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#nos amis les hommes
kaplerrr · 1 year
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En vrai, la France a la meilleure communauté Twitch. Tout le monde se connait, tout le monde est plus respectueux, tout le monde est copain et quand t'as des "nouveaux" qui arrivent, ils sont v'là bienveillants, les commu elles sont pépites.
On a le Zevent et ses dérivés.
On gagne grâce au pouvoir de l'amitié contre les autres pays quand y'a des tournois ou des évènements (ça va l'Espagne ?)
C'est vraiment la détente de les regarder, le bonheur il est stratosphérique.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 114
La nouvelle routine s'est mise en place. Mes clients sont ravis que j'ai pu augmenter le rythme de nos rendez vous. A 4 passes par semaine vu qu'ils sont maintenant 8 ils y ont droit deux fois par mois. Avec l'augmentation de ma " disponibilité ", j'ai pu contenter 4 nouveaux clients pris pour la moitié dans les amateurs de gang bang et l'autre moitié par relation, tous TBM. C'est la marque de ma petite entreprise, la satisfaction des " hors normes " !
Marc entre dans une phase de travail intense avec déplacements et travail à la maison. Nous en discutons ensemble, ce sont des opportunités à ne pas laisser passer. Sacrifice temporaire ! Contrairement à la fois précédente, il ne sera pas obligé de m'organiser mon emploi du temps. Entre mon boulot de paysagiste, la gestion de mes deux poulains, mon taf d'escort officiel d'Emma, il ne me restera pas beaucoup de temps libre. Et là il me laisse libre de baiser avec n'importe lequel de nos amis. Juste quand ses déplacements dépasseront la semaine. Sinon je l'attendrai avec impatience. Mais je ne crois pas que je le ferais.
Je vais me retrouver donc seul un WE sur deux ! C'est Emma qui est contente, elle récupère ainsi mes samedis soirs libres pour sortir.
Mercredi dernier j'ai emmené Ed chez le grand black. A l'aller, il était content car c'était la condition que j'avais posé pour qu'il puisse à l'avenir participer à nos touzes. Quand nous sommes arrivés, Ed a été impressionné par le client. Faut dire que 2m, costaud, noir Kiwi, monté plus de 27 cm x un bon 6,5 de diamètre, ça de quoi impressionner un gamin d'1,66m par 48kg, blanc ! Le client était content que je puisse lui fournir deux jeunes hommes si semblables (âge, format) ;tout en étant si différents (origine). Il l'a tout de suite entrepris. Comme toujours, je reste dans un coin pour veiller sur ma " marchandise ". Ed se trouva nu en un temps record. Profitant de sa force et de la légèreté d'Ed, le client l'a empoigné par les hanches et l'a basculé, tête vers son sexe. Ajustement de la hauteur et Ed se retrouva la gorge empalée sur la mégabite noire. Pour pouvoir respirer et maîtriser un peu l'envahissement de sa gorge il prit appui de ses mains sur les genoux de son pineur. Le client de son coté la bouche posée sur l'anus d'Ed lui bouffait l'oignon à grand coup de langue. C'est la première fois que je voyais cette position à la verticale. Le plus impressionnant c'est qu'ils l'ont tenu un bon moment. Lorsque notre black a pensé qu'Ed était prêt, il l'a posé sur le lit et, profitant de sa position horizontale, s'est enfoncé jusqu'aux couilles dans sa gorge. J'ai entendu que chaque pénétration étranglait Ed. Je me suis approché pour lui dire de se calmer. Il s'est excusé. J'en ai profité pour vérifier la dilatation anale de mon ptit mec. Je ne tiens pas à ce que cette brute le déchire. Il lui avait bien salivé la porte et Ed s'était ouvert à presque 4 doigts. Ça plus un peu de poppers et il pourra prendre le black. Je me retire et disant que c'est Ok et qu'il peut y aller. Pour se faire pardonner, il se couche sur le dos et demande à Ed de venir lui même s'empaler sur sa queue. Malgré la préparation, je vois le visage d'Ed se crisper alors qu'il pousse pour faire entrer le gland. Je m'approche d'eux et lui passe le flacon sous le nez. Chaleur, grosse chaleur et de lui même Ed descend d'une bonne dizaine de cm. Il me réclame une nouvelle dose. Je repasse le flacon et il se retrouve les fesses collées aux cuisses noires. Là, il ne bouge plus. Je lui demande si ça va, il me répond que c'est dur mais que c'est bon aussi. Je m'écarte.
Il reste bien 2/3 minutes sans bouger. Il remonte mais n'ose pas encore sortir toute la bite de son cul. Par contre je l'entends demander plus de gel. Le client se tartine à nouveau la kpote et Ed se rassoit. Le contraste entre les deux protagonistes est total, bien plus qu'avec Jimmy. Ed s'enhardi et entame un " pas " puis un " trot " appréciant sa nouvelle " selle ". Quand son anus s'est bien dilaté, il tourne la tête vers moi et me fait un clin d'oeil. Le black commence à le traiter de " ptite salope ", de " cul à baiser "... il le prend par les hanches et rythme lui même le mouvement d'Ed. Il (le black) se glisse vers le bord du lit et s'assoit en demandant à Ed de serrer ses cuisses contre ses hanches et de s'accrocher à son cou. Là il se lève. Il vient vers moi, me félicite de lui avoir trouvé deux jeunes aussi salopes puis s'écarte et plaque Ed contre un mur pour le fixer alors qu'il reprend le pilonnage anal. Le mec est résistant et je sais qu'il va limer un bon moment. Il bouge encore et vient poser Ed sur le plateau d'une commode, le cul juste au bord. Il n'oublie pas de graisser régulièrement sa tige. Ed est bien parti et même sans poppers donne tout ce qu'il a. Alors que le client l'écrase un peu, il s'empare d'un des gros tétons et l'aspire, le suce, en un mot le tète. Quand il le relâche pour attaquer le second, il découvre un téton raide d'un bon centimètre de longueur. Ses doigts remplacent sa bouche et le client gémis tout en continuant à limer le petit cul blanc d'Ed. Soudain, il se jette en arrière arrachant ses tétons aux bons soins de la bouche d'Ed et se bloque au fond de son cul. Il tressaute 4 à 5 fois avant de sortir. C'est seulement quand il s'est arraché qu'Ed a jute, bon point pour lui ! Comme toujours, le demi-verre de sperme qui distend la kpote est impressionnant. Nous envoyons Ed se doucher et le client me reprend l'enveloppe qu'il m'avait donné dès l'entrée pour refaire le chèque. Ce qu'il y a de bien chez mes clients c'est qu'ils sont suffisamment honnêtes pour reconnaître que parfois ça vaut plus que la passe de routine. Quand il me tend le nouveau papier, j'ai le plaisir d'y lire un montant augmenté de 50%. Pas mal !
Quand je ramène Ed chez lui, il n'y a personne, le ptit frère est au foot. J'en profite pour l'accompagner jusqu'à sa chambre. Grande, dans les 25m², posters d'équitation au mur !!! Aspect très comme il faut. Comme il n'a pas arrêté de me malaxer le paquet pendant le trajet en moto, je bande encore comme un taureau. Je le pousse sur son lit. Il a compris et défait ceinture et boutons de son 501. Je lui baisse le slip et tâte son anus. Malgré ce qu'il vient de se prendre, il s'est bien refermé et je dois saliver pour le rouvrir. J'ouvre ma combi par le bas, sors mes 20cm et les lui mets profond. Malgré ce qu'il vient de se prendre, son cul s'est bien resserré et je ne " nage " pas dedans. Je lui dis qu'il va falloir qu'il s'exerce à refermer son trou sur un crayon de bois. Il me demande comment et je lui explique les exercices de contractions annales qu'il va devoir faire si il ne veut pas que son anus ressemble à une chatte baveuse. Je reprends mon enculade sans douceur. Ed encaisse comme un pro. Son cul est trop bon. Je finis par éjaculer dedans, mes mains retenant ses hanches pour donner tout au fond de son cul. Il jute dans sa main pour ne pas en mettre partout. Je lui fais bouffer son sperme. Après m'être lavé la queue, je le quitte.
Quand je rentre, je suis seul pour encore un bon moment. Je vais à l'appart et y trouve Jimmy devant la télé. Il ne fait pas très chaud mais la piscine est chauffée et nous allons nous y délasser. Je pars pour 1h à contre courant pendant qu'il nage trankil à coté. Nous sommes interrompus par Marc qui est arrivé avec les peignoirs. Nous rentrons et Jimmy toujours " serviable " tombe à genoux aux pieds de Marc et avant qu'il ait eu le temps de réagir, entame un pipe. La bite mole prend très vite de l'épaisseur et défonce rapidement la gorge de mon petit protégé. Le mercredi, c'est le tour d'Ed et du coup il est en manque ! De mon coté je roule une pelle à mon mec. 10mn de ce régime, Jimmy exerçant des aspirations de plus en plus fortes, massant le gland derrière son larynx, Marc explose et il le gave de jus. J'en récupère une partie en roulant un patin à Jimmy.
Marc décide de garder Jimmy pour la soirée.
JARDINIER
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mailamoon · 5 months
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Pour bien finir l'année, voici une petite fantaisie inspirée par l'AU Lyon de @sibmakesart. One Piece dans la capitale de la gastronomie française, Sanji alsacien, Zoro breton ❤️
Pour les francophones qui passent par ici, je vous invite à aller visiter son Tumblr, elle est super douée et son délire sur Lyon est absolument délectable (moi je plonge dedans les yeux fermés !).
C'est parti pour une petite soirée lyonnaise avec nos pirates préférés !
Un soir à Lyon...
Au cœur de la nuit, dans la ruelle, une porte s’ouvrit, laissant de la lumière éclairer la rue sombre. Un jeune homme en franchit le seuil en s’allumant une cigarette, un sac en plastique à la main.
- Hé, l’aubergine, tu sors cette nuit ? Lança une voix autoritaire depuis l’intérieur.
Le jeune homme se retourna en soufflant sa fumée.
- En quoi ça t’intéresse vieux shnock ? Fit-il d’un ton ennuyé.
- Encore ce breton ?
- C’est pas tes oignons.
- Ah, claqua la voix, fais gaffe à toi !
- C’est ça, bonne soirée, àbgenutzdi.
-HÉ !
Le jeune homme referma la porte sans attendre de savoir ce que l’autre voulait répondre. Il regarda autour de lui, visiblement à la recherche de quelque chose, mais la ruelle était déserte. Un soupir bruyant quitta ses lèvres et il grommela quelque chose qui ressemblait à « encore en retard dawer säckel de breton ». Il donna un coup de pied à une cannette qui traînait tristement sur l’asphalte. Une sonnerie retentit de sa poche et il en sortit son téléphone.
- Allo ?
- Allo, Sanji ? Fit une voie féminine.
- Nami ! T’as pas vu Zoro ?
- Beeeeh si, justement, c’est pour ça que je t’appelle.
- Il est avec vous ? Demanda-t-il en entendant Usopp et Luffy se disputer derrière elle.
- Non il est pas… TAISEZ-VOUS ! Putain, j’essaie de parler au téléphone ! Je te disais, non il n’est pas avec nous. Il m'a dit qu’il devait passer te prendre à la fin du service mais il a fait tomber son portable dans le Rhône cet après-midi. Je sais que t’avais enregistré les coordonnées du bouchon dedans…
Sanji leva les yeux au ciel.
- Donc il est perdu ?
- Tu le connais, il n’est pas capable de distinguer sa gauche de sa droite. Bref, je voulais juste te prévenir, pas que tu l’attende et… VOUS ALLEZ VOUS CALMER ! LES VOISINS VONT ENCORE APPELER LES FLICS SI VOUS CONTINUEZ ! Pardon Sanji, je te laisse.
La communication se coupa.
-GOPFERDAMMI ! Cria Sanji en donnant un coup de poing dans le vide. Il tira rageusement sur sa cigarette. C’était GRAND Lyon, qui sait où ce connard de primate avait bien pu aller ?!
Sanji se mit en route, la nuit promettait d’être longue.
C’est au petit matin que l’alsacien retrouva enfin le breton. Après avoir parcouru la ville de long en large et en travers. Après avoir espéré que non, non, non ce bon à rien ne s’était quand même pas aventuré dans les sous-sols de Lyon… Il avançait enfin vers lui.
Zoro était accoudé à la rambarde de Fourvière en train de contempler les rayons du soleil qui commençaient timidement à pointer le bout de leurs nez sur la ville.
Après de longues heures de recherches, Sanji sentait une certaine fatigue gagner ses jambes. Il s’avança sans bruit derrière son petit ami.
- Hé, nixnutz !
L’homme aux cheveux vert ne sursauta même pas. Il tourna la tête vers Sanji. Malgré ses yeux cernés, un sourire éclaira son visage.
- Te voilà enfin cuistot !
Sanji roula des yeux. L’autre lui sortait ça comme si cette fichue basilique avait été leur point de rendez-vous depuis le début. Il appuya son dos contre la rambarde en frôlant le coude de Zoro.
- Tu m’as encore fais courir, fit-il en s’allumant une cigarette et en soufflant sa fumée dans l’air cristallin du petit matin.
- Genaoueg ! Je savais que t’arriverais à me retrouver.
Sanji lui tendit le sac qu’il avait transporté avec lui la moitié de la nuit. Zoro l’ouvrit pour y trouver une bouteille de chouchen et des bretzels enveloppés dans un papier kraft. Il prit la bouteille et sortit de sa poche un couteau suisse pour la déboucher.
- Pas de verre. Constata-t-il.
- Non, pas de verre. J’ai pas envie qu’on en casse d’autres. Le vieux va encore criser si les stocks continuent de diminuer.
Zoro porta la bouteille à sa bouche pour boire au goulot. La saveur lui rappelait sa région. Il passa ensuite le chouchen à Sanji qui bu à son tour.
- La prochaine fois j’amène du schnaps.
- C’est quoi ça ?
- C’est plus fort, ça devrait te plaire. Même si je préfère un bon pinot gris vieille vignes…
- Qu’est-ce que tu marmonne ?
Le blond lui sourit et, sans un mot, s’avança vers lui pour l’enlacer en collant son corps au sien. Ils s’embrassèrent puis s’appuyèrent de nouveau à la rambarde, coude à coude en se passant le chouchen et les bretzels. Ils restèrent là à regarder le lever de soleil sur Lyon en savourant ce petit déjeuner alcoolisé improvisé.
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Un de perdu..
Hier, un homme de 58 ans, avec qui je discutais depuis plus de 15 jours, m'a effacé de ses contactes Instagram et Telegram, et bloqué sur Tumblr. Belle preuve d'immaturité et de susceptibilité pour ne pas dire manque de couilles flagrant ! Je pensais qu'à nos âges, nous savions expliquer ce qui ne nous convient pas et partir comme des gens civilisés. Ben non !
Ce qu'il me reprochait, c'est avant toute chose de ne pas vouloir entrer dans la sphère senso-sexuelle avec lui. Nous avons bien accroché dès les premiers échanges, au point qu'il s'est rapidement emballé et a parlé de sentiments, de feeling, de rencontre des âmes en moins de 48 heures. De mon côté, tous les reds flags se sont dressés ! Probablement parce que je ne ressentais pas une telle attirance mais aussi parce que le coup de l'amoureux, on me l'a déjà fait des dizaines de fois et je sais bien que c'est du blabla.
Néanmoins, j'aimais discuter avec lui, j'aimais sa présence jour après jour mais pas de là à dire que nos âmes étaient connectées. Donc, pour lui, comme pour beaucoup d'hommes (trop !) le désir n'a fait que s'accroitre au fur et à mesure que nous discutions de sujet pourtant tout à fait anodins, ce qui m'agaçait au plus haut point. J'ai dû le remettre à sa place et nous avons eu notre première dispute moins d'une semaine après notre premier échange. Mais il est revenu, a promis de ne plus me mettre la pression et de mon côté, j'ai espéré que le désir allait naitre également. Mais il n'en a rien été. Quand il m'envoyait des photos, même s'il était charmant, rien ne se passait. Je le trouvais lisse, je crois. Il faut dire qu'il est Hollandais et que mon type d'homme est plutôt Latin. Les blonds aux yeux bleu, je n'ai jamais vraiment couru derrière. Comment dire à un homme : Ce n'est pas que je n'éprouve pas de désir, c'est que je n'en ai pas pour toi ! Mais mon manque de désir n'était pas uniquement dû au fait qu'il ne soit pas mon type. J'ai eu des hommes qui ne l'était pas non plus et avec qui tout s'est bien passé. Non, je pense que depuis le départ, quelque chose me gênait chez cet homme, je le sentais frustrer, cynique par moments, donneur de leçons, me rendant coupable de tous nos accrochages et essayant de me faire changer et ça, je déteste ! J'ai fini par lui dire, en début de semaine, que nous ferions mieux d'être des amis et rien de plus. Bien qu'il m'ait dit que j'avais raison, il a continué à m'envoyer des piques dès que possible, sur un emoji cœur que deux amis ne doivent pas s'envoyer par exemple, ou sur le fait que je ressentais la même chose que lui sans me l'avouer. Hier, il devait être plus énervé que de coutume de voir que je restais dans la friend zone et il m'a viré. De mon côté, découvrant cela, je l'ai bloqué sur tous les réseaux de façon à ce qu'il ne soit pas tenté de me recontacter dans quelques semaines !
Voilà, fin de l'histoire. Une histoire qui ne cesse de se répéter encore et encore avec plus ou moins de variante. Ces relations nées sur les réseaux sont encore plus fragiles que du verre et bien plus fausses qu'elles n'y paraissent.
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alexar60 · 10 months
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Le musicien fantôme
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L’averse me réveilla subitement. Karen ne semblait pas dormir non plus. Ses yeux mi-clos laissèrent plutôt à penser qu’elle somnolait. Soudain, je réalisai une chose importante. Elle leva la tête en même temps que moi.
Merde, le coffre !
Aussitôt, je me levai et sortis de la tente suivi par ma compagne. Effectivement, j’avais oublié la bâche de la petite carriole attachée à mon vélo. Elle servait pour mettre nos affaires pendant notre voyage. C’était l’idée de Karen que de faire un road-trip entre Prague et Paris…à bicyclette. C’était aussi son idée du camping sauvage. Surtout que nous étions perdus en pleine campagne autrichienne.
Bien qu’elle fut déjà rempli et nos affaires trempées, je m’acharnai à recouvrir la carriole. Karen récupéra son sac fourre-tout pour en sortir une lampe qui m’aida à y voir mieux. Tout-à-coup un éclair illumina le ciel. Je vis la foudre tomber sur un arbre qui prit feu instantanément. En dessous, notre tente n’échappa à l’incendie, s’enflammant aussi rapidement que l’éclair suivant, qui était déjà à plusieurs kilomètres.
Pétrifiés par cet accident naturel, trempés, fatigués, nous restâmes à regarder la tente se réduire en cendre. Cependant, la pluie continuait de tomber. Ma copine regarda son téléphone, il n’y avait pas de réseau. Le mien était resté à côté de mon sac de couchage…dans la tente, avec mes papiers, mon portefeuille… Bref, je me retrouvai perdu dans un pays étranger sans papier.
Il y avait un mur ! Je me souviens qu’il y avait un mur plus loin quand nous sommes arrivés, dit Karen.
Hé ?
Qui dit mur, dit maison. Ajouta-t-elle en haussant les épaules. C’est évident !
Nous partîmes éclairés par les lampes de nos vélos. La charrette que je tirai parut lourde à cause de l’eau. Aussi, je me retrouvai à aller moins vite que mon amie. Après quelques kilomètres, nous aperçûmes le fameux mur. Il nous a suffi de le longer pour trouver son entrée. La chance fut de notre côté car la grille n’était pas fermée.
Dès lors, nous pénétrâmes dans l’enceinte. Curieusement, des lampadaires éclairaient la route amenant à un grand manoir. Avec ses tours sur le côté, il aurait eu sa place parmi les châteaux de la Loire. Nous descendîmes et posâmes nos vélos contre un muret, avant de grimper un escalier. La porte principale était grande ouverte. Le hall éclairé par un lustre semblait vide si ce n’est cet étrange personnage habillé d’un costume de domestique. Il restait debout, les jambes raides, le dos droit tel un mannequin de devanture.
Karen expliqua nos déboires dans un allemand imparfait. Mais, l’homme sourit et répondit en français. Je trouvais que sa barbiche n’allait pas avec sa tenue de maitre d’hôtel.
Soyez les bienvenus, le concert va bientôt commencer.
Il nous pria de le suivre. Aussitôt nous entrâmes dans une grande salle aux plafonds profonds. Une vingtaine de personnes attendaient silencieusement, assis sur des chaises aux pieds de fer. Nous étions en plein contraste avec eux. Nous étions trempés, les cheveux dégoulinant d’eau. Je portais un bermuda et un sweet-shirt à capuche, Karen était habillée d’un short et d’un pull marin. Tandis que les vêtements des spectateurs semblaient sortir des plus grands magasins de vêtements de luxe de Paris ou de Vienne.
Je me retournai pour demander une serviette, mais notre hôte était déjà parti. Alors, nous avançâmes sous les regards curieux. Ils semblaient blafards, le teint d’une pâleur extrême. Tout leur corps parut voilé. De même, un léger bourdonnement agaça mon esprit. Nous marchâmes dans un silence glacial. Hélas, les deux seules places disponibles étaient devant. Elles n’attendaient que nous.
A ton avis, c’est quel genre de spectacle, murmura ma chérie.
Le bal des vampires, répondis-je.
Elle pouffa de rire, mais fut réprimandée par un « chut » qui imposa de nouveau le silence. C’est à ce moment qu’une porte, au fond de la salle, s’ouvrit. Un homme de taille moyenne, le visage jeune, les cheveux bruns coiffés en arrière, le regard d’un bleu profond, entra. Il avait aussi le visage blanc, et une sorte de voile se déplaça en même temps que lui. Je remarquai la présence d’un piano.
Cependant, le musicien tenait un violon. Il posa son instrument sur son épaule, et à l’aide son archet, il commença à jouer. Dès les premières notes, je fus subjugué par la musique. Elle m’envahissait, me prenait les tripes. Il jouait merveilleusement bien. Il impressionnait si bien que je ne pus retenir une larme, je sentis un frisson parcourir les poils de mes bras. J’écoutais dieu qui jouait du violon.
Il joua de tout, Chopin, Haendel, Brahms, Vivaldi, Tchaïkovski…Chaque mouvement était juste et touchait le cœur. Chaque note reflétait sur le mur, se transformait en personnage et dansait au rythme de la musique. Elle racontait une histoire. Mon amie posa sa tête sur mon épaule tout en serrant mon bras. Elle était fascinée par cette harmonie. Jamais nous n’aurions pensé écouter pareil concerto et jamais, nous n’aurions pensé ressentir autant d’émotion en écoutant un artiste jouer. Etonnamment, peut-être par respect, personne n’applaudissait entre les morceaux.
Je ne peux dire combien de temps cela dura exactement. Il finit son concert par le canon de Pachelbel. Encore une fois, sa musique toucha les âmes. Il glissait avec son archet sur les cordes de son violon. Je ne réalisai pas que personne ne jouait au piano. Il était seul et pourtant, j’entendais aussi le piano jouer.
Puis, il s’arrêta subitement. Il écarta les bras en croix avant de baisser la tête en signe de remerciement et de salut. Je me mis à applaudir, accompagné par Karen. Surpris de ne pas entendre les autres, faire de même, je tournai la tête et fus stupéfait de ne voir personne. Il ne restait que des chaises vides.
Où sont-ils passés ? demanda ma compagne.
Et lui ? demandai-je aussi en pointant le doigt vers la petite estrade.
Le violoniste avait aussi disparu. Je ne m’étais pas non plus rendu compte que les bourdonnements venaient de cesser. Nous restâmes abasourdis et seuls dans la salle qui devint  tout-à-coup immense.
Soudain, trois gros coups résonnèrent, puis un rire…un rire glacial…un rire qu’on n’oublie pas. Karen se colla à moi. Nous regardâmes les portes mais personne n’entra. Nous restâmes un long moment dans le silence à attendre sans savoir quoi faire. Nous entendîmes un oiseau piailler. Dès lors, nous comprîmes que le jour se levait. Nous profitâmes de cet instant pour quitter la salle. Mon amie constata les énormes toiles d’araignées un peu partout dans la salle et le hall. Je découvris la porte à moitié abimée, Nous quittâmes le lieu qui paraissait abandonnée. D’ailleurs la majeure partie des fenêtres n’avait plus de carreau intact. Cependant, j’aperçus un rideau s’écarter mais aucune silhouette visible.
La pluie ayant cessé, nous pûmes regagner un village proche. On nous dirigea vers un poste de police, car j’avais besoin de déclarer la perte de mes papiers suite à l’incendie de la tente. Je racontai en anglais notre nuit. Le policier demanda à mon amie, ensuite à un traducteur leur version. Il semblait horriblement embêté. Il se leva discuta avec un collègue, prit ma déposition, au moins pour l’assurance, et nous conseilla un bon hôtel restaurant.
Après une douche, un peu de repos, nous descendîmes nous restaurer. La patronne, qui parlait français, nous interpela tout en nous installant à une table.
Donc, vous avez passé la nuit au Rotes Herrenhaus? Tout le monde a peur d’aller là-bas. Il parait qu’il est hanté.
Mais, il est bien habité ? Questionna mon amie.
Ah non ! Plus depuis au moins la guerre.
Nous restâmes muets tout en la dévisageant. Nous ne savions pas si elle se moquait de nous, si elle avait discuté avec les policiers, les seuls qui étaient au courant de notre nuit. Mais elle interrompit notre silence :
Il parait que le dernier propriétaire était si bon musicien qu’un jour, le diable serait venu lui proposer un défi musical. S’il gagnait, il obtiendrait ce qu’il voudrait. Mais s’il perdait, son âme et son don appartiendrait au diable. Il aurait gagné, mais le diable, mauvais perdant, lui vola tout, le poussant au suicide. Ce qui l’envoya en enfer. Le diable, se sentant coupable d’avoir obtenu une âme aussi facilement, accepta qu’il revienne dans son château chaque nuit d’orage pour jouer.
Et il y a eu un orage cette nuit. Ajouta-t-elle avec un petit sourire.
Je remerciais la dame pour ses explications, ajoutant que c’était une belle histoire. Je préférais laisser cette histoire aux légendes du coin. D’ailleurs, Karen était d’accord : Confirmer une histoire de fantôme pouvait nous être nuisible ainsi qu’au fantôme. Dès lors, je pris le menu et commandai une escalope viennoise. Elle était succulente.
Alex@r60 – août 2023
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ekman · 4 days
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Mais quelle marrade ! La gauche ne s’est pas aussi joliment embrenée depuis longtemps ! Les voyous Kanaks, plus ultra-violents encore que nos vaillants Tchétchènes, nos indomptables Blédars ou nos Blackos machetteurs, bordélisent leur bout de jungle insulaire au nom du pillage consumériste, du crétinisme endémique et de leur incapacité notoire à sauvegarder une identité minée par l’alcool et le RSA. Et pourtant c’est bien au nom de “l’identité des peuples autochtones” que les plus zélés imbéciles de gauche métropolitaine klaxonnent ça et là, d’éditos en plateaux. Au nom de la justice républicaine, le poids du nombre de sales Blancs en Nouvelle-Calédonie ne saurait supplanter la légitime prévalence indigène, fut-elle irrémédiablement minoritaire, fut-elle donc condamnée à être défaite lors de n’importe quel scrutin. Que l’on vienne leur faire remarquer que leur raisonnement s’applique au cas d’une France submergée par le tsunami africain que non, alors là pas du tout, mais non, vous jouez avec les mots, vous comparez l’incomparable. Ah bon ?  Dix poids, cent mesures, voilà leur universalisme de branquignole, pourriture intellectuelle qui chasse sans qu’ils le voient leur sacro-sainte croyance égalitaire, leur rousseauisme de fond de cuvette ! Fatals crétins qu’ils sont ! Oser dire que “les Blancs” – pas des Français, mais des Blancs – ont organisé l’étouffement numéraire des Kanaks par le choix d’un collège électoral favorable ! Mais faut-il être bête pour ne pas immédiatement comprendre qu’ils vendent ici-même la preuve du Grand Remplacement, concept qu’ils vômissent, réalité dénoncée sans cesse et encore par le diable camusien ! La pensée racialiste de la gauche issue de la Révolution, renforcée par un colonialisme civilisateur revendiqué Blanc, assumé raciste cette fois, a toujours été porté par la fleur des grands esprits humanistes – nos grands amis du Triangle magique ! On voit maintenant leurs héritiers patauger dans une mélasse confuse, une posture indéfendable, le preuve de facto de leur incapacité à comprendre le monde et à considérer l’humain dans ses vérités premières. Les pieds pris dans leur propre tapis sale, décoré de vieilles lunes, chamaré de conneries absurdes autant qu’indéfendables, les chantres (mous) du “décolonialisme” et de l’indigénisme tentent de faire oublier leur vieux slogan anti-afrikaaner : “un homme, un vote” ! Ce que c’est drôle, quand on a soi-même, en des temps reculés, défendu contre vents et marées le droit des Africains blancs d’Afrique du Sud à vivre et à cultiver leur identité sur une terre que personne d’autre qu’eux ne pouvait revendiquer !
J.-M. M.
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chic-a-gigot · 3 months
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La Mode nationale, no. 7, 13 février 1904, Paris. Advertisement. Bibliothèque nationale de France
Hypnotisme
La science du succès! (The science of success!)
Ce qui amène le succès! (Which brings success!)
Un pouvoir accordé par la providence. (A power granted by providence.)
Apprenez-le chez vous pour rien. (Learn it at home for nothing.)
Un livre rempli de rares secrets donné gratis. (A book full of rare secrets given free.)
Lecteur, vous êtes-vous jamais demandé pourquoi certaines personnes ont tant de succès; pourquoi tout ce qu'elles touchent semble se changer en or; pourquoi elles acquièrent fortune, position sociale, pouvoir et influence, sans cependant pour cela paraître faire de grands efforts? Ces personnes sont entourées d'amis, honorées et respectées dans leur entourage, recherchées dans la société, et deviennent éminentes et distinguées, sans effort apparent. Avez-vous jamais pensé à ces choses? En savez-vous la raison?
Ce n'est pas le travail, car le pauvre travaille beaucoup plus fort que le riche. Ni la naissance, car plus d'un de nos hommes de succès sont nés de parents pauvres. Ni la chance, car plus d'un chanceux est mort sans amis et dans le plus grand denûment. Qu'est-ce donc alors? Le secret du succès dans la vie, c'est l'influence personnelle — le pouvoir de faire penser aux autres comme vous-même; de gagner leur confiance et leur amitie, et de vous assure leur concours. Il existe un pouvoir secret, grâce auquel vous pouvez exercer une influence personnelle irrésistible; vaincre tout obstacle, charmer et fasciner qui vous voudrez; guérir toute maladie connue et toute mauvaise habitude, sans avoir recours aux drogues, à la médecine ou au scalpel du chirurgien. Cette influence s'appelle le Magnetisme personnel ou Hypnotisme. C'est la base du succès dans toutes les affaires et dans toute position sociale.
C'est un pouvoir nous venant de la Providence et qui est l'apanage du pauvre aussi bien que du riche. C'est véritablement la science la plus merveilleuse de l'époque. Réfléchissez un instant ce que c'est que de pouvoir convaincre une personne que vos marchandises sont les meilleures qu'il puisse y avoir sur le marché, que vos services lui sont inappréciables, que vous lui offrez un bon placement, qu'elle a besoin de ce que vous avez à vendre, que votre opinion est juste, qu'elle devrait agir selon vos conseils, et mille autres choses de ce genre. Songez quelle supériorité un tel pouvoir vous confèrerait. Si vous volez obtenir une position lucrative, une augmentation de salaire, ou augmenter votre revenu actuel de quelque façon que ce soit, la connaissance de l'Hypnotisme vous sera inappréciable. Dans des centaines de cas, cette science a été le point tournant de la vie chez des gens prèts à tout abandonner de désespoir et auxquels l'avenir ne semblait plus offrir aucine espérance.
Nous venons de publier le livre le plus remarquable du siècle, lequel explique tout ce qui concerne l'Hypnotisme, le Magnétisme personnel, la guérison magnétique, etc., un un langage si clair et si simple qu'un enfant peut le comprendre. Cette œuvre est due à la plume du Dr. X. La Motte Sage, A.M., Ph.D., LL. D., l'hypnotiste le plus éminent et le plus réputé des temps modernes. il y développe de nouvelles méthodes secrètes et instantanées qui permettent à toute personne intelligente d'apprendre cette science merveilleuse chez soi, en quelques jours, et d'exercer ce pouvoir sur ses amis et son entourage, et cela à leur insu. Nous garantissons un succès absolu sous peine d'un dédit de 5,000 fr. Nombre de personnes gagnent maintenant de 10,000 fr. à 25,000 fr. par an grâce à ce que leur a enseigné ce merveilleux volume, tandis que d'autres sont devenus immensément riches.
Le Dr. Sage, auteur de ce précieux ouvrage, a décidé de faire connaître à tout le monde ces secrets mystérieux si jalousement gardés pendant des siècles. Il veut que le pauvre ait autant de chance que le riche.
Il a cédé son droit d'auteur à la condition que dix mille exemplaires de son œuvre soient distribués gratuitement au public; c'est donc en raison de cette convention que toute personne peut obtenir un exemplaire de ce libre absolument gratis et franco, sur simple demande soit par lettre affranchie à 25 centimes, soit par carte postale de 10 centimes, adressée à:
The New York Institute of Science. Dept. Y.A. 41, Rochester, N.Y., (E.U.D'A.)
"Cette œuvre remarquable vaut plus que l'or. Elles est remplie de merveilleux secrets et de surprises des plus étonnantes. L'étude de cet ouvrage devrait suivre celle de la Sainte Bible. Je conseille à tous de s'en procurer un exemplaire." Rev. Paul Weller, Gorham, N.Y.
Reader, have you ever wondered why some people are so successful; why everything they touch seems to turn to gold; why do they acquire fortune, social position, power and influence, without appearing to make great efforts? These people are surrounded by friends, honored and respected among those around them, sought after in society, and become eminent and distinguished without apparent effort. Have you ever thought about these things? Do you know the reason?
It's not work, because the poor work much harder than the rich. Nor birth, for more than one of our successful men were born of poor parents. Nor luck, because more than one lucky person has died without friends and in the greatest destitution. So what is it then? The secret to success in life is personal influence — the power to make others think as you do; to gain their trust and friendship, and to assure you of their support. There is a secret power, by which you can exert irresistible personal influence; overcome any obstacle, charm and fascinate whoever you want; cure every known disease and bad habit, without resorting to drugs, medicine or the surgeon's scalpel. This influence is called Personal Magnetism or Hypnotism. It is the basis of success in all business and in every social position.
It is a power coming to us from Providence and which is the prerogative of the poor as well as the rich. It is truly the most wonderful science of our time. Think for a moment what it is like to be able to convince a person that your goods are the best there is on the market, that your services are invaluable to him, that you are offering him a good investment, that he needs of what you have to sell, that your opinion is right, that she should act on your advice, and a thousand other things of this kind. Think of the superiority such power would give you. If you want to obtain a lucrative position, a salary increase, or increase your current income in any way, the knowledge of Hypnotism will be invaluable to you. In hundreds of cases, this science has been the turning point in life for people ready to abandon everything in despair and to whom the future no longer seemed to offer any hope.
We have just published the most remarkable book of the century, which explains everything about Hypnotism, Personal Magnetism, Magnetic Healing, etc., in language so clear and simple that a child can understand it. This work is due to the pen of Dr. X. La Motte Sage, A.M., Ph.D., LL. D., the most eminent and renowned hypnotist of modern times. There he developed new secret and instantaneous methods which allow any intelligent person to learn this marvelous science at home, in a few days, and to exercise this power over their friends and those around them, without their knowledge. We guarantee absolute success under a penalty of 5,000 francs. Many people now earn 10,000 to 25,000 francs per year thanks to what this marvelous volume taught them, while others became immensely rich.
Dr. Sage, author of this precious work, decided to make everyone aware of these mysterious secrets so jealously guarded for centuries. He wants the poor to be as lucky as the rich.
He assigned his copyright on the condition that ten thousand copies of his work be distributed free to the public; It is therefore because of this agreement that anyone can obtain a copy of this book absolutely free and free, on simple request either by letter stamped at 25 centimes, or by postcard of 10 centimes, addressed to:
The New York Institute of Science. Department Y.A. 41, Rochester, N.Y., (U.S.A.)
"This remarkable work is worth more than gold. It is filled with wonderful secrets and the most astonishing surprises. Study of this work should follow that of the Holy Bible. I advise everyone to obtain a copy." Rev. Paul Weller, Gorham, N.Y.
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professeur-stump · 2 months
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Présenter la vérité à de certaines gens, c’est, (…) introduire un rayon de lumière dans un nid de hiboux ; il ne sert qu’à blesser leurs yeux et à exciter leurs cris.
(Diderot, La Promenade du sceptique ou Les Allées, 1747)
Présenter la vérité à de certaines gens, c’est, disait ingénieusement un de nos amis, un jour que je m’entretenais avec lui sous ces ombrages, introduire un rayon de lumière dans un nid de hiboux ; il ne sert qu’à blesser leurs yeux et à exciter leurs cris. Si les hommes n’étaient ignorants que pour n’avoir rien appris, peut-être les instruirait-on ; mais leur aveuglement est systématique. Ariste, vous n’avez pas seulement affaire à des gens qui ne savent rien, mais à des gens qui ne veulent rien savoir. On peut détromper celui dont l’erreur est involontaire ; mais par quel endroit attaquer celui qui est en garde contre le sens commun ?
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microcosme11 · 8 months
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Letter to 13-year-old Hortense
Quartier général, Milan, 22 prairial an IV [10 juin 1796]
J’ai reçu votre aimable lettre au milieu des horreurs de la guerre. Il n’est rien de plus charmant que ce qui me rappelle le souvenir d’aimables enfants que j’aime pour eux et parce qu’ils appartiennent à la personne du monde qui m’intéresse le plus.
Vous êtes une méchante et très méchante. Vous voulez me mettre en contradiction. Sachez donc, aimable Hortense, que lorsque l’on dit du mal des hommes l’on s’expose.
Lorsque l’on dit du mal des femmes, l’on excepte celles dont les charmes et la douce influence a captivé notre cœur et absorbé tous nos sentiments… Et puis, vous le savez bien, votre maman est incomparable sur la terre, personne ne joint à son inaltérable douceur ce je-ne-sais-quoi qu’elle inspire à tout ce qui l’entoure. Si quelque chose pouvait ajouter au bonheur que j’ai de lui appartenir, c’est les doux devoirs qu’il m’impose à votre égard. J’aurai pour vous les sentiments de père et vous aimerai comme votre meilleur ami… Mais je suis fâché contre vous, contre votre bonne maman, elle m’avait promis de venir me voir et elle ne vient pas. Le temps est long loin de ce que l’on aime. Jugez du plaisir que j’aurais réhaussé à vous voir, à discuter avec vous et à vous conter des histoires terribles. Une petite part dans votre souvenir. Un baiser à Eugène à qui je dois écrire. Croyez-moi pour la vie.
Vôtre
Bonaparte
P.S. Vous devez avoir reçu la petite boite de parfums. Je vous rapporterai cent belles choses.
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Headquarters, Milan, 22 prairial year IV [June 10, 1796]
I received your kind letter amidst the horrors of war. There is nothing more charming than that which reminds me of lovely children whom I love for themselves and because they belong to the person in the world who interests me the most.
You are bad, very bad. You want to contradict me. Please know, kind Hortense, that when we speak ill of men we expose ourselves.
When we say bad things about women, we except those whose charms and gentle influence have captivated our hearts and absorbed all our feelings… And then, you know well, your mother is incomparable on earth, no one joins unalterable sweetness with the je ne sais quoi that she inspires in everything around her. If anything could add to the happiness I have in belonging to her, it is the sweet duties she imposes on me towards you. I would have the feelings of a father for you and would love you as your best friend… But I am angry with you, with your good mother; she promised to come to see me and she is not coming. It’s a long time away from those we love. Judge the pleasure I would have had seeing you, talking with you and telling you terrible stories. A small part in your memory. A kiss to Eugène to whom I should write. Trust me for life.
Your
Bonaparte
P.S. You should have received the small box of perfumes. I will bring you a hundred beautiful things.
napoleonica
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aisakalegacy · 2 months
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Printemps 1918, Al Simhara, Égypte (11/20)
J’ai dépensé une petite fortune dans cette cérémonie. Les femmes revêtaient leurs plus belles robes, confectionnées dans des étoffes somptueuses et ornées de dentelle et de broderies délicates, tandis que les hommes portaient des costumes élégants ou des uniformes militaires. Après le mariage, nous nous serions réunis dans la salle des fêtes de l’hôtel de ville, somptueusement décorée pour l’occasion, ornée de draperies luxueuses et de fleurs fraiches. La réception aurait été marquée par un festin où les mets raffinés et les vins fins auraient abondé. Un orchestre ayant été loué, les couples auraient tourbillonné au rythme des valses et des polkas. C’était sans compter la lâcheté de gros écœurant qui a failli me servir de gendre.
[Transcription] Napoléon Bernard : Chers paroissiens, votre attention, s’il-vous-plaît ! La mariée souhaite faire un discours. Louise Le Bris : Chers amis et familles, en attendant l'arrivée de mon fiancé qui semble avoir été retardé, je veux exprimer ma gratitude à chacun d'entre vous pour votre présence ici aujourd'hui. Louise Le Bris : Aujourd'hui est un jour très spécial pour moi, car je suis ici entourée de ceux que j'aime le plus pour célébrer l'amour et l'engagement que je partage avec Earnest, qui a illuminé ma vie de sa gentillesse et sa compréhension. Louise Le Bris : Je veux aussi prendre un moment pour rendre hommage à nos familles, qui nous ont soutenus et aimés tout au long de nos fiançailles jusqu'à ce jour. Louise Le Bris : Merci à Tante Françoise, sans qui je n’aurais jamais eu l’occasion d’apprendre à connaître mon fiancé, et pour les bons mots qu’elle a touché à mes parents à son sujet. Louise Le Bris : Merci à mon père, qui finance cette cérémonie, et à ma mère, pour tout le soin qu'elle a mis dans les retouches de ma robe et dans l’organisation de cette journée, malgré toute la fatigue de ces dernières semaines. Louise Le Bris : À tous nos invités, merci d'être ici pour célébrer ce jour avec nous. Napoléon Bernard : Le marié ne devrait plus tarder, alors je vous remercie pour votre patience.
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ascle · 2 months
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Les « memes » québécois
Il y a de ces moments d’anthologie, lorsque quelqu’un passe à l’histoire, volontairement ou non, grâce à une vidéo virale.
Le Quebec ne fait pas exception à la règle. Plusieurs vidéos se sont taillées une place de choix dans nos répliques, discussions, expressions du quotidien.
Afin de ne pas rester pantois devant un « sauf une fois au chalet » lancé par un Québécois, voici quelques uns des « memes » les plus populaire au Quebec et leur origine. (Vous pouvez retirer votre cerveau à partir d’ici vous n’en n’aurez plus besoin)
La palourde royale!
Probablement la vidéo plus connue au Quebec parce que tout le monde en a entendu parlé. De 7 a 77 ans comme on dit.
Contexte: Il s’agit d’un extrait d’une émission de cuisine. Normalement, les 2 animateurs discutent d’affaire de gars comme l’épilation du torse tout en faisant un gaspacho. Sauf que cette fois-ci, l’émission porte sur la palourde royale. Si vous n’avez pas déjà un p’tit sourire en coin c’est parce que vous n’avez jamais vu une palourde royale. Ils ont invité un chef afin d’apprendre à apprêter, nettoyer, cuisiner le mollusque. Le problème c’est que… les 2 pauvres gars ont un fou rire incontrôlable et aucun des deux n’arrive à reprendre son sérieux alors que le p’tit chef reste beaucoup trop premier degré.
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Sauf une fois au chalet
C’est un bel exemple de vidéo qui s’est transformée en expression.
Contexte: Philippe Hamelin, 93 ans est jugé pour inceste. Le problème c’est qu’à la sortie du palais de justice après avoir clamé son innocence, notre bon vieux monsieur y va d’une déclaration aux journalistes dont son avocat se serait bien passé. « J’ai jamais touché à mes filles… sauf une fois au chalet » !!!!!!
Cette phrase est alors instantanément passée à la postérité et est maintenant portée à toutes les sauces pour avouer à demi mot quelque chose qu’on a fait ou dit.
Exemple: j’ai jamais pensé kidnapper Carole, sauf une fois au chalet.
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La grosse dinde noire
A première vue, une dinde sauvage n’a rien d’excitant. Mais mettez la même dinde sauvage dans le salon d’une pauvre madame et un journaliste prêt à tout pour tuer la une et on se retrouve avec une pièce d’anthologie.
« A ça r’venir la grosse dinde noire »
En 2016, une dame raconte au journaliste sa mésaventure avec une dinde sauvage qui a défoncé une fenêtre de son salon et, paniquée, s’est soulagée intestinalement parlant un peu partout avant de repartir.
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Update! En février dernier, une autre dinde sauvage a fait la une après avoir poursuivi un homme qui l’avait un peu cherché relançant la saga de la grosse dinde noire. Comme quoi… elle avait bien raison! Elle est revenue la grosse dinde noire ^^.
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Un peu ouais
Restons dans le caca! Un gars au resto qui visiblement n’a pu se retenir et son ami, au lieu de l’aider, film le désarroi. Parce qu’on aura beau dire, tu peux être Brad Pitt, le Président ou l’homme le plus fort au monde, si tu te chies dans les culottes… ben tu t’es chié dans les culottes.
L’expression « un peu ouais » est resté comme la trace brune dans ses culottes. Elle est utilisée pour évoquer un agacement.
Exemple: Est-ce que je vous saoule à parler de Carole tout le temps? Un peu ouais! (C’est un très mauvais exemple pcq Carole es fucking parfaite et on n’en parle jamais assez!)
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Le p’tit bum
Il s’en passe des choses dans les palais de justice québécois. Yollande! Awwhh la charmante Yollande! Cette dame sympathique se rend à son procès. Son crime? Des jeunes l’auraient coupée en voiture et elle a décidé de les éduquer et de foncer dans leur voiture avec la sienne. Au delà du fait qu’on ne se fait pas justice soi-même, notre chère Yollande se pointe au tribunal complément bourrée et explique les faits aux journalistes. Un moment magique!
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Pas l’temps d’niaiser!
Contexte: un événement est organisé dans un bar et une jeune reporter essaie de recueillir les impressions des jeunes venus fêter. Elle n’a pas été déçue! Elle tombe sur un mec complètement bourré qui déclare « tequila, Heineken, pas l’temps de niaiser » que l’on pourrait « traduire » par « Je prends ma tequila et une Heineken en même temps, j’ai pas de temps à perdre ».
La vidéo est devenue virale, il n’en fallait pas plus pour que l’expression s’inscrive dans la culture populaire québécoise en version longue ou courte.
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J’ai l’doua!
Alors déjà je commence par un avertissement: même nous, Québécois, faut s’accrocher pour comprendre le mec 🤣.
Contexte: un homme a décide de faire un remblai (illégal) chez lui. Plainte des voisins, un journaliste se pointe chez l’homme en question et on détecte quand même rapidement que ses souliers s’attachent avec du velcro. Il déclare alors au journaliste qu’il est dans son droit (j’ai l’doua). Encore une fois, cette expression prend le langage populaire lorsqu’on veut se défendre de quelque chose.
Exemple: Ascle! Arrête de tout le temps parler de Carole. (Ascle) J'ai l’doua!
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Bonne fête Kevin!
C’est bien connu, prenez un mec individuellement ça va, mais mettez plusieurs mecs ensemble et le quotient intellectuel su groupe se divise par le nombre de participant. Ajoutez un peu d’alcool…
Contexte: c’est l’anniversaire de Kevin. On essaie de lui faire un sympa vidéo pour lui offrir nos vœux, mais on dirait que personne ne connaît Kevin 🤣🤦‍♀️.
Il est maintenant de coutume lors de l’anniversaire de quelqu’un, idéalement si cette personne ne s’appelle pas Kevin, de gueuler « bonne fête Kevin ».
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homomenhommes · 16 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 164
Livraisons des tableaux
Comme promis lors du vernissage, Moitié a fait la livraison du tableau à Kev. Aussitôt après son passage j'ai eu droit à un coup de fil de ce dernier pour me dire qu'il s'était tapé le livreur( Moitié en personne). Il m'a dit que c'était une véritable salope ! ça je le savais déjà pour l'avoir pratiqué l'été dernier. Je lui ai dit que lorsque j'avais entendu qu''il s'était proposé pour la livraison, j'avais déduit qu'il (Kev) lui avait tapé dans l'oeil. A cela il m'a répondu que lui, c'était pas l'oeil qu'il avait visé. Très classe !! Comme je lui disais qu'il avait une nouvelle fois " élargi " le cercle de ses amis, il s'est félicité de lui en avoir mis de quoi l'occuper quelques jours. Je le détrompais rapidement en lui annonçant que Bo-gosse faisait du 24 x 5,5 et qu'il devait déjà s'en occuper au moins une à deux fois par jour vu sa libido. Kev de me répondre qu'alors c'était pour cela qu'il était entré aussi facilement (bien que très correctement serré après).
Pour conclure il me dit que le tableau faisait très bien au dessus de son canapé.
Celui d'Emma est arrivé le jeudi et dès le lendemain les tapissiers étaient là pour l'accrocher au mur.
En attendant le WE et la livraison de mon achat, j'organisais au pied levé un dimanche sexe. Eric pour commencer, Moitié aimant les tailles au dessus de la moyenne, puis Igor avec ses jumeaux et pour finir nos voisins Bruno et Arnaud.
Depuis que nous avons Samir et Ammed, Marc ne s'occupe plus de l'intendance. Comme ça il n'a pas remarqué les préparatifs, ce sera un dimanche surprise.
Nous accueillons Bo-gosse et Moitié en début de soirée. Grâce au GPS plus une orientation par téléphone pour les derniers kms, ils arrivent sans problèmes jusque chez nous.
Je me charge de faire les présentations après que nos " hommes " les aient débarrassés de leurs manteau et blouson, en définissant qui est qui, artiste et galeriste.
Ils nous félicitent pour le style de notre service, Bo-gosse laissant trainer ses yeux sur les culs moulés de cuir de Samir et Ammed.
Moitié, lui, essaye de savoir ce que cache, mal, les jeans de Marc.
Comme il est déjà tard, nous passons direct à l'apéro. Whisky tassé pour Bo-gosse et Martini blanc pour Moitié pendant que Marc défait l'emballage de la toile. Il la pose sur un des canapés, se recule puis me fait venir à ses cotés. J'attends avec fébrilité son avis. Il me prend dans ses bras et m'embrasse d'abord gentiment puis plus violemment, oubliant nos invités. Quelques toussotements amusés nous ont rappelé leur présence. Bo-gosse admire notre décoration intérieure, cosy mais contemporaine, non sans nous féliciter pour le choix de la commode Louis XV avec sa marqueterie, son marbre et ses bronzes dorés (seule pièce ancienne) qui tranche contre son mur blanc. Moitié, lui est plus intéressé par la piscine que l'on aperçoit fumer dans la fraîcheur du soir.
Samir vient nous prévenir que nous pouvons passer à table. Le diner est parfait et Bo-gosse réitère ses félicitations. Le fait que nos serveurs soient uniquement vêtus de leur shorty en cuir moulant leurs formes généreuses, n'empêche pas un service stylé. J'a senti plusieurs fois l'envie que Bo-gosse avait de leur mettre la main aux fesses et avant que cela n'arrive, j'ai fait la mise au point indispensable, Samir et Ammed nous servent mais uniquement pour la maison (oui je sais pas totalement mais il n'y a qu'avec nous et dans certaines conditions que cela déborde).
Déception de Bo-gosse qui, je pense, en aurait bien mis un dans son lit ce soir. Nous finissons de dîner. Pendant le café, la conversation dévie sur l'été dernier, les vacances et les touzes. Ils nous en ont raconté quelques unes pas mauvaises. Marc ayant cerné l'homme, a proposé à Bo-gosse un échange de mec pour la fin de soirée. Je le regarde un peu surpris. Mais n'est ce pas ce que j'avais inconsciemment cherché en faisant venir ce couple dans la maison ? Pas de café, Marc nous entraine direct vers le baisodrome de l'étage (grande chambre occupé par deux grand lits de 2m au carré dont un mur et le plafond sont recouverts de miroirs avec bien sur salle de bain attenante). Moitié, à peine le seuil franchi, s'est attaqué aux vêtement de Marc, je me venge sur ceux de Bo-gosse. Ils se retrouvent cote à cote, à poil avec deux salopes à leurs pieds en train de leur octroyer la meilleur pipe qu'ils savent faire.
Ce n'est pas une compétition ente Moitié et moi, mais on pourrait s'y méprendre.
Marc est plus court (2 cm) mais ses 5 mm de plus en diamètre compensent largement. C'est d'ailleurs l'avis de Moitié qui sans peiner vraiment, en prend quand même " plein la gueule ". Je suis aussi bien servi de mon coté et ma tête bloquée entre les fortes mains de Bo-gosse je lui sers de masturbateur buccal.
Les queues sont raides et gonflées à fond. Bientôt je suis poussé en arrière. Le risque de jute de mon partenaire de jeux devenant quasi insurmontable. Marc ayant de son coté eu la même réaction, je me tourne vers Moitié et nous entamons un roulage de pelle où chacun retrouve dans la bouche de l'autre le goût de son propre mec.
Sans décoller nos lèvres, nous nous faisons déshabiller. Un ordre et nous voilà en 69 en train de nous bouffer réciproquement nos attributs sexuels. Moitié est correctement équipé même si c'est plus petit que moi. A la bouche je dirais un bon 17cm x 4,5. Alors que nous obéissons à l'ordre donné, je vois Marc se pencher pour manger le cul de Moitié au moment ou je sens contre ma rondelle, une langue chaude et mouillée lubrifier le passage.
Ça doit stimuler mon partenaire de 69 car je sens une aspiration plus intense sur ma queue. Je m'applique pour faire aussi bien. Déchirure de pochette, doigts plein de gel dans le cul et soudain, l'assaut synchronisé. Je vois sous mes yeux ce qui se passe derrière moi au même moment, la pénétration d'une rondelle qui n'attendait que cela. Bien que bâillonnés par nos bites, Moitié comme moi arrivons a émettre un avis favorable. Nous nous faisons pilonner ainsi un bon moment avant que je ne sente Bo-gosse me soulever et basculer en arrière sur le lit. je me retrouve à le chevaucher. Dans la minute qui suit, Moitié est dans la même position, mimétisme ou parti pris de faire tout pareil ? Rotation de 180° et nous faisons face à nos enculeurs. C'est à notre tour de bosser un peu. Je joue une variation de contractions anales sans faire aucun mouvement. J'attend qu'il n'en puisse plus. C'est le cas quelques minutes plus tard. Il me prend par les hanches, me soulève avant de me laisser retomber et m'ordonne de galoper. Bien chef ! Je m'exécute, à mes cotés Moitié fait comme moi. Je saute alors un bon 1/4 d'heure sur sa queue. Puis il me fait rouler sur le dos et le creux de mes genoux contre ses biceps, il me pousse en arrière pour que je relève le cul. en position de pompe (sportive), il me pompe (sexuellement).
Nous explosons tous les 4 à quelques 10ains de secondes d'intervalle. Je crois que je suis le premier, les 24 cm de Bo-gosse en cause !
Je tire Moitié sous la douche. il me félicite pour Marc qui l'a bien maitrisé coté montée en excitation. Je le remercie pour le sien de mec et de m'avoir prêté ses 24 cm efficaces. Alors que nous nous séchons, je lui annonce, sous le sceau du secret, que demain y'aura touze à domicile.
Nous rejoignons nos Hommes et avec Marc, je laisse nos invités dormir.
Nous avons une petite discussion avant que la fatigue nous emporte. Marc est très content de ses deux cadeaux. Pour le tableau j'en était sûr, mai je ne vois pas l'autre. Il me prend dans ses bras et me dit " Moitié ".
Réveils vers 10h pour nous 4. Avant le petit dèj, je plonge me dérouiller par une bonne demi heure de nage. Je suis assez vite rejoint par Bo-gosse. Marc ne déteste pas mais pas aussitôt le matin, quand à Moitié, le sport autre qu' " en chambre " ça pas l'air d'être son truc.
Sans espérer battre Ric, je force sur le papillon, en plus ça fait des épaules de déménageur ! Bo-gosse aligne les longueur de crawl.
Ce dernier est surpris une nouvelle fois quand nous trouvons Ammed sur le bord de l'eau à nous attendre avec des peignoirs comme nous décidons d'arrêter.
Petit déjeuner roboratif et nous rejoignons Marc et Moitié déjà en action ! Marc va pour s'excuser auprès de Bo-gosse mais ce dernier lui dit de laisser tomber, que Moitié était une vraie salope qui n'avait jamais réussi à se retenir devant une belle queue.
Bien qu'un peu fatigué, nos deux bites sortent de leurs torpeurs et gagnent en volume. Le spectacle de Moitié faisant du cheval sur les genoux de Marc, avec en plus comme bande son les gémissement qui vont bien, nous excite. Je me penche sur Bo-gosse et embouche son gland, le goût légèrement " javel " disparaît vite et je me retrouve avec sa main sur mon crane qui dirige ma pipe.
Variation de vitesse et de profondeur, il me dit que je suis un des rare à réussir à le bouffer jusqu'à l'os. Je me dis que soit il ne voit pas grand monde en dehors de Moitié, soit les parisiens sont des chochottes ! Les jeunes de notre bande maîtrisent tous cet exercice.
Le coup que j'ai de déglutir en rafale alors que son gland encombre ma gorge le prend par surprise et il ne peut se retenir. J'ai juste le temps de reculer et un geyser blanc sort de sa bite à 10 cm de mes yeux. Pour un peu je distinguerais chaque spermatozoïde qui le compose. Moitié, de son coté, pousse un soupir de délivrance en claquant une dernière fois ses fesses sur les cuisses de Marc en train de reprendre sa respiration (suspendue quelques instants) alors qu'il se vidait au fond du trou de l'artiste.
Je profite que nous ayons besoin de nous rafraichir pour faire visiter à nos nouveaux amis le sous sol, sa salle de muscu et la salle d'eau associée. Remarques sur les avantages d'être en province, puis tous le monde sous les douches. Quand nous remontons, j'entends une voiture entrer dans la cour. Ce ne peut être qu'Igor et ses jumeaux.
Exacte, ils franchissent la porte comme Marc arrive dans l'entrée. " Surprise " ! Marc comprend tout de suite et me demande si nous avons d'autres invités. Je vais pour ajouter " les voisins " que Bruno et Arnaud traversent la pelouse (le portillon entre nos deux parcs). Une moto arrive, c'est Eric qui nous rejoint.
Les jumeaux sont toujours aussi " sex " et Moitié comme Bo-gosse ne s'y trompe pas. Arnaud est toujours fashion-victime mais c'est comme mon petit frère, je lui pardonne. Moitié remarque tout de suite la protubérance que fait le sexe d'Eric sous le cuir de la combi.
Présentations des hommes puis du tableau. Igor aime bien et demande à Moitié s'il en a d'autre dans le style (homme nu), ou s'il lui peindrait les jumeaux ? Moitié, pas vicieux du tout, lui a alors dit que cela dépendait du physique des sujets. Ni une ni deux, voilà les jumeaux en train de nous faire un strip-tease au milieu du salon. Alors qu'ils avaient encore leurs slips, bien remplis, sur les fesses, tous, autour, nous bandions comme des malades.
Moitié m'a demandé un appareil photo. Je lui ai prêté notre numérique et pendant une bonne demi heure, il a fait poser les jumeaux. Debout, couchés, assis, la ; ; ; ; ; ; pa-patte... nan je rigole ! mais il les a mitraillé. Après nous avons tous donné notre avis sur la plus belle position (non sexuelle !! faut suivre). Finalement, Igor et les jumeaux ont optés pour Tic couché au sol la tête vers la droite et au dessus de lui, Tac couché sur le canapé, la tête dirigée vers la gauche. A Charge à Moitié de rendre cela, artistique et excitant.
Comme nous (les passifs ou Actifs/passifs) sommes en sou nombre, j'ai demandé à Samir de nous envoyer Jimmy. De nouveau quelques brèves explications, l'instant est aux sexes et aux culs !
Je roule un méga patin à Tac et ça lance la touze. Tic s'occupe avec gourmandise des 24 cm de Bo-gosse, Arnaud " tète " Marc pendant que Moitié découvre la bite d'Eric et que Jimmy alterne entre les bites d'Igor et de Bruno. La musique de fond, est couverte par les divers bruits de sucions qui émanent des suceurs, slurp, slurp.
Marc propose de continuer dans notre donjon. Accord immédiat des habitués et coup d'oeil interrogateur de nos parisiens. Samir et Hamed nous apportent les grand manteaux et nus dessous nous traversons la cour ensoleillée mais encore froide.
Dès la porte passée, je garde Bo-gosse et Moitié sans le sas et pousse les autres de l'autre coté en leur demandant de nous faire un tableau vivant.
Quand Marc nous appelle, nous entrons à notre tour.
La lumière est comme il faut et nous ne sommes pas éblouis par elle mais par contre nos deux nouveaux amis sont surpris. Ils ne s'attendaient probablement pas à une installation pareille.
Bruno encule Tic posé sur le sling central. Marc fait de même sur Tac plié en deux sur une selle de cheval avec en face de lui Eric qui lui masse les amygdales avec son gland. Arnaud se prend les 22cm d'Igor attaché en croix contre le mur. Un spot éclaire plus particulièrement la selle spéciale (celle équipé d'un gode au bon endroit).
Dans leurs dos, je leur demande comment ils trouvent notre " petite " installation. Quelques propos élogieux plus tard, Moitié se défonçait tout seul sur la selle à gode. (gode moyen d'environ 22 x 5,5). Le tableau défait, chacun se colle, lèche, embouche ou rempli son voisin. Nous sommes quelques uns autour de la selle à gode à regarder Moitié se dilater en vue de se faire Eric. Nous ne sommes pas pressés. Je sens un torse nu se coller à mon dos. J'essaye de deviner qui c'est. Pas de poil sur le torse donc pas Bruno, plus qu'un peu plus grand que moi, ce ne peut être que Bo-gosse. Il se penche et glisse dans mon oreille qu'il va réellement kiffer quand Moitié se fera enculer par les 26cm d'Eric. Je n'en doute pas vu que ses propres 24 cm sont bien raide et prennent place entre mes cuisses et que son gland soutient mes couilles.
Eric qui connaît bien la maison, remplace le gode de la selle par un de la taille au dessus, dans les 25 de long. Je lui demande pourquoi il n'est pas passé direct à notre " monstre " (28 x 6,5), il nous dit qu'il aime quand il y a encore un peu de résistance.
Le torse pris dans les bras de Bo-gosse, je sens son bassin aller et venir et son gland me masser le périnée. Ça m'excite et je sens mon anus réagir favorablement. Je n'y tiens plus et à mon tour me plie en travers de la selle, mes jambes écartées. Bo-gosse ne s'y trompe pas, c'est bien une invitation à ce qu'il me bourre le cul.
Kpote et gel, j'ai le temps de saturer de poppers mes narines avant de subir l'assaut. Bien qu'excité, je sens passer les 24 cm de bite raide de Bo-gosse. Il se fixe quelques instant au fond de mon trou. Mon anus se fait à la dilatation. Je relève la tête juste à temps pour admirer Moitié se faire enfiler par Eric. Il déguste, bien qu'habitué aux 24cm de son mec. C'est, je crois le diamètre qui lui pose quelques problèmes. Je re-sniffe un peu de poppers et lui jette le flacon. Il le porte sous son nez et aussitôt ses traits se détendent. Cela laisse le champ à Eric pour l'enculer à fond. J'entend a dessus de moi, Bo-gosse féliciter Eric pour l'enculage de sa salope.
Je tourne un peu la tête et j'aperçois les autres se faire du bien. Igor se fait Arnaud dans un des slings accompagné à droite par Marc qui se tape Tac et à gauche par Bruno qui encule Tic. Ils discutent tous les trois des avantages de Ti et de Tac. Ce qui leur vaut un peu plus tard un échange de bite. Marc enculant Tic à son tour et Tac se faisant limer par Bruno, le tout sous les conseil de leur père bien au fait des différences sexuelles qui individualisent chacun des jumeaux (physiquement, c'ets très difficile de savoir qui est qui.
Moitié couine de façon fort peu virile mais très expressive du plaisir qu'il est en train de prendre avec la queue d'Eric entre ses fesses.
De mon coté les 24cm de Bo-gosse me font beaucoup d'effets et je prends un pied fou à me faire limer profondément. Je veux voir Bo-gosse jouir, je me tourne sur le dos et garde l'équilibre sur la selle en fixant mes chevilles sur ses épaules. Ce n'est pas la position la plus confortable que j'ai connue mais je peux voir son visage et dans ses yeux la montée du jus de ses couilles à son gland. Je joue de mon anus (contractions, blocage de queue...) et quand je sens qu'il va exploser, je le retiens au fond de moi. Il remplit sa kpote en gueulant un grand coup. C'est le signal car les autres actifs à leur tour se libèrent aussi. Eric visse le corps de Moitié sur sa queue et comme pour moi, il se vide au fond du cul de Moitié. Par contre, alors que nous nous désolidarisons assez rapidement, Eric reste encre bien 5mn planté dans Moitié sans débander d'un pouce. Ce n'est que lorsque nous sommes tous autour d'eux qu'il se décide. Nous admirons tous la quantité de sperme qui est emprisonnée derrière le latex. Avant de filer aux douches collectives du fond de la pièce.
Inconsciemment, chacun retrouve son partenaire et alors que je me fais masser par Marc, Bruno lave Arnaud avec des gestes très tendres, c'est Moitié qui savonne Bo-gosse et chez le trio, Igor s'occupe de Tac qui lui même s'occupe de Tic avant de changer de configuration. Nous regagnons la grande maison ou Samir et Ammed nous servent café et petits gâteaux. Moitié est captivé par les jumeaux. Avec Arnaud, nous nous isolons à un bout du salon alors que nos " vieux " discutent à l'autre bout de la pièce.
Ce n'est qu'en début de soirée et à cause de la route pour Paris que nous nous séparons. Nous avons réussi à garder Igor et ses fils pour le diner.
JARDINIER
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rouquins slipés
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empiredesimparte · 1 year
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They spy live on the conversation between Madame Hortense and her boyfriend, Duke Oliver of Rothsey
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Oliver: No…no not at all Hortense! Believe me when I say that it was not left there out of malice. My mother wants me to tell you that she tried to warn me Hortense (sad): Your mother is right. Because of that photo, everyone around is staring at me, Louis thinks I'm not myself anymore and our priest is considering a discussion with me. Have you even read what the magazines here say?
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Oliver: I did…believe me, I did not think they would pit you and Louis against each other….you must know how sorry I am… Hortense: Louis thinks, and I agree, that what's done is done. We'll have to lay low again until the coronation (sighs) I don't want my brother to get into trouble because of us
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Oliver: I…[sigh] I know you are right…I just…I hate that I will have to hide you while you will be here in Scotland…I'm sorry Mo Gaol, I just wanted to show how much I love you…I feel like these feelings are straining to burst forth from my heart… Hortense: I know you meant no harm, and I love you. Try to be patient, just wait until the coronation is over. In a few months. Please, Oliver Oliver: I will do my best Hortense…
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Jean: Oliver of Rothsey seems sincere, I don't think he threatens the Crown in the future Napoléon V: I agree
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Henri: That's a relief, the Scots can be stubborn. We should have a serious talk with the Duke
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Jean: Perhaps it's best indeed, spying on the Scottish heir is perilous for our diplomatic relations Napoléon V: Yes, it's useless. Oliver is a good man and a friend… I didn't know that this phone was tapped
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Jean: In fact, many devices are, Sire
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Henri: Jean, this is neither the time nor the place Napoléon V: What do you mean?
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Jean: Our Emperor had to find out one day
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Napoléon V (suspicious): We will discuss this again in Paris, Jean. In the meantime, let's avoid this kind of meeting and attracting attention
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⚜ Le Cabinet Noir | Compiègne, 15 Floréal An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
This post refers to this episode in the story of Oliver and Hortense. Collaboration with @officalroyalsofpierreland
⚜ Traduction française
Ils espionnent en direct la conversation entre Hortense et son petit ami, le duc Oliver de Rothsey
Oliver : Non…non pas du tout Hortense ! Crois-moi, je n'ai pas voulu vous blesser. Ma mère a essayé de m'avertir, sache-le, mais je ne l'ai pas écoutée Hortense (triste) : Ta mère a raison. A cause de cette photo, tout le monde me regarde, Louis pense que je ne suis plus moi-même et notre curé envisage une discussion avec moi. As-tu seulement lu ce que disent les magazines d'ici ?
Oliver : Je sais… Je ne pensais pas que cela ferait du mal à ta relation avec ton frère. Tu ne sais pas à quel point je suis désolé… Hortense (soupire) : Louis pense, et je suis d'accord, que ce qui est fait est fait. Nous allons devoir faire profil bas jusqu'au couronnement. Je ne veux pas que mon frère ait des ennuis à cause de nous
Oliver : Je… [soupir] Je sais que tu as raison… C'est juste que… Quand tu seras ici en Ecosse, nous ne pourrons pas être aussi libres que je le souhaite et… Je suis désolé Mo Gaol, je voulais juste te montrer à quel point je t'aime… J'ai l'impression que ces sentiments s'efforcent de jaillir de mon cœur… Hortense : Je sais que tu ne voulais pas me faire de mal et je t'aime. Essaie d'être patient, attends que le couronnement soit terminé. Dans quelques mois. S'il te plaît, Oliver Oliver : Je ferai de mon mieux, Hortense…
Jean : Le duc de Rothsey semble sincère, je ne crois pas qu'il menace la Couronne à l'avenir Napoléon V : Je suis aussi de cet avis
Henri : C'est un soulagement, les écossais peuvent être têtus. Il nous faudrait avoir une conversation sérieuse avec le duc
Jean : C'est peut-être le mieux en effet, espionner l'héritier écossais est périlleux pour nos relations diplomatiques Napoléon V : Oui, c'est inutile. Oliver est un homme bon et un ami... J'ignorais que ce téléphone était sur écoute
Jean : A vrai dire, de nombreux appareils le sont, Sire
Henri : Jean, ce n'est ni le lieu ni le bon moment Napoléon V : Comment ça ?
Jean : L'Empereur devait bien l'apprendre un jour
Napoléon V (soupçonneux) : Nous en rediscuterons à Paris, Jean. En attendant, évitons ce genre de réunions et d'attirer l'attention
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04 / 05 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec mon ami @tidodore2
- ÉCRASÉ SOUS LES PIEDS DES GÉANTS -
PARTIE PAR tidodore2
"Alors pédé, qu'est ce que tu décide ??? On t'abandonne attaché ici en plein désert, ou tu accepte ta place et tu deviens notre esclave "paillasson " nettoyeur de pieds ? Ouiii, voilà, je m'en doutais ! Bon choix toutou ! Fini de nettoyer nos pieds en les lechant et on te ramène à la maison pour ta nouvelle vie !"
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PARTIE PAR submissivegayfrenchboy
Dans un monde où les géants et les minuscules humains vivent en harmonie, être un pédé c'est être une proie. Le petit Madison était en adoration devant les très grands mâles mais il risquait souvent d'être écrasé par eux. Impressionné par la taille de leurs pieds qui faisaient le double de son corps, il se promenait dans des parcs pour échapper à la monotonie de la vie.
Du moins jusqu'à ce que deux géants frères blancs sublimes et musclés menacent de l'écraser.
Ayant refusé de lécheurs leurs immenses pieds, Madison fut obligé de les laisser l'attacher à un arbre, n'ayant pas assez de force pour résister.
Il avait accepté de lécher leurs immenses pieds, et les deux frères avaient tellement aimé le contact de la langue de Madison sur leurs semelles qu'ils l'avaient pris avec eux.
Or ils habitaient loin de chez Madison : il fallait traverser un désert. Ayant réussi à sauter de la voiture, il fut rattrapé et ensablé.
Les deux géants étaient impressionnants et très apeurants comparés au minuscule pédé qui mesurait moins de la moitié des larges pieds des frères géants. Ces derniers se mirent à s'embrasser sur la bouche avec la langue ! Ils étaient certes des homos et amoureux l'un de l'autre, mais ils étaient de toute façon des géants dominants et étaient donc supérieur en tout au pédé minuscule coincé dans le sable.
En larmes, le minuscule Madison implora la pitié du couple gay incestueux et se mit à lécher leurs semelles sous leurs rires cruels. Les deux beaux hommes blonds musclés trouvaient agréables de sentir une minuscule langue sous leurs pieds.
Finalement, ils ont retirés le minuscule pédé du sable et l'ont gardé comme lécheur de pieds. Jamais Madison ne fut retrouvé par ses proches, car il passa le reste de sa vie à lécher les immenses pieds de ses maîtres. Assis confortablement dans leur gigantesque canapé, les deux frères s'embrassaient en obligeant leur minuscule esclave lécher leurs pieds posés sur un reposepieds.
La majorité du temps, Madison vivait dans la chaussure de l'un des frères. Pendant que les frères géants dormaient amoureusement dans les bras musclés l'un de l'autre, leur minuscule lécheur de pieds dormait dans l'une de leurs chaussettes sales.
La vie de Madison ne serait plus réduite qu'aux pieds immenses d'un couple gay de frères géants.
FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with my friend @tidodore2
- CRUSHED UNDER GIANTS'S FEET -
PART BY tidodore2
"So fag, what do you decide??? We leave you attached here in the middle of the desert, or you accept your place and you become our foot-cleaning slave "doormat"? Yeah, there you go, I suspected it Good choice doggie! Finished cleaning our feet by licking them and we'll take you home for your new life!"
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PART BY submissivegayfrenchboy
In a world where giants and tiny humans live in harmony, to be a faggot is to be prey. Little Madison was in adoration in front of the very big males but he often risked being crushed by them. Impressed by the size of their feet which were twice his body, he walked in parks to escape the monotony of life.
At least until two sublime and muscular white brother giants threaten to crush him.
Having refused to lick their huge feet, Madison was forced to let them tie him to a tree, not having enough strength to resist. He had agreed to lick their huge feet, and the two brothers had enjoyed the feel of Madison's tongue on their soles so much that they had taken him with them.
But they lived far from Madison: they had to cross a desert. Having managed to jump out of the car, he was caught and stuck in the sand.
The two giants were impressive and very scary compared to the tiny faggot who was less than half the giant brothers' wide feet. The latter began to kiss each other on the mouth with their tongues! They were certainly gay and in love with each other, but they were dominant giants anyway and were therefore superior in everything to the tiny queer stuck in the sand.
In tears, tiny Madison begged for mercy from the incestuous gay couple and proceeded to lick their soles as they laughed cruelly. The two handsome, muscular blond men found it pleasant to feel a tiny tongue under their feet.
Eventually they pulled the tiny faggot out of the sand and kept him as a toe sucker.
Madison was never found by his relatives, because he spent the rest of his life licking the huge feet of his masters.
Seated comfortably in their gigantic sofa, the two brothers kissed each other while forcing their tiny slave to lick their feet resting on a footstool. The majority of the time, Madison lived in the shoe of one of the brothers.
While the giant brothers slept lovingly in each other's muscular arms, their tiny toelicker slept in one of their dirty socks. Madison's life would be reduced only to the huge feet of a gay couple of giant brothers.
END OF THE STORY
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@tinygiant @giantxxx2 @giant-tiny-people @gianttinyboys @giantworshipper @macrophiliagayfr @inanimatetffantasies @innerpiratefun @lovefanfiction01 @gayhopefullove @awesomecrowdcontrol1 @leftprogrammingroadtripdean @torinya @feet2eat @soumispourdomi @rainykpoptravelcreator @bat-woodfeet-us @socklickersworld @jockfootstories
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alexar60 · 9 months
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Sieste
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Bien qu’il fasse chaud, la fenêtre restait fermée. Elle entra sans faire de bruit. Elle me regarda allongé sur le lit. Elle préféra m’admirer plutôt que de parler. Pourtant, elle avait tellement de choses à dire.
Sentant sa présence, je levais soudainement la tête. Elle me souriait. Elle retira son jean déchiré et s’étendit à sa place dans le lit. Comme elle me tournait le dos, je me lovais à elle comme elle adorait qu’on fasse. Mes doigts caressèrent lentement son avant-bras afin de l’endormir. Et une fois qu’elle trouvait le sommeil, je posais ma main sur la sienne.
Nous dormîmes pendant quelques minutes. C’était une sieste que je ne peux oublier. Elle sentait bon. J’aimais dormir en humant le parfum de ses cheveux et de son cou.  J’adorais sentir son cœur battre. J’aimais entendre ses soupirs lorsqu’elle étirait son corps. J’aurais aimé entrer dans ses rêves et faire voyager nos âmes dans les plus beaux endroits de l’univers. 
Petit-à-petit sa respiration devint sifflante, on entendait qu’elle avait du mal à inspirer. Son corps bouillait. Elle avait chaud, elle suait terriblement. Je me levai délicatement. Je ne voulais pas la réveiller. J’aurais voulu lui dire un dernier au-revoir, mais ce n’était pas possible. Alors, je quittais le lit pour m’assoir près d’elle. Elle remuait la bouche. Ses lèvres devinrent brusquement blanches. Avec la sueur, sa peau blanchissait terriblement. Elle semblait marmonner. Je crus entendre mon prénom. Puis elle ferma la bouche et resta endormie. Une larme perla du coin des sons œil et tomba sur le drap. Elle se recroquevilla, elle avait froid.
Dehors, le soleil brillait énormément. Il faisait chaud mais je n’ouvrais toujours par la fenêtre. Quelques oiseaux piaillaient dans les arbres. Une voiture traversa la rue à toute vitesse. Elle freina soudainement. J’entendis quelques cris, puis le moteur de la voiture retentit et s’éloigna.
Je l’observais avec le regard d’un ami, d’un père et d’un amant à la fois. J’avais essayé de trouver une solution. J’avais essayé tous les remèdes, mais rien n’y fait. Je devais la laisser. Partir et ne plus revenir ! Cette sieste était l’occasion de le faire. J’approchai lentement avec attention. Je murmurais juste que je l’aime et que je l’aimerai toujours. Elle n’ouvrit pas les yeux. Sa respiration devint plus sifflante telle une malade à l’agonie. Elle ouvrit ses lèvres blanches, prononça encore mon prénom mais resta endormie.
Elle portait son haut rose  à bretelles. Je l’aimais bien, j’aimais la voir dedans. Mais à ce moment, mon regard focalisait surtout le pansement sur son épaule. Il était rouge, il suintait et avait besoin d’être changé. Cependant, je n’y touchais pas, par peur de la réveiller. Un autre pansement dépassait de son maillot. Cependant, il restait discret.
Je restais encore cinq minutes à admirer mon amie. Et tout-à-coup, elle expira un souffle long. Son corps ne semblait plus bouger. La sueur ne coulait plus sur son visage blanc. La peau de ses mains et de ses bras séchèrent à  vue d’œil. Il était temps que je parte. Dès lors, je sortis sans faire de bruit. Je descendis et quittai la maison en abandonnant ma belle-au-bois-dormant.
Dehors, la chaleur du soleil frappait le bitume et les maisons. C’était presque la canicule. Toutefois, je remarquai quelques personnes dans la rue. Un homme demeurait debout immobile devant la clôture d’un jardin. Il me tournait le dos et ne remarqua pas ma présence. Plus loin, Trois personnages, accroupis encerclaient un corps. Ils mangeaient à même les dents, la chair crue du cadavre putréfié.
J’avais tué cet homme. Il y a trois jours, il avait attaqué ma compagne. Elle était sortie en oubliant la première des consignes en regardant un chat grimper dans un arbre: « Ne jamais se faire distraire ». Elle n’a pas entendu le zombi approcher. Toutefois, elle réussit à se dégager et pendant qu’elle s’échappait, j’ai buté le mort-vivant à coup de fusil. Il avait réussi à la mordre à l’épaule et la hanche. Des blessures suffisantes pour la transformer.
Nous avons tout tenté, nous savions que ce jour arriverait. Elle a pris une dose incroyable de médicaments, elle a aussi avalé des mixtures dont les recettes sont disponibles sur internet. Mais rien n’y fait ! Il est écrit quelque-part, qu’elle deviendra l’un des leurs.
J’ai jeté un dernier coup d’œil à la fenêtre de notre chambre. Elle ne dormait plus. Elle était debout derrière le carreau. Son visage était méconnaissable, blanc presque vert. Ses yeux livides et sa bouche entre-ouverte desséché, confirmaient qu’il n’y avait plus rien à faire. Malgré ses yeux ouverts, elle ne regardait rien. Je suis monté dans ma voiture sans claquer la portière et j’ai démarré rapidement. Les zombis se sont mis à courir après moi, en vain.
Je suis parti rejoindre les enfants chez mon frère. Sa région n’est pas encore touchée par la contamination. Durant le trajet, j’ai pleuré. Je n’ai pas eu le courage de la tuer, j’ai préféré lui laisser une dernière sieste. Un autre s’en chargera.
Alex@r60 – août 2023
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Le rappel de Mai 68 fait remonter à ma mémoire d'autres mois de mai.
Mai 40. Mon père s'évanouit en apprenant les nouvelles terribles de l'avancée allemande. Les premiers réfugiés arrivent. La valse des voitures officielles commence. Le gouvernement se replie sur Bordeaux. C'est l'affolement. Le monde de nos parents s'effondre. Tout ce qui paraissait établi, solide, solennel, respectueux, implose en quelques semaines. Nous avons dix-huit ans et nous apprenons que le pouvoir est mortel et que les puissants sont fragiles !
Mai 45. Dans une baraque d'un camp de concentration, j'agonise parmi les cadavres. Une villageoise allemande entre, puis recule devant le spectacle du charnier. Des insultes l'accueillent. Elle me regarde avec pitié et peut-être une forme d'amour. Je sombre dans le coma. Trois semaines plus tard, je suis autorisé à sortir de l'hôpital pour la première fois. La ville de Magdebourg est défoncée par les bombardements. Cauchemar, étonnement… Sur notre convoi de mille déportés, nous sommes une poignée de rescapés. Où sont les mois de mai de notre enfance, insouciants et gorgés de sève ? Nous avons vingt ans et nous portons déjà trop de morts.
Mai 54. Avec mes camarades, nous suivons avec douleur et colère la chute de Diên Biên Phu. Derrière chaque article, nous voyons un visage, un ami, des souvenirs de parachutage ou d'embuscades à la frontière de la Chine. Je reviens au Tonkin. L'avion atterrit à Hanoï, le temps d'une escale. Je dois prendre le commandement de ce qui reste du 1er BEP. Je marche une soirée et une nuit dans cette ville tant aimée, suspendue entre deux mondes, plus belle encore que dans mon souvenir. C'est la nuit du Vietnam, envoûtante, bruissante, faite de frôlements et de chants murmurés. Une part de nous-mêmes restera là, toujours, je le sais.
Mai 58. Dans le palais du gouverneur à Alger mis à sac par les insurgés, je vois mon patron, le général Massu tenter de contenir la foule. La passion est palpable. La IVe République est à bout de souffle. L'armée est prise dans un terrible engrenage. Je suis inquiet. Le 16 mai, encouragée par les militaires, une manifestation de musulmans s'avance vers le Forum. Des pieds-noirs les attendent. Lorsque les deux cortèges se rencontrent, des clameurs s'élèvent, des accolades sont rendues. Les martinets volent haut dans le ciel pur d'Alger. Je pleure de bonheur. La Résistance, la déportation, trois séjours en Indochine, l'Algérie, Suez… Les épreuves de notre génération semblent soudain justifiées.
Mai 61. Dans une cellule de la prison de la Santé, je prépare mon procès. Lors du putsch d'Alger, j'ai suivi le général Challe et je suis devenu un officier rebelle. Dans les jours suivants, je peux être fusillé ou lourdement condamné. Je ne cesse de faire et refaire l'engrenage des événements, des rencontres et des engagements imbriqués qui m'ont conduit entre ces murs. Alors j'écris, je lis, je fixe des heures durant le mur lépreux, je pense à ces hommes que j'ai entraînés dans la révolte. C'est un mois de mai lourd et sombre. La beauté et le ciel appartiennent à d'autres.
Mai 68. Responsable du personnel de plusieurs usines dans la région lyonnaise, je porte un costume civil après cinq ans et demi de détention criminelle. L'usine est en grève. Comme à Alger dix ans plus tôt, l'esprit de révolution souffle sur les hommes. J'en connais les dangers et les illusions. Mais je comprends en partie cette jeunesse qui porte l'espérance d'un monde meilleur.
Les mois de mai se confondent désormais dans ma mémoire. Comme tous ceux qui ont eu vingt ans, il y a si longtemps, je vois chaque année à cette époque renaître les souvenirs entremêlés. Des ombres nous accompagnent : espérances fracassées, camarades oubliés, engagements incompris, souffrance du corps usé. Mais le chant du monde est là, étranger à la lâcheté et à la cruauté des hommes. La beauté est fragile et mystérieuse. Des enfants passent dans la rue, courent dans le jardin. Tout leur est offert. Qu'en restera-t-il ? Tout nous a été donné. Qu'en reste-t-il ? Peut-être simplement le besoin de la contemplation. C'est l'éblouissement et l'espérance des derniers mois de mai.
Hélie de Saint-Marc . Le Figaro (Mai 2008).
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