Tumgik
#groupe d'écriture
hattoririma · 7 months
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yumeka-chan · 9 months
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Je vais répondre aux tags des que possible.
Pas mal de chamboulements dans ma vie ces derniers temps, faut que je trouve un rythme. Mais ça commence à venir.
Pas sûre de pouvoir écrire bientôt, mais je pourrais toujours partager mes idées 😁
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artnstick · 6 days
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Du plaisir d'écrire
Et si on se rappelait que le but d'un RPG c'est le plaisir d'écrire ? Pas d'être productif, proactif, suractif, mais de prendre du plaisir, de ressentir la passion, le bonheur, ou juste l'excitation de se mettre derrière son clavier pour frapper les touches aussi vite que possible pour lâcher les idées que l'on a en tête.
J'ai commencé à écrire sur des forums RPG avant les règles qui encadrent l'activité des membres : nombre de ligne, nombre de réponse par mois, choix du pronom d'écriture, points d'activité, nombre de MC autorisé... et je comprends pourquoi ces règles ont été mises en place, parce que j'ai été confrontée à des partenaires qui ne relançaient pas dans ses réponses. J'ai attendu la réponse à un rp pendant 18 mois d'un membre qui se connectait tous les jours. J'ai vu des membres créer des MC sans écrire. J'ai aussi créé des MC sans dire que c'était moi derrière chacun. J'ai vu apparaitre le "tu" comme pronom de réponse.
J'ai aussi connu des animations qui mettaient au défis les joueurs de faire des réponses en alexandrins, en rimes, en utilisant l'argot, en citant des chansons, en utilisant des mots désuets, en écrivant plus de 1000 - 2000 ou 3000 mots... Et je me demande aujourd'hui si l'écriture est encore au centre des forums rpg ?
Je me vois, moi, me demander plus facilement si je vais pouvoir m'intégrer dans un groupe plutôt que de savoir si je vais pouvoir écrire des rps différents. J'angoisse à l'idée de venir sur un forum rpg où je ne connais personne, alors qu'auparavant je m'inscrivais pour la seule appréciation du contexte et de l'univers. J'ai peur de ne pas pouvoir me faire aux règles, aux autres joueurs, aux relations humaines, de dire un mot de travers, de mal me faire comprendre ou d'écrire un personnage qui n'intéressera personne.
Et le plaisir d'écrire - dans tout cela - je ne sais plus où le positionner. Je prends plaisir à écrire, mais je me rends compte qu'aujourd'hui, j'ai besoin de prendre plaisir à partager.
Et vous, est-ce que vous prenez toujours plaisir à écrire ? à dépasser vos limites, à sortir de votre zone de confort en tant qu'écrivain (même amateur), à vous essayer à de nouveau style, à interpréter des personnages qui vous sont diamétralement opposés juste pour écrire différemment ?
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Alors,
Petit point lecture et serie.
J'ai commencé la serie Fallout d'Amazone. Pour ce qui ne connaissent pas c'est une adaptation d'une tres vieille serie de jeux vidéo (1994, au mon dieu je suis vieille) qui, pour faire simple, est un jeu de role dans un univers post apo : le monde s'est arrêté au niveau culturelle et politique aux années 50,gros conflit entre les USA et la Chine jusqu'à ce que pleins de bombes atomiques viennent faire des bisous à toutes les grandes villes.
200 ans plus tard les USA sont une terre radioactive et désolée ou des gens survivent comme ils peuvent. Certains abri antiatomiques ont permis a des groupes de survivrent sous terre pendant des générations sans trop savoir ce qui se passent a l'exterieur. Le jeu était violent, tres libre niveau choix moraux et c'était tres bien. C'est un jeux qui m'avait beaucoup beaucoup marqué pour son univers.
Du coup la serie repose sur exactement les même bases et c'est une série que je n'attendais pas du tout du tout du tout du tout du tout du tout.
Car en fait les adaptions en film ou serie de jv il y en a déjà eu pas mal et c'était pas souvent top top (pas de budget, pas d'écriture, on considère que la cible est un ado debile de 14 ans). Donc je n'en attendais rien. J'etais légitimement en droit de me dire que la serie serait tres gentille niveau moralité (des gentils tout gentils, des méchants tout mechants, on tappe pas sur les enfants toussa), sans trop de violence ou quelque chose de trop "propre".
J'ai commencé a regardé et en fait c'est une très bonne surprise. Niveau effet speciaux ils ont fait le bon choix : pas trop de budget donc on fait pas semblant d'en avoir. Un peu de FX et le reste en effet reel.
Il y a de la violence. Dont de la violence gratuite, car dans cet univers il n'y a pas de raison qu'il n'y en ai pas. Le personnage principal n'est pas une princesse, elle est ultra naive mais c'est justifié mais si il faut découper une tete a la tronçonneuse ( oui oui) elle souffle un coup, sort un "oki doki" et vroum vroum.
Parce ce que dans ma méfiance j'avais oublié quelque chose : la serie The last of Us a montré qu'on pouvais faire une adaptation de jv sans que ce soit comique ou pour enfant, qu'on pouvait essayer de fairz ca aec serieux.
Donc, je n'ai pas fini la serie donc pas d'avis définitif mais pour l'instant j'ai l'impression qu'on ne se moque ps de moi et qu'on me parle pas comme une debile quand je regarde donc ca me vas.
Niveau lecture je suis (encore) en train de (re) lire Les annales de la compagnie noire, une longue serie de romans qui racontent les perigrinations d'une troupe de mercenaires. Les perso ne sont pas des gentils, ceux qui les engagent non plus, ceux qu'ils combattent encore moins. Il y a plus de morts que dans un marriage à Westeros d'autant que l'histoire se deroule sur quelques dizaines d'annes.
Et voila ti pas qu'une nouvelle m'arrive : une adaptation en jeu de role papier est en préparation !
C'est pas beau tout ça ?
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swedesinstockholm · 6 months
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31 août
je suis tellement habituée à écrire à r. le soir au lit que ça me fait bizarre quand je me couche sans mon téléphone. ça fait une semaine que je dois répondre à n. pour notre éventuelle coloc à berlin, une semaine que j'ai une amie à BERLIN qui attend que je lui réponde pour qu'on se mette à chercher un appart ensemble et je lui ai toujours pas répondu. je sais pas si c'est parce que je suis terrifiée par l'aspect concret de la chose ou si c'est parce qu'au fond je préfèrerais aller vivre à bruxelles. j'ai rejoint un groupe fb de locations et de colocs et c'est l'enfer mais c'est là que mon coeur m'appelle. et c'est pas à cause de r. mais il me donne envie de me réveiller pouvoir être sur un pied d'égalité avec lui. même si lui non plus n'a pas de job alimentaire, mais au moins il vit pas chez sa mère. oh ça rime. j'ai envie de lui raconter toute ma vie, enfin La Situation et tout ça, parce que hier quand je lui ai dit que j'étais cassée parce que j'arrivais plus à écrire il m'a hurlé une version hystérique de cassé de nolwenn leroy qui m'a fait mourir de rire et puis il m'a rassurée il m'a donné des conseils et il m'a demandé à quel point j'étais angoissée etc et QUI dans ma vie prend soin de moi comme ça?
hier je discutais avec ru. et je lui ai raconté mes projets avec r. et elle disait que j'avais toutes mes chances de faire évoluer la situation avec tout le temps qu'on allait passer ensemble à travailler, so many chances! j'avais l'impression qu'elle jouait le rôle de mon enabler alors que j'essaie de me sortir de mon addiction. non ru.! non! j'ai du contrôler très fort mes illusions lundi soir aussi quand c. t. la dramaturge m'a écrit pour me demander ce que je faisais en ce moment et si j'avais un full time job, sans préciser pourquoi elle me demandait ça. pourquoi tout le monde a décidé de me mettre à l'épreuve comme ça? comment je suis sensée ne pas m'imaginer qu'elle veut travailler avec moi? elle m'a toujours pas répondu et le suspense me tue. mais peut être qu'elle me répondra jamais et qu'elle cherchait juste des témoignages de loseuses de la vie qui travaillent pas pour une pièce de théâtre documentaire ou je sais pas quoi, comment savoir?
2 septembre
j'ai envoyé mon poème à la revue affixe ce soir à minuit 24 heures avant la deadline, même s'il est pas publié c'est pas très grave parce que ça m'a fait du bien de me remettre sérieusement à la poésie, ça change de mes jérémiades du journal, même si j'y raconte à peu près la même chose. il s'appelle marrons glacés et c'est archi cryptique mais tout ce que j'y dis c'est que je fais rien de ma vie je veux pas travailler je suis coincée je suis bisexuelle je suis amoureuse je suis en feu je me masturbe. y a pas vraiment de fin. en écrivant "trois perles ambrées me coulent entre les cuisses" ça m'a excitée et je me suis masturbée sur mon lit avec mon poème à côté de moi. voilà à quoi me sert la poésie. ma nouvelle façon préférée de dire que je suis bi: délicat délicate - les deux me vont. ma nouvelle façon préférée de dire que je veux qu'on me fasse l'amour: déglacez-moi comme un marron.
4 septembre
premier jour de mer je me suis réveillée avec mon oeil plus gonflé que jamais après une nuit de bave et de larmes et de sinus qui pousse, je me suis levée et j'ai mis un sweat noir par dessus ma chemise de nuit ancestrale en coton épais, relevé mes cheveux en chignon avec une pince et mis mes lunettes de soleil pour aller déjeuner chez c. et quand je suis arrivée sur la terrasse elles ont dit quelle élégance! on dirait audrey hepburn! et c'était pas vrai mais j'étais contente de mon exploit d'être passée de monstrueuse à audrey hepburn.
je reste éloignée d'internet et de mon téléphone sauf pour écrire à r., cet après-midi j'ai écrit plein de petits poèmes avec tous les mots que j'ai notés dans mon carnet en écoutant france inter dans la voiture hier (pas de temps morts dans les transports) et après deux heures et demi d'écriture je suis partie à la plage me baigner dans les vagues, ce que je peux pas faire à la maison. j'ai marché pendant un moment avec l'eau à mi-cuisses pour drainer ma cellulite comme si je venais de lire un article de elle qui me dit comment optimiser mes vacances à la plage pour avoir un hot bod. j'en peux plus de mes grosses cuisses boursouflées et de ma petite taille qui contraste avec mes hanches larges et de mes seins qui pendent et qui menacent à chaque instant de s'échapper de mon maillot. tellement plus que ce matin à la caisse de hyper u quand j'ai voulu rejoindre maman dans la file et qu'un chariot me bloquait le passage et qu'un vieux m'a dit vous êtes mince mais là vous ne passerez pas! j'étais contente parce qu'il a jugé que j'étais mince. voilà.
en sortant de l'eau j'ai lu le livre de léa rivière qui parlait de la rivière justement, comment elle devenait la rivière quand elle était dedans, qu'elle apprenait de la rivière en lui faisant confiance, en immergeant son corps, en étant-avec elle (donna h.), en écoutant comme elle, dans son vacarme, c'était la lecture parfaite de post baignade dans la mer. elle dit plein de choses que je dis dans mon scénario. j'ai fait une pause dans ma lecture pour y réfléchir. est-ce qu'on dit les mêmes choses parce qu'on a lu les mêmes livres ou parce qu'on ressent vraiment les mêmes choses quand on est dans l'eau/dans la nature en général? j'ai lu jusqu'à sept heures et je suis rentrée je me suis douchée et j'ai mangé du pain avec du fromage toute seule avec un soupir de satisfaction.
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kittynannygaming · 2 months
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[Fanfic] Sorceleur en service, ne pas déranger
AO3 Pour le challenge quotidien du Discord "Le Petit Salon d'Écriture" Challenge 374: "Être dragué sur son lieu de travail"
Titre : Sorceleur en service, ne pas déranger
Résumé : ‘La Taverne’ n’était pas qu’un lieu de repos pour Geralt de Riv, il permettait aussi aux gens de venir le commissionner. Apparemment, le jeune barde avait d’autres idées en tête.
Tags : Alternate Universe, Human!AU, University!AU,
« Tu aimes ruminer dans ton coin, on dirait. »
« J’aime boire seul. » Le Sorceleur jeta un coup d’œil furtif à la personne qui l’avait dérangé et aperçu un jeune homme brun, qui ne devait pas avoir plus de 20 ans et, considérant ses vêtements, faisait sans doute parti du groupe des ‘artistes’.
Kaer Morhen était la plus ancienne université du Continent. Le bâtiment historique était un fort datant de l’an 967 qui avait connu bien des déboires. Deux siècles après sa création, le fort avait été attaqué, ses habitants quasiment tous exterminés et le bâtiment laissé en piteux état pour les survivants.
Mais en l’an 1300, l’impératrice Cirilla fit restaurer le bâtiment dans toute sa gloire et en fit de nouveau la plus grande université du continent. Les Sorceleurs étaient le titre que portaient les professeurs. Geralt de Riv était l’un des meilleurs professeurs de Kaer Morhen et était très demandé pour s’occuper des chevaux traumatisés.
Voilà pourquoi il était à ‘La Taverne’, attendant un potentiel client. Il n’était pas là pour flirter avec un petit jeune de 20 ans (il en avait 10 de plus), quand bien même celui-ci était mignon.
« J’attends quelqu’un. »
« Oh ! Un rendez-vous galant ? » Geralt ne s’embarrassa pas de mots. L’expression de son visage était assez parlante. Le jeune homme rit et leva les mains en signe de reddition.
« OK, OK. J’ai compris. Je m’en vais. Mais si jamais ça t’intéresse, je serais au ‘Caméléon’ ce soir dès 21h. Mon nom est Jaskier, barde de profession. À bientôt peut-être, Geralt de Riv. » Jaskier s’était levé durant son petit discours et était sorti avant que Geralt puisse même répondre. Une autre personne vint s’asseoir quelques minutes après : son client était arrivé.
Ses frères l’avaient traîné au ‘Caméléon’. Eskel allait y retrouver sa copine, Essi et Lambert son fiancé, un Sorceleur d’une autre école - Stygga - , nommé Aiden. Il s’installa dans un coin, regardant autour de lui.
« Toujours en train de ruminer dans ton coin, je vois. »
« Jaskier. Je suis là avec mes frères… enfin, dès qu’ils auront trouvé leur moitié. »
« Donc vous êtes là pour vous amuser ! »
« Mes frères sont là pour s’amuser, je suis là pour être sûr qu’ils rentrent bien chez eux. »
« Ah ! Donc il y a peu de chance que tu utilises l’accès aux loges que je vais te donner. » Jaskier tendit un pass à Geralt.
« Très peu. Et je n’aime pas être draguer sur mon lieu de travail. »
« Ah mais c’est MON lieu de travail, enfin l’un des 2. Mais je ne me décourage pas facilement. À moins que tu ne veuilles vraiment pas, auquel cas, je me retirerais gracieusement. »
Geralt hésita.
« Faisons un marché, je baisserais à un niveau raisonnable mon flirt et si, à un quelconque moment, tu ne te sens pas à l’aise, dis-le moi et j’arrêterai. Ça te va ? »
Geralt acquiesça. Jaskier se leva, prétextant devoir se préparer et Geralt passa une bonne soirée avec ses frères. Il n’osait pas le penser, mais le flirt de Jaskier allait lui manquer.
« Et je vous présente notre nouveau professeur de musique : Julian Pankratz aussi appelé Jaskier le Barde. Je compte sur vous pour lui faire bon accueil. » Geralt n’en croyait pas ses yeux. Jaskier croisa son regard et lui sourit avant de faire un clin d’œil puis tourna son regard vers Vesemir et le remercia de son accueil chaleureux.
Peut-être qu’il serait soumis au flirt de Jaskier un peu plus souvent qu’il ne le croyait.
Et apparemment, ça ne le gênait plus du tout.
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savoir-entreprendre · 3 months
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En tant qu'aspirant écrivain ou rédacteur en herbe, l’idée de gagner sa vie grâce à sa passion pour l’écriture peut sembler à la fois séduisante et intimidante. Pourtant, le monde moderne offre aujourd'hui une pléthore d'opportunités pour les esprits créatifs et les plumes talentueuses de transformer leurs mots en un revenu lucratif. Que vous aspiriez à devenir un écrivain freelance à temps plein ou à gagner un revenu supplémentaire avec vos compétences rédactionnelles, cet article vous guidera à travers les étapes cruciales pour réussir dans ce domaine compétitif et enrichissant. Découvrir Votre Créneau Rédactionnel La première étape pour gagner de l’argent en tant qu'écrivain consiste à identifier votre créneau rédactionnel. Êtes-vous un virtuose des articles de blog informatifs, un conteur captivant pour les histoires fictives, ou peut-être un expert en contenu technique ? En cernant vos forces et passions, vous pourrez mieux vous positionner sur le marché et attirer les bons clients. Créer un Portfolio Impressionnant Votre portfolio est votre vitrine professionnelle. Il est crucial de constituer un ensemble diversifié d'échantillons de votre travail, démontrant votre expertise et votre polyvalence. Que ce soit en écrivant pour des blogs, des magazines en ligne, des entreprises ou même en publiant vos propres œuvres, un portfolio bien construit renforce votre crédibilité et aide à attirer des opportunités lucratives. Trouver des Opportunités de Rédaction Trouver des opportunités d'écriture peut sembler décourageant au début, mais une fois que vous connaissez les bonnes sources, les options sont abondantes. Des plateformes freelance comme Upwork, Fiverr et Freelancer offrent des possibilités de travail variées. Les sites spécialisés dans l'emploi des écrivains tels que ProBlogger, Contently et WriterAccess sont également d'excellentes ressources pour trouver des projets rémunérés. Établir des Relations Durables avec les Clients La clé pour réussir en tant qu'écrivain freelance réside souvent dans la construction de relations solides avec les clients. Livrer un travail de qualité, respecter les délais et maintenir une communication claire et professionnelle sont des éléments cruciaux pour fidéliser vos clients et obtenir des recommandations, ouvrant ainsi la voie à des opportunités plus lucratives. Fixer des Tarifs Appropriés Déterminer les tarifs pour vos services peut être délicat. La clé est de trouver un équilibre entre un tarif compétitif sur le marché et la juste valeur de votre travail et expertise. Considérez la complexité de la tâche, les délais, ainsi que les compétences spécialisées que vous apportez à la table pour fixer des tarifs appropriés et équitables. Se Former Continuellement L'écriture est un art en constante évolution. Pour prospérer en tant qu'écrivain, investir dans votre développement professionnel est essentiel. Que ce soit en suivant des cours en ligne, en lisant des livres sur l'écriture ou en rejoignant des groupes d'écrivains, la recherche constante de l'amélioration de vos compétences vous permettra de rester pertinent et compétitif sur le marché. Gagner de l’argent en tant qu'écrivain freelance n'est pas un rêve inaccessible. Avec une combinaison de talent, de détermination et de stratégie, il est possible de transformer votre passion pour les mots en une source de revenus stable et gratifiante. En identifiant votre créneau, en construisant un portfolio solide, en trouvant des opportunités, en établissant des relations durables, en fixant des tarifs justes et en investissant dans votre croissance personnelle, vous pouvez tracer votre chemin vers le succès en tant qu'écrivain indépendant.
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daddovahnin · 8 months
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Premier brouillon de texte écrit pour mon projet, dans la catégorie "chanson rock". Ca vous donnera une idée du ton que je vais employer. En sachant que évidemment ça sera illustré. Mais chaque chose en son temps et en attendant d'en avoir, du temps pour ca, je vais commencer à écrire, puisque cette partie du projet sera tout aussi longue. Encore une chose a laquelle il faut que je réfléchisse, c'est de savoir si il est possible, dans un livre physique, de faire quelque chose d'interactif, du style qr code ou lien scannable depuis son tel afin d'être redirigé sur un lien internet afin de voir en video ce dont je parle. Bon là je m'égare... place à ce premier texte... encore du pavé à lire... mais ca va me permettre, si vous le voulez bien, de récolter quelques premiers avis afin d'ajuster le style d'écriture (parce que n'oublions pas que de base, ce n'est pas mon domaine du tout)... en vous remerciant...
"Stairway to Heaven" de Led Zeppelin
Gamin, aussi, j'étais subjugué par la guitare double manche de jimmy page. J'ai le souvenir d'avoir vu ce titre en live a la tv et je ne savais même pas que ce genre de guitare existait. Deja, dans mes yeux d'enfants, page était un dieu (et c'est encore le cas aujourd'hui)... ou alors un demon puisqu'a l'époque certain sont allé dire que stairway to heaven cachait un message satanique si on lisait le morceau a l'envers. .. pourquoi pas... mais c'est vraiment s'emmerder pour rien je trouve.
Le chanteur su groupe, Robert plant lui même, laissait libre interprétation de chacun quand a la signification des paroles. Pour ma part, je n'ai jamais trop cherché le sens du texte ou un quelconque message subliminal. Je m'arrête au titre en lui meme: un escalier pour le paradis. Et j'espère que le jour où je devrais en gravir les marches, ça sera au son de cette chanson...
Liens YouTube du titre en live:
youtube
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profenscene · 1 year
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Mardi 17 janvier
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Pour la première fois de l'année, je me retrouve en situation de blocage avec un môme. Lino m'a certifié hier que, ce travail d'écriture, il le ferait seul. Il aurait pu choisir un binôme, il a refusé, comme plusieurs autres sixièmes. Et ce matin :
"En fait je vais me mettre avec eux."
Eux lèvent un regard un brin perplexe sur moi. D'habitude, ces deux-là ont du mal à se mettre en activité mais, sur cette tâche, ils sont au taquet.
"Ça ne fonctionne pas comme ça, Lino. Je vous ai expliqué les règles, vous aviez le choix, c'est vous qui avez décidé. - Ouais mais ça va, j'ai pas d'idée, et vous voulez pas que je fasse des recherches sur internet. - Je ne veux pas que vous alliez sur le site de Fortnite, nuance. - Je me mets avec eux."
Quand on lui refuse quelque chose, Lino se ferme totalement, regarde par terre, et ne bouge absolument plus. Il y a quelque chose de presque violent dans son refus, qui m'amène à me demander si quelque chose de plus profond n'est pas enfoui.
Et me fait me demander aussi si je ne ferai pas mieux de lâcher.
Ça m'arrive parfois, quand je me retrouve en conflit avec un élève. Cette sensation de me décorporer. Et j'observe. J'observe ce mec de quarante ans qui se prend la tête avec un presque petit bout. Est-ce que je l'éduque ou est-ce que je suis juste fumasse qu'un bonhomme de onze ans me tienne tête ? Au nom de ma sacro-sainte autorité ? Souvent, l'expérience est déplaisante. C'est facile, tellement facile d'abuser de son pouvoir. Sans le vouloir.
Pourtant cette fois, je ne ressens pas vraiment de malaise. Les règles étaient claires. L'aide maintes fois proposée. La main, je l'ai tendue plus d'une fois à Lino. Il y a peut-être juste ma voix, un peu trop tendue. Je redescends, dans mon corps et dans les octaves.
"Non Lino. Vous avez décidé de travailler seul. Et votre idée d'hier était bien. - Mais je dois aller chercher sur internet... - Deux minutes. Pendant deux minutes je vais m'occuper du groupe d'Ivana. Quand je reviens, vous éteignez l'ordinateur et vous allez faire votre brouillon."
Cette fois il y aura une fin heureuse, il reviendra, ravi, à sa place. Me rendra un brouillon d'une page solide et propre. Cette fois j'ai bien fait de ne pas céder. Quand reculer, quand rester à sa place. Sans leur faire de mal. Question permanente.
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derotterdieb · 9 months
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Anecdote de MJ - changement de plan
Je pense que beaucoup de MJs et de joueur•ses sont désormais habitué•es au fameux combat de boss / enquête difficile / etc., qui sont finalement pliées en 15min alors qu'une séance entière leur était prévu.
Eh ben on va parler de l'inverse : quand mes idées sont si improbables qu'il faut ajuster en cours de route sinon ça n'en finira jamais.
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Bon il ne s'agit pas de blâmer des joueur•ses ici hein, en général si une situation n'est pas résolue par l'équipe dans les campagnes que je propose, c'est un problème de design, ou de communication de ma part.
La première fois qu'un truc pareil m'est arrivé c'était pas tout à fait en JDR, mais en RP sur un MMORPG. Si le support et certaines conventions diffèrent, le problème était le même. J'avais prévu cette super trame, pleine d'énigmes et de trucs alambiqués qui me paraissent trop cools ! Et ça l'était, parce que je m'étais éclaté à écrire tout ça. Mais c'était injouable : j'étais parti du principe que tout le monde avait la même appétence que moi pour les maths, les énigmes, etc.
Spoiler : c'était une sacrée erreur de débutant. Évidemment, ça n'a pas marché. Bon, loin d'être déçu, j'étais surtout paniqué.
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Et cette fois là, j'ai pas vraiment géré. Je débutais, j'ai accepté un peu tout et n'importe quoi comme bonne réponse, c'était plus très cohérent mais bon, la panique quoi.
Plus tard, j'ai commencé à mieux réagir mais surtout j'ai longtemps eu peur de refaire un truc trop compliqué alors j'ai surtout proposé des trucs simples (mais efficaces). C'était pas un problème en vrai, sauf que ça m'amusait moins à écrire. Alors j'ai commencé à chercher un compromis.
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Et depuis ça m'arrive souvent. L'autre fois j'ai fait un truc à base de nombres premiers et d'écriture inventée à déchiffrer, bon, ça n'a pas vraiment parlé à la majorité des joueur•ses, et du coup bon ben j'ai un peu accéléré le passage, gardé que la première énigme et zou.
La vérité c'est que j'ai pas de méthode pour lutter efficacement contre ça. Ça arrive, et c'est pas grave tant que je reste à l'écoute du groupe je pense. Si je sens que ça va pas, soit j'arrive à improviser rapidement par dessus, soit je passe tout ça sur le tapis et rajoute des choses à raconter pour meubler si j'ai besoin de temps. Franchement, j'ai l'impression que ça ne se voit même plus à chaque fois maintenant.
J'ai l'impression que l'important, c'est que je m'éclate à écrire un truc, et que le groupe s'amuse en jeu, qu'on suive ma trame ou non. Parce qu'au fond, ce que j'aime quand je MJ c'est l'impro.
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Alors j'ai pas de mal à imaginer que c'est pas le cas de tous•tes les MJs, et que ça peut être frustrant de ne pas vraiment toucher à un contenu sur lequel on a bossé plusieurs heures. Mais bon, chacun sa vision du JDR, moi je suis là pour m'amuser et aider des gens à s'amuser en leur racontant une histoire.
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Histoire à laquelle iels participent activement, et ne subissent pas le scénario ou les évènements : les PJs sont ceux qui écrivent le scénario, moi je raconte juste le décor et les conséquences de leurs idées et actions.
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hattoririma · 10 months
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jezatalks · 1 year
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Alors ça c'est bien passé dans l'ensemble.
Mais la classe... en gros c'est un classe équivalente segpa ? Ils ont un niveau de d'écriture, scolaire et de dessin de CE2 alors qu'ils sont en 3ème. Et c'est très dur de les intéresser.
Ils n'ont pas d'initiative, faut les tenir par la main, ils sont très dissipés. Mais ça me donne envie de les accompagner encore plus !
Heureusement que je travaille en demi groupe parce que sinon, ce serait le bordel. Et je n'ai haussé la voix qu'une seule fois ET ÇA A SUFFIT ! Ils m'ont quand même pas mal écouté dans l'ensemble. Surtout que j'étais toute seule à les gérer.
Vraiment une grosse appréhension en moins, parce que l'enseignement et l'encadrement de jeunes (surtout des collégiens 😱) ça me terrifiait. Et au final ça va, mais je n'ai plus d'énergie.
Donc ça me dit que : donner des cours pour des jeunes, pourquoi pas ? Je pense que je ne pourrais pas plus de 12 heures/semaine. En tout cas ça m'ouvre une possibilité professionnelle de plus !
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bonheurportatif · 2 years
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Quelques trucs bien en juin
1er juin Courir parmi les escargots Échanger quelques mots avec le labrador du bas de la rue Prendre le temps d'un peu de volley sur la plage avant de coucher la plus jeune 2 juin Boucler une matinée de mails, barbante mais indispensable S'amuser du cadeau reçu par la poste (deux places pour un parc à thèmes où l'on n'ira pas) Rester jouer près d'une heure dans l'eau
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3 juin Rouler dans les flaques d'eau à vélo en levant les pieds pour ne pas se tremper Avancer opiniâtrement dans l'abattage des travaux en cours Supporter la jeunesse dans un tremplin rock 4 juin Faire de l'houmous-maison-minute Retrouver Proust par un sentier facile Aller faire quelques passes sur la plage 5 juin Manger ses premiers abricots Retrouver le titre de Goldfrapp à partir du fredonnement approximatif de sa fille Mettre un terme à la carrière d'emmerdeuse de trois mouches, coup sur coup 6 juin Doubler, l'air de rien, deux groupes de coureurs eux-mêmes occupés à se doubler Avancer, toujours aussi opiniâtrement, dans l'abattage des travaux en cours Faire chier les méduses 7 juin Tomber sur deux titres que l'on croyait perdus dans une des bibliothèques de la maison Dévoiler ses "trucs bien" à de nouveaux lecteurs Recevoir plusieurs sollicitations pour des ateliers à l'automne 8 juin Entendre juste après la pluie de la nuit le premier chant d'oiseau Arriver à la station service juste avant que le réservoir ne soit complètement à sec Passer à côté d'un massif odorant de chèvrefeuille 9 juin ... et encore une nouvelle proposition d'ateliers d'écriture Préparer un riz cantonais végétarien Croiser un magnifique spécimen de Johnny Hallyday 10 juin Découvrir le premier titre du prochain album de Dominique A Se faire offrir et croquer des feuilles au goût d'huître Boire sans trop de modération 11 juin Composter son premier billet numérique Décrocher un premier rendez-vous pour visiter un appartement pour son fils Organiser au débotté une soirée d'anniversaire 12 juin Sentir l'odeur du sol chaud après la pluie Trouver la dernière place du parking Savourer l'élimination sèche de certains candidats aux législatives 13 juin Courir vite Écrire vite S'arrêter tôt 14 juin N'avoir que 20 mn pour une réunion et en profiter pour aller à l'essentiel Abattre plus de boulot qu'envisagé Faire un foot avec les enfants sur la plage au coucher du soleil
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15 juin Visiter un beau haras, bien caché Contenir la chaleur caniculaire Entr'apercevoir le bout d'une looongue séquence de boulot 16 juin Feuilleter le nouveau Matricule des anges, et cocher déjà trois bouquins lus Voir l'horizon se dégager sur le front du cancer Se voir proposer une nouvelle collaboration sur un projet d'écriture 17 juin Repérer la pointe d'accent belge dans la voix de son interlocutrice Porter un chapeau de paille Lire dans l'après-midi des conseils contre les piqûres de méduse, et les appliquer le soir-même 18 juin S'appliquer à faire un gros plat de taboulé Après quatre jours caniculaires, sortir sous un vent frais Regarder le spectacle des éclairs depuis les fenêtres des étages 19 juin Se réveiller dans une maison fraîche Se faire offrir un cerf-volant Se faire offrir deux cerfs-volants 20 juin Se faire offrir une poche de viennoiseries Abriter la retraite d'une pipistrelle apeurée Dessiner des silhouettes dans le trait de côte des pertuis 21 juin Accepter des ateliers d'écriture de récits prospectifs, ce qui relève déjà de la science-fiction Croquer dans un gros ourson à la guimauve artisanal Assister au premier soleil couchant de l'été 22 juin Rayer enfin le dernier truc à faire de la longue liste de tâches établie en début de mois Se fixer une destination de vacances et commencer à se projeter Se plonger avec un brin de fascination dans l'imposture mégalomane d'une vague connaissance 23 juin Sentir les immortelles le matin, le pétrichor en soirée Écouter sa fille et une copine causer littérature avant leur bac de français Acheter une table de ping-pong 24 juin Courir entre deux averses Céder totalement à la fatigue Participer à l'éveil sportif de sa fille 25 juin Gagner sa course contre la montre de la librairie à l'atelier de sa fille Répondre à un quizz en anglais, et ne pas trop mal s'en tirer Prendre le train un arrêt plus tôt, et découvrir un profil peu familier de sa ville 26 juin Se faire offrir des abricots Croiser des dromadaires Me reconnaître dans l'Autoportrait au radiateur de Christian Bobin
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27 juin Faire ses impressions Faire bonne impression Jouer les correcteurs 28 juin Choisir un doudou à offrir Fabriquer les petits bouquins pour les participants des ateliers Trouver un peu de courage et finir son travail de relecture avant le dîner, plutôt que de s'y remettre après 29 juin Travailler efficacement tout en papotant avec une personne qu'on apprécie Recevoir un gentil courrier de lectrice pour un vieux texte Ne pas mettre de réveil pour le lendemain 30 juin Observer l'ombre dansante des fanions sur le bitume Finir une poche de bonbons acidulés super-chimiques Boucler une moitié d'année de trucs bien Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. > Quelques trucs bien en janvier. > Quelques trucs bien en février. > Quelques trucs bien en mars. > Quelques trucs bien en avril. > Quelques trucs bien en mai.
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claudehenrion · 2 years
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Racialisme, culture woke et autres catastrophes planétaires
 Il est loin, le temps où les hussards noirs de la République enseignaient “l'histoire de France” avec la certitude que, en partageant un passé commun, on construirait ensemble un avenir : ils rendaient leurs élèves heureux, et fiers de vivre dans un beau et grand pays. Désormais, une majorité d'instituteurs et de professeurs, bien aidés dans ce vilain boulot par des manuels scolaires qui  suivent des modes nécrosantes, partisanes et menteuses ‘’par système’’,  délaissent les épopées remplies de dates mémorables et de personnages admirables pour une errance entre un soi-disant “genre” sexuel étendu à toutes les anomalies possibles, un indigénisme systémique, une repentance mal placée, un racisme inventé, un colonialisme masochiste et une anti- ou contre-écologie dont l’issue est mortelle…
C'est assez simple : aux enfants d'origine africaine, on explique qu'ils sont des victimes d'un État-vampire anthropophage qui a pillé les terres de leurs ancêtres et mérite donc leur ressentiment, à jamais. Aux petits Guyanais, on nie la nationalité française pour les requalifier “Afro-Américains” (ce qui n'a rien à voir : une origine ne heurte pas une appartenance)… Aux petites filles et aux petits garçons de 6ème on va parler d'un “sexe neutre” (sic !) pour les priver à jamais de la pureté et de la gaîté d'être, simplement, des enfants. Des exemples plus inquiétants les uns que les autres abondent, montrent comment on endoctrine vicieusement les esprits “en formation”. Des professeurs courageux risquent parfois leur carrière et osent casser l’omertà en racontant ce qu'est devenu le quotidien de ce qui fut notre belle école, abandonnée depuis à des idéologues décidés à tout déconstruire, dans une démarche criminelle qui passe par les manuels scolaires dégoulinants d'écriture inclusive illisible et d'exercices “orientés”. Ces ‘déconstructeurs’, à force d'appauvrir le langage des enfants, finiront par rompre le lien intergénérationnel : mes arrière-petits enfants ne comprendront sans doute pas la moitié des mots que j'emploie !
J'exagère ? Ce ne serait là que rares exemples isolés ? Hélas non : le discours des “racialistes” et des “indigénistes” imprègne le processus de formation des futurs enseignants de la manière la plus institutionnelle. De nombreuses plates-formes officielles dites d'autoformation (auto-flagellation serait un meilleur mot) diffusent “à pleins tubes” l'anti-idéologie woke, aussi désespérante que sans espoir, qu'ils répandront ensuite, officiellement, sur nos enfants, même s'il n'y a, d'évidence, aucun lien entre le récit institutionnel et ce qui s'est passé dans le monde réel, ni avec rien qui soit ou qui a été… même en insistant sur quelques cas aberrants qui confirment la vérité… si éloignée de ces contes de (mauvaises) fées… Il ne fait pas de doute que le discours de notre Président sur ce qu'il croit être l'Histoire et qui est un “mal-copié / mal collé”, contribue largement à la division irrémédiable des habitants de la France en groupes hostiles dont chaque nouvel arrivant est quasi-obligé de haïr l'autre : fausse tolérance, repentance sans sujet, ‘’vivre ensemble de pacotille… et adhésion présidentielle aux théories les plus invraisemblables…
“De mon temps”, on enseignait parfois le grec et le latin, décrétés inutiles depuis. Ils n'étaient peut être pas directement très utiles dans la vie professionnelle, mais participaient à notre maîtrise de notre langue, c'est-à-dire à une aptitude à penser en dehors des 4 ou 5 idées –fausses, puisque “progressistes”– qui font de vous un être “fréquentable” dans l'univers fermé des gens qui se disent ouverts… à qui est comme eux (NB : pour avoir accès à la respectabilité officielle, il faut : “Ne pas être” de Droite, homophobe, islamophobe, climato-sceptique, complotiste, fier d'être français, catho, blanc, cultivé, instruit, propre sur soi, pro-Eric-Zemmour, conservateur, rasé de frais, mesuré, sensé… Et ne pas dire qu'on aurait été aussi heureux sans avoir contribué à enrichir les actionnaires de Pfizer et Moderna’’, ce qui aurait maintenu la “dette souveraine” dans des limites “à taille humaine”).
Si “ça continue comme ça”, la mortifère cancel culture rendra impossibles films, conférences, thèses, livres ou expositions sur notre passé (le vrai ! Bien sûr pas les mensonges réécrits en jargon woke, en volapük inclusif, ou dans le “novlangue macronique revu par Stora”). Et tous les musées devront fermer. Je visitais l'autre jour à Lyon la belle exposition “Sur la piste des Sioux”… Finie ! Les petits garçons ne pourront plus rêver aux cow-boys et aux Indiens, car c'est “voler leur histoire aux amérindiens”, “une appropriation culturelle” et du “néo-colonialisme” (NB : n'importe quel “non-blanc”, en revanche, peut massacrer notre passé en tous sens, surtout faux, au gré du dernier mensonge émis, repris par la Presse et oint par l'Elysée).
Demain, nous “devrons” restituer aux peuples amérindiens et africains (les asiatiques,  pas fous,  ne le demandent pas), tout ce que nous avons sauvé, chez eux, pour qu'ils les connaissent un jour.  Le Musée Branly-Chirac a commencé cet holocauste culturel par un cadeau injustifié mais progressiste au Bénin (c’est l’ex-Dahomey), alors que le risque est énorme que, revenus dans des pays souvent instables, ces souvenirs de leur histoire, sauvés d'eux-mêmes, soient réduits à néant par la première poussée de fièvre islamique ou -iste, comme l'ont été les trésors de Tombouctou, de Palmyre, de Bamyan ou d'Alep, parmi tant d'autres. Les restituer, c'est signer, peut-être, leur arrêt de mort, tôt ou tard ! Rappelez-vous les sueurs froides qui ont fait trembler le monde en janvier 2011, lorsque des foules incontrôlables menaçaient le Musée du Caire, à 200 mètres de la Place Tahrir, haut-lieu de toutes les folies ! (NB : tous les musées du monde, qui regorgent de reliques dont la protection est leur mission sacrée, vont-ils devoir rendre tous les tableaux signés par des peintres françaisqu'ils conservent… et nous, ne plus jouer du Wagner ou du Verdi, Salle Garnier ? Allons-nous démonter les Arènes de Nîmes et le Pont du Gard pour les rendre aux descendants des romains –et lesquels ?).
Mais les idées perverses ont le vent en poupe, et tout ce qui était beau et vrai, tout ce qui témoignait, tout ce qui devait survivre et être transmis… est poussé fanatiquement vers la destruction et l'oubli. Les tenants d'une Gauche extrême et assassine sont en train de détruire la plus immense puissance ayant jamais existé, les Etats-Unis d'Amérique, réduits à rien par cette pathologie mortifère qui s'est imposée dans les médias dits mainstream (= le courant dominant de la pensée du jour) et dans toutes des Universités US qui étaient, il y a peu encore, les meilleures au monde. et ne sont plus que des caricatures. Et il ne doit faire de doute pour personne que les ingrédients qui ont permis l’explosion du wokisme aux États-Unis sont, encore plus artificiellement, réunis en Europe, et plus encore en France, ne serait-ce que à travers les prises de positions du nouveau Sinistre de ce qui fut Education et n'est plus Nationale, dont pas une idée ne tient la route 2 secondes.
Entre le jeu pipé auquel Presse et Autorités s'accrochent contre toute sagesse et la passivité des spectateurs de ce massacre (c'est nous !), tout ce qui se passe est inexplicable, et suicidaire –dans des délais  assez courts… pour que la vie des français soit ravagée en profondeur, ce qui n'est pas pardonnable. Mais nos gouvernants ne sont plus “libéraux”, ils sont “plus ou moins Woke”, et les salles de Presse grouillent de lobbyistes-propagateurs d'idées impensables il y a dix ans à peine : racisme anti-blanc, inter-sectionnalité (?) des minorités, suppression des frontières ou crises de nerfs devant la simple prononciation du seul mot “race”…
Soumis à une pression constante, les salles de rédaction des médias US sont des places fortes du cauchemar woke et ont évincé tous ceux qui tentaient de s’y opposer. L’idéologie woke s'est installée partout où il y a des gens de cette gauche, aisée, urbaine, se croyant cultivée car équipée de 4x4, du bon côté des inégalités économiques… qui tente de passer inaperçue en se disant pro-minorités et dépositaires d'une supériorité morale : les “valeurs” dont ils se parent les séparent du vulgum pecus plus et mieux qu’un sac Hermès ou qu'une montre Breitling !
Dans un monde woke, être indifférent à une couleur de la peau, c’est être “raciste” (puisqu'il faut haïr les hommes blancs !), et il existe des différences entre hommes et femmes. Sous un discours à l'air égalitaire, les impostures woke de l'ultra-Gauche ne sont qu'une obsession hystérisée d'une identité… pourtant souvent étrangère à la majorité des personnes de couleur.  Mais la Gauche a abandonné le travail comme valeur-de-base, et se concentre sur une guerre culturelle qui ne peut profiter à personne. N'étant plus préoccupée par l'inégalité économique –cette vieille lune des conservateurs– elle promeut le woke, en France et en Europe. Si elle se dit encore “à gauche”, elle n'est déjà plus “de Gauche”, ou alors “extrême” ! En fait, elle n'est plus rien. Elle va entraîner tout l'édifice dans son effondrement ! 
H-Cl.
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swedesinstockholm · 6 days
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8 avril
au bar l. était collée à moi et parfois quand on parlait tout le monde nous écoutait et ça me changeait de d'habitude puisque d'habitude je disparais dans un coin parce que j'arrive pas à ouvrir la bouche. r. m'a dit que lui non plus n'ouvrait pas la bouche en situation de groupe. ça m'a surprise. quand il m'a parlé de ses névroses j'ai pensé à ludvig, un jour dans sa chambre à umeå on avait dit qu'on pourrait faire un concours de qui est la/le plus névrosé.e mais que ce serait sans doute moi qui gagnerais. à la fin il m'a demandé si je trouvais qu'il avait trop parlé. j'ai pensé oui mais j'ai dit non. j'ai dit que j'avais l'habitude d'être celle qui écoute. mais même quand on parlait de moi j'arrivais pas à m'ouvrir comme lui. j'arrive pas à échapper à la force d'attraction du silence. c'est un peu comme cette histoire de gravité. je suis attirée par le néant. au moment où il s'apprêtait à partir un type m'a abordée pour me dire qu'il avait beaucoup aimé mon texte et puis il a vu r. et il a dit eh mais je te connais! t'es un super musicien toi! et ils ont commencé à discuter de musique et j'en ai profité pour m'échapper et rejoindre d. et c. qui discutaient d'écriture dans la cour.
je vois l. dans une heure mais tout ce que j'ai envie de faire c'est lui parler de r. pourquoi je suis comme ça. j'ai l'impression qu'on est restés assis sur cet accoudoir de canapé pendant des heures hier soir alors que tout le monde discutait en groupes dehors et que le bar se vidait petit à petit et l. et d. sont passés plusieurs fois pour nous dire qu'ils sortaient et lucie me disait d'aller chercher ma salade poke truc dans le frigo mais moi je restais clouée sur cet accoudoir de canapé à côté de r. qui me parlait de ses psys et de son père et de sa fille, le ventre trop rempli d'émotions pour manger quoique ce soit, j'ai même pas utilisé mon ticket boisson. il m'a dit qu'il buvait quasiment pas d'alcool non plus et à mesure qu'on discutait on se rendait compte qu'on avait vraiment un milliard de trucs en commun mais surtout j'avais bien le temps de regarder son visage rasé de près, sa fossette sur le menton, ses yeux qui me regardaient bleu-gris foncé comme la mer en tempête à la tombée du soir, hier matin avant que le jour se lève dans la voiture pour aller à l'aéroport j'ai aperçu un phare dans la pénombre. un vrai phare qui tournait en faisant des ronds dans la nuit. j'ai aussi vu la lueur rouge gigantesque de plusieurs éoliennes invisible qui devaient être tout, tout près de nous.
finalement j'ai pas osé parler de r. à l. ce soir. j'ai trop honte de mon comportement. de comment je m'accroche. de comment il est devenu mon monde. tout à l'heure l. a acheté des oeufs dans une épicerie et je l'attendais dehors avec son amie n. qui me montrait où prendre le tram pour rentrer et en regardant sur google maps je me suis rendu compte qu'on était à deux rues de la rue de r. et j'ai du faire une tête pas possible parce que quand l. est sortie avec les oeufs elle m'a demandé de quoi je m'inquiétais comme ça et j'ai dit rien et elle a dit c'est un secret? et j'ai dit oui. je me demande si elle a remarqué hier soir que j'étais amoureuse cul par dessus chaise. j'ai remonté la rue jusqu'au tram en chantonnant it's all for you de janet jackson, c'est devenu mon occupation préférée depuis hier, arpenter les rues de st. gilles qui sont dans un mouchoir de poche avec celle de r. en chantonnant.
hier matin j'ai marché plus d'une heure pour rentrer de la gare du midi en me chantant you're gonne be okay you're gonna be fine sur l'air d'une chanson de carole king parce que r. venait de me dire qu'il avait une journée chargée et je me préparais déjà mentalement à ne pas le voir, me sentant abandonnée sur tous les fronts parce que m. ne répondait pas à mes messages parce qu'elle était encore en train de dormir avec son copain après leur rave, et donc j'étais à la rue avec mon double denim et mon sac à dos rouge, lâchée par tout le monde, engloutie par les hipsters à mullet de flagey qui sortaient bruncher au soleil, déjà en train de regretter les retraités du grau d'agde. quand ils se sont enfin réveillés j'ai pu passer faire pipi et déposer mon sac avant que je sois de nouveau mise dehors parce qu'ils devaient se doucher, et puis en redescendant vers flagey je discutais avec r. qui m'a dit qu'il viendrait et m. et son copain m'ont rejoint pour aller bruncher dans un café rue lesbroussart et tout est rentré dans l'ordre. même si j'ai juste pris une babka au chocolat parce que tout était trop cher. de là je suis allée à la maison poème pour les répèts et quand j'ai rigolé en disant que je savais pas comment on prononce fjällräven une voix venue du noir m'a aidée et j'ai cru reconnaitre la voix de l. de paris mais j'étais pas sûre et j'étais tellement contente de la voir après.
9 avril
moins on fait de choses, plus elles sont grandes. j'avais noté ça sur mon téléphone dimanche matin. dimanche matin quand je suis arrivée à bruxelles je pensais à la plante devant la vitre de la salle d'embarquement de l'aéroport de perpignan, tranquille dans son coin avec la vue sur les avions garés sur le tarmac et les gens qui font la queue pour monter dans les avions et les agents de l'aéroport avec leurs habits orange fluo qui se tiennent en petit conciliabule sur le côté, chacun avec sa personnalité, y en avait un qui riait beaucoup à gorge déployée en se penchant en arrière, celui de la sécurité qui boitait légèrement et qui s'énervait contre des gens qui faisaient mal leur travail, le pilote de notre avion qui disait au revoir de la main au pilote de l'avion de paris qui démarrait sur le tarmac. je me suis dit que ça devait être bien d'être pilote. mais j'avais surtout envie d'être la plante de la salle d'embarquement.
oh oui être une plante et ne plus jamais tomber amoureuse d'un être humain. je vais jamais m'en sortir. ce matin je me suis réveillée avec une chanson douce de bob dylan qu'il m'envoyait, je l'ai écoutée au lit avec mes écouteurs en serrant ma couette contre moi et puis je lui ai écrit que si jamais il avait envie de se changer les idées ce soir j'étais là et quand il m'a répondu qu'il aurait trop aimé mais qu'il avait sa fille et une montagne de travail j'ai senti mon moral tomber comme une pierre. je me suis préparée pour rejoindre l. et c. au wiels en faisant la gueule et puis j'ai attendu le tram pendant douze minutes en faisant la gueule et j'ai fait la gueule en passant à son arrêt et puis l. et c. m'ont sauvée. je veux être plus comme l. et oser dire aux gens que j'ai envie de les voir. oser leur poser des questions. elle a posé plein de questions à r. et à la fille du bar de la maison poème par exemple. et elle a réussi à me faire parler avec c. b. je lui ai avoué que quand on s'était rencontrées à la soirée et caetera l'année dernière je l'avais trouvée trop intimidante pour lui parler. je lui ai parlé des choses qui m'empêchaient de venir vivre à bruxelles et j'avais pas envie de m'écrouler de honte parce qu'elle avait pas du tout l'air de me juger, elle avait même l'air de tout à fait me comprendre, je me sentais presque normale.
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mysteriis-moon666 · 22 days
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INGESTED - The Tide of Death and Fractured Dreams
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Ingested est un trio de death metal technique en provenance de Manchester, Angleterre.
Composé de Jason Evans – chant, Sean Hynes - guitares, chœurs, Lyn Jeffs – batterie, ces Britanniques acerbes fendent des crânes depuis près de 18 ans : « Nous commençons définitivement à sentir notre âge par moments, en voyant comment les tendances évoluent autour de nous. Nous aimerions penser que nous avons amené le sous-genre 'slam-death metal' à un public plus large, et que nous avons également ouvert la voie à l'expérimentation d'autres genres de metal extrême. En toute honnêteté, je ne pense pas que beaucoup de changement ait eu lieu », disent-ils. « Nous sommes les trois mêmes gars qui font de la musique. Nous nous sommes améliorés au fil des années. »
Le groupe ne s’arrête jamais et ce nouvel album intitulé « The Tide of Death et Fractured Dreams » est à la fois innovant et brutal, et davantage destructeur que leurs derniers avec une belle traînée de sang musical pour une férocité plus purulente.
« Nous travaillons toujours sur de nouvelles musiques en coulisses, c'est presque comme si nous ne sortions jamais d'un cycle d'écriture. Si les idées continuent à affluer, autant en profiter pleinement. » dixit Ingested
Plusieurs featuring sur cet opus avec le chant de Mark Hunter de Chimaira pour « In Nothingness » et le chanteur de Sylosis Josh Middleton avec « Expect To Fail ». Pour les paroles, depuis toujours les conflits d’Ingested étaient enracinés dans la dépression et l’insécurité : "Nous écrivons toujours sur des expériences ou des luttes personnelles, nous n'avons pas tendance à avoir un thème général pour un album, c'est généralement ce qui se passe dans nos vies qui met la plume sur papier." Dixit Ingested, le groupe continue son exploration avec une voracité conséquente.
En apparence désordonnés dans leur composition mais en réalité agencés selon une mystique particulière à coups de blast-beats, de rythmique grinçante sur des riffs décalé par des harmoniques perçantes et des mélodies mineures inondant le mix d'éclats rapides. 10 nouvelles chansons percutant les airs en s'enchaînant d'une manière vicieuse, tout est dévastateur, comprimé, compressé, compacté. La batterie fournit un ancrage solide à ces échanges saccadés, passant de blast-beats serrés à des rythmes de transe galopants, tissés ensemble par des remplissages et des motifs particulièrement complexes selon les standards. Les riffs sont intenses et vertigineux, ils explorent les deux côtés du spectre sonore dans un conglomérat torride de tempos alternés. Les compositions alternent des impacts dévastateurs, permettent aussi d’aérer par des atmosphères où arpège cristallin et touches bourdonnantes accueillent une suspension.
Ingested mêle et démêle son corps musical aux effluves qui se dégagent d’une nuit de démangeaison et brûlure. Chaque titre est un métal recélant son mystère sonique. Tel un oiseau sous la foudre des cieux fou et sublime comme un Icare qui s'envole vers la combustion.
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