă  l’arrĂȘt. À l’extĂ©rieur, des promesses bucoliques, de la nature radieuse : entourĂ©es de bĂ©ton. Petits oiseaux qui chantent dans le parc
 Ils ne se doutent pas. Et pourtant
 MĂȘme une journĂ©e aussi ensoleillĂ©e, aussi tranquillement nonchalante, peut ĂȘtre le cadre rĂȘvĂ© d’un drame. Ça arrive tout le temps. Untel apprend la mort d’un ami proche, tel autre qu’il est atteint du cancer, telle autre que son mari la trompe, tel autre qu’il va nĂ©cessairement lui arriver quelque chose de pas trĂšs sympathique, puisque des gros bras l’ont kidnappĂ©. Ce con essaie de taper dans la porte du coffre, ou de soulever la plage arriĂšre. Je serre le volant, machinalement. De toute façon, il y a trop de bruit dehors pour qu’on puisse l’entendre. J’ai tout de mĂȘme envie d’engueuler Maurice, de lui dire : putain, tu l’as mal ligotĂ© ou quoi ? J’ai envie de l’appeler Momo. Je sais qu’il dĂ©teste ça. Il est sur les nerfs, lui aussi. Il me devance. Pourquoi t’es passĂ© par lĂ  ? me dit-il. Tu savais pas que c’était jour de marchĂ© ? Le feu passe au vert, j’embraye. On sort de la ville. Un peu plus loin, on est encore arrĂȘtĂ©s par un passage Ă  niveau. Long train de marchandise, puis la campagne. 
2. On est arrivĂ©s Ă  l’entrepĂŽt. GĂ©gĂ© remplit les bassines pendant que le con attend encore dans la bagnole, encagoulĂ©. La Perceuse Ă©tale ses outils de travail. Il en a bien cinquante, parfaitement alignĂ©s sur la table dĂ©pliante. Il est parfois difficile de deviner l’usage de certains, qu’est-ce que c’est censĂ© pincer, qu’est-ce que c’est censĂ© couper, oĂč est-ce que c’est censĂ© s’introduire
 Maurice attend que les instructions arrivent sur le tĂ©lĂ©phone jetable. Parfois j’ai l’impression qu’il joue Ă  un jeu vidĂ©o ; ce genre de modĂšle tout en plastique bipe pour un rien. GĂ©gĂ© et La Perceuse comparent leurs attirails. Ils se charrient entre potes, comme deux catcheurs avant un combat, Ă  qui prĂ©tend mieux faire, entre la mĂ©thode dite technologique et la mĂ©thode dite artisanale. GĂ©gĂ© dit qu’avec lui, c’est du propre. La Perceuse lui rĂ©torque qu’il a encore ramenĂ© une vieille batterie qui suinte, qu'il ferait mieux de la fermer, alors qu’avec lui, au moins, tout est sous contrĂŽle, qu’il sait doser
  L’ambiance est plutĂŽt bon enfant. Sur la banquette arriĂšre, je crois que l’otage rĂ©cite des psaumes ou je ne sais quoi. Va ! Si ça peut l’aider Ă  garder son calme
  Ça sera toujours supplications et pleurniche, quand on le lui fera couler, son sang-froid. Alors, Maurice, ça vient ? Je me garde bien de dire que je ne serais pas contre un contrordre. Ça y est, ça sonne. Oui, dit Maurice. Oui. Non. D’accord. Je regarde comment rĂ©agit l’otage. Il se tait, il Ă©coute
 Maurice raccroche. Alors, Maurice, on fait quoi ? 
3. Ça allait commencer quand ils m’ont envoyĂ© chercher le toubib Ă  cause de Big R. Je ne l’aime pas, Big R. Il est aussi con que son pseudo. Et il se fout toujours dans la merde. Apparemment, cette fois-ci, il se serait pris une balle
 Mais pas mĂ©content de ne pas pouvoir assister au travail Ă  cause de ça. Je ne suis que le chauffeur, moi, dans cette histoire
 Je suis la route champĂȘtre avec la fenĂȘtre ouverte, en Ă©coutant un CD pour me dĂ©tendre : du jazz un peu trop free pour quand il y a Maurice Ă  cĂŽtĂ© de moi. Putain, mais il ne font plus pousser que du maĂŻs par ici ? Et du colza. Je dĂ©bouche sur une parcelle de forĂȘt. Je longe la riviĂšre. Des nuĂ©es de moineaux Ă  la sortie. J’arrive enfin dans le hameau. Le vieux m’attend dĂ©jĂ  avec sa mallette, derriĂšre le portail. C’est un mĂ©decin Ă  la retraite. Cela se voit. Ça dĂ©marche est tout aussi disloquĂ©e que les couacs de saxo. Il dit qu’il a encore la main. Il n’y a pas non plus avalanche de concurrents
 Il dit que c’est les pieds et les genoux qui ont trinquĂ©, que c’est pour ça qu’il ne conduit pas. À peine montĂ©, il me demande de couper le disque, parce que ça l'agace. Le toubib, lui non plus, je ne l’aime pas. 
4. Big R Ă©tait planquĂ© chez Annette. Elle aurait bien pu aller chercher le toubib elle-mĂȘme. Ça aurait dĂ» me mettre la puce Ă  l’oreille
 Maintenant, la nuit est en train de tomber. Je dois ĂȘtre mort depuis deux heures ou trois. Je ne sais mĂȘme pas vraiment pourquoi. Je sens que je fais corps avec la terre, avec l’humus, avec les racines, avec les insectes
 Je sens que je suis en train de nourrir la forĂȘt. Moi, le chauffeur, me voilĂ  complĂštement Ă©tranger au son des rares voitures qui passent. C’était malin de la part de Big R, tout de mĂȘme, d’utiliser un fusil de chasse. C'est vrai qu'il y a plein de battues dans le secteur, en ce moment

5. Thierry, tout tremblant, explique encore une fois aux gendarmes. Tout s’embrouille dans sa tĂȘte, et il s’inquiĂšte pour ses deux fils, forcĂ©ment eux aussi traumatisĂ©s par leur dĂ©couverte dominicale
 Thierry rĂ©pĂšte : ils Ă©taient lĂ , en ballade, pour essayer leurs nouveaux VTT. Et paf, c’est le plus petit qui tombe sur le cadavre, au milieu des gazouillis. Le gendarme tape uniquement des index, mais il tape fort et vite, comme une mitraillette. Thierry se demande si InĂšs va chercher Ă  lui sucrer la garde du week-end. Parfois Thierry a l’impression que le sergent le suspecte
 On lui fait signer sa dĂ©position, on lui dit de ne pas partir en vacances. Il sort du bureau. Les enfants l’attendent en compagnie de la seule femme de la brigade. Ils ont l’air dĂ©phasĂ©, mais calme. Thierry a la gorge serrĂ©e. Il leur avait promis d’aller au restau, ce midi. Puis il rĂ©alise qu’ils vont vouloir rentrer chez Maman, de toute façon.
3 notes · View notes
sanstatouage · 9 months
Text
X
Jeux Érotiques
Le jeu avait simplement commencĂ© par quelques regards, nĂ©gligemment Ă©changĂ©s lors des cours magistraux. Au dĂ©but, Lila avait cru Ă  un hasard, elle fixait naturellement les professeurs et les professeurs, eux, promenaient leurs yeux dans toute la salle, lorsqu'ils parlaient. Ces Ă©changes subtiles se faisant de plus en plus nombreux, la jeune femme fini par croire Ă  un intĂ©rĂȘt purement professionnel de la part de sa professeure. Elle excellait en lettres modernes et avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© de nombreuses fois fĂ©licitĂ©e, grĂące Ă  ça. Les yeux noirs de Madame FrancĂ©s n'Ă©taient donc qu'un encouragement Ă  l'Ă©couter un peu plus, ou encore un compliment pour son assiduitĂ© ? NaĂŻve et encore jeune, Lila y croyait. Jusqu'Ă  ce soir-lĂ .
Comme beaucoup de jeunes adultes, Lila aime sortir, danser, boire. Le tout jusqu'Ă  en oublier la vie, jusqu'Ă  en perdre le souffle, jusqu'Ă  en perdre la tĂȘte. Chaque vendredi soir, elle sort avec ses amis, chaque samedi matin elle dit « plus jamais ça » et chaque samedi soir, elle recommence. Ce samedi-lĂ  ne fait pas exception. La jeune femme fait face une derniĂšre fois au miroir, le minois ravi. Il fait chaud, dĂ©jĂ , alors elle porte un short ridiculement court, un petit crop-top au crochet blanc. Ses longs cheveux sont lĂąchĂ©s dans son dos, de longues boucles rousses roulant contre ses reins. Un petit perfecto en simili-cuir, quelques bijoux et elle prend sa voiture, rĂ©cupĂšre quelques uns de ses amis.
C'est une petite troupe dĂ©jĂ  bien Ă©chauffĂ©e qui arrive dans un des bars les plus branchĂ©s de la ville, situĂ© sur un bateau et flottant dans l'immense cours d'eau qui traverse la ville. Sur le pont, des tables et des serveurs et serveuses qui voguent entre elles, des cocktails trĂšs colorĂ©s sur leurs plateaux. Dans la cale est amĂ©nagĂ©e une piĂšce immense oĂč viennent danser les gens fatiguĂ©s de boire. Un endroit dĂ©paysant, oĂč Lila vient s'Ă©vader tous les week-end... sans se douter que ce voyage-lĂ  sera sans doute d'autant plus exotique.
Sur place, ils retrouvent encore quelques potes de fac, un petit groupe dĂ©jĂ  attablĂ© autour d'une bonne biĂšre fraĂźche ou d'un mojito allĂ©chant. Lila s'assied parmi eux, commande Ă  son tour un Blue Lagoon. Les conversations dĂ©butent, les esprits s'Ă©chauffent... Lila, elle, reste pleinement maĂźtresse d'elle-mĂȘme. Force est de constater que ses petites soirĂ©es lui ont donnĂ© une certaine rĂ©sistance et heureusement. A une table non loin, viennent de s'installer deux femmes. Et la prĂ©sence de l'une d'elle... vient de dĂ©poser un sacrĂ© poids dans l'estomac de Lila. Madame FrancĂ©s, Celene de son prĂ©nom, est installĂ©e juste Ă  cĂŽtĂ© de la fenĂȘtre, les coudes posĂ©s sur la table. C'est la premiĂšre fois que Lila la voit... hors de la fac. La professeure a laissĂ© tomber son chignon pour rassembler son incroyable chevelure noire sur l'une de ses Ă©paules. OubliĂ©e la sage tenue chemisier-jupe fourreau-chaussures Ă  petits talons, la belle et tranquille femme est dĂ©sormais vĂȘtue d'une robe d'un rouge provoquant, moulante, fendue sur sa cuisse. Sa poitrine gĂ©nĂ©reuse est pleinement offerte au regard, un collier dorĂ© roulant sur le moelleux de la chair bronzĂ©e. Machinalement, elle repousse une mĂšche de cheveux Ă©bĂšne, Ă©change quelques paroles avec son amie, rit... Lila dĂ©glutit. Madame FrancĂ©s est belle, libĂ©rĂ©e des carcans scolaires, femme parmi les femmes... Une nouvelle gorgĂ©e de son cocktail et elle tente d'en revenir Ă  la conversation, s'empĂȘchant de regarder Ă  nouveau sa professeure. Perdue, elle ne remarque pas que c'est Ă  son tour d'ĂȘtre regardĂ©e... dĂ©sirĂ©e.
« Et voilĂ  pour vous un autre Blue Lagoon, de la part de la dame en rouge, prĂšs de la fenĂȘtre. » Lila fixe un instant le serveur, stupĂ©faite. Il a posĂ© le verre devant elle, chuchotant quelques mots juste Ă  cĂŽtĂ© d'elle pour qu'elle soit seule Ă  les entendre. La dame en rouge... Lila relĂšve la tĂȘte. Madame FrancĂšs est lĂ , le menton appuyĂ© sur son poing, observant son Ă©lĂšve avec un sourire doux aux lĂšvres. Son amie parle au tĂ©lĂ©phone, lancĂ©e dans une discussion visiblement passionnante, laissant la libertĂ© Ă  la belle espagnole de sĂ©duire qui elle veut. Elle semble si assurĂ©e, c'en est presque provoquant. Lila l'observe un instant sans sourire, histoire de bien lui faire comprendre qu'elle n'est pas amusĂ©e par la situation... Quand la professeure se lĂšve, lui jette un dernier regard en coin, une invitation on ne peut plus clair. Lila repousse le verre, sourcil froncĂ©. Alors c'est comme ça ? Elle s'imagine gagner avec cette technique si simple ? La jeune femme se lĂšve aussitĂŽt, traversant la foule pour pousser la porte prĂ©cĂ©demment traversĂ©e par sa professeure. Elle mĂšne Ă  des escaliers qui descendent dans la cale, direction... les toilettes. Tellement, tellement prĂ©visible...
Lila les descend rapidement, le battement de la musique la faisant vibrer, son pas rendu plus lĂ©ger par l'alcool. A peine assez, elle a encore toute sa tĂȘte, et toute sa volontĂ©. Ce n'est que pour faire payer Ă  cette femme qui ose tout qu'elle est venue et elle le sait. La porte s'ouvre Ă  la volĂ©e, Madame FrancĂ©s est appuyĂ©e sur le lavabo, visiblement amusĂ©e.
« Je peux savoir ce que vous me voulez ?! »
Le ton de Lila est sec, son visage sérieux. On dirait une fillette qui joue mal la comédie. Celene s'approche, riant discrÚtement.
« Ces vĂȘtements te mettent en valeur, Lila. »
Lila fait la moue.
« Vous pouvez parler, vous avez vu votre robe ? »
Un pas et Celene brise la distance entre elles. Lila regarde en haut, Ă  droite, Ă  gauche... tout, pour ne pas voir l'arrogante poitrine de sa professeure.
« J'en déduis qu'elle te plaßt ? Regarde moi, Lila... c'est pour toi que je l'ai mise. »
La professeure prend doucement la main de son Ă©lĂšve et la pose sur ses propres hanches, oĂč l'on sent le tissu dĂ©licat de son vĂȘtement et... rien d'autre. Ici, on aurait dĂ» sentir la couture de son string, de sa culotte... peu importe, mais on aurait dĂ» sentir quelque chose.
« Et ça aussi, c'est pour toi. »
Lila a les joues rouges et le cƓur battant la chamade. Sa professeure... l'invite explicitement Ă  partager un moment, lĂ  tout de suite. Un moment intime. Ses doigts se referment sur le tissu, elle sent la peau chaude au travers. Elle pourrait l'enlever, la repousser, foutre le camp de ces toilettes oĂč elles sont seules, loin de la rĂ©alitĂ©. Elle pourrait... elle pourrait. Celene noue ses bras autour de sa taille, se rapproche, petit Ă  petit. Ne se voyant pas repoussĂ©e, la professeure se fait de plus en plus tĂ©mĂ©raire. Une seconde et elle est blottie contre elle. Une seconde de plus et elle embrasse son cou, y laissant de petites traces rouges, sensuelles. Encore une seconde et leurs respirations s'accĂ©lĂšrent, leurs mains hĂątives cherchent les limites de leurs vĂȘtements. Le petit top en crochet est repoussĂ© pour laisser les seins de Lila nus. La robe rouge si provocante est remontĂ©e sur les fesses de Celene, dĂ©sormais offertes aux caresses, aux griffures... et mĂȘme Ă  une petite fessĂ©e qui fait couiner de surprise la femme. C'est Ă  deux mains que Lila prend son fessier superbe, l'agrippant fermement. Leurs lĂšvres se joignent dans un baiser furieux, la jeune Ă©tudiante repousse sa professeure contre les lavabos. Ses doigts se baladent, s'enfoncent dans la chair souple, s'en vont mĂȘme jusqu'Ă  caresser ses cuisses, puis entre elles, lĂ  oĂč poussent quelques petits poils aussi noirs que ses cheveux.
« Depuis combien de temps... ? »
Celene ricane, saisit une poignée de cheveux roux vifs.
« Depuis la premiĂšre fois oĂč mes yeux ont croisĂ© les tiens. »
Alors c'est ça... ? Ça a toujours Ă©tĂ© plus que ça, plus qu'un regard venu d'une professeure fiĂšre d'une de ses Ă©lĂšves ?! Presque trahie, Lila la repousse encore, la soulĂšve brutalement pour l'asseoir sur le dessus du lavabo, les fesses nues sur le marbre glacial. Madame FrancĂ©s la voulait depuis le dĂ©but, n'attendant visiblement que la bonne occasion pour lui faire part de son attirance. Le moment est lĂ , enfin, intense et brutal... enivrant. La colĂšre ne s'attarde pas, chassĂ©e par l'envie charnelle, si difficile Ă  contrĂŽler, Ă  repousser. Les yeux dans les yeux, les deux femmes mĂšnent une danse rythmĂ©e par la musique, pourtant si lointaine. Lila met un genou Ă  terre, puis l'autre. L'une des mains de Celene se perd dans ses boucles, l'autre tient le tissu de sa robe relevĂ©, s'offrant au regard de sa jeune Ă©lĂšve. Lila n'a jamais embrassĂ© entre les cuisses d'une femme et ses amants Ă©taient toujours mĂ©diocres dans ce mĂȘme acte. Mais entre femmes... elle ressent instinctivement lĂ  oĂč embrasser, lĂ  oĂč mordre... ses paupiĂšres se ferment, elle inspire profondĂ©ment son parfum, ses lĂšvres courant sur la peau douce de ses cuisses. La poigne de la professeure se referme sur ses cheveux, l'incitant Ă  venir un peu plus prĂšs, un peu plus intimement. Pour la forme, Lila y rĂ©siste, faisant soupirer Celene de dĂ©pit.
« Viens, s'il te plaßt... Lila... »
Jugeant le ton assez suppliant, la jeune femme lui accorde un baiser sur le pubis, puis un autre, encore un, sa bouche caressant les petits poils drus, puis son clitoris, ses lĂšvres gonflĂ©es par l'excitation. Un soupir plus fort au-dessus d'elle et elle s'autorise Ă  glisser sa langue le long de la fente trempĂ©e, les plaisirs fĂ©minins gouttant sur le marbre du lavabo. La belle robe rouge risque d'ĂȘtre souillĂ©e... Ses doigts qui crissent contre le vĂȘtement, qui le repoussent, qui dĂ©couvrent le ventre de Madame FrancĂšs... Et la femme qui gĂ©mit, les cuisses grandes ouvertes, la tĂȘte renversĂ©e en arriĂšre, une cascade de cheveux noirs lui tombant contre les reins. Lila entend son prĂ©nom une fois, deux fois, cinq fois... puis cesse de compter alors qu'elle l'embrasse Ă  pleine bouche, qu'elle dĂ©vore son intimitĂ©, qu'elle boit ses sucs Ă  mĂȘme la source. C'est dĂ©licieux, un nectar bien plus sucrĂ©, bien plus doux que la semence masculine, que Lila a toujours si peu aimĂ©. EncouragĂ©e par les mouvements de sa dĂ©sormais amante, elle la dĂ©guste jusqu'Ă  la conduire royalement sur le chemin d'un orgasme bruyant, violent. Lila relĂšve la tĂȘte, les yeux luisants, le menton trempĂ©. C'Ă©tait pour elle... c'Ă©tait par elle.
Madame FrancÚs remet pied à terre, tremblante sur ses talons hauts. Elle attire sa jeune élÚve dans une étreinte, échange avec elle un baiser encore mouillé de ses plaisirs. Lila l'enlace, presse ses fesses, la dévore de baisers... elle aussi en veut, sa culotte lui colle à la peau, son ventre la brûle terriblement.
« A toi, ma Lil... »
Des bruits de pas dans le couloir et la jeune femme cache sa poitrine découverte, sa professeure redescend tant bien que mal sa robe avant de l'attirer dans l'une des cabines. Les deux amantes se cachent en riant, comme deux adolescentes découvrant les plaisirs de la chair, ainsi que tous ses secrets. L'une intime à l'autre le silence, alors que la cabine d'à cÎté se fait occuper. Les jeux reprendront quand elles seront à nouveau seules... et en attendant, pourquoi ne pas se couvrir de baisers ?
9 notes · View notes
mmepastel · 30 days
Text
Tumblr media
J’ai adorĂ© ce roman.
On est allĂ©s Ă  Istanbul dix jours il y a de nombreuses annĂ©es (avant Erdogan), et j’avais adorĂ© ce voyage, cette ville. J’avais lu Orhan Pamuk dĂ©jĂ , qui m’avait subjuguĂ©e avec Neige et Mon nom est rouge. Je ne sais pas pourquoi, je me suis sentie bien lĂ -bas. Franchement dĂ©paysĂ©e, mais j’ai trouvĂ© les gens chaleureux, complexes
 (on a discutĂ© avec plusieurs habitants, et bu longuement du raki avec le gars qui tenait un tout petit hĂŽtel avec son frĂšre, juste en face de la MosquĂ©e Bleue), et la ville m’a parue incroyable, tant imprĂ©gnĂ©e d’un passĂ© brillant et chaotique. TrĂ©pidante, mĂ©langĂ©e, un vrai Tetris de cultures diffĂ©rentes, d’ambiances contrastĂ©es. Ultra moderne, ultra ancienne. Une mosaĂŻque. Et cette mĂ©lancolie souriante
 l’eau trouble du Bosphore

De ce livre de Burhan Sönmez, je ne savais pas trop quoi attendre, pas une rĂ©plique d’Orhan Pamuk sous prĂ©texte que les deux sont turcs. Et pourtant, je retrouve quelque chose de cette mosaĂŻque mĂ©lancolique.
L’auteur est d’origine kurde et c’est là son troisiùme livre ; je ne le connaissais pas avant.
Plein d’histoires sont imbriquĂ©es autour du personnage central, Avdo, un vieil homme maĂźtre marbrier dans un cimetiĂšre stambouliote, qui vit dans une baraque au cƓur dudit cimetiĂšre. C’est un homme heureux, malgrĂ© un passĂ© difficile et tragique. C’est un homme bon, et pour ceux et celles qui croisent sa route, il est devient souvent un ami, un confident. Il est soucieux des autres, et ne fait pas de grande diffĂ©rence entre les vivants et les morts, sans doute par dĂ©formation professionnelle, mais aussi parce qu’il a appris Ă  faire sans les gens chers qu’il a perdus. Il dialogue autant avec les Ă©toiles que les tombes. A travers son histoire et celles de ceux qu’il croise, le romancier tisse une toile complexe qui Ă©claire par bribes l’histoire complexe du pays, ses beautĂ©s, ses richesses, ses violences et ses blessures. On a donc Ă  faire avec de trĂšs nombreux personnages issus de mondes et d’époques diffĂ©rents. Avdo est spirituel sans ĂȘtre croyant, et il voit clair dans le jeu de l’imam de la mosquĂ©e d’à cĂŽtĂ© (lequel est plus intĂ©ressĂ© par l’argent que par dieu) avec qui il a pourtant des relations cordiales.
La vĂ©ritĂ© c’est qu’il est orphelin, et qu’il ne sait pas qui il est puisqu’il ne sait pas qui est sa mĂšre (selon sa pensĂ©e). Il est donc syncrĂ©tique par essence. Il prĂ©fĂšre croire les histoires des hommes et des femmes et la vĂ©ritĂ© de leurs cƓurs plutĂŽt que de se conformer Ă  des prĂ©ceptes. Tout petit, il a Ă©tĂ© recueilli par un homme qui ne savait plus comment il s’appelait lui-mĂȘme, puis par un maĂźtre marbrier qui lui a transmis sa passion. Avant de connaĂźtre l’amour et de donner rendez-vous sous les amandiers

Dans ce livre, il est fortement question d’identitĂ©. De nom. Qui est-on vraiment ? Que signifient les noms que l’on nous donne ou ceux que l’on porte ou ceux que l’on se choisit ? Quelle est la part qui nous est donnĂ©e, celle qui nous appartient ? Il s’agit d’une quĂȘte intime, presque d’une enquĂȘte parfois.
Il est aussi beaucoup question d’amour, souvent immuable, qui survit Ă  la mort et crĂ©e du possible autour de soi.
C’est un magnifique livre, Ă©maillĂ© d’humour discret, dĂ©licat, qui bouscule nos façons de penser, occidentales et rationnelles. Entre le conte et la fable, avec beaucoup de poĂ©sie, et du thĂ©, trĂšs sucrĂ©.
Tumblr media
4 notes · View notes
ladyniniane · 3 months
Note
Coucou ! :D Pour le jeu des questions des personnages :
FĂ©lix : 20 et 21
Mercedes (pour changer des personnages habituels ^^) : 23
Merci beaucoup d'avance ! :D
Character ask game
Coucou, merci pour les questions :)
20. Which other character is the ideal best friend for this character, the amount of screentime they share doesn't matter?
Alors la rĂ©ponse la plus "facile" ce serait : ses amis d'enfance. MĂȘme si personnellement j'adhĂšre moins Ă  l'idĂ©e des Faerghus four soudĂ©s Ă  la vie Ă  la mort qui est prĂ©sente dans le fandom. Pour moi, il y a encore beaucoup de choses Ă  rĂ©gler entre eux pour se retrouver et arriver Ă  une amitiĂ© saine. Je les vois comme des amis d'enfance qui ont Ă©tĂ© sĂ©parĂ©s par la TragĂ©die et qui doivent se retrouver et se construire une nouvelle base en tant qu'adultes.
Que ce soit du cÎté de Felix avec ses énormes difficultés relationnelles ou entre les autres membres du groupe (qu'on ne me lance pas sur la relation entre Ingrid et Sylvain, malaisante au possible selon moi. Je pense que c'est complÚtement OOC de la part d'Ingrid d'arriver à supporter Chad, mais c'est un autre débat. Et d'ailleurs ces mauvais soutiens desservent complÚtement Ingrid et leur dynamique, ce qui fait que je comprends tout à fait pourquoi ce ship n'est pas le plus populaire. Pauvre Ingrid, elle n'est vraiment pas aidée par le jeu et il faut faire tout le travail).
Sinon, je pense aussi Ă  LĂ©onie (bon pas dans un fin oĂč ils deviennent mercenaires et laissent des ardoises non payĂ©es !). Ils pourraient ĂȘtre de bon collĂšgues d'entrainement, LĂ©onie sait se servir de ses dix doigts et Ă©nergique et Felix respecte ses capacitĂ©s et se fiche qu'elle soit une roturiĂšre.
Et dans le mĂȘme genre j'avais beaucoup aimĂ© son lien avec Catherine dans ton histoire ! C'est pas du tout un duo auquel j'aurais pensĂ© mais ça fonctionnait vraiment trĂšs bien !
21. If you're a fic writer and have written for this character, what's your favorite thing to do when you're writing for this character? What's something you don't like?
Tout haha ! Bon, ce qui m'a le plus intĂ©ressĂ©e avec l'histoire de Felix c'est la thĂ©matique du deuil et du chagrin (encore😓). Surtout la question de "j'ai des regrets par rapport Ă  la mort de quelqu'un. Il est parti trop vite et j'ai encore des choses que j'aimerais rĂ©gler avec lui/lui dire. Comment faire et vivre avec ça ?". C'est quelque chose qui fait Ă©cho Ă  des questions que je me posais au mĂȘme moment.
Et puis j'aime aussi lui mettre la tĂȘte dans le plat et le confronter Ă  des choses difficiles pour le faire grandir (aucun Felix n'a Ă©tĂ© maltraitĂ©...). J'aime aussi le faire rougir comme une pivoine xD. Et Ă©crire sur sa famille ! J'aime aussi les petits dĂ©tails que j'ai en commun avec lui : on est tous les deux des grands sensibles et moi aussi j'avais beaucoup de mal Ă  regarder les gens dans les yeux (voilĂ , ça s'arrĂȘte lĂ  :P).
Et ce que je n'aime pas bah...rien du coup xD
23. Favorite picture of this character?
Alors vive les guns (* / *)
Un peu d'amour dans ce monde de brutes : * / */*
2 notes · View notes
fidjiefidjie · 4 months
Text
Petit jeu 🐕 ⚜ 🐖 entre amis !
Source: Mundo mĂĄgico
Bel aprùs-midi 👋
384 notes · View notes
Text
vimeo
SAMEDI 20 JANVIER 2024 (Billet 2 / 4)
FraĂźchement arrivĂ©s du Maroc et scolarisĂ©s Ă  Paris depuis peu, JM, lorsqu’il avait 12 ans, avec sa sƓur Anne-Marie (20 mois de moins que lui), ont souvent Ă©tĂ© filmĂ©s par leur tante, Yvette. La camĂ©ra « tournait » avec des films 8mm et bien sĂ»r, n’était pas encore sonore.
Tous les films d’Yvette ont Ă©tĂ© sauvegardĂ©s sur DVD. Une mine de souvenirs

Raccord avec le Billet prĂ©cĂ©dent, une bobine datant de 1962 devrait vous faire sourire. N’ayant plus aucun matĂ©riel professionnel, JM a dĂ» jongler entre son iPhone, un lecteur DVD et le son d’un document YouTube trouvĂ© sur Internet pour rĂ©aliser la petite vidĂ©o ci-dessus, le tout synchronisĂ© en direct et plus que trĂšs maladroitement (image dĂ©centrĂ©e, pas de fondu Ă  l'image au dĂ©but, ni de fondu au noir Ă  la fin...). Il s’en souvient comme si c’était hier, c’était sur cette chanson qu’ils avaient dansĂ©.
Comment ne pas dĂ©dier ce Billet Ă  notre tante Yvette qui, avec sa camĂ©ra mais aussi avec son appareil photo, a immortalisĂ© de merveilleux moments familiaux et amicaux. Avec le temps, on s’aperçoit, qu’un million de fois plus importants et Ă©mouvants que les plus beaux paysages, les voyages les plus exotiques ou les monuments les plus cĂ©lĂšbres
 ce sont ces moments-lĂ  qu’on a toujours un plaisir infini Ă  retrouver. Le ParthĂ©non, lui, restera toujours Ă  sa place mais les grands-parents, les parents, les amis, nos jeunesses... ? Merci Yvette, ça n’a pas de prix !
Pour finir, une petite dédicace aussi à Anne-Marie. Quel jeu de jambe !
2 notes · View notes
Text
Tumblr media
Je suis la gĂ©nĂ©ration X. Quiconque qui est nĂ© entre 1955 et 1990 en fait partie. Nous sommes la derniĂšre gĂ©nĂ©ration Ă  avoir jouĂ© dehors jusqu'Ă  la tombĂ©e de la nuit. Nous avons Ă©tĂ© les PREMIERS Ă  jouer Ă  des jeux vidĂ©o et les DERNIERS Ă  enregistrer des chansons de la radio sur une cassette. Nous avons connu la lĂ©galisation et l'essor des radios libres (NRJ Fun radio, Radio FreeDom...) et l'Ă©poque musicale la plus riche. Nous avons adorĂ© la marelle, le jeu de l'Ă©lastique, le patin Ă  roulettes (Ă  4 roues, parfois mĂȘme des roues en mĂ©tal), mĂȘme le vendredi et le samedi soir. Nous avons survĂ©cu aux annĂ©es 80 en faisant du vĂ©lo sans casque, avec de longs cheveux spay net, la coupe mulet, la permanente, les pantalons pattes d'eph, les sous-pulls en nylon et Ă  l'Ăšre du tout extravagant et colorĂ©. Nous allions Ă  l'Ă©cole Ă  pied entre amis, passions beaucoup de notre temps dehors, terrains vagues, cabanes, ballon, billes .... sans crainte d'ĂȘtre importunĂ©s. Nous avons regardĂ© des dessins animĂ©s le samedi matin en trempant dans un bol de lait des tartines beurrĂ©s Ă  la confiture de fraise ou de figue, assistĂ© Ă  "La derniĂšre sĂ©ance" avec notre cornet de frites dans du papier journal le mardi soir, le Disney Channel le samedi soir, RĂ©crĂ© A2, Temps X, Croque Vacances, le Club DorothĂ©e et le Top 50... đŸ“șNous avons programmĂ© le magnĂ©toscope avant tout le monde et avons connu l'invention du Laser disc VidĂ©o et du CD... 💿 Nous nous souvenons d’avoir appris Ă  utiliser un ordinateur pour la premiĂšre fois et nous avons jouĂ© en premier aux consoles Atari, Nintendo, Sega...đŸ•č
Nous sommes la gĂ©nĂ©ration des Routes du paradis, L'Ăźle fantastique, ShĂ©rif fais-moi peur, Scooby-Doo, Mac Gyver, DrĂŽles de Dames, Shogun, La croisiĂšre s'amuse, Benny Hill, Manimal, Magnum, V, La petite maison dans la Prairie, Happy Days, Ulysse 31, L'inspecteur Gadget, Capitaine Flam, Albator, Les MystĂ©rieuses CitĂ©s d'or, Candy, Cobra, Tom Sawyer, Arnold et Willy, Cosmocats... (sans oublier : OLive & Tom, Dragon Ball, les chevaliers du zodiaque). Nous avons voyagĂ© dans des voitures sans ceintures de sĂ©curitĂ© ou airbags, avons roulĂ© sans ceintures Ă  l’arriĂšre de camionnettes et avons vĂ©cu sans tĂ©lĂ©phones portables. Nous n'avions pas d'Ă©cran plat, de son suround, d' I-Pads, de Facebook et Twitter... mais nous avons passĂ© des moments inoubliables les uns avec les autres !!! Et surtout, nous avons passĂ© du temps ensemble sans tĂ©lĂ©phone entre nos mains et nous avions beaucoup de choses Ă  nous raconter et Ă  vivre
25 notes · View notes
homomenhommes · 2 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 112
Jeudi.
Arrivé chez Emma, je rentre direct ma moto au garage. Je défais le haut de la combi et coince les manches à ma taille. Elle m'attend dans la cuisine avec un café. Pelle, je commence à l'entreprendre quand elle me dit : débriefing.
Direction le salon, nous discutons de la soirĂ©e du samedi. Elle revient sur le fait que je me suis bien dĂ©brouillĂ©, qu'un des deux patrons lui avait tĂ©lĂ©phoner pour lui demander oĂč elle m'avait trouvĂ©. Quand elle me dit lequel c'est, je vois, c'Ă©tait mon voisin de table et dont ;j'ai prĂ©venu le " neveu " de montrer un peu d'intĂ©rĂȘt autre que le fric. Je lui dis que c'est dommage que ce ne se soit pas passĂ© plus tĂŽt, car je lui aurai refilĂ© Jean. Elle me demande qui c'est . Je lui explique que c'est un ami qui aurait bien fait l'affaire, Ă©tudes de commerce, mais qui est dĂ©jĂ  en " situation ". Je vais voir avec Kev, aprĂšs tout ce serait plus stable que ses plans Ă  la petite semaine. Les vieux, c'est dans ses cordes et cotĂ© intĂ©ressĂ©, y'a pas de soucis. Il saura feindre (au minimum) un intĂ©rĂȘt pour les affaires de son boss. Je me promet de l'appeler dĂšs mon retour.
Comme elle est Ă  cotĂ© de moi sur le canapĂ©, j'Ă©courte la conversation en posant nĂ©gligemment une main sur un sein. Sous ma paume, je sens son tĂ©ton se dresser. Je fais pivoter ma main, cela masse le tĂ©ton et lui tire quelques halĂštements. Elle cesse de parler et je peux l'embrasser. Nos langues se cherchent, se mĂȘlent, s'emmĂȘlent. Je bande dur sous le cuir. Ma main quitte son sein pour descendre jusqu'Ă  ses genoux et remonter sous sa jupe. Elle n'a pas de culotte ! J'ai donc un accĂšs direct Ă  sa chatte. J'y enfonce un doigt pour vĂ©rifier l'Ă©tat d'excitation. Je trouve un vagin brulant, mouillĂ©, prĂȘt Ă  ĂȘtre investi. Elle se dĂ©place et m'enjambe. Je l'ai maintenant face Ă  moi, sur mes genoux, la chatte ventousĂ©e sur mon paquet Ă  continuer Ă  me rouler un patin.
Je la repousse pour pouvoir défaire ma combi jusqu'en bas et dégager mon sexe. Je le sors, laissant mes couilles à l'abris du cuir. Je n'ai pas le temps de kpoter qu'elle s'enfile ma bite dans sa chatte. Je l'engueule, la repousse et mets la protection elle revient aussitÎt dessus. Elle se déchaine, usant de ses muscles internes pour masser ma queue tout en montant et descendant. Elle est devenue experte à ce petit jeu. Dans notre position, à chaque fois qu'elle s'enfonce au maximum la bite, son clito vient frotter contre la bande de poil qui me reste entre ma bite et mon nombril, renforçant son excitation.
Un mouvement plus brusque, je sors du vagin et quand elle se rassoit, je l'encule. Ça ne l'arrĂȘte pas et mĂȘme ça renforce l'effet " clito ". Elle me chevauche ainsi jusqu'Ă  jouir, elle lĂšve alors ses jambes pour s'enfoncer encore plus ma queue dans son cul et Ă©craser comme il faut son clito contre mes abdos. Ses contractions tire mon jus et je rempli la kpote. Elle s'Ă©croule sur moi. Quand je sens ma bite ramollir, je la soulĂšve, dĂ©cule et retire la kpote. Elle se repose sur mes genoux et nous nous roulons une pelle magistrale.
Le téléphone sonne. Elle laisse mais à l'autre bout du fil, ça insiste. Emma finit par se lever et décrocher. C'est le boss de l'autre soir qui voulait savoir si j'étais là. Elle réalise soudain qu'elle lui avait dit me voir ce jeudi aprÚs midi.
Je prend le combinĂ©. Je l'entend me dire tout le bien qu'il pense de moi. Puis rapidement il me demande si je n'aurais pas un ami qui ferais le mĂȘme taf que moi mais pour homme. Je lui dis que je croyais qu'il avait dĂ©jĂ  ce qu'il lui fallait. Il m'a expliquĂ© que d'un certain cotĂ© il lui donnait toute satisfaction mais qu'en dehors de cela c'Ă©tait une buse qui Ă©tait incapable de s'intĂ©resser Ă  ses affaires. Pensant Ă  Kev, je lui demandais si un jeune homme dans les 27 ans, bien fait Ă©videmment et titulaire d'une maĂźtrise en droit international serait susceptible de l'intĂ©resser. Un oui enthousiaste m'est parvenu Ă  l'oreille. Je prenais ses coordonnĂ©es pour pouvoir le contacter, il m'a donnĂ© son n° portable et je lui ai donnĂ© le mien. AprĂšs avoir raccrochĂ©, je demandais Ă  Emma si je pouvais engager cette affaire et reprenais le tĂ©lĂ©phone pour appeler Kev et lui laisser le message de me rappeler.
Nous avons eu le temps de nous baigner et de refaire l'amour sur les bords de la piscine avant que mon portable ne sonne.
Kev. Le message que je lui avait laissĂ© Ă©tait suffisamment intrigant pour qu'il n'attende pas aprĂšs l'avoir lu. Je lui demande si il connaĂźt monsieur X. Il me dit oui, bien Ă©videmment de nom. Je lui demande si cela l'intĂ©resserait d'ĂȘtre son escort-boy attitrĂ©, sexe et +. Il me demande combien. Je lui dis que ça se sera Ă  lui de nĂ©gocier mais qu'il ne me semblait pas radin. Pour avoir discuter avec son futur ex escort, je pouvait lui dire que cotĂ© cul, c'Ă©tait un bon passif qui aimait se faire tringler plusieurs fois par jour. Ce qu'il cherchait en plus c'Ă©tait un type suffisamment intelligent pour comprendre son taf et ne pas faire que " gode " lors de diner en ville et je lui racontais comment je l'avais rencontrĂ©. Il me dit que ça l'intĂ©ressait, il en avait mare de courir 3 ou 4 vieux Ă  la fois pour assurer ses fins de mois et me demanda d'organiser la rencontre le plus tĂŽt possible.
Appel au vieux qui nous fixe rendez vous pour le samedi 10h (hum, ça va coincer avec mon coaching ! si j'annule, Kev me devra un dédommagement). Je préviens Kev, je lui dis que contrairement à ses autres clients, il lui faudra porter le costume. Il me dit que ça va il en a un. Je lui donne rendez vous à la gare de Lyon, le rendez vous étant sur Paris.
Quand je rentre le soir, je raconte tout Ă  Marc. Il me demande si je n'avais pas Ă©tĂ© tentĂ© par le poste. Je le regarde interloquĂ©, je n'y avais pas pensĂ© une seule seconde. Il me dit alors que ce job assurais sĂ»rement un train de vie aussi haut que le mien sans avoir Ă  s'Ă©chiner sur tous les fronts, avec un intĂ©rĂȘt intellectuel en plus. Je saute sur lui et le plaque au tapis du salon mes jambes en travers des siennes et mes mains bloquant ses poignets au dessus de sa tĂȘte. Il se laisse faire. Je me penche et l'embrasse. Je lui dis qu'effectivement le job est bon mais qu'il me manquerait le principal, lui ! Incidemment, je m'aperçois qu'il m'a Ă©tĂ© trĂšs facile de l'immobiliser. J'ai bien pris cotĂ© muscle !
Je lui dis que je l'aime trop pour penser Ă  le quitter. Je le sens bander contre ma propre queue raide depuis un bon moment dĂ©jĂ . Je reprends notre baiser et lui lĂąche les poignets. Ses bras viennent m'enserrer. Il nous fait rouler et reprend le commandement. Nous faisons l'amour (et non pas une baise) sur le tapis. Je le dĂ©shabille quand il en fait autant sur moi. Ses 22cm triomphants trouvent refuge au fond de ma gorge. C'est vraiment la bonne taille. Suffisamment gros pour me dĂ©foncer la gorge mais pas trop ce qui permet de le supporter un bon moment. D'ailleurs il en profite bien, apprĂ©ciant au plus haut point les massages provoquĂ©s par la dĂ©glutition. En 69, il me bouffe le cul, lĂ©chant, crachant sa salive directement dans ma rondelle pour la prĂ©parer. Quand il s'est redressĂ© et Ă  quittĂ© ma bouche, je me suis placĂ© pour la sodo. A genoux, le torse posĂ© sur l'assise d'un des canapĂ©s, la tĂȘte enfoui dans mes bras, je me suis cambrĂ© pour lui tendre mon cul.
J'ai commencĂ© par sentir ses mains se poser sur mes reins, glisser sur mes fesses et les Ă©carter doucement. Un souffle frais sur ma rondelle et l'humiditĂ© de sa langue pleine de salive l'a fait frĂ©mir. BientĂŽt c'est le contact avec la chair lisse et Ă©lastique de son gland que je sens sur mon anus.je me dĂ©tends, il pousse et me pĂ©nĂštre. Trop bon ! je le sens faire entrer ses 22cm, caresser au passage ma prostate et la dĂ©passer jusqu'Ă  coller ses couilles aux miennes. Il reste bloquĂ© au fond quelques instants avant de se retirer complĂštement. Il rĂ©investi mon trou avec la mĂȘme dĂ©licatesse. Impatient, je recule un peu brusquement pour prendre plus rapidement ses 5 derniers cm.
C'est le dĂ©clencheur des " hostilitĂ©s ". ses mains remontent mon dos pour se poser sur mes Ă©paules et soudain, la tornade arrive. Il me prend violemment le cul Ă  grand coups de bite, tirant Ă  lui mes Ă©paules pour mieux me perforer. Je rejette ma tĂȘte en arriĂšre et il vient me manger la bouche, mordre mes lĂšvres (heureusement que je bosse Ă  la maison car j'aurais eu de la peine Ă  expliquer pourquoi elle serait aussi gonflĂ©es demain matin). Il se dĂ©chaĂźne et j'adore. Ses grand coups de bite succĂ©dant Ă  un pilonnage en rĂšgle de ma prostate, me font dĂ©coller comme jamais. Il module ses coups de reins de façon Ă  me maintenir au plus haut de l'excitation sans provoquer mon Ă©jaculation. Son gland masse ma prostate Ă  l'aller comme au retour provoquant en moi un frisson Ă  chaque fois.
Quand je l'entend souffler plus fort, je sais qu'il ne va pas tarder. J'use de mon anneau pour serrer plus fort sa bite le freinant dans ses mouvement mais amplifiant la stimulation. On ne résiste pas longtemps tous les deux à ce petit jeu et il explose en moi quand je jute dans ma main. Une fois décollés, j'avale mon jus et nous nous roulons un patin jusqu'à ce que ma bouche soit nettoyée du moindre spermatozoïde.
Petite soirĂ©e en tĂȘte Ă  tĂȘte. Je crois que ça l'a rassurĂ© le fait que je ne sois pas intĂ©ressĂ© par un job d'escort Ă  temps complet. Comme je le sens pensif, je reviens sur le sujet et lui dis que si j'aime bien baiser tout azimut, il est le seul mec avec qui ;je fais l'amour. Je m'endors dans ses bras, la tĂȘte contre son Ă©paule.
JARDINIER
Tumblr media
~~
Tumblr media
+
Tumblr media
9 notes · View notes
frisquette27 · 2 years
Text
Et voilĂ  le chapitre 17 ..je me suis un peu lĂąchĂ© 17 pages 8923 mots :)đŸ€Šâ€â™€ïž
Trop pressé de raconter la suite mdr
Toujours les mĂȘmes avertissements SMUT ect ..
PS un grand merci pour vos encouragements et vos commentaires, c'est grĂące Ă  vous que je continue❀❀❀❀
ET SI
Chapitre 17 : Et SI j’osais
L’aube Ă©tait Ă  peine levĂ©e, Lancelot Ă©tait choquĂ© de voir cette femme devant lui, Qu’est-ce que la femme de Karadoc pouvait-elle bien faire ici, en pleine forĂȘt Ă  cette heure-ci. Ils se jaugĂšrent un moment du regard et le silence entre eux Ă©tait gĂȘnant.
« Seigneur Lancelot, je me prĂ©sente Ă  vous car j’ai une information de la plus haute importance Ă  vous communiquer »
Elle Ă©tait venue seule et cela intrigua fortement le chevalier.
« Si c’est votre mari qui vous envoie pour une de ses Ăąneries, je vous saurais grĂ© de retourner au chĂąteau pour vaquer Ă  vos occupations habituelles, je n’ai pas de temps Ă  perdre »
« MĂȘme pour la Reine »
« C’est elle qui vous envoie »
« En quelques sortes, on m’a rapportĂ© que vous n’ĂȘtes pas indiffĂ©rent au sort de la Reine »
« La Reine !! Que lui ait il donc arrivé ? Est-elle blessée ? »
« Elle l’a Ă©té ! et si vous le permettez, nous pourrions nous asseoir pour en discuter »
Ils s’installĂšrent devant le feu, et Mevanwi lui raconta le geste de GueniĂšvre en omettant sa participation Ă  la chute de la Reine. Lancelot serrait les poings au fur et Ă  mesure que la Dame lui expliquait le sort de sa bien-aimĂ©e. La rage lui broyait l’estomac, il allait tuer Arthur, comment avait-il pu encore humilier la Reine.
« Et pourquoi vous venez m’en parlez, quel est votre intĂ©rĂȘt ? »
« Le bien ĂȘtre de GueniĂšvre, c’est mon amie »
« Non, ne me prenez pas pour un idiot, si vous voulez que je vous fasse confiance, j’ai besoin de savoir ce qui vous motive rĂ©ellement »
Elle n’avait pas le choix de toute façon, elle avait besoin de cette alliance alors autant jouer franc jeu.
« Vous voulez GueniÚvre, moi je veux Arthur »
« Vous n’avez pas de goĂ»t !! »
« Ce n’est pas une histoire de goĂ»t mais de pouvoir »
« Au moins vous ĂȘtes honnĂȘte, et vous avez un plan peut ĂȘtre ? »
« Oui mais la premiÚre partie ne vas pas vous plaire »
« Dites toujours ? »
« Vous devez ré intégré la table ronde et le chùteau »
« Vous avez raison cela ne me plait pas mais continuez »
Elle entreprit donc de lui expliquer son plan, et elle fût agréablement surprise par la pertinence du chevalier. Il était beau et intelligent.
A son rĂ©veil Arthur mit quelques minutes pour se rappeler oĂč il Ă©tait et surtout les Ă©vĂšnements de la veille, la douleur lancinante de ces derniers jours lui reprit et dire qu’hier elle Ă©tait partie Ă  l’instant oĂč il avait embrassĂ© sa femme. MĂȘme la tristesse qui le suivait comme une amie depuis tant d’annĂ©e avait disparu au moment oĂč il avait pris GueniĂšvre dans ses bras. Et ce matin le dĂ©sespoir repointait son nez, comment allait-il convaincre sa femme qu’il Ă©tait sincĂšre, il n’avait pas Ă©tĂ© capable de lui avouer ses nouveaux sentiments et maintenant il devait rattraper rapidement toutes les erreurs qu’il avait pu commettre avec elle depuis toutes ces annĂ©es de mariage. Elias avait raison il allait « ramer » pourtant Ă  l’idĂ©e que l’enchanteur puisse l’aider, un espoir revit dans son cƓur. Oui il allait retrouver sa confiance, il n’avait pas le choix. Le Roi se rendit dans la salle Ă  manger oĂč il trouva Elias dĂ©jĂ  attablĂ© mais pas de GueniĂšvre Ă  l’horizon, elle devait trĂšs certainement encore dormir, elle n’avait jamais Ă©tĂ© du matin.
« Bonjour Sire avez-vous bien dormi ? »
L’enchanteur l’avait saluĂ© avec son petite sourire moqueur qui donnait envie Ă  Arthur de lui mettre son poing dans la figure, mais le Roi se ravisa aprĂšs tout c’était son dernier alliĂ© pour reconquĂ©rir sa femme. Il serra donc les dents
« Mmm Bonjour, GueniĂšvre n’est pas levĂ©e ? »
« Ah si !! Mais elle est partie pour sa promenade qu’il lui sert d’excuse pour rater le petit dĂ©jeuner !! »
« Quoi !! Mais elle doit manger !! »
« C’est une certitude mais chaque chose en son temps, d’abord discutons de comment je vais pouvoir vous aider avec elle »
« Vous avez déjà une idée de comment lui faire comprendre que je suis sincÚre avec elle »
« Ah parce que vous l’ĂȘtes ? »
« Non mais ce n’est pas fini ces allusions dĂ©biles je pensais que vous vouliez m’aider ? »
Le roi se leva Ă©nerver et se mit Ă  faire les cent pas dans la piĂšce
« Il faut que je lui parle tout de suite, il faut qu’elle comprenne qu’elle s’est trompĂ©e sur mes intentions »
« Avec votre patience lĂ©gendaire et son entĂȘtement, je ne pense pas que cela vraiment mener Ă  quelque chose de constructif, vous devriez rentrer au chĂąteau, je vais la convaincre »
« Je ne vais pas partir comme ça, elle va penser que je l’abandonne et je n’ai pas l’intention de la laisser penser ça »
« Non, vous pouvez lui parler mais dites-lui que vous avez une urgence et moi je vais broder derriÚre »
Le Roi n’eut pas le temp que dĂ©jĂ  la Reine revenait de sa promenade, elle passa devant les hommes sans les saluer, ignorant ouvertement son mari. Alors qu’elle se dirigeait vers sa chambre elle fut agrippĂ©e par le bras. Elle se retrouva nez Ă  nez avec Arthur qui n’apprĂ©ciait pas particuliĂšrement qu’elle puisse se permettre de lui mettre un vent.
« Sire, pourriez-vous me lĂącher s’il vous plait »
« Vous pourriez saluer votre mari et votre Roi, quand allez-vous redevenir raisonnable ! »
« Bonjour Sire »
« GueniĂšvre » gronda t il « Ne m’appelez pas Sire, pas vous ! Vous ĂȘtes ma femme bon sang, vous ĂȘtes la Reine, alors cessez de jouer l’enfant »
Elle ne savait plus comment rĂ©agir avec lui, elle Ă©tait fatiguĂ©e, elle n’avait pas beaucoup dormi, elle avait passĂ© la nuit Ă  pleurer. Il l’observait attentivement, elle avait les yeux gonflĂ©s et un teint trĂšs pale, trop pale mĂȘme pour sa femme. Elle sentait le savon, elle avait dĂ» prendre un bain ce matin ? cette nuit ? Normal se dit il elle Ă©tait vierge encore hier, elle avait dĂ» saigner, comme il aurait aimĂ© prendre ce bain avec elle, la savonnait et lui susurrait des mots d’amour, c’est comme cela que cette nuit aurait dĂ» finir pas par des cris et des pleurs. Il se radoucit.
« Ma douce, je n’avais aucunement l’intention de faire un pied de nez Ă  votre pĂšre, notre nuit, je l’ai voulu, dĂ©sirĂ© plus que tout, nous avons fait l’amour, rien d’autre, je sais que vous n’avez pas confiance en moi et je l’ai mĂ©ritĂ© mais croyez-moi quand je vous dis que j’étais sincĂšre, que je suis sincĂšre »
« Vous voulez quoi vraiment Arthur, vous avez peur pour votre alliance avec la CarmĂšlide, sachez que mĂȘme si mon pĂšre rĂąle, il vous apprĂ©cie quand mĂȘme alors notre mariage peut se terminer si vous le souhaitez »
« NON, JAMAIS, je veux que nous restions mariĂ©s je n’en ai rien Ă  battre des alliances mĂȘme du royaume si vous voulez j’envoie tout bouler et on se barre tous les deux »
« Partir mais oĂč ? »
« OĂč vous voulez mais plutĂŽt vers un pays chaud tant qu’à faire mais tous les deux rien que tous les deux !!! »
Elle sourit et laisse son mari lui prendre la main, il la porte Ă  ses lĂšvres, son sourire s’agrandit, son regard redevient tendre, quel beau parleur, elle craque encore pourtant une petite voix continue de l’alerter. Attention n’oublie pas, il ne t’aime pas, tu le rĂ©pugne, n’oublie pas ce qui l’a dit tu lui donne la gerbe. Elle retire sa main et recule un peu, croisant les bras contre sa poitrine.
« Je 
 laissez-moi du temps s’il vous plait »
Sa voix Ă©tait un murmure et elle avait baissĂ© la tĂȘte, Arthur avait envie de la prendre dans ses bras pour la protĂ©ger et la rassurer, elle avait l’air si fragile.
« Prenez le temps que vous avez besoin mais revenez moi s’il vous plait ma douce 
je ..je dois retourner Ă  Kamelott 
je vous attendrais »
Sans un mot elle retourna dans sa chambre laissant le Roi seul. Il ne la revit pas avant son dĂ©part, Elias l’avait rassurĂ© et il avait dĂ©cidĂ© de lui faire confiance. Triste et un peu jaloux Arthur reparti au chĂąteau, le trajet retour fut difficile, il ressassait leurs annĂ©es de mariage et la liste de ses erreurs lui revenait en pleine figure, pourvu que l’enchanteur puisse la convaincre car mĂȘme lui ne savait pas s’il arriverait Ă  pardonner ne serai ce que le quart de ce qui lui avait fait. Il arriva au chĂąteau pour l’heure du dĂ©jeuner, il devrait donc affronter ses beaux-parents tout de suite, c’était sans compter sur le seigneur Perceval qui semblait l’attendre devant la salle Ă  manger.
« Sire, il faut que je vous parle je suis en grande difficultés »
« Seigneur Perceval, faite simple et vite pour une fois »
« Vous devez m’aider je ne comprends pas ce qu’elle a, elle ne fait que pleurer, et je ne comprends pas ce qu’elle me dit, en rapport avec nos sentiments qui aurait raccourci car la vie Ă©tait triste, rien piger »
« Mais de quoi vous me parlez et de qui »
« Ben c’est Ă  cause de la Reine »
« Comment la Reine et de quels sentiments vous me parlez !!! »
« De l’amour !! »
« Vous aimez la REINE !! »
« Oui beaucoup »
Arthur agrippa le chevalier par le col et le colla d’un mouvement brusque contre la porte.
« Vous allez cesser immĂ©diatement ce cirque, GueniĂšvre c’est MA FEMME »
« Calmez-vous je l’aime beaucoup votre femme mais pas comme ça, mĂȘme si elle est belle mĂȘme trĂšs belle »
Le Roi reposa le chevalier et recula mais toujours aussi agacé
« Alors vous allez me la refaire plus clair et vous allez vous magniez !! »
« C’est Angarad qui pleure Ă  cause de la Reine, c’est bizarre qu’elle pleure autant parce ce que la Reine est partie en voyage, je voulais savoir si la Reine Reviens bientĂŽt mais peut ĂȘtre que vous ne le savez pas, faut que je demande Ă  un de ses prĂ©tendants, et puis je comprends pas pourquoi elle dit que la vie Ă  raccourci et nos sentiments rien piger »
« Attendez quels prétendants ??? »
« Je ne sais pas la Reine elle a plein d’amoureux Non »
« Non elle n’a pas plein d’amoureux, c’est MA FEMME !! »
« Ah !! bon je croyais !! »
« Non, non 
sinon vous seriez allĂ© demander Ă  qui
juste comme ça »
« Ben le seigneur Lancelot, il n’est pas lĂ  mais je ne sais pas au seigneur HervĂ© de Rinel peut ĂȘtre en premier »
« Au seigneur Hervé de Rinel et pourquoi à ce gros con !! »
« Ben vu qui adore la suivre et qu’il rĂ©cupĂšre ses rubans pour faire je ne sais pas trop quoi avec »
Arthur Ă©tait en colĂšre mais s’il voulait terminer cette discussions san fin et sans aucun intĂ©rĂȘt, il devait se dĂ©barrasser du Seigneur Perceval, il souffla.
« Bon ma femme est en voyage et elle revient bientĂŽt » enfin il l’espĂšre se dit-il Ă  lui-mĂȘme « Laissez Angarad tranquille quelques temps, elle faut qu’elle se remette, je ne sais pas occupez-vous Ă  autre chose, la quĂȘte du graal par exemple, Non !! »
Laissant son chevalier perplexe dans le couloir, Arthur rentra dans la salle Ă  manger coupant net leur discussion, toujours aussi Ă©nervĂ© s’il tombe sur le seigneur HervĂ© de Rinel, il lui coupe la tĂȘte, il ose suivre sa femme, et qu’est-ce qu’il fait avec ses rubans ?? Il tomba sur les parents de sa femme.
« Ah vous ĂȘtes dĂ©jĂ  revenu ? Vous l’avez vu ? Vous l’avez ramené ? »
« Heu bonjour, oui, oui et non ! »
Ils s’assirent autour de la table et Arthur leur raconta son sĂ©jour chez Elias sans prĂ©ciser qu’il avait enfin consommer son mariage, ni la dispute, il se concentra sur la santĂ© de leur fille et qu’elle avait besoin encore de calme et de repos. Il n’était pas fier de lui, il ne voulait pas leur mentir mais il aimait vraiment la sollicitude de ses beaux-parents, ils Ă©taient mĂȘme presque affectueux avec lui.
La suite de l’aprĂšs-midi allait ĂȘtre plus compliquĂ© pour le Roi, une rĂ©union de la table ronde Ă©tait prĂ©vue et devoir se taper une bande de pignouf n’était pas ce qui rĂ©jouissait vraiment le Roi. Arthur et son beau-pĂšre arrivĂšrent en premier et pour le grand plaisir du Roi le seigneur HervĂ© de Rinel fut le premier chevalier Ă  se prĂ©senter.
« Ah mais vous tombez bien vous !! je peux savoir ce que vous voulez à MA FEMME »
« Votre femme ? la Reine GueniÚvre ? »
« Parce que j’ai en ai une autre de femme !! oui la Reine GueniĂšvre »
« Ah mais elle vient à la réunion la Reine » répondit avec un sourire aux anges le chevalier.
« Mais non ! qu’est-ce que vous foutez Ă  tourner autour de la Reine ! »
« Mais je ne l’ai pas vu aujourd’hui, c’est bien dommage d’ailleurs »
« Elle n’est pas là ! EspĂšce de quiche, on va faire simple, tout d’abord vous ne suivez plus ma femme, vous ne la regardez mĂȘme plus, et votre trafic de rubans vous oubliez aussi et d’ailleurs qu’est-ce que vous foutez avec des rubans »
« Oh mais elle sent tellement bon, les rubans c’est pour les nuits oĂč je suis seul c’est comme si elle Ă©tait avec moi comme dans mes rĂȘves »
« Alors ça ! vous arrĂȘtez aussi !! et je ne veux pas vous entendre, n’ouvrez pas votre bouche sinon je vous fume sur place, alors ma femme vous y pensez plus, vous ne la regardez plus, vous ne rĂȘvez plus d’elle, elle n’existe plus c’est clair dans votre tĂȘte de dĂ©bile !! »
Le chevalier se recroquevilla sur sa chaise et le seigneur LĂ©odagan pouffa.
« QUOI ! Vous trouvez ça drÎle beau-pÚre !! »
« Non mais alors vous dans le genre, je suis dans la nuance vous la tenez bien là ! c’est soit tout noir soit tout blanc le gris vous connaissez ! »
Le pĂšre blaise et les autres chevaliers arrivĂšrent ce qui empĂȘcha le Roi de rĂ©torquer et de toute façon que dire, LĂ©odagan avait bien raison, il Ă©tait passĂ© de je n’en ai rien Ă  foutre de ma femme Ă  je vais tabasser tout le monde s’il la regarde mais bon GueniĂšvre c’était sa femme Ă  lui.
La RĂ©union fĂ»t aussi barbante que d’habitude, aucune avancĂ© sur le graal, dĂ©cidĂ©ment aucuns chevaliers ne trouvaient grĂące Ă  ses yeux, de toute façon le Roi avait dĂ» mal Ă  se concentrer, toutes ses pensĂ©es Ă©tait tournĂ© vers sa femme, elle lui manquait, cela ne faisait que quelques heures et pourtant son monde semblait vide. La rĂ©union fĂ»t interrompue par l’arrivĂ©e du seigneur Lancelot qui se dirigea d’u pas dĂ©cidĂ© vers Arthur, il s’agenouilla devant le Roi. Tous s’étaient tĂ»t, tous surpris de voir l’ancien ami du Roi, revenir dans le chĂąteau et surtout sa posture de repenti coupa le souffle Ă  certains. Arthur Ă©tait estomaquĂ©, que dire, que faire. Le chevalier baissa la tĂȘte et d’une voix monotone.
« Sire, je me permets de me prĂ©senter devant vous car je vous dois des excuses et je souhaite vous les prĂ©senter devant vos chevaliers, mon Ă©go a Ă©tĂ© mis Ă  mal et je pensais ĂȘtre un chevalier de premier ordre et j’ai fait l’inverse en vous abandonnant et en en critiquant vos mĂ©thodes, je vous ai prĂȘter allĂ©geance et j’étais sincĂšre, j’ai Ă©tĂ© indigne de mon serment, je suis devant vous pour en subir les consĂ©quences »
L’assemblĂ©e Ă©tait abasourdie par les paroles du chevalier mĂȘme le Roi ne savait que dire ou faire, d’un cĂŽtĂ© il pouvait rĂ©cupĂ©rer son chevalier le plus efficace mais d’un autre il savait les sentiments que porter le chevalier Ă  sa femme, et la jalousie le rongeait. Il fĂ»t interrompu dans ses pensĂ©es par le seigneur Karadoc.
« Je ne pige rien, il est plus chevalier errant, il revient à temps plein à la table ronde »
 « AprÚs tout, il était juste parti pour se ressourcer non » dit le roi de Calédonie
« Ah parce qu’il Ă©tait parti ? » rĂ©pliqua le seigneur HervĂ© de Rinel qui ne comprenait toujours rien.
Le seigneur LĂ©odagan mit la main sur l’épaule du roi et il s’adressa directement Ă  lui
« Bon il Ă©tait pas d’accord avec vous mais bon je suis pas le dernier pour dire ce que je pense et au moins lui c’est pas une tanche ! »
Le Roi fĂ»t acculĂ©, il n’avait plus vraiment le choix, personne ne comprendrait s’il ne le reprenait pas, seul le seigneur Bohort Ă©tait tendu sur sa chaise, d’ailleurs qu’avait-il dit exactement Ă  sa femme « que le seigneur Lancelot Ă©tait tombĂ© sous son charme dĂšs la premiĂšre fois oĂč il l’a vu », c’était il y a plus de dix ans et jamais le chevalier avait essayĂ© quoi que ce soit avec sa femme. Il allait donc prendre sur lui.
« Seigneur Lancelot, relevez-vous, et comme viennent de le dire les chevaliers ici prĂ©sents, reprenez donc votre place auprĂšs de nous, par contre pas d’entourloupe oĂč je serais moins clĂ©ment avec votre sort »
Le chevalier se releva, se retenant de sourire cela avait trop facile. Il s’installa donc autour de la table. La rĂ©union pu reprendre et son lot d’imbĂ©cilitĂ© aussi.
Le Roi chercha Ă  s’isoler mais on aurait pu croire que tout le monde s’était donnĂ© le mot et avait dĂ©cidĂ© de jouer avec ses nerfs. Les portes qui claquent et les colĂšres du Roi Ă©tait bien de retour, tout le monde se mit Ă  raser les murs mĂȘme le couple royal de CarmĂšlide prĂ©fĂ©ra le fuir. Seule la femme de Karadoc cherchait Ă  croiser le Roi, il la croisa d’ailleurs plusieurs fois dans la journĂ©e, elle lui souriait, elle cherchait le contact physique, elle osa mĂȘme lui mettre la main sur son bras dans un couloir et sans un mot repartir. Elle essayait de le sĂ©duire, il n’était pas idiot mais il avait une rĂ©vulsion pour cette femme, elle reprĂ©sentait sa faute.
La journĂ©e Ă  la plage mĂȘme s’il elle avait Ă©tĂ© plus calme, elle avait Ă©tĂ© intense pour la Reine, aprĂšs le dĂ©part du Roi, elle avait osĂ© sortir de sa chambre. Elle Ă©tait bouleversĂ©e et fatiguĂ©e d’avoir encore pleurĂ©, elle aurait dĂ» ĂȘtre soulagĂ© du dĂ©part de son mari mais bien au contraire elle Ă©tait triste mĂȘme malheureuse. Elias la rejoint sur la plage d’un pas dĂ©cidĂ©, elle comprit qu’ils allaient avoir ne conversation sĂ©rieuse.
« GueniĂšvre vous devez manger, sinon tous les soins n’auront pas d’effet !! »
Elle ne lui répondit pas
« Sinon nous devrions parler de la nuit derniÚre »
Elle ne lui rĂ©pondit toujours pas, Elias comprit qu’il fallait la faire rĂ©agir, il s’approcha donc plus prĂšs d’elle et d’un air taquin 
« Sinon c’était bien ? »
« Non mais là vous exagérez ! »
« Ah donc le Roi est mauvais au lit ! »
« Mais non qu’est ce que vous racontez, c’était trĂšs bien » Elle rougit « Qu’est ce que vous me faite dire, j’ai honte »
L’enchanteur sourit, voilà elle sortait de sa coquille
« Plus sĂ©rieusement pourquoi vous pensez que le Roi n’était pas sincĂšre avec vous hier soir »
Elle se laissa tomber sur le sable et Elias s’assit Ă  cĂŽtĂ© d’elle, elle entreprit de lui raconter son histoire depuis le dĂ©but avec son mari, ses doutes, ses sentiments et mĂȘme son envie de quitter ce monde. Elle fĂ»t troublĂ©e quand l’enchanteur la pris dans ses bras, lui caressant les chevaux pendant qu’elle pleurait. Et lui parla doucement l’encourageant Ă  ĂȘtre plus audacieuse, d’ĂȘtre vraiment elle-mĂȘme de ne plus jouer Ă  l’épouse qui se tait et qui ne pense qu’à son mari.
« Prenez la dĂ©cision vous-mĂȘme, mais essayer de lui donner une chance et si ça ne marche pas vous pourrez toujours revenir ici, ma maison est la vĂŽtre maintenant »
Ils parlĂšrent de tout et de rien toute la journĂ©e en se promenant, elle adorait ĂȘtre avec lui.
« Vous souhaitez apprendre de nouvelle chose ? »
« Oh oui je veux plus ĂȘtre la gourdasse de service »
« Ah et la magie ça vous intéresse ? »
« Oh oui vous pourriez m’apprendre »
« Les bases mais il va falloir ĂȘtre concentré ! »
 GueniÚvre sautilla sur place surexcité en tapant des mains
« Oui, oui, oui je vous promets 
merci beaucoup ! »
Elle s’arrĂȘta trĂšs concentrĂ©, elle avait pris sa dĂ©cision, il fallait qu’elle essaye.
« Je rentre au chùteau ! »
« Si vous le souhaitez, je fais préparer le départ pour demain matin ! »
« Non » dit-elle vivement
« Si c’est trop tĂŽt, nous pouvons partir plus tard ! »
« Non je rentre maintenant, vous  vous pouvez rentrer demain mais moi il faut que parte maintenant »
AprĂšs un repas en solitaire, le Roi Ă©tait parti s’enfermer dans sa chambre, il ne supportait plus personne, il n’avait qu’une envie retourner dans la maison d’Elias et de rĂ©cupĂ©rer sa femme et peu importe la suite, partir ou rester le principal c’était GueniĂšvre. En plus sa journĂ©e avait Ă©tĂ© difficile, entre Perceval oĂč il n’avait rien pigĂ© Ă  ce qu’il voulait, la femme de Karadoc qui lui avait fait les yeux doux et le pompon le retour de Lancelot qu’il avait dĂ» accepter. Il finit par s’endormir en lisant un parchemin des plus barbant. La nuit Ă©tait tombĂ©e depuis un moment au chĂąteau quand la cariole de la Reine arriva, discrĂštement elle se hĂąta de rejoindre ses appartements, elle y trouvĂąt son mari endormi avec une multitude de parchemins, cela la fit sourire, qu’il Ă©tait beau son Arthur. Elle se changea rapidement pour le rejoindre, et frissonna d’avance de plaisir quand le parfum de sa peau lui parvint. Bon il fallait qu’elle soit audacieuse comme lui avait conseillĂ© Elias, elle avait vraiment dĂ©cidĂ© de lui donner une chance. Alors un peu de courage ma pauvre fille pensa-t-elle.
Elle lui caressa doucement les cheveux puis sa main descendit sur sa joue, il Ă©tait vraiment Ă  craquer quand il dormait mais bon lĂ  il fallait le rĂ©veiller. Tout doucement elle posa ses lĂšvres sur les siennes et lui vola un baiser aussi lĂ©ger qu’un papillon, pas de rĂ©action de la part de son mari, elle pouffa silencieusement pour un guerrier qui doit rester sur le qui-vive, il dormait bien.  Elle repassa la main dans ses cheveux, elle l’embrassa plus fortement et le sentit rĂ©pondre Ă  son baiser. Arthur ouvra grand les yeux pour se retrouver face Ă  sa femme qui le regardait avec tendresse.
« Bonjour Arthur 
Pardon » lui dit-elle d’une voix enfantine, les yeux lĂ©gĂšrement baissĂ©s, en se mordillant la lĂšvre.
Elle Ă©tait lĂ , vraiment lĂ , ce n’était pas un rĂȘve, elle Ă©tait trop mignonne, on aurait dit une enfant qui avait fait une bĂȘtise. Il la trouva encore plus craquante et dire qu’avant il trouvait son cĂŽtĂ© enfantin ridicule, encore des excuses bidon pour ne pas voire rĂ©ellement cette merveilleuse jeune femme
« Vous ĂȘtes revenu, vous ĂȘtes vraiment là »
Il la prit dans ses bras, et la serra fort, remerciant les dieux de lui avoir rendu. Tout contre son torse, elle lui demanda d’une toute petite voix.
« Est-ce vous voulez bien me pardonner Arthur »
« Vous pardonnez quoi ma douce ? »
« Ma rĂ©action de l’autre soir, de vous avoir crier dessus 
pour rien, de vous avoir jeter le vase »
Il rit doucement tout en la serrant plus fort
« Pour le vase heureusement pour moi vous ne savez pas viser ! »
« Mais   »
« Pour le reste c’est oubliĂ© mais s’il vous plait ne sauter pas Ă  des conclusions hasardeuses et Ă©coutez moi la prochaine fois »
Elle secoua la tĂȘte en signe d’approbation et lui embrassa le cou.
« Vous m’avez manquĂ© Arthur »
« Et Ă  moi donc  »
« On se donne une chance ? c’est ça »
« C’est plutĂŽt vous, est ce que vous m’accordait une nouvelle chance »
« Oh oui et du coup, on ne fait plus comme avant hein !! »
« Non, non promis plus comme avant mais je ne garantis pas qu’il n’y aura plus de dispute avec votre caractĂšre de cochon »
« Oh ben ça c’est trop fort !! c’est moi qui ai un caractĂšre de cochon et vous vous ĂȘtes un ange peut ĂȘtre »
Il rit et de toute sa mauvaise foi
« Un ange peut ĂȘtre pas mais je pense que je n’en suis pas loin »
Elle lui tapa affectueusement l’épaule et il fondit sur ses lĂšvres. Les mains contre sa nuque, il accentua leur baiser, rapidement des gĂ©missements Ă©quivoque retenti dans la chambre. Il l’embrassa Ă  en perdre la raison, il glissa sa langue le long de son cou, suçant lĂ©gĂšrement la peau douce Ă  l’endroit oĂč il pouvait sentir son cƓur battre. Elle sentait son Ă©rection contre son ventre, elle voulait le toucher, elle n’oserait jamais mais elle en avait tellement envie que tant pis, elle prit les devant et passa sa main sous la chemise de nuit de son mari, elle tendit la main et passa avec hĂ©sitation un doigt le long de sa verge durcie.
« Oh GueniĂšvre   »
Un murmure contre sa peau la fit frissonner. Il avait prononcĂ© son nom comme dans un rĂȘve. Elle souleva doucement le vĂȘtement d’Arthur pour lui donner un meilleur accĂšs, elle ne pouvait pas vraiment voir, incapable d’ouvrir les yeux alors que la paume de son mari caressait un de ses seins. Elle tendit la main et empoigna fermement son sexe. Elle n’eut pas le temps d’apprĂ©cier ce nouveau touchĂ© car Arthur sursauta et lui retira sa main.
« GueniĂšvre » Il posa son front contre le sien, il respirait rapidement, le souffle court. « Si vous continuez, je vais plus pouvoir me contrĂŽler  »
La jeune femme se détendit car elle avait été trÚs inquiÚte de sa réaction et elle lui dit de voix la plus langoureuse.
« Qui vous dit que je veux que vous vous contrÎliez ? »
Il plongea dans ses yeux, et ce pris Ă  son jeu
« Oh vous ĂȘtes-vous vraiment une vilaine jeune fille ce soir !! »
« Oh encore une vilaine jeune fille » elle lui caressait le torse sur sa chemise « et là vous allez me proposer de me punir »
Elle Ă©tait joueuse, terriblement joueuse et c’était trop pour Arthur qui avait dĂ©jĂ  beaucoup de mal Ă  se retenir, pourtant elle s’approcha de son oreille, lui mordilla le lobe ce qui le tendit encore plus avant de lui murmurer
« Et si j’étais d’accord pour que vous me punissiez ! »
Il recula comme brulĂ© et laissa une lĂ©gĂšre distance entre leur corps, ce n’était pas possible, il avait failli venir comme un pauvre puceau juste parce qu’elle lui avait suggĂ©rĂ© des choses, s’il ne s’était pas Ă©loignĂ© d’elle il aurait une honte qu’un homme avec son expĂ©rience puisse avoir 
oh non pensa-t-il elle allait le rendre fou et puis c’était trop tĂŽt pour dire ou faire ce genre de chose. Il voulait lui faire l’amour tendrement, la courtiser, l’aimer car c’était ça il l’aimait. Mais l’image gravĂ© dans sa tĂȘte ne l’aidait pas Ă  reprendre ses esprits.
«Non , non 
c’est trop   »
« Ah ça ne vous plaira pas Ă  vous de.. » Elle avait perdu son assurance Ă  la rĂ©action de son mari, peut-ĂȘtre avait-elle Ă©tĂ© trop loin, pourtant elle se rappelait bien ses discussions avec Demetra et une en particulier ou elle lui avait expliquĂ© que certains hommes aimaient bien « punir » leurs partenaires et d’ailleurs Arthur aimait tout particuliĂšrement « retourner sur ses genoux » les demoiselles mais que ses maitresses n’était pas favorable et donc que le Roi Ă©tait plutĂŽt frustrĂ©. A l’époque elle avait Ă©tĂ© outrĂ©e qu’il puisse aimer ce genre de pratique mais elle s’était ravisĂ©e depuis la soirĂ©e Ă  la maison de la plage oĂč il avait fait des sous-entendus, elle se rappelait surtout sa rĂ©action enfin la rĂ©action de son corps et qu’elle avait dĂ©jĂ  fantasmĂ© sur ça depuis. Et puis elle pensait lui faire plaisir, elle ne pensait toujours qu’à son bien ĂȘtre Ă  lui.
« Et si je vous dis que j’en ai envie » dit-elle d’une voix toute penaude.
« Non, 
NON..GueniĂšvre »
« Ah vous n’avez pas envie avec moi »
« MAIS NON !!! enfin si j’aimerais 
Mais non, GueniĂšvre c’est trop tĂŽt on n’en est pas lĂ  du tout, je veux vous courtiser, je veux vous prendre dans mes bras, je veux vous tenir la main, vous embrassez, vous faire l’amour oh oui vous faire l’amour 
on ne se connait pas assez, je veux apprendre ce que vous aimez et ce genre de chose viennent aprĂšs si elles viennent   »
Elle pouffa, quelle ironie, elle qui avait toujours Ă©tait fleur bleue, c’était elle qui lui proposait des choses lubriques et voilĂ  que c’était son mari qui devenait romantique. Il avait raison c’était certainement trop tĂŽt et son cƓur de midinette fondit, elle passa les mains autour de son cou.
 « D’accord je n’en parle plus 
pour l’instant »
Elle rit aux Ă©clats entraina son mari, elle ne se rappelait pas la derniĂšre fois ou elle l’avait entendu rire mais quel bonheur de le voir aussi dĂ©tendu et qu’ils soient aussi complice. Ils allaient peut-ĂȘtre y arriver.
« Bon ben si vous me racontiez ce qu’il s’est passĂ© pendant mon absence »
Le Roi se mit sur le dos et invita sa femme Ă  venir contre lui, elle se colla contre lui la jambe entre les siennes et la tĂȘte sur son torse qu’elle caressait amoureusement sur sa chemise.
« HoulĂ  alors ils m’ont tous cassĂ© les pieds mais ça ce n’est pas nouveau, vous m’avez manquĂ© et vos parents ont Ă©tĂ© assez « sympa » enfin ils n’ont pas gueulĂ© pour rien, vous m’avez manquĂ©, pff le seigneur Perceval me casse les pieds avec votre bonniche je ne comprends vraiment pas ce que j’ai Ă  faire avec cette histoire, vous m’avez terriblement manqué ! j’ai peut-ĂȘtre Ă©tĂ© un peu sur les nerfs donc tout le monde me fuit »
Elle ria Ă  cette derniĂšre remarque et murmura
« Et c’est moi qui ai un caractĂšre de cochon »
« Oui bon mais en mĂȘme temps c’est parce que vous m’avez affreusement manqué !! ah oui le Seigneur Lancelot est revenu au chĂąteau »
« Oh c’est vrai !! C’est merveilleux !! »
« Comment ça merveilleux ? Ah mais ça fait plaisir vous vous voulez que je vous laisse tous les deux !!! »
« Mais qu’est ce vous racontez ! Je suis juste heureuse que vous retrouviez votre meilleur chevalier et ami »
« Alors ami, je crois que l’on peut faire mieux ! »
« Ben pourquoi vous l’avez repris alors »
« Ah mais je n’ai pas eu le choix, l’autre gugusse c’est pointĂ© en plein pendant une rĂ©union de la table ronde et il s’est excusĂ© de son comportement devant tout le monde et comme vous l’avez si bien dit c’est mon meilleur chevalier, donc maintenant je suis obligĂ© de me le coltiner !! »
« Je comprends que vous n’avez pas apprĂ©cier qu’il vous fasse des remarques dĂ©sobligeantes mais il faut lui pardonner »
« Mais je m’en moque de ses jugements sur mes mĂ©thodes mais vous savez trĂšs bien pourquoi il me gonfle et que je pense un de ces jours je vais lui mettre mon poing dans la gueule »
« Non je ne sais pas ce qu’il a pu vous faire pour mettre autant en colĂšre »
« Vous n’avez pas la moindre idĂ©e ! GueniĂšvre ne mentez pas je vous l’ai dĂ©jĂ  dit ! »
« Mais QUOI ! je ne vous mens pas !! »
« Ah oui vous n’ĂȘtes pas au courant peut ĂȘtre des sentiments qu’il a pour vous, et ne mentez pas je connais la vĂ©rité »
« Ah vous savez pour cela »
« OUI !! pour cela oui, d’ailleurs on va mettre les choses au clair TOUT DE SUITE, je ne VEUX PAS que vous restiez seule avec lui c’est clair ! »
« Vous n’avez pas confiance en moi, vous ai-je dĂ©jĂ  donnĂ© une raison de ne pas avoir confiance en moi »
« Alors la Dame du Lac m’a dit que vous l’aimiez aussi et vous ne m’avez jamais dit les sentiments qu’il avait pour vous »
« Alors premiĂšrement jusqu’à prĂ©sent je pense que vous vous en fichiez de savoir qui pouvait avoir des sentiments pour moi et deuxiĂšmement elle est cruche votre Dame du Lac qu’est-ce qu’elle en sait de mes sentiments, moi je c’est vous que j’aime ! » s’apporta t elle
« Tout doux !! Mon petit caractÚre de cochon »
Elle fit la moue et il lui releva le menton pour l’embrasser fougueusement
« Vous pouvez juste répéter la derniÚre partie »
La derniĂšre partie de quoi parlait il, oh par tous les dieux elle lui avait dit qu’elle l’aimait, comme ça juste comme ça au milieu d’une conversation et lui qui demandait qu’elle lui rĂ©pĂšte. Ah non Arthur Pendagron ce ne sera pas aussi facile.
« Votre Dame du Lac c’est une cruche, elle est peut-ĂȘtre jolie mais c’est une cruche voilà »
« Vous savez trĂšs bien que ce n’est pas ça que je voulais que vous rĂ©pĂ©tiez et qu’est-ce qu’en savez d’abord qu’elle jolie ou pas, elle est peut-ĂȘtre moche comme un pou »
« Mais non arrĂȘter de me raconter des bĂȘtises ! elle est trĂšs jolie, mĂȘme elle est trĂšs belle avec ses longs cheveux roux et ses beaux yeux vert »
« Attendez comment vous savez à quoi ressemble la Dame du Lac ??? »
Oh non pensa-t-elle, mais quelle idiote, elle ne pouvait pas s’empĂȘcher de parler, comment elle allait lui expliquer ça maintenant. Elle aurait dĂ» lui dire il y a des annĂ©es dĂ©jĂ , dĂšs le dĂ©but en fait, mais le jour oĂč elle avait vu la Dame du Lac pour la premiĂšre fois, il Ă©tait de trĂšs mauvaise humeur comme souvent d’ailleurs et elle n’avait pas eu envie d’une dispute pour rien. Alors depuis elle faisait semblant de pas la voir, sauf les fois oĂč elle Ă©tait venue lui parler qu’à elle.
« Bah en fait, je l’ai dĂ©jĂ  vu »
« Quand ? Comment ? Pourquoi ? et pourquoi vous ne l’avait jamais dit » s’agaçait -il
« Ben 
heu 
il y a quelques annĂ©es 
pouf ! j’ai commencĂ© Ă  la voir »
« Et cela ne vous a pas traverser l’esprit de me le dire » dit-il en ayant du mal Ă  retenir sa colĂšre.
« Si
.mais 
j’avais peur de vous faire crier »
Elle était trÚs angoissée de la réaction de son mari, sa voix montait légÚrement dans les aiguës, et elle trifouiller avec ses doigts la chemise du Roi.
« NON MAIS ELLE FORTE CELLE LA, vous croyez que je ne vais pas crier maintenant, vous me cachez d’autre chose primordial comme ça »
« Oh primordial, vous en faites tout un patacaisse pour rien, vous la voyez bien vous ! »
« Non mais vous ĂȘtes sĂ©rieuse lĂ , tout un patacaisse non mais ce qui ne faut pas entendre, je suis l’élu c’est normal que je puisse la voir, mais vous elle vous demandez quoi la recette de la pĂąte Ă  crĂȘpe !!!! »
« Oh ! Que vous ĂȘtes susceptible et non elle ne m’a pas demandĂ© de recette, vous ĂȘtes bien dĂ©sobligeant, d’abord la plupart du temps je faisais comme si je ne la voyais pas »
« Ah parce que vous un envoyé des dieux vous apparait, vous faites semblant de pas la voir !!! »
« Si vous Ă©tiez la, oui d’abord parce que c’est Ă  vous qu’elle parlait par contre quand elle venait me voir je lui rĂ©pondais, je suis bien Ă©levĂ©e quand mĂȘme »
Il mit ses doigts contre l’arĂȘte de son nez et souffla fort pour enlever son agacement, alors il l’aimait sans aucun doute, il la trouvait douce, gentille, adorable mais parfois Oh parfois elle ne l’agaçait comme personne et pourtant avec l’équipe de bras cassĂ©s qu’il se coltiner il y avait dĂ©jĂ  un haut level.
« Bon 
qu’est-ce qu’elle vous voulait exactement »
« Oh plein de blabla 
que votre mission Ă©tait dure, qu’il fallait que je vous comprenne, que les dieux avaient un plan, quand vous Ă©tiez trop mĂ©chant elle venait me dire que je ne devais pas changer de continuer Ă  vous soutenir, parfois elle me demander pourquoi je vous aimais autant car mĂȘme elle trouvait que vous Ă©tiez cruel avec moi, et d’ailleurs je ne comprends pas qu’elle vous a dit que j’aimais Lancelot puisqu’elle sait Ă  quel point je vous aime »
Arthur se radoucit tout de suite aux mots de sa femme, on Ă©tait venue l’enquiquiner elle aussi sur son devoir, et puis elle avait encore dit qu’elle l’aimait, elle n’avait pas parler au passĂ©.
« Ok , mais arrĂȘtez de me cacher des choses, je veux tout savoir »
« Houlà tout savoir, déjà que quand je vous racontais mes journées ça vous barber »
« Ah mais si, vous voyez la diffĂ©rence entre j’ai fait tailler les rosiers dans le jardin et je vois la Dame du Lac, il va falloir rĂ©gler dans votre petite tĂȘte, le niveau de prioritĂ© des informations »
Elle se dĂ©tacha complĂštement de son mari, pour s’installer Ă  cĂŽtĂ© de lui et elle s’allongea vivement sur le dos, sa tĂȘte sur son propre oreiller, crĂ©ant ainsi une distance entre leurs corps. Puis elle croisa les bras au-dessous de sa poitrine, pour bien montrer son mĂ©contentement Ă  son mari.
« Qu’est-ce que j’ai dit encore, vous n’allez pas faire du boudin parce que je vous demande d’ĂȘtre honnĂȘte avec moi quand mĂȘme ! »
La jeune femme ne répondit pas et se mit à faire une moue boudeuse.
« Bon allez revenez »
« Non »
« GueniĂšvre  »
« Moi et ma petite tĂȘte on reste là »
« Non mais quelle gamine !! venez lĂ  je vous dis ! avec votre jolie petite tĂȘte ! »
Il ouvrit en grand et lui fit un sourire charmeur, d’ailleurs quel sourire, pour un homme qui ne souriait jamais ou trĂšs peu, son sourire Ă©tait Ă  tomber, elle devrait lui demander de sourire plus souvent. Et parce qu’il faisait d’elle ce qu’il voulait, elle se blottit Ă  nouveau dans ses bras.
« Dite le encore s’il vous plait »
« Quoi que je veuille que vous me racontiez tout ? »
« Non, que vous me trouvez jolie »
« Je ne vous trouve pas jolie, je vous trouve belle, je vous trouve trĂšs belle   »
Il leva son menton pour déposer un léger baiser sur ses lÚvres.
« Je vous trouve magnifique, vraiment trÚs belle »
Et le deuxiĂšme baiser dura plus longtemps mais trop peu pour sa femme.
« Vous me trouvez à votre goût ? »
« Ai-je vraiment besoin de le dire ? »
Elle secoua la tĂȘte de façon affirmative, il lui prit le visage entre les mains posa son front contre le sien et d’une voix rauque qui donna des frissons Ă  sa femme.
« Je vous trouve à mon goût, GueniÚvre »
Et c’est elle qui fondit sur ses lĂšvres, le baiser fut passionnĂ© dĂšs le dĂ©but, c’est elle qui prit l’initiative d’immiscer sa langue dans la bouche du Roi, elle avait repris ses caresses sur son torse et rapidement elle descendit Ă  son entre jambes qu’elle caressa Ă  travers le tissu par de long vas et viens. Et plus Arthur gĂ©missait, plus elle accĂ©lĂ©rait ses mouvements. Elle ne voulait plus ĂȘtre la gourde que l’on laisse sur le cĂŽtĂ©, elle allait devenir audacieuse, prendre ce qu’elle envie de prendre et quand elle le voulait. Et surtout il fallait qu’elle dĂ©truise sa petite voix qu’il lui rĂ©pĂ©tait qu’elle n’était rien, et que personne ne l’aimerait.
Il ne savait vraiment pas ce qu’il lui arrivait, il Ă©tait comme enivrĂ© par elle. Toutes ses rĂ©solutions de prendre son temps Ă©taient encore oubliĂ©, il faut dire qu’il ne restait pas beaucoup de sang pour irriguer ses mĂ©ninges, son entre jambes semblait en avoir plus besoin et les caresses sa femme n’aidait en rien. Il caressait ses courbes et la bascula sur le dos, la faisant lĂącher sa verge.
« Vous me rendez dingue !! »
« Oh vous rendre dingue ça ce n’est pas nouveau mais d’habitude vous criez, je prĂ©fĂšre largement vos baisers et vos caresses »
« Oh vous ! Vous ne perdez rien pour attendre !! »
« Des promesses toujours des promesses »
Elle Ă©clata de rire alors qu’il s’attaquait Ă  son cou
« Et ben on va voir ça !! »
Plus calmement, il reprit ses caresses en lui susurrant des mots doux Ă  l’oreille, elle Ă©tait au paradis et sa tempĂ©rature monta en flĂšches. Son Mari lui retira doucement sa chemise de nuit et parsema son corps de baiser et de caresses. Il s’attarda longtemps sur sa poitrine, il en Ă©tait devenu accro et il y revenait toujours, il ne semblait ne jamais pouvoir en ĂȘtre rassasier.
« Il sont Ă  moi » dit-il d’une voix rauque « magnifique »
Elle lui caressait le dos, le griffait, elle aussi dans sa tĂȘte, elle se disait qu’elle Ă©tait Ă  lui rien qu’à lui. La piĂšce fut remplie de leurs gĂ©missements, et GueniĂšvre en voulait plus.
« Arthur ce n’est pas juste vous avez trop de vĂȘtement ! »
Il se rĂ©vĂ©la lĂ©gĂšrement, enleva sa chemise qu’il balança Ă  travers la piĂšce et se recolla Ă  sa femme. Il lui caressa les cuisses puis s’immisça entre ses jambes, GueniĂšvre gĂ©mit d’impatience depuis leur derniĂšre nuit, elle n’avait pensĂ© qu’a la sensation de ses doigts sur son intimitĂ©, de son premier orgasme puis au second, elle se languissait Ă  regoĂ»ter Ă  ce plaisir. Il la caressa doucement, jouant avec son clitoris, son ventre se contracta, elle sentit venir un orgasme quand son mari arrĂȘta sa douce caresse. Il l’embrassa doucement en plaçant sa main derriĂšre la nuque, jouant langoureusement avec sa langue, la suçant, la caressant, les hanches de sa femme se frottĂšrent contre les siennes, elle avait Ă©cartĂ© les jambes avec envie et leurs sexes se retrouvĂšrent en friction. Arthur remis sa main entre eux et recommença Ă  titiller son petit bout de chair si sensible, elle haleter, elle gĂ©missait de plus en plus fort et bougea son bassin en rythme rĂ©clamant plus Ă  son mari.
Il sourit lĂ©gĂšrement, et la pĂ©nĂ©tra doucement lĂąchant un gĂ©missement rauque, par tous les dieux que c’était parfait entre eux. Elle s’arqua contre lui et ses gĂ©missements se rĂ©percutaient sur les murs, rendant fou son mari, qui se perdait en elle avec de plus en plus de vigueur, un assoiffĂ©, il Ă©tait devenu accro Ă  son corps. Leurs respirations Ă©taient courtes et saccadĂ©s, elle ne se contrĂŽlait plus, le plaisir Ă©tait si grand qu’il en devenait douloureux, la tension en elle montait, son corps entier frissonna, se tendit et elle se perdit dans un orgasme si fort qu’elle ne savait plus oĂč elle se trouvait. Arthur la rejoignit rapidement et s’écroula sur elle, sans reprendre son souffle, il se dĂ©cala sur le cĂŽtĂ© entrainant sa femme dans ses bras. Il lui embrassait le dessus de la tĂȘte et lui caressait langoureusement le dos.
« Vous allez me tuer c’était 
pfff j’ai pas de mot »
Sa femme riait contre son torse
« Vous ! Pas de mot ! Alors elle est bien bonne celle-là »
« Ne vous moquez pas » dit un peu vexé
« Mais non c’est flatteur »
« Flatteur ?? »
« Oui pour moi »
Arthur souriait dans ses cheveux, elle ne se rendait pas compte Ă  quel point il Ă©tait heureux avec elle. Le sommeil les gagna rapidement, toujours enlacĂ©, mais la nuit ne fĂ»t pas reposante, plusieurs fois dans la nuit, le Roi ne pĂ»t s’empĂȘcher de rĂ©veiller sa femme, pour l’embrasser, pour lui faire l’amour, toujours en lui murmurant « encore ».  
Elle se rĂ©veilla dans les bras de son mari, quel bonheur de sentir son corps coller contre le sien, elle ne se lassera jamais de cette sensation. Elle frissonna lorsqu’elle senti son souffle chaud sur sa nuque, un choc blanc de plaisir la traversa. Ses lĂšvres Ă©taient sur son cou, elles Ă©taient douces, chaude et un peu humide. Dans son sommeil il la plaqua contre lui, il respirait fort et vite, elle se demandait Ă  quoi il pouvait rĂȘver mĂȘme si elle en avait une idĂ©e et espĂ©rait de tout son cƓur qu’il rĂȘvait d’elle. Elle craignait tellement qu’il rĂȘve d’une de ses maitresses Ă  prĂšs tout elle Ă©tait loin des filles qui devait hanter ses rĂȘves malgrĂ© la nuit prĂ©cĂ©dente, elle doutait encore. Sa bouche Ă©tait toujours contre sa peau, prĂšs de son oreille. Il pressait ses hanches contre ses fesses, et ses mains remontaient vers sa poitrine. Elle perdait totalement le contrĂŽle et elle se tourna lĂ©gĂšrement pour se dĂ©coller de lui dans un effort vain de lui rĂ©sister mais plus elle pensait qu’il n’avait pas conscience de ce qu’il faisait plus elle se raisonnait mais elle voulait le toucher elle aussi. Il Ă©tait le seul homme qui ne l’avait jamais attirĂ© et ses derniers jours avec lui l’avait rendu encore plus accro. Il la caressait, se frottait contre elle. Il chuchotait maintenant de mots incomprĂ©hensibles, des mots de dĂ©sirs, de besoin.
« GueniĂšvre
. » dans un souffle
Cela chamboula toutes les pensĂ©es de la jeune femme, il rĂȘvait d’elle. La ferveur de son Ă©treinte, la douceur de ses mots, tout pour elle. Il prouvait mĂȘme dans son sommeil que leur relation avait belle et bien changĂ©. Il fallait qu’elle le rĂ©veille, qu’elle goute Ă  la douceur de ses lĂšvres, qu’elle s’abandonne Ă  lui. Elle tourna la tĂȘte et chercha ses lĂšvres, elle l’embrassa Ă  pleine bouche ce qui rĂ©veilla le Roi qui aprĂšs quelques secondes d’étonnement lui rĂ©pondit avec ferveur. Sans ouvrir les yeux par peur que ce ne soit qu’un rĂȘve, il se plaça sur elle entre ses jambes. Leurs baisers parfois doux, parfois passionnĂ© finissent par rĂ©veiller complĂštement Arthur. Il releva lĂ©gĂšrement la tĂȘte regarda dans les yeux sa douce Ă©pouse.
« Bonjour GueniĂšvre  »
Elle lui sourit tendrement et passa sa main sur son visage. Arthur releva la robe de nuit de sa femme jusqu’à ses hanches et caressa de ses doigts son intimitĂ©.
« Vous ĂȘtes dĂ©jĂ  prĂȘte 
pour moi » dit-il d’un ton amusĂ© « Ne perdons pas de temps alors »
Et sur ses mots releva sa propre chemise de nuit, et sans attendre la pĂ©nĂ©tra. Surprise de son ardeur elle poussa un lĂ©ger petit cri qui se transforma en un long gĂ©missement. Taquin il lui murmura Ă  l’oreille
« Je veux vous entendre crier, je veux vous entendre crier mon prĂ©nom 
vous ĂȘtes Ă  moi GueniĂšvre 
rien qu’à moi »
Il ponctuait chacune de ses phrases par un coup de rein, GueniĂšvre perdait dĂ©jĂ  la tĂȘte. Alors qu’il accĂ©lĂ©ra ses vas et viens, la jeune femme s’abandonnait totalement et accĂ©dait Ă  la demande de son mari en gĂ©missant son prĂ©nom, des coups fort sur la porte se firent entendre. Loin d’arrĂȘter le Roi bien au contraire, il redoubla de ferveur, il Ă©tait hors de question de laisser sa femme tant qu’elle n’avait pas atteint l’orgasme. Ce qui se produit rapidement, elle hurla son prĂ©nom en l’agrippant par le cou. Mais les coups sur la porte avaient redoublĂ©, Arthur agacĂ© se retira de sa femme sans avoir lui-mĂȘme finit, se leva brutalement du lit, s’habilla Ă  la hĂąte et attrapa Excalibur. Il allait tuer la personne qui osait les dĂ©ranger, il ouvrit brutalement la porte de sa chambre pour se trouver devant ses beaux-parents Ă  priori aussi en colĂšre que lui mais pour d’autre raison.
« On vous dĂ©range peut-ĂȘtre !! »
Le Roi de CarmĂšlide Ă©tait en rage, il serrait les poings et se retenait.
« Oui lĂ  vous me dĂ©rangeait, si je pouvais avoir un peu d’intimitĂ© ça me changerait !! »
« INTIMITÉ !! Alors elle est bien bonne celle-là !! avec l’autre gourdasse qui crie votre nom, ne venez pas me parler d’intimité »
« Bon on Ă©tait venu vous prĂ©venir qu’Elias Ă©tait revenu ce matin et donc certainement notre fille avec mais bon vous ĂȘtes occupĂ© Ă  priori, alors on va vous laissez Ă  vos activitĂ©s, on rĂ©cupĂšre notre fille et on se barre »
Comprenant la mĂ©prise ses beau-parent, le Roi n’eut pas le choix
« JE SAIS que GueniĂšvre est rentrĂ©e, vu qu’elle est rentrĂ© hier soir.. »
« QUOI ET VOUS OSEZ VOUS VAUTRER AVEC UNE AUTRE DANS SON PROPRE LIT, JE VAIS VOUS TUEZ »
LĂ©odagan avait attrapĂ© le Roi par le col de sa chemise, l’avait soulevĂ© et il le frappa de toutes ses forces, Arthur en tomba parterre.
« Mais non bon sang CALMEZ VOUS c’est avec GueniĂšvre que   »
Ses paroles stoppÚrent immédiatement son beau-pÚre, qui resta figé à la révélation du Roi
« Avec GueniĂšvre 
avec MA FILLE 
vous osez toucher MA FILLE 
Vous vouliez pas que je la reprenne espĂšce de p’tit MERDEUX 
 Je vais vous en mettre une autre ..relevez vous 
.JE VOUS I NTERDIT DE TOUCHER MA FILLE !!! »
SĂ©li posa sa main sur le bras de son mari dans l’espoir de le calmer mais en vain, le Roi de CarmĂšlide Ă©tait dans une rage que personne ne pouvait arrĂȘter.
« RELEVEZ VOUS ESPECE DE CONNARD 
MA FILLE C’EST PAS UNE DE VOS PUTAINS 
MA FILLE C’EST UNE PRINCESSE 
C’EST MA FILLE »
La porte s’ouvrit, et la Reine regardait perplexe la scĂšne devant elle, son mari Ă  terre et son pĂšre prĂȘt Ă  le frapper.  
« PÚre calmez vous ! Ne soyez pas ridicule ! »
« RIDICULE ! Et vous comment osez-vous cĂ©der si facilement Ă  ce 
ce pouilleux ..il doit ĂȘtre rempli de maladie 
il s’est tapĂ© toute la bretagne 
il vous a tellement trompĂ© que je suis surpris que vous arriviez Ă  passer les portes tellement vos cornes sont grandes 
GueniĂšvre vous vous ĂȘtes taillĂ© les veines pour cet abruti
 vous avez failli nous tuer avec votre mĂšre
est ce que vous rendez compte du mal que vous nous avez fait   »
Entre Rage et désespoir le seigneur Léodagan ne retenait plus ses larmes, il attrapa sa fille, la serra fort dans ses bras.
« Vous n’aviez pas le droit mon enfant ..ma toute petite fille ...vous ne pouvez pas nous laisser..je ne vous laisserais plus jamais vous faire du mal
On rentre tous Ă  la maison »
GueniĂšvre pleura en entendant les paroles de son pĂšre, sa mĂšre les rejoints dans leurs Ă©treintes. Arthur s’était relevĂ© et regardĂ© penaud la scĂšne devant lui mais il craignit que sa femme cĂšde et parte avec sa famille loin de lui.
« PĂšre ! c’est mon mari et j’ai dĂ©cidĂ© de lui faire confiance et je vous promets que je ne me ferais plus de mal, plus jamais ! »
Ils restÚrent tout les trois enlacés un moment qui parut une éternité à Arthur, ce fût Léodagan qui brisa leur étreinte en se reculant pour caresser le visage de fille.
« Promis ! »
« Oui promis »
« Vous voulez vraiment laisser une autre chance Ă  l’autre gugusse »
Elle secoua la tĂȘte et sourit Ă  ses parents puis elle prit la main de son mari et le rapprocha d’eux.
« Mmmh bon alors dĂ©solĂ© de m’ĂȘtre emporté »
LĂ©odagan regardait le Roi droit dans les yeux pour lui faire comprendre qu’il s’adressait Ă  lui.
« C’est bon beau-pĂšre je comprends »
« Bon quand vous aurez fini toutes vos jĂ©rĂ©miades, on pourra peut-ĂȘtre aller manger car j’ai donnĂ© des ordres au grouillot pour le p’ti dĂ©jeuner et faut se magniez un peu là »
Dame SĂ©li repartie dans le couloir en criant
« Maintenant ! Pas dans huit jours !! »
GueniĂšvre et Arthur pouffĂšrent en se regardant, ils n’avaient plus le choix, ils faillaient qu’il se dĂ©pĂȘche de se prĂ©parer.
La scĂšne n’avait pas Ă©chappĂ© Ă  une Dame de la cour qui rodait prĂ©s de la chambre du Roi, elle avait Ă©tĂ© surprise de revoir la Reine et dire que le Roi lui avait affirmĂ© ne pas la trouver Ă  son goĂ»t mais au vu des bruits qui avait rĂ©sonnĂ© dans le couloir, ce n’était plus d’actualitĂ©. Elle n’avait pas dit son dernier mot, elle avait un alliĂ© de taille et elle irait jusqu’au bout de son plan mĂȘme si elle devait se dĂ©barrasser de la Reine dĂ©finitivement.
21 notes · View notes
disloyalty-game · 8 months
Text
Bienvenue Ă  tous !
Cet espace constituera le flux d'actualité autour du jeu "Disloyalty", dont je suis le créateur.
Disloyalty est un jeu de cartes pour ceux qui aiment les retournements de situation et les coups bas entre amis, dans un monde médiéval fantastique !
Tumblr media
Il s'agit d'un jeu de société physique, mais une version sur TableTop Simulator (TTS pour les intimes) est en cours de développement.
A quoi s'attendre ici ?
Je compte mettre ici tout ce qui concerne la vie du jeu à partir de maintenant : ses évolutions, quels sont les festivals auxquels le jeu sera ou aura été présenté, et si jamais un éditeur est intéressé, lorsqu'une version du jeu sera disponible à la vente !
Pour commencer, oĂč en est-on ?
Le jeu est en phase de prototypage. Il s'agit d'une 2e version majeure du jeu, qui a été testée à de nombreuses reprises dans un cercle restreint. Cela est en train de s'étendre, avec la participation à des festivals de jeu - nous y reviendrons dans un billet suivant.
Les mécaniques de jeu sont validées, une 1Úre version des rÚgles du jeu est rédigée, toutes les images sont finalisées, le design des cartes (au moins dans une premiÚre version) est opérationnel et l'équilibrage également : en tant que tel, le jeu fonctionne et les retours sont trÚs positifs !
Pour ce prototype, les éléments du jeu ont été imprimés sur papier puis positionnés sur des cartons pour le plateau & jetons, ou placés dans des protÚge-cartes pour les cartes à jouer. Il s'agit donc d'une version "amateur", mais dont le rendu est déjà prometteur ! Si on ne regarde pas de trop prÚs, on peut facilement croire à une version "pro" :)
Tumblr media
Ce qu'il reste Ă  faire, Ă  date :
Mettre plus d'iconographie : sur les cartes d'aide de jeu, et Ă©ventuellement sur les cartes Ă  jouer, pour simplifier les choses.
Paufiner le design des rĂšgles du jeu : il manque encore de la mise en page et des images plus claires et propres.
Faire une vidéo d'explication des rÚgles : pour faciliter la compréhension. La petit trailer vidéo dans ce billet en constituera probablement l'introduction !
Refaire des tests, d'autres tests et encore d'autres tests ! Suite aux derniers retours, il y a quelques éléments et variantes de jeu à essayer...
Faire imprimer professionnellement une version du jeu : pour un peu plus de résistance et voir comment une version "finale" pourrait rendre
ComplĂ©ter la version TTS du jeu : les Ă©lĂ©ments sont importĂ©s et le jeu est jouable sur TTS si l'on connaĂźt les rĂšgles, mais aucune mĂ©canique de jeu n'est codĂ©e. Le jeu n'est pas trop complexe, je suis certain qu'en y passant un peu de temps une version plus avancĂ©e pourrait ĂȘtre mise en place, et Ă©ventuellement mise Ă  disposition sur Steam.
Participer à de nouveaux festivals de jeux de société !
Tumblr media
Version TableTop Simulator
2 notes · View notes
anticia24 · 9 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Le foyer Sympa " Les Sympa semblent ĂȘtre le foyer parfait du moins en apparence. Mary-Sue est bien dĂ©terminĂ© Ă  devenir une figure Ă©minente en politique quitte Ă  consacrer tout son temps Ă  cela et laisser son foyer Ă  la dĂ©rive. Son mari dĂ©laissĂ©, Daniel, a succombĂ© au charme ravageur de sa domestique. Quant aux jumelles, les disputes et actes de rebellions de Lilith bouleverse le clame du foyer. Mary-Sue, dĂ©couvrira-t-elle la liaison de son mari? Et arrivera-t-elle Ă  clamer le jeu entre ses deux filles pour retrouver le clame dans son foyer? " Mary-Sue Sympa Fille adoptive de Marco et Coraline Rococo, Mary-Sue vĂ©cus au sein d'un foyer aimant et loin du besoin. Comme son pĂšre avant elle, elle fera de grandes Ă©tudes universitaires pour se lancer plus tard dans une carriĂšre politique. Lors d'un dĂ©placement, elle rencontrera l'homme qui partagera sa vie, Daniel Sympa. Amoureuse elle l'Ă©pousera trĂšs rapidement sans le consentement de ses parents qui n'apprĂ©ciait que peut le jeune homme, ne le trouvant pas assez bien pour leur fille. De leur amour, viendront deux jumelles Angela et Lilith Sympa. Aujourd'hui Mary-Sue, est plus proche que jamais d'atteindre ses rĂȘves de gloire dans la sphĂšre politique, mais la discorde continuelle de ses filles et la liaison secret de son mari pourrait tout faire basculer. Daniel Sympa Fils de Jeff Sympa, Daniel vĂ©cu dans un foyer modeste avec pour seul souvenir de son enfance un pĂšre alcoolique rĂȘvant de marcher sur Mars. Il quittera son foyer Ă  18 ans avec sa sƓur, Jennifer Deschamps, pour s'Ă©loigner de son pĂšre et de l'alcool qui pourrisait sa vie. Lors d'une sortie au restaurant avec sa sƓur, pour fĂȘter sa majoritĂ©, il tomba sur le charme d'une femme du nom de Mary-Sue. Ils Ă©taient bien diffĂ©rents, elle rĂȘvait grand avec que lui ne souhaitait que quelque chose de petit et simple. Mais le charme de cette femme dĂ©terminĂ© Ă©tait irrĂ©sistible. AprĂšs plusieurs annĂ©es, un mariage heureux, la naissance de deux petites filles, la flamme commencent Ă  s'Ă©teindre. La solitude s'empare de Daniel, sa femme est de moins en moins Ă  la maison accaparĂ© par son travail. Ses filles sont aussi peut prĂ©sente, occupĂ© Ă  penser Ă  leur avenir et Ă  leur petit amis. Alors quand sa nouvelle domestique, KĂ©rine HĂ©bert, poussa la porte de son foyer, Daniel ne put y rĂ©sister. Il c'est que s'amouracher de sa sulfureuse domestiques mĂ©trait Ă  mal son foyer mais la solitude Ă©tait pour lui bien pire.  Angela Sympa Fille de Daniel et Mary-Sue Sympa, Angela est une jeune fille brillante et aimĂ©e de tous. Elle excelle dans toutes les matiĂšres et mĂȘme le pom pom sim ne semble ĂȘtre difficile pour elle. Mais sa rĂ©cente relation avec KĂ©vin Hasseck le voyou du coin l'Ă©loignera-t-elle de son glorieux avenir? Lilith Sympa Fille de Daniel et Mary-Sue Sympa, Lilith est la deuxiĂšme fille de la famille, nĂ©e seulement 3 min 45 secondes aprĂšs sa sƓur Angela. Jusqu'Ă  aujourd'hui, elle garde en elle un profond ressentiment pour ses parents, car ils se sont toujours plus intĂ©ressĂ©s Ă  la brillante Angela qu'Ă  la banal Lilith. Alors tout est sujet de dispute avec son foyer comme: son style, ses tatouages ou mĂȘme sa relation avec Dirk DourĂšve. Arrivera-t-elle un jour Ă  se rĂ©concilier avec son foyer? Note de l'artiste: J'espĂšre que ce premier relooking vous a plus. (est ce que l'un de vous avez vu l'indice dans le post prĂ©cĂ©dant?) C'Ă©tait un peut long mais je voulais prĂ©senter ma version des Sympa avec leurs espoirs, leurs conflits... J'ai utilisĂ© les poses de @lou-from-moonwood, de @nell-le et de @helgatishaccreblog pour mon photo montage. Je me suis aussi inspirĂ© des relookings de @sundaymorningsims4 pour faire les miens.
3 notes · View notes
the-swan · 11 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
♡ STORYTIME :: a lie within a dream
CHAPTER 01. peaceful sleep
— et elle chante, Ash, comme si les mots n'en seraient jamais suffisant. de ses doigts Ă  pincer les cordes, de son archet Ă  glisser contre l'instrument : violoncelle ,, comme seul rĂ©el ami. vibre les sonoritĂ©s ,, les muses lui en avaient offert : talent des plus prĂ©cieux ! seule rĂ©ussite, sur les terres escarpĂ©es.
"again and again ! play ! Ash !"
de ses mains Ă  ne jamais devoir ĂȘtre abĂźmĂ©es, enfant sur laquelle l'on avait tout misĂ© : car de sa seule passion ,, les maladresses en semblaient toujours sournoises. et malgrĂ© les blessures, et malgrĂ© les efforts, Ă  tuer son petit corps, elle souriait ! celle Ă  ĂȘtre amoureuse des notes idylliques.
CHAPTER 02. farewell, nerverland
— rire angĂ©lique, merveille de l'univers ,, elle voltige, sautille sur les pavĂ©s, fleurit comme bien trop sage. innocence dans l'Ăąme, naĂŻvetĂ© Ă  vouloir en croire bontĂ© dans tous : Ash, elle en suivait les papillons dans la rue, s'arrĂȘtait pour en sentir les fleurs sauvages, comme si tous les maux sur ses Ă©paules n'en Ă©taient que chaos dans quelques uns de ses rĂȘves. et de ses gentillesses toujours trop mĂ©lodieuses, Ă  vouloir vivre le jour le jour sans ne plus en ĂȘtre emprisonnĂ©e : elle en attrapait les Ă©toiles, de ses paumes, pour pouvoir les protĂ©ger Ă  leur tour.
CHAPTER 03. love me like this
tw. violence conjugale ,, coups et blessures
— et dans les contes, les princesses douces et dĂ©licates en trouvaient toujours leur prince. sourire Ă  mourir, cƓur Ă  s'Ă©teindre. quand elle avait cru, en ses mots. Ă  lui avoir offert tous ses sourires, les lueurs s'en Ă©taient Ă©teintes, dans son regard.
et de ses coups,,
Ă  mourir :
sous ses yeux.
d'un amour sincĂšre ! quand de fin de lycĂ©e, tout n'en avait Ă©tĂ© qu'illusion perfide : jeu bien menĂ©, ficelles Ă  l'avoir suspendue dans les trĂ©fonds des Enfers. car d'une possessivitĂ© extrĂȘme face Ă  ses douceurs altruistes, les coups Ă©taient venus en redessiner son corps. de quelques galaxies, de quelques Ă©toiles, lĂ , ici : Ă  toujours en afficher sourire sur ses lippes, pour tout dissimuler. Ă  ne rien dire, se taire ! jusqu'Ă  ce que les joues inondĂ©es par les pleurs en reçoivent les bĂ©nĂ©dictions des cieux. protĂ©gĂ©e de tout un monde : personne n'avait rien vu ! et elle en Ă©tait effrayĂ©e ,, de chaque geste que l'on venait Ă  lui adresser : comme par instinct de survie, face aux cruautĂ©s du monde. rĂ©actions automatiques, quand dĂ©laissĂ©e par le dĂ©mon pour une autre proie ,, les poumons revenaient Ă  fleurir presque trop doucement.
CHAPTER 04. the swan
— court sur scĂšne, de ses dĂ©licatesses si merveilleuse ,, sylphide Ă  se faire fraĂźcheur de vivre : quand sur scĂšne, elle rayonnait. fiertĂ© de ses parents, Ă  trop souvent l'ignorer quand elle n'en brillait pas derriĂšre son instrument, elle venait Ă  en aimer chacun des instants oĂč les doigts en caressaient son violoncelle. Ă  l'enlacer, le chĂ©rir, comme rĂ©elle personne. personnification : de ses romances inventĂ©es ! Ă  rĂȘver comme mĂ©lodrame de quelques baisers contre ses joues.
Saint Saens :: Ă  la refaire naĂźtre.
quand comme un cygne, d'une blancheur aux puretĂ©s qui lui en collaient Ă  l'Ă©piderme, elle en Ă©tait iconique ! connue, lĂ , pour sa bontĂ© infernale ! quand entre banquets et soirĂ©es organisĂ©es, elle en Ă©tait toujours au planning ! de son petit corps trop frĂȘle ,, Ă  rayonner. comme pour en cacher, que les Ă©tages n'en Ă©taient pas si Ă©levĂ©s par rapport Ă  d'autres.
qu'importe ,,
quand chaque jour :
en Ă©taient requiem fleuris.
CHAPTER 05. starlight parade
tw. harcĂšlement
— et sur son dos, instrument Ă  se balader ! elle sourit Ă  tout le monde, en vient en aide Ă  tous ceux dans le besoin. bonne poire, Ash ! car de quelques travaux, joueuse incroyable : dans ce conservatoire, sa place n'en est que futile. mais elle aime si sentir entourĂ©e ! de quelques visages familiers. douceur d'un temps, Ă  cĂŽtĂ© des concerts rĂ©alisĂ©s.
Ă  ĂȘtre :
pantin de certains.
car elle en était trop gentille ,, pour en laisser de marbres ceux aux alentours. entre déclarations factices, pour en voir ses réactions, demandes toujours plus saugrenues, comme pour la tester. il y avait parfois les sarcasmes et les petites bousculades ! celles que l'on accuse de pacifique : quand les jeux n'en étaient pas sains. là, entre les couloirs, entre les salles de répétitions. à lui voler son archet, détraquer son métronome ,, quelques mots sur les partitions : Î jamais vraiment mélodieux. et pourtant, Ash, soleil à briller : elle en avait capturé tous ses rayons sans y faire attention !
and they will just get over it one day.
alors Ă  supporter : Ă  en avoir l'habitude. petite poupĂ©e Ă  se jouer du monde, Ă  sembler naĂŻve et beaucoup trop bĂȘte ,, Ă  pourtant savoir, au fond, que le monde n'en aimait tout simplement pas ceux qui en essayaient d'ĂȘtre heureux.
CHAPTER 06. mad world
tw. pression psychologique
— famille renommĂ©e ,, quand papa en Ă©tait directeur d'une Ă©cole de musique trĂšs fermĂ©e, que maman en Ă©tait professeure au conservatoire. Ă  devoir ĂȘtre princesse parfaite : quand les doigts Ă  s'en abĂźmer, elle devait jouer, encore et encore, jusqu'Ă  ce que les harmonies en soient divines, jusqu'Ă  ce que le public en pleure. et d'un petit nom, dans le spectacle, famille invitĂ©e Ă  de nombreuses cĂ©rĂ©monies et divers Ă©vĂšnements, Ă  emmener derriĂšre eux, petite muse Ă  briller : elle Ă©tait celle Ă  rassembler ! Ash. de ses sourires, de ses dĂ©licatesses, Ă  s'ĂȘtre faite un nom !
bousculée :
par de nombreux ,,
regards.
quand de quelques mécÚnes parfois trop vicieux, à se produire ((trop)) souvent, pour son fin corps : elle s'en épuisait souvent ! car les menaces pleuvaient, à ne pas savoir ce qui en adviendrait de sa passion si de ses parents contrariés, elle n'en atteignait pas les Paradis virtuoses. et du haut de leur 82Úme étage ,, Î à ne pas en atteindre les sommets ,, il n'y en avait pourtant que désirs à briller, chez ses parents. loin, de celle qui n'en aimait que sa liberté de jouer de son instrument.
4 notes · View notes