Tumgik
#de son compagnon
kingonews · 10 months
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COMMENT UNE BENINOISE FUT TUÉE ET RETROUVÉE DANS LE CONGÉLATEUR DE SON COMPAGNON BOUCHER EN FRANCE.
L’on en sait un peu plus désormais dans l’affaire de la beninoise tuée en France par son copain Algérien et dont le corps a été retrouvé, découpé dans un congélateur. De source très proche de sa famille contactée en France, la victime connue sous le nom Déo est une mère de trois enfants. L’aîné serait d’un père autre que les deux derniers. La victime qui a déjà rompu avec ses deux premiers maris…
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chaotictomtom · 1 year
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c'est duuur de se mettre à dw classic depuis le tout début jveux déjà arriver aux goofy doctors là il est trop aigris le vioc il déteste tout les humains il fait le zgeg et des cacas nerveux à son grand âge il est insupportable, après the edge of destruction askip il respecte un peu plus barbara + avec le temps il aime un peu plus les humains mais goddamn grognon le boug...... jregarse le slide show qu'est les eps marco polo parce que episode perdu, le gard a vraiment littéralement boudé dans sa chambre pendant genre 3 jours 🧍
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redoqutahu · 2 years
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Medtronic pointeur satellite mode d'emploi lego
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Jamy c'est un seigneur du temps, Fred et Sabine ses compagnons, et Marcel c'est le nom de son TARDIS deguisé en camion qui ne communique que par des bruits de klaxons
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thebusylilbee · 28 days
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
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Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
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La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
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ekman · 3 months
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À peine a-t-on célébré la figure héroïque d’un Badinter raidi, champion incontesté du progressisme, pourfendeur de la peine de mort au nom du vaste humanisme républicain, que l’on s’empresse d’inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution. Entre esprits éclairés, frangins militants, satrapes opportunistes, féministes auto-décrétées, le congrès réuni à Versailles a rapidement pris des airs de kermesse à l’instant des résultats de la consultation. Vu l’accélération des revers présidentiels depuis deux gros mois, rendre “immuable” le droit à avorter devenait une affaire urgente. Créer en permanence des faux problèmes et relayer des causes Potemkine est devenu l’occupation principale du staff des conseillers sensés éclairer les pas d’un petit président perdu dans ses nuages blancs et sa dévorante ambition européenne. Échec face aux agriculteurs – échec de communication, s’entend, car pour le reste, ils pourront toujours monter sur leurs tracteurs pour se pendre : rien n’a changé ni ne changera. Visiblement, les Français élevés en batterie et stockés hors sol, bourrés de boosters et d’anti-tout, semblent maintenant résolus à mâchouiller des haricots verts kenyans pour accompagner leur cochon hormonal guatémaltèque. Échec aussi à la réunion des boute-feus européistes où il fut question d’imaginer la possibilité de déployer dix-sept poilus du côté de Kramatorsk au nom de la défense de l’UE et de ses valeurs formidables. Vents et contre-vents s’ensuivirent afin de signifier au pyromane élyséen que cette déclaration était à tout le moins inopportune. Même en cas de canicule carbonée, l’hiver nucléaire n’est pas souhaité. Avec l’Otan et ses affidés comme amis, plus besoin d’avoir Vladimir comme ennemi. 
L’urgence abortive s’explique mieux ainsi.
Le narratif peu inspiré des spin doctors de McKinsey a planté le décor : une droite ultra-réac comptant dans ses rangs des calotins acharnés, des phallocrates maladifs et des misogynes sadiques étant dès à présent aux portes d’un pouvoir trop bienveillant, il était absolument vital de mettre sous cloche un “droit” établi il y a cinquante ans pour faire cesser une autre boucherie, celle des “faiseuses d’anges” en l’espèce. Dès 1974, les préambules et autres prolégomènes de la loi appelaient à la prise de conscience des femmes et des hommes concernés, suggérant mille prudences autour d’un acte terrible autant qu’irréversible. Pour autant, l’histoire récente montre qu’il était déjà trop tard pour barrer la route au “jouissez sans entraves” des gorets de 1968 : au prétexte de libérer les femmes du fardeau de l’enfantement, on les assignait au rôle d’objets sexuels défécondables, conçus pour le seul plaisir de gauchistes pornocentrés et de bourgeois honteux. Belle avancée sur la voie de “l’émancipation”, lisait-on alors dans la presse progressiste. Cependant, comme ça enfantait toujours plus dans les chaumières, les canules se mirent à aspirer à un rythme soutenu les excès de plaisirs fugaces – c’est que la pilule n’était pas encore complètement entrée dans les mœurs, comprenez-vous. En outre, les capotes manquaient de romantisme, le coïtus interruptus ressemblait trop souvent à une loterie et la méthode Ogino n’intéressait que les paroissiens. Décennie après décennie, le nombre d’avortements n’allait que croître, malgré la contraception libre et quasi gratuite, le sida et les MST. La France, avec ses assoces frénétiquement pro-IVG, est devenue un phare dans le domaine. Toutes ces bonnes âmes sont parvenues à tourner un drame féminin en épopée féministe. Et pourtant. L’avortement, c’est d’abord un cœur humain qui cesse de battre. Au-delà des parfaites abruties qui se contre-foutent de la valeur d’une vie (mais adorent le bouddhisme qui est cool et hyper-respectueux), l’avortement c’est d’abord un échec, souvent un drame, toujours une défaite. C’est une borne sombre dressée sur le chemin de celle qui ne sera pas mère. Pour son compagnon, son jules ou son mari ça ne le sera pas moins, si tant est qu’il assume sa responsabilité et soit doué d’un minimum de conscience vitale. En France, la constitution autorise l’interruption de grossesse jusqu’à 14 semaines de gestation, ce qui veut dire que le foetus a déjà son visage, un cerveau et une moelle épinière fonctionnels. Cela, on ne va pas trop vous le dire et surtout on ne va pas vous le montrer, parce que l’on sait jusqu’à quel point les images de chiots dénutris sur Instagram vous émeuvent. Surtout, ne pas prendre conscience de la réalité des choses ni de l’existence des êtres. Votre sexualité, c’est votre liberté. Votre corps vous appartient. Jouissez sans entraves. Ni Dieu ni maître. Et d’ailleurs, comme vous le rappelait un bénévole du Planning Familial, on peut aussi bien assurer le renouvellement des générations avec Momo de Marrakech et Babacar de Dakar. C’est même souhaitable.
J.-M. M.
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cecileguillard · 8 months
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En 2021, je réalisais un reportage au sein de la boulangerie Bio Les Bonnes Graines, située à Marseille. J'y rencontrais Romain, alors chef boulanger du labo, me livrant son expérience de passionné. La chronique est publiée cet automne dans la revue TOPO • 43 ! Foncez en magasin de presse, les couleurs apparaissent beaucoup trop saturées ici ! J'y rencontrai également une autre grande passionnée et amoureuse du beau et du très bon : Anne-Edwige. Avec son compagnon Laurent, ils créent en 2022 leur propre boulangerie entièrement bio, au levain et fermentation longue en Ardèche, à Saint-Péray : Maison Ergaster. Vous pouvez y découvrir un aperçu des coulisses sur ma page instagram ici et ici . Ils y font des miracles !
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Pendant toute la période de l'Egypte ancienne, le chat a toujours été traité avec les plus grands égards. Il fut un animal incontournable. Il était vu tantôt comme un protecteur, un fidèle compagnon, un partenaire de jeu ou tantôt comme une incarnation divine
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Tout d'abord avatar du dieu Rê en tant que pourfendeur du serpent Apophis, il connaîtra le sommet de son influence en tant qu'incarnation de la déesse Bastet.
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Aujourd'hui un tube digestif à manger des croquettes
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alicedusstuff · 10 months
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Pensée nocturne_version française
Wukong n'a jamais écouté les conseils de Macaque. Chaque philosophie sombre était contrée par une pensée heureuse. Chaque avertissement était balayé d'un revers de la main, effacée d'un baiser, soufflée d'un câlin, ou épousseté de l'idée d'un idéal incertain. En soit, tout ce que le Macaque pouvait dire qui n’allait pas dans le sens du légendaire roi singe était ignoré de la plus belle des manières. Et ce n’est que maintenant, dans le creux de son lit, au milieu de la nuit, coincé dans les bras de la cruelle personne qui l’avait tant de fois rejeté et désiré à la fois, que l’esprit de Macaque lui fit un rappel bruyant de sa condition. 
"Wukong ne m'écoute pas…" réalisa Macaque. 
Et l'idée même que cette réalité se répète à nouveau dans le futur dans lequel il se trouvait le paralysait. Était-il sain de reprendre sa relation avec Wukong ? Non. Ça ne l'était certainement pas. Macaque savait plus que trop bien ce que l'un et l'autre voyaient en eux. Le singe de pierre voyait en Macaque, le compagnon fidèle et aimant qu'il regrettait avoir assassiné. Et le singe de l'ombre voyait en Wukong le doux bonheur brûlant qui l'avait forcé à tout nier pour se laisser consumer jusqu'à la tombe. 
C'était clair que si Macaque et Wukong s'étaient une fois  aimés sincèrement à leur premier "je t'aime"; ils n'aimaient tous deux chez l'autre,  aujourd'hui,  que le souvenir fané qu'ils représentaient. 
Aucun d'eux ne se connaissait plus. Leur mouvements restaient en synchronisation; mais ils n'étaient plus harmonisés de la même façon qu'avant. La différence entre ces deux faits était aussi fine et confuse que la différence entre amour et adoration. 
"Wukong ne m'aime pas." Réalise Macaque pour la seconde fois, tandis que son  souffle s'accélère. 
Le singe à la fourrure de jais se retourna dans son lit, et se blottit dans les bras de son compagnon. Depuis la destruction de la maison de Wukong sur la montagne de fleurs et de fruits, le singe de pierre était en cohabitation avec Macaque. La situation les avait rapprochés, et ils avaient alors décidé de reprendre leur relation, depuis longtemps brisée. Mais maintenant, Macaque doutait. Il aurait dû dormir. S'il s'était endormis,  il n'aurait pas pensé autant. Pourquoi diable ne dormait-il pas ? 
Macaque ferma fortement les yeux. Ses muscles se tendirent sous l’effort, comme si tout son corps essayait de le forcer à dormir. Malgré tout, le geste ne fait que rendre Macaque encore plus conscient de ses pensées parasites. Il ne devrait pas penser. Il ne devrait vraiment pas laisser son esprit lui jouer des tours. Mais il n’y pouvait plus rien. Chaque tentative mise en œuvre pour faire disparaître les pensées sombres était conclue par une vague encore plus forte de pensées obscures. 
Dieux! N'allaient-elles pas se taire !?
-Macaque. 
Le cœur de Macaque loupa un battement et ses oreilles s’agitèrent une seconde. Macaque tentait de regarder autour de lui. Il leva les yeux vers Wukong pour voir si ce dernier dormait réellement. 
Avait-il imaginé la voix du sage ? 
Le souffle de Macaque s’arrêta, uniquement pour écouter la respiration de Wukong, s’assurer de si ce dernier était bien celui qui avait ouvert la bouche, ou s’il avait juste entendu une voix. 
Cela lui arrivait souvent à l’époque. Les ombres lui sussuraient toujours un aperçu du futur, ou du passé de temps à autre. Et c’était si réel que Macaque avait du mal à les différencier de la réalité. Mais ces derniers siècles, il avait été seul quand ces manifestations vocales lui étaient arrivées. 
Le souffle de Wukong était régulier, et lourd. Sa peau était chaude. Et bien que Macaque adorait se coller à cette fourrure qui sentait le soleil; il était, là maintenant, bien trop concentré à s’assurer du fait que Wukong dormait bel et bien. 
-Wukong ? 
Murmurra Macaque, incertain, malgré le fait évident que son compagnon n’avait pas pipé mot. La respiration de Wukong changea de rythme, comme si ce dernier s'était réveillé à l’appel de Macaque. Mais non. Il dormait toujours. Macaque le savait. Le singe de l’ombre sourit, satisfait, et mis à l’aise dans les bras de Wukong; s’agitant comme un petit oiseau qui essayait de s'ébrouer pour retirer la pluie de ses plumes. Puis, quand il fut enfin bien installé, il ferma les yeux encore, essayant de remplacer ses inquiétudes par le battement de cœur de l’homme qu’il aimait. 
-Je t’aime Mac…
Macaque se tendit et leva des yeux surpris vers Wukong dont le rythme reprit un ton plus agité, laissant échapper au sage quelques ronflements. C’était une phrase dite de façon incompréhensible. Les paroles d’une personne endormie. Peut-être même que ce n’était rien de plus que les mots échappés tout droit des rêves de Wukong, mais Macaque les avait entendus de façon bien trop claire. 
Wukong avait dit qu’il aimait Macaque. Il avait dit Mac! Pas Liu Er. Wukong n’avait pas utilisé l’ancien nom de Macaque. Il avait…Wukong a…il aimait…il…!
Le cœur de Macaque battait trop vite dans sa poitrine. Il cognait si fort que le singe de l’ombre eut peur que le son réveille Wukong. Oh par pitié, faites que Wukong ne se réveillerait pas. 
Si il le faisait, il verrait certainement le visage rouge de Macaque, et le sourire qu’il était incapable de faire disparaitre. Les yeux du singe à la fourrure de jais montreraient certainement tout l’amour qu’il portait à Wukong? et Macaque n’était pas prêt à ce que Wukong voit cette expression de lui. Ce serait tellement honteux. Il se sentirait si déshonoré, si Wukong découvrait à quel point des mots aussi simples avaient excité le singe à ses côtés. 
C’était stupide de penser ainsi. Mais le Macaque serait prêt à tuer Wukong, plutôt que de lui avouer combien une simple phrase avait été efficace. Suffisamment pour lui permettre d’effacer ses doutes, et lui permettre de dormir à nouveau.  Dieu! Macaque détestait tellement Wukong! Ce crétin était beaucoup trop adorable pour le bien du singe de l’ombre. 
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voluxpa · 1 year
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tw; manipulation, mensonges, menaces, harcèlement. (et autres sûrement)
bonjour à tous,
je n’ai jamais fait de post discussion sur mon tumblr, que je réserve uniquement au graphisme mais il me semble que c’est du devoir de tous de prévenir d’un potentiel danger pour protéger la communauté; c’est vraiment une première pour moi, et pour conserver l’anonymat des victimes, leurs prénoms seront remplacés. 
en revanche, je n’ai aucun mal divulguer la véritable identité de cet homme, qui s’appelle benjamin (de pseudo sano/benji quand nous l’avons connu; individu dans la trentaine). il est fort probable qu’il se fasse appeler autrement maintenant, mais il a un mode opératoire repérable puisqu’il reproduit le même schéma. si vous remarquez des similitudes avec une personne de votre entourage, je laisse à votre discernement le soin de l’identifier.
pervers sans aucun doute, cet homme approche des femmes de tout âge, la plus jeune étant âgée de 20 ans. de même, il n’hésite pas à viser des femmes mariées, ou en relation depuis longtemps. mais il semblerait qu’il jette principalement son dévolu sur celles qui traversent des passes difficiles. celles qu’il imagine, à tort ou à raison, « vulnérables » (mais nous le sommes tous après tout, dans une mesure différente j’imagine)
ça commence avec une drague inoffensive, un jeu de séduction léger qui rapidement évolue vers des exigences plus malsaines. l’une de ses victimes, qu’on nommera mélissa, a subit une pression rapidement pour quitter son compagnon et venir emménager avec lui. ne répondant pas positivement à ses avances, il menace dès lors de contacter ses proches pour prétendre qu’elle est en relation avec lui depuis plusieurs mois, qu’elle lui a envoyé des sextos/nudes. à savoir qu’elle n’avait donné aucune information personnelle mais qu’il aura été capable de trouver sur internet son lieu de travail, des informations sur ses proches et son conjoint. de même, les nudes n’étaient pas les siens mais il semblerait que ce malade a compris que ce n'est pas nécessaire d’être dans le vrai pour faire du mal. et avant tout pour effrayer. 
cette mélissa avait un très bon contact avec une joueuse que l’on nommera ici estelle. estelle fût elle aussi une victime de benjamin, qui prétendit à cette dernière que mélissa était très insistante avec lui mais qu’il refusait ses avances. entre temps mélissa a été effrayée par les menaces du joueur et a quitté le forum sans donner d’explications, puisqu’il lui faisait croire qu’elle serait très mal reçue et qu’elle était déjà détestée de ma communauté (faux, évidemment). après avoir gâché cette amitié, il a rapidement profité de l’état dépressif d’estelle qui se confiait sur son mal être. une vulnérabilité qui ressemble à une porte ouverte pour un malade comme lui j’imagine.
lui envoyant cadeaux par la poste et mots d’amours; prétextant qu’il voulait faire sa vie avec elle, qu’il voulait l’épouser. mais refusant toujours d’officialiser leur relation, fermement, au point où il se disputera avec elle quand elle me mettra dans la confidence de leur union. finalement la relation se termine après plusieurs semaines d’un commun accord à cause de la distance.
estelle, très bien entourée irl, finira par apprendre par ses amis qui ont fouillés facebook (que benjamin prétendait ne pas avoir), qu’il était en réalité en couple depuis dix ans avec une femme, et qu’ils avaient même une maison. elle le confronte, il nie, prétend qu’ils sont séparés mais que rien n’a été officialisé auprès de leurs parents respectifs et qu’il n’en parlait pas pour ne pas la faire fuir. si elle ne le croit pas, elle finira cependant par lui envoyer une lettre dans laquelle elle se confie sur ses sentiments et émotions suite à cette altercation.
la conjointe de benjamin tombera sur la lettre avant lui et contactera estelle pour avoir des explications; suite à une conversation téléphonique entre les deux femmes, benjamin se retrouvera célibataire, et évidemment il le prendra mal et réagira avec violence.
en parallèle, cet homme discutait avec une joueuse que l’on appellera julie. cette julie a été elle aussi, hélas, manipulée par ce pervers. qui lui aura prétendu qu’estelle se faisait des films sur eux, qu’elle voulait forcer une relation et que s’il ne lui donnait pas gain de cause, elle menaçait de se suicider. évidemment, pas besoin de préciser que ce mythomane a tout inventé. mais julie un matin me contacte en me disant qu’elle est très inquiète pour estelle parce qu’après cette lettre envoyée à sa compagne, il l’a perdu et qu’en représailles, il souhaite divulguer des photos compromettantes d’estelle sur la toile. 
de là j’ai contacté des proches gendarmes pour savoir quelles mesures pouvaient être prises pour calmer ce grand malade. ils m’ont demandé de pousser estelle à porter plainte parce que je ne pouvais, hélas, à mon échelle, rien faire de plus. elle semblait déterminée à le faire, mais à ce jour je n’ai plus de nouvelles d’elle donc je ne sais pas ce qu’il en est. 
j’apprends aujourd’hui par mélissa, que ce fou furieux prétend à mon sujet (malgré la situation j’ai pas mal gloussé) qu’il aurait refusé d’interpréter mes scénarios parce que je lui faisais des avances. alors que plusieurs pourront l’attester, je lui ai refusé les rôles moi-même. pour diverses raisons dont son instabilité sur le forum, donc vraiment aucun rapport. je précise que je n’ai jamais causé à ce type autrement que pour discuter de liens possibles. pas d’ambiguïté, encore moins de drague.  
il faut savoir aussi, comme je l’ai dit plus tôt, qu’il s’est montré très insistant auprès d’une joueuse qui lui avait fait part de son jeune âge. il faut croire que rien ne l’arrête.
inutile d’ailleurs de préciser que des mesures ont été prises et qu’une sanction immédiate est tombée. bannissement définitif, évidemment. 
je vous demanderai à tous, s’il vous plait, de rester vigilants sur internet. ce n’est pas parce que vous partagez un rp et des échanges discord avec un joueur que vous le connaissez. aussi, divulguez le moins d’informations possibles à votre sujet et surtout, je vous recommande fortement d’éviter d’envoyer des photos exposants votre nudité à de parfaits inconnus via internet. on ne sait jamais sur qui on tombe et ce qu’ils pourraient en faire. (d’une façon générale je ne peux que vous aviser de ne jamais le faire).
j’appelle aussi à votre courage, si vous ressentez une quelconque pression de la part d’un joueur (je parle au masculin mais ça concerne tout le monde hein), si vous trouvez ses requêtes déplacées, si vous trouvez qu’il va trop loin… parlez-en à un administrateur (ou au moins à d’autres joueurs qui pourront eux, remonter l’information). j’ai conscience que parfois c’est difficile, qu’on se dit qu’on sera mal reçus (et on peut l’être, c’est vrai) mais si jamais vous êtes sur un forum et que vous n’avez pas l’impression que vous pourrez être protégé par les fondateurs et modérateurs.. sans vous dire quoi faire, je vous conseille de remettre en question votre présence sur ce rpg. 
je sais qu’en tant qu’admin, et pour l’être d’un très gros forum d’ailleurs depuis un moment, nous n’avons pas à vocation d’être juge ou flic. mais je (à titre personnel, donc, notez bien l’emploi de la première personne du singulier avant de monter sur vos grands chevaux) pars du principe que créer un forum vient avec son lot de responsabilités. je ne cherche pas à ouvrir un débat sur la nature de ces devoirs, j’imagine que chacun gère ça comme il veut. pour certains il s’agira juste de créer un univers et de laisser les joueurs se débrouiller entre eux. je ne dénonce aucun admin. ce n’est pas le but de ce post. et j’ai franchement la flemme d’ouvrir une discussion à ce sujet, vous faites bien comme vous voulez. mais je sais qu’il est important d’être entouré de personnes à qui on peut se confier si une histoire comme celle-ci nous arrive et je vous souhaite sincèrement d’être sur un forum avec une équipe qui saura être à l’écoute mais aussi, qui sera capable d’intervenir. 
malheureusement je vous rappelle aussi qu’à part bannir (ou faire des posts de prévention comme celui-ci) l’individu nous ne pouvons pas faire grand chose de plus. dans des cas comme celui-ci, sachez, qu’il est fortement recommandé d’aller voir les autorités compétentes pour en discuter. pour connaître très bien le milieu de la gendarmerie notamment, je vous assure qu’à moins de tomber sur un abruti fini (et dans ce cas allez juste dans un autre poste) il vous aidera à gérer ce cas. si vous ne trouvez pas le courage en vous de le faire, ou que vous avez tendance à minimiser ce qui vous arrive : parlez-en à votre entourage, et à autant de personnes qu’il le faudra pour qu’elles vous montrent que la situation n’a rien de normal. et qu’elles vous encouragent à faire le nécessaire.
j’ajouterai que si vous avez besoin de me contacter par messagerie privée ou sur discord; je reste à votre disponibilité pour ce cas ou un cas similaire. on fait parti de la même humanité, de la même communauté. et malgré les différences et divergences d’opinions, je serais disponible et ouverte, même si vous ne faites pas partie de mon forum. 
et enfin, je termine pour vous dire que ce post n’a aucun autre but que celui de dénoncer cet individu. j’ai pas la prétention de dire que je sais ce qui est bien/mieux, je suis personne pour vous dire ce qui l’est de ce qui ne l’est pas. j’ai ma morale, vous avez la votre. tout comme vous avez votre histoire et que j’ai la mienne. ici, je vous partage seulement un extrait de mon point de vu personnel (j’ai essayé d’être la plus neutre possible tho).
bonne journée à tous, et restez vigilants.
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mailamoon · 4 months
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Oye oye bonnes gens !
Voici ma dernière fanfiction !!!
Il s'agit d'un petit intermède tout doux, tout tendre, tout fluffy, plein de bulles et d'amour.
(vous noterez comme je me suis éclatée pour la mise en page 😁)
(c'est du tout public, un peine un bisou à la fin)
(profitez de la bulle de douceur qu'est ce texte, ma prochaine fanfic va être beaucoup plus sombre...)
English text coming soon ^^
Résumé :
"Parfois, pendant cette course effrénée au One Piece, les émotions de Zoro deviennent trop intenses. Le destin qu'il a choisit le mène sur un chemin impitoyable, exigeant de lui qu'il soit infaillible.
Alors quand Sanji est blessé dans une bataille, la culpabilité envahit Zoro, amenant avec elle tout un tas de sentiments qu'il a du mal à définir.
Sanji le rejoint dans la salle de bain pour tenter d'apaiser les émotions qui assombrissent son compagnon d'équipage."
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alexar60 · 9 months
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Repartir à zéro
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Jeanne regardait la jambe artificielle posée sur la table. Assise dans un fauteuil roulant, elle attendait que l’infirmière explique comment la porter. Pendant ce temps, Antony préparait les barres parallèles.
Cela t’aidera à avancer, dit-il tout en serrant une vis.
Le bord de la prothèse recouvrit le moignon. Aussitôt, l’infirmière se redressa avant de pousser le fauteuil. Et, une fois devant les barres, elle aida Jeanne à se relever. La jeune amputée avait une appréhension de sentir cette chose cogner contre sa cicatrice. Elle n’osait jamais toucher le bout de ce qui lui restait. La peur de réaliser qu’elle ne pourra plus jamais marcher ni courir comme avant. Toutefois, cette crispation ne dura pas longtemps.
Elle attrapa une des barres et s’installa au milieu du chemin préparé. Puis, encouragée par Antony et l’infirmière, elle s’élança. L’effort parut surhumain. Elle trainait cette jambe en carbone. Elle n’arrivait pas à la lever. Son visage devint rouge de colère mais aussi de honte.
Ne t’énerve pas. Prends ton temps et ça viendra par la suite, réagit calmement Antony.
Jeanne regarda cet homme qu’elle côtoyait depuis presqu’un an. Il était présent pour la rééducation de ses bras et son autre jambe. Il était aussi présent, même si ce n’était pas son rôle, quand elle réapprenait à parler convenablement. C’était devenu un peu son mentor, le seul homme qui montrait ouvertement de la confiance pour elle.
Dès lors, elle inspira un grand coup pour calmer son empressement. L’infirmière était partie s’occuper d’un autre patient. Plus loin, un second kiné aidait un amputé à s’assoir dans son fauteuil. Jeanne s’agrippa fortement aux barres. Puis, elle réussit à faire un pas. Toutefois, la prothèse rappa le tapis. Antony sourit et approuva cet effort d’un signe de tête.
Je sais que tu dois tout reprendre depuis le début, mais dis-toi que Rome ne s’est pas construite en un jour. Dit-il.
La séance dura une heure avant que Jeanne ne retourne dans sa chambre. Elle se sentait exténuée et resta dans le fauteuil plutôt que de retourner sur son lit. La fatigue commençait à envahir son esprit. Seulement, elle avait peur de dormir. Elle avait peur des cauchemars qui lui faisaient revivre son accident.
Elle lui avait dit de ralentir, mais il n’entendait rien. Son compagnon avait trop bu et voulait rentrer vite. L’Opel fracassa un muret de sécurité avant de s’écraser dans un fossé. Il est mort de ses blessures. Quant à Jeanne, la tôle écrasa sa jambe. Sa tête entra dans le parebrise obligeant une chirurgie reconstructive d’urgence. Elle ne voulait pas dormir. Elle ne voulait pas revivre ça.
Durant toutes les semaines suivantes, Jeanne fit des progrès et put enfin marcher en utilisant la jambe artificielle. Antony était fier d’elle. Jamais, il n’avait rencontré quelqu’un avec autant de volonté. Dès qu’elle levait cette jambe, elle riait comme un enfant qui réussissait un test. Néanmoins, cette volonté nécessitait d’énormes efforts. Aussi, elle ne marchait correctement que pendant quelques minutes. Ensuite, elle s’asseyait ou tenait fermement une des barres parallèles afin de reposer sa vraie jambe.
Je trouve aussi que tu t’exprimes bien mieux. Tu parles toujours lentement mais ta voix, les mots que tu prononces sont nettement plus clairs.
Ça va m’aider pour trouver du travail, dit-elle.
Elle était professeure de sport. Dans son état, il était compliqué de continuer. Elle envisageait de reprendre des études. Une assistante sociale l’avait orientée sur un centre pour réadaptation professionnelle. Par contre, elle n’avait pas encore trouvé son prochain métier ou sa future spécialité. Antony encouragea sa patiente à refaire au moins un aller-retour entre les barres, puis d’essayer de traverser la salle. Elle mit une vingtaine de minutes pour faire les exercices demandés. Vingt minutes pénibles mais encourageantes.
Le lendemain, Jeanne ne se présenta pas à sa rééducation. Dès lors, Antony monta dans sa chambre pour la gronder. Il détestait qu’on ne respecte pas le programme. Il frappa à la porte. Personne ne répondit. En reconnaissant le kiné, une infirmière intervint immédiatement pour ouvrir. Jeanne ne s’intéressa pas à eux. Elle était dans la salle de bain. Le jeune homme fut gêné de la découvrir entièrement nue. Elle était debout, à côté de son fauteuil. Elle se regardait à travers une glace. Elle était horrifiée par cette jambe de bois. Elle regarda Antony et l’infirmière. Ses yeux étaient rouges et humides.
Même pour ça, je dois m’habituer, affirma-t-elle.
Les deux agents hospitaliers demeurèrent silencieux. Jeanne s’appuya contre la barre de la douche et se retourna sans quitter des yeux le grand miroir. Elle caressa les cicatrices de sa mâchoire. Bien qu’ils ne fussent pratiquement pas visibles, elle les voyait toujours en premier. Ensuite, ses doigts frôlèrent le carbone froid de la prothèse.
Je ne sais pas si je me sentirais capable d’être aimée, ajouta-t-elle. Je suis devenue…
Une belle femme !
Elle dévisagea Antony pendant que l’infirmière posait un peignoir sur ses épaules. Elle proposa à Jeanne de s’assoir sur son fauteuil. Cette dernière refusa préférant le faire seule.
Tu es toujours une belle femme, confirma Antony. Seulement, tu dois apprendre à l’accepter. Tu dois tout reprendre depuis le début. Il existe de nombreuses personnes qui vivent avec des bras ou des jambes en moins, et qui sont mariés. Tu as besoin d’aide pour tout réapprendre, on est là pour ça.
Jeanne l’écoutait. En même temps, elle regardait par la fenêtre les gens se promener dans le parc de l’hôpital. Il lui était difficile d’accepter que sa vie ne sera plus jamais comme avant. Et qu’elle devait repartir à zéro. Mais ce jour-là, elle comprit aussi qu’Antoine fera tout pour qu’elle y arrive.
Alex@r60 –août 2023
Photo de Riana Lisbeth
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L'albatros and parallels in OFMD
1.4k word meta
If you haven’t read my other posts about why I’m talking about albatrosses in the first place, as well as the literary significance of referencing them, read those and come back! All of this will make the most sense if you read all of the parts I’ve written – I’ve split them up for ease of reading, because holy shit this is long.
This particular post is what I will deem as less likely to be supported by canon than the one talking about The Rime of the Ancient Mariner, but I still want to get this out because regardless of whether it’s intentional or not, L’albatros sums up a lot of what I feel Ed is thinking regarding his life and his place in the world.
For future reference, I’m writing this on 10/8/2023, so I’m only working with season 1 and the first three episodes of season 2. More than likely, extra information concerning my theories will come up when new episodes are released – I’ll see about reworking these posts then if necessary.
TWs: suicidal ideation, depression, isolation, canon-typical mental health problems
MAJOR OFMD SPOILERS THROUGH S2E03
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Just like in my post about The Rime of the Ancient Mariner, I’ll clarify that yes, this is anachronistic – this poem wasn’t published until 1859. I also don’t care: Oluwande is wearing crocs, Stede’s “corpse” is crushed by a piano whose maker won’t exist until 1863, Blackbeard’s got his whole leather-daddy getup, Zheng Yi Sao won’t be born until 1775 – OFMD plays fast and loose with historical accuracy, and I am never going to dismiss an OFMD theory because the ~timeline~ doesn’t match up.
L'albatros is a poem written by French poet Charles Baudelaire that describes the plight of the albatross – a mighty king of the sea and sky, with massive wings that dwarf other seabirds (no, for real, these things are gargantuan – its wingspan is wider than most humans are tall) – who is well suited to its environment, but only its own environment.
The poem is originally in French, and while there is an English adaptation of it, when I quote from the poem, I’ll be drawing from the original text and translating it. I think that method best captures the original intent of the word choices.
So, the poem starts out by describing a common pastime of sailors – catching albatrosses that fly alongside their ships, bringing them down onto the deck and keeping them from flying away (how exactly they do this is not made clear in the poem). The poem describes the downed birds as pitiful, clumsy, and ashamed/shameful (French: honteux). Their great big wings trail beside them as they try to walk, dragging like oars. Here are the first 2 quatrains, if you want to try to read them or translate them.
Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux de mer,
Qui suivent, indolent compagnons de voyage
Le navire glissant sur les gouffres amers.
À peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azure, maladroit et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.
The third quatrain essentially describes, from the perspective of an onlooker, how utterly stupid this bird looks. He is gauche – a word you might recognize from its English usage – which is translated as “awkward,” but I would argue that in the case of describing humans, this word also can be translated as “socially inept.” That’s important, I’ll come back to it later. The bird is veule – a word that translates directly as “weak” or “spineless.” He, who was so beautiful just a short time ago, is now comical and ugly.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique est laid !
Continuing the third stanza, the sailors poke and prod at the albatross, making fun of how he has been crippled by having landed on the deck of the ship.
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait.
The fourth and final quatrain makes a link between the author of the poem and this albatross that he observed. To me, the wording here is really what drives home the connection between Ed and the poet/the albatross, so I’m going to translate each line.
               Le Poète est semblable au Prince des nuées
               The Poet is similar to/like the Prince of the Clouds
               Qui hante la tempête et se rit de l’archer
               Who haunts the tempest and laughs at the archer/bowman
               Exilé sur le sol, au milieu des huées
               Exiled on the earth/soil/ground, in the midst of jeers/booing
               Ses ailes de géants l’empêchent de marcher.
               His giant wings keep him from walking.
Quick clarification - I’ll admit that there’s a huge assumption that I’m making in that the writers of OFMD decided to reference this specific poem in this extremely tangential way, despite the albatross here representing something entirely different than its normal meaning in literature. For the sake of argument, I’m going to assume for the rest of this post that they did do that, and that this poem exists in-universe over 100 years before it was written in real life. Ok? Ok! :D
So at this point, if you’re familiar with Our Flag Means Death, you may have guessed that the connection I’ve drawn is between the narrator of this poem (the Poet) and Ed. In my mind, at some point in his life, Ed has read this poem, and he has also heard that little factoid about albatrosses spending their entire lives away from shore (and read my first post if you need clarification on that!). And over the course of his life, and especially the past several months, he’s come to associate himself with the views he’s cultivated of the albatross – never meant to leave the sea, never meant to be a part of life on shore (“polite society”), and he would look stupid and silly if he tried. This is a view he’s held since childhood – as we see with his conversation with his mother in S1E06 –
We’re just not those kinds of people.
And it’s a view that Stede had started to put a dent into during their time together. Where Ed says he’s not a good person, Stede vehemently defends his good character. Where Calico Jack says pirates don’t have friends, Stede tells him that he’s his friend. That Ed wears fine things well, that he’s quite sophisticated. All things that Ed has never allowed himself to believe could possibly be true – until he met Stede, he never even considered that he could “land” – and for a few precious weeks, Ed believes him.
And then Stede leaves. After Ed has laid himself bare, more vulnerable than he has ever let himself be in his life, after Ed has exposed who he really is – the only person who has ever wholly accepted him leaves. And Ed is left floundering, like the mighty prince of the sky trying to walk on the deck of a ship. That fourth quatrain brings a lot of scenes from the show to mind – here are some examples.
The Prince of the Clouds, who haunts the tempest.
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The one who is exiled on the Earth.
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In the midst of jeers. (recall the use of the word “gauche”? I believe that in this case, the “socially inept” definition applies even better than the simple translation of “awkward”)
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His giant wings keep him from walking.
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The way this poem describes the plight of the albatross is nigh on exactly how Ed is supposedly seeing himself post-breakup. He just was never meant to have the kind of life that he wants; he’s extremely good at one thing, and one thing only – violence. He will never have any other life.
This is why I think Ed has read this poem – because he references the albatross as a “bird that never lands,” and in the poem, this bird just so happens to also be seen as stupid, ugly, and gauche when it is put into any situation other than what it excels at. And regardless of whether this is actually intended to be a canonical reference or even if it was completely unintentional on the part of the writers, this poem holds a special place in my heart because of how well I believe it captures Ed’s emotional situation.
So, thanks for making it this far – I’d love to hear some feedback if any of you have anything to add! As always, my inbox is open, feel free to DM if you want to do any reciprocal info/opinion-dumping about the beloved Pirate Show!!
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 104
Vendredi fin d'après-midi.
Samir arrive avec Jimmy, Ammed de son coté.
Je leur fais visiter l'appart modifié et précise aux trois que j'ai pris soin de l'insonorisation (ce qui les fait rire). Nous testons. Les gémissements simulés ne passent pas entre les deux pièces. Jimmy me dit que c'est dommage, il aurait bien aimé les entendre baiser ensemble. J'en profite pour le prévenir que de temps en temps il aura un compagnon de jeux. Ça l'intrigue.
Samir et Ammed commencent l'entretien de la maison et je discute avec Jimmy le temps que la salle de muscu soit faite. Je lui demande s'il est toujours partant pour que je m'occupe de lui. Il me répond positivement. Je lui explique que je lui ai trouvé un travail à mi-temps. Il me regarde craintif, je lui explique le taf et que je l'introduirai auprès de mon patron, ça le rassure. Je lui dis aussi que l'autre mi-temps sera consacré à la baise avec des amis qui cherche un ptit mec comme lui. Je fais miroiter sous ses yeux l'aspect financier de la chose lui annonçant un revenu total mensuel (j'ai décidé de lui laisser 50% des passes) auquel il n'avait jamais pensé hors le trafic de shit. Ce sera presque de l'argent de poche, puisque de mon coté je prends en charge toute la logistique (fringues, protection, poppers...). Il essaye de me tirer les vers du nez concernant son futur compagnon de jeux.
Je ne cède rien malgré ses caresses, pipes et autres excitations sexuelles. Je fini par ne plus tenir et je le redresse alors qu'à genoux entre mes cuisses, il me pompe avec ardeur, pour le faire asseoir sur mes " genoux ". Bien sûr ma bite en a profité pour perforer son anus et l'arrimer à moi. Nous sommes face à face et il en profite pour m'embrasser. Après m'avoir picoré les lèvres, il glisse sa langue entre mes dents et je lui prends la tête pour appuyer notre pelle. J'aime ses lèvres pulpeuses aussi bien collées aux miennes que quand elles s'arrondissent autour de ma verge.
Bien que fixés par nos bouches, il ne cesse de monter et descendre faisant coulisser ma queue dans son anus. Avec lui tout paraît si naturel et évident que je vais lui confier Charles-Edouard (le ptit bourge). Il y gagnera en aisance.
Il m'excite bien et je fini par lui jouir dedans mes mains appuyant sur ses épaules pour le planter profondément. Quand il sent que le je remplis, il s'autorise à juter. Passage aux douches et nous montons attendre Marc au salon. Nous matons quelques dessins animés japonais.
Quand Marc arrive, je vais l'accueillir. Il a croisé Samir et Ammed qui partaient au donjon. Nous nous roulons un patin et je lui dis que Jimmy est là. Nous poussons jusqu'au salon et nous trouvons notre jeune ami à poil, à genoux sur la table basse, la tête posée sur la pierre et ses bras autour. En fait " un cul ", et très bandant ce cul !
Je passe ma main sur le jeans de Marc, il bande ferme. Moi aussi d'ailleurs. Je m'installe en bout de table, relève la tête de Jimmy et lui dis de me sucer. Marc de son coté vire ses fringues rapidement et après avoir juste craché sur la rondelle offerte, l'a pénétrée. Arrivé au fond, un petit coup de rein pour être bien sûr, propulse ma bite au fond de la gorge de Jimmy. Je n'ai pas à bouger, les va et vient de Marc engendrent le mouvement de pipe. C'est trop bon. Je demande à Marc si ça va, il me répond qu'il s'est ouvert comme une fleur mais qu'il sent bien et l'anneau et le boyau. Je suce deux de mes doigts (majeur et indexe) et viens les faire coulisser au coté du sexe de Marc. Ça marche, Jimmy accepte la dilatation supplémentaire. Quand je les retire, son anus se referme et serre de nouveau la hampe de Marc.
Entre le spectacle et les stimulations buccales sur mon gland, je ne tiens plus et jute dans la bouche de Jimmy qui avale consciencieusement. Marc me suit de près et dose son cul.
Il nous remercie pour cet accueil. Nous nous embrassons passionnément sous les yeux de Jimmy.
Nous le confions à Samir quand il vient nous prévenir qu'ils ont fini pour aujourd'hui. Je leur précise juste que si ils font quelque chose avec Jimmy c'est kpote obligatoire, la baise sans nous étant réservée à Marc et moi.
Le samedi après mon cours au père de Jean (et son niquage), je continue avec Jimmy dès mon retour. Assouplissement exclusivement, le fond est là, naturellement il arrive à prendre des positions extrêmes, mais je souhaite qu'il arrive au grand écart facial (il ne lui manque pas grand-chose) et qu'il approfondisse ses auto-fellations. ;Nous y passons une bonne heure et demie mais il progresse et le grand écart sera à sa portée rapidement.
Marc nous rejoint en nous annonçant qu'Eric viendra ce soir après ses cours nous aider à formater Jimmy. Nous passons une partie de l'après midi dans l'eau. Ça va entretenir la résistance de Jimmy sans le muscler outre mesure.
Quand j'entends la moto d'Eric, j'envoie Jimmy le recevoir et le suit pour voir comment il s'y prend (il ne porte sur lui qu'un des maillots de bain que je lui ai acheté).
Il lui ouvre la porte. Eric surpris se laisse faire. Après lui avoir pris le casque des mains et l'avoir posé sur la console de l'entrée, il dézippe la combi en cuir jusqu'en bas laissant surgir le paquet d'Eric encore contenu par le tissu du shorty. Il s'agenouille devant et lèche la bite par-dessus cette barrière. Il l'a mouille de salive et je peux voir les mailles coller au sexe d'Eric comme une deuxième peau.
Sans un mot, il tire l'élastique sous les couilles laissant se déployer la batte de base- ball black. Il commence par jouer avec le gland, léchant sa surface, le râpant de sa langue, glissant cette dernière sous la couronne, buttant sur le frein. Ça marche comme cela jusqu'à ce qu'Eric trop sensibilisé, lui enfonce sa bite d'un coup. Après un court moment d'appréhension (de ma part), je vois Jimmy accepter sans chichi l'envahissement violent de sa gorge. Eric lui ramone deux trois fois ses amygdales, sort totalement de la bouche vorace qui l'excite et remballe le matériel (avec difficulté il le place vers sa hanche gauche). Je m'approche alors pour l'aider à retirer sa combi. Il me dit que le " petit " a bien progressé et que je vais pouvoir rapidement l'utiliser. Je suis d'accord avec lui.
Nous entrons tous les trois au salon ou Marc à préparer l'apéro. Quand il voit la barre horizontale dans le shorty d'Eric, il lui demande si ça va. Réponse : difficile d'aller mieux. Eric se cale dans un canapé et Jimmy reprend les choses là ou ils les avaient laissées. A genoux entre les cuisses d'Eric, il se remet à le sucer. Marc sert un whisky à Eric et en lui passant le verre appui sur la tête de Jimmy pour voir si il était bien planté à fond. Il revient s'assoir à mes cotés. Ses jeans sont bien déformés et sa main sur ma nuque, après m'avoir rouler un patin, il pousse ma tête vers vers ses cuisses. Ma bouche s'crase sur la toile tendue. Je lui défais ceinture et boutons pour accéder au trésor caché. Excité par les " slurp, slurp " venant d'à coté, je tire l'élastique pour laisser la place à la bête de se déployer. Miamm je l'adore et je me jette dessus. Marc n'a plus besoin de me guider. Je lèche, suce, pompe. Elle est trop bonne sa queue. Il me l'enfonce bien dans ma gorge et je dégluti à coups rapide pour lui masser le gland, je sais qu'il adore ça.
Eric me demande s'il peut l'enculer. Je lui bien sûr sous Kpote. Il le pose, l dos sur la pierre froide de la table basse et protégé, graissé, il s'enfile en lui. Je regarde bien le visage de Jimmy. Ce dernier ne laisse paraitre que plaisir, aucunes crispations involontaires dues à la pénétration d'un tel sexe dans son cul. Un phénomène mon ptit beur ! Je m'approche et lui donne ma bite à sucer. Sans problème il me la bouffe jusqu'à l'os. Je me penche pour dégager mon cul et Marc vient s'y planter. Trop bon !!
Nous baisons jusqu'à ce qu'Eric sorte en urgence du cul de Jimmy, dkpote et arrose ce dernier de sperme. La pression était telle que j'en ai reçu sur mes propres abdos. Entre les stimulations buccales et le ramonage de mon cul par mon mec, à mon tour j'ai juté, direct dans l'estomac de Jimmy. Les spasmes de mon anus ont eu raison de Marc et je l'ai senti me doser4 ou 5 fois.
Au retour des douches, nous avons trouvé le dîner prêt, Ammed au service. Quand Marc a fait la remarque à Samir que ce n'était pas dans le deal, ils ont répondus en coeur que c'était pour leur plaisir.
Pour la soirée, nous allons au donjon. Après que nous l'ayons tous enculé l'un après l'autre en taille croissante (moi, Marc puis Eric), je l'ai fait chevaucher notre selle spéciale agrémenté de notre plus gros gode (le 28 x 7). Debout sur les étriers, la rondelle et le gode couvert de graisse, il s'est assis dessus à mon commandement. Tous les trois autour nous n'avions d'yeux que pour sa rondelle martyrisée. En fait nous l'avons vue se déplisser et s'ouvrir pour avaler le monstre jusqu'à ce que ses fesses se posent sur le cuir. Superbe spectacle. Eric me dit qu'il était prêt pour mes clients, vu la facilité avec laquelle il s'était enfoncé ce monstre dans le cul. Marc et convint et j'ai acquiescé.
Nous l'avons laissé faire quelques va et vient avant qu'Eric le soulève et les jambes un peu écartées, l'enfile sur sa propre bite. Automatiquement les jambes de Jimmy sont venues ceinturer la taille de son enculeur. Vu le faible poids de Jimmy et la force d'Eric, ils gardent la position quelques instants.
Quand Eric se couche sur un tatami, Jimmy place ces genoux de part et d'autre de la taille d'Eric pour continuer à se faire enculer. Je m'approche et glisse deux doigts le long de la bite d'Eric, ça rentre. Je m'agenouille et pose mon gland sous la couronne de celui d'Eric lors d'un " va " et profite du " vient " pour pénétrer Jimmy. Son anus s'ouvre sous notre poussée commune et il nous accepte tous les deux. L'anneau serre bien l'ensemble de nos deux bites. µJimmy souffle un peu mais reste tout sourire. Je lui demande s'il a mal, il me répond que c'est juste étrange comme sensation. Mes frottements contre la bite d'Eric, le fait exploser dans sa kpote. Je bascule en arrière entrainant avec moi Jimmy pour dégager et déculer Eric.
Marc prend place et nous reprenons nos positions. Marc dos sur le tatami, Jimmy à cheval planté sur les 22cm de bite et moi derrière à ajouter mes 20cm dans son cul.
Nous le laissons gérer. De lui-même il se lime sur nos bites réunies. Marc lui fait sucer deux doigts, il fait cela façon très salope ! Nous ne tenons bientôt plus et Marc et moi lui larguons nos réserves de foutre dans le boyau.
Je m'écroule sur son dos et Marc porte tout le poids. Naturellement nous sortons de son intimité. Son anus suit notre " débandade " et se referme juste nos glands sortis.
Douches, puis je le conduis à sa nouvelle chambre. Samir est en train d'enculer Ammed dans le séjour. Ils s'excusent. Mais je leur dis qe c'est moi qui suis entré chez eux sans prévenir, donc y'a pas de problème et en plus ils sont très beaux à voir ! Je pousse Jimmy jusqu'à sa chambre et lui dis de laisser son tonton tranquille. En repassant dans le salon, je ne peux m'en pécher de caresser le dos de Samir qui commence à se couvrir de sueur. Il tourne la tête vers moi et me propose de rester avec eux quelques instants. Je lui fais un bisou sur les lèvres, le remercie mais ne m'attarde pas.
Quand je rejoins Marc, je lui raconte. Il me demande pourquoi je ne suis pas resté. Je lui dis que pour aujourd'hui les autres ça suffisait, je voulais juste rester collé à lui toute la nuit !
JARDINIER
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from-derry · 3 months
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Isidro - Responsable de la maison commune - 63 ans
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Derrière ses airs affables et calmes, Isidro cache une personnalité rigide et ferme. Il dirige la maison commune, pourtant teinte d’une indéniable philosophie hédoniste. Et c’est bien ce qui représente toutes les facettes de sa personnalité, la communauté qu’il guide est façonnée à son image.
Isidro est né en Espagne, où il vit une dizaine d’années comme architecte de renom. Il profite alors de la vie en toute liberté et sans aucune limite: il a de l’argent à foison et affronte peu de difficultés. Il rencontre à l’occasion d’un gala de charité celui qui deviendra son compagnon de vie, Frank. Gestionnaire d’un fond caritatif américain, Frank était l’organisateur du gala.
D’abord amants d’une nuit, ils passent la semaine ensemble, celles d’après au téléphone presque tous les jours et Isidro décide de finalement le rejoindre aux Etats-Unis, alors tout juste âgé de 36 ans.
Ils sont arrivés à Derry il y’a 20 ans. En vacances, ils décident de camper dans les environs de la ville et au moment de reprendre la route, réalisent qu’ils sont coincés dans les bois où ils ont passé la nuit. Isidro n’explique toujours pas la chance folle qu’ils ont eu ce jour-là de ne pas croiser de créatures - peut-être n’étaient-ils pas encore passés dans Derry la nuit venue. Car s’il se souvient bien, Frank l’a quitté quelques instants le temps de trouver un coin d’aisance. Comme il ne revenait pas, Isidro est parti à sa rencontre et ils n’ont jamais retrouvés ni leur ne tente ni leur voiture, pourtant quelques mètres derrière eux, ils l’auraient juré. Perdus dans les bois, affolés, déshydratés, ils ont trouvé les abords d’une vieille et imposante maison coloniale étrangement vide mais en bon état. Frank décédera cette nuit-là, attiré à l’extérieur par d’étranges voix amicales émanant du porche.
Isidro est encore hanté par les cris de douleur qu’il a entendus dans la nuit et l’image de la dépouille exsangue découverte le lendemain. Il a été découvert par quelques habitants de Derry et a vécu un temps dans le centre-bourg. Frôlant un alcoolisme sévère, il manque de sombrer définitivement.
Il reprend sa vie en main, aidé par l'écoute attentive et l'amitié de membres de la communauté. Isidro investit l’immense maison pour la retaper et invite quiconque veut vivre avec lui à le rejoindre. Dans la maison, on vit et profite comme si demain ne viendra jamais, dans la maison tout est permis tant que ça ne met pas en danger la vie des autres. Quiconque enfreint ces règles sera invité à quitter la maison. Au fil du temps, il agrège malgré lui une communauté parallèle au centre-bourg, liée tant par les relations entre les deux groupes que par le besoin d’échanger les vivres et les biens pour maintenir l’équilibre général. S’il reconnaît l’autorité de Beck, elle ne vient presque jamais à la maison et lui ne descend que rarement en ville.
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perduedansmatete · 5 months
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j'ai perdu le compte des jours mais finalement le deuxième soir où on voulait sortir on a fini par rester manger chez la mère d'elyas, on n'arrivait pas à partir car ses petites sœurs ne voulaient pas nous lâcher et c'était une super soirée, elles m'ont demandé plusieurs fois quand est-ce que je revenais, il y avait des chats, une quiche à la butternut et encore des cadeaux même pour moi, la plus petite sœur m'a fait un bracelet et c'est d'ailleurs à cause de ça qu'on n'a pas pu aller dans le salon pendant une heure, elle finissait tous ses petits cadeaux, on a joué à un jeu de société jusqu'à tard en entendant au loin radiohead et je sais plus quel groupe d'un des deux gars des black keys, le beau-père d'elyas s'entendrait très bien avec le mien, en fait toute la famille d'elyas s'entendrait bien avec la mienne il faut vraiment qu'on organise le retour de ma grand-mère en alsace en emmenant peut-être mon père aussi avec nous, enfin bref du coup pas de romain de strasbourg ce soir-ci j'étais un peu triste mais hier on a couru partout pour chercher les cadeaux du père noël surprise et donc j'ai passé l'après-midi à paniquer moi aussi pour lui trouver un cadeau, comme c'est vraiment une vieille personne dans sa tête elyas m'a dit que ce qui lui ferait très plaisir c'est une écharpe toute douce donc on a écumé tous les magasins du coin pour trouver la plus douce et spoiler il l'a adoré, il m'a offert une grosse boite avec plein de petits cadeaux j'étais aux anges, puis la soirée était super je me sens vraiment bien à strasbourg et avec tous ces copains, j'ai limite envie de rater mon train retour, ce qu'on m'a proposé pour passer le nouvel an ici, on a joué à des jeux encore une fois et moi je voulais toujours faire des bisous à romain mais je n'ai pas pu car encore une fois comme c'est une vieille personne il s'est couché vers deux heures, sauf que ce qu'il n'a peut-être pas vu c'est que j'avais caché un des petits canards qu'il m'a offert sous son oreiller, nous on est rentrés tard sous la pluie en marchant avec un ami compagnon du devoir que j'adore lui aussi, et je me suis réveillée tôt à cause des enfants du dessus qui crient à la mort comme chaque matin, j'ai essayé de travailler sans succès en attendant que ma soeur et elyas se réveillent car on avait dit que pour ma dernière journée on se baladait et on se faisait un resto mais il est midi et ils dorment toujours, je suis donc coincée à les attendre avant d'aller ensuite à nouveau dîner chez le père d'elyas puis de voir romain et la clique dans sa coloc et de faire nuit blanche car mon train est tôt demain matin
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