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#mais rien a voir avec la france
kaplerrr · 1 year
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En vrai, la France a la meilleure communauté Twitch. Tout le monde se connait, tout le monde est plus respectueux, tout le monde est copain et quand t'as des "nouveaux" qui arrivent, ils sont v'là bienveillants, les commu elles sont pépites.
On a le Zevent et ses dérivés.
On gagne grâce au pouvoir de l'amitié contre les autres pays quand y'a des tournois ou des évènements (ça va l'Espagne ?)
C'est vraiment la détente de les regarder, le bonheur il est stratosphérique.
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thebusylilbee · 1 month
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
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Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
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La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
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naturallyadventured · 2 months
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delphinemarieyoga
I LOVE MYSELF 12/21 Aujourd'hui, j'avais envie de vous parler du rapport à la nudité ✨. Pfiou gros chapitre pour moi. La nudité c'était impossible pour moi pendant très très longtemps. A cause de mon éducation, je n'ai jamais vu de corps nu d'adulte étant enfant, mais aussi à cause de mon rapport avec mon corps, qui était loin des normes attendues par la société. Je fuyais les miroirs, je me cachais sans cesse, je me regardais (trop) peu même sous la douche. Et cela a participé au désamour de mon corps pendant de longues années. Je voyais bien que ma conception de la nudité n'était pas "saine". Mes copines avaient un rapport si différent et plus libéré avec cela. Et puis j'ai rencontré mon chéri qui m'a beaucoup bousculée sur le sujet, en m'entourant de bienveillance et d'amour. En me répétant que mon corps était beau et qu'il n'y avait pas de honte à le montrer. C'est resté très compliqué, même si cela a évolué doucement. Je crois que le déclic a été ma grossesse et la naissance de mon fils. Je n'avais plus envie de me cacher. J'avais envie que lui puisse me voir complètement, sans filtre, comme la vie l'est. Qu'il n'intègre pas ces traumatismes qui me sont propres. J'avais aussi envie de lui montrer que c'est normal, que tous les corps sont beaux et différents, qu'il n'y a rien de bizarre ou de sale, car oui c'est ce que j'ai longtemps ressenti. Alors aujourd'hui je ne me cache plus pour m'habiller, je m'autorise à me balader nue chez moi quand j'en ai envie, à sortir de la salle de bain sans serviette, à plonger nue dans l'océan (ou à retirer le maillot au large si je suis en France 🤣), à dévoiler ma poitrine. Ca fait un bien fou! Et cela fait clairement partie de mon chemin d'acceptation! Et vous, dites moi, il est comment votre rapport à la nudité?
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randomnameless · 3 months
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Je viens de voir passer un fanart de Byleth et Dedel à 1min27 dans cette vidéo de France Culture (https://www.facebook.com/watch?v=1377800556269036) sur un sujet qui n'a rien à voir en plus. C'est beau.
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C'est magnifique, parfait avec le petit logo "France Culture" pour sponsoriser tout ça.
Je suis fière de participer au service public audiovisuel en payant mes impôts!
Pourquoi sur un sujet qui n'a rien à voir, elle était en train de parler de otome games qui tirent la sonnette d'alarme sur, en gros, les relations toxiques qui peuvent se cacher derrière le traditionnel "je trouve mon âme soeur, on se fait des bisous et tout est bien qui fini bien"! - et justement, Dedel et Billy c'est un peu le même bouzin : Billy suit Dedel parce que l'amour rend aveugle (ou complètement débile?) et ça se donne la main et ça fait un soutien de rang S avec une illustration franchement pas tip top...
Mais le couple toxique se révèle !
Dedel refuse d'accepter l'héritage métisse de Billy, (si bien que le jeu doit se plier en quatre pour faire en sorte que Billy perde son héritage maternel de Nabatéen) et l'a poussée à démolir ce qui lui reste de famille, pour que Billy redevienne la personne détachée qu'elle était auparavant, même si elle détestait son surnom et sa réputation de "démon cendré".
Billy qui a suivi son coeur et ses sentiments se retrouve dans une situation complètement pourrie qu'elle avait adoré quitter, et est condamné à n'être qu'un faire-valoir (les ailes de l'hégémonisme Adrestien uwu) pour servir les desseins de Dedel.
...
Si ça se trouve, c'est exactement ça que voulait dire la personne interviewée par France Culture, qui avait joué à Fleur Vermeille!
ou pas lol
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lounesdarbois · 6 months
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"Ordure multipliée par merde" Céline.
L'affaire Crépol accumule tous les éléments de scénario rêvés par le pouvoir profond en France .
Des Français "font la fête" dans une salle polyvalente réservée pour l'occasion. En 2023 en pleine invasion on ne fait pas la fête. On ne vit pas sous occupation comme on vivait libre il y a 35 ans. "Faire la fête" c'est prendre le risque de voir rappliquer des intrus qui n'ont rien à perdre et tout à gagner. Les pires horreurs adviennent toujours parce que des cons font la fête, qu'ils ont avec eux des meufs et contre eux des prédateurs. Lire une page de faits divers de n'importe quel journal depuis les années 80.
Des intrus sont arrivés. Qui les a appelé ? Des meufs de la fête ? Si oui elles doivent en porter la responsabilité devant les parents des victimes et payer pour les conséquences ultérieures, elles en tout premier lieu, et les meurtriers en second. Celles qui ont de près ou de loin participé à légitimer les barbares se sont mises elles-même hors de la Civilisation et ne peuvent plus recevoir ni bienveillance ni protection.
Rieu et Bassem prennent des positions. Chacun a ses raisons mais chacun se garde bien de parler des intermédiaires qui se trouvent derrière. Rieu a Gilles-William et Bassem a David. Le jour où chacun congédiera son encombrant agent la vrai paix sur le terrain se fera entre les vrais gens de terrain. N'avez-vous pas étudié le processus libanais ? Ce sont les triangulations absurdes et les alliances contre-Nature qui ont détruit le Liban maronite et ismaëlite (pays jadis florissant), au bénéfice d'une troisième équipe. À E&R (dont la vocation profonde est d'empêcher la guerre civile) AS nous à toujours dit "surtout, n'appelez pas aux vengeances, et pour parler évitez les intermédiaires !"
Des natios organisent une contre-manif avec les pires slogans possibles. Qui a scandé ces mots le premier? Qui les ont fait reprendre ces slogans ? Pourquoi le seul terme qu'il fallait mentionner, et qui est "racaille", est-il absent des slogans?
La police manœuvre de manière curieuse sur le terrain. Rappel en actes pour ceux qui croient encore que la police protège les Blancs. Il est impossible que les services n'aient pu anticiper la venue de 80 jeunes natios sur les lieux. Voilà les méthodes du pouvoir et de ses préfets, commissaires-divisionnaires tous franc-maçons.
Les images tournent en boucle partout, avec leur effet désastreux, elles renforcent les médias, la troisième équipe, tous les prédateurs, tous les salopards. Tous les attentistes, tous les profiteurs se frottent leurs sales mains. On ne lutte pas contre la racaille en attaquant un château-fort à 1 contre 10 mais se retirant du terrain afin que le poids des racailles repose entièrement sur les bobos/FM/médias/canaille comme lors des émeutes de juin 23. La Libération du pays commence lorsque la canaille d'occupation supporte seule le poids de la racaille d'occupation sans aucune intervention des Français. Relisez Bagatelles pour un massacre.
Crépol est la contraction des termes crépu et créole, c'est là un signe qui nous rappelle la véritable menace qui pèse sur la civilisation: non pas l'ismaëlisme mais l'invasion crépue et la créolisation (métissage, abrutissement) au profit du sémitisme (ingénierie sociale de prédation sur les Blancs). Dans cette vraie lutte les femmes sont le vrai enjeu. Les hommes de bonne volonté qui connaissent l'Histoire savent ce qu'il convient de faire avec les femmes qui franchissent la ligne en période d'invasion aggravée. "Ils nous persécutent, ils nous tuent, tu leur ouvres ton cul? D'accord alors voilà ce qui va se passer..."
Il reste à attendre la prochaine "fête" d'imbéciles, les prochaines putes pour les livrer à la racaille, les prochaines racailles pour rafler les putes et poignarder les imbéciles, les prochains David et Gilles-William pour en tirer la sève dans les médias, tout le bordel de merde habituel puisque tout le monde aime cela et ne comprend jamais la leçon. En vrai tout le monde s'en fout et personne n'aime son frère. "May God help us all".
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France, 2024:
- T'as pris combien toi ?
- 1 an et toi ?
- 5 ans.
- 5 ans ? Putain mais t'as fait quoi ?
- Un soir, alors que tout le monde dormait dans la maison, j'ai entendu un bruit dans le salon, je pensais que c'était ce putain de chat qui avait fait tomber un truc. J'y suis allé pour aller voir et là, à peine en sortant de la chambre, y'a un mec qui m'a foutu un couteau sous la gorge. Il m'a amené dans le salon où y'avait un autre gars. Ils m'ont mis à genoux et ils sont allés chercher ma femme et mes enfants. Ça avait l'air de les faire rire. Quand mes enfants sont arrivés, j'ai vu qu'ils étaient terrorisés...
- Ils ont quel âge tes gosses ?
- 4 et 10 ans. Donc là, ces deux connards ont commencé à leur faire peur, comme si c'était un jeu. Tu vois, au début, j'étais tétanisé, mais quand j'ai vu la terreur dans les yeux de ma petite dernière, j'ai pété un plomb.
- Qu'est-ce que t'as fait ?
- Y'avait une paire de rollers Peppa Pig qui traînait à côté du canapé, j'ai profité d'une seconde d'inattention et j'ai réussi à assommer un des deux gars et l'autre s'est jeté sur moi, j'ai pris un coup de couteau dans le bide mais j'ai réussi à le faire tomber, là j'étais dans une rage de malade et je lui ai défoncé le crâne avec les rollers. Le mec est mort avant l'arrivée des secours. Le pire c'est que c'était même pas moi qu'ils visaient, c'était la maison de mon voisin, c'est le maire de ma ville.
- C'est chaud comme histoire. Mais je pige pas, t'étais chez toi, tu t'es défendu, je vois pas ce que t'as fait de mal.
- La juge n'en avait rien à foutre, soit disant que ces deux enfoirés avaient eu une enfance difficile. Bon et sinon, toi, pourquoi t'es là ?
- J'ai imité l'accent africain pendant un repas de famille.
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France, 2024:
- How much did you take?
- 1 year and you?
- 5 years.
- 5 years ? What the fuck did you do?
- One evening, while everyone was sleeping in the house, I heard a noise in the living room, I thought it was this fucking cat that had dropped something. I went there to have a look and there, as soon as I left the room, there was a guy who put a knife to my throat. He took me into the living room where there was another guy. They put me on my knees and went to get my wife and children. It seemed to make them laugh. When my children arrived, I saw that they were terrified...
-How old are your kids?
- 4 and 10 years old. So there, these two assholes started to scare them, as if it was a game. You see, at first, I was paralyzed, but when I saw the terror in my youngest's eyes, I lost my temper.
- What did you do ?
- There was a pair of Peppa Pig rollerblades lying next to the sofa, I took advantage of a second of inattention and managed to knock out one of the two guys and the other threw himself at me, I took a stab in the stomach but I managed to make him fall, then I was in a mad rage and I smashed his skull with the roller skates. The guy died before help arrived. The worst thing is that it wasn't even me they were targeting, it was my neighbor's house, it was the mayor of my town.
- It's a hot story. But I don't understand, you were at home, you defended yourself, I don't see what you did wrong.
- The judge didn't give a damn, saying that these two bastards had a difficult childhood. Well, if not, why are you here?
- I imitated the African accent during a family meal.
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kilfeur · 7 months
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J'avoue que je m'attendais pas à ce genre de poster enfin bref. Je trouve ça assez ironique que Claudia soit à côté de Leola (j'ai lu le wiki par curiosité donc je sais plus ou moins ce qu'elle a fait mais je dirais rien pour l'instant. Et aussi à gauche, on peut voir une licorne et apparemment dans Puzzle House, elle a a pu trouver une corne de licorne là bas (j'ai pas lu le roman graphique car il est pas vendu en france donc corrigez moi si je me trompe). Par contre les autres constellations, j'arrive pas trop à bien voir. Sinon on voit aussi le reflet d'Aaravos qui pourrait signifier qu'il aura pas fini avec elle. Ou bien plus dans le sens symbolique, celui qui a "indirectement" tué son père ! Quand au regard de Claudia, elle a l'air triste mais aussi résignée. Viren était sûrement la chose qui lui gardait espoir et maintenant qu'il est plus là, je pense qu'elle pourrait se résigner à son sort à moins qu'Aaravos la manipule pour rediriger son ressenti envers Callum et les autres.
I admit I wasn't expecting this kind of poster, but anyway. I find it quite ironic that Claudia is next to Leola (I read the wiki out of curiosity so I know more or less what she did but I won't say anything for now. And also on the left, you can see a unicorn and apparently in Puzzle House, she was able to find a unicorn horn there (I haven't read the graphic novel because it's not sold in France so correct me if I'm wrong). On the other hand, I can't quite make out the other constellations. You can also see Aaravos' reflection, which could mean that he's not finished with her yet. Or in a more symbolic sense, the one who "indirectly" killed her father! As for Claudia's gaze, she looks sad but also resigned. Viren was surely the thing that kept her hope alive, and now that he's gone, I think she might be resigned to her fate, unless Aaravos manipulates her to redirect her resentment towards Callum and the others.
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quemajoiedemeure · 7 months
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Y a tellement de maisons vides et délabrées, ma mère dit que c'était pareil à Paris dans les années 80. J'ai bu de l'alcool à tous les repas (vihno verde), y a jamais de légumes nulle part dans les restaus mais ils vendent des mangues au kilo et pas à la pièce, j'ai volé : des tablettes de chocolat, une statuette religieuse, un bracelet de pierres volcaniques qui s'est cassé sur le trottoir dès que j'ai voulu le mettre. J'ai acheté des mini kiwis qui ont un goût de kiwi mais pas pareil. A Braga il y a un magasin Rolex et toute la journée il y a un flic posté devant. Quand on est allés dans le village de mon père j'ai mis sa playlist dans la voiture, quand on s'est mis à erer dans les rues des gens sont sortis parce qu'ils devaient être inquiets de voir des inconnus dans leur bled où il se passe jamais rien et en fait c'était des gens de ma famille qu'on connaissait pas. On a traîné dans le petit cimetière et y avait encore plein de gens avec notre nom de famille, mais morts. Et plein de cercueils posés à l'air libre dans des tombeaux de famille avec des portes vitrées. On a marché jusqu'à aller dans une forêt d'eucalyptus qui appartenait à ma grand mère avant qu'ils vendent tout pour s'acheter un appartement de merde en France, on a marché un peu et puis il y avait un arbre tout tordu qui était pas comme les autres alors on s'est arrêtés, ma sœur s'est mise à pleurer, j'ai demandé à ma mère si elle voulait que je le fasse et elle a dit si tu veux mais je voyais bien qu'elle était un peu soulagée si c'était moi, alors j'ai pris l'urne je l'ai ouverte et j'ai mis les cendres tout autour de l'arbre, en fait y avait beaucoup beaucoup de cendres alors j'ai tourné plusieurs fois autour de l'arbre et puis mes mains tremblaient fort comme si j'arrivais plus à rien porter, j'avais un peu l'impression que j'allais tomber et puis finalement c'était terminé - je me suis dit : tout ce qui reste de sa présence sur Terre c'est là et maintenant et quand on va partir on sera loin de tout ce qui reste de lui sur Terre,
et on est partis
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claudehenrion · 8 months
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'' … le plus chaud, depuis...''
Cette phrase, vous l'avez lue et relue, entendue et ré-entendue des dizaines, des centaines de fois depuis... le début de l'été, où nos politiciens et nos journalistes ont été surpris : ''il faisait chaud !''. Cependant, elle a besoin de compléments de temps pour avoir un sens, qui varie du tout au tout avec ou selon les mots choisis. Le premier mot manquant doit désigner un moment récent ('hier'', ''la semaine dernière'' ou ''le mois dernier'' font fort bien l'affaire). La fin de le phrase, en revanche, est plus difficile à inventer, car c'est d'elle que dépendra sa capacité à causer des ravages..
Ce second ''complément circonstanciel de temps'' mérite que l'on passe un instant avec lui, car il doit impérativement sonner le tocsin chez tout lecteur réputé ''normalement constitué'' (NB : en novlangue macrono-progressiste, cela veut dire : gober tout les bobards présentés comme des vérités par les médias et la doxa gauchiste officielle –c'est la même chose !). Ce second ''volet'' du truisme doit donc conjuguer ''être proche pour avoir l'air vérifiable'' –ce que personne ne fait jamais, exemple : le covid !-- et ''être impressionnant tout en faisant plus vrai que vrai'' . On a donc le choix entre ''l'an dernier'', ''les 10 ou les 100 dernières années'', voire, comme en ce moment ''depuis qu'existent des relevés'', ce qui devrait vraiment faire taire toute opposition... à ceci près que ces relevés météo remontent au mieux –ou au pire-- aux années 1855, et que 170 petites années –qui sont longues pour l'expérience humaine-- sont ''même pas rien'' à l'échelle cosmique où se mesurent et se commentent les phénomènes climatiques.
Résumons-nous : la phrase la plus rabâchée ces temps derniers n'a pas la moindre signification à l'échelle du phénomène météorologique –et a fortiori climatique--dont elle voudrait rendre compte de manière à forcer des décisions radicales et définitives... mais absurdes puisque sans aucun lien avec le sujet dont ils croient parler : à partir du constat d'un réchauffement climatique qui semble incontestable en l'état actuel de nos connaissances, ils ont réussi à faire croire à une majorité de leurs semblables que c'est eux, hommes blancs, qui étaient les seuls responsables du désastre dont ils annoncent la survenue imminente depuis des décennies prédiction jamais réalisée mais dont ils maintiennent néanmoins l'occurrence prochaine ('Le Printemps silencieux'' de Rachel Carson, bible de la soi-disant religion prétendue écologique, date de 1962).
Or, s'il est une chose que l'été 2023 nous aura démontré comme à plaisir, c'est la fausseté –déjà bien connue par beaucoup-- de toutes les théories émises par le Giec et reprises en chœur pas ses thuriféraires : l'été et même l'automne, furent parfois caniculaires en Europe, mais cette chaude réalité ressentie ne permet en aucun cas de généraliser des impressions soit disant ''expliquées'' (sic !) par des faux statisticiens en mal de fin du monde, qui se servent des chiffres pour démontrer des mensonges, en ayant recours à des traitements dilatoires des ''outils'' statistiques dont nous disposons... et qui mériteraient un autre usage !
Car il est une chose dont personne ne peut douter : la succession de vagues caniculaires qui a frappé la France (et quelques autres pays d'Europe) depuis fin juin sont dues, exclusivement, à des remontées aléatoires (puisque dues à ''El Niño'') de gigantesques ''bulles'' de chaleur venues du Sahara, ce qui appelle deux commentaires : (1)- le Sahara n'est pas connu comme un pourvoyeur majeur de CO² d'origine humaine : zéro embouteillage, zéro diesel, zéro ''SUV'', zéro de ces monstrueux transatlantiques qui polluent plus qu'un million de voitures thermiques chacun… et par voie de conséquence, (2)- aucune possibilité d'établir (de bonne foi, s'entend) le moindre lien entre leur présence et nos émissions de ''gaz à effet de serre'', à l'opposé de tous les commentaires de nos cuistres radio-télé qui se concluent, de manière pavlovienne, par une accusation du CO², devenu le fantasme n°1 qui agit comme une drogue ! C'est pitoyable !
De manière plus générale, l'étude des couches géologiques révèle que le climat a varié tout au long de l'existence de la Terre, alternant les phases froides et chaudes de manière naturelle. Le dernier Petit Age Glaciaire s'est terminé vers 1850, et la période de réchauffement actuelle n'a donc rien de surprenant. En fait, ce réchauffement est bien plus lent que prévu... mais le fossé entre le monde réel et le monde tel que nos savants sans savoir l'ont modélisé montre que nous sommes loin de comprendre le changement climatique : l'édifice de ''la politique climatique'' est bâti sur des modèles inadéquats qui présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas fiables en tant qu'outils politiques : non seulement ils exagèrent l'effet des gaz à effet de serre, mais ils ignorent complètement les bienfaits de l'enrichissement de l'atmosphère en CO²...
Contrairement à tout ce qui nous est raconté à longueur de ''JT'', le réchauffement climatique n'a pas augmenté de manière scientifiquement démontrable le nombre ou l'intensité des catastrophes naturelles : aucune statistique ne prouve qu'il intensifie peu ou prou les ouragans, les inondations, les sécheresses et tous les autres types de catastrophes naturelles, ou qu'ils les rend plus fréquents. En revanche, les preuves existent que les mesures pour tenter (en vain, c'est une autre certitude : ce n'est pas possible !) de réduire le CO² sont aussi dommageables et liberticides que coûteuses.
'' Il n'y a pas d'urgence climatique, et donc aucune raison de paniquer ou de s'alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique nocive et irréaliste de zéro CO² net proposée pour 2050. L'adaptation vaut mieux que pour la réduction, car avec elle, on peut espérer atteindre un résultat réel'', affirme le professeur Steven Koonin, pourtant ancien sous-secrétaire aux sciences du ministère de l'Énergie d'Obama (pas un modèle, à mes yeux, par ailleurs !), professeur à l'Université de New York, membre de la Hoover Institution, et auteur du best-seller ''Unsettled: What Climate Science Tells Us, What It Doesn't, and Why It Matters'' (= L'indémontré : ce que dit la science du climat, ce qu'elle ne dit pas et pourquoi c'est important-- 2021)., qui considère immoral de demander aux pays en développement de réduire leurs émissions alors qu'une grande partie de leur population n'a pas accès à l'électricité, et qui ose affirmer qu'il est du dernier pervers d'effrayer les jeunes générations (Rappel : en janvier 2022, 84 % des adolescents américains croient que ''si rien n'est fait, il sera trop tard pour les générations futures, car une partie de la planète sera devenue invivable'', ce qu'aucune preuve scientifique n'a, évidemment, jamais démontré..
Tout se passe comme si personne ne voulait admettre qu'une grande partie du changement climatique est causée par des éruptions solaires contre lesquelles nous ne pouvons rien … sans parler des grands incendies de forêt dont le risque est exacerbé parce que les faux écologistes refusent de débroussailler les sous-bois de crainte que telle ou telle créatures qui pourrait s'y trouver ne soit dérangée (par autre chose qu'un incendie de forêt qui va les tuer).
De plus en plus nombreux sont les citoyens qui trouvent que les milliards d'Euros annuellement consacrés à une lutte sans espoir contre un changement climatique dont les forces obscures nous échappent pourraient être mieux utilisés... Combien de temps faudra-t-il pour que ceux qui les dirigent (vers des catastrophes en série, annoncées depuis longtemps mais toujours niées par les aveugles-par-système) sortent de leur torpeur addictive, et voient la réalité comme elle se présente ?
H-Cl.
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selidren · 2 months
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Printemps 1918 - Champs-les-Sims
4/10
C'est étonnant à quel point quatre jumeaux peuvent être différents. Il n'est pas aisé de tous les accorder les uns aux autres. Des tensions naissent et s'évanouissent à un tel rythme qu'il est parfois compliqué de suivre. Mais c'est parfois rassurant : Antoine a parfois l'air si adulte que le voir faire des bouderies à ces soeurs a quelque chose de très satisfaisant. J'ai longtemps été inquiète d'imaginer qu'il serait un peu trop à l'image de son père, trop détaché des autres. Ce n'est heureusement pas le cas, et il a tendance, comme toutes les enfants, à faire des chamailleries sur des détails qui apparaissent futiles aux adultes. Exception faire de sa soeur Noé, je n'ai jamais vu ces deux là se disputer, ne serait-ce qu'une fois.
Transcription :
Arsinoé « Pourquoi tu veux que ce soit moi le maître d’oeuvre ? Tu vois bien qu’il est tout de travers. »
Marc-Antoine « Mais non, tu vois bien ! Et bien parce que tu es meilleure que moi pour donner les ordres. »
Arsinoé « Si tu voulais quelqu’un pour donner les ordres, il fallait demander à Cléo, elle adore faire ça en ce moment. Je pense qu’on aurait pu avoir le bonhomme de neige le mieux habillé de France. »
Marc-Antoine « Cléo est un tyran. Elle aurait donné ses ordres sans faire attention à ce qu’on faisait, et dès que le bonhomme de neige aurait commencé à s’effondrer, elle aurait prétendu que de toute façon c’est un jeu pour les bébés. »
Arsinoé « Tu n’as pas tort. »
Arsinoé « Mais pourquoi moi je ne serai pas un tyran ? Je te dis bien quoi faire non ? »
Marc-Antoine « Oui, mais tu sais ce que tu fais et tu travaille avec moi à la construction. Cléo aurait refusé de se mouiller les mains dans la neige. »
Arsinoé « Elle déteste avoir froid. »
Marc-Antoine « Elle déteste beaucoup de choses. »
Arsinoé « Toi aussi, mais tu le cache toujours. Sauf quand tu m’en parle. Tu sais, tu ne devrai pas détester Cléo. »
Marc-Antoine « Et pourquoi pas ? Elle est hautaine, pleurniche pour un rien et essaie de tout diriger avec qu’elle ne connaît rien à rien. Toi, au moins, tu ne passes pas ton temps à te plaindre. »
Arsinoé « Elle n’a pas un mauvais fond. En fait, je pense qu’elle est jalouse de toi. »
Marc-Antoine « Mmh... »
Arsinoé « Tu as l’air plus âgé, tu dis toujours des choses censées et tu te comporte souvent comme un adulte. Je pense qu’elle aimerai juste être comme toi. »
Marc-Antoine « Tu es trop gentille Noé. Tu devrai plus dire ce que tu penses, même si ce n’est qu’à moi. »
Arsinoé « Mais je dis ce que je pense. Bon d’accord, j’enlève les pensées les plus méchantes de temps en temps. »
Marc-Antoine « Tout le temps tu veux dire ! »
Arsinoé « C’est juste que je n’ai pas autant de caractère que toi et Cléo, c’est tout. Vous êtes deux opposés, c’est pour cela que vous ne vous entendez pas, mais je pense qu’elle ne te déteste pas, elle est juste trop fière pour te montrer qu’elle t’aime. C’est votre seul point commun je dirai. »
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a-room-of-my-own · 2 months
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Et un autre gamin mort. Cette fois-ci crime d’honneur, « il avait parlé à leur sœur », et tout le monde qui garde les yeux bien fermés et qui s’échine à parler de manque de moyens.
J’en peux plus.
Rien à voir avec le manque de moyens.
A la limite mettons l’islamisme de côté, il reste quand même l’idéologie de l’EN et au-delà de toutes les structures d’éducation et d’animation. Combien d’amis j’ai qui se sont fait martyriser au collège et au lycée dans l’indifférence totale de l’administration de leur établissement ? Une bonne poignée qui comprend mon frère.
Et c’était avant TPMP (dont le spectateur moyen a 50 piges pour info), avant internet, avant les téléphones et les réseaux sociaux. Si je faisais la somme de tout ce que j’ai vu et entendu j’en aurais pour un certain temps et je ne suis même pas maman. Ce qui m’a le plus frappée en termes idéologiques c’est la mentalité de l’encadrement du centre aéré dans lequel j’avais travaillé qui était dans la victimisation permanente des enfants. Et c’était en 2006.
Victimisation permanente quand il s’agissait de ne leur demander aucun effort (on leur organise un spectacle ? C’est pas grave s’ils n’apprennent pas leur texte. On fait une activité ? C’est pas grave s’il ne s’appliquent pas. Ils ne sont pas polis ? C’est pas grave et les bonnes manières c’est réac) mais grosse trouille quand il s’agissait de punir des comportements harcelants (comme une exclusion par exemple) ou de signaler des maltraitances sur l’enfant lui-même.
Pourquoi ? Parce qu’être hypocrite et refuser d’éduquer ne coûte rien. En revanche, faire face à un parent et lui expliquer que son enfant ne sera plus reçu parce qu’il tabasse les autres, trop compliqué. Signaler des faits de maltraitance ? Trouille de ne pas avoir assez de preuves.
Parlons-en des parents d’ailleurs. Souvent ils ont eu leurs enfants jeunes et ont été « élevés » par les mêmes structures qui les ont victimisés et déresponsabilisés toute leur vie. Ça donne quoi? Tout leur est dû. Rien n’est de leur faute. Même quand les enfants sont visiblement négligés, mal soignés, mal aimés, pas élevés ou élevés dans la violence, c’est toujours la faute de l’extérieur, de la maîtresse, de l’animateur.
Ces enfants qui avaient 6-11 ans en 2006 sont adultes maintenant et je me demande souvent ce qu’ils sont devenus.
Quand j’étais pionne en lycée/prépa, un jeune boursier de banlieue avait été admis. À son attitude avec les profs et les élèves, on voyait tout de suite qu’il avait été élevé dans ce bain là. Mais le bahut était plutôt vieille France et il a été extrêmement surpris quand personne ne lui passait son absentéisme et son manque de respect. Il a fini exclu parce qu’il séchait tous les vendredis. Sa mère a appelé la vie scolaire pour hurler, comme une mère de centre aéré qui était venue me hurler dessus parce que j’avais mis son fils au coin après qu’il ait tabassé un autre enfant. Hurler pour dire quoi ? « Mon fils il est fatigué avec tous ces cours ».
Bah oui ? De quel droit lui demandait-on de travailler ? Et surtout comment pouvait-on l’exclure ? Oui il y avait eu des avertissements mais il fait ce qu’il veut non ?
Multipliez ça par le nombre de bahuts, de centres aérés, de structures gérées par des éducateurs et vous avez le résultat de 40 ans de victimisation et de maltraitance croisée. On pourrait aussi parler pendant des heures de l’ASE qui est capable de victimiser les parents maltraitants à outrance, tout négligeant complètement les enfants placés (mais dans la même hypocrisie) jusqu’à les jeter au rebut dans des hôtels formule 1.
Bref je pars dans tous les sens mais ça me démonte.
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alexar60 · 10 months
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Monstres
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Il n’était jamais bon de se promener seul dans une forêt. Après quelques kilomètres, Johannes regretta d’avoir refusé une assistance. Il regarda les arbres à l’apparence humaine pendant que son chariot avançait. En bon marchand colporteur, il ne transportait pas de réelle valeur si ce n’est quelques dentelles ou tissus venu de France. Toutefois, il craignit une attaque de bandits, malandrins ou voleurs de grand-chemin qui n’auraient aucune pitié pour sa vie.
Mais son inquiétude allait surtout sur les légendes que la forêt, celle qu’il traversait actuellement, regorgeait. En effet, nombreux furent ceux qui prétendaient avoir rencontré un monstre, une bête au regard noir et à la forme d’un loup. D’autres parlèrent de farfadets, trolls malveillants qui s’amuseraient avec les visiteurs perdus. Et puis, il y avait les histoires concernant des disparus. Chaque village autours du bois comptait au moins une personne qui n’est jamais revenu de la forêt.
Il aurait pu faire le tour. Seulement, afin de gagner deux bonnes journées,  le marchand voulu traverser cet endroit maudit. Son cheval avança avec une certaine nervosité. Un léger brouillard imposait une ambiance glaciale pendant que quelques oiseaux criaient. Un coucou par-ci, quelques corbeaux par-là. Le vent balançait les cimes des arbres provoquant un sifflement inquiétant. Parfois, Johannes tournait la tête au craquement d’une branche ou au bruissement d’un buisson provoqué par un animal sauvage.
Le cheval n’avait qu’à suivre la route tracée. Cependant, après quelques heures, il s’arrêta brusquement. Son hennissement alerta le commerçant. Dès lors, il se leva sans quitter le chariot, il serra un bâton long et attendit. La peur faisait gargouiller son ventre. Ses tympans battaient son cœur dans un désagréable fracas.
Avance, mon ami, avance, je t’en prie, murmura-t-il afin de ne pas réveiller de monstre.
Mais il n’obtint du cheval qu’un énième hennissement. Il demeura debout, les jambes tremblantes. Il réalisa qu’il n’entendait aucun autre son en dehors de sa respiration, et de celle de son cheval. Il tourna la tête, cherchant à voir à travers la brume. En fait, il espérait la venue de quelque-chose qui puisse le rassurer, même un monstre. Car le silence absolu était la pire des angoisses.
Soudain, un hurlement surgit des profondeurs de la forêt. Le cheval se cabra avant de galoper comme un forcené, provoquant en même temps, la chute de Johannes hors du chariot. Lorsqu’il se releva, il ne put que constater son bien déjà trop loin pour le rattraper. Mais sans attendre, il se mit à courir espérant retrouver son cheval le plus tôt possible.
Il courut au milieu des branches. Un bruit fort et rapide sembla approcher comme un monstre en train de pourchasser sa proie. Il continua de courir sans se retourner. Le froid de la brume giflait ses joues contrastant avec son sang qui bouillait en lui. Il courut pour finalement arriver dans une clairière.
Essoufflé, fatigué, il se pencha pour reprendre une respiration normale. En entendant des rires, il leva la tête et découvrit un lac peu profond et pas très grand. Au bord, sept jeunes femmes s’amusaient de sa présence tout en lavant du linge blanc. Elles se ressemblaient comme des sœurs, la peau blanche comme le lait.  Leur longue chevelure rousse flamboyait telle une torche allumée. Johannes se sentit gêné de se retrouver avec d’aussi belles femmes, dont les robes blanches trempées ne cachaient rien de leur corps désirables.
Qui es-tu, jeune imprudent ? demanda celle qui semblait être la plus vieille.
Je me nomme Johannes Tischler. Je suis un marchand perdu en ces lieux. N’auriez-vous pas vu passer mon cheval tirant un chariot, par hasard ?
Non, répondit-elle. Mais il ne doit pas être bien loin. Si tu veux nous t’aiderons à le chercher plus tard. Mais en attendant, tu pourrais nous aider à frapper ce linge.
Le marchand hésita un instant. « Si monstre il y a, il ne peut attaquer quand nous sommes plusieurs » pensa-t-il. Dès lors, il retira ses bottes et entra dans une eau froide. Une des jeunes femmes tendit un battoir qu’il attrapa. Deux autres s’écartèrent pour lui laisser une place. Il prit un drap et commença à le frapper sous les sourires des lavandières.
Parfois, elles discutaient, murmuraient entre elles tout en regardant Johannes. Il avait l’impression qu’elles n’avaient jamais vue d’homme avant lui. Il battait le linge avec difficulté. Et une fois terminé, une laveuse l’aidait à plier correctement les draps pour les faire sécher. Il avait du mal à empêcher ses yeux d’admirer les formes généreuses de ses coéquipières du moment. Le téton de leurs seins ressortant de sous la robe trempé, Les pubis collant au tissu. Il détourna le regard, dès que l’une d’elle se penchait trop, lorsqu’elle était à genoux, galbant ainsi ses fesses rosies par les reflets du soleil. Il ne s’était pas rendu compte que la brume ne recouvrât pas la mare.
Enfin lorsque le linge fut propre, il retourna au bord pour remettre ses chausses et attendit qu’elles sortissent à leur tour. Le soleil commença à décliner. La plus ancienne s’approcha. Il remarqua ses jolis yeux noirs et son nez fin. Il baissa rapidement les yeux, admirant au passage qu’elle avait plus de poitrine que les autres.
Il se fait tard, je te propose l’hospitalité pour te remercier de ton aide, annonça-t-elle.
Soulagé de ne pas à traverser la forêt en pleine nuit, Johannes accepta. Dès lors, il suivit les sept jeunes femmes sur un sentier qui l’éloignait de la route principale. Sur leur passage, les oiseaux ne chantaient pas, le brouillard se dispersait et un silence immense régnait.
Elles marchèrent sans prononcer une seule parole. Par moment, elles regardaient Johannes, lui conseillant de faire attention à une racine au sol ou aux ronces sur le côté. Elles marchèrent tout en portant leurs paniers de linge. Les arbres étaient si proches les uns des autres que Johannes n’imaginait pas une chaumière dans un endroit pareil. Il suivit les femmes et vit enfin une cabane.
Elle parut grande, cependant il fut surpris qu’elles continuassent de marcher, se dirigeant vers une caverne. Le colporteur aurait voulu demander si la maison en bois était leur domicile. Mais invité par deux des rouquines, il se contenta de les accompagner. Il sentit leurs mains presser ses bras et ses hanches. Décidément, il faisait un grand effet auprès d’elles. Il pénétra dans la grotte. Elle était immense, éclairée par une multitude de bougies. Toutefois, une odeur nauséabonde empoisonnait l’atmosphère.
Viens, nous avons retrouvé ton cheval, annonça une des femmes.
Etonné, Johannes s’enfonça dans la grotte. Comment son cheval pouvait être ici ? Et comment pouvait-elle le savoir alors qu’il ne les a jamais quittées ? Il marcha toujours encadré par deux jeunes femmes. Leurs doigts devenaient de plus en plus entreprenants, et déjà, il sentit leurs caresses de plus en plus sensuelles. La forte odeur putride se fit de plus en plus forte.
Tout-à-coup, le marchand fut saisi d’effroi. C’était une vision d’horreur que de voir un monceau de cadavres. Il y avait des animaux en grande quantité, à moitié putréfiés, des parties dévorées et décharnées, des squelettes attendant de blanchir. Il y avait des chiens, des loups, des chats, des renards, des chevreuils et des cerfs, des lapins, et par-dessus, les restes d’un cheval noir copie exacte du sien, s’il était encore entier. L’animal avait la gorge arraché et exhibait ses côtés encore ensanglantées.
Johannes n’eut pas le temps de crier quand il sentit des pointes enfoncer son ventre. Les doigts de ses hôtesses venaient de se transformer en griffes acérées. Leurs visages n’avaient plus rien d’humain. Elles hurlèrent tout en se jetant sur le pauvre homme. Elles le dépecèrent, arrachant sa viande avec une telle monstruosité. Le sang coula le long de leur menton pendant qu’elles mangeaient sa chair. Et dès que les dames de la forêt se sentirent rassasiées, elles jetèrent les restes parmi le tas de cadavres d’animaux, avant de s’endormir repues et comblées.
Ales@r60 – août 2023
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swedesinstockholm · 3 months
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23 février
j'ai entendu une humoriste sur france inter qui disait qu'elle se sentait tellement seule qu'elle allait se faire faire des manucures pour que quelqu'un la touche et les gens dans le studio ont poussé des exclamations de dégoût choqué, les gens ne sont clairement pas prêts pour mon livre. et puis ce matin, toujours sur france inter, j'ai entendu un écrivain que je connaissais pas qui parlait de son travail d'homme à tout faire et de sa situation d'ultra précarité et que parfois c'est dur mais bon c'est lui qui l'a choisi (avant il était photographe et il portait des costumes dior). il est publié chez gallimard mais il est quand même homme de ménage et archi pauvre, il peut pas chauffer plus d'une pièce de son appartement que j'imaginais tout pourri à la bordure d'un paris imaginaire avec de la tôle rouillée et des murs qui suintent. il faut que j'arrête de voir la publication comme une finalité. je veux de l'argent, tant pis pour la liberté, ça veut rien dire la liberté. il me faut un plan de carrière.
25 février
encore en train d'écouter le nouvel album d'mgmt, je crois que je commence à l'adorer. j'étais un peu partagée au début. j'ai regardé des interviews et ça m'a replongée en 2008 dans mes jours de groupie en chef d'andrew vanwyngarden. ils sont inextricablement liés à mon adolescence de bloggueuse insupportable mais touchante (quelqu'un m'avait dit ça un jour dans les commentaires et je trouve que c'est une bonne description). dans une interview on leur demande pourquoi ils sont pas sur les réseaux sociaux et andrew dit qu'à leur époque c'était pas cool de s'auto-promouvoir et que faire un selfie c'était le truc le plus embarrassant du monde et ça m'a fait réaliser que beaucoup de temps avait passé depuis... je sais pas, que je suis née? aussi j'ai toujours honte de faire un selfie en public.
andrew a 41 ans. il est verseau, comme r. et comme a. j'ai réécouté leurs deux premiers albums hier, après m'être promenée sur le campus du lycée pour me rouler dans la nostalgie. la nostalgie de quoi, je sais pas trop parce que j'étais aussi déprimée à 17 ans qu'aujourd'hui, le seul truc bien c'était la musique les concerts et ma double vie de bloggueuse populaire où les gens me disaient que je leur manquais quand je partais en vacances. la première fois que j'ai écouté mgmt c'était un dimanche matin sur youtube, c'était le printemps et j'avais 17 ans et j'étais assise au pc dans la pièce de l'ordi et il faisait probablement soleil. le soleil et le printemps sont des composantes importantes de ma relation à mgmt. leur musique me rend nostalgique de plein de choses que j'ai connues et pas connues. comme wildflower des avalanches. 
les choses pas connues: les époques avant les années 90; les états-unis. les choses connues: un truc doux et joyeux de l'enfance, une piscine chaude où il fait bon vivre; les sapins, la forêt de manière générale; le soleil (PLEDGE ALLEGIANCE TO THE SUN); le jardin de la maison quand j'étais petite, les fleurs de ma grand-mère, les habits que j'aimais quand j'étais petite (le tshirt avec les papillons, du rose barbie et du vert fluo, du jaune bordé de rouge, des pois, des fleurs); du bois (meubles).
6 mars
je me force à écrire. je suis en crise. j'ai envie d'exploser et d'imploser en même temps. j'ai envie de manger du sucre mais j'en ai pas envie, j'ai juste besoin de combler un vide, HA, à chaque fois je crois avoir trouvé un truc profond mais après je me rappelle que ça existe déjà et que c'est archi commun. j'essaie d'écrire un texte sur les mythes pour un appel à textes mais je me sens submergée par l'ampleur du thème et par les choses que j'ai à dire mais en même temps j'ai rien à dire. j'ai trop pris goût à avoir mes textes publiés dans des revues, c'est en train de devenir addictif, comme mon addiction aux annonces de location immobilières bruxelloises sur fb. je suis accro aux photos d'apparts dans lesquels me projeter et je suis accro à voir mon nom imprimé sur du papier.
mon texte sur a. tiré de bluettes que j'ai été assez naïve d'envoyer à deux revues différentes a été sélectionné par les deux revues et j'ai du choisir entre les deux et ça m'a stressée toute la journée lundi. j'en avais mal au ventre, comme à chaque fois que je dois faire un choix, ça a pris des proportions de vie ou de mort, j'avais peur de faire le mauvais choix et de le regretter toute ma vie. j'arrive pas à accepter l'idée selon laquelle y a pas de mauvais choix. dans ma vision des choses, y en a toujours un qui est forcément mieux que l'autre. j'arrive pas à voir les choses à égalité, tout est en compétition. alors j'ai demandé conseil à j. de paris, vu qu'elle a fait des meilleurs choix de vie que moi, je me suis dit que son intuition fonctionnait mieux que la mienne, et je l'ai suivie.
j'ai écrit aux deux revues en rentrant de la chorale et j'avais l'impression d'être dans the voice quand les candidats doivent choisir un coach et qu'ils s'excusent auprès des autres de pas les avoir choisis, sauf que ça aurait été mille fois plus facile de choisir un coach de the voice (mika). j'arrivais pas à croire que j'étais en train d'écrire un mail à une revue pour leur dire qu'elles pouvaient pas publier mon texte, j'avais l'impression de me tirer une balle dans le pied. en plus elles m'ont dit que ça leur faisait rien à elles que mon texte soit publié ailleurs. j'arrive pas à m'en remettre. l'autre revue m'a dit que c'était un beau luxe de pouvoir choisir mais entre la peur de faire le mauvais choix et la déception de pas être publiée dans mouche j'arrivais à peine à savourer le goût du succès.
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itsdanielaasblog · 10 months
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Saalut tout le monde ! Welcome back to itsdanielasblog 😊
Aujourd’hui j’aimerais bien parler d’un sujet sur lequel je me questionne depuis quelques temps : la féminisation des noms de métiers. Pour commencer, il faut bien se demander quel est le pouvoir de la langue dans la perception humaine : un exemple que je trouve très puissant en matière concerne la tribu Himbas. Cette tribu namibienne n’a que cinq mots pour décrire les couleurs : la conséquence est la complète différence de perception des couleurs mêmes. En effet, le manque de distinction entre les mots pour « vert » et « bleu » mène à l’impossibilité de distinguer les deux couleurs. Cette réalité confirme l’ « hypothèse de Sapir Whorf », qui soutien – brièvement – que les représentations mentales dépendent des catégorie linguistique et que, donc, la façon dont on perçoit le monde dépend aussi de la langue qu’on utilise.
Là, après avoir constaté l'importance de la langue, il faut s’interroger sur qu’est-ce que c’est le genre linguistique même. Le genre dans la langue est l’exemple le plus évident de la dichotomie linguistique homme/femme et est souvent lié aux anciens Grecs et surtout à Protagoras ; le « genre » concernait la division des noms grecs dans les trois différentes classifications : masculin/féminin/neutre. Dans les langues indo-européennes, le genre des noms n’a rien à voir avec le signifié, mais avec la forme : un élément important est, par exemple, la terminaison des mots.  Déjà pendant le Moyen Âge on parlait de certaines profession au féminin comme dans les cas d’ « inventeure », « chirurgienne », « commandante » – ou, plus souvent, des substantifs féminisés par l’intermédiaire du suffixe « -esse », comme dans « venderesse ». Ce phénomène s’est amplifié au XIXe siècle, avec l’avènement de l’âge industriel ; il s’est accéléré depuis le début du XXe siècle, où les nécessités sociales liées au premier conflit mondial ont amené les femmes à exercer des activités jusqu’alors réservées aux hommes. La question du genre dans la langue dans l'histoire moderne remonte au XVIIème siècle avec Vaugelas qui, en 1647, a introduit la règle « le masculin l’importe sur le féminin » étant le masculin le genre le plus noble. Est-ce qu’on parlait de noblesse grammaticale ou sociale ? Je crois que c’est déjà une bonne question de départ ! Mais Vaugelas n’était pas le seul (bien suuur) : déjà Bouhours avait soutenu sans réserve Vaugelas, mais c’est avec Beauzée qu’on se rend compte que le sujet est aussi social et pas que linguistique : il soutenait que le masculin est plus noble à cause de la supériorité du mal sur la femelle. Même Maurice Druon, ex-secrétaire perpétuel de l’Académie française, a défendu l’idée que les noms de fonction devraient être masculins « puisqu’en français, l’espèce homme, ou le genre humain si l’on préfère, est masculin ».
En 1998, la Commission générale de terminologie et de néologie a publié le Rapport sur la féminisation des noms de métier, fonction, grade ou titre dans lequel elle ne s’oppose pas à la féminisation des noms de professions mais manifeste son désaccord avec la féminisation complète. Parmi ceux qui s’occupent de la problématique de la féminisation en France, la place la plus importante a été prise par la Commission de féminisation qui a travaillé de décembre 1983 à février 1986.
On peut donc soutenir que la féminisation des noms de métier n’est pas un problème du XXIème siècle !  
L’Académie française s’en est occupée en 2019, moment dans lequel on a reformulé le dictionnaire, en le pensant – aussi – au féminin. Ça a été le moment où on a reconnu la version féminine de la plupart des noms de métiers. Cet effort intellectuel nait d’une prise de conscience collective : il faut reconnaitre aux femmes une place dans la langue ainsi que dans la société. Toutes les évolutions qui vont dans cette direction peuvent être envisagées : ça suffit qu’elles ne contreviennent pas aux règles élémentaires et fondamentales de la langue. Ce n’est pas possible, donc, de changer ou bien de « bouleverser le système de la langue ».
D’un point de vue linguistique, il est possible de féminiser presque tous les substantifs, en particulier les substantifs désignant les professions. Dans le lien que je vous ai laissé en pièce jointe il y a quelques exemples de règles utilisées par l’Académie française !
Mais pourquoi est-il si important féminiser les noms de métiers ?
On peut contextualiser ce thème dans le domaine du sexisme langagier : selon les études de Michard, le sexisme du langage est caractérisé par la dévalorisation généralisée des termes de genre féminin et par l’exclusion, l’invisibilisation des femmes dans les discours en raison de la fausse valeur générique du masculin. Le sexisme langagier se nourrit de même de la méconnaissance de l’effet des rapports de pouvoir sur les processus de symbolisation et des représentation socio-cognitives et idéologiques qui en résultent. La féminisation des noms dans le sexisme langagier, se présente comme une valorisation de ce qui d’habitude est dévalorisé : l’utilisation du masculin en tant que spécifique (mâle) représente la tentative de rétablir la symétrie linguistique. Dans cette perspective, il faut aussi prendre en considération le concept de masculin générique : le féminin s’oppose au masculin en tant qu’humain, sous-entendant le genre féminin comme humain relatif. Par contre, la féminisation des noms peut jouer le rôle opposé : ça pourrait conduire à la dé-humanisation de mots en soi, en les représentant seulement pour le genre exprimé. Pour autant, la question qui se pose est : faut-il féminiser ou humaniser ? 
Pour revenir aux métiers, la notion absolue de profession ou de fonction est formalisée par le masculin sans différence de sexe : cependant, si on utilise des féminins dans ces exemples, le sens femelle envahit celui de profession ou de fonction, le relativise, le restreint, le dévie. Ce procès peut conduire à l’effacement complet de la fonction/profession et arrive à signifier « épouse ».
Pour conclure, on peut expliquer la volonté de féminiser comme une tentative de suivre une évolution sociale qui est marquée par l’accès des femmes à des métiers ou à des positions hiérarchiques dont elles avaient été longtemps écartées. Citons Marie-Jo Mathieu et Jean-Marie Pierrel: « la féminisation n’est ni une mode passagère, ni un programme politique, mais une revendication fondamentale, essentielle, existentielle de tout individu dans notre société : ce qui n’est pas nommé n’existe pas ».
J’ai cherché à résumer les questions fondamentales concernant la pratique de la féminisation des noms de métiers, qu’est-ce vous en pensez ? On en parle dans les commentaires !
P.S. L’usage est une réalité complexe : certains points de résistance doivent être pris en compte. Les raisons qui, en certains cas, s’opposent à la féminisation ne peuvent pas être a priori considérées comme irrecevables.
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homomenhommes · 5 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 70
Super partouze de rentrée.
Vendredi
Le soir sont arrivés les premiers participants. Phil et Luc ainsi que Pierre et Olivier. Marc avait proposé à Olivier de venir plus tôt car c'est plus facile pour un nouveau d'appréhender un groupe au fur et à mesure de l'arrivée des gens plutôt que d'arriver en dernier dans un groupe déjà constitué.
Malgré le fait que les soirées se rafraîchissent, la température de l'eau de la piscine reste encore à 28° sans chauffage et nous avons tous barboté avant de dîner.
Nous avons profité de cette calme soirée pour échanger sur nos vacances. Phil et Luc, cette année, ont passé leur vacances avec leurs " employeurs ". les deux frères les voulaient à disposition pendant 1,5 mois dont 1 mois dans leur villa du sud de la France. A les voir encore tout bronzés un mois après, nous ne les avons pas plaint. Ils nous ont confié que ça avait été des vacances reposantes car à dispo de leurs " clients ", ils n'ont finalement pas baisé plus que ça. Si les premiers jours ont ressemblé un peu à une orgie, ça c'est très vite calmé et ils n'ont plus baisé qu'une fois par jour en moyenne. Du coup ils avaient tout leur temps pour bronzer, nager dans la piscine et faire du sport. Ils ont même profité de joggings hors de la propriété pour se faire quelques coups en douce avec des jeunes du coin. Surtout ça leur a évité d'avoir à travailler en usine pour financer leur année d'étude.
Pierre et Olivier passent tout leurs WE ensemble depuis le retour de La Palmyre. Je pense que nous avons " perdu " notre petit Pierre !! sauf pour les touzes. Pierre nous dit qu'il n'a pas gagné sur tous les tableaux car Olivier le fait bosser afin qu'il obtienne en fin d'année et son BAC et son entrée en école d'architecte avec une bon niveau. C'est sûr, lui qui envisageait la vie en dilettante, ça le change ! mais le reste compense. Autour de la table on imagine bien ce que recouvre le " reste ".
Au dodo chacun de son coté, il faut garder les forces pour demain.
Samedi
Après le petit déjeuner, je me fais aider des jeunes pour préparer les " terrains de jeux ", il ne s'agit pas de manquer de Kpote ou de gel quelque part. Nous remplissons les tiroirs des tables de jardin de la terrasse autour de la piscine, il fait gris mais pas froid et nous irons sûrement tous y faire un tour. Nous préparons le sous sol, salle de muscu et les sanitaires puis nous finissons par le " donjon " rez de chaussée et étage. les canules de lavement sont identifiées afin de limiter les risques " d'échange " involontaires entre utilisateurs.
Lorsque nous retrouvons Marc et Olivier, ils finissent le tour de la maison et L'architecte nous donne quelques conseils pour les derniers endroits à aménager. Il n'a pas encore vu le donjon, ce sera une surprise ! Je m'équipe en cuir et passe chercher Ric chez son père. Nous sommes de retour pour déjeuner.
Vers 14h vrombissements de moto, Eric arrive. Il est suivit d'Igor avec ses jumeaux et les deux Jean (la salope et le black) qu'ils sont passés chercher.
Nos retrouvailles sont bruyantes, chahut, bousculades et embrassades. Nous sommes tous content de nous retrouver tous ensembles.
Arnaud et Bruno arrivent juste du fond du jardin que les derniers entrent dans la cour. Seb et Nicolas sortent tout bronzés de l'Audi A3 de Seb. Olivier est présenté à tout le monde par Pierre comme son mec à lui. Ç'a le mérite d'être clair !
Avec mes " aides ", je sors sur la terrasse de quoi nous rafraîchir tous (avec et sans alcool). Il va falloir que j'en parle à Marc mais ce serait sympathique que nous trouvions du personnel pour faire le service lors de nos touzes (service + nettoyage). Là, malgré tout, Marc et moi restons vigilants que rien ne manque, ni boissons, ni Kpote, que le coup d'éponge est bien passé après les " débordements " etc. De plus sur certains sites Internet, ce n'est pas les volontaires à ce type de trip qui manquent et parfois même de beaux petits mecs.
Malgré un soleil timide, nous nous retrouvons tous à poil dans la piscine. Quelques culs blanc et bien sur Ric attirent les regards. C'est finalement plus sexy les marques de maillot.
Courses poursuites, luttes, la partie est lancée. Les corps se frottent s'échauffent et les bites se dressent. Il ne faut pas longtemps avant que certaines bouches voraces se mettent à pomper. Bientôt toutes les bites ont trouvé une bouche accueillante. Les bouches changent de bites et réciproquement. Tous les passifs et les A/P se sont régalés. Les plus aguerris prenant les glands dans leurs gorges à s'en étouffer. L'esprit de compétition domine par moment le plateau et c'est à qui s'en prendra le plus et le plus profond. A ce jeu là, il y a deux gagnant, Ric et Jean ! il sont les seuls à arriver à avaler et Eric monté 26x7 et Jean Black avec ses 30x5 (ce dernier avec beaucoup d'essoufflement quand même et quelques étranglements !).
Un petit vent frais nous fait regagner le couvert. J'entraîne ceux qui veulent se faire un lavement au sous sol et distribue les canules inox numérotées. Nous finissons nos ablutions alors que le reste du groupe nous rejoint. Douches et séchages relancent l'excitation. Couples, trios, quatuors se font et se défont qui sur les bancs de muscu, qui sur et autour du sling. chaque appareil trouve son utilité en tant que support de fornication. Ric pendu par les bras à une barre d'étirement se pompe le cul sur la longue bite black de Jean en exerçant des tractions. Je rejoint les jumeaux et j'encule Tac lui même au fond de Tic. Bientôt nous sommes rejoint par leur père qui me penche un peu en avant et m'encule à son tour. C'est trop bon ! Je jette un coup d'oeil alentour pour voir Ric maintenant se faire enculer par Eric et Marc alors qu'il tète Jean Black. Seb et Nicolas se font Jean et Arnaud cote à cote et Bruno se fait Pierre pendant qu'Olivier est aux mains de Phil et Luc, ce qu'il a l'air d'apprécier hautement. Il encule Phil alors que Luc en 69 dessous lui a gobé les couilles.
Moi, je sens bien la bite d'Igor me ramoner le cul, il bouge son bassin pour la faire tourner et me vriller l'anus. C'est son coup de rein qui par ricochets active les autres sodomies pour s'achever au fond du trou de Tic. A l'occasion d'une pause, Tic s'est retourné pour faire face à son frère. C'est troublant à voir, mais très excitant ! surtout de les voir se rouler des pelles alors que soudé par la bite de Tac dans le cul de Tic. Je reprend ma place avec Igor toujours au fond de moi. Il m'attrape la tête et la tourne vers lui pour me bouffer la langue.
Occupé à ma propre jouissance sous les effets du ramonage en règle de mon cul par Igor, je ne vois plus les autres groupe et mon univers se réduit à mes trois partenaires. Le premier à jouir est Tic entraînant la réaction en chaîne. Son frère se vide en lui, ses contractions anales tirent mon propre jus quand mes propres spasmes compressent la queue d'Igor qui ne peut se retenir et dans un coup de rein qui me désolidarise de ses fils, il gicle dans sa Kpote planté tout au fond de mon trou. Notre " château de cartes " s'écroule. Nous gisons allongés su le sol.
Quand je reprend mes esprits, je m'aperçois que nous avons tous conclu et que le calme plane. Il faudra un bon 1/4 heure avant que le plus courageux se décide à migrer vers les douches. Après les choses vont vite, de l'intérêt de ne pas avoir séparé les douches, nous sommes plus nombreux que les pommes à pouvoir se laver en même temps.
Il nous faut quand même bien trois quarts d'heures avant que tous nous soyons propres et secs.
L'exercice a donné faim à tout le monde et nous nous retrouvons tous dans la cuisine (heureusement grande dans ces vieilles maisons !) pour préparer le buffet et entamer l'apéro.
JARDINIER
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19 / 04 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec mon ami @tidodore2
- UNE HISTOIRE D'EURABIE -
LES VACANCES DU COUPLE ALGÉRIEN
PARTIE PAR submissivegayfrenchboy
Michel, gros Français blanc de 60 ans, vénére les Arabes depuis toujours. Mais personne n'a jamais voulu de lui, même comme esclave. Maintenant que les vrais hommes forts en France sont des mâles arabes, les gros blancs moches comme lui ont enfin une utilité.
Après avoir payé pour les vacances d'un couple de mâles arabes, Michel a été invité par eux pour leur servir de larbin. Riyad et Khader, les deux homos barbus et musclés, aiment parader dans les rues d'Alger avec leurs lourdes affaires portés par un vieux gros blanc.
Dans la piscine de l'hôtel de luxe qu'il avait payé avec sa maigre retraite, le gros blanc vit les deux mâles amoureux sortir leurs longs pieds de l'eau. Si appétissants. Lécher des délicieux pieds arabes valait bien d'être un serviteur.
Michel servit deux boissons aux deux amoureux qui étaient occupés à s'embrasser en se caressant leurs sexy pectoraux musclés.
Lorsqu'ils virent le larbin, ils n'eurent qu'une réaction : lui designer leurs pieds afin qu'il se prosterne pour les leur lécher.
PARTIE PAR tidodore2
KHADER : "Ça c'est la vraie vie de roi que l'on mérite ! Être servi et vénérer comme des dieux ! N'est ce pas, chien de Français !?"
PARTIE PAR submissivegayfrenchboy
RIYAD : "Ouais chien de céfran, les boissons sont assez fraîches ! Maintenant rafraîchis nous en léchant nos pieds !"
MICHEL : "Oui Maitre Riyad, il n'y a rien de meilleur pour un garçon cefran qu'être le lécheur des pieds d'un beau couple arabe ! Merci, maîtres !"
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PARTIE PAR tidodore2
KHADER : "On t'as déjà dit de nous appeler "Seigneur Riyad" et "Seigneur Khader" quand on est au bled, sale soumis de cefran !!! Sort de la piscine à poil et exibe ta petite bite à tous les mâles alpha de l'hôtel ! Puis tu te mettra à genoux devant nous en suppliant pour qu'on te pardonne et que tu puisses revenir nous lécher les pieds aux yeux de tous !"
PARTIE PAR submissivegayfrenchboy
Étonnamment, il n'était pas interdit pour les hommes de se dénuder publiquement, car les bites arabes étaient considérés comme dignes d'être admirés et les bites blanches étaient divertissantes à voir. Le gros Michel fit un tour sur lui-même pour que les beaux clients arabes puissent rire de sa microbite. Les mâles arabes sucés par des petits garçons blancs ou petites filles blanches admiraient de loin le couple gay arabe humilier leur larbin blanc.
Le couple d'amoureux algériens aimait s'embrasser devant le malheureux esclave blanc, qui était occupé à souffrir au soleil d'Algérie à porter les lourds sacs de shopping de ses maitres ou à lécher leurs pieds où qu'ils soient. Devoir lécher les longs pieds de mâles algériens homosexuels et plus jeunes que lui était humiliant pour le vieil homme gros, et même des français blancs se moquaient de lui lorsqu'ils le voyaient.
En Algérie, des petits garçons blancs étaient traînés en laisse par des hommes Arabes dont ils étaient les propriétés, mais Khader et Riyad préféraient avoir un vieil homme gros, afin que le contraste soit plus fort, mais de manière inversé.
Leur musculature rappelait à Michel sa faiblesse, son gros ventre lui valait d'être considéré comme leur cochon de compagnie et il arrivait aux amoureux de poser leurs longs pieds sur le ventre moelleux de Michel. Plus petit qu'eux alors que plus âgé, il s'effondrait sous le poids des sacs qu'il avait à porter. Les deux grands Algériens d'une trentaine d'années aimaient se promener main dans la main, l'un des deux tenant dans l'autre main la laisse relié au collier de leur soumis.
Et bien sûr, il ne se passait pas une soirée, qu'ils soient à table en traîner de dîner, dans le salon à regarder la télé dans les bras l'un de l'autre, ou au lit à s'embrasser et faire l'amour, où Riyad et Khader ne se faisaient pas lécher les pieds.
Même s'il était humilié le gros français blanc aimait chaque seconde passé à lécher des pieds et prendre des coups de ces amoureux sublimes.
FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with my friend @tidodore2
- AN EURABIA STORY -
THE ALGERIAN GAY COUPLE'S VACATIONS
PART BY submissivegayfrenchboy
Michel, a fat 60-year-old white Frenchman, has always revered Arabs. But no one ever wanted him, even as a slave. Now that the real strong men in France are Arab males, fat, ugly white men like him finally have a use.
After paying for the holidays of a couple of Arab males, Michel was invited by them to serve as their servant. Riyad and Khader, the two bearded and muscular homosexuals, like to parade in the streets of Algiers with their heavy belongings carried by a fat old white man.
In the swimming pool of the luxury hotel that he had paid for with his meager pension, the big white man saw the two males in love taking their long feet out of the water. So appetizing. Licking delicious Arab feet was well worth being a servant.
He served two drinks to the two lovers who were busy kissing while stroking their sexy muscular pecs.
When they saw the lackey, they had only one reaction: to designate their feet to him so that he bows down to lick them.
PART BY tidodore2
KHADER: "That's the real king's life that we deserve! To be served and worshiped like gods! Isn't it, French dog!?"
PART BY submissivegayfrenchboy
RIYAD : "Yeah French dog, the drinks are cool enough ! Now refresh us by licking our feet!"
MICHEL: "Yes Master Riyad, there is nothing better for a Cefran boy than to be the licker of the feet of a beautiful Arab couple! Thank you, masters!"
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PART BY tidodore2
KHADER: "We've already told you to call us "Lord Riyad" and "Lord Khader" when we're in town, filthy cefran submissive!!! Get out of the swimming pool naked and show off your little cock to all the alpha males in the world hotel! Then you'll kneel down in front of us, begging us to forgive you and come back and lick our feet for all to see!"
PART BY submissivegayfrenchboy
Surprisingly, it was not forbidden for men to publicly strip naked, as Arab cocks were considered worthy of admiration and white cocks were entertaining to behold. Fat Michel turned around so that the handsome Arab customers could laugh at his microbite. Arab males sucked by small white boys or small white girls admired from afar the Arab gay couple humiliating their old white slave.
The loving Algerian couple loved to kiss in front of the unfortunate white slave, who was busy suffering in the Algerian sun carrying his masters' heavy shopping bags or licking their feet wherever they were. Having to lick the long feet of gay, younger Algerian males was humiliating for the fat old man, and even white French people laughed at him when they saw him.
In Algeria, little white boys were dragged on a leash by Arab men whose property they were, but Khader and Riyad preferred to have a fat old man, so that the contrast was stronger, but inverted.
Their muscles reminded Michel of his weakness, his big belly earned him to be considered their pet pig and it happened that lovers put their long feet on Michel's soft belly. Smaller than them while older, he collapsed under the weight of the bags he had to carry. The two tall Algerians in their thirties liked to walk hand in hand, one of them holding in the other hand the leash attached to the collar of their submissive.
And of course, not a single evening was going on, whether they were at the table hanging out over dinner, in the living room watching TV in each other's arms, or in bed kissing and making out. love, where Riyad and Khader didn't get their feet licked.
Even though he was humiliated, the fat white Frenchman loved every second spent licking feet and taking kicks from these sublime lovers.
END OF THE STORY
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