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#faire l'appel
fidjiefidjie · 4 months
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😁 Humour du jour 🤣
On fait l'appel ?! 🐐🐐🐐🐐🐐
Source: Tevato007
Bel après-midi 👋
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ca commence a me casser les COUILLES!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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homomenhommes · 5 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 157
La Dominique arrivée
Nous partons pour la République Dominicaine.
Avant cela, je charge Samir de veiller sur la maison, au respect des rendez vous de Jimmy et de transporter Ed aux siens. Avec lui à la maison, nous partons en toute confiance.
Il nous conduit à Roissy (pour info j'ai procédé au remplacement de la berline de Marc par une Chrylser 300C break).
Habitués à voyager léger (moto oblige), l'hôtesse s'étonne du faible poids de nos valises (à peine 12 Kg pour deux et un bonne part est due aux kpotes !). Bien que très touristique, le pays est pauvre et je n'ai pris sur moi qu'une montre basique, mon percing d'oreille vide de tout pendentif, et mon cockring en or que je porte à mon sexe en espérant ne pas biper au passage des portiques (et si cela bip je serais peut être fouillé par un beau vigile). Marc ne prend pas ce risque et place le sien dans son bagage à main.
Dégouté ! Pas le moindre bip et pourtant il y avait bien un contrôleur que j'aurais aimé me faire (mais si cela se trouve c'était un mauvais coup !!).
Bin qu'en première classe, le vol n'a pas été totalement agréable malgré le champagne, des parents sans sens communs ont laissé brailler leur gamin une bonne partie du temps jusqu'à ce qu'un de nos voisins intervienne.
Arrivée à Punta Cana, un 4x4 avec chauffeur (très baisable) nous attendait. Direction notre villa. Pas de mauvaises surprises, l'habitation est telle que dans la publicité. Nous y sommes reçu par notre correspondant pour régler les détails triviaux. Il nous présente au personnel de maison, une cuisinière et deux hommes de service aussi " sexe " ;que le chauffeur qui reste tout le séjour à notre disposition sur place, puis nous présente un catalogue de mecs.
Les photos nous montrent toutes les mecs en maillot et à poil. Toutes les couleurs de peau et tous les types de mecs sont représentés du quasiment blanc au noir le plus profond en passant par tout les dégradés de peaux et de morphologie. Le correspondant nous précise, devant notre indécision que nous n'étions pas limité à un par personne mais que durant le séjour, nous n'avions qu'à l'appeler pour faire l'échange de nos Toy-Boy. Marc opte pour un jeune mec (1,80m, environ 18 ans) chocolat clair, musclé, imberbe avec un beau morceau entre les jambes. Moi, je choisi un noir très noir d'1m95, très musclé aussi (mais à part quelques crevettes efféminées, c'était plutôt le cas de tous les autres) et dont les attributs se rapprochent de ceux d'Eric (paraissant la 20aine).
Coups de fil et ils seront à la villa le soir même. Nous gardons le catalogue en cas de besoin.
En les attendant, nous nous mettons à l'aise. Nous allons passer le séjour en maillots principalement quand ce ne sera pas à poil (je dois faire attention à ne pas l'être trop souvent au soleil si je veut garder mes fesses blanches !).
Nous sommes dans la piscine à nous délasser du voyage quand on nous annonce que le " service + " est arrivé. Nous les faisons venir sur la terrasse et après les avoir vu habillés, nous leur demandons de se mettre nus. Sans complexes, il se défont de leurs pantalons larges et leurs chemisettes. Nous nous retenons de faire le tour de la " marchandise " mais ce n'est pas l'envie qui nous manque. Ils sont fidèles aux photos. Je m'approche du " mien " et lui prend le sexe en main. Il bande directe et malgré ses dimensions hors norme assure une raideur propre à tout enculage qui se respecte. Marc qui m'a rejoint, pose sa main sur le cou de son Toy boy et ce dernier se met aussitôt à genoux et entame une fellation. Je relève ma tête fixe mon mec dans les yeux puis baisse mon regard sur ma bite. Il a tout de suite compris et à genoux à coté de son collègue il me mange littéralement la queue. Ses grosses lèvres rouges tranchent sur la peau blanche de mon pubis. Du premier coup il avale mes 20cm sans que le passage de mon gland dans sa gorge ne lui procure de renvois. A mes cotés c'est pareil pour Marc, ses 22cm trouvent refuges entièrement dans son mec. Mes mains sur sa tête, je lime sa gorge avec entrain. Marc à mes cotés fait de même. Je sens ses grandes mains se poser sur mes fesses et augmenter la pression quand je suis déjà au fond. Il a l'air d'y prendre plaisir aussi. Je suis très excite et le balai de sa langue sur mon gland à chaque va et vient m'achève. J'ai juste le temps de me retirer et je lui marbre le visage de grandes trainées blanches de sperme. Bien éduqué, il ne bouge pas et reçois sans broncher tout le contenu de mes couilles sur sa tête. A nos coté, Marc fait de même et couvre son mec de la même façon. Marc leur dit d'aller se doucher (il y a une douche auprès de la piscine). Quand ils reviennent ils bandent encore. Comme je voulais enculer mon Toy-boy avant qu'il ne me mette (histoire de fixer quand même qui est le maître (dans la relation), et comme Marc aussi n'avait pas repris suffisamment de vigueur, je leur ai dit de faire un 69. sur les matelas de bronzage, alors que nous les mations depuis nos transat. Ils nous ont fait un très beau spectacle. Nous avons pu admirer leurs expériences. Les bites de l'un comme de l'autre ont pénétrées sans problème la gorge adverse jusqu'aux couilles. On comprend soudain mieux que même les 22cm de Marc y aient trouvés leur place. Je demande au mien de préparer le cul de son partenaire. J'ai pu ainsi voir ce qui m'attendait. J'ai admiré et puis j'ai été impatient qu'il me le fasse aussi à moi. Il a une technique irréprochable. Grand coups de langue sur la rosette, langue pointue pour pénétrer l'anus, ventousage de sa grosse bouche, je lui demandais régulièrement de reculer pour que je vois l'effet de son travail. Superbe ! l'oignon de son partenaire se détendait bien sous ses efforts. Marc lui a donné alors une kpote et lui a dit " encule le maintenant ". Obéissance parfaite, il a posé la protection XXL et nous l'avons admiré dans sa prestation. Je lui disais quand ralentir ou accélérer sa pénétration. Nous avons pu mater la séquence complète et le plaisir que prenait l'enculé à se faire défoncer par une telle bite (mesurée à la main : 25cm x 7). Nous les avons regardé comme dans un porno en live. Assez discrets dans leur baise coté verbal, ils ont assurés coté physique. Ils nous ont montré une bonne panoplie de positions et démontré aussi bien leur endurance que leur souplesse.
Ils jouissent à peu d'intervalle. Nous pouvons passer à table. Slip, maillot ou caleçon nous voilà attablés tous les 4. Diner couleur locale, langouste grillée. Nos " invités " ne se font pas prier pour fini les plats. J'observe que nos nudités ont quelques effets sur l'un des deux hommes de service, le plus jeune (environ 25ans baisable).
Nous sommes fatigués par le voyage et décidons de nous coucher. Choix : avec ou sans nos Toy-boys ?
La chambre principale est immense avec un très grand lit, nous tentons le couchage à 4. C'est trop juste ! Nous demandons alors à ce qu'un des lits d'une autre chambre soit transféré et en collant les deux nous obtenons une surface de couchage adéquate.
Nous serons réveillés en douceur par une pipe magistrale. Par rapport à la veille, nos suceurs s'étaient échangés nos corps et c'était le choix de Marc qui me mangeait la bite alors que ses 22cm disparaissaient dans la bouche du mien.
Le fait de les voir tous les deux à 4 pattes entre nos jambes nous a donné des idées et après les avoir contournés, s'être kpotés, nous avons testé pour la première fois leur cul. Mon noir avait des fesses magnifiques, rondes, musclées, un délice à écarter et son trou, bien que sûrement utilisé fréquemment, il enserrait ma queue fermement. A mes cotés Marc prenait autant de plaisir à sodomiser le sien.
Mon trou me démangeant, j'ai déculé et me suis mis devant mon black en lui demandant de me préparer. J'ai pu apprécier ce que nous n'avions que supposé la veille au soir. Sa bouche et surtout sa langue m'ont procuré des sensations particulièrement intéressantes. Je me suis ouvert comme sous l'effet du meilleur des poppers. Sans Marc qui lui a dit (à mon préparateur) qu'il pouvait me sodomiser, je crois que je me serais fait bouffer l'oignon jusqu'à la jouissance.
La tête et les épaules sur le matelas, le cul relevé j'attendais avec impatience qu'il pose sa kpote. Claquement du latex et je sens enfin son gland sur ma rosette. Il fait couler à la jonction de nos corps un bonne dose de gel et force soudain. Je me prend son gland. Mon anus se referme derrière la couronne. Il reprend sa poussée et mon sphincter s'écarte pour laisser passer le reste de sa tige. Il me rempli le ventre avec sa bite. ; C'est top bon ! surtout quand, après que je me sois habitué à ses dimensions, il se met à me limer en force. Je ne retiens pas mes gémissement et prend un plaisir énorme. Je tourne la tête pour voir Marc. Lui, il est en train d'enculer son choix et ce dernier à l'air d'y prendre plaisir.
Je me redresse et mes bras en arrière, je m'accroche à la nuque de mon enculeur, cambré pour ne pas perdre un cm de sa bite. Je sens alors sa bouche se poser sur mon cou, le lécher, mordiller mes deltoïdes. ;Une de ses mains enveloppe mon sexe et me branle fermement. Sans être calleuses, ses mains sont très fortes et compresse ma queue à la limite de la douleur (souvent cette limite est aussi celle du plaisir !). Sous les yeux de Marc, j'ai un orgasme pas possible. A la surprise de mon Toy-boy, mes muscles annaux le bloque dans ses va et vient et il ne peut plus sortir avant que j'ai fini de jouir. Dès que je le " libère " il s'enfonce rageur au fond de mon trou et éjacule dans sa kpote. A nos cotés Marc se lâche dans son mec, ce dernier ayant la courtoisie de juter en même temps.
Nous allons prendre nos petits déjeuners façon pantagruélique, la baise ça creuse l'estomac et la cuisinière au courant de nos ébats s'était surpassée en pancakes, beignets, bacon, oeufs frits... et fruits divers.
Nos Toys avaient accepté de ne revêtir, pendant leur séjour à notre service, qu'un jockstrap. Moi je me couvrais les fesses de mon maillot de bain alors que Marc restait à poil.
Nous passons les premiers jours à ne rien faire d'autre que se dormir, baiser, manger et bronzer. ; ;
Le chauffeur n'a rien à faire et nous avons remarqué que quand on baise sur la terrasse ou dans le séjour, il vient discrètement jeter un coup d'oeil. J'ai pu voir qu'il bandait dur ! Le troisième jour, alors qu'il nous mate je me décolle du Toy de Marc que j'enculais alors pour aller le chercher et l'inviter à participer. Marc appelle alors nos deux hommes de service qui ne se font pas prier pour nous rejoindre. Nous avons improvisé une touze où j'ai l'impression tous ont pris leur pied. Marc et moi les premiers. J'ai explosé après pas mal de positions possibles passif comme actif alors que je me faisais mettre par mon Toy-boy et que j'enculais notre chauffeur.
Marc lui a juté dans le cul d'un de nos hommes de service alors que son " jouet " couchés sous eux, lui bouffait les couilles.
En fin de première semaine, nous avons changé nos " accompagnateurs ", non sans leur avoir montré en dollars tout le plaisir que nous avions eu avec eux. Au moins cette somme n'ira pas enrichir leur intermédiaire !
Les suivant sont arrivés dans l'heure qui a suivit leur départ. Cette fois nous avons choisi deux jeunes mecs indiqués comme passifs. La touze précédente nous ayant permis de découvrir dans le personnel mâle de la maison ce qu'il me fallait comme actif de bon calibre.
La seconde semaine, j'ai quasi systématiquement baisé en " jambon de sandwich ", Marc ou un des hommes de service dans le cul et un des petits jeunes planté sur ma bite. Marc, lui, s'est essayé tous les trous des 5 mecs de la maison, et pas un pour rechigner devant sa queue. Les pipes toujours profondes nous ont procuré de merveilleuses éjaculations.
Un coup de fil à Samir m'a rassuré sur le fonctionnement de ma petite entreprise. Jimmy s'est bien rendu à tous les rendez vous et lui avait remis à chaque fois le montant exacte de sa prestation. Quand à Ed, il l'avait véhiculé comme prévu et après un instant de gène, il m'a avoué qu'il l'avait baisé au retour de son deuxième rendez vous. Quand je lui ai fait raconter la chose, j'ai bien senti, malgré sa formulation propre à prendre sur lui toute la responsabilité de l'affaire, qu'Ed ne lui avait pas laissé le choix. Ce petit salaud sait se rendre irrésistible quand il le désire ! Comme il parlait de retirer ça de son salaire, j'ai éclaté de rire et lui ai dit qu'il n'en était pas question. Je lui réitérais ma confiance pour la semaine suivante en lui disant que s'il se faisait encore avec Ed, c'était leur problème et non le mien.
En république Dominicaine :
Nous avons même testé la baise en mer. Convaincus par notre chauffeur (qui devait avoir sa commission), nous sommes partis une journée en mer sur un catamaran géant où l'équipage constitué exclusivement de mec a été à notre service complet, du capitaine au moindre matelot et jusqu'au cuistot! Dans la journée je me les suis tous pris au moins une fois dans le cul. Ce qui devait faire quand même 5 mecs sur les 6 que comptait l'équipage. En effet, le plus jeune mousse était le vide couille du capitaine qui, sans problème, nous l'a cédé à Marc et moi le temps de la balade. Une véritable salope avec un physique qui pousse au viol (s'il n'était déjà consentant). Il nous a asséché les couilles comme un pro. Petit corps imberbe, musclé finement, d'une souplesse aussi incroyable que celle de Jimmy, nous avons même eu le plaisir de l'enculer ensemble Marc et moi et pour son plus grand plaisir habitué qu'il était aux bites de gros diamètre. Le capitaine avait beau être blanc, il était monté comme un âne, ce qui d'après ses dire lui assurait une autorité naturelle sur son équipage. ; J'ai tellement baisé et été baisé que le lendemain je n'ai supporté qu'une ou deux pipes pour dissiper la tension qui me prenait lorsque Marc baisait l'un de nos hommes de service ou un des deux Toy-boy.
JARDINIER
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chifourmi · 5 months
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Ma meilleure pote m'a appelé du Japon pour me souhaiter bon anniversaire 🥹
C'était trop bizarre parce que du coup ici je vais me coucher parce qu'il est minuit et elle elle part en cours parce qu'il est 8h. Donc on s'est dit bonne journée et bonne nuit à la fin de l'appel ahah. Je suis trop contente de l'avoirrr.
À la base je devais dormir chez le Dieu Grec donc je n'aurais même pas vu son appel!! Mais finalement il avait un truc donc ça ne s'est pas fait, et j'avoue que j'avais un peu la flemme de faire le trajet jusque chez lui cette fois donc ça m'a arrangé. (Même si j'aurais kiffé me réveiller dans ses bras pour mon anniversaire hihi)
(06/12/2023)
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yakusoma · 9 months
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[FR]
(en below)
Je ne sais pas pourquoi, mais au moment où j'ai vu l'avatar dans les premiers trailers, j'ai commencé à l'appeler Rosy, vu qu'on n'avait pas son nom à la sortie du jeu, j'ai continué à l'appeler Rosy (cela dit, on n'a toujours pas son nom).
Ça m'étonne toujours que le capitaine ne puisse porter qu'un poids de 1, alors qu'elle peut tenir en l'air un pikmin violet pesant 10 unités avec une seule main tendue. Pour un équipement inutile, étant post-boss final, ils auraient pu faire en sorte qu'on puisse porter plus, surtout quand à côté Otchin qui peut porter 100 unités dans sa bouche. Sinon, ça reste amusant de porter des palets avec les pikmins, même si je me demande ce que pensent les pikmins en voyant leur capitaine faire ça. Cela m'inspire presque une fanfic ou deux.
[EN]
I don't know why, but the moment I saw the avatar in the first trailers, I started calling her Rosy, and since we didn't have her name when the game was released, I kept calling her Rosy (that said, we still don't have her true name).
It still surprises me that the leader can only carry a weight of 1, while she can hold up a purple pikmin weighing 10 units in one single hand.For a useless piece of gear, being post final boss, they could have made it so that we could carry more, especially when compared to Otchin who can carry 100 units in his mouth. Otherwise, it's still fun to carry pellet with pikmins, although I wonder what the pikmins think when they see their leader doing it. It almost inspires me to write a fanfic or two.
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lounesdarbois · 6 months
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Pierre Fournier
Tradition: n. f. Transmission de faits historiques, de doctrines religieuses, de légendes, d'âge en âge par voie orale, sans preuve authentique écrite.
Le Littré
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Le détaillant et modéliste de vêtement Pierre Fournier a dirigé les magasins Globe dans les années 1970, Hémisphères dans les années 1980, Anatomica depuis 1993. Toujours actif de nos jours il est âgé de 80 ans cette année.
La création de vêtement repose sur l'esthétique et le fonctionnel, deux critères qui renvoient respectivement aux métiers de styliste et de modéliste. Oiseau rare, monsieur Fournier additionne les deux compétences et a bâti le renom de ses magasins sur des vêtements "anatomiques" les mieux pensés possible, adaptés au corps, résistants à l'usure. Un sens du modélisme concentra dès l'époque de Globe son attention sur les vêtements de base, les "basiques" auxquels il conféra le plus de classicisme possible dans le but de les rendre indémodables, au-dessus des modes. La chemise d'ouvrier aura des coutures, des poches, des lignes les plus adaptées à la morphologie et aux mouvements requis par le travail, critères qui ne sont pas à chercher dans un "techwear" futuriste ni dans un "vintage" caduque mais dans la partie de la culture occidentale qui traverse les époques, la Tradition. Savons-nous combien de vêtements ont-été réellement inventés au 20ème siècle ? 4... Et combien de boissons? Une seule (le coca). Il n'y a pas de créateur de vêtement, tant mieux!
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Pierre Fournier appliquera les principes traditionnels aussi en matière de chaussure, lorsqu'il fera faire par la firme Alden une gamme spécifique. Le critère étant ici le "chaussant", Fournier va au fond de questions que ni les artisans ni les clients ne se posent plus en matière de confort et de maintien, et ose prescrire aux clients un nouvel étalonnage des pointures appuyé par un argumentaire fruit de 30 ans de pratique du métier. Les clients chausseront désormais 2 à 3 pointures au-dessus de leur taille usuelle. Libérant de l'espace derrière le talon et devant les orteils la chaussure est conçue pour serrer davantage le cou-de-pied, notamment dans la largeur, et demeurer plus lâche sous les contreforts et trépointes. Cette manière de chausser supprime les frottements et soutient la voûte plantaire, et au plan esthétique elle donne une chaussure étroite et longue qui est l'idéal en la matière.
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Produire une chaussure pensée pour s'adapter à la forme du pied, un vêtement pensé pour suivre les lignes du corps, aboutissent à une forme définitive à laquelle tout ajout devient un excédent et tout retranchement une amputation. La tradition populaire française s'est toujours tenue à équidistance de deux écueils : d'abord de la mode qui spécule sur une suspension du jugement des masses abruties par le prêt-à-porter (soumission par pression horizontale), ensuite du sartorialisme qui est au contraire l'expression tapageuse d'élites visant à se singulariser (snobisme par les musts).
La qualité suppose l'appelation d'origine contrôlée, qui elle même suppose un terroir protégeant une fabrication locale par un prolétariat choyé. Lorsque l'on comprend le modèle économique que suppose le Made in France on veut relire les théoriciens des modèles économiques durables, organisés au bénéfice des producteurs et des consommateurs compris comme un seul et même peuple.
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Le sujet du vêtement de qualité ouvre tant de perspectives : esthétiques certes mais encore économiques et politiques. Quand nous comprenons la quête esthétique de Pierre Fournier nous percevons que ce standard de qualité renvoie, pour des raisons de coût de fabrication aux thèses de William Morris (L'art et l'artisanat, Comment nous vivons) et à celles de tous les syndicalistes français transcourant : George Sorel, Joseph Proudhon, Charles Maurras, Joseph Fourrier, Edouard Berth. C'est-à-dire le retour aux sujets sérieux, aux questions fondamentales : comment produire dans le pays, par le peuple du pays, pour le peuple du pays. Comment produire local, qualitatif, en circuit court, sans gaspillage, en rémunérant correctement les travailleurs locaux? Quelles sont les pré-requis qu'un Made in France généralisé suppose au plan de l'émission de monnaie, au plan fiscal, au plan des prix de l'immobilier ? Une ébauche de réponse tient dans le discours de George Marchais (PCF) à Montigny en 1981 : protection du prolétariat, arrêt de l'invasion migratoire et éviction des clandestins (xénélasie), hausse des salaires par une baisse des charges sur les entreprises. Mesures de bon sens pourtant déclaration de guerre à la Bourse qui a besoin d'un sous-prolétariat invasif pour abaisser les salaires et le niveau de conscience du prolétariat du pays… Mais mesures nécessaires pour que la veste en flanelle de chez Anatomica qui dure 20 ans vous coûte 80 euros et non pas 750 euros comme aujourd'hui.
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Dans un Made in France bien pensé, l'ouvrier a les moyens d'acheter pour lui-même les produits de qualité qu'il fabrique par son savoir-faire et c'est justice: voiture, maison, vêtement, sont à lui non parce qu'il est un consommateur interchangeable mais parce qu'il en est le producteur exclusif.
Voila l'un des fruits de l'idéal syndical, ou chrétien, ou corporatiste, ou libertarien, ou fasciste, ou socialiste, appelez le comme vous voudrez: vêtir le peuple avec intelligence, avec des pièces sobres, élégantes, fonctionnelles, vêtir un peuple mis en mesure de discerner le vrai du faux, ayant recouvré sa propre tradition que les marchands de drouille lui avaient confisqué, et lui offrir des garde-robes réduites en quantité mais haussées en qualité donc en durabilité. Opposer au trop-plein des armoires, au côté malsain de l'accumulation, la saine épure de quelques pièces très pensées que l'on portera 30 ans, rapées jusqu'à la doublure. Charme d'une patine qui raconte une histoire, la nôtre.
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(écriteau de porte d'entrée du magasin Anatomica)
La création de vêtement est un sujet propice aux transpositions et analogies: stylisme morphologique,  modélisme anatomique, sont la recherche non d'une forme éternelle, mais de l'esprit éternel d'une forme idéale, la plus exacte, la plus fonctionnelle, la mieux ajustée, une forme adaptée tant au mouvement qu'à l'immobilité. "Il n'existe pas de voiture éternelle, le mythe de la 2 CV n'est pas intemporel du tout" me dit un jour Pierre Fournier. Il existe toutefois selon l'usage et le mode de production disponible, une voiture la plus fonctionnelle possible à un moment donné. La différence entre Anatomica et The Kooples par exemple, est la même distance qui a séparé Gabriel Voisin d'André Citroën au début du 20ème siècle: d'un côté l'aristocratie ouvrière où chaque travailleur maîtrise la totalité du travail à accomplir, de l'autre côté l'assembleur de pièces précalibrées dont le modèle industriel repose sur la division des tâches, la parcellisation, le contrôle panoptique, qui aboutira au Fordisme.
Enfin Pierre Fournier a fait montre d'une certaine attitude devant la vie. Nous aimons ces paris tenus, ces investissements risqués, l'insolence d'ouvrir Avenue de la Grande-Armée en 1980 un magnifique magasin racheté à un monsieur de 1900. Nous aimons le goût très sûr pour le vêtement français ancien vendu aux "branchés" de l'époque, pour cette manière de chercher dans le passé les meilleures pièces et de les replacer dans le sens du temps présent. Nous aimons que Fournier n'ait jamais fait de marketing mais que le seul bouche à oreille l'ait placé comme la référence du style français à l'étranger, notamment en Angleterre et surtout au Japon où il est aujourd'hui abondamment distribué (3 magasins là-bas contre 1 seul en France).
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Un vrai tailleur étudie l'anatomie puis le modélisme aussi sûrement qu'un séminariste étudie la philosophie puis la théologie. L'un s'occupe du corps, l'autre prend soin de l'âme. Mais si la philosophie est la servante de la théologie, c'est bien le vêtement qui est au service du corps... Dans un temps où le monde inverti proclame l'exact contraire, Pierre Fournier est l'un des seuls détaillants à avoir cru en la Tradition et à l'avoir mise en pratique. Merci monsieur Fournier!
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albad · 13 hours
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QUAND EINSTEIN ET ARENDT DÉNONÇAIENT LE «FASCISME» EN ISRAËL
- Histoire -
Dès 1948, certains fondateurs d'Israël étaient déjà dénoncés, non seulement comme étant des criminels de guerre, mais aussi comme des fascistes. Un mot lourd de sens, à la sortie immédiate de la Seconde Guerre mondiale, de la part d'une génération qui connait dans sa chair le sens de la barbarie, au lendemain de la Shoah. L'usage de ce terme est encore plus fort puisqu'il est utilisé par de grands intellectuels juifs, qui savent parfaitement de quoi ils parlent, notamment Albert Einstein, plus grand physicien du siècle, et Hannah Arendt, spécialiste du totalitarisme.
En effet, dans une tribune publiée dans le New York Times à la fin de l'année 1948, de grandes figures scientifiques et intellectuelles protestent contre la venue de Menahem Begin aux USA. Cette année là, l'État israélien vient de naître dans le sang des palestiniens et Begin, sioniste de droite qui sera plus tard Premier Ministre d'Israël, vient affirmer son existence politique dans la première puissance occidentale.
Begin n'est pas n'importe qui : il est non seulement l'un des fondateurs d'Israël, mais il est à l'origine du Likoud, le parti actuellement au pouvoir, celui de Netanyahou. En 1948, tout semble déjà dénoncé clairement dans cette tribune : les idées d'extrême droite, les méthodes «fascistes», le «mysticisme religieux» et le «suprémacisme racial» de ce courant fondateur, qui s'est imposé à la tête d'Israël par la suite. 76 ans après, cette description semble plus vraie que jamais.
Pourtant, aujourd'hui en France, utiliser les mots signés par Einstein et Arendt pourrait conduire à des poursuites pour «apologie du terrorisme».
Cette tribune étonnante est à lire et à faire lire, car elle rappelle que dès sa fondation, Israël ne représentait pas «les» juifs et que cet État, dans la forme coloniale et suprémaciste qu'il prenait, était même contesté radicalement par de nombreuses personnalités juives :
«La visite de Menahem Begin et les objectifs de son mouvement politique
Aux rédacteurs du New York Times
L'un des phénomènes politiques les plus inquiétants de notre époque est l'émergence, dans l'État nouvellement créé d'Israël, du «Parti de la liberté» (Tnuat Haherut), un parti politique dont l'organisation, les méthodes, la philosophie politique et l'appel social sont très proches de ceux des partis nazi et fasciste. Il a été créé par les membres et les partisans de l'ancien Irgoun Zvai Leumi, une organisation terroriste d'extrême droite et nationaliste en Palestine.
La visite actuelle de Menahem Begin, leader de ce parti, aux États-Unis, vise manifestement à donner l'impression d'un soutien américain à son parti lors des prochaines élections israéliennes et à consolider ses liens politiques avec les éléments sionistes conservateurs aux États-Unis. Plusieurs Américains de renommée nationale ont prêté leur nom pour saluer sa visite. Il est inconcevable que ceux qui s'opposent au fascisme dans le monde entier, s'ils sont correctement informés du bilan politique et des perspectives de M. Begin, puissent se porter caution par leur nom et leur soutien pour le mouvement qu'il représente.
Avant que des dommages irréparables ne soient causés par des contributions financières, des manifestations publiques en faveur de Begin et la création en Palestine de l'impression qu'une grande partie de l'Amérique soutient les éléments fascistes en Israël, le public américain doit être informé des antécédents et des objectifs de M. Begin et de son mouvement.
Les déclarations publiques du parti de Begin ne permettent pas de se faire une idée de son caractère réel. Aujourd'hui, ils parlent de liberté, de démocratie et d'anti-impérialisme, alors qu'il y a peu, ils prêchaient ouvertement la doctrine de l’État fasciste. C'est dans ses actions que ce parti terroriste trahit sa véritable nature ; ses actions passées nous permettent de juger de ce que l'on peut attendre de lui à l'avenir.
Attaque d'un village arabe
Un exemple choquant est leur comportement dans le village arabe de Deir Yassine. Ce village, à l'écart des routes principales et entouré de terres juives, n'avait pris aucune part à la guerre et avait même repoussé les groupes arabes qui voulaient l'utiliser comme base. Le 9 avril, des bandes terroristes ont attaqué ce village paisible, qui n'était pas un objectif militaire dans les combats, ont tué la plupart de ses habitants (240 hommes, femmes et enfants) et en ont gardé quelques-uns en vie pour les faire défiler comme captifs dans les rues de Jérusalem. La majeure partie de la communauté juive a été horrifiée par cet acte et l'Agence juive a envoyé un télégramme d'excuses au roi Abdallah de Transjordanie.
Mais les terroristes, loin d'avoir honte de leur acte, étaient fiers de ce massacre, en firent une large publicité et invitèrent tous les correspondants étrangers présents dans le pays à voir les cadavres entassés et la destruction qui régnait à Deir Yassine.
L'incident de Deir Yassine illustre le caractère et les actions du Parti de la Liberté.
Au sein de la communauté juive, il a prêché un mélange d'ultranationalisme, de mysticisme religieux et de suprémacisme racial. Comme d'autres partis fascistes, il a été utilisé pour briser des grèves et a lui-même fait pression pour la destruction des syndicats libres. À la place, ils ont proposé des syndicats d'entreprise sur le modèle du fascisme italien.
Au cours des dernières années de violences antibritanniques sporadiques, l'Irgoun et le groupe Stern ont inauguré un règne de terreur au sein de la communauté juive de Palestine. Des enseignants ont été roués de coups pour s'être exprimés contre eux, des adultes ont été abattus pour ne pas avoir permis à leurs enfants de les rejoindre. Par des méthodes de gangsters, des passages à tabac, des bris de vitrines et des vols à grande échelle, les terroristes ont intimidé la population et exigé un lourd tribut.
Les membres du Parti de la liberté n'ont pris aucune part aux réalisations constructives en Palestine. Ils ne se sont emparés d'aucune terre, n'ont construit aucune colonie et n'ont fait qu'entraver l'activité de défense juive. Leurs efforts en matière d'immigration, qui ont fait l'objet d'une grande publicité, ont été infimes et ont été consacrés principalement à l'importation de leurs compatriotes fascistes.
Contradictions
Les contradictions entre les affirmations audacieuses de Begin et de son parti et leur bilan en Palestine révèlent clairement qu'il ne s'agit pas d'un parti politique ordinaire. C'est la marque indubitable d'un parti fasciste pour lequel le terrorisme (contre les Juifs, les Arabes et les Britanniques) et les fausses déclarations sont des moyens, et l'érection d'un «État dominant» est la fin.
À la lumière des considérations qui précèdent, il est impératif que la vérité sur M. Begin et son mouvement soit connue dans ce pays. La situation est d'autant plus tragique que les principaux dirigeants du sionisme américain ont refusé de faire campagne contre les efforts de Begin, ou même d'exposer à leurs propres électeurs les dangers que représente pour Israël le soutien à Begin.
Les soussignés prennent donc ce moyen pour présenter publiquement quelques faits saillants concernant Begin et son parti, et pour exhorter toutes les personnes concernées à ne pas soutenir ce dernier avatar du fascisme.
New York, 2 décembre 1948
ISIDORE ABRAMOWITZ, HANNAH ARENDT, ABRAHAM BRICK, RABBIN JESSURUN CARDOZO, ALBERT EINSTEIN, HERMAN EISEN, M.D., HAYIM FINEMAN, M. GALLEN, M.D., H.H. HARRIS, ZELIG S. HARRIS, SIDNEY HOOK, FRED KARUSH, BRURIA KAUFMAN, IRMA L. LINDHEIM, NACHMAN MAISEL, SEYMOUR MELMAN, MYER D. MENDELSON, M.D., HARRY M. OSLINSKY, SAMUEL PITLICK, FRITZ ROHRLICH, LOUIS P. ROCKER, RUTH SAGIS, ITZHAK SANKOWSKY, I.J. SHOENBERG, SAMUEL SHUMAN, M. SINGER, IRMA WOLFE, STEFAN WOLFE.»
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Source de la traduction : https://blogs.mediapart.fr/alain-marshal/blog/081223/quand-albert-einstein-et-hannah-arendt-denoncaient-le-fascisme-naissant-en-israel
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homomenhommes · 15 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 148
Dans le donjon, avec Daniel, je mets Cédric à nu. Direction les douches. Nous le lavons. Je vérifie qu'il est nickel coté pilosité et à l'aide de quelques bandes de cire enlève les quelques poils en trop. Pour le reste (aisselles, couilles) le travail est déjà bien fait. Il est surpris quand je lui enfile la canule de lavement dans le cul. C'est une première pour lui. Comme je viens de l'enculer, elle rentre facile et j'ouvre l'eau. Je lui explique le principe. Je coupe l'eau quand il se tortille et Daniel le pose sur les WC. Il expulse et nous recommençons. A la troisième fois, l'eau sort nickel. Séchage, inspection, il est tout beau. Avec Daniel, je le pousse jusqu'à l'un des slings. Nous le positionnons dessus. Ajustement des attaches et le voilà pieds et poings liés. Un peu paniqué (mais bientôt...niqué) il nous questionne. Daniel le rassure et lui dit que l'on ne lui fera rien qu'il n'aime déjà. A l'aide des chaines de suspension, nous remontons le sling jusqu'à pouvoir travailler son trou sans se pencher. Avec nos doigts et à 4 mains, nous ouvrons gentiment sa rondelle. Durant la prépa, nous avons du nous arrêter plusieurs fois, notre sujet d'étude arrivant au bord de l'éjaculation. Après nos doigts, nous sommes passés aux godes. Taille progressive jusqu'au 22 x 4,5 afin qu'il reste un peu de travail à la bite de Marc. Cela fait, je lui ai mis un plug taille moyenne pour le faire patienter et nous l'avons descendu à hauteur de bite.
Juste comme nous finissions, la porte s'est ouverte sur Marc. Sacoche à la main, il arrivait directement du taf. J'ai embarqué Daniel pour m'occuper de lui après avoir glissé dans l'oreille de Cédric de ne pas dire un mot.
En quelques instants, nous l'avons dévêtu puis douché. Daniel n'a pu résister à l'appel de sa bite qui prenait doucement du volume et à genoux, a commencé à lui sucer la queue. Bientôt il a du engouffrer les 22cm en pleines formes. Pendant ce temps là je roulais un patin à mon homme. Ainsi mis en forme, il nous a repoussé et s'est déplacé vers le centre du donjon et le sling. Devant Cédric en position, il nous a félicité de notre choix. Sa main a parcouru le corps mis à sa disposition, provoquant quelques frissonnements et apparition locale de " chair de poule ". Il s'est finalement positionné à sa tête et poussant le front vers le bas a dit à Cédric d'ouvrir la bouche. En avançant le bassin, il a entré son gland puis sa bite entière. L'entrée dans la gorge a fait sursauté le corps allongé mais pas plus. A la suite, il s'est offert à Marc sans recul. Comme Cédric, encore novice en gorge profonde, était obligé de déglutir fréquemment, Marc nous a dit son plaisir à se faire un néophyte.
Pendant ce temps là Daniel et moi nous bandions comme des fous. Marc nous demande alors d'enculer Cédric pour le roder. Aussitôt demandé aussitôt réalisé. Je passe en premier. Retrait du plug avec sursaut de son hébergeur lors du passage renflé et je pousse mon gland au fond de son trou. Avec Marc nous ajustons nos mouvements pour les synchroniser. Avec régularité, nous nous enfonçons en léger décalé ensemble dans le jeune corps à notre disposition. Quand je suis au fond du cul, Marc est au fond de la gorge. Cédric gémit de plaisir sous l'envahissement de nos bites. Daniel se presse contre mon dos et je sens sa queue entre mes fesses. Comme je ne veux pas sortir de Cédric, je lui dis de mettre une kpote. Il comprend de suite et, encapuchonné, il revient se coller à moi. Je me bloque au fond de Cédric le temps que Daniel m'entube. C'est trop bon ! Lentement il me met ses 20 cm. Quand je sens ses couilles contre les miennes, je sais qu'il est entré entièrement. Je me recule pour le placer à la bonne distance et m'active. Seul en mouvement, je coulisse sur la bite de Daniel tout en limant l'anneau de Cédric. J'y prends un grand plaisir ! Marc nous demande de lui laisser la place. Je me recule et sors de Cédric sans me décoller de Daniel. Nous nous déplaçons à l'autre extrémité du sling et kpote retirée, je remplace Marc dans la bouche accueillante de Cédric pendant que Marc l'enfile à l'autre extrémité. Malgré mes passages dans son cul, Cédric reste encore serré pour Marc. Je me penche sur Cédric pour mieux voir le travail de la queue de Marc. Son petit sexe tout droit m'attire et je fini par le prendre en bouche. avec un peu de persévérance, j'arrive à y faire entrer aussi ses deux petites boules. Sous mes yeux, la bite de Marc entre et sort de l'anus de Cédric qui commence à se boursoufler un peu. Ce n'est que gémissements et cris de plaisir. sous ma langue je sens monter la pression dans les couilles de Cédric et me relève juste à temps pour voir jaillir son sperme. Ses premiers jets atteignent mon menton puis mes pecs pour finir à 5cm de son gland sur ses abdos. Cela ne l'a pas arrêté dans sa pipe et je sens que ça va bientôt être à mon tour. J'ai juste le temps de reculer et je jute 6 grosses giclées sur Cédric. Mes contractions annales achèvent Daniel qui n'a pas le temps de sortir et jute dans sa kpote, accroché à mes épaules. Marc, lui, a profité du resserrement de l'anus de Cédric (dû à l'après éjaculation) pour continuer à le limer avec augmentation de frottement. Cela l'emmène à jouir à son tour. Il décule et dkpote dans le même mouvement et ajoute son sperme au mélange du mien et de celui de Cédric. J'ai juste la force de détacher Cédric, d'enlever le bandeau de ses yeux et de le faire descendre du sling, puis nous nous étalons sur les tatamis. Cédric choisit de se coucher sur Daniel (y aurait il plus que du sexe entre eux ?). Un 1/4 d'heure plus tard, sous une sensation de froid, nous filons tous les 4 aux douches que nous prenons brulantes.
Ammed nous attend avec peignoirs et manteaux pour nous dire que le diner est prêt. Samir nous attend à la maison. Apéritif, Daniel commence par refuser, c'est lui qui pilote. Marc lui dit qu'il peut se lâcher et rester dormir ici, la maison est grande. Il refuse devant ramener Cédric chez ses parents. Ce dernier confirme mais ajoute aussitôt que si on veut, il s'arrangerait pour pouvoir rester en WE. Il nous dit en rougissant, avoir vu des trucs dans le donjon qu'il aimerait bien essayer. Nous rions tous puis dinons avec appétit. ; Comme Daniel et Cédric nous ont quittés, Marc et moi discutons un peu. De son taf, il sera absent environ une semaine sur deux, des miens, où il est d'accord avec moi que je dois continuer à encadrer Jimmy et surtout Ed.
Nous convenons de nouveau du fait qu'en voyage il baise qui il veut (en général il n'a pas de difficulté à se trouver un cul parmi le personnel de service, c'est l'avantage de l'hôtellerie haut de gamme) et moi idem de mon coté le tout sous protection maximale. Pour moi, ses semaines d'absence seront principalement occupées par Emma, avec surement un peu d'André (mon banquier) et parfois de Xavier et Laure, cela sans compter bien sur les rencontres furtives possibles (aires de repos...).
Le soir même dans notre grand lit nous avons fait l'amour comme des perdus. Après m'être occupé de son corps des pieds à la tête, il m'a pris le cul comme lui seul sait le faire, me faisant monter très doucement jusqu'à la jouissance complète, celle qui fait oublier qui on est, où l'on est.
Ma langue a commencé par parcourir la surface de sa peau en commençant du gros orteil droit, remontant sur le tibia, la cuisse et hanche droite, le flanc, passage sur le téton, descente du bras, remontée sur l'épaule, le cou et l'oreille. Roulage de pelle puis descente à gauche. La stimulation de ses sens l'a fait bander et je peux m'attaquer à son sexe. Boule droite en bouche puis la gauche et enfin les deux ensemble me distendent les joues. Je les relâche pour lécher les 20cm de hampe dressés. Une fois ce cylindre brillant de ma salive je chapeaute le gland le prenant seul dans ma bouche. Il est brulant. Ma langue lèche toute sa surface, glisse sous la couronne. Marc laisse échapper un gémissement de plaisir. Je continu encore quelques instants avant de me pencher un peu plus et d'en prendre plus en bouche, jusqu'à ce que mes lèvres soient collées à son pubis (et donc son gland locataire de ma gorge). Je pompe cette bite un bon moment, déglutissant quand elle est dans ma gorge pour masser le gland, le recrachant en limite de ma capacité respiratoire. Quand je suis parti comme cela, je m'en étoufferais presque ! De temps à autre je récupère l'excédent de salive et en tartine mon anus. Ça plus mon excitation, ça devrait le faire. Après une bonne demi heure de pipe, je remonte lui rouler une pelle. Naturellement, mes genoux encadrent ses hanche et je sens son gland tapoter mes reins. Je relève le cul doucement pour que ce dernier se pose sur mon anneau. Et quand il y est, je m'assois d'un petit coup sec qui le fait entrer en moi. Un grognement d'approbation nait sous ma langue. je ne quitte pas sa bouche tout pendant que je descend sur sa queue. J'avais raison, ma salive plus l'excitation m'ont ouvert juste comme il fallait ! Vers la fin, je me redresse et enfonce le dernier cm dans mon cul, trop bon ! Marc me tient les hanches pour que je ne bouge pas tout de suite. Il se régale d'être au fond de moi. Quand il relâche la pression, je sais que je peux y aller et " trotter " sur sa bite. Je varie le rythme, mes mains en appui sur ses pecs, je monte et descend mon cul pour le limer sur son pieu. Par deux fois je dois me calmer sous peine de juter prématurément. Je me couche alors sur lui et nous nous roulon un patin. J'aime sa langue venir impérieusement occuper ma cavité buccale. Quand je sens que lui aussi est sur le point d'exploser, je passe au galop jusqu'à ce qu'il se cabre et soulève son bassin pour m'en mettre encore un peu plus si c'était possible et me tapisse le boyau de son jus. Ce n'est que qu'and il a expulsé sa dernière giclée comme nous retombons sur le lit qu'à mon tour de jute la pression envoyant mon sperme jusqu'à son visage. Le retour au calme se fait, comme couché sur lui je nettoie sa face à coups de langue et que son sexe glisse doucement hors de moi.
JARDINIER
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QUELQUES TRUCS BIEN. FEVRIER 2024
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Me faire tirer le portrait par un jeune patient de 10 ans. Le féliciter chaleureusement pour son talent, lui qui a tant de lacunes à l'école
Recevoir un nouveau jeu de poésie. Anticiper le plaisir 
Découvrir le gel au petit matin alors que j’espère le printemps, tout comme les bourgeons sur les arbres 
Prendre le temps d’échanger avec mes deux plus proches collègues. Nous faire mettre dehors par le chef de service. Continuer encore deux heures la conversation devant la porte 
Sentir que quelque chose s’est débloqué dans les dernières séances avec plusieurs de mes jeunes patients. Faire confiance (pour une fois) à mon ressenti 
Mettre du sens sur les enjeux des relations récentes. Penser désormais à trouver les mots pour en parler 
Projeter un week-end au soleil du bord de mer entre filles
Espérer tenir bon jusqu’aux vacances d’hiver 
Acheter de nouveaux livres cartonnés pour mon petit Mateo. Étoffer sa bibliothèque de tout petit 
Lire des articles de psychologie pour enrichir ma pratique clinique et faire des liens 
Fêter l’anniversaire de ma plus jeune nièce, dernière âge avant sa majorité 
Accueillir la confidence d’une amie. Partager l’émotion. Prendre la valeur de la confiance 
Encourager une amie à avancer sur un projet 
Poser une date pour le week-end expo Mucha à Aix en Provence. Week-end entre filles 
Organiser une « soirée entre filles » de 50 à 60 ans. Apprécier la sororité 
Recevoir par mail puis par courrier le document officiel tant attendu par ma fille et moi-même. L'appeler avec la voix qui tremble et les yeux qui piquent
Remarquer les arbres en fleurs sur le bord de la route : mimosas et amandiers 
Apprécier les journées qui s’allongent déjà
Prendre l’apéro au soleil sur la terrasse de maman pendant que ma fille donne son repas à mon petit Mateo
M’offrir des boucles d’oreilles en étoiles dorées. Assumer mon coté Wonder Woman 
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perduedansmatete · 10 months
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jeune et belle triste se sent sale tellement sale que ça ne partirait pas à la douche qu'elle est incapable de prendre il l'appelle mon ange comme autour du cou mais lui fait monter les sanglots qu'elle retient de plus en plus difficilement les reproches sont des pointes dans le coeur et elle se sent toute petite même quand il lui dit je ne t'engueule pas je veux comprendre mais il ne la croit pas quand elle dit qu'elle ne comprend pas qu'elle ne voit pas de quoi il parle alors elle reste mutique car elle ne sait faire que ça donc ça l'énerve il s'en va car il devait mais elle aussi n'attendait que ça et pourtant maintenant, elle l'attend
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lisa972kdlz · 5 months
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(Bon, il fallait quand même que je mette la version française par solidarité pour mes congénères qui auraient du mal avec l'anglais et qui passeraient par là pour des raisons obscures xD)
Théories Dreamtale :
Voici une liste de quelques théories à propos de l'histoire de Dreamtale qui laisse encore des trous très intéressants à essayer de combler. Pensées philosophiques et scientifiques m'ont amenées à concrétiser ces théories, pourtant, si je m'y suis inspirée, ce n'est pas sur ces points de vue que je me porterai, mais bien sur un point de vue purement artiste. Petit à petit la philo et la science s'est perdue dans mes divagations pour laisser place à des imaginations qui semblent s'emboîter. L'artiste imagine. Il triche, il ment, il n'a cure des réalités concrètes. La seule science sur laquelle je me positionne, finalement, ce sont les éléments apportés du canon de Dreamtale, du moins ceux que j'ai réussi à piocher. Peut-être aurais-je manqué certaines informations qui iraient détromper ces hypothèses, auquel cas il serait courtois de me le faire savoir.
De manière plus chill, je suis juste une ado avec un esprit débordant qui adore élaborer des théories tarabiscotées avec ce que j'ai sous la main, et que j'écris ça principalement pour m'amuser ^^
Ce n'est absolument pas parce que je pense que c'est vrai, en fait je ne pense pas une seconde avoir raison, donc on ne peut pas trop appeler ça des théories... Juste des spéculations, des idées à propos de Dreamtale que je voulais partager. Presque des headcanons, mais tout de même basé sur des éléments concrets du canon.
Mais commençons, première théorie !
☁︎ Canon/Fanon :
Tout d'abord, pourquoi est-ce que j'insiste autant sur la canonicité ? Parce que concernant Dreamtale, la frontière entre le Fanon et Canon n'est pas toujours très comprise, étant donnée qu'il y a pas mal d'idées reçues à ce sujet.
Le fait est que je considère le Fanon et le Canon de Dreamtale comme deux mondes totalement distincts, et pourtant, comprenez que je déteste adhérer à des variantes de ci et de ça pour tout et n'importe quoi. L'idée de séparer viscéralement le côté Canon et le côté Fanon d'une œuvre me semble dénué de sens, surtout dans la carde d'un monde ouvert où chaque univers est une pièce d'un puzzle plus grand, où le monde qu'on nous présente est fait pour être un immense terrain de jeu.
Et puis à ce stade, si on fait cela avec cet univers, on pourrait faire de même pour toutes les histoires existantes. Néanmoins, pour CE monde en particulier, ça me paraît important.
Car il y a une différence cruciale qui sépare C!Dreamtale et F!Dreamtale, une différence qui modifie complètement l'interprétation de l'œuvre. Le Fanon ne fait pas juste quelques modifications d'interprétation... Il change carrément la nature même d'un personnage : Nightmare Corrompu.
Et ça, bah... C'est un peu compliqué de ne pas séparer, surtout quand la version Fanon est aussi populaire... Canon, il est mort et son corps appartient à un autre personnage qui a lui-même une personnalité et un Background à lui. Fanon, il est vivant. Piégé, emprisonné, manipulé, séparé en deux personnalités (Night et Mare) ou foncièrement mauvais selon les cas, mais vivant.
Night vit un peu le syndrome d'Asriel. C'est parce que les fans d'Undertale n'ont pas pu accepter sa mort que les premiers AU's ont été créés. Et pour Dreamtale, il y a eu une telle mésentente à ce propos (car en lisant le Prologue, tout le monde était d'accord sur le fait que Nightmare Corrompu était...bah... Nightmare (je vous rassure c'était pas évident–)), que la majorité pense que c'est ça l'officiel.
On peut ajouter à cela le fait que la plupart du temps, dans les histoires très fanons, les deux autres arbres n'existent pas ou ne sont jamais mentionnés, que Corrompu (je refuse de l'appeler "Nightmare" tout simplement parce que ce n'est pas Nightmare), n'est pas une personne à part entière, voire n'existe pas du tout, que Dreamtale est un AU d'Undertale et donc fait de codes comme les autres AU's, mais tout cela dépend encore des gens selon leur interprétation et leurs connaissances vis-à-vis du vrai Dreamtale.
De manière plus tranchante, et si la frontière est toujours confuse : F!Dreamtale appartient au Multivers d'Undertale tandis que C!Dreamtale est son propre univers.
Vu que j'aime autant ces deux aspects l'un que l'autre et afin de mettre tout le monde d'accord, j'ai élaboré une mini théorie :
Le Dreamtale Fanon, étant le Dreamtale développé par les fans se basant sur la croyance que Nightmare Corrompu est plus ou moins Night, s'est tellement éloigné de son histoire d'origine (Il se consacre davantage sur la relation "frères brisés" des deux jumeaux, leur développement mutuel et leurs relations avec les personnages du Fandom Undertelien), qu'au fur et à mesure, en posant racines dans le monde d'Undertale et par l'influence des créateurs, Dreamtale se serait "dédoublé". Cette doublure aurait ensuite fusionné avec les codes du Multivers d'Undertale, parce que Dreamtale s'y est tellement bien intégré que cette version de lui a fini par s'imprimer au sein même du noyau et des codes. C'est pour ça qu'on ne mentionne pas toujours les autres arbres, étant donné qu'eux n'ont jamais rejoint le Multivers d'Undertale, voire qu'on ne les mentionne JAMAIS pour les AU's de Dreamtale comme Swapdream ou les Multivers alternatifs comme Dreamswap, Swapverse, etc. C'est pour ça que Dream et Nightmare existent dans les Multivers/AU's alternatifs et pas le reste (Vampireverse, Empireverse, Minuscultale et Cie)
Au final, cela donne deux Dreamtale :
Le Dreamtale Canon, qui appartient à Joku,
Le Dreamtale Fanon, qui appartient au FandomÀ Joku aussi.
Bah oui, ça reste Dreamtale en fait, donc ça appartient toujours à Joku quoi que veuillent les haters ◖눈ᴥ눈⁠◗
Duh.
Également, cela n'empêche certainement pas d'imaginer des fanfics fanons qui se basent sur le C!Dreamtale, c'est même conseillé pour le mettre en avant comme il le mérite. D'où l'idée de séparer complètement ces versions, car les fans peuvent faire des fanfictions sur le Canon, et bien que fanon, ce ne sera pas la version F!Dreamtale.
Deux mondes prenant des chemins thématiques différents créés par l'incertitude de la mort de Night (comme un "Night de Schrodinger"  ͡⁠°⁠ ͜ · ͡⁠°⁠)
Théorie suivante !
☁︎ Lien Arbre des Sentiments/Créateurs :
C'est une question que je me suis posée en m'interrogeant sur les diverses attaques de Dream et Corrompu. Là où Dream a besoin d'un corps pour tenir, Corrompu possède tellement de pommes noires qu'il tient physiquement en place sans enveloppe charnelle, et à peu près correctement. Énergies positive et négative ont des fonctionnements différents ? Est-ce parce que Corrompu possède plus de pommes qu'il tient mieux ? Qu'est-ce l'énergie positive et négative dans Dreamtale ?
Au début, j'étais partie du principe que l'énergie, étant ce qui compose absolument toutes les choses existantes, les humains comme les monstres, pouvait être utilisée par Dream et Corrompu pour être convertie soit en énergie magique, soit en énergie physique. Comme Dream n'a qu'une pomme et possède un corps, il convertit cette énergie en énergie magique, ce pourquoi il possède une âme similaire à celle des humains et serait en mesure de guérir comme le fait la magie verte, ou faire des dégâts comme avec la magie blanche. Quant à Corrompu, ne possédant pas de corps propre et ayant amassé assez de puissance avec ses centaines de pommes, il serait obligé de convertir l'énergie négative en énergie physique. Cela nécessiterait beaucoup de puissance, et donc expliquerait pourquoi, malgré le fait qu'il soit plus fort que Dream, il n'est pas 999X plus fort que lui. Il utilise déjà une grande partie de son énergie à simplement... Tenir en place sans fondre.
J'avais également suggéré que si l'un venait à acquérir toutes les pommes, non seulement il bénéficierait d'un corps stable, mais en plus il serait capable de convertir cette énergie comme bon lui semblerait. Corrompu pourrait alors générer des attaques magiques ET avoir un corps physique.
Le truc, c'est que... Dreamtale ne fait pas partie d'Undertale en réalité. Donc il n'y a pas de dualité Magie/Physique. Et même en admettant que Dream convertisse cette énergie en énergie magique parce qu'il copie inconsciemment le fonctionnement de son monde d'adoption, j'ai vérifié et il attaque bien canoniquement avec de L'ÉNERGIE positive et pas de la magie à base d'énergie positive. Son âme est intégralement d'énergie positive étant donné que personne ne peut l'atteindre à par Corrompu. L'énergie apparaît sous plusieurs formes, mais je ne pense pas qu'on puisse maîtriser avec une forme aussi pure...
Tout cela peut encore tenir en place, mais ce qui me gêne le plus serait que l'énergie pure aurait... Un côté positif et un côté négatif ? Relatif aux sentiments qui plus est ? Pourquoi pas, mais ça me plaît pas trop.
Cette énergie est matérielle, palpable. On pourrait s'arrêter sur le fait que ce n'est qu'une énergie magique comme on en trouve partout dans les histoires et ne pas se poser plus de questions, et... Ouais, qu'on s'en fout un peu au final.
Mais j'adore me creuser la tête pour trouver des réponses aux questions que personne ne se pose alors je continue èwé–
À quelle sorte d'énergie cela ferait-il référence ? Pas l'énergie dans le sens scientifique, car elle est indépendante de quelconque émotion, tandis que dans Dreamtale, l'énergie positive par exemple, est reliée directement aux sentiments positifs.
Parce que arbre des SENTIMENTS–
Le plus plausible que j'ai trouvé, ce serait que les énergies positives et négatives soient liées à l'énergie spirituelle : les auras, la méditation, dont les preuves d'existence sont assez floue dans le monde des créateurs. Mais dans le monde de la fiction...? Et si ?
Cette énergie de la conscience existe, qu'elle soit réelle ou non. Et si elle ne se trouve pas dans le monde réel, tant qu'il y a des gens pour y croire, c'est qu'elle se trouve dans le monde de la fiction. Et si les fruits de l'arbre des sentiments étaient la manifestation physique et matérielle de cette énergie spirituelle produite par la conscience des créateurs ? Tout comme un monde est créé par un esprit créateur, et si Dream et Nightmare étaient les gardiens des sentiments de la fiction en tant qu'incarnation directe des émotions que les créateurs inculquent dans leurs œuvres ? Ça pourrait être la raison pour laquelle Dreamtale n'est pas fait de codes, car il est l'incarnation directe d'une philosophie et pas simple un univers de fiction parmi tant d'autres.
J'arrive pas à savoir si ça paraît trop évident ou au contraire trop tiré par les cheveux ^^"
C'est le concept dans Underverse qui m'y a fait penser... Il y a des références entre ce que sous-entend Nightmare dans 0.6 et les créateurs qui déchirent leurs propres univers, car ils sont emplis d'émotions négatives. Underverse n'est pas canon, mais rien n'empêche d'appliquer cette idée de lien créateur/sentiments dans Dreamtale.
Surtout que ça permet d'imaginer quelque chose d'encore plus gros et qui pourrait marcher par rapport aux trois arbres...
Mais avant cela, petite théorie sur Corrompu parce que plus on en apprend sur lui, plus ce personnage est... Mystérieux.
☁︎ Y'a quelque chose de pourri au Royaume de Dreamtale :
Depuis que j'ai su que les trois arbres faisaient partie non pas du Multivers d'Undertale mais de tous les autres Multivers, je me suis demandée pourquoi ce serait Corrompu qui incarnerait le Mal absolu, lui et pas un autre. Après tout, des seigneurs du mal, on en connait plein, n'est-ce pas ? N'est-ce pas un peu prétentieux de se dire au-dessus de tout le monde ?
Un détail cependant, une nuance, marque toute la différence.
Par définition, Corrompu n'incarne pas le Mal, mais les sentiments négatifs. Il les incarne parce qu'il est devenu leur gardien, leur porteur. Ce que je veux dire, c'est que les pommes noires et le Mal ne sont pas liés... Les pommes noires ne sont pas fondamentalement mauvaises, elles n'ont pas de conscience, elles sont neutres, elles existent pour l'équilibre et ont une utilité propre.
Corrompu est le Mal pour une autre raison. Il l'est parce qu'il est tout simplement mauvais. Si l'incarnation des sentiments négatifs est méchante, ce n'est pas parce que les émotions négatives ou les pommes sont méchantes, mais parce qu'elles sont elles-mêmes corrompues, aliénées par une conscience qui les manipule de façon irresponsable. Pourquoi l'Entité ressentirait-elle de la haine ? De la haine et pas du désespoir ou de l'effroi ? Parce qu'elle était déjà emplie de haine, ou bien qu'elle a une personnalité battante qui lui permettent d'exploiter cette émotion pour ses sombres projets. Signe que Corrompu ne serait pas digne d'être leur porteur ? Après tout il n'est pas leur gardien de base, c'était Nim, puis Nightmare.
Donc de ce point de vue là, cela ne l'empêche pas d'être une allégorie à l'échelle de toutes les dimensions (ou d'une grande zone des dimensions, si on n'aime pas le fait que Dreamtale soit lié à tous les univers de fiction.) Une allégorie des sentiments négatifs qui n'a pas lieu d'être et qui donne une image erronée de ce que sont les sentiments négatifs en réalité. Les sentiments négatifs ne sont ni bons ni mauvais, ils ne veulent aucun mal aux autres. Celui qui leur veut du mal, c'est l'Entité.
C'est un simple méchant qui a mis la main sur un pouvoir qui ne lui appartient pas.
...
Peut-être pas un "simple" méchant non plus ?
Car, autre théorie, je pense que Corrompu est ce quatrième gardien dont a parlé Joku. Premièrement parce que je ne sais pas qui il pourrait être d'autre, mais aussi parce qu'il est au courant pour les autres dimensions hors Undertale. Comment le saurait-il s'il ne venait pas de l'extérieur ? Qui serait ce quatrième gardien sinon, et pourquoi Joku le mentionnerait ? De plus, avec cette théorie, certains éléments s'emboitent, notamment sa stratégie de manipuler Nim (Nim est loin d'être idiote, il n'aurait sans doute pas réussi aussi facilement s'il ne la connaissait pas déjà un minimum), afin de créer Dream et Nightmare, divisant les forces, tout cela dans le but de trouver une enveloppe tout en prenant possession de l'arbre des Sentiments...
Comme un plan réfléchi depuis des années et des années. Ajoutant l'anecdote que les gardiens des arbres ne seraient pas les gardiens originaux et que Nim aurait appris quelque chose d'affreux à propos d'eux avant de partir pour Undertale, on pourrait penser qu'une menace pourrie tirait déjà les ficelles dans l'ombre, bien avant la naissance de nos chers jumeaux.
Mais alors, que chercherait Corrompu ? Quel serait son plan final ? Répandre la négativité sur toutes les dimensions et régner en maître en tant que Dieu vivant ?
Très beau programme... Mais et si on poussait légèrement plus loin ?
☁︎ Les Sentiments, la Vie, la Magie :
Pourquoi trois arbres ? Pourquoi CES trois arbres ? Pourquoi les placer au centre des Multivers ? Pourquoi les sentiments, la vie et la magie sont le cœur des mondes ? Quel lien peut-on leur donner ?
Les sentiments, bon ok, ça marche... La vie et la mort, logique... La magie ? Pourquoi la magie ? La magie n'est pas un élément nécessaire dans les Multivers, parfois elle est même inexistante... Pourquoi un arbre de la magie et pas un arbre des âmes, ou encore un arbre des vertus et des péchés par exemple ? Undertale est très lié à la magie, mais c'est pas le cas de tous les mondes...
C'est là qu'on reprend l'idée comme quoi les pommes sont les formes matérialisées des sentiments que les créateurs appliquent à leurs œuvres... Est-ce que ça marche aussi avec la Magie et la Vie ?
Et oui. Les arbres ne se contentent pas de s'occuper des Sentiments, de la Vie et de la Mort et de la Magie... Ils reflètent ce dont ont besoin les créateurs pour créer.
Les sentiments, comme on l'a dit, sont exactement ce qui permet de trouver l'inspiration, d'alimenter l'imagination comme on entretient un feu. Tant que les sentiments demeurent, la passion et l'inspiration aussi.
La vie, elle, est tout simplement ce qui permet à une œuvre d'être, de rester. La vie est le nid dans lequel baigne l'esprit, elle rassemble les expériences du créateur, les loge, les préserve. On pourrait aussi dire que plus il y a de vies pour être témoin d'une œuvre, plus une œuvre est dite réelle.
L'inspiration, d'accord... Le terrain, d'accord... Mais qu'est-ce qui manque pour créer quelque chose à partir de rien ? Pour rendre vrai l'irréel ? Matériel l'immatériel ?
Rien de plus qu'un peu de magie ✨ !
Pas la magie qu'on trouve en fiction avec des sorciers et qui suit une pseudo logique scientifique, non... La magie dans le sens : croire en quelque chose d'irrationnel. Croire que ces mondes existent, avoir foi sans avoir besoin de preuve. Accepter l'imagination. Pas dans une connotation religieuse, mais plus dans le sens : Magie = Suspension consentie d'incrédulité.
Les Sentiments : Le combustible.
La Vie : Le comburant.
La Magie : L'étincelle.
Le triangle du feu est complet.
À eux trois, et si ces arbres formaient l'équivalent de la Triforce de la Création elle-même ?
Les Sentiments pour la stimuler, la Vie pour la maintenir, la Magie pour la concrétiser.
Que se passerait-il, si par malheur, un être mal attentionné parvenait à s'emparer du pouvoir de ces trois arbres ? Quelles en seraient les conséquences ? Au final, peut-être que cette Entité mystérieuse ne désire pas seulement la pomme dorée dont Dream a la garde ?
Et si ces trois arbres marchent très bien ensemble, de quoi s'occuperait le quatrième gardien ?
Il serait le gardien originel ?
Ou l'exact opposé de la Création : la Destruction et le Néant ?
(Et vous, qu'en pensez-vous :3 ? Avez-vous des théories à propos de ce qui va se passer dans la suite de Dreamtale ?)
Dreamtale appartient à Jokublog
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ltalaynareor · 3 months
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Comment les rois réagiraient à une OC humaine qui est anxieuse.
Aro
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Il sait qu'elle est anxieuse, car il la voit fuir son regard, ou observer la porte, devenir statique et faire des faux sourires.
Pour remédier au problème, il la tient contre lui, son dos contre sa poitrine et chuchote des douceurs à son oreille.
S'ils sont en public, il lui tiendra la main ou la taille et fera attention de lui rappeler qu'elle est aimée en l'appelant par des noms doux .
Dès qu'ils pourront s'éclipser, il la portera et l'enroulera dans des couvertures sur son lit, faisant attention à être assez proche pour la faire se sentir protégé, mais pas assez pour lui donner froid.
Caïus
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Caïus a conscience que sa compagne peut avoir des crises d'angoisse à cause du bruit ou simplement d'une surcharge d'informations.
Si elle ne se sent pas bien et que cet état est dû à un vampire ou à un humain, il sera éliminé.
Si c'est une situation, elle sera écartée et gardée dans ses quartiers à lui, avec lui, jusqu'à ce qu'elle soit plus calme et que la dite situation soit éliminée.
Caïus est fier d'être protecteur et possessif et n'hésite pas à la serrer contre lui et à l'embrasser férocement devant son clan. En public, il se contentera de la tenir par la taille.
Marcus
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Marcus sait que sa compagne peut être aussi froide que l'hiver si elle ne se sent pas bien.
Pour Marcus, sa compagne est sa priorité absolue. Qu'il soit dans un procès ou dans leur chambre, elle passera toujours en premier.
Quand elle devient anxieuse, il trouve un endroit calme, l'incite à monter sur ses genoux et lui murmure des douceurs, l'apaise et la calme. Si ce n'est pas assez, ils iront dans sa chambre à lui et il l'aidera à s'endormir.
En public, comme en privé, Marcus est le même. Il l'embrasse et la tient comme si elle était la personne la plus importante de sa vie.
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white-poppie · 2 years
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Auburn lipstick
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"You ready?" he questions, leaning on the doorframe with his arms crossed.
"Almost," you reply, fixing the last of your makeup. The auburn lipstick highlights your face with its soft, neutralised red.
"Done," you smile and turn towards him. His eyes scan you from heel to head until they meet yours.
He cursed under his breath, "you look stunning."
"Why, thank you, handsome," you giggle, making his heart become putty. Of course, he looked handsome. With his black dress shirt and trousers accompanied by sneakers, you swear your heart was going to burst out of your chest.
He pulls you close by your waist, leaving small kisses on your neck and collarbone, "so pretty." His voice sounds...desperate and carnal. It makes you shiver.
He stares at your lips for a second, " 's the lipstick I got?" You hum in agreement.
He smiles and leans to kiss you and you have to keep your hand on his chest to stop him. He raises his eyebrow at your action.
"Lipstick," you whisper.
"Jus' re-apply it, baby," he says.
"Don't have time, need to leave soon," you say, but the way his eyes, droop with determination and eros makes you gulp your voice down, "fine."
He giggles and places small, open-mouthed kisses on your neck and jaw, eventually coming to your lips, looking for a sign of approval, which you give.
Your arms wrap around his neck, tantalizingly. Your body burns wherever his hands roam. Gasping desperately as he engulfed you completely, you break the interlock and place chaste kisses on his jaw and neck. He shivers slightly at your ministrations, eyes closing in delight.
Your eyes fall on the clock which indicates you were pretty late for the party.
"We- are late," you speak breathlessly.
He looks at the clock and back at you. His hair is sweaty and dishevelled, his shirt unbuttoned a little and his tie thrown haphazardly on the bed. The most prominent feature; is the auburn lipstick stains littered across his face, jaw, cheeks and neck and smudged on his lips. It is fair to assume that you must have a similar state.
"Since we are already late, and neither of us wants to get re-dressed again, let's just cancel it," he says.
"It's an important meeting!" you gasp.
" 'S fine, I already have more important issues to attend to."
KURAPIKA, Chrollo, Kite, HAWKS, AIZAWA, Kirishima, Izuku, L Lawliet, Mello, Daichi, KUROO, ATSUMU, Suna, Sugawara, Gojo, GETOU, NANAMI, Shinichiro, Wakasa, DRAKEN, Inupi, MITSUYA, Taiju, RAN HAITANI, HANMA, NAOTO
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A/n: This is the first time I wrote something suggestive, please forgive me if it sounds cringe.
Tags:  @rintaroubby​​ @nanaseishiro​​, @akumicchi​​, @oikawatoorupdf​​ @dislownini @bakaface​​ @denkis111​​, @jazzylove​​,@lordmypantsaresocool​​, @futuristicallykawaiiturtle​​, @kristaline2dmensimp​​, @repostingmyfavs​​​​, @innerpurple, @katsukichu, @juanasspirit, @renster05, @navaratna, @sakinotfound
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Also Check out: L'appel du vide
Synopsis: Your husband, Hanma Shuji is dead! You team up with Tachibana Naoto, Chifuyu Matsuno, Ryuguji Ken and Mitsuya Takashi, you go on a journey full of betrayals and twists. Can you find out what really happened to your husband?
Requests are open (*3*)  Reblog/like to give the author a hug (´;︵;)  
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e642 · 5 months
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Je suis assise dans le froid à 200km de Nice, j'ai perdu mon briquet et je surveille la sœur (+ sa copine) de mon mec pendant que lui joue au basket. Cette description serait parfaite si je voulais réellement gâcher mes dimanches de cette sorte. Je me sens soudainement abattue et insatisfaite. J'essaie de faire le chemin en sens inverse dans ma tête pour réussir à cibler quand et où ça a dérapé, comment j'en suis arrivée là. J'ai une pulsion de suicide à la seconde. Sans rire. Je me sens présentement pas du tout à ma place et effrayée de le rester encore des années. Tellement de gens regrettent leur vie à 50 piges et je commence à bien comprendre. C'est via tous ces petits choix de merde qu'on continue à s'enliser dans tout ce qu'on déteste. Je vois tous ces gosses de 10 ans pas plus dans ce parc et ça me déprime. Tous en train de se faire des scolioses à force de baisser la tête pour regarder leur merde de téléphone. Avec du recul, j'aurais donné cher pour me préserver de ça encore quelques années. C'est en train de nous bouffer et fatalement de les bouffer. C'est au travers de réflexions comme ça, de prises de conscience que je réalise qu'il n'y a rien à envier au futur. Je sais pas pourquoi je pense à tout ça soudainement mais c'est récurrent. Je déborde de dégoût, toujours plus apte à détester et mépriser ce qui m'entoure. Je suis comme tous les gens qui me débectent pourtant. Je ne suis pas différente. J'alimente ce monde de ma chaire putride. Je n'ai pas hâte d'être ce soir, confinée dans son 15m carré le voyant incapable de ne regarder aucun écran et incapable de me regarder surtout. Je suis lasse des scénarios sans cesse se répétant. Je mettrai également 5h à m'endormir avec 2 Xanax. Puis je me lèverai tôt. Je stresserai -par politesse- de rater mon train. Puis 2h plus tard avec +/- 15 min de retard j'arriverai en gare de Nice. Le tram sera bondé, les insultes et les invitations déguisées de viol pleuvront. Je me rendrai en cours pour entraver que dalle, échanger des banalités avec 3 personnes alors qu'on en a tous respectivement rien à foutre de la vie des autres. Puis je rentrerai, je m'en voudrais d'avoir laissé des produits se perdre dans mon frigo, je ferai une crise de boulimie, je me gratterai au sang, puis j'irai me coucher vide. Sans oublier l'appel à mes parents passé juste pour leur délivrer leur dose quotidienne de mensonges.
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kiigan · 28 days
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Dashgame: Never Have I Ever !
RULES: Your Muse and all the Muses they interact with are in a pub somewhere across Space, Dimension and Time. Answer the first 'Never Have I Ever' In Character. At the end of that, let your Muse ask a new ‘Never Have I Ever’ question for the tagged people to answer themself. After those tagged people answered your prompt, they state their own 'Never Have I Ever' and tag you back along with other Muses. Rinse, lather, repeat. original by @treasurechestrpmemes
“ Never have I ever fantasized about murder. ”
ㅤGo out for drinks with Hidan, they said. It will be fun, they said, You won't be semi-overtly discussing homicide, they said. ...Or, well. Nobody said that, certainly not the last part, yet the point being: Itachi finds his eyes widening slightly in bewilderment.
ㅤIn all fairness, and in the world and times we live in, hyperbolic statements come too easily. I literally [this and that]; Itachi also the one person who deadpans, no, you did not literally did that, you don't know what literally means, stop using that word in every sentence. A whole different story for a whole other day, or perhaps for after a few more shots.
Anyway.
«Does it count when we're stuck in traffic and wishing to nuke the whole avenue?»
ㅤBecause, then, yes, he's guilty as charged. As possibly is every other human being who ever met the tragedy that is rush hour at evening. Now, beyond that... there's also stuff like spam emails, books that get printed with typos in the text, autocorrect in chatboxes that was never asked for. And who never thought about a few political leaders of some of the most influential countries and believed this world would be better off without them?
ㅤAnd... there's the sheer, raw enticement of the act when considered in the absence of moral values, Itachi supposes. The striking realization that humans are such fragile creatures, that it's so remarkably easy to make the transition from alive to dead. All it takes is a cut in the right spot, or a few grams of certain substances, or a few seconds of oxygen deprivation. It's as topic as terrifying as it is fascinating. L'appel du vide. Taken together, he reckons it's justification enough to take the glass and drain it in one go.
And now to give back.
«Never have I ever had an unrequited crush.»
tagged by: @zealctry ♡ tagging: if you're reading this you're tagged by default~ also if anyone wants to take this as a starter and continue it, feel free to!
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lilias42 · 7 months
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Jour 4 : Tragédie
Bon... techniquement, il y aurait dû avoir un billet sur les relations de Pan avant-hier et un autre sur comment les autres découvraient ses origines hier mais, ma désorganisation chronique, l'IRL, le temps monstre que j'ai mis à faire ma BD et le fait que je veux absolument mettre un dessin pour les illustrer histoire que ce soit un peu plus sympa que juste des pavés de textes m'ont fait prendre du retard alors, je le publierais plus tard (surement fin de semaine, début de la semaine prochaine, au diable l'ordre des jours).
Alors, en attendant, une des tragédies de Pan, avec un brin d'espoir à la fin pour ne pas finir sur une note trop triste (et parce que ça collait avec le numéro du jour)
Petite information pour mieux comprendre le contexte :
Sophie La Sage Hange-Blaiddyd : il s'agit de la demi-soeur de Loog mais, ils ont énormément d'écart, Loog était déjà adulte quand son père l'a eu avec une autre de ses maitresses... encore... Cela l'a mis hors de lui que son père pense seulement à badiner en pleine guerre d'indépendance, abandonne encore les conséquences de ses actes et laisse un autre de ses enfants sur le carreau, surtout que la mère ne voulait pas de sa fille étant donné qu'elle n'avait rien à gagner, laissant la petite toute seule au milieu d'une guerre. Loog a donc recueilli sa petite soeur, et l'a élevé comme sa propre fille, lui donnant le prénom de sa propre mère, Sophie. Elle sera d'ailleurs toujours considérée comme la fille de Loog, même si elle n'est pas né de sa chair, et toute la famille royal de Faerghus descend d'elle, Loog ne s'étant jamais marié et n'ayant pas eu d'enfant biologique. Je ne pense pas que Loog lui aurait donné un deuxième prénom étant donné qu'il est très fier des origines roturières de sa mère mais, s'il doit lui en donner un, ce serait Abigaëlle, la joie du père.
Suite sous la coupe :
"Pan, Loog voudrait te voir...
L'agarthan releva la tête de la lettre qu'il écrivait en entendant Sophie l'appeler par son vrai nom, plutôt que par celui qu'il utilisait en ce moment. Lucine lui avait dit qu'elle ne pourrait pas venir le voir cette année, se sentant trop faible pour faire le voyage alors, il lui promettait de venir dès que Loog se sentirait mieux. Pour le moment, il ne voulait pas quitter le chevet du roi et de son héritière... pas quand Loog s'affaiblissait aussi de jour en jour...
Même si l'agarthan s'habituait avec le temps, c'était toujours assez étrange de voir à quel point Sophie avait grandi, ressemblant toujours plus à Loog même s'ils étaient demi-frère et soeur. Elle qui n'était qu'un tout petit bébé tout frêle et fragile quand il l'avait rencontré, emmailloté dans un linge bien chaud pour la protéger du froid faerghien, si petite qu'elle disparaissait presque dans l'étreinte de Loog alors qu'il jurait de s'occuper d'elle et de la protéger de leur père, elle avait tellement grandi à présent qu'elle le dépassait de plusieurs têtes, faisant la taille de Loog. Une longue tresse blonde tombait sur son épaule, soulignant l'austérité de sa tenue, tout en laine bleue fine mais chaude, la jeune femme ne craignant aussi peu le froid que tous les autres Blaiddyd que Pan avait connu... enfin, jeune femme... à ces yeux... elle avait tout de même presque soixante ans à présent... et même si son emblème majeur ralentissait son vieillissement, Pan ne pouvait que voir les rides creusés de plus en plus profondément son visage, ses cheveux blanchir comme si on les trempait dans la chaux avant même qu'elle ne sorte de son crâne, ses pas redevenant maladroit comme quand elle apprenait à marcher, une vieille blessure à la jambe revenant la hanter alors que le temps usait ses os... alors Loog qui avait plus de trente ans de plus qu'elle...
-D'accord, j'arrive. Qu'est-ce qui se passe ? Il va bien ?
Le visage de la jeune femme se ferma un peu, baissant les yeux avant qu'elle ne lui tende la main en soufflant.
-Il veut te le dire lui-même...
De plus en plus inquiet, Pan attrapa sa main, son coeur se serrant en voyant que si les mains de Sophie portait toutes les marques d'usure laissé par sa vie bien remplie, celle de Pan restait toujours aussi pleine, toujours aussi jeune que le jour où il était revenu à la surface, cinq ans avant sa naissance... il était même obligé de se faire passer pour quelqu'un d'autre depuis quelques temps, quand il ne put plus se cacher derrière l'excuse que les signes de l'âge arrivaient tard dans sa famille... même pour quelqu'un avec un emblème, il n'était pas censé avoir l'air d'avoir moins de vingt ans alors qu'officiellement, il avait pratiquement quatre-vingt ans...
En traversant le palais, ils passèrent devant le grand tableau célébrant leur victoire contre l'empire, représentant tous leurs compagnons réunis... la gorge de Pan se serra encore plus en les revoyant tous... tous si différents de ce qu'ils étaient aujourd'hui... Lucine dansait avec peine, Amaury était à présent aussi sourd qu'il était muet, Poppa et Torf ne pouvaient plus voler entre Daphnel et Galatéa pour se voir comme avant, Clothilde avait grandi et pris la succession de son père quand Kyphon les avait quitté le premier, étant le seul sans emblème majeur d'entre eux... même Walter, Gylfe et Eudoxie les avaient quittés malgré ça, rejoignant l'épéiste quelques mois ou années plus tard...
Irène avait tellement changé depuis la mort de Sybille, ne quittant plus ses habits de deuil, contrastant avec sa chevelure devenue intégralement blanche de chagrin et même si les deux soeurs avaient passé leur vie à se taquiner et à s'envoyer des pics, elle ne disait plus rien de négatif sur elle... la cadette ressemblait à un fantôme elle-même...
Perdu dans ses pensées, Pan vit à peine qu'ils étaient arrivés devant la chambre de Loog. La grande porte fermée ressemblant à cet instant à celle séparant Shambhala du monde de la surface, séparant deux mondes... Sophie le lâcha, l'encourageant à entrer d'un regard. Prenant son courage à deux mains, l'agarthan passa le passage pour entrer dans l'univers de son sauveur, ce dernier ne le quittant pratiquement plus depuis quelques semaines.
Cela sentait les plantes et les médecines, les pots d'apothicaires et fioles de potions ayant remplacés les papiers de travail et les partitions sur le bureau de l'ancien roi. Sa flute de Pan reposait entre deux médicaments, une légère couverture de poussière l'enveloppant, laisser à l'abandon depuis trop longtemps... les médecins avaient déconseillé à Loog d'en jouer, cela forcerait trop sur ses poumons. Lui qui avait toujours tant aimé la musique qu'il pouvait en tirer...
Ce dernier était allongé dans son lit, si différent et à la fois si semblable de l'homme qui avait tiré Pan du noir à bout de bras. Tout comme sa fille adoptive, ses cheveux étaient devenus blancs et cassants, la peau collait à ses os, sa force pourtant prodigieuse volée par les années, son regard souvent éteint et absent... cependant, une étincelle de joie s'y alluma quand il le vit, arrivant à sourire alors qu'il murmurait, ne parlant plus vraiment... sa voix était devenue trop faible et chevrotante...
"Pan... tu es là... approche...
-Oui, je suis là... Sophie m'a dit que tu voulais me parler...
Obéissant, l'agarthan s'assit sur le lit au côté de l'homme qui l'avait sauvé, prenant sa main, comme pour s'accrocher encore et encore à lui. Elle se serra à peine autour de ses doigts... même sa main mécanique s'usait et montrait des signes de faiblesse, il devait changer de plus en plus souvent des pièces pour qu'elle soit encore utilisable... Pan rêverait que tout soit aussi simple...
-Je suis content de te voir... tu as l'air d'aller bien... même si tu es aussi triste...
-... oui... Lucine ne pourra pas venir... elle se sentait trop faible pour supporter le voyage... alors, je lui ai dit que je viendrais la voir quand tu iras mieux...
-C'est une bonne idée... elle sera contente de... arriva-t-il à sourire à nouveau, avant de se faire interrompre par une quinte de toux, entrechoquant ses os entre eux dans des craquements macabres, glaçant le sang de l'agarthan jusqu'au plus profond de son coeur, craignant le pire.
Pan voulut appeler les médecins mais, Loog le retient avec ce qu'il lui restait de force.
-Non... ça ne sert à rien... ça ne sert plus à rien... je... Pan... je crois que c'est bientôt l'heure de se dire au revoir...
-Non... non... dit pas ça... tu es encore si jeune... nia-t-il, presque par automatisme, une voix sombre se moquant de lui alors qu'il reniait la réalité même.
-Pas tant que ça... j'ai déjà bien vécu... plus que beaucoup de mes ancêtres dans la famille de ma mère... et plus longtemps que cette enflure qui me servait de père, ce que je prend comme une victoire en soit... ne put s'empêcher de piquer Loog, le mépris s'échappant une seconde avant de mourir dans un râle. J'ai déjà eu une longue vie, même si c'est sûr que... rha... à ton échelle, cela doit paraitre bien court...
-Trop court... tu ne peux pas partir... pas maintenant... pourquoi les humains meurent-ils quand ils viennent à peine de naitre ? C'est... c'est pas juste... c'est pas juste... ! Si seulement... snif... si seulement je pouvais... si je pouvais vous en donner un peu... juste un tout petit peu... à tous... vous seriez...
Son voeu se fana sur sa langue, sachant mieux que quiconque que c'était impossible mais voulant y croire quand même, alors que Loog le tirait vers lui. Ne pouvant plus tenir, Pan cacha sa tête au creux de ses bras, se mettant à pleurer, terrifié par ce qui allait arriver, refusant que cela arrive, cherchant un moyen de le garder avec lui... de tous les garder, même ceux qui n'étaient plus là... si seulement c'était possible...
-Mon Pan... souffla-t-il en le serrant dans ses bras, passant une main rassurante dans ses cheveux malgré ses tremblements. Le deuil et la mort font toujours mal... mais tout ce qui vit meure un jour avant de revenir à la vie dans un autre corps, ainsi en a décidé la Déesse... même si cela prend plus ou moins de temps... c'est pour ça que l'on chérit notre vie et tout ce qu'elle a pu nous apporter, même si elle peut faire mal aussi... je suis heureux d'avoir vécu ma vie ainsi... je suis heureux de tous vous avoir rencontré... je suis heureux de t'avoir rencontré ce jour-là... même si c'est aussi un souvenir douloureux, je suis content d'avoir trouvé ce petit gamin dans cette cave, un gamin qui n'avait aucun endroit où aller et qui ne demandait qu'à s'épanouir... je suis heureux de voir à quel point tu as grandi... tu es une personne extraordinaire, créative, gentille et attentionnée, avec le coeur dans sa main, et je suis heureux et fier d'avoir eu la chance de te rencontrer... même si c'est dur de vous laisser seuls Sophie et toi, je sais que vous avez toutes les cartes en main pour arriver à vous en sortir à merveille... ça se passera bien pour vous, j'en suis sûr...
Loog laissa Pan pleurer, ne l'empêchant pas de montrer son chagrin et sa peine, le rassurant encore et encore... si seulement son voeu pouvait se réaliser... la mort était déjà un adversaire redoutable, elle devait paraitre encore plus féroce et cruelle pour lui... dire qu'il n'avait pas vieilli d'un seul jour depuis celui de leur rencontre, alors que les fanatiques de l'Eglise Occidentale l'avaient enfermé dans cette cave... son regard et son comportement avaient muri, Pan s'était libéré du carcan de son peuple, arrivant à faire vivre au grand jour la personne merveilleuse qu'il était au fond de lui mais, malgré tout, il avait encore des comportements plus enfantins ou adolescent...
Est-ce qu'il ne l'était pas encore un peu dans le fond ? Est-ce que pour quelqu'un vivant si longtemps, l'enfance n'était pas aussi longue que la jeunesse de trait ? Malgré tout, est-ce que dans le fond, Pan n'était pas un adolescent jouant très bien le rôle d'un adulte mais, qui conservait ses failles et faiblesses enfantines au fond de lui, les cachant aux yeux de tous ? Même le principal concerné ne pouvait répondre à ses questions et ses craintes, la vérité sur le fonctionnement de son propre corps ayant été volée par les tyrans servant de souverains à son peuple... Loog avait tout fait avec leurs amis et compagnons pour essayer de comprendre avec lui... à présent, alors que la mort rôdait tout autour de lui, attendant que sonne son heure, il ne pouvait plus qu'espérer que cela soit suffisant...
-Même au paradis ou en enfer, je prierais pour que vous alliez tous bien... je vous protégerais toujours, même si je dois revivre en étant le plus petit des cailloux du monde... aucun de nous ne sera loin de toi pendant toutes ces années à venir... notre souvenir t'accompagnera partout, comme ta chance...
Pan redressa la tête, arrivant à sourire à cette remarque.
-Oui... c'est même toi qui m'as appris que le quatre était un symbole de chance... souffla-t-il avec nostalgie, passant sa main sur le haut de son bras gauche, là où Gylfe avait recouvert son ancien matricule avec le dessin d'un trèfle à quatre feuille, effaçant toute la honte de porter ses quatre points écarlate pour les remplacer par la joie d'avoir lui aussi un tatouage faisant autant sens que les siens.
Loog sourit à son tour, lui embrassant le front avant de souffler.
-Tu peux demander à Sophie de venir s'il te plait ? J'aimerais passer encore un peu de temps avec vous deux...
Pan obéit d'un hochement de tête, essuyant ses larmes alors qu'il allait la chercher. Quand elle entra, Loog sourit à nouveau, sa fille lui prenant à son tour la main alors que le silence s'installait mais, l'ancien roi le chassa vite, leur demandant de lui parler de ce qu'ils comptaient faire tous les deux.
"C'est du Loog tout craché..." songea Pan en se rappelant de la première fois qu'il était rentré dans une église qui célébrait le rite adrestien, l'homme alors jeune plaisantant allègrement sur le fait que le but du jeu ici était de ne pas s'endormir pendant le sermon, même s'il était très pieux lui-même.
Ils se mirent donc à discuter ensemble, parlant de ce qu'ils comptaient faire, de leurs ambitions, de ce qui les agaçaient parfois, leurs peurs mais aussi de leurs espoirs. Loog répondit avec bienveillance sans jamais les quitter des yeux, même si sa voix s'affaiblissait d'heure en heure, s'enfonçant de plus en plus dans son lit alors que le temps filait bien trop vite entre leurs doigts.
Cependant, quand le soleil pointa à nouveau le bout de son nez à l'horizon, le mourant arriva à tourner son regard vers la fenêtre, souriant alors que le ciel d'or se teinta de plus en plus d'azur, le vent chassant les nuages avant d'arriver à entrer dans la pièce, caressant leur peau avec douceur, amenant la chaleur de l'astre du jour avec lui.
Loog eut un regard nostalgique avant de sourire à nouveau, comme si tout irait toujours bien, semblant voir quelque chose invisible à Sophie et Pan. Leur sang se glaça mais, le mourant semblait toujours aussi calme, serein alors qu'il soufflait.
"Le ciel est magnifique... je suis content... de l'avoir encore vu... à nos couleurs au moins une fois... avec vous tous... même si j'aurais aussi aimé encore un peu de temps... au moins... je pars un matin avec le ciel bleu... plutôt que le soir avec le ciel pourpre... Sophie... Pan... mes enfants... merci... merci pour tout... hein..."
Un dernier soupir tomba de ses lèvres, emporté par le vent s'échappant, alors que ses paupières fatiguées tombaient.
Pan se figea, connaissant à présent trop bien ce visage, perdu dans le vague... ce léger sourire serein...
"Loog ?
L'homme ne répondit pas. L'agarthan attrapa alors sa main, la secouant un peu en appelant à nouveau, de nouveau perdu dans le noir, cerné par des murs de pierres sombres, enfermé avec la mort alors qu'il répétait encore et encore :
-Loog... ? Loog, répond... répond-moi... répond... ! On est là ! Ouvre les yeux ! S'il te plait... Loog... snif... ne pars pas... ne pars pas... ! Tu es encore tout jeune... par pitié... ne nous laisse pas... répond...
Pan essaya de ne pas pleurer, ne voulant pas s'effondrer devant Sophie... c'était lui le plus âgé, c'est lui qui devrait la soutenir, pas le contraire... même si elle avait bien grandi, quand Loog lui avait présenté sa fille pour la première fois, il lui avait dit qu'elle était toute fragile et qu'il fallait bien la protéger pour qu'elle grandisse... elle était encore toute petite pour un agarthan, c'était donc à lui de la protéger maintenant...
Cependant, ce fut Sophie qui posa sa main sur la sienne, l'enveloppant avec celle de son père tout en le prenant par les épaules, lui soufflant doucement.
-Ne te retiens pas pour moi... toi aussi, tu as le droit de le pleurer... avoir quelqu'un avec qui pleurer est parfois le meilleur des soutiens... surtout... il entendit sa voix se briser, le serrant contre elle alors que des larmes s'échappaient de ses yeux, cavalant sur ses jours creusés par l'âge. Surtout quand il s'agit de notre père à tous les deux... tu as toujours été un frère pour moi... comme tu as toujours été un fils pour lui... même si aucun de nous deux n'est né de sa chair... il sera toujours... snif... notre père... toujours...
-Sophie... Sophie... il... il ne peut pas... snif... Loog... notre... snif... snif... LOOOOOOG !!!!
Pan s'effondra, pleurant à chaudes larmes la perte de Loog avec sa famille, tout en sachant qu'un jour, il devrait pleurer Sophie à son tour, puis ses enfants à elle, puis leurs enfants à leur tour, puis encore leurs enfants... comme pour tous ses amis et ses proches... il entendait presque Thalès rire, se moquer cruellement de lui, n'ayant qu'à attendre pour lui arracher tout ceux qu'il chérissait...
"Ne les écoute pas, ils ne font que persiffler comme des vipères. S'ils étaient si sûrs de tout ce qu'ils avançaient, il n'aurait pas à vous mentir tout le temps, ils vous prouveraient simplement qu'ils ont juste."
"Si tu ne veux plus faire partie de ton clan et de ton peuple car, tu n'es pas d'accord avec eux et que cela ne te correspond pas, quitte-le, et ils n'auront rien à te redire. C’est ta vie, pas la leur. Et s’ils te disent que c’est la leur, dis leur d’aller se faire foutre."
"Aucun de nous ne sera loin de toi pendant toutes ces années à venir... notre souvenir t'accompagnera partout, comme ta chance..."
"C'est vrai... se reprit Pan en redressant un peu la tête, regardant le soleil, ayant l'impression d'y voir le sourire et la chevelure de Loog à l'intérieur, tenant déjà sa promesse à peine mort. Lucine a raison... Thalès et ses sbires ne font que mentir, ils ne savent rien des émotions et ce que c'est de réellement vivre... la vie à la surface avec eux tous est bien plus belle qu'à Shambhala, même si ça fait mal parfois... et s'ils ne sont pas d'accord, tant pis pour eux. Comme dirait Kyphon, qu'ils aillent tous se faire foutre. J'ai eu la chance de tous les connaitre, c'est ma chance à moi qu'ils ne pourront jamais voler ou corrompre... je ne la gaspillerai pas, et je ne leur donnerai jamais raison Loog... je te le promets... après tout, j'ai encore une longue vie à vivre et comme tu le disais tout le temps, le quatre est un symbole de chance..."
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