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#nouveau titre
passion-musique · 2 years
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Tayc vient de dévoiler un nouveau titre !
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Cela fait des semaines que Tayc fait croire à bon nombre de personnes qu’il deviendrait très bientôt papa. Toutefois, il vient tout juste de dévoiler le tube « Donne-le moi », qui confirme bel et bien que tout cela n’était qu’une nouvelle mise en scène du chanteur.
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frenchdrarry · 1 year
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Drarry & galette des rois
1.
Harry : *coupe la galette*
Draco : Fais attention !! Ne coupe surtout pas sur la fève !
Harry : Comment veux-tu que je sache où est la fève pour l’éviter gros nigaud ? Je fais au pif et on verra bien !
Draco : Non mais je sens bien qu’elle est par là alors essaye d’éviter de couper là….et là aussi. Et là dans le doute.
Harry : Tu sens qu’il y a la fève dans toute la galette abruti, si je t’écoute je ne la coupe pas !
Draco : N’importe quoi ! Laisse-moi faire !
Harry : Putain t’es chiant !
Draco : *prends le couteau, coupe…et s’arrête*
Harry :
Draco :
Harry : T’as coupé en plein dedans, n’est-ce pas ?
Draco : Non.
Harry, moqueur : Du premier coup, en plus. Un flair infaillible.
Draco : Oh, ta gueule.
2.
Draco : Alors, tu l’as ?
Harry : Je viens à peine d’en manger un morceau, fous-moi la paix.
Cinq minutes plus tard :
Draco : Alors ?
Harry : Non ! Tu le saurais sinon, j’ai fini de manger ma part depuis deux minutes !
Draco : Mais…Aucun de nous l’a !
Harry : Elle est dans les autres parts, on verra qui l’aura ce soir.
Draco : Tu ne veux pas qu’on fasse un goûter à 4h ?
Harry : T’es sérieux là ?
Draco : Quoi ? Ça peut être sympa de manger ensemble à 4h avec un peu thé devant les baies vitrées !
Harry : *roule des yeux*
3.
Harry : Putain, tu m’as vraiment convaincu de faire un goûter ? Je n’ai même pas faim !
Draco : Ta gueule et choisis une part.
Harry : T’es chiant. Je peux recouper p-
Draco : NON !
Harry : our en avoir une plus petite…? Ok super. Bon ben celle-là alors.
Draco : Je prends celle-là ! Du thé mon amour ?
Harry : …
Dix minutes plus tard :
Harry :
Draco :
Harry : Bon.
Draco : *au fond du gouffre*
Harry : Au moins, nous savons que la prochaine fois, nous aurons la fève. Il ne reste que deux parts.
Draco : C’est vrai ça ! Ce soir nous l’avons !
Harry : CE SOIR ?! Mais on ne va pas manger de la galette toute la journée !
Draco : Tu paries ?
Harry : Putain. J’espère que le boulanger n’a pas oublié de mettre sa putain de fève.
Draco : Comment oses-tu envisager cette hypothèse ?! Il n’a pas oublié !! Il n’a pas intérêt à l’avoir oublié ce petit sac à merde.
Harry : Wow. T’es vraiment trop investi.
Draco : *lui balance un coussin à la gueule*
4.
Harry : *au bout du rouleau devant sa part de galette*
Draco : Bon appétit !
Harry : J’te déteste.
Draco : Ferme-la sinon je ne te choisis pas comme roi.
Harry : Et tu prendrais qui même ?
Draco : Théo.
Harry : Il refuserait et te dirait d’aller te faire cuire un œuf.
Draco : On ne refuse pas les demandes du roi.
Harry, à lui-même : …Vraiment beaucoup trop investi.
Draco : Tais-toi et mange.
Cinq minutes plus tard :
Draco : J’en reviens pas.
Harry, inspecte la fève : Ils ont géré la barbe de Merlin, elle est très bien faite.
Draco : J’te déteste.
Harry : C’est toi qui a choisi nos parts !
Draco : J’me déteste.
Harry : C’est qu’une fève, arrête tes conneries.
Draco : T’en voulais même pas !
Harry : Oui ben je l’ai eue, que veux-tu que je te dise !
Draco : Choisis ton roi !
Harry : Ou ma reine.
Draco : *roule des yeux*
Harry : Bon, alors je choisis mon roi. Je choisis Théo.
Draco :
Harry :
Draco : Pauvre type.
Harry, éclate de rire : Ça va, je plaisante. Je te choisis comme roi, bougre d’âne.
Draco : Couronne-moi alors.
Harry, soupir et prend la couronne en papier : Draco Malfoy, en vue des titres qui me sont conférés, je vous déclare roi avec moi et vous confère le titre d’époux royal. *lui pose la couronne sur les cheveux*
Draco, sourit fièrement : Merci.
5. (bonus)
Harry : *fait une galette des rois quand Draco est parti et oublie sciemment de mettre une fève*
Harry : *la pose en évidence sur la table et va faire son testament en attendant que Draco entre*
Plus tard dans la soirée :
Draco : Tu as bien fait de racheter une galette !! C’est vraiment une excellente idée ! Tu verras, cette fois-ci c’est moi qui serait roi !
Harry : Dans tes rêves, Malfoy.
Cinq minutes plus tard :
Draco : Putain !
Harry, se retient de rire : Bon, ben nous l’aurons demain !
Le lendemain, aux dernières parts de galette :
Draco : Décidément, nous ne l’avons jamais direct ! Maintenant, nous sommes sûrs de l’avoir et je ne vais pas faire deux fois la même erreur : Harry, choisis ta part.
Harry : *choisit une part et donne l’autre à son futur meurtrier*
Draco : Bon appétit !
Harry : *cache son sourire derrière sa galette*
Cinq minutes plus tard :
Draco : Tu as fini et tu n’as pas la fève ? Alors c’est moi qui l’ait !!
Draco : *mange doucement la dernière part*
Draco :
Draco :
Draco : Je ne comprends pas. Il n’y a pas de fève ??
Harry : On dirait bien que non…
Draco : Mais…Mais ce n’est pas possible. TU L’AS AVALÉ ?!
Harry : Nan. Mais peut-être que c’est moi qui ait fait cette galette…
Draco : Ah, ouf. Alors je vais aller défoncer cet imbécile de boulan-QUOI ?!
Harry :
Draco :
Harry :
Draco : Je vais te tuer. REVIENS ICI SAC À FOUTRE AMBULANT, PUTAIN DE CONNARD DE MERDE DE SALOPERIE-
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dixvinsblog · 1 year
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Léontine a peur du loup de Catherine Balaÿ, le nouveau titre de la collection jeunesse d'abribus, NaNaNère - Grégory Ladret
Nous sommes heureux et très fiers de vous présenter ce nouveau titre de notre collection jeunesse. Ce conte magnifiquement écrit par Catherine Balaÿ, a été illustré avec une touche délicatement enfantine par Gaétan Dalle Fratte. Résultat : un joyau de la littérature jeunesse, à découvrir absolument, sur notre stand au Salon des Éditeurs le 1er et 2 avril 2023, à la Bourse du Travail (ouverture…
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zeldabecameaqueen · 2 months
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if you missed it, here is a short clip from april, when Quackity and Foolish went crazy with Bad and Dapper
Content of the stream :
• museum opens for the first time
• restaurant customer rp
• Foolish flirts with Quackity then BBH
• drugs addict rp
• Foolish loses against a two-week-old egg
There are tons of timestamps so don't you worry about finding the right moment
↓ EN transcription+ FR translation ↓
Si vous l'avez manqué, voici un petit clip datant d'avril, lorsque Quackity et Foolish sont devenus fous avec Bad et Dapper
Contenu du stream :
• le musée ouvre pour la première fois
• rp scène de restaurant
• Foolish flirt avec Quackity et BBH
• rp addict aux drogues
• Foolish perd face à un œuf de deux semaines
Y a pleins de marqueurs temporels donc ne vous inquiétez pas pour trouver le bon moment
EN transcription :
Quackity: [announces the music title] 'Country road by Alvin and the Chipmunks'
[Quackity plays the music, we hear high-pitched harmonica play, Foolish and Quackity laugh in surprise]
Foolish: That's just the sounds of tortured souls in hell
[The song keeps playing and Quackity is laughing hard]
BadBoyHalo: What the fudge
[The music stops]
Foolish: What was that?
Quackity: It's a video called 'Chipmunks Country Road'
Foolish: And it goes "AAAAAAAAAAAAH", "AAAAAAAAAAAAH"
BadBoyHalo: What the fudge
[The music plays again, and Quackity and Foolish laugh harder]
Quackity: What the f*k, why is it [?] like that
Foolish: Did they actually- Did they actually just
FR translation :
Quackity : [annonce le titre de la musique] 'Country road by Alvin and the Chipmunks'
[Quackity lance la musique, on entend un harmonica jouer très aigu, Foolish et Quackity rient de surprise]
Foolish : C'est juste le son des esprits torturés en enfer
[La musique continue de jouer et Quackity est mort de rire]
BadBoyHalo : What the fudge
[La musique s'arrête]
Foolish : Qu'est-ce que c'était que ça?
Quackity : C'est une vidéo nommée 'Chipmunks Country Road'
Foolish : Et ça fait "AAAAAAAAAAAAH", "AAAAAAAAAAAAH"
BadBoyHalo : What the fudge
[La musique se lance de nouveau, et Quackity et Foolish ont un fou rire]
Quackity : Hein, pourquoi est-ce que c'est [?] comme ça
Foolish : Est-ce qu'ils ont vraiment- Est-ce qu'ils ont vraiment juste...
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chic-a-gigot · 4 months
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Le Petit écho de la mode, no. 2, vol. 17, 13 janvier 1895, Paris. 9. Col prime. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(9.) Col prime. — Chaque jour voit éclore une création nouvelle; étudier, suivre ce progrès avec toutes les améliorations qu’il comporte est notre unique occupation, c’est pourquoi, sans cesse à la recherche des nouveautés que la mode crée à plaisir pour embellir nos jolies mondaines, notre attention s’est fixée sur une fantaisie de la plus grande distinction et sortant d’une des plus grandes maisons de Paris. Ce modèle est un col appelé col Marie-Thérèse d’une très grande richesse, en véritable broderie Renaissance, fait entièrement à la main et mesurant 0m,30 de hauteur. Cette fantaisie, d’un goût exquis et qui a très grand air, convient à tous les âges et peut se porter dans toutes les circonstances de la vie, en dîner, en visite, en promenade, il trouvera son application, embellissant un costume simple et rehaussant l’éclat d’une riche toilette. Encouragés par le succès toujours croissant que nos primes ont obtenu jusqu’à ce jour, et afin d’attacher de plus en plus nos aimables lectrices à leur cher Journal, nous venons leur offrir, à titre de prime, c’est-à-dire à des conditions tellement avantageuses qu’elles défient toute concurrence, cette magnifique parure au prix modique de 10 fr. 50 rendu franco. Nous sommes assurés à l'avance que toutes nos lectrices nous remercieront du nouveau sacrifice que la direction s’impose en leur faveur, et voudront profiter de cette nouveauté qui fait loi et s’impose à elles par droit de primer et de haute élégance.
(9.) Prime collar. — Every day sees the emergence of a new creation; studying, following this progress with all the improvements it involves is our sole occupation, this is why, constantly in search of the new things that fashion creates at pleasure to beautify our pretty socialites, our attention is fixed on a fantasy of the greatest distinction and coming from one of the greatest houses in Paris. This model is a collar called the Marie-Thérèse collar of great richness, in true Renaissance embroidery, made entirely by hand and measuring 0.30 meters in height. This fantasy, of exquisite taste and which has a very grand appearance, is suitable for all ages and can be worn in all circumstances of life, at dinner, on a visit, on a walk, it will find its application, embellishing a simple costume and enhancing the shine of a rich toilet. Encouraged by the ever-increasing success that our premiums have obtained to date, and in order to attach more and more our kind readers to their dear Journal, we are offering them, as a premium, that is to say say at such advantageous conditions that they defy all competition, this magnificent set at the low price of 10 fr. 50 delivered free. We are assured in advance that all our readers will thank us for the new sacrifice that management imposes on their behalf, and will want to take advantage of this novelty which is law and imposes itself on them by right of precedence and high elegance.
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tealviscaria · 6 months
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L'Effet papillon ou Un manuel sur comment découvrir Le Visiteur du futur
Alors, je suis pas francophone, donc je trouve que ça pourrait être intéressant de raconter comment j'ai découvert cette série française qui est quand même assez niche, même en France.
(*Faut d'abord préciser qu'en ce temps-là, j'étais déjà en train d'étudier le français à l'école, donc j'avais déjà peut-être un niveau A2-B1, je doute que tout ça soit possible au niveau débutant.*)
1) Un jour, je me suis dit: "tiens, je voudrais connaître plus de chansons françaises." Très ingénieusement, j'ai tapé "chansons françaises" sur Youtube. J'ai écouté quelques chansons, genre des playlists comme "top 100 chansons populaires" et franchement, j'ai pas été impressionnée.
2) Donc, for the lolz, j'ai décidé de chercher "chansons français emo".
Et là se trouvait le Graal. L'une des chansons que l'algorithme m'a recommandées, c'était L'Assasymphonie. Tout de suite c'était un coup de cœur. J'écoutais d'autres chansons par ces artistes et je trouvais le groupe tellement stylé. Mais attendez– quoi?? C'est pas un groupe de musique mais une comédie musicale?? Tant mieux! J'adore les comédies musicales!! Évidemment, je l'ai regardée. (Coucou ma profile picture <3)
3) Florent Mothe joue Salieri dans Mozart l'Opéra Rock mais il en a joué d'autres. Et quel rôle pourrait être mieux que le principal, n'est-ce pas? Alors j'ai regardé La Légende du Roi Arthur où il joue notre Pendragon préféré. Dans les commentaires au-dessous d'un clip, quelqu'un a mentionné Kaamelott. La série me paraissait intéressante, en plus les épisodes étaient courts et avec sous-titres sur Youtube, donc win win.
4) Personne ne serait surpris si je dis qu'après j'ai découvert Hero Corp. Que dire de plus, sinon que les Astier ont un lien très fort?
5) Hero Corp contient des épisodes spéciaux, parmi lesquels se trouve un crossover particulier. Pendant que Klaus en a marre et frappe le nouveau-venu, je me dis "mais qui est ce gars??"
Et c'est comme ça que j'ai découvert Le Visiteur du futur :)
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Le vendeur de roses
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© Photographie de Steve McCurry
Il y a ce vendeur de roses qui traîne tout le temps dans le quartier, avec des fleurs plein les bras. Il arpente les terrasses de restaurant à la recherche d’amoureux transis dînant aux chandelles.
Mais Ravi – c’est son prénom, enfin, c’est celui que je lui ai inventé, en espérant qu’il le soit un jour parce qu’il fait tout le temps la tête. Comme si le flot d’amour qu’il tenait contre son corps à longueur de journée, manquait à sa vie. Est-ce qu’il offre des roses à sa femme, Ravi ? Est-ce qu’il a une femme, Ravi ? J’imagine que non, autrement, il aurait un peu plus de soleil sur le visage.
Mais il est fort, Ravi, parce qu’il arrive quand même à fabriquer une lumière artificielle lorsqu’il se poste devant des clients potentiels. « Rose, 2 euros. Rose, 2 euros. » Et souvent, sa lumière halogène fait illusion auprès des touristes – déjà éblouis par les lumières clinquantes d’un Paris qui n’aurait pour atouts que la Tour Eiffel et les Champs-Élysées.
Après avoir fait sa vente, Ravi s’éteint de nouveau. Son regard est sombre, et de toute évidence, si l’on criait « Âllo, y a quelqu’un ? », au fond de la cavité de son cœur, l’écho de notre voix nous reviendrait en plus triste, en plus désespérée.
Je me suis souvent demandé : « C’est quoi son histoire à Ravi ? » Mais Ravi ne parle pas français. Il maîtrise tout juste les quelques mots qui lui servent à présenter ses roses sur les terrasses. Je crois qu’il sait aussi baragouiner quelques mots en anglais. Mais comme c’est une langue que je ne sais moi-même pas baragouiner, c’est pas demain qu’on va pouvoir se parler. On peut pas aller bien loin avec Hello, Thank you et I love you, quoi que, on peut quand même aller quelque part : saluer, remercier, et dire l’amour. Tu m’diras, c’est un peu la base.
La base, mais pas assez pour raconter toute une vie. Alors, comme nous n’avions pas les mots pour nous parler, avec Ravi, je me suis mis à imaginer son histoire.
*
Ravi n’a pas toujours vendu des roses. Quand il avait 20 ans, dans son pays, au Pakistan, il vendait des oranges. Il était pauvre et vivait dans un bidonville avec ses parents et ses deux frères.
Dans une décharge, il avait dégoté une carcasse de voiture toute rouillée dont il ne restait quasiment rien, sinon le squelette décharné, simple et piteux. Mais c’était tout ce qu’il fallait à Ravi, qui avait accès à la beauté de cette épave, invisible aux yeux de tous. Avec son grand frère, ils ont ramené le trésor jusqu’à leur bidonville. Ravi savait déjà ce qu’il allait en faire. Il avait déjà tout imaginé et, dès le lendemain, il mettrait en place son projet. Il irait au grand marché acheter des oranges, négociées au meilleur prix. (Ravi était le plus grand négociateur de tous les temps : il négociait sans parler. Son sourire adoucissait tous les prix). Il viendrait ensuite revendre les oranges dans le quartier. La carcasse de voiture serait le meilleur des présentoirs.
C’est comme ça que le commerce florissant de Ravi a commencé, et qu’il a gagné en peu de temps le titre de : « Vendeur d’orange à la carcasse ».
Un jour, une jeune fille est venue près de son étal pour admirer ses oranges. Elle les regardait avec un émerveillement inconnu pour Ravi, comme s’ils étaient des petits soleils rangés dans un écrin d’obscurité. Alors, lui, regardait ses yeux à elle, et un nouvel émerveillement naissait encore. Il la trouvait belle comme le jour. Comme un jour prodigieux qui annonce le monde. Mystérieuse aussi, comme la nuit. Comme une nuit majestueuse qui promet l’infini.
Que faisait-elle là ? Qui était-elle ? Est-ce qu’elle venait lui murmurer un secret ? Qu’elle avait trouvé la clé du mystère des rêves ? Les mains de Ravi étaient moites tout à coup, sa gorge sèche, et son corps tremblant. Il ne comprenait pas grand-chose à ce qui était en train de lui arriver. Il ne savait pas comment s’appelait ce sentiment qu’il observait s’épanouir en lui. Il souriait. C’est ce qu’il savait faire de mieux, de toute façon. Et elle lui souriait en retour. Elle faisait ça encore mieux que lui, pensa-t-il. Et cela lui réchauffa le cœur. Elle a pris une orange. Il a refusé sa pièce.
Elle est revenue le lendemain, avec son mystère et ses yeux qui nourrissent toutes les misères. Il a osé lui demander son prénom. Elle a osé lui donner. Shala. Il était heureux de pouvoir la prononcer. Shala. Cette fois il aurait voulu la retenir, sauf que les mains moites, la gorge sèche et le corps tremblant. Il l’a regardée partir avec son orange. Il aurait voulu lui donner toutes les oranges du monde.
Ravi a sursauté de bonheur lorsqu’elle est revenue le troisième jour. Elle avait une question. Une de celle qui marque sans qu’on le remarque. Une de celle qu’on ne pose jamais à un inconnu, parce qu’à la fois trop banale et trop intime, trop légère et trop profonde, trop drôle et trop sérieuse. Une de celle qui fait mine de rien, mais qui a le pouvoir de faire jaillir de la poésie.
« Pourquoi vends-tu des oranges ? Et pas des fraises ou des bananes ? »
Et Ravi avait répondu, sans trop réfléchir : « Parce que l’orange de l’orange flatte ma carcasse, comme nul autre fruit. L’orange rend les choses belles et magiques. »
Shala avait aimé la réponse de Ravi, et elle était repartie avec son orange belle et magique. Ravi aurait voulu la retenir, encore, mais elle s’était éclipsée comme une lune trop pressée de rejoindre sa nuit.
Il a espéré qu’elle revienne le lendemain. Une quatrième fois. Et cette fois, « je la retiendrai » s’était dit Ravi, pour de bon. Je lui dirai combien elle est belle, je lui dirai que je veux la connaître, que je veux passer mes journées près d’elle, à admirer au fond de ses yeux, toutes les beautés cachées de ses ombres, qu’elle est un grand soleil, et surtout, il lui dirait, qu’il voudrait l’embrasser. Oui, il s’était dit que cette fois, il oserait lui dire qu’il rêve de l’embrasser. Qu’il se ficherait d’avoir les mains moites, la gorge serrée et le corps tremblant, qu’il arrêterait d’avoir peur et qu’il lui dirait tous les jolis mots qui lui sortent du cœur.
Mais Shala n’est pas revenue le lendemain, ni le jour d’après, ni les autres jours, ni aucun autre jour. Shala n’est jamais revenue. Et Ravi a arrêté de vendre des oranges. Le cœur n’y était plus.
Peut-être que Shala n’aimait pas les oranges, après tout. Peut-être qu’elle préférait les fraises ou les bananes. Oui, c’est ça qu’il aurait dû lui demander. Peut-être qu’elle préférait les fraises, qu’elle préférait les bananes. Peut-être qu’elle n’aimait pas les fruits ? Peut-être qu’elle rêvait de roses.
Alors, quand son grand frère lui a parlé du business de vente de roses à Paris, Ravi s’est tout de suite dit : « Mais oui, les roses ! Shala rêve de roses ! » Et peut-être qu’en vendant des roses à Paris, il la recroiserait de nouveau… et il pourrait enfin lui dire tous les jolis mots qu’il n’a pas su lui dire. Il lui offrirait des roses, par milliers. Et ils pourraient enfin s’embrasser. Ils pourraient enfin s’aimer.
*
Mais bien sûr, c’est pas du tout ça l’histoire de Ravi. Sa vraie histoire est moins jolie, moins tristement jolie. Plus dur. La carcasse, les oranges, Shala, et tout et tout, très loin de la réalité. La réalité c’est que Ravi est parti loin de sa famille, se fait exploiter parce qu’il n’a pas de papier, partage une minable chambre de bonne avec 8 autres colocataires dans la même situation que lui. La réalité, c’est que Ravi travaille comme un acharné pour un salaire de misère. C’est Sofiane qui m’a raconté tout ça un jour, et il m’a même donné le vrai prénom de Ravi. À une lettre prêt, j’y étais. Mais il faut croire qu’une lettre change tout. Avec une lettre, on passe du conte féerique à la réalité sordide.
Quoi qu’il en soit, je souhaite toujours qu’il soit ravi, le vendeur de roses, qui s’appelle Raki.
// Dédé ANYOH //
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empiredesimparte · 10 months
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First official appearance of H.I.M Emperor Napoléon V and Charlotte
By Point Royal
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Emperor Napoléon V and his fiancée, Charlotte de Mortemart, enter Paris City Hall © Francesim Presses
H.I.M, accompanied by his fiancée, went to meet the Pope Gregorius XIX, who had come to Paris to celebrate the couple's imminent religious marriage. Once again, they showed just how well matched they are.
Having just returned to the capital for the final preparations for their wedding, the future imperial couple welcomed the Pope to French soil. As godchildren of His Holiness, the Emperor and his fiancée were granted a rare honour: the right to wear white clothes. In fact, in the presence of the Pope, interlocutors and guests are not normally allowed to wear white. Clearly, there is a good relationship between the Pope and his imperial godson.
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Emperor Napoléon V shakes hands with His Holiness, Pope Gregorius XIX of the Holy See © Francesim Presses
Emperor Napoléon V spoke French to the Pope, who had a perfect command of the language. By republican tradition, the sovereign did not kiss or bow to the Pope, unlike his fiancée, who did not yet have the title of Empress.
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Emperor Napoléon V is concerned about His Holiness, Pope's safe journey to Francesim © Francesim Presses
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Charlotte bows before His Holiness, meeting him for the first time © Francesim Presses
The group didn't stay long at Paris City Hall, just thirty minutes or so. The Christians therefore did not have the opportunity to see the Pope. The Emperor ensured that his prestigious guest quickly returned to the Tuileries Palace, no doubt to discuss marriage and politics.
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The Emperor's fiancée, Charlotte, in conversation with the Mayor of Paris © Francesim Presses
During their trip, the Mayor of Paris approached His Majesty's fiancée to tell her about the gift made by Francesim's officials: a set of jewellery for the imperial wedding. The future Empress Charlotte asked the Mayor of Paris not to order the set, and to devote the sum allocated to the gift to charity. This generous gesture did not go unnoticed, and the news was widely reported by all the journalists.
Traduction française
Première apparition officielle de l'Empereur Napoléon V et Charlotte
Par Point Royal
L'Empereur Napoléon V et sa fiancée, Charlotte de Mortemart, entrent à la mairie de Paris © Francesim Presses
Sa Majesté Impériale, accompagné de sa fiancée, vont à la rencontre du Pape, venu à Paris afin de célébrer le très proche mariage religieux du couple. L'Empereur et sa promise ont à nouveau démontré à quel point ils sont bien assortis.
Tous juste rentrés à la capitale pour les derniers préparatifs du mariage, le futur couple impérial accueille le Pape sur le sol français. Etant le filleul de Sa Sainteté, l'Empereur et sa fiancée se sont vus accordés un rare honneur : pouvoir porter des vêtements blancs. En effet, en présence du Pape, les interlocuteurs et invités ne sont normalement pas autorisés à porter du blanc. De toute évidence, il existe une relation chaleureuse entre le Pape et son impérial filleul.
L'Empereur Napoléon V serre la main à Sa Sainteté, le Pape Gregorius XIX du Saint-Siège © Francesim Presses
L'Empereur Napoléon V échange en français avec le Pape, qui maîtrise parfaitement cette langue. Par tradition républicaine, le souverain n'embrasse ni ne s'incline devant le Pape, contrairement à sa fiancée qui ne possède pas encore le titre d'impératrice.
L'empereur Napoléon V se préoccupe du bon déroulement du voyage de Sa Sainteté le Pape en Francesim © Francesim Presses
Charlotte s'incline devant Sa Sainteté, elle le rencontre pour la première fois © Francesim Presses
Le groupe n'est pas resté longtemps à la mairie de Paris, une trentaine de minutes. Les chrétiens n'ont donc pas eu l'occasion d'apercevoir le Pape. L'Empereur s'est assuré que son prestigieux invité rejoigne rapidement le palais des Tuileries, certainement afin de discuter mariage et politique.
La fiancée de l'Empereur, Charlotte, discute avec le maire de Paris © Francesim Presses
Durant leur déplacement, le maire de Paris a approché la fiancée de Sa Majesté afin de lui faire part du présent réalisé par les fonctionnaires de Francesim : une parure pour le mariage impérial. La future impératrice Charlotte a demandé au maire de Paris de ne pas commander cette parure, et de dévouer la somme allouée à ce cadeau pour des œuvres de charité. Ce geste généreux n'est pas resté inaperçu, et l'information fut vivement relayé par tous les journalistes ayant assisté en direct au refus de Charlotte.
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fieriframes · 1 year
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[♪ Nothing grows right anymore. Scars on every stalk. Whose mouth should I use to talk?]
VI - Les Secrets de Dieu Caché dans la texture de la montagne, se trouvait un code QR. J'ai pris mon portable, zoomé et scanné le code. Ça n'a pas marché. J'ai réessayé. Pas cette fois non plus. La caméra l'ignorait simplement. Je n'ai pas compris. J'étais sûr que c'était un code QR, j'ai regardé ce motif un million de fois ces dernières années. Après un moment, j'ai remarqué quelque chose: le code manquait un détail important. En fait, trois détails importants. J'ai trouvé un éditeur de photos rudimentaire en ligne et ouvert la couverture de l'album. J'ai dessiné un carré en haut à gauche, en haut à droite et en bas à gauche du motif pour compléter le code QR. Avec mon souffle retenu, j'ai ouvert la caméra et essayé encore une autre fois. Quelque chose se passait. En dessous du code apparaissait une carré jaune avec le texte I Tego Arcana Dei et une flèche pour ouvrir le lien du site Web dans un navigateur. J'ai longtemps regardé ces mots et finalement décidé de cliquer sur le lien.
Devant moi se trouvait un site web dans une langue que je ne comprenais pas. Une langue pas familière, un peu comme les hiéroglyphes anciens. En fait, les lettres étaient vachement jolies, très fluides et artistiques. J'ai pris une photo pour envoyer à un de mes amis et j’ai commencé à enquêter sur le site web. Au-dessus de ce texte que je ne comprenais pas, il y avait une case. J'ai commencé à écrire dedans. Des cercles sont apparus. Un mot de passe. Un coup d’épée dans l'eau, mais j'ai essayé leonora. La case s’est mise à trembler, comme pour dire non. Leonora avec un L majuscule. Non. Arcana. Non. Tarot. Non. La même avec tous les noms des cartes de tarot. Je me suis endormie en tapant La Rêveuse et je me suis réveillé quelques heures plus tard pour cliquer sur Entrée. Juste pour faire trembler à nouveau la boîte.
J'ai même envisagé de rendre une autre visite à Amélia, la lectrice de cartes de tarot, pour obtenir des conseils sur la façon de procéder, mais j'ai décidé de ne pas le faire après m'être souvenu de la façon dont j'avais laissé les choses la dernière fois.
Les jours suivants, c’était un panel de différents mot de passe et j'ai essayé et réessayé, même mon propre nom, sans aucune chance. J'avais besoin de changer de tactique, donc, j'ai décidé de rechercher la phrase I Tego Arcana Dei. En latin, se traduit par "Partez ! Je détiens les secrets de Dieu." Comme si ce n'était pas assez menaçant, c'est aussi une anagramme pour Et In Arcadia Ego, une citation latine qui signifie "Moi, je suis aussi en Arcadie". On dit que le "moi" dans cette phrase est la mort. Même au paradis, nul n'échappe au destin des mortels. Cette phrase est souvent associée à un célèbre tableau de Nicolas Poussin portant le même titre, également connu sous le nom Les Bergers d'Arcadie. Dans ce tableau, on voit une scène pastorale avec des bergers idéalisés de l'antiquité classique. Quatre bergers étaient réunis autour d'un tombeau austère portant cette inscription. Le tableau est conservé au Louvre.
Naturellement, je suis allé au Louvre. Après 30 minutes à être perdu à l'intérieur de ce musée géant, je l'ai trouvé. Les Bergers d'Arcadie. C'était immense. Je me tenais face à face avec les bergers qui pointent la tombe avec l'inscription. J'ai remarqué l’environnement, le paysage pastoral et les mêmes montagnes que la couverture de l'album (selon toute vraisemblance une coïncidence). Trois bergers étaient clairement préoccupés par la tombe et son inscription Et In Arcadia Ego tandis que la bergère semblait être dans son propre monde. Profondément dans la pensée. A quoi pensait-elle ? Que savait-elle ? En regardant ce tableau en personne, j'ai ressenti quelque chose que je n'avais pas ressenti en regardant des photos en ligne. Familiarité. Les visages, l'endroit, tout semblait étrangement familier. Pourtant, j'étais presque certain de ne pas être tombé sur ce tableau auparavant.
Alors que je déroulais mes souvenirs, ma concentration a été perturbée par un ami qui m'a appelé. J'avais oublié que j'avais envoyé une photo du site avec les symboles étranges à mon ami Paddington qui s'intéressait aux langues anciennes et à toutes les choses cachées dans le passé. Paddington s'excusa d'avoir pris autant de temps, mais comme ce n'était pas une vraie langue, iel a dû se renseigner. J'ai demandé ce qu'iel voulait dire, et apparemment, c'était un alphabet qui n'avait jamais été déchiffré. Une langue utilisée uniquement dans un livre mystérieux du début du 15e siècle appelé le Manuscrit de Voynich. Comme la langue elle-même n'avait jamais été déchiffrée, l'auteur du site Web avait utilisé une cartographie visuelle du Voynich qui contient l'alphabet latin. Après avoir identifié cette cartographie, iel a pu traduire le petit texte.
Paddington a pris une profonde inspiration puis m'a lu la traduction.
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equipe · 3 months
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Tumblr Hack Week, édition janvier 2024
Plusieurs fois par an, nous mettons volontairement le holà sur nos activités habituelles afin que nos ingénieurs laissent libre cours à leur imagination. Et comme la dernière fois, ils ont pu consacrer une semaine entière à la recherche de fonctionnalités dont ils rêveraient en tant qu'utilisateur. À titre d'exemple, sachez que le Patio (dont le prototype avait été révélé lors de la précédente Hack Week de septembre 2023) s'est transformé en véritable expérimentation pour certains utilisateurs !
Découvrons à présent quelques-uns des projets émergeant de cette dernière Hack Week. Certains prototypes pourraient bien arriver sur le site…
Des Blocs et du texte en mode spoiler, et même du texte centré !
Le plus étonnant, c'est peut-être bien que nous ne disposions pas encore ces outils de mise en forme. Katie a donc décidé d'ajouter la possibilité de sélectionner une portion de texte d'un paragraphe afin de la masquer sous un voile noir, dont le contenu peut être révélé d'un simple clic/appui. Avec ça, fini le spoil ! Encore mieux : un nouveau bloc Spoiler fait aussi partie du prototype signé Katie, et, enfin, la possibilité de centrer les textes en cerise sur le gâteau.
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Une multitude de nouveaux avatars par défaut
Nos avatars par défaut n'avaient pas bougé d'un iota depuis de nombreuses années (certains se souviennent probablement de celui-ci, qui a déjà plus de 10 ans). Ces avatars nous semblaient avoir bien vécu et ils méritaient un petit ravalement de façade… Alors, à mesure que l'équipe Design les remodelait, Paul en a réalisé toute une nouvelle panoplie avec un tas de variations s'accordant harmonieusement avec la dernière palette de couleurs Tumblr. Vous trouverez ci-dessous quelques-uns de ces bien jolis nouveaux venus, et sachez qu'il en existe encore davantage utilisant d'autres jeux de couleurs :
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Notifications et e-mails précisant l'engagement suscité par vos billets
Cette idée va plaire aux adorateurs des chiffres et de la section Trafic de leurs blogs. Daniel, @jesseatblr et l'équipe Flux & Apprentissage machine ont travaillé de concert pour concocter de nouvelles notifications Push et e-mail. Leur objectif ? Indiquer aux utilisateurs la teneur de l'accueil réservé à leurs billets sur Tumblr : combien de fois ont-ils été vus et par combien de personnes distinctes. Nous disposions d'ores et déjà de ces outils de mesure (et plus encore) pour les billets Blaze, mais pourquoi réserver ces informations à ces seuls billets ? Elles peuvent en effet s'avérer très pratiques pour les créateurs désireux de mieux connaître leur audience.
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Une nouvelle façon de naviguer sur le Web : la Palette de commande
D'autres applications disposent déjà d'une "palette de commande" utilisable via des raccourcis clavier et donnant ainsi rapidement accès à diverses fonctionnalités de la plateforme. Ainsi, en s'inspirant du sélecteur d'action existant notamment sur Slack ou Discord, Kelly et Paul ont décidé d'incorporer une fonctionnalité semblable sur Tumblr ! Utiliser CTRL/COMMAND + K sur une version interne du site ouvre une Palette de commande permettant d'accéder à votre blog, à la page Trafic, à vos dernières conversations, à la Recherche (et la liste est encore longue), juste du bout des doigts.
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Voilà qui conclut cette dernière édition.
Alors, avez-vous vu quelque chose d'intéressant ?
N'hésitez pas à nous faire part de vos attentes ou remarques dans les réactions ! Et pensez bien à suivre l’@equipe pour savoir si ces ingénieuses idées apparaîtront pour de bon sur Tumblr. 👋
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claudehenrion · 1 month
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Боже, Царя храни !
Surprise, Surprise ! C'est un tremblement de terre, que dis-je ! Un tsunami, une stupéfaction : Vladimir Vladimirovitch Poutine, Влади́мир Влади́мирович Пу́тин pour ses amis –on m'assure qu'il en resterait un ou deux encore vivants--, né le 7 octobre 1952 à Léningrad redevenu Saint-Pétersbourg, a été rééééé-lu, à la surprise générale, à la présidence de la fédération de Russie ! On ne peut qu'entonner en chœur l'hymne à la gloire du nouveau Tsar (qui est, comme d'habitude, le même qu'hier).''Hodge Tsara Krani '': Que Dieu protège le Tsar, en VO dans le titre.
Plus sérieusement, et puisqu' il nous va falloir ''suivre'' l'agenda de ce personnage, je vous propose de lui consacrer 2 ou 3 ''éditoriaux'' dans les jours qui viennent, pour le regarder, pour une fois, autrement que selon les ''attendus'' convenus du procès à charge que ressassent les sources officielles et les faux ''experts'' des plateaux-télé des chaînes ''main stream'', qui ne savent que répéter en boucle les mêmes dadas et les mêmes mensonges, nous le vérifions souvent ! En fait, la seule utilité d'un ''blogueur'' (si tant est qu'il en ait une !), serait d'entr'ouvrir la porte à une pensée non-clonée qui est, de nos jours, condamnée et ostracisée avant-même d'être entendue.
Je vous propose donc, un court instant, de regarder Poutine avec un autre regard. Je ne dis pas que ce regard est vrai, mais je dis qu'on a pas le droit de refuser de savoir qu'il existe, car le regard ''officiel'' est biaisé et univoque à en être faux, et il est sage, prudent et ''pas que con'' de s'en méfier. Par mesure de justice et d'équité, nous essaierons de conduire un exercice comparable avec Trump, un peu plus tard, dans une double relecture d'une réalité ''différente'' –plus vraie, je ne sais pas, mais moins ''convenue'', sûrement. Et plus courageuse et plus susceptible de nous sortir de la paralysie ambiante : le seul fait qu'un comportement ne débouche sur rien n'est pas une raison suffisante pour s'entêter et ne pas chercher d'autres portes de sortie !
Mais ce Poutine, tout de même… quel sale type ! Il y a de quoi avoir peur de lui, quand on pense au mal qu'il se donne pour remettre la Russie au niveau et au rang qui devraient être les siens (ramenés à sa surface, à son histoire, à sa puissance, et à l'agression permanente de ceux qui ont décidé qu'il fallait les abattre, elle et lui…) ! Pensez ! Un patriote… dans le monde d'aujourd'hui, où tous nos progressistes et tout ce qui pense de traviole sur terre, n'ont pas de mots pour critiquer Nation, Patrie, Histoire, Drapeau, Honneur, roman national… Se croyant intelligents, ils sont stupides, en refusant de voir que l'URSS est morte et que la Russie ne demande qu'à l'oublier.
Car le communisme est bien mort ! Et, comme son alter ego idéologique, le nazisme d'atroce mémoire (aussi), tout aussi '' de Gauche'' que lui mais qui, ayant perdu la guerre, a été rejeté sans aucune justification dans la camp réputé maudit de ''la Droite'', il n'est pas près de renaître de ses sales cendres. Sur les ruines de la si peu regrettée URSS, la Russie, un autre pays –nouveau autant qu'il est ancien– a voulu rejoindre le concert des nations. Ah ! la pauvre ! Elle avait commis la double erreur (impardonnable aux yeux des progressistes rétrogrades qui ont réussi à s’emparer des leviers de commande) de se souvenir d'une Histoire non politiquement correcte et des racines chrétiennes de notre continent, ce qui est ''à tuer'' : la Gauche hait ce qui est vrai !).
Tentative après tentative, refus après refus, soufflet après soufflet… Poutine, judoka et joueur d'échecs mais finalement dégoûté, a enfin compris que les idéologies perverses, masochistes, inefficaces et mortifères (lui ajoute ''décadentes'', et on peut difficilement lui donner totalement tort !) qui sont en vogue chez ceux qui le rejettent par système, ne peuvent mener à rien de bon. Il a donc choisi un chemin autocratique, avec plein d'excès, bien entendu (mais qui n'en fait pas ?), mais aussi avec des résultats que nos dirigeants auraient eu intérêt à méditer... Et puis... tout s'est bloqué : des campagnes incessantes ont créé, mais en Occident seulement –et ça, c'est extrêmement grave-- un sentiment plus négatif qu'au temps maudit des cocos, comme si Poutine était plus dangereux que Lénine, Staline et Brejnev réunis…  
Je sais que c'est le “must” à la mode d'afficher un anti-poutinisme militant, en évoquant une brutalité bien réelle que l'Histoire explique sans la justifier (mais qui nous permet d'oublier tout ce qui, chez nous, n'est pas vraiment meilleur !). Il n'empêche : au regard de l'histoire-à-venir, son dossier “tiendra la route” bien mieux que celui des Occidentaux, soumis au bon vouloir des différentes Administrations US  qui poursuivent des objectifs qui ne sont pas les nôtres, et qui, en général, commettent des erreurs énormes de lecture de l'Histoire et d'interprétation de réalités dont la complexité leur échappe (cf, récemment, l'Irak, la Syrie, la Libye, l'ex-Yougoslavie hier et Gaza aujourd'hui, etc...). En fait, rien n'est jamais ni tout blanc ni tout noir... et ce n'est pas facile à admettre, souvent !
Poutine, poussé à bout, a commis une faute inexcusable : se mettant dans son tort, il a ouvert les hostilités, pour reprendre ce que tous les russes considèrent leur appartenir ''depuis toujours'' (voir ci-après). Il a cru attaquer un état-croupion qui avait, jusque là, bien du mal à ne pas exister, mais c'était pour le faire “revenir au bercail” –tel que lui voit les choses. L'OTAN, qui n'a rien à faire dans cette galère, a cédé aux erreurs de la CIA, et les dirigeants occidentaux, nuls à en sangloter de désespoir, se sont servilement alignés sur le grand dispensateur de dollars, espérant récupérer à terme dans l'OTAN un Etat dont ce dernier n'a nul besoin (''que des emmerdes à espérer'') et qui s'est engagé à ne jamais en être membre. (NB : où voyez-vous “l'Atlantique-Nord”, entre Kiev et Odessa ?). Les pauvres européens, nuls, se sont laissé entraîner dans une spirale à qui perd, perd voulue par les américains… Et on perd. Il ne nous reste que des menaces aussi présidentielles que creuses, que personne ne croit ni ne respecte, et pour cause !
Et, un mot en entraînant un autre, on en arrive aujourd'hui à la crise de nerfs du Président français qui prononce des phrases ''qu'un Président ne devrait jamais dire''. Il fantasme une menace pour la France (que l'on chercherait en vain dans le ''script'' en cours) devant une armée fatiguée que la seule Ukraine arrive à tenir en échec depuis 2 ans. Le fantasme macronien de grandes expéditions nouvelles n'est, juste, pas envisageable avant... 10 ans. Et malgré ça, à la question : “Faut-il se préparer à mourir bientôt pour Sébastopol, Simféropol, Kiev, le Donbass, ou qui vous voudrez ?“… la réponse ’'NON” ne va plus de soi, depuis les crises nerveuses d'une France qui n'a, en aucun cas, les moyens ''d'assumer'' les discours de son président, privé, en plus, du moindre soutien sérieux. .
H-Cl
PS : les choses étant ce que nous voyons et le monde ce qu'il ne devrait pas être –comme n'a jamais dit De Gaulle-- il serait sans doute utile de compléter ce rapide tableau par un retour sur images : un sujet est inséparable de l'autre. Alors... ''Et l'Ukraine, dans tout ça''? Le texte de cet ''édito'' sera plus long que d'habitude, mais le sujet est vraiment plus grave et ''il le vaut bien''.
Retour sur images : L'Ukraine, un peu plus vaste que la France (600.000 km2) mais moins peuplé (45 millions), s'étend au nord de la mer Noire, de part et d'autre du Dniepr. Ses habitants ont de tout temps été appelés “Petits-Russiens”, ce qui n'est pas neutre, en soi. Et c'est autour de Kiev, l’actuelle capitale de l'Ukraine, que la nation russe est née, aux alentours de l'An Mil, avant de se diviser en ‘’russes russes’’ proprement dit... en ukrainiens... et en biélorusses, dont les langues nationales ont lentement et légèrement dérivé par rapport à l'ancienne langue commune. Les tout premiers “ukrainiens” revendiqués furent quelques paysans qui, au XVIe siècle, se constituèrent en communautés indépendantes, les Cosaques zaporogues (= les hommes libres au delà des rapides), qui sont devenus sujets polonais, pour les punir, sans doute.
Mais en 1654, las d'être maltraités par les Polonais, ils se placent sous la protection du tsar “de toutes les Russies” offrant aux Romanov la rive orientale du Dniepr, puis Kiev et Smolensk, enfin redevenues russes. Dans l'esprit des tsars, l'Ukraine a toujours été terre russe et n'a donc droit à, ni besoin de, aucun statut particulier. Après l'échec en 1709 du chef cosaque “Hetman” Mazeppa, les retrouvailles de l'Ukraine et de Moscou ont été totales : les territoires dits ukrainien et biélorusse sont revenus sous l'autorité du tsar, et il faudra attendre deux siècles (la première Révolution russe de 1905), pour que Nicolas II s'engage à respecter “les nationalités” (pas les nations).
C'est la grande révolution de 1917 qui verra une ''Rada  centrale''  (copie des soviet russes d'alors) se proclamer ''République populaire ukrainienne'', aussitôt dévorée, et russifiée “à mort” (dans le vrai sens du terme) par l'hydre stalinienne : 6 millions d'ukrainiens sont (littéralement) morts de faim entre 1917 et 1933. Et ça, c'est affreux ! Devant cette histoire tellement complexe, j'admire (enfin… un peu ; très peu, même !) ceux qui prétendent qu'il n'y aurait aucune consanguinité entre Russie et Ukraine… et aucun droit possible de l'une sur l'autre...
Ukraine veut dire “frontière”. Entre les mondes orthodoxe et catholique, ce pays ne peut nier être le berceau du monde russe. Il faudra attendre 1989 pour que la libéralisation du régime soviétique permette aux ukrainiens d'exister un peu (à travers les tresses blondes de Ioulia Timochenko qui fit découvrir ce pays –et le rendit sympathique). N’existant que depuis 1991 –c'est hier--, il se cherche entre un Occident attirant mais lointain et une Russie proche mais redoutée.
Cependant, il ne faut jamais oublier qu'une des conditions mises par Gorbatchev à l'ouverture du monde communiste a été “que jamais l'OTAN ne cherchera à attirer les pays du Pacte de Varsovie dans son giron”… promesse et engagement clairement décrits, et compris, alors : toute menace de rapprochement serait un “casus belli”. C'était parfaitement clair, mais la mémoire des politiques est... sélective.
Reste le cas de la Crimée, cet autre caillou dans les chaussures des cuistres qui nous dirigent si mal. Russe depuis le XVIIIè siècle après avoir été possession ottomane pendant 300 ans (les pauvres !), elle est devenue un “oblast” (= territoire) de la République socialiste soviétique de Russie que Staline, dans un geste ''sans conséquence'', a rattaché à l'Ukraine, qui était alors partie intégrante de l'URSS : dans sa tête, il changeait un meuble de place, à l'intérieur de la maison, rien de plus ! Et ce n'est, aussi, qu'en1991 que la Crimée devint une ’'République autonome’’, avec Simféropol pour capitale, et peu de liens statutaires avec l'Ukraine –qui persiste à la revendiquer, y compris Sébastopol, le grand port de la Mer Noire, qui a toujours conservé un statut spécial de “ville fédérale”, comme le sont Moscou et St-Petersbourg.
La situation est gravissime : la tactique ne doit jamais faire oublier la stratégie, et le court terme se substituer à la vision longue... De telles fautes contre l'Histoire, la pensée et l'intelligence, et une priorité donnée à ce qui est visible (même très émouvant) ne peuvent que mener, très vite, à des situations que personne n'a envie de vivre (sauf, en apparence, notre Président ? Je n'arrive pas à croire que c'est autre chose qu'une posture pré-électorale : ce serait trop fou !)... et à une guerre que nous perdrions en 48 heures, sauf à utiliser des armes définitives pour tout le monde. Mais dans ce cas, je ne serai plus là pour vous expliquer pourquoi on a eu tort de se comporter comme ça... ni vous, pour lire mes commentaires... postumes.
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juke-box67 · 2 months
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Discographie France Gall 1963-1964
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En octobre 1963 , France Gall sort son premier 45 tour EP avec «  Ne sois pas si bête » (PMD: 7,18€) , qui correspond à l’adaptation par Pierre Delanoë de « Stand a little Closer » des américains Jack Wolf et Maurice « Bugs » Bower. Ce vinyle sera vendu à moins de 50000 exemplaires en France . Il sera 24eme au hits parade en Belgique francophone et 34eme en France.
En 1964, c’est grâce aux paroles et à la musique de Serge Gainsbourg qu’elle chante « N’écoute pas les idoles » (PMD: 5,€) et « Laisse tomber les filles » (PMD: 10,00€). «  N’écoute pas les idoles est vendu à 75000 exemplaires alors que « Laisse tomber les filles » atteint les 100000 exemplaires. Ces deux morceaux approchent la 10ème place des hits parade français et belge.
La même année, elle collabore avec Robert Gall (son père) pour les paroles et Alain Goraguer pour la musique, et sort l’EP : « La cloche/Jazz à gogo » (PMD : 8€). C’est une adaptation française de la chanson «  My boyfriend got a beatle haircut », interprétée la même année par Donna Lynn.
Toujours avec son père pour les paroles mais grâce a la musique de Georges Lifeman, elle chante un tube à l’époque «  Sacré Charlemagne » (PMD: 4,00€). C’est son premier vrai succès avec 300000 exemplaires vendus et une 7eme place au hit-parade belge et une troisième au hit-parade français. L’histoire raconte que son papa aurait écrit cette chanson en repensant au jour où il avait grondé sa fille car elle avait écrit « Vive Charlemagne » dans l’ascenseur de leur immeuble. Cette chanson assortie de quelques erreurs historiques ( la barbe bleue de Charlemagne qui est finalement blanche et l’invention de l’école par Charlemagne qui est né bien après la création de celle-ci) ce qui ne l’a cependant pas empêché d’être la musique générique de plusieurs émissions télévisées telles que : « Le pensionnat de Chavagnes », « le pensionnat de Sarlat », « Retour au pensionnat » ou encore plus récemment « le club Dorothée ».
Toujours en 1964, France Gall sort trois albums :
-« N’écoute pas les idoles » premier 33 tours de 25 cm, paru en Mars 1964, reprenant les chansons de ses deux premiers super 45 tours ( « Ne sois pas si bête » et « N’écoute pas les idoles» ).
-« Mes premières vraies vacances » qui est son premier album studio 30 cm qui reprend les chansons de son premier album 25 cm en y ajoutant les morceaux de son troisième EP : « La cloche ». Cet album, sorti en Août 1964, est réalisé avec la participation d’Alain Goraguer et son orchestre.
- « Sacré Charlemagne, qui est un album 25 cm, reprenant des chansons déjà sortie sur EP ou 45 tours . Elle réalise de nouveau cette album avec l’orchestre d’Alain Goraguer. Les paroliers sont soit son père (Robert Gall), soit Serge Gainsbourg. Maurice Tézé rédige les paroles de « Nounours » et Maurice Vidalin celles de « Christiansen ».
En 1964, France Gall participe à l’album de Serge Gainsbourg dénommé « Gainsbourg percussions » dont le titre est « Pauvre Lola » . France Gall interprète le rire de Lola.
(PMD = Prix Moyen Discogs)
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keepmysoulrp · 1 year
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Ouverture de KEEP MY SOUL
Tout d'abord nous tenons à saluer chaleureusement tous ceux qui verront ce post, nous espérons que ce début d'année se passe au mieux pour chacun ! ♡
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Méfaits, conflits, catastrophes, guerres… Dans un monde où l'esprit humain cède bien trop aisément à la tentation, le chaos peut vite prendre le dessus. Les hommes se laissent aller doucement, mais sûrement vers leurs désirs les plus profonds, qu'ils soient bons ou mauvais. S'il y a bien longtemps une divinité assurait le maintient de l'ordre et veillait à ce que les décisions prises par les créatures peuplant la terre soient les bonnes, elle n'est plus. Les réminiscences qu'elle a laissées derrière elle ne sont plus que l'ombre de ce qu'elles étaient, essayant tant bien que mal de faire ce pourquoi elles ont été créées. Ces êtres si spéciaux, sortis tous droit du cœur d'une déesse, sont aujourd'hui en proie au conflit. Les âges ayant passé, ils ont oublié le but premier de leur existence, malgré cela deux clans distincts se sont créés et perdurent encore. humain, harmonie, chaos… De quel côté vous rangerez vous ? ( ++ )
Comme vous le voyez dans le titre, un nouveau forum ouvre ses portes après une semaine de préouverture (le temps de finaliser et se familiariser avec l'environnement).
Ce forum se veut simple et loin d'être une prise de tête ; en effet, notre objectif premier, lorsque nous avons décidé de le créer, était de retrouver les racines du RP soit le plaisir d'écrire. Pour retrouver ce plaisir simple sans tous les problèmes que peuvent amener l'IRL, KEEP MY SOUL est basé sur l'anonymat. Bien évidemment, nous ne pouvons obliger personne à rester anonyme et nous nous doutons que pour certains ce ne soit peut-être pas un concept très "rassurant". À chacun de voir ce qu'il préfère faire, si jamais vous partagez vos discord ou autre en MP cela relève de votre responsabilité, nous vous encourageons seulement à le faire le moins possible.
Pour finir, sachez que vous êtes tous les bienvenus parmi nous. Nous espérons que le forum saura attiser votre curiosité et que vous serez bientôt des nôtres ! L'ouverture officielle se fait à 15H le 13.02.23.
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Les mots
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Cession : action de donner
Session : temps, période
Chemineau : vagabond
Cheminot : employé pour train
Colorer : donner de la couleur à…
Colorier : appliquer de la couleur
Compréhensible : clair, intelligent
Compréhensif : bienveillant
Dessin : schéma, peinture
Dessein : intention
Différend : querelle , dispute
Différent : autre
Effraction : entrer par force
Infraction : violation d’une loi
Emigration : sortir d’un pays
Immigration : entrer dans un pays
Eruption : sortie violente
Irruption : entrée brusque
Evoquer : faire penser à
Invoquer : avoir recours à
Habileté : adresse, compétence
Habilité : aptitude légale
Industrieux : très habile
Industriel : qui provient d’une industrie
Infecter : contaminer
Infester : envahir, ravager
Martyr : personne qui souffre
Martyre : torture, souffrance
Officiel : venant du gouvernement
Officieux : à titre non officiel
Perpétrer : commettre un crime
Perpétuer : continuer longtemps
Picoter : faire de piqûres
Picorer : chercher avec le bec
Populaire : venant du peuple
Populeux : qui a beaucoup d’habitants
Récoler : vérifier, contrôler
Recoller : coller de nouveau
Respectable : digne de respect
Respectueux : marquant le respect
Septique : qui peut infecter
Sceptique : qui doute
Suggestion : avis, conseil
Sujétion : soumission, contrainte
Suscription : adresse sur enveloppe
Souscription : signature
Temporaire : momentané
Temporel : qui a lieu dans le temps
Tribu : groupe de familles
Tribut : impôt
Xénophilie : amitié pour étrangers
Xénophobie : haine pour étrange
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code-lab · 1 year
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WHAT REMAINS DESIGN (2/?)
Je fais les catégories et les forums en premier dans ma conception. D'ailleurs mettons nous d'accord : l'élément tout seul c'est un forum, une catégorie c'est un groupe de forum. J'estime que, parce que c'est le bloc le plus central de la structure de l'index, c'est ce qui va poser les bases de ma charte graphique.
Dans les forums il y a à peu près tout les éléments qu'on va répéter ailleurs :
un grand titre (titre du forum)
du texte (description)
des liens (titre du dernier sujets/sous forum)
une image (l'avatar)
du détails (stats)
un élément graphique (nouveau sujet)
La façon dont je vais composer avec tout ces éléments sera forcément repris ailleurs. Par exemple, si je m'amuse à mettre des petits avatars rond, je vais aussi en mettre dans la liste des sujets, pour les codes de fiche, gif, etc...
Je déteste les catégories
Je trouve qu'en terme d'interface d'affichage et de navigation, c'est une abomination. Il y a trop d'informations, que chaque information a un format différent (titre, text, lien, liste, image) ET EN PLUS CA SE REPETE VINGT FOIS D'AFFILÉ.
Chaque fois que je dois maquetter des forums, j'ai envie de jeter toutes nos habitudes de forum à la poubelle et faire du neuf.
Sauf que je peux pas.
Pourquoi ? Parce que ce côté vieillot, mal adapté, ça fait aussi parti de nos codes, nos habitudes. Et parce que j'ai pas le temps de mener une enquête d'UX pour trouver des solutions. Alors chaque fois que je fais des catégories, je tente des petites nouveautés.
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Adieu la description.
Ou plutôt : adieu les BLOCS de description.
Pour le coup, Margot et moi on a consulté personne et on a fait juste parce que ça nous gavait toutes les deux. Elle déteste les écrire et moi je déteste ouvrir un forum et être submergé par des dizaines de blocs de texte que je vais pas lire (pcq ils prennent 4 lignes pour dire une infos de 2 mots, qu'ils sont souvent écrit petit).
Bonjour les derniers sujets.
Toujours à titre personnel, c'est le seul élément que je regarde après ma 45864ième visite sur un forum. Je veux juste savoir ce qu'il se passe. Je veux voir la tête du dernier inscrit qui poste sa fiche et je veux voir qui rp.
Donc j'essaye de construire un forum qui dit simplement ce qu'il est : un titre bien mis en avant puis le bloc des derniers messages comme représentant de l'activité.
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Je sais néanmoins qu'une petite description ça reste utile et c'est ce dribbble qui me donne l'idée de son apparition au survol. C'est discret mais j'ai fais en sorte que la description apparaisse dès que la souris entre au moindre contact avec le forum (et pas que sur son titre). Effet bonus, l'animation attire le regard et dit "eh tu te trouve là actuellement"
Je sais aussi que ça marche parce que le forum a un contexte ancré dans une localisation réelle avec des noms relativement parlant (bien que anglophone).
Rien de fou quant aux derniers messages. C'est un bloc isolé (dans un fond + clair) mais presque au centre de la composition, là où le regarde va se poser facilement. Vu que j'ai quelque chose d'assez aéré, on peut se permettre d'afficher le titre du dernier message presque entièrement et donc comprendre encore plus vite son contenu.
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En suite la date et, séparé, le pseudo qui se rattache à l'avatar (mis en n/b légère opacité pour éviter un côté arc-en-ciel vu que le thème du forum est monotone).
Satisfaite ?
Meh. Je suis contente du résultat global mais dans ma quête d'épuration j'ai peut-être laissé un peu de vide. Les liens de sous-forum sont pas hyper inspiré. Graphiquement, il y a pas grand chose outre la ligne au-dessus du titre. J'ai essayé de combler ça avec l'image d'annonce de nouveau message mais finalement je me suis contentée d'un petit dégradé.
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AwesomeBB, la dernière version de forumactif, a amené des nouvelles variables (utilisable avec toutes les versions, je crois) dont {catrow.forumrow.FOLDER_CLASSNAME} qui ajoute une class `.cate_new` lors d'un nouveau message. Donc on peut ajouter des effets de code lors d'un nouveau message. Dans le cas de What Remains, le dégradé est fait en code, il n'y a aucune image. Il doit y avoir plein de chose créative à faire avec ça !
Ah puis j'ai oublié de dire que j'aimais pas non plus le format allongé des forums, mais je les aime pas en disposition grille. Rien ne va haha
Je pensais parler de tout l'index du forum en un poste mais finalement j'avais plus de chose à dire que je pensais. Merci pour vos retours en tout cas, ils font plaisir à lire !
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chic-a-gigot · 1 year
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Le Petit écho de la mode, no. 5, vol. 18, 2 février 1896, Paris. 6. Jupon Taglioni, Maison Jeanne d'Arc, 265, rue Saint-Honoré, Paris. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
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