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#humour du jour
fidjiefidjie · 9 hours
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En Inde on a les Zébus, en France on a les Z’élus ! Un animal sacré…
😁 Humour du jour 🤣
Avec La Bajon et André Dussolier
👋 Bel après-midi
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micmacplanet · 9 months
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2 Août 2023 jour du dépassement déficit écologique!
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alexandrocytose · 1 year
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Initialement, je voulais que les illustrations de la publication précédente fassent une petite histoire en trois cases, mais comme j'ai récemment vu le film Babylon (que j'ai adoré), j'ai voulu faire une version court métrage muet !
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lerefugedeluza · 5 months
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Bon. On est maintenant assez proche pour que je vous avoue un truc.
Je ne sais pas si vous vous y connaissez en Monoprix, mais sur leurs produits, en dessous du descriptif, ils ajoutent toujours une phrase amusante (voir photos plus bas). Et moi et mon humour plus que douteux, on est fans de ces phrases.
Quand je vais chez Monoprix, c’est juste pour passer dans leurs rayons et toutes les lires. Si un jour vous y faites vos courses et que vous voyez quelqu’un pleurer de rire entre deux paquets de céréales, ce sera sans doute moi donc n’hésitez pas à me dire bonjour (ou fuyez, les fous rires c’est contagieux).
Je vous mets quelques pépites de ma dernière visite chez eux (je rappelle que j’ai un humour absolument nul).
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En prime, je leur décerne la palme des meilleures pubs (plutôt des courts-métrages à ce niveau d’ailleurs). Regardez-moi ça (maintenant vous savez comment déclarer votre flamme à votre crush) :
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Bref, contre la dépression hivernale, une solution : Monoprix.
J’espère que leur équipe marketing est payé à la hauteur de leur génie.
(Et j’espère que mes imbécilités vous feront rire ou égayeront votre journée).
Des bisous ♡
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perduedansmatete · 4 months
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Vas y j'ai pitié j'te raconte un peu ma vie. Mon lycée c'était un château. J'veux dire, littéralement. Y avait une grille immense à l'entrée, un château entouré de douves et nous on allait en cours dans des bâtiments qui, en soi, étaient construits sur ce qui devaient être les jardins du truc. Dans le château y'avait toute la partie administrative du lycée + quelques logements de fonction dont celui du proviseur du lycée. On passait sous le château pour passer de l'autre côté par une espèce de grande arche, et pour passer les douves on passait sur un pont qu'on appelait le "pont-bite" parce qu'il avait littéralement une forme de teub c'était hilarant. Le dernier jour de ma terminale, un gars s'est jeté dans les douves parce que c'était le dernier jour et que fallait marquer le coup (visiblement). Je crois qu'il a eu des plaques rouges quelques temps après ça, je sais plus. Y'avait des animaux aussi : des ragondins dans les douves, des renards parfois, un âne à un moment mais surtout des oies qui venaient nous bouffer le cul quand on s'approchait trop. Tous les ans les pions et quelques profs organisaient une fête de la musique c'était trop bien, j'ai participé à l'une d'elle à la batterie dans un groupe de covers rock aussi éphémère qu'éclaté. Y'avait un prof d'histoire il était trop bizarre. Entre nous on le surnommait "sans les mains" parce qu'un jour il est allé pisser aux pissotieres des élèves dans la cour et des élèves l'ont vu pisser les mains derrière la tête en mode détente en remuant le bassin wtf. J'ai eu un prof de physique, je crois qu'il était autiste. Meilleur prof ever. Il était A CHEVAL avec le calme et l'autorité, a commencé l'année en mode militaire en excluant élève sur élève. À la fin il faisait un basket avec nous dans la cours, incroyable. J'y ai rencontré mon ex et mon meilleur pote dans ce lycée. J'y ai aussi rencontré un gars avec qui je suis resté collé une année entière en mode amitié fusionnelle. On avait les mêmes délires, le même humour, je croyais avoir trouvé mon alter ego. Il est parti en S et moi en L et il m'a... Ignoré. On s'est perdus de vue. Encore aujourd'hui j'me dis que c'était un gros connard parce qu'on aurait pu vivre tellement de trucs ensemble. J'ai redoublé ma seconde, à ma demande. C'est une année que j'ai passé à esquiver les cours pour boire des bières sur le parvis du lycée avec mon meilleur pote. Avec mes facilités je devais avoir un genre de 11 ou 12 de moyenne générale donc on m'a dit ok passe en 1ere ça va, et j'ai dit non je veux redoubler sinon je vais rien piger l'an prochain j'ai trop rien foutu je suis juste une arnaque. J'ai aussi eu 0 à l'écrit à mon TPE pour le bac. En fait j'étais en binôme avec un gars qui glandait rien, et nos forces maléfiques se sont unifiées pour faire émerger une idée diabolique : l'épreuve est facultative, si on a 0, on perdra pas de point et on n'aura pas à faire ce truc de merde. Le 0 était pas encore éliminatoire à cette époque pour cette epreuve. J'ai eu mon bac avec mention assez bien en ayant fait ça et sans bosser spécialement pour avoir mon bac alors que mon ex et d'autres potes avaient bossé comme des taré.e.s pour décrocher une mention et l'ont pas eue (je suis une arnaque j'ai dit). Ha oui et je me suis aussi inscrit à l'option musique en facultatif parce qu'une pote suivait le cours. J'y suis jamais allé en me disant "je lirai ses cours et ça ira". Elle m'a filé ses cours, j'ai rien pigé, je suis allé à l'épreuve au culot j'ai eu 9/20 sans jamais rien apprendre. J'pense si je creuse j'ai encore d'autres choses mais j'ai plus le temps mdr, j'espère que ça t'aura divertie un peu (si t'arrives à tout lire). Bon courage pour tes douleurs quand même.
j'ai tout lu comme une nouvelle et j'ai adoré ça avait l'air très cool ces années lycée et tu étais trop fort surtout, merci merci!!! (et merci pour les douleurs mdr <3)
j'aimerais juste savoir quel était le sujet de votre fameux tpe à 0 ça m'intrigue...
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Quelques trucs bien. Octobre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Accueillir ma fille, mon gendre et mon petit M. pendant les quelques jours de leur déménagement. Rassembler la famille  
Profiter des vacances d’automne. Se laisser bercer par l’arrière-saison avant l’hiver 
Écrire un poème sur la fin de l’été. Ode à septembre 
Reprendre les ateliers d’écriture avec les ados 
Récupérer mon petit M. après sa journée de garde. Le bercer, inventer une chanson pour le faire patienter en attendant le retour de sa maman. L’écouter pleurer pour évacuer le stress de sa journée puis le sentir se calmer dans mes bras
Bouquiner dans mon fauteuil jaune de lecture 
Dénicher deux bd romans graphiques chez mon bouquiniste 
Préparer une brioche maison pendant une insomnie. Me recoucher en pensant au délicieux petit déjeuner qui sera tout chaud 
Faire la grasse matinée après une longue insomnie 
Acheter une robe de soirée pour l’anniversaire déguisé de ma sœur. Soirée folle en perspective 
Visiter le prochain appartement de ma fille, tout près de chez moi. La sentir heureuse de se rapprocher et de faire des projets 
Bricoler avec mon fils. Trier, ranger, nettoyer. Réorganiser la vie 
Accueillir un rouge-gorge qui vient m’annoncer personnellement que l’été est fini et que l’hiver est en chemin 
Recevoir des nouvelles baskets. Plaisir des pieds 
Commencer à rassembler le groupe de de peinture, petit à petit. Laisser s’exprimer et s’apaiser les craintes. Séance en atelier la semaine prochaine 
Aller au restaurant et au cinéma entre filles. Passer une belle soirée à rire de bon cœur. La vraie vie comédie 
Passer tout un week-end avec mon petit M. faire encore une insomnie mais l’écouter dormir à poing fermés
Avancer sur les démarches administratives. Espérer que ça aboutisse vite maintenant 
Aller à une lecture d’un jeune poète syrien réfugié de la guerre et exilé en France. Écouter son témoignage en français, langue de la raison et ses poèmes en arabe, langue du cœur 
Aller à un événement en soutien aux femmes iraniennes et afghanes. Me laisser submerger par l’empathie à l’écoute des témoignages et l’émotion des chants orientaux. Sentir les larmes aux yeux de tristesse et de colère 
Aller à un spectacle de Résistances poétiques de Cyril Dion, vibrer de sa voix grave et des accords de guitare de Sébastien Hoog. Apprécier son humour et l’ironie du sort 
Recevoir des photos de mon petit M. dans la journée. Savoir qu’il s’adapte bien à son mode de garde chez ma sœur 
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kamomille9 · 1 year
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Fanfic Pendranièvre : Le Coeur a ses Raisons... Chapitre 5
Hello Everybody !
Oui, je sais je vous ai fait attendre mais je ne vous oublie pas !!
Bonne lecture et dites-moi ce que vous en pensez !!!  
Chapitre 5 : La Conviction
Guenièvre de Carmélide n’aurait jamais pensé apprécier autant ce voyage avec le chevalier gallois. Il était un peu simple d’esprit et pas très adroit mais d’une gentillesse incroyable et d’un humour tordant. Toute sa vie, elle avait été habituée aux hommes bougons et repliés sur eux-mêmes. A contrario, Perceval ne se privait pas pour dire ce qu’il pensait. Il n’avait aucun filtre, ses émotions étaient toujours sincères et ses paroles dépourvues de toute méchanceté.
Oui, Guenièvre n’avait vraiment pas l’habitude…
Ainsi, ils discutèrent de tout et de rien, ne s’arrêtant que la nuit pour se reposer, jusqu’à ce qu’enfin ils aperçoivent la grande maison bourgeoise appartenant à sa tante.
Ils se présentèrent aux gardes à l’entrée qui firent relayer l’information. Quelques minutes plus tard, une petite dame brune, coiffée d’un chignon compliqué, vêtue d’une robe rouge bordeaux et or, se précipitait vers eux.
_ Ma Reine ! Pourquoi ne m’avez-vous donc pas prévenu de votre visite ? Cela vous aurait épargné cette attente !
Les gardes laissèrent entrer les deux voyageurs et Guenièvre en profita pour prendre sa tante dans ses bras.
_ Ma très chère tante, comme je suis heureuse de vous voir ! Toutes ses formalités sont à présent inutiles, je ne suis plus Reine et je viens humblement vous demander refuge…
Fraganan ouvrit grand les yeux mais préféra se taire en jetant un coup d’œil furtif aux gardes.
_ Venez, entrez donc ! Vous devez êtres épuisés après ce long voyage.
_ Je vous présente le Seigneur Perceval, un chevalier du Roi, qui a tenu à m’accompagner jusque chez vous.
_ Je vous remercie Seigneur Perceval d’avoir pris soin de ma nièce durant ce long voyage.
Le chevalier gallois exécuta une brève révérence avant de répondre :
_ J’allais pas la laisser toute seule quand même ! Elle dit qu’elle est plus la Reine mais pour moi elle sera toujours l’épouse du Roi Arthur et donc notre Reine à tous !
_ Quelle fidélité ! Je dois dire que c’est agréable d’avoir encore de valeureux chevaliers capables d’une telle qualité !
Guenièvre sourit doucement à Perceval en secouant la tête.
_ Perceval a tendance à dire ce qu’il pense sans réfléchir. Je lui suis reconnaissant mais il sait très bien que ma décision d’annuler ce mariage est complètement justifiée !
_ Vous allez me raconter tout ça devant un bon déjeuner ! Vous devez avoir faim !
Alors que Perceval acquiesçait joyeusement, Guenièvre ne pouvait s’empêcher de penser que la boule formée dans sa gorge, même après trois jours de marche, n’était pas encore descendue…
-o-
Le repas fut plaisant. Guenièvre était ravie de revoir son oncle Owen, duc de Lindon. Il était le seul homme de sa famille à préférer la parole aux actes. C’est un érudit qui aime les livres et le calme. Rien à voir avec son père ou son grand-père ! Yvain restait un cas à part… Mais après ce qu’elle avait vécu, c’était ce dont elle avait besoin : le calme. Après avoir mangé, Fraganan accompagna Guenièvre à sa chambre laissant son mari avec Perceval.
_ Seigneur Perceval, je vous remercie d’avoir amener ma nièce ici. Je pense que c’est le meilleur endroit pour qu’elle puisse faire le point et se ressourcer.
_ C’est pas faux. Je souhaitai vous demander un service que je préfère que la Reine ne m’entende pas.
_ Guenièvre n’est plus Reine mais je vous écoute.
_ Non mais laissez tomber, elle sera toujours la Reine pour moi ! Je voudrais prévenir la bonniche de la Reine que nous sommes bien arrivés sans encombre mais je ne sais pas écrire…
_ Je vois… N’avez-vous point peur qu’écrivant à cette jeune femme, le roi finisse par l’apprendre ?
_ Bah si… mais justement, je voudrais aussi rassurer le Roi… Je suis certain qu’il doit s’inquiéter pour sa femme…
_ Seigneur Perceval, Guenièvre n’est plus la femme du Roi !
_ Oui mais ça c’est comme le fait d’être Reine, pour moi elle sera toujours la femme du Roi Arthur et je sais qu’il aime sa femme le roi.
_ Vous avez l’air bien sûr de vous…
_ Je sais pas pourquoi tout le monde pense que le Roi il aime pas sa femme. Moi j’ai toujours su qu’il aimait Guenièvre.
Owen regarda intensément ce chevalier plein de convictions. Sa femme était très proche de la Reine. Il savait donc que Guenièvre, même si elle ne leur avait jamais clairement dit, n’était pas heureuse avec son mari. Il avait donc du mal à croire et comprendre ce que lui disait Perceval. Toutefois, une telle conviction, une telle foi, une telle confiance en ses propos, faisaient douter le duc de Lindon…
_ Très bien Seigneur Perceval. Nous allons écrire ensemble cette lettre et nous l’enverrons par la suite sans que ma nièce ne le sache…
_ Ça me gène un peu de pas lui dire mais j’ai peur qu’elle soit pas très joisse si elle l’apprend…
_ Non, vous avez raison ce n’est pas nécessaire qu’elle le sache… Et puis, comme elle le dit si bien, elle n’est plus la Reine, elle n’a donc aucun ordre à vous donner en la matière !
Perceval esquissa un sourire. Il ne comprenait pas tous les mots du duc mais il en saisissait le sens. Guenièvre avait eu raison de venir ici. C’était beaucoup plus calme que Kaamelott. La preuve : il n’y avait eu aucun cri pendant le repas…
-o-
_ Comment as-tu fait pour faire annuler ton mariage ? C’est un vrai tour de force !
En tête à tête avec sa nièce, Fraganan ne s’était jamais formalisée avec les formules de politesse. Guenièvre en avait toujours été sincèrement heureuse. Ses parents ne l’avaient jamais respecté même en tant que Reine mais avec Fraganan c’était différent. Elle aimait que sa tante si douce et calme reste aussi proche d’elle malgré son accession au trône, si on peut appeler ça comme ça…
Guenièvre expliqua donc à sa tante ce qu’il s’était exactement passé. Elle n’omit aucun détail et s’autorisa même à vider son sac pour toutes les années de maltraitances émotionnelles qu’elle avait subi. Elle n’avait jamais abordé tout ça avec personne, autre que Lancelot, car elle ne voulait pas que la rumeur puisse se propager sur le sujet. Le peuple était déjà conscient que le Roi n’était pas amoureux de la Reine et cette humiliation était bien suffisante à son goût.
Une fois le récit terminé, Fraganan se contenta de s’approcher de la jeune femme et l’a pris dans ses bras. Elle l’avait laissé parler et avait bien écouté tous les déboires qu’elle n’avait jamais su voir lorsque Guenièvre venait leur rendre visite. Là, bercée tendrement par sa tante, Guenièvre soupira de soulagement, comme si elle avait retenu sa respiration durant toute son histoire, et pleura. Elle pleura sur sa vie, sur son mariage, sur son ex-mari qu’elle aimait malgré tout et sur son impuissance à le rendre heureux.
_ Pourquoi ne pas avoir tenté ta chance avec Lancelot au lieu de venir ici ? demanda Fraganan quand sa nièce fut calmée.
_ J’ai besoin de réfléchir… Je ne suis pas amoureuse de Lancelot. Je suis peut-être naïve mais en quinze ans je n’ai pas su voir qu’il était amoureux de moi…
_ Il y a une raison à ça ?
_ Une simple, évidente et triste : je suis amoureuse d’Arthur…
La sœur de Léodagan acquiesça doucement. Elle le savait mais était-ce bien raisonnable de continuer à aimer quelqu’un qui vous a fait tant de mal…
_ J’ai besoin de me poser loin de tout ça. De peser le pour et le contre. Je ne sais pas si cet amour que je voue à Arthur pourra partir en jour… Je ne sais pas non plus si je suis capable d’aimer sincèrement Lancelot. Tout ce que je sais c’est que je veux être heureuse, aimer et être aimée complètement. Je ne veux plus de demi-mesure. Arthur ne m’a jamais aimé… Je dois donc simplement savoir si je veux donner une chance à Lancelot ou pas…
_ Je comprends… Reste ici autant que tu le souhaites. Tu sais que tu es la bienvenue ici…
_ Merci beaucoup…
_ Néanmoins, es-tu consciente qu’en annulant ton mariage, tu as également ouvert la porte à tous les bons partis du pays qui vont vouloir épouser la princesse de Carmélide ?
_ Je sais… C’est pour ça que je suis partie sans dire où j’allais.
_ La rumeur va finir par se répandre Guenièvre. Nos serviteurs vont forcément en parler autour d’eux et la nouvelle atteindra tout le pays. Comment feras-tu alors ?
_ J’ai encore un peu de temps avant que cela n’arrive et tous ses prétendants devront d’abord passer par mon père !
_ Le connaissant, il voudra sélectionner le meilleur parti possible…
_ Ou faire tout ce qu’il peut pour que je redevienne Reine…
_ Tu serais prête à envisager cette possibilité ?
_ Un mariage sans amour, sans respect, sans gentillesse ? Certainement pas non…
Guenièvre soupira bruyamment sous le triste regard de sa tante. Elle n’était certainement pas opposée à redevenir la femme d’Arthur Pendragon… Cependant, elle ne voulait plus de sa vie d’avant… Depuis trois jours, elle retournait cette histoire dans sa tête. Elle savait qu’elle avait pris la bonne décision. Elle l’assumait et si elle devait rester malheureuse toute sa vie autant qu’elle soit libre plutôt qu’enchaîner à son Roi.
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aisakalegacy · 7 months
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Automne 1914, Saint-Jean-sur-Richelieu, Canada (10/22)
Je dois admettre que j’ai un attachement particulier au jeune Zéphir. Il est, je pense, celui d’entre nous dont la présence est la moins mue par des convictions personnelles, puisque sa présence au camp découle de sa fidélité envers son oncle. Zéphir, malgré sa jovialité et son humour qui nous font sourire, peine à s'acclimater à l'austérité des entraînements, et il est celui qui traverse nos entraînements avec le plus de difficultés, mais aussi, peut-être, le plus d’endurance.
J'ai remarqué que de petits objets qui disparaissent ici et là. C'est Zéphir qui les glisse subrepticement dans ses poches, sans malveillance, juste par habitude. Il ne peut s'empêcher de collectionner les petits souvenirs qui croisent son chemin, et on finit par les retrouver au bout de quelques jours, au dernier endroit où on les avait vus. Ses larcins modestes se limitent à des objets sans importance : un peigne, un rasoir, un tire-bouchon ; mais je crains que cette mauvaise habitude finisse par lui porter préjudice.
[Transcription] Jules LeBris : … Et là, l'ourse surgit devant moi ! Avec la neige qui tombait, je ne l’avais pas vue avant. Je commence à courir - elle est plus rapide que moi. Elle me course - je trébuche ! Elle me rattrape. Ca y est, je me dis, je suis mort, mais si je dois affronter la mort, je veux la voir arriver en face. Je me retourne - l’ourse est sur moi. Jules LeBris : Ses griffes et ses dents lacèrent mes chairs. J’en porte encore les cicatrices. Ceux qui ont vu mon dos peuvent en attester. Bert Simmon : Il dit vrai, je l’ai vu comme au jour de sa naissance, et il n’est pas joli ! Odin Delacroix : Pour l’amour du ciel, Simmon, je vais vous mettre aux fers si vous n’allez pas vous laver immédiatement ! Bert Simmon : C’est bon, je m’en vais ! Zéphir Rumédier : Et ensuite, Le Bris ?? Jules Le Bris : La douleur est trop forte. Je m’évanouis. A mon réveil, je suis recousu de partout, l’ourse est morte. J’ai été sauvé par mon guide, deux fois : quand il a tué l’ourse, et quand il m’a soigné. Zéphir Rumédier : Elle est nulle, ton histoire !! Je pensais que tu t’étais battu toi-même contre l’ourse, alors qu’en fait, tu as été tiré de là par un Inuit. Jules Le Bris : Si tu avais été à ma place, l’ourse n’aurait fait qu’une bouchée de toi ! Arthur Rumédier : Risquer sa vie pour sauver quelqu’un…
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etiennedaho · 10 months
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LETTRE A JANE B.
Ma Jane
Grace à ton talent, ton élégante beauté libre, ton humour piquant, macabre et britannique, tu as accompagné nos adolescences moroses. Nous voulions être toi, ou Serge, ou Françoise, ou Jacques. Des lumières dans la nuit. La vie a fait que nous nous sommes rencontrés, aimés et que je suis vite devenu un « ami de la famille ».
J’ai aimé ta voix unique, haut perchée et si singulière, ton écriture libre, poétique et culottée, tes engagements. Toujours honnête. Toujours légère. Toujours trop modeste et généreuse, attribuant tes réussites aux autres. Toujours.
Peut-être que certaines personnes, qui préfèreraient te ranger définitivement dans un rôle de muse charmante, réaliseront enfin que tu es une artiste complète à la curiosité en alerte. Qui aurait pu réaliser ton film « Boxes » ou écrire ta pièce « Oh Pardon tu dormais »? Incarner Johnny Jane dans le film « Je t’aime moi non plus » ou « La fausse suivante » dirigée par Chéreau?
Il y a trois ans, Jean-Louis Piérot, toi et moi, avons constitué une armée à 3, pour réaliser ton dernier album qui a été un moment de grâce. Bluffés que nous étions par tes textes, nous avons accompagné ce chapitre de ta vie sur disque et sur scène. Défiant toutes les lois de la médecine, guerrière devant l’éternel, tu as surmonté tes souffrances, sans une plainte et avec le sourire, pour remporter chaque soir de triomphales victoires, devant un public ému aux larmes. Une leçon. Il y a quelques jours tu me disais vouloir remonter sur scène et repartir sur les routes. Refaire cet Olympia que tu avais du reporter. Confiante en l’avenir.
Tu vas retrouver tes parents, Kate, Serge, tes amis et tes chiens. Et tu vas terriblement nous manquer. Amour. Ton Daho
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fidjiefidjie · 3 months
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🐕 Humour du jour 🛷
Besoin de personne ..... 🤗
👋 Bel après-midi
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bonsoirs37 · 1 year
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Retour sur le 18 (hier) au soir, belle rencontre avec esprit pèlerin : partages, échanges, convivialité, humour, on ne se prend pas le choux, cool. Tous les ingrédients pour repartir, ce matin, d'un bon pied.Etape du jour : Mirambeau - Cartelègue.
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micmacplanet · 2 years
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jour férié chez le talibans! après un an de la prise du pouvoir en Afghanistan
jour férié chez le talibans! après un an de la prise du pouvoir en Afghanistan
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J’aime me concentrer seulement sur lui. J’aime oublier tout ce qu’il y a autour, me perdre dans cette bulle qui n’appartient qu’à nous. J’aime souffrir du manque et savoir qu’il sera là, peut être pas tout de suite, ni même demain, mais il sera là bientôt, je me perdrais contre sa peau, je n’aurais qu’à lui sourire, qu’à embrasser sa joue et lui dire quelques mots doux. J’aime comme c’est simple et inné, comme c’est facile et délibéré. J’aime qu’il me parle comme si j’étais la seule, qu’il s’inquiète lorsque je ne souris plus, qu’il écoute mes silences comme mes peurs, qu’il m’enlace dans la rue. J’aime sa patience comme son agressivité, j’aime ses émotions, son touché, j’aime ses bisous volés, son humour de gamin et ses mains sur mes reins. J’aime ses mots venus d’une autre langue qui ne font pas sens mais qui dans ses yeux brillants prennent essence. J’aime qu’il m’attende, qu’il chuchote ses attentes sans jamais imposer avec cette voix qui me tourmente. J’aime lorsqu’il guide ma vie pour quelques jours, qu’il décide de mon existence même si ce n’est pas pour toujours. J’aime qu’on soit opposé mais destinés.
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ernestinee · 2 years
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Aujourd'hui je reprenais le boulot.
Un peu à la bourre comme d'hab, mais je gère.
Et puis. Impossible de trouver mes clés. Je préviens la maman des patients du jour (une fratrie, c'est facile), en disant que je continue de chercher et je la préviens qd je les retrouve.
20 minutes de recherche. Je finis par joindre l'homme qui me dit qu'il les a planquées derrière un bouquin. Da Vinci Code, ça ne s'invente pas. Pcq ma voiture est restée deux semaines devant la maison et il voulait éviter, en cas de vol dans la maison, que les clés soient visibles. Ok. J'aurais préféré être au courant mais ok, ça se tient. Petit escape game là avant de partir au boulot.
Je vole jusqu'au bureau, je présente mes excuses, j'explique un peu avec humour pour me justifier, je bosse avec mes petits choux adorables. Lisez bien : "ADORABLES"
Pendant que je parlais avec sa mère, en fin de séance, la plus grande des deux planque mes clés dans un jeu. Je ne le vois pas bien sûr.
Sa mère me téléphone alors que j'étais en train de chercher et me dit "Vous avez retrouvé vos clés ? La petite me dit que c'est dans un jeu, mais elle ne sait plus le nom, c'est un jeu avec des dés"
😑🙃
On est 30 minutes plus tard, je viens de retrouver mes clés.
Adorable gamine 😈😎
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La BD francophone du jour est...
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Date de parution (en journal) : 1964
Numéro et série : n°2 des Schtroumpfs
Pourquoi c'est une excellente BD:
C'est une satire politique hilarante. Le côté politique est extrêmement bien ficelé sans tomber dans le prêchi-prêcha et sans prendre de bord particulier en dehors de l'histoire (ça ne critique pas un vrai parti politique mais plutôt la corruption et la démagogie en général) ce qui est devenu rare de nos jours.
Côté humour, c'est le premier album des schtroumpfs où apparaissent les cadeaux explosifs du Schtroumpf Farceur, ainsi que le premier album pour certains personnages récurrents (Schtroumpf Bêta, par example).
Les plus jeunes ne l'auront pas remarqués, mais en relisant, plus âgés, ils s'en rendront compte, c'est le seul album des Schtroumpfs avec un gros mot... ou plus précisément, il y a une scène entièrement écrite et dessinée pour que le Schtroumpfissime, acculé, se voit lancer "rendez-vous", et réponde "schtroumpf !", une référence à la célèbre scène apocryphe de Cambronne à Waterloo, à qui on lança cette même réplique et qui répondit "Merde !". Que voulez vous, j'aime bien les BD jeunesse qui ont ce genre d'humour qui nous passe complètement au-dessus de la tête quand on est jeune et qui nous assomme quand on est plus grand.
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acoffeeplease · 1 year
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Humour du jour...😊
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