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#livre blanc
highlands11 · 3 months
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POUR UNE ENTREPRISE, LA MEILLEURE ÉNERGIE EST CELLE QU’ON NE CONSOMME PAS
le World Economic forum vient de faire paraître un livre blanc sur les avantages économiques de la rénovation de vos bâtiments commerciaux ou industriels. A lire. On vous explique.
Temps de lecture : 5 minutesmots-clés : WEF, PwC, livre blanc, énergie, demande, construction, rénovation, enjeux, compétitivité, énergie verte. Chers lecteurs, Fin de l’année 2023, le WEF (World Economic Forum) qui avait mandaté PwC a exposé un nouveau rapport (Livre blanc) sur l’intérêt et la quantification des réductions de consommations d’énergies dans les bâtiments (industriels et…
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by-ng · 11 months
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Bibliothèque......
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9-alex-9 · 2 months
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nununiverse · 1 year
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Jean Cocteau. le livre blanc 1930
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metaphore--s · 8 months
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edgarmoser · 11 months
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jean cocteau, le livre blanc, 1930
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badassfrenchanthem · 6 months
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francoise-larouge · 9 months
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Quelques exemplaires de mon livre restent disponibles sur le site de l’éditeur.
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logogreffe · 1 year
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Pourquoi les couvertures de livres françaises sont si fades ?
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mmepastel · 2 months
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Pfffiou !
Quel drôle de livre !
Je ne suis pas certaine d’avoir tout compris. A vrai dire, j’aurais beaucoup de peine à dire quel en est le sujet. Le pérégrin, c’est celui qui voyage évidemment, et ce livre évoque les déplacements en tous genres et en tous sens, par delà mers et océans, de la narratrice, qui ressemble fort à l’autrice, d’autant qu’elle évoque son parcours personnel au début. Oui, certes, le livre parle d’espace, de lieux, de déplacements, mais aussi de temps, de la mort. Du corps également. Le livre ressemble un peu à un cabinet de curiosités, dont elle parle abondamment d’ailleurs, à travers les destins de certains personnages, dont certains ont réellement existé, et qui n’ont eu de cesse de progresser dans la science ou dans l’art de connaître le corps humain, et donc la façon de le conserver, puis de le montrer. (Ces pages, très nombreuses, sont effroyables et fascinantes.)
Oui, ce livre à ce désir d’être une somme, une œuvre totale qui embrasserait l’espace-temps, le passé, le présent, leur découpage probablement trompeur, comme si tout était cyclique, voire parallèle, simultané. Il se présente d’ailleurs comme une série de textes plus ou moins courts, comme des objets curieux et stimulants pour l’esprit, comme dans un fameux cabinet de curiosités. Des objets épars, mais qui se répondent, par échos, rebonds (remarquez par exemple comme les fleuves de la couverture française évoquent des veines et leurs ramifications…). Des anecdotes ou des récits mythiques, des considérations hasardeuses ou troublantes. Parfois, des histoires, voire des contes, à la portée symbolique puissante. On passe par des sentiments variés, allant de l’effroi à l’émotion ou au rire. Car le ton d’Olga Tokarczuk est toujours surprenant, faussement sobre, émaillé de malice discrète.
J’ai beaucoup aimé lire ce livre, malgré sa complexité, et l’absence apparente de fil conducteur. J’ai aimé me perdre dans les méandres de ce voyage intérieur érudit et fantasque. J’ai aimé retrouver, chaque soir, l’assurance de trouver de l’étonnement, des idées neuves et stimulantes, un art évident de conter les histoires les plus saugrenues tout autant que passionnantes. On est sans cesse sur le fil, entre la joie de comprendre quelque chose de neuf, et la sensation vertigineuse de chute dans le surnaturel, jamais bien loin.
Je retiens toutefois des éléments de la conclusion qui suggèrent qu’il est judicieux de comprendre qu’on n’est pas vraiment différent de quelqu’un d’autre, qu’on y gagne, et que l’intérêt pour autrui est toujours enrichissant, que nous appartenons à un tout dont l’harmonie secrète existe, même si tout semble chaotique. Il y a une forme d’apaisement dans ces assertions, la promesse d’une humanité puissante, englobante, consolatrice, qui nous fait tant défaut au quotidien, il faut quand même bien l’avouer. C’est une dimension que j’ai ressentie au fil du livre, même si je ne suis pas sûre d’en saisir toute la portée.
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djservo · 1 year
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Luv 2 see the patterns
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Le goût de la lecture et de l'écriture...
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oceanofbooks · 4 days
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𝕊𝔼ℝ𝕍𝕀ℂ𝔼 ℙℝ𝔼𝕊𝕊𝔼
• Titre : "Le Rouge et le Blanc"
• Genre : Roman
• Thèmes : Guerre, révolution, Russie, URSS, histoire.
• T.W. : Violence, torture, viol, goulag.
• Auteur(e) : @haroldcobert
• Couverture : Hokus Pokus Créations
• Éditeur : @lesescales
• Note : ❤️‍🔥❤️‍🔥❤️‍🔥❤️‍🔥❤️‍🔥/5
• Extrait :
"Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre."
• Résumé :
"Une fresque historique magnifique qui raconte le destin tragique de deux frères désunis par l'Histoire mais liés par l'amour d'une femme.
Russie, 1914. Tout oppose Alexeï et Ivan Narychkine, deux frères issus de l'aristocratie. Alexeï, l'aîné, à hérité de leur père son tempérament déterminé et réfléchi. Libéral, il prône la modernisation et la démocratisation de la Russie. Ivan, lui, ressemble à leur mère : d'un naturel tourmenté et exalté, il épouse volontiers les pensées anarchiste et marxistes.
Mais les deux jeunes hommes ont quelque chose en commun : leur amour pour Natalia, leur sœur de lait, fille de leur gouvernante et de l'administrateur des terres familiales.
Quand, en 1917, la révolution éclate, tous se déchirent et chacun choisit son camp, au risque de devoir un jour s'affronter...
À travers le parcours d'Alexeï, d'Ivan et de Natalia, Harold Cobert livre une épopée passionnante de près d'un siècle, portée par des personnages inoubliables.
• Avis :
Je n'ai pas de mot assez fort pour exprimer à quel point ce livre m'a bouleversé. Dire que c'est un coup de cœur n'est pas assez, c'est au-delà de ça.
Ce livre est à la fois terrible, bouleversant, passionnant et réussi l'exploit de nous rappeler NOTRE Histoire, la boue, les larmes et le sang qui la composent. Il rappelle aussi que tout ceci, n'est pas si vieux, c'était hier et pour preuve, à la fin de cette histoire, nous sommes en 1989, j'avais 1 an.
J'ai versé beaucoup de larmes, surtout à la fin. La plume de l'auteur nous transporte à travers le temps, et nous fait faire de terribles rencontres : Lénine, Staline, Frenkel et bien d'autres.
Ivan, Alexeï et Natalia sont des personnages inventés (enfin, qui sait vraiment...) mais tout aussi marquant dans cette histoire. Mon cœur va, sans aucune hésitation, à Alexeï.
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rechab · 1 month
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Pour conquérir la grâce et le sourire - ( RC )
peinture Anne Redpath Tu as voyagé dans des lieux noirs, au creux des combes,mais tu n’as pas distingué les ombresdes fougères contre celles des roches. Tu errais sous un ciel trop prochesans en deviner les jours d’espoir,et que la réalité prendrait,soudainement un autre aspect. Te voilà maintenant avec trop de lumière, et tu n’en sais que faire,sinon goûter à la saveurde la matière et de la…
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louisa-a · 6 months
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Ep.67 Amanda Castillo 📘 "Et si les femmes avaient le droit de vieillir comme les hommes ?"
J’ai fêté mes 43 ans cette année et je me sens très bien, alors que je m’attendais à mal vivre la quarantaine, et l’approche des 45 ans. On m’aurait menti ? Eh oui ! D’où l’importance des livres comme celui d’Amanda Castillo ” “Et si les femmes avaient le droit de vieillir comme les hommes ?” (éditions L’Iconoclaste). Fabrique de la société patriarcale, la peur de vieillir est une arme de…
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