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#bois de liesse
ivaalo · 5 months
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Winter in the Parc-Nature du Bois-de-Liesse, Montréal
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ivoire-tv5 · 2 years
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Vidéo : Burna Boy chasse un fan à son concert et lui rembourse son prix du ticket
Vidéo : Burna Boy chasse un fan à son concert et lui rembourse son prix du ticket
Une scène où la superstar nigériane de l’afrobeat , Burna boy, a demandé à un spectateur lors d’un concert à quitter son spectacle. Le lauréat du Grammy Awards se produisait sur scène lorsqu’il a remarqué que le fan au milieu de la foule en liesse n’était pas enthousiaste et ne semblait pas apprécier sa performance comme les autres. Voyant cela, Burna boy a interrompu sa performance, a plongé ses…
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urbandecayart · 7 years
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Bois de Liesse
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sitting-on-me-bum · 6 years
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Parc-Nature du Bois-de-Liesse, Montreal, Canada
by Etienne Martin
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samkhet · 3 years
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Église Notre-Dame de Liesse à Annecy, la plus grande des églises de la vielle ville d’Annecy. Elle a été fondée à la fin du XIVe siècle par les comtes de Genève. Bien qu’elle fut grandement endommagée pendant la Révolution française, elle a été reconstruite entre 1846 et 1851 dans sa forme actuelle. À l’intérieur de l’église, il y a plusieurs retables avec de magnifiques décors sculptés dans du bois et parfois même du marbre 🤩✨
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ikaroux · 3 years
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Zhongli x Lecteur (F) La danse du dragon. (part 1) (FR)
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Aaaah Zhongli, mon doux Zhongli, écrire sur les adeptes est vraiment douloureux en soi étant donné leur longévité... J'suis pas venu ici pour souffrir, okay ! *pleure dans un coin*
Les Ost pour ce chapitre :
Broken Hero Onmyoji
Rabia Honkai impact
Masterlist
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La ville portuaire de Liyue était en liesse avec la fête du nouvel an qui s'y déroulait. Les rues égayées par les rires et les discussions des passants étaient éclairées par des lanternes en papier décorées avec des motifs découpés de dragon, de feuilles d'érable, de hérons et tant d'autres. Diverses fleurs de la région décoraient chaque parcelle de la ville jusqu’aux bassins abritant des carpes dorés. Vous pouviez croiser dans la rue des danseurs pavanant une figurine flexible d'un dragon à l'image du Géo archonte. Les marchands ambulants criaient à pleine gorge, vendant les mérites de leurs biens ou du délice de leurs nourritures. Tout vous paraissait beau et magique.
Vous étiez venu depuis Mondstadt pour passer les fêtes de fin d'année ici, auprès de quelques amis qui résidaient en ville. Ils vous avaient proposé d’aller voir les feu d’artifices qui aurait lieu plus tard dans la soirée, mais votre curiosité vous poussa à parcourir les rues de Liyue seule avant de rejoindre vos amis.
Cette année les organisateurs du festival avaient demandé aux habitants de Liyue et leurs invités de porter un masque qui leur était offert par la ville. Vous saviez que la fête devait être clôturée par une sorte de bal masqué qui aurait lieu un peu partout en ville, des musiciens étaient placés ici et là, parfois dans les couloirs surplombant les rues ou encore dans le port en bord de mer.
Les organisateurs du bal voulaient que chacun puisse profiter d’un moment de joie et de bonheur sans crainte, sans peur du regard des autres.
Vous vous promeniez au bord des quais en bois, votre masque de renard recouvrant partiellement votre visage. Vous contempliez le reflet des lumières de la ville à la surface de l’eau, un sourire aux lèvres. La rue était bondée de monde mais vous adoriez ça, l’ambiance était si semblable à votre ville bien-aimée.
Alors que vous tourniez votre regard pour observer le quai parallèle au vôtre, vous remarquiez la silhouette raffinée d’un homme de grande taille. Sa posture était raffinée et élégante, il se tenait droit, les bras croisés dans le dos, le regard fixé sur l’horizon. Il portait un long manteau qui se mariait parfaitement avec sa carrure, ses cheveux, attachés dans son dos en une simple queue, se balançaient au rythme de la brise marine. Il portait un masque doré à l’effigie d’un dragon.
L’homme sembla remarquer votre regard s’attarder sur lui, tournant son visage vers vous. Les masques ne cachant que la partie supérieure des visages, vous aviez pu voir le doux sourire se dessiner sur ses lèvres. Embarrassé, vous vous êtes sauvé en courant, glissant entre la foule de gens qui profitaient des boutiques installées sur le port.
C’est au moment où vous avez atteint le centre de la ville que le doux sons des instruments typiques de la région résonnèrent dans les rues. Vous pouviez reconnaître le erhu parmi tous les instruments qui jouaient.
Les hommes, les femmes et les enfants se mirent à danser joyeusement, riant pour certains, d’autres se lançant des regards langoureux.
Séduite par l’ambiance chaleureuse et aimante, vos lèvres s’étirèrent dans un large sourire avant de vite disparaître lorsqu’une grande main gantée attrapa la vôtre. Vous vous êtes rapidement retourné pour voir qui vous avait surpris, pensant d’abord que c’était l’un de vos amis qui vous avaient retrouvé. Vous avez ouvert de grands yeux lorsque vous avez reconnu l’homme au masque de dragon.
Il vous attira à lui, plaçant sa main libre sur votre hanche, il commença à danser avec vous, vous guidant parfaitement au rythme de la musique. Vous étiez hypnotisée par ses yeux ambrés qui vous observaient avec attention sous son masque, le doux sourire sur son visage fit chauffer vos joues.
Vous commenciez peu à peu à vous détendre dans ses bras, riant à plein poumon alors qu’il vous faisait tournoyer avant de vous attirer de nouveau contre lui, un rire rauque sortant doucement de sa gorge face à vos adorables réactions. Après plusieurs minutes à danser avec énergie, il remonta sa main dans votre dos, vous rapprochant de lui dans une danse plus lente et sensuelle. Il posa délicatement sa joue sur le sommet de votre tête tandis que votre visage se posait sur sa poitrine, respirant le parfum de lys qui s’échappait de lui. Pendant que vous balanciez doucement sur vos pieds, il attrapa une fleur de soie qui décorait l’une des colonnes qui jonchaient la rue, soutenant les étages supérieurs des habitations. Il plaça le petit bouton rose dans vos cheveux (couleur), admirant à quel point cela vous allait bien.
Votre danse c’était subitement interrompu lorsque le bruit sourd du feu d’artifice s’ajouta à la mélodie des instruments de musique, votre attention se tourna instantanément vers le jeu de lumière dans le ciel. Vos pupilles brillèrent d’un éclat nouveau à la vue du spectacle.
Ébloui par la beauté des feux d’artifice, vous jetiez un œil à votre mystérieux cavalier espérant que le spectacle lui plaisait autant qu’à vous.
Vos joues se colorèrent d’un rouge profond lorsque vous remarquiez que ses yeux étaient fixés sur vous, vos mains toujours liées ensemble. Il approcha son visage de vous, écartant quelques mèches de cheveux de son chemin.
« Merci pour cette soirée. » - murmura-t-il à votre oreille.-
Sans vous laisser le temps de lui répondre, il porta le dos de votre main jusqu’à ses lèvres pour y déposer un tendre baiser. Il vous lâcha à contre cœur avant de reculer, vous jetant un dernier regard avant de disparaître dans la foule.
« Non, attendez… ne partez pas… votre nom… donnez moi votre nom!»
Mais il était désormais hors de votre vue, le regret entachant votre cœur. Pourquoi ne lui aviez-vous pas demandé avant ?
« (V/N) ! »
La voix de Hu Tao vous appelait au loin, vous sortant de vos pensées. Elle était accompagnée de Xiangling, Chongyun et Xinqiu qui vous faisaient de grands signes de mains, leurs visages illuminés par de grands sourires. Jetant un dernier regard vers l’endroit où avait disparu votre mystérieux cavalier, vous avez finalement rejoint vos amis, terminant la soirée avec eux.
Zhongli était assis à la terrasse de son appartement, une tasse de thé encore fumante posée entre ses mains. Son regard était perdu dans la contemplation du liquide dans son récipient.
Il se demandait encore pourquoi il était partie sans vous demander votre nom. Même après avoir vécu plusieurs milliers d’années, il lui arrivait encore de se sentir un peu idiot.
Peut-être aurait-il dû vous inviter à partager une tasse de thé avec lui? Peut-être aurait-il dû enlever son masque et se présenter correctement à vous?
Zhongli avait rarement eu des regrets durant sa longue vie et aujourd’hui était l’un de ces rares moments. Un soupir s’échappa de ses lèvres, dès le moment où il avait croisé votre regard sur les quais du port, vous l’aviez intrigué. Il avait tout de suite remarqué à votre façon d’être que vous n’étiez pas de Liyue. De Mondstadt peut-être ? C’est ce dont vos habits laissaient supposer.
Pour une raison qui lui était inconnue, vous aviez esquivé son regard lorsqu’il avait porté son attention sur vous, fuyant à grande enjambée le quai qui vous séparait de lui.
Curieusement, Zhongli n’avait pas pu s’empêcher de vous suivre, accélérant le pas pour éviter de vous perdre de vue. Il avait fini par vous rattraper, admirant pendant quelques secondes vos yeux émerveillés. Il aurait aimé vous enlever ce masque de renard pour mieux vous admirer, pourquoi? Il n'en savait rien. Ce qui était sûr, c'est qu'à cet instant il souhaitait partager avec vous un moment intime, voulant créer un souvenir paisible et doux avec une inconnue au sourire plus brillant que le plus précieux des diamants.
Zhongli avait ressenti un bonheur intense naitre en lui alors que vous vous détendiez dans ses bras. Il savourait la sensation de votre souffle que vous projetiez sur lui alors que votre tête était posée sur sa poitrine, votre chaleur le réconfortait, votre rire le fascinait, vos yeux (couleur) le captivait. Pourquoi ? Pourquoi était-il parti ? Il n'aurait peut-être plus jamais l'occasion de vous revoir. Zhongli savait, après avoir accumulé 6000 ans de savoirs et de sagesse, ressentir du désir ou de l'attirance pour une mortelle pourrait devenir quelque chose de douloureux pour vous comme pour lui. Zhongli n'était peut-être plus le Géo archonte mais il restait un adepte avec une longue espérance de vie...
Oui il savait... mais savoir n'empêchait pas d'espérer.
Vous aviez eu du mal à vous réveiller, la soirée du nouvel an ayant été assez mouvementé. Après le feu d'artifice, vous aviez tous été chez Xiangling pour boire un dernier verre, sans alcool pour certains, Hu Tao, Xinqiu et Xiangling se chargeant de mettre de l’ambiance à votre petite fête. Vous aviez pu parler avec Chongyun de votre soirée, la magie qu'avait opérée sur vous l'inconnu au masque de dragon continuant de vous hanter. Chongyun vous avait patiemment écouté avant d'émettre l'idée que vous pourriez éventuellement tenter de le chercher en ville demain, même si le masque vous avait empêché de le voir sa prestance demeurait intact dans votre esprit.
Vous aviez donc dormi chez Xiangling. À votre réveil, elle était en train de vous préparer un petit déjeuner avec un grand sourire sur le visage. Xiangling vous avait préparé avec votre repas un remède maison pour la gueule de bois à base de fleur de muguet bleu, de fleur sucrante et d'extrait de jus de pomme.
"Merci Xiang, c'est délicieux."
"Je t'en prie (V/n). Et puis il faut que tu sois en forme pour aujourd'hui!"
"En forme? Pourquoi?"
"Hu Tao ne t'a rien dit? On va te faire visiter la ville aujourd'hui. Et puis..." -Elle s'approcha de vous, sa main couvrant le côté de sa bouche comme pour vous révéler un secret. Vous vous êtes rapprochée d'elle.- "Il faut qu'on trouve ton bel inconnu au masque de dragon !."
Vous vous êtes étouffé avec votre repas.
"Qu-Comment tu...je n'ai pas...!"
"Chongyun m'en a parlé hier soir avant de partir ! Il n'aimait pas te voir si triste alors il a pensé qu'on pourrait chercher ensemble aujourd'hui."
Vous avez soupiré, désespéré. Vous ne pouviez pas en vouloir à Chongyun, après tout vous ne lui aviez pas précisé de garder ça pour lui et puis ce garçon était beaucoup trop adorable pour lui faire la tête.
Après avoir fini de manger vous êtes partie prendre une douche avant de vous changez, vous coiffez et enfin appliquez un léger maquillage sur votre visage. Hu Tao vous a retrouvé en bas de l'appartement de Xiangling, terminant sa discussion avec une dame d'un certain âge qui vous salua d'un bref signe de tête avant de partir.
"Bien ! (V/n) il est temps qu'on s'occupe de ton cas."
"Mon cas hein..."
Hu tao agrippa votre bras, vous entrainant dans les rues peu bondées de Liyue. Elle vous montra quelques boutiques pendant que vous lui décriviez l'apparence de votre partenaire de danse.
"Un homme grand, élégant et poli avec un long manteau tu dis? Eeeeh... Ça me rappelle quelqu'un."
Hu Tao fit une pause pour réfléchir avant d'être interrompu par la voix grave d'un homme qui l'interpellait.
"Hu Tao vous voilà, j'aurais un petit... service..."
Ses yeux ambrés croisèrent vos yeux (couleur), un long silence s'installa entre vous quatre, Hu tao et Xiangling balançant leurs yeux vers vous puis le nouvel arrivant. L'homme ne vous quitta pas des yeux, sa bouche légèrement ouverte. C'était lui, vous en étiez sûr, c'était lui !
Zhongli vous regardait sans rien dire, trop ébahi de vous trouver si facilement alors qu'il venait justement trouver Hu Tao pour lui demander son aide. Il avait reconnu vos yeux dès l'instant où il les avait vu.
Il s'approcha prudemment de vous, oubliant tout ce qui l'entourait. Il saisit votre main dans la sienne, un sourire doux naissant sur les traits délicats de son visage. Vous étiez encore plus belle qu'il ne l'avait imaginé. Il pouvait sentir vos doigts trembler d'émotion dans sa main, la resserrant pour vous apaiser.
"Ah- Je, vous..."
Zhongli ne prêta pas attention aux regards curieux d'Hu Tao et de Xiangling. Il était concentré sur vous, uniquement sur vous. Vous attirant à lui, sa main de nouveau posée sur le bas de votre dos, il commença quelques pas de danse pour vous assurer que c'était bien lui. Vos larmes coulèrent sur vos joues alors qu'un sourire éclaira vos traits. Plusieurs minutes passèrent avant qu'il ne cesse de vous faire tournoyer au rythme des battements de son coeur.
"Quel est votre nom?"
"(V/n)"
"(V/n), quel beau nom." -Il porta votre main encore enfouie confortablement dans la sienne jusqu'à ses lèvres, déposant le plus délicat des baisers.- "Zhongli. Puis-je vous invitez à boire un thé en ma compagnie?"
"Avec plaisir."
Zhongli savait que forger des liens avec un mortel pouvait être douloureux.
Il savait mais... il prendrait ce risque.
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bedeviledgoober · 2 years
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parc-nature bois-de-liesse
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junghwwwa · 5 years
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Paris, les Champs Elysées, tous célèbrent la victoire des Bleus. Dans cette foule en liesse, unie, figurent les jeunes de la cité des bosquets de Montfermeil en Seine Saint Denis. On est plus de 150 ans après Les Misérables de Victor Hugo où Jean Valjean rencontrait Cosette dans les bois de Montfermeil. Il est difficile d’imaginer que la cité des bosquets qui fut longtemps sinistrée avait été à sa création dans les années 1960 une cité presque bourgeoise. A travers l’histoire d’une bavure policière, Ladj Ly livre un état des lieux de sa cité, magistral et implacable. Un court métrage en 2017 avait précédé le film qui fit sensation au dernier festival de Cannes en raflant le prix du jury. L’histoire est la même, les acteurs qui jouent les policiers de la Brigade anti criminalité sont aussi les mêmes. Tout part d’une vidéo postée sur internet par Ladj Ly lui-même filmée au drône et montrant une bavure policière. Le succès de la vidéo est viral et Ladj Ly s’en inspire pour faire le court métrage qui est lui aussi déjà remarqué et concourt pour le césar. L’arrivée de Stéphane (Damien Bonnard) à la BAC de Montfermeil donne un prétexte au point de départ du film: il part avec ses deux collègues faire un tour du quartier tandis que ceux-ci lui expliquent l’histoire du quartier, sa fréquentation, ses rouages. L’ambiance est presque bon enfant même si on sent par ci par là des tensions qui rendent l’équilibre fragile, d’autant que le respect des policiers semble reposer sur une forme de terreur que le petit nouveau réprouve. On n’est pas loin de The Wire finalement, dans le sens où Ladj Ly n’adopte jamais un seul point de vue et englobe dans ses Misérables tout autant les habitants de la cité, jeunes et adultes, que ces policiers de la BAC. Après un début réaliste, Les Misérables finit crescendo dans le film de genre, comme un cri d’alarme qui dénote une véritable démarche politique. On sort de là le souffle coupé avec la citation de Victor Hugo en tête “ Mes amis, retenez ceci, il n’y a ni mauvaises herbes ni mauvais hommes. Il n’y a que de mauvais cultivateurs.”
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somethingintheabyss · 4 years
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UN JOUR DE PLUIE.
06H30.
Une lumière faiblarde filtre au travers des grands rideaux de lin beige. Le clapotis de la pluie sur les carreaux, me tire doucement de mes rêveries. L'odeur de la pluie et de l'herbe humide pénètrent timidement dans la pièce, parvenant à mes narines. Je m'étire longuement dans le lit. La couverture recouvre la totalité de mon visage. Seuls, mes bras en plein effort et ma chevelure en désordre peuvent attester de ma présence sous les draps. Un petit bâillement de satisfaction s'échappe d'entre mes lèvres. J'aime les jours de pluie. Je les chérie, je l'ai étreint. Ils sont synonymes de bonheur, douceur et inspiration. Le réveil se déclenche, laissant la musique envahir mon refuge.
Après des nombreux étirements, je me redresse doucement dans le lit. Les jambes ramenées contre le buste, bras les entourant. Je reste là un moment, les yeux clos. Profitant de ce moment de liesse. Quant je les ouvre à nouveaux, il se pose sur mon bazar organisé. Mes livres, constituants d'immenses piles au quatre coin de ma chambre. Sur le rebord de ma s'entasse une jolie collection de plantes vertes, des photos et des petites bougies. A la droite de mon lit, mon chevalet sur lequel trône mon essaie peu concluant mais original de la veille. J'aime cet endroit. Les petites guirlandes lumineuses, les images accrochées au mur collectées à droite et à gauche dans divers bouquins et magasins.
Je me décide enfin à sortir du lit, stoppant le réveil. Le silence envahie la pièce. Assise au bord de celui-ci je prends quelques secondes avant de me lever. L'orage gronde faiblement au dehors, lointain. Il semble hésiter à venir survoler la ville. Je passe un pull tout doux et chaud par dessus mon haut de pyjamas. Puis, je prends la direction de la cuisine, bien décidée à me faire couler un café, traversant le dédale de gribouillages et de crayons de couleur jetés au sol. J'aime ce désordre, j'aime mon foutoir.
La cuisine est minuscule mais je m'y sens bien. Juste ce qu'il faut pour cuisiner et une petite table collée au bord de la fenêtre pour pouvoir admirer la vue à chaque instant. Je prépare le cafetière italienne. Après quelques minutes, un sifflement significatif se fait entendre. J'attrape une tasse et me sert. La délicieuse odeur du café m'appelle.
J'attrape un petit croissant, mon café et m'en vais prendre place à table.
Je me recroqueville sur la chaise, je me blottis. Mon café entre mes mains, je souffle sur celui-ci pour diminuer sa chaleur. C'est si bon de ne rien faire. La pluie est belle à voir. Les gouttes s'écoulent lentement sur la fenêtre, dessinant, de vastes sillons d'eau. De temps à autres, au loin, je devine la silhouette lumineuse d'un éclaire. Le ciel gris se teinte l'espace d'un instant. Le son, quant à lui, est toujours étouffé.
Au delà de mon petit coin de paradis, s'étend le monde. Il est si vaste, étendu. La ville n'est pas mon endroit préféré. Ces buildings immenses, de métal et de béton, aux vitres qui reflètent inlassablement les rayons du soleil. Ce brouhaha permanent qui se fait entendre à chaque coin de rues. Les humains, qui déambulent, portable vissé dans la main, qui parlent fort, qui se moquent des autres, qui ne prennent plus le temps de s'émerveiller. Quant je regarde par la fenêtre, moi, je regarde bien plus loin, au delà de ces géants d'acier et de verres, au delà des antennes et câbles électriques. Je fixe mon regard sur la montage et ses forêts. Je m'imagine gambadant sur les sentiers aux courbes sinueuses, bordés de champignons et de fleurs de toutes sortent. J'écoute le bruissement de la brise dans la cime des sapins. J'admire le ballets des écureuils au dessus de ma tête qui virevoltent de branches en branches avec une facilité déconcertante. Je m'enivre de cette odeur de sous-bois, de fraises sauvages et des boutons d'or. Je pourrais me reposer au creux d'une clairière, sur un tapis de jacinthe, ma peau se réchaufferait à la lumière. Je serais bien. Je serais loin de tous, dans un endroit où la beauté de la nature est reine, souveraine. Dans un lieu qui respire la vie. Ou se perdent nos soucis. Je pourrais rester là, des heures durant, laissant filer le temps, les impératifs, profitant du moment.
Mais je suis là, le tic-tac de la pendule me ramène à la réalité. Mon café est froid. Ce n'est pas grave. Ce n'est que futilité. Je le bois tranquillement. L'arôme des grains glisse le long de ma gorge, je me délecte. Il est fort, intense. L'orage est enfin au dessus de al ville. Le paysage s'est assombri. Le ciel est devenu noir. Un encrier semble s'être déversé entre les nuages. Les éclaires illuminent la ville et la montage. Ce paysage m'interpelle, il m'inspire. Posé dans un coin de la table, un carnet et des morceaux de fusain. Je m'en empare et décide de croquer ce visage si particulier que l'univers expose à mon regard.
Ce satisfaire des petites choses. S'émerveiller de tous ce qui m'entoure. Il est temps de s’ouvrir, de rêver, d'aimer, de voyager, d'apprendre et de partager.
Tout autour de nous se cachent des merveilles que nous ne soupçonnons pas. Cet orage, ce paysage tortueux, c'est mon cadeau du jour, c'est moment instant de merveille, de bonheur. C'est un instant unique. Il faut le chérir, le garder bien précieusement dans sa mémoire. Alors, il est temps d'en profiter.
Au faite, je vous ai dis que j'adore les jours de pluie...?
-SOMETHINGINTHEABYSS
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netlex · 4 years
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Charles Tessier, né vers 1550 était un luthiste de grande qualité. Son oeuvre deTessier se compose de 90 pièces inspiréspar ses nombreux voyages et échanges.
Quand le flambeau du monde Quitte l'autre séjour, Et sort du sein de l'onde Pour rallumer le jour, Pressé de la douleur qui trouble mon repos, Devers lui je m'adresse, et lui tiens ce propos :
Bel astre favorable Qui luis également, Aux humains secourable Fors qu'à moi seulement, Soleil qui fais tout voir, et qui vois tout aussi, Vis-tu jamais mortel si comblé de souci ?
Depuis que ta lumière Vient redonner aux cieux Sa splendeur coutumière, Si délectable aux yeux, Jusqu'au soir qu'elle va dans les eaux se perdant, Mon soleil est toujours au point de l'Occident.
Une nuit éternelle, Pleine de soin divers, M'éblouit la prunelle, Et tient mes yeux ouverts, Ma lumière affaiblit, et mon âme défaut, L'espérance me laisse et la douleur m'assaut.
Je cherche les ténèbres, Les antres et les bois, Dont les accents funèbres Répondent à ma voix. La crainte et la terreur marchent à mon côté, Et de mes propres cris je suis épouvanté.
Ma liesse est passée, Mes beaux jours sont ternis, Mon âme est oppressée De regrets infinis, Le deuil et la tristesse accompagnent mes pas, Et les vont adressant au chemin du trépas.
Pendant que le jour dure, Des autres souhaité, Je cours à l'aventure Parmi l'obscurité, Cherchant quelque accident qui finisse mon sort, Et ne vivant sans plus que d'espérer la mort.
Et puis quand la nuit sombre Vient au lieu du soleil, Et cache sous son ombre L'horreur et le sommeil, Joignant les mains ensemble et levant les deux yeux, J'adresse ma parole aux étoiles des cieux :
Astres pleins d'influence, Aux mortels gracieux, Qui guidez le silence Et le somme otieux Et ramenez la nuit dont la sombre couleur Me semble conspirer avecques ma douleur,
Flammes claires et belles, C'est ores que je veux Que vous soyez fidèles A témoigner mes voeux, Et que votre clarté me serve de flambeau, Pour conduire mon âme en la nuit du tombeau.
Depuis que vos images Vont au ciel paraissant, Et les divers présages Aux hommes annonçant, Jusqu'au point que Thétis les reçoit en ses flots, Jamais mes tristes yeux du sommeil ne sont clos.
Mille étranges pensées, Mille tourments secrets, Mille offenses passées, Mille cuisants regrets Forcent ma patience, et ne me laissent point Endormir au souci qui sans cesse me point.
Les peines éternelles, Les supplices divers Des âmes criminelles Qui souffrent aux enfers, Agitent mon esprit privé de son repos, Que mainte flamme obscure étonne à tout propos.
Parmi cent mille alarmes Je passe ainsi les nuits, Les yeux remplis de larmes, Et le coeur plein d'ennuis, N'ayant autre confort qu'à penser seulement Que j'ai plus offensé que je n'ai de tourment.
Mais celui dont la grâce S'éloigne de mon chef Fera luire sa face Dessus moi derechef. Alors je recevrai ma première clarté, Changeant mes nuits d'hiver aux plus beaux jours d'été.
Jacques DAVY DU PERRON (1555 - 1618)
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miladyarmster · 5 years
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Moonlight lovers
“Désolé des fautes, je tente surtout de vous mettre le plus de détails..)
Que dire de ML aussi loin que j'ai pus le faire ? Bon déjà on peu pas personnalisé notre demoiselle. ça serai bien que ça sois rajouter ? Bien que je serais prête a leur pardonne ça si l'histoire reste ainsi. Quand nous entrons dans le manoir, on est assez surprise de voir qu'il a l'air bien plus vivant qu'il n'as été dis pas le notaire et tout le blah blah blah. On commence alors a visité les lieux, sentent une présence on interpelle, mais pas de réponse. On se dis qu'on est un peu folle de penser que, comme le manoire n'as logiquement pas été habité depuis. Les premiers rencontrer son comme vous l'aurez deviner Béliath et Vladimir. On prends rapidement peur et on essaie tout simplement de nous cacher dans l'espèce de bibliothèque au rez-de-chaussée. On a le choix de mettre le canpé, ou meuble devant la porte pour les empêcher de rentrer. On fini par sortir, Vlad et Béliath commencccent a se prendre la tête, Raphael s'en fiche. Ethan et Aaron poppent, quand tous le monde se prends plus ou moins la tête on prends les escaliers pour monter a l'étage, on fait notre "tour" si je puis dire pour finir au fond du couloir près de la grande fenêtre ou on tente d'appeler quelqu'un. Seulement on entends du bruit, puis on se rends compte qu'un jeune homme de notre âge est juste là devant nous. Au début on pense que comme nous, il est piégé dans le manoir il nous avoue rapidement qu'il est l'un des résidents. Il s'approche alors pour tenter de nous mordre une première fois, on se défends. Nous essayons simplement d'échapper au plus jeune vampire du manoir, Ivan. Dans un geste déséspérer et bien qu'il ne voulais que boire notre sang, il nous pousse. Nous passons alors a ce moment par la grande vitre pour finir pleine de débris de verre, de sang...dans le jardin du manoir ou les garçons viennes tous nous rejoindre ! Bien sûr toujours consiente et bien que la vie nous échappe, nous les entendons parler. Ne voulant pas mourir on aimerais leur dire, on entends qu'ils n'ont pas envie d'attirer les flics au manoir. Alors ils se tournent vers nous pour nous demander qui va nous "aider". Cela étant on a un trou noir en voyant l'un des garçons se pencher sur nous...! Quand nous nous réveillons, nous sommes soit avec dans un canapé avec Béliath un peu plus loin, sois sur le sol du hall d'entré pour Vladimir.
Béliath est très proche de nous et s'amuse même du fait que l'on sois son "calice" même si Vladimir le rattrapera en lui disant que nous ne sommes pas esclave, de la nous apprenons plus sur ce qu'est un calice. On nous explique alors que le calice est liée a son maître vampire. Que l'on est ni humaine ni vampire, nous avons le coeur qui bat. Avant de nous présenter les lieux Béliath voulais aller a sa chambre, encore une fois Vladimir le rattrape alors en lui disant que nous indiquer NOTRE chambre et non la sienne, encore une fois ça part un peu en sucette. Il me semble que Raphael interviens également je ne suis plus sure. Lol Mais du coup Béliath nous amène alors a notre chambre et nous dis que l'on dois se reposer. Chose que nous finissons par faire avec l'envie de nous enfuir dès notre réveil. Enfin, nous nous reposons. Quand on se réveille, on décide de profiter du "sommeil" des garçons pour  nous enfuir, nous croisons alors Vladimir qui nous dis qu'il est souvent le premier levé. Il nous invite alors a explorer les lieux toutes seule, avant bien sûr que Béliath ne descende. Arrive alors Raphaël, nous demande si on se sent mieux. On a pas la bonne mine, alors Vladimir soutiens qu'il ferais la même tête si il devais être pour l'éternité accolée a Béliath.  Raphaël nous défend alors en lui disant qu'il ne dois pas rendre la situation davantage délicate. Il est vrai qu'être le calice d'un vampire est pas tout à fait simple. Il souligne également que c'est a eux de nous habitué a la présence de Béliath. Raphaël prends alors notre parti pour nous aider, Vladimir lui a pas envie. Cependant il y sera forcé tôt ou tard. Nous finissons alors par croiser Béliath et ainsi on est confronté a un autre choix, Béliath ou Raphaël, si nous quittons Raphaël on va discuter avec Béliath et s'en suit rapidement un sentiement maladif, on fait tout pour retourner nous couché et comme monsieur n'aimerais pas ramasser du vomi ou devoir s'occuper de nous si on fait un malaise. On retourne alors se couché et dormons toute la nuit. Petite matin arrivant alors, nous nous précipitons vers la sortie, on sors dans le chemin pour ensuite passer le portail pour nous retrouver dans le petit village. On semble deveneir malade quand on s'éloigne de notre "maître". On peu le quitter un moment de ce que j'ai compris mais très vite un sentiment maladif et décalé nous envahirais. En premier lieu, il semblerais que les résident du  manoir soient plus proche de nous que nous le pensions selon la petite voix soufflante nous faisait penser. On se rattrape en disant qu'ils ne sont pas comme nous. Deux jours d'Enfers on été suffisant ! On croise alors un agen de police en train de s'occuperde deux personnes un peu perdu. On attends contre appuyée contre une vitrine. Mais très viite on ne se s'en pas très bien et éprouve alorsz le désire que l'on s'occupe de nous, un désire qui nous a poursuivi toute notre vie. Mais quand l'agent de police fini par se retrouve seul nous ne pouvons pas bouger. Nos jambes refusent catégoriquement de nous répondre, incapable d'avancer ou même de parler. A ce moment là, on ne comprends pas ce qu'il nous arrive, on roule des yeux paniquée mais on attire pas l'attention plus que ça. Les gens passent alors devant nous sans même prêter attention a nous, il semblerais qu'on ne nous vois pas. Et nous sommes incapable de parler du manoir. Un sentiment de désespoir prends possession de nous, on ne comprends pas ce qu'il nous arrive. Après tout, on avais réussis a quitter le manoir mais au moment ou on est prête a nous confié a quelqu'un, notre corps ne nous obéis plus. On se posa la question suivante "Qu'est-ce que ces hommes nous ont fait au manoir ?", il va sans dire que le lien "calice" au "maître" est vraiment profond au point même qu'il puisse géré notre corps ? Nos pensés ? Alors les larmes nous montent rapidement au bord de nos yeux. On ne se sent pas a notre place. On essaie alors de se calmer mais on pense surtout être encore sous le choc. On décide alors d'aller faire un tour pour nous calmer. La nuit tombe alors rapidement, notre liesse a l'air de s'être éteinte. On a donc errée toute la journée, tournant en rond cherchant du calme mais on s'échoue dans une ruelle à l'écart de tout. On à réussis a parler a personne malgré notre désire de demander de l'aide, de raconter ce qu'il s'est passé...mais cela n'as pas été possible notre corps refuse catégoriquement de nous répondre a ces moments là. Dans la ruelle, on se sent mal, l'envie de pleurer nos prédomine car on ne sais plus quoi faire, ni même où aller. Nous n'avons nis papier, ni argent...on est piégée car on est trop vieille pour retourner a l'orphelinat. On s'assied alors en enroulant notre bras autour de nos genoux y ennfouissant laors notre visage,c'est le soir alors la température a chuté....Alors que nous pensions être clairement seule au monde une voix nous fit l'effet d'un coup de fusil, Béliath nous avais rejoins. Il s'amuse alors de nous voir réagir ainsi, notre départ du manoir n'est pas passer aussi inaperçus. Il est a l'autre bout de la rue, toujours amusé les poings sur les hanches, avec toujours ce sourire....nous sommes alors terrorisée.  Il nous dis alors qu'il peu sentir notre présence de part ce lien, et que ses pouvoirs sont quand à eux, très actifs. On lui demande alors si il va nous ramener au manoir. Béliath répond de manière positive et qu'une petite mise au point va s'imposer. C'est surtout parce que monsieur n'as pas envie de nous courir après chaque soir (on vois l'égoïsme) ! On bondis donc sur nos pieds dans le but de le fuir,  il se met alors a rire une énième fois. Ce qui l'amuse est que pour lui on semblais plus brave avant, on ne tremblais pas quand il était près de nous et maintenant c'est le cas. Alors à ce moment,  sur ces paroles, on ne sais pas trop si c'est de l'aprobation ou bien de la moquerie dans le timbre de sa voix mais tout espoirs en nous sembles alors fondre face a notre constat: nous sommes cruellement faible, épuisée mais surtout....seule au monde. Béliath aprouve le fait que nous ne le croyons pas au début alors il s'avance vers nous dans l'obscurité, son élément.  Avec une démarche féline que l'on avais déjà observée au manoir, nous prenons conscience que nous sommes entré dans un territoire hors de notre contrôle. Sans nous rendre compte, nous avions recule jusqu'au mur, gelé a cete heure de la nuit, comme piégée une nouvelle fois. Il est donc tout près quand ils s'amuse encore a nous dire que les humains son rares a supporter qu'il puisse exister un autrement, parallèle au leur, dangereux et à la fois sanglant. Mais selon Béliath, les humains ne sont que leur garde-manger, vive la sympathie ! Mais a ce moment là, l'une de ses mains vint alors a effleurer nos cheveux l'autre se posant juste au dessus de notre tête. Suspendue à ses paroles. Béliath nous avoue alors que pour lui c'est plus raffiné que cela. Il ne bois pas du sang uniquement pour se nourrir. Il aime tout le rituel qui entoure ce moment. Malgré nos efforts et désire de le faire reculer notre corps reste inerte, incapable de le repousser. La boule au ventre notre crainte enflais en notre sein. Que faisait-il ? Il est comme un chat devant un oiseau en cage...et il recommence alors à nous dire que nous sommes liée a lui par quelque chose de puissant. Si intime que ceux de son espèce évitent en général d'y recourir. On lui demande si c'est encore cette histoire de calice,  il acquièse en disant que l'on comprends de plus en plus vite. Et que c'est mieux pour nous. Que le confort de notre nouvelle existence dépendra de la vitesse à laquelle on s'adaptera. Car nous allons vite comprendre que monsieur est vorace de ce qu'il dis. C'est alors que sa main quitte notre chevelure pour passer le long de notre taille,  dans un contacte léger, mais cela semble nous brûler a travers le tissu de notre robe. On peu sentir le souffle de Béliath contre notre visage...la lune éclaire alors ses crocs dépassant de ses lèvres. Béliath nous dis alors qu'il est du monde de la nuit, qu'il est temps qu'il nous donne notre droit d'entrée. Sur ces paroles il se saisit alors de notre taille, sa main libre glisse alors sur notre nuque. Basculant notre tête sur le coté sans que l'on puisse résister. On se retrouve alors piégée au creux de ses bras, pressée contre son torse, enveloppée de sa chaleur ainsi que de son odeur..On souligne alors que sa grande silhouette élancée est plus solide qu'on ne le pensais. On peu ressentir contre nos vêtements les aspérités des muscles, le contacte de sa peau...d'une telle précision que notre visage s'enflamme de rougeurs. Son souffle dans notre cou, sous nos cheveux, près de notre oreille..Sa langue effleura alors un instant notre peau, avant que ses lèvres ne se presse tout contre il tâte alors notre gorge du bout de ses dents. Il nous demande de nous détendre, car c'est plus agréable pour nous. C'est alors que ses canines perça alors notre peau, on eut un léger cris, une douleur suivis, on oubli tout de qui nous entoure a ce moment là. Pendant qu'il nous suce le sang, Béliath fait glisser de son pouce et le long de notre peau le tissu de nos vêtements caressant alors l'arrondi de notre épaule. On sent alors notre sang se faire aspirer, longuement notre liquide chaud et a la fois poisseux, alors que quelques gouttes chaudes encore glissent le long de notre clavicule. La douleur est si forte que les larmes nous montent rapidement aux yeux, nous ne bougeons pas, restant a la merci de Béliath.  Nous sommes dans l'incapacité de nous défaire de lui, comme si que notre corps ne nous appartenais plus. Malgré la douleur que nous tentons de contenir, on ferme les yeux. Une sueur froide commence alors a nous couler le long du corps..L'indexe de Béliath vint alors a cueillir une goutte de sang qui s'était écoulée jusqu'a notre décoletté. Du bout de son doigt il retrace l'arrondis de notre sein jusqu'a receuillir la longue trainé de rouge. Sa bouche relâcha alors la pression contre notre cou, on pris alors une longoue bouffé d'air. Alors que l'on reprends notre respiration comme quelqu'un qui allait pour se noyé, Béliath nous redis que nous sommes son calice, celle qui le nourrira,  qui alimentera son corps et son esprit. Il a prévu beaucoup de choses avec notre et que l'on sois rassurée car ça sera agréable pour nous. (WTF Béliath !). D'un sourire, Béliath appuyer alors ses crocs contre son prorpe index. On eut comme un mouvement de tressaillement quand il se mordis pour faire couler un peu de sang. Son sang vint alors a ses mélanger au notre. Béliath précise alors que nous avons eut qu'un simple avant-goût pour ce soir. Mais que l'on dois également rentrer bien qu'avant cela...avec beaucoup d'élégance il pressa son index contre notre bouche d'une légère pression. Le sang du vampire se faufile alors doucement contre nos lèvre, le goût de sel et de rouille envahis donc notre bouche, quoi qu'épicé également que l'on ne peu qualifié. Une sensation grisante nous donne le sentiment d'avoir la tête qui tourne, un peu comme si nous avions bus. La douleur disparue alors..notre corps se relâche. On se laissais aller contre Béliath, le corps tremblant et frissonnant. Ce dernier posa alors ses mains sur notre taille, les pouces caressant doucement nos hanches. Notre maître si je puis dire nous dis que nos nuits seront longues, que nous sommes bienvenue dans son univers. Fin du chapitre 1.
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notori · 4 years
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My first adventure in 2020! Last week I went to Bois-de-Liesse #NaturePark in #Montreal. Read more and watch the video at https://buff.ly/2Tjsw2L.⠀ #ReferencePhoto packs are available for patrons as well! #Winter #Trails https://www.instagram.com/p/B7O-HauDFyc/?igshid=1qfpn06ive9dm
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septuneblog-blog · 5 years
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Ecrire sur les femmes et moi
Ce qui forge mon identité de femme 
De l’art : des autrices (en ce moment Mona Chollet avec Sorcières, La Puissance invaincue des femmes), des actrices, des personnages aussi (tout dernièrement les personnages de la série Stranger Things), des lectures (article sur le reathon féminin de juillet bientôt), des chanteuses et des musiques (en ce moment très fort : l’esthétique du clip et les mots de Mothers Daughter de Miley Cyrus)... 
Des réflexions sur les hommes aussi : dans leur façon d’être hommes (en ce moment la télé-réalité de Netflix Queer Eye), dans leurs façons de voir-être en relation avec les femmes (je pense par exemple le podcast The Boys Club de Madmoizelle). 
Du réel aussi avec des discussions entre nous, avec mon mec, avec ma mère, ma mamie, ma grand-mère, avec mon amie Romane, avec mon amie Lola, avec mon amie Marie, mon amie Julie, en les regardant faire être. En débattant avec ma cousine Marie-Liesse, avec ma cousine Mathilde. En voyant faire Violaine. En voyant faire Fanny. En voyant faire Julia. En voyant faire Juliette... 
En m’inspirant des créations et des voix de par exemple @ectomorphe_ , @lavilletlesnuages , @furrylittlepeach , @oliviaherrickdesign @womenwithpencils ,@   __hiedra__, @septemberwildflowers et tant d’autres. 
En m’informant toujours plus, par des témoignages, des vidéos, des comptes Instagram (quelques uns : @cequeveulentlesfemmes , @freelancingfemales , @ simonemediafr, @dans_la_bouche_dune_fille , @tasjoui , @taspensea ), des articles, des youtubeuses @lecoindelodie, @jeannelyra @lenamahfouf  @ninamontagne , etc - sur différents sujets : 
la littérature (@antastesia ), le voyage, le sport (@vendela, @nina, @ heyclaire, la communauté queer, nos corps (@ lubadalu (illustrations), @ esthertaillifet ), notre Histoire, nos histoires, le couple, l’éducation, notre sexualité, nos voies professionnelles, la psychologie, sociologie, la nature (@ joseeannesarazincote , @ninalukacoach ...   
En voyageant, voyant d’autres façons d’être et de faire (merci Bianca, merci Catarina, merci Maria et Nicole, merci Sonia et Kiersten, merci)  + faisant de la distance avec là d’où je viens : la société française actuelle avec son histoire, ses racines, sa multiculturalité, ses valeurs, tous ces éléments sélectionnés en ce moment pour nous définir. 
En ayant des professeures femmes, engagées à ré-équilibrer l’apprentissage de classiques en littérature. 
Moi dans mon expérience de femme à moi, le chemin passé, celui qui me tarde de parcourir. 
En forgeant mon identité d’humaine tout court.
Je pense que l’on a plus le temps, entre femmes, de se mettre des bâtons dans les roues, d’être de leur côtés, d’être jalouses, d’être condescendantes, méchantes, de juger nos actions négativement. Il serait plutôt bon de s’entraider, se tirer vers le haut, s’inspirer les unes les autres, de s’encourager, de souligner le positif, de s’instruire ensemble, d’utiliser les mêmes termes, le même étendard. On gagnerai en temps, en énergie, en force, en crédibilité, en amour. 
- Quelle femme je veux être.  Libre de s’ancrer avec qui elle veut, comme elle le veut. Libre dans son corps ferme, plein d’énergie et naturellement imparfait. Libre de rester femme et non soeur-fille-mère-femme ou copine de. Libre d’être surtout humaine. Libre du genre “féminin”. Libre du genre “masculin”. Libre dans ses choix professionnels. Libre dans la nature, avec la nature, comme la nature. Une femme libre dans son-ses âge.s. Une femme libre dans ses émotions, dans ses sensations. Une femme donc librement en colère, librement en joie. Une femme libre comme indépendante, loin et proche. Une femme libre comme égoïste avec ses priorités à elle. Une femme libre de l’espace qu’elle veut mettre entre elle et l’autre, proche d’elle-même. Libre au point de pouvoir se faire surprendre, lâcher-prise, être vulnérable, avoir le temps et l’espace pour. Libre la charge mentale des autres, de leurs yeux, de leurs envies, de leurs peurs, de leurs frustrations. Libre d’être pleinement. 
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srndpt2024 · 5 years
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Story “ Der Student” (3)
Story “ Der Student” (deutsche version / german version) 
Folge 3
Ich presste meine Lippen auf den süssen Boy vor mir. Lange hatte ich diesen Moment herbeigesehnt. Jetzt hatte mein parapsychologisch begabter Kollege Großes ermöglicht. Ich spürte das Große unter der Krankenhausbettecke. Als wir gestört wurden von dieser dämlichen Krankenschwester, rutschte mir das Herz in die Hose. Da ich Angst bekam, übernahm sofort mein zweites Ich, der Schatten, das Kommando. Es fühlte sich an, als würde ich aus meinem Körper herausgerissen, und an anderer Stelle in einen neuen Körper gezwungen.
Jedesmal war es ein anderer Körper, den die obskure Macht in mir schuf, der dann solange am magischen Leben bleiben würde, wie es eben nötig war.
Diesmal war ich ein alter Mann mit Anzug. Ich fand mich irgendwo im Untergeschoss des Krankenhauses wieder. Mein Master-Körper verblieb im Zimmer des Studenten mit meinem Kollegen. Ich hatte keinen Zugriff mehr.
Da hatte ich nun magische Kräfte, aber im Gegensatz zu meinem Kollegen konnte ich sie nicht steuern. Das besorgte jener "Schatten", mein schwarzer Zwilling, der in diesen extremen Minuten meinen Masterkörper übernommen, und mein Bewußtsein in diesen Hilfskörper ausgelagert hatte.
Schritte! Ich drückte mich in eine Nische. Ein junger Krankenpfleger bog um die Ecke. Ich konnte seine Geilheit riechen. Als er mich sah, weiteten sich seine blauen Augen. Er stand auf alte Männer, mein Hilfskörper war perfekt für ihn. Ich umarmte ihn einfach, und er liess es geschehen. "Baby blue", krächzte ich in sein Ohr, "bring mich schnell zu Zimmer 831". - "Ja, Herr". Die Macht des Schattens war zu groß für ihn, er machte, was ich wollte. Und in Rekordzeit brachte er meinen Hilfskörper in das Krankenzimmer zurück, vor dem allerdings wieder die dämliche Krankenschwester stand. Sie schien etwas zu ahnen. Ich herrschte sie an: "Feierabend. Geh' nach Hause!". Wie ein Automat drehte sie sich um und ging. Mein schnuckliger Begleiter drängte sich an mich, erregt von der Macht, die ich ausströmte. Ich stiess ihn zurück, wollte endlich in das Zimmer zurück. Er würde sowieso nicht mehr von meiner Seite weichen.
***Fortsetzung folgt in Zusammenarbeit mit:
https://www.tumblr.com/dashboard/blog/maennergeschichten
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furrydazesuit-blog · 6 years
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Les paupières des lys s’entrouvrent lentement
Les paupières des lys s’entrouvrent lentement
sous la main du printemps, je m’éveille, langoureuse, sur
l’ivoire de notre couche, tes mots d’impudeur murmurés dans la nuit,
à la lueur des cierges de lune, et de nos chandeliers,
résonnent encore en moi, tandis que tu dors,
nue comme moi, je m’enivre de tes regards pervers
dès que tu m’effeuilles, ô ma Sirène, ma Maîtresse,
non loin de moi, les oiselles pépient dans les ciels d’azur,
les effluves des amarantes et des violettes que
j’ai cueillies pour toi, et disposées dans un vase,
me distillent des strophes de douceur.
Nos robes transparentes de satin, nos bas de soie,
et nos escarpins, gisent à terre, et sur nos fauteuils,
témoins de nos duels d’Eros, tu m’as effeuillée, hier,
dès la brune, et tu m’as conduite jusqu’aux rivages de la Luxure,
jusqu’aux îles de la Jouissance.
Je me lève, je revêts mes habits, je fixe sur l’urne
de mes hanches graciles une paire de porte-jarretelles
qui brasillent au Soleil,
les collines de mes seins arrogants et lourds, libres
de toute attache, arborent, souverains, l’or de mes extases,
la principauté de ma Fourrure-corolles s’éveille parmi
le sang de la rosée, j’ai tant besoin de tes énervantes caresses.
Je sors face à la chapelle des bocages, à ma vue,
les animaux s’agenouillent, les sources s’arrêtent de couler,
et me saluent, éblouies par l’ivresse de ma Magnificence,
je me dirige vers une clairière, je me dévêts,
je sors de mon sac à main un objet que tu as béni,
je désigne le godemiché, je le mouille avec ma salive,
je l’enfonce insensiblement de ma rivière d’amour à la grotte
de ma matrice, je recommence sans fin mes gestes si beaux,
je ne suis plus maintenant que soupirs, gémissements, Grâce,
soudain, je hurle des motets de liesse,
le lait de ma sève sourd,
je le bois en ton honneur, à mon retour, je te prendrai,
et tu seras Mienne, ô ma Vénérée !
Sophie Rivière
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zaziezazou · 6 years
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Papillon noir
Il y aura deux pilastres unies par une grille à l’usure du temps
Il y aura la longue allée de terre battue bordée de marronniers
Il y aura le gazouillis des oiseaux dans le crépuscule naissant
Il y aura la façade de la vieille bâtisse aux ocres moirés du soleil couchant
Il y aura elle, le corps alangui sur le banc de bois, sous le chapeau de paille et son sourire lumineux invitation au bonheur
Il y aura le papillon bleu posé sur la dentelle écrue de sa frêle épaule
Viendra la nuit sans lune aux allures d’éternité fendue par un ricanement glaçant et un cri d’effroi en écho.
Arrivera l’aurore jaspée et douce aux promesses d’un bel été, le bruissement du ruisseau, la nature qui s’éveille et la vie avec elle.
Il y aura le papillon noir posé sur la dentelle écrue de sa frêle épaule de dentelle
Il y aura elle, le visage livide, le corps brisé sur le banc de bois, un filet de sang pleurant de son cœur, le regard vide miroir de l’indicible,
Il y aura la façade aux ocres roses et dorés du soleil levant,
Il y aura, après le silence, le gazouillis des oiseaux, le chant du mistral dans le mouvement des arbres,
Il y aura la longue allée de terre et aussi les deux pilastres aux grilles d’antan.
Dans l’air, l’indécence d’un parfum de liesse et l’insouciance des papillons bleus.
L’heure n’est pas au labeur, les moissons attendront et les bêtes seront au repos.
En cette journée, les villageois n’ont d’autre préoccupation que la fête qui se donnera au château.
Le comte marie son fils unique, trentenaire accompli, aussi connu pour ses frasques que pour sa superbe moustache soignée qui lui a valu le surnom de « Papillon noir ».
Il y aura les notables et les va-nu-pieds, les riches marchands et les maquignons, les propriétaires terriens et les petits paysans,
Il y aura les belles dames et les paysannes, les aristocrates et les lavandières, les bourgeoises et les gourgandines,
Il y aura la promesse de vins et de mets fins, d’agapes qui mèneront jusqu’au petit matin,
Il y aura la mariée drapée d’ivoire, papillon blanc nacré posé sur l’or de sa chevelure,
Il y aura le marié boucles sombres sur le délicat velours bleu nuit, lavallière pourpre à l’épingle argentée.
Sonnera le glas qui sur tous les visages inscrira l’effroi, les sourires pétrifiera, la foule consternera.
Il y aura des cris et des pleurs, de la tristesse et de l’horreur mais point d’épousailles.
La demoiselle d’honneur était trop belle, elle qui s’est endormie pour toujours sur le banc de bois,
Son âme, papillon blanc, s’est envolée à tire d’ailes vers l’horizon.
Hier était nuit de prédateur, celle du papillon noir…
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