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#danse du soleil
lesparaversdemillina · 3 months
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La danse du soleil et de la lune T5 de Daruma MATSUURA
Entre révélations intrigantes et secrets déconcertants, suivez Konosuke dans une quête poignante. Plongez-vous dans ce récit envoûtant, où chaque page révèle un nouveau mystère. #LectureAddictive #MystèreRévélé #AventureInoubliable
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songedunenuitdete · 2 years
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La danse du Soleil et de la Lune T03 de Daruma Matsuura
🍁J'ai lu le #manga La danse du Soleil et de la Lune T03 de Daruma Matsuura - @ki_oon_Editions 🪷Entre les dessins très expressifs, la mise en pages, l’encrage et le tournant que prend le récit, j’ai vraiment passé un bon moment avec ce nouveau tome. ⤵️
Mon avis : Dans cette suite, nous retrouvons Aki et notre héros, Konosuke qui se retrouve bien mal en point dans une situation des plus périlleuses pour eux deux. La jeune prêtresse aveugle toutefois est bien décidée à aider Konosuke à retrouver sa femme Tsuki qui lui a été enlevée. L’occasion pour nous, lecteur.ice. s de découvrir également de nouveaux personnages dont une femme aux pouvoirs…
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coovieilledentelle · 14 days
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Sous les jupes des filles.
« Il ya le soleil qui brille quand elles dansent Et puis la lune aussi emparée de dentelle, Ronde et lisse et fendue, globes de chaise denses Voilés de fin tissu, délices en ribambelle.
Il y a un ravin nacré, vertigineux, où les mâles glissent toujours veulent leurs doigts.
Il y a l'interdit qui fleure bon l'iode quand elles marchent accolées à leur amie de jeux.
Et dans les yeux des filles il y a des prairies, des fleurs en balancelles et du miel en tartine.
Elles ont dedans leur gorge des roucoulis d'oiseaux et sur leurs lèvres ourlées, posées comme au pinceau, le sang de lourds pavots fauchés en plein essor par leurs dents de souris pointues et affutées.
Y a dans le corps des hommes qui croisent ces donzelles, des envies d'empaumer de mordre et d'avaler. Des envols dans les reins, des poinçons qui se dressent et des regards de feux qui voudraient allumer.
Et il en est ainsi dans tous les coins du monde de cette danse folle qui fait tourner les têtes. C'est un charivari, une vraie farandole.
Et il en est ainsi c'est le jeu de la vie. »
Lyslotte. Pseudo d'écrivaine : RoseLys DesDunes
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Et puis, un jour, elle fit ce qu’elle aurait dû faire, depuis toujours, depuis le premier jour.
Elle commença à choisir ce qui était bon pour elle, au lieu de se précipiter sur tout ce qui n’était absolument pas pour elle.
Elle écouta sa logique et sa cohérente raison au lieu de discuter des heures avec sa seule intuition. Ou son aveugle passion.
Elle fit l’effort de se reculer pour mieux voir et observer la personne désirée.
Elle mesura les sentiments de l’autre au lieu d’être obsédée par les siens et de les chérir, en son sein.
Elle osa donner moins, voire plus rien. Elle osa même retirer sa main.
Elle se tut devant les silences, elle disparut face aux absences.
Elle ne fit plus l’immense effort de parler pour que ses mots réparent la réalité malmenée.
Elle accepta les vides et les pots cassés.
Elle cessa de se battre pour l’amour, sans insister pour comprendre les silences ou les étranges mots du jour.
Elle cessa de courir après ceux et celles qui ne se manifestaient pas, ne répondaient pas, n’appelaient pas, ne donnaient pas, ne croyaient pas, ne venaient pas, ne voyaient pas, ne voulaient pas, ne faisaient pas confiance, de ceux qui n’étaient pas présents au présent.
Elle cessa de se détruire pour prendre la lune avec ses dents ou décocher le soleil pour ceux qui ne traversaient ni la rue ni la porte. Et que le vent les emporte !
Elle ne s’intéressa plus au vide des cœurs, ni aux désirs sans consistance des gens qui n’entrent jamais dans la danse.
Elle commença à se trouver belle d’être elle, à être fière de ses cicatrices ou de sa crinière.
Elle commença à s’aimer.
Elle commença à aimer ceux qui savaient aussi l’aimer.
Et ça, ça, c’était nouveau.
Nouveau et beau.
Martine SDY BENZAQUEN
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lisaalmeida · 2 months
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Chaque geste de notre vie peut devenir bonheur
L'avez-vous déjà remarqué, nous sommes toujours
En attente du résultat d'un acte, d'un événement,
projetés vers l'avenir, les yeux rivés sur l'aboutissement,
sur l'arrivée,
En attente d'autre chose, de quelqu'un d'autre,
de mieux, d'ailleurs...
J'escalade la montagne en ne songeant
qu'à ce que je verrai du sommet.
Je me dépêche de lire le livre pour en savoir plus,
pour connaître la suite,
Toujours la suite, toujours plus avant.
Je pose la question :
"Comment est-ce que ça se termine ?"
J'attends le train, je ne vis pas.
Je suis tendue vers l'arrivée du train,
le cou tendu vers le tournant où il va apparaître.
"Il arrive ? Il arrive ?
" Et bien sûr, une fois dans le train,
je n'ai qu'une hâte : arriver !
Au travail, j'attends la pause,
la fin fin de la journée,
le week-end, les vacances, la retraite...
Quand j'aurai rencontré l'âme-soeur...",
"Quand les enfants seront grands", "
Ah, si j'étais libre",
"Quand j'aurai de l'argent", "
"Quand j'aurai déménagé", "
"Quand j'habiterai à la campagne",
"Quand j'aurai le temps...",
Ou alors, c'est
"Ah, si j'avais su...",
"Avant c'était mieux !",
"Ah, quand il/elle était là !".
Et finalement, je ne vis pas et les années passent. Le compte à rebours a commencé et je ne savoure toujours pas la vie précieuse qui m'est offerte à chaque seconde, la douceur de l'air dans mes poumons, sur mon visage, les yeux de l'inconnu(e) qui me croise, la colline si vivante devant moi, la danse des nuages, un après-midi de repos, la chaleur de ma couverture, un toit sur ma tête, les clins d'oeil du soleil...
Hier en faisant le ménage, j'ai pris conscience pour la première fois que j'mais faire le ménage
Et chaque acte est devenu un véritable plaisir :
laver les vitres, jeter de vieux journaux, de vieux livres, faire le vide...
Chaque geste de notre vie est/peut/va devenir bonheur, Chaque instant, chaque seconde (ou presque !),
ne serait-ce que respirer...
Alex, L'Âme et le Coeur
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Vivre, vivre plus, juste vivre plus...
S'éveiller lentement lorsque la ville dort, toucher le "vivre" des premières lueurs du jour, du bout des yeux, du bout de l'âme...
Savourer l'instant, voyager et puis sourire...
Un matin, un simple matin, un matin de plus...
M'émerveiller lorsque la terre épouse ma peau, que la mer danse et que le soleil me rappelle à quel point c'est un cadeau d'être et de vivre, vivre plus, juste vivre plus...
#au-jardin-de-mon-coeur
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Dans le patelin paumé de Trifouillis-les-Oies, l'Auto-École Buissonnière, ancienne gloire de ce vieux briscard de Dubonnet, se la joue maintenant belle au bois dormant sous un soleil qui s’en tamponne, rideaux tirés sur des souvenirs de crémaillères. À l'heure où même les coqs ont la flemme de chanter, un sac poubelle, seul comme un verre de pastis plein dans une réunion des Alcooliques Anonymes, se met à causer du bon vieux temps avec l'enseigne qui a vu plus de départs ratés que la ligne 13. « Eh, le panneau, tu te souviens du temps où les bleus venaient s'essayer à la danse des pédales ? » susurre le sac poubelle d'un ton goguenard. « Ouais, » répond l'enseigne d'une voix craquelée comme un vieux disque, « ils étaient aussi habiles qu'un manchot au crochet. Une vraie fanfare de pieds gauches ! » Soudain, une passante, Madame Michu, s'arrête devant la vitrine, intriguée par le panneau « À louer ». Elle s'adresse à son bichon frisé : « Tu te rends compte, Froufrou, si j'ouvrais ici ma boutique de tricot ? » Elle est comme ça Mme Michu, toujours à tricoter des plans sur la comète. Froufrou, indifférent aux ambitions commerciales de sa maîtresse, se contente de lever la patte vers le sac poubelle, offrant son commentaire acerbe sur la situation. Et c'est ainsi que chaque jour, la petite école de conduite attend son prochain chapitre aux côtés d’un sac poubelle bavard, pendant que Froufrou, philosophe canin, continue de marquer son territoire.
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angefemelle · 2 years
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Danse avec moi jusqu’au lever du soleil, ma chérie.
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leparfumdesreves · 9 months
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"Il y a le soleil qui délire et qui danse Au-dessus du jardin pétillant de couleurs Il y a le soleil qui fait valser les fleurs Et chanter les oiseaux subitement en transes.
Il y a la lumière inondant la campagne, Submergeant sous son or les blés blonds ondoyants Il y a le grand ciel transparent comme du verre et flamboyant teintant d’un bleu foncé la mer jusqu’en Espagne.
Il y a la garrigue odorante et trop sèche Dont la beauté fanée exhale des senteurs De lavande et de thym
Il y a la moiteur Des corps qui ont trop chaud, La peau devenue rêche.
Sous les rayons d’acier d’un soleil implacable Et il y a la plage et son sable en fusion La mer qui s’évapore en presque ébullition Dans l’énorme chaleur d’un été qui accable Et qui rend fou le Monde au bord de l’explosion.
Oh ! Puisse-t-il renaître en une autre éclosion…"
Vette de Fonclare "Délire d'Été"
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licoeur · 19 days
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Le bruit du vent me rappelle le feu
Tu te tiens en flammes à mes côtés
Paisible et la musique danse
Autour de nous soleil et transe
Mais je ne vois rien que le diable
Qui lèche ta langue
Tu me tends une cigarette
Je me brûle et pourtant
Je fume encore sous les nuages d'été
Une dernière fois je prie
Pour quelques fragments oscillants
Entre l'horreur et l'ultime
L'ultime foi qu'un instant
On a pu s'aimer sans hurlements
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Bilan Livresque de Mars 2023
Mon rythme de lecture a été franchement ralenti par une lecture, même si je continue de lire pas mal de roman graphique. Je reste très contente de ce bilan.
Cher(e) voyageur(e), Mon rythme de lecture a été franchement ralenti par une lecture, même si je continue de lire pas mal de roman graphique. Je reste très contente de ce bilan. MoisMars 2022Mars 2023Nombre de pages24212462Nombre de livres68Nombre de livres audios03Nombre de Mangas et BD913 Motus et Coeurs cousus de Léa Volène Alors, si je m’attendais à ça. Les personnages vous prennent à la…
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mailamoon · 3 months
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Et voici enfin le quatrième chapitre de Battu par la tempête !
Je rappelles que c'est du angst (ne vous attendez pas à ce que tout se passe bien -le chapitre précédent était un petit intermède de douceur)
Le sel brûlant des embruns
Résumé :
Sanji laissa son esprit dériver vers All Blue et songea aux splendeurs qu’il comptait y trouver. Dans son esprit, il imaginait l’onde marine caresser des écailles brillantes de toutes les couleurs. Il voyait les nageoires se frôler tandis que les innombrables espèces de poissons différentes avançaient gracieusement dans l’eau cristalline, leurs corps ondulant sous le scintillement du soleil. Il se représenta leur ballet harmonieux, leur danse gracile et hypnotique. Un sourire s’esquissa furtivement sur ses lèvres, évanouit avant même de s’épanouir. Sous ce ballet enchanteur, il voyait les profondeurs glacées. Elles avaient le goût de la mort.
Au cœur de la nuit, Zoro et Sanji retournent au Sunny. Tout se passera bien maintenant. Tout se passera bien.
(Je tiens à vous rassurez tout de suite, un épilogue est déjà en cours d'écriture)
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magdalena-mojennarmor · 4 months
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Notre époque a pu bénéficier d'une créature dont ni Baudelaire, ni Nerval n'auraient pu rêver. Sous les éclaboussures de lumière, elle était offerte comme un dernier soleil, livrée à la dérive d'une scène, en laquelle se jetaient mille regards grouillants. Ses accoutrements étaient sans commune mesure: coiffure gigantesque, corset étroit d'où battait sa pulpe jaillissante, tout était maintenance fébrile de cette force instable. Les bonhommes noirs offraient leur chœur velouté, leur danse chaloupée afin que s'y reposent les élans de sa voix, mortels et grandioses. Elle avait su inventer, du sein inerte de la terre, des nouvelles misères, des misères vierges et sauves. C'est elles qui rendaient sa voix suave et grondante comme les éveils irrités de la mer.
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poacherspride1 · 1 month
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Dans les méandres du temps, où s'épanouissent les rêves,
Se tisse une histoire, où l'amour se lève.
Entre les lignes du destin, sur le livre de nos vies,
S'écrivent en secret nos plus tendres envies.
Dans le doux murmure du vent et le chant des étoiles,
Se dessine ton visage, mon éternelle toile.
Tes yeux comme des éclats de lune dans la nuit,
Éclairent mon chemin, me guidant sans bruit.
Sous le ciel étoilé, nos cœurs s'entrelacent,
Dans une danse infinie où chaque étreinte efface
Les douleurs du passé, les peines envolées,
Ne laissant que l'éclat de notre amour scellé.
Sur les ailes du désir, nous voguons à l'horizon,
Explorant ensemble chaque recoin, chaque frisson.
Nos souffles se mêlent dans une symphonie divine,
Où se perdre est un délice, où chaque instant illumine.
Oh toi, mon amour, mon doux rayon de soleil,
Dans tes bras, je trouve refuge, je m'éveille.
À travers les saisons, je te promets mon cœur,
Dans un élan éternel, dans un amour en fleur.
Que nos âmes s'unissent, que nos destins s'entrelacent,
Dans un éternel serment, où rien ne s'efface.
Car dans l'océan de nos émotions, je trouve ma raison,
Dans l'écho de ton amour, je trouve ma passion.
Min-zhen je vais t'attraper
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lisaalmeida · 6 months
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L’air est frais, le fond de l’air humide, le « fond de l’air » : étrange expression…
C’est un matin sans soleil et d’une grande clarté, avec des nuages pâles et immobiles, pâles et immobiles comme moi probablement.
J’ai dans la tête un champ de fleurs où tu m’avais conduite, je n’en avais jamais vu de tel. Nous nous sommes arrêtés, nous avons contemplé le cadeau, inespéré, éphémère, radieux comme toi probablement.
J’ai dans la tête une forêt clairsemée, sur les hauteurs d’un plateau venté. Des troncs noirs et nus, comme calcinés, dressés dans un bout d’immensité. Nous avons marché, côte à côte, dans un silence recueilli et attentif, comme moi probablement.
J’ai dans la tête une route qui défile au milieu des bois et des prés, de temps en temps une buse s’envole et croise notre trajectoire, c’est à qui la montrera à l’autre. On suit son vol ample, majestueux et solitaire, comme toi probablement.
J’ai dans la tête une barque qui grince, un fleuve calme et profond, un air humide et frais, les rames plongent et remontent, le clapotis est doux, léger et limpide, comme moi probablement.
J’ai dans la tête une danse à tes côtés, nous sommes légers, l’air nous porte, nous élève, nous croisons les oiseaux, nous avançons sans effort, juste un peu moins vite qu’eux, ils restent à distance mais ils ne s’effarouchent pas, le haut air sent vif comme une terre lavée par la pluie et il est accueillant, tu poses ta main dans mon dos et tu m’apprends à voler.
Le poids de la brindille,
Extrait du récit "QUARANTE JOURS"
Carole Dailly.
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acrazybayernfan · 7 months
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Mick/Charles please? I miss them 🥲
(You can write it in French if you want haha 😂 but anyway I’ll never judge you for mistakes in English since I’m the first one to do them)
Thank you my dear what a nice request ! So here we go, I hope you will like it because it's a bit special (🤦🏻‍♀️)
Au château du Baron Rouge, vivaient deux gentils princes, l’un blond comme les blés, l’autre brun comme le soir, l’un aux yeux bleus, l’autre aux yeux verts, l’un est l’héritier et l’autre le prédestiné, l’un est le fils du baron et l’autre son protégé. Ils grandirent tous les deux ensembles la tête emplie des mêmes rêves, des rêves de petits de garçons, des rêves de victoires, des rêves de gloire. Puis le temps vint pour eux de quitter le vieux château et d’aller faire leurs armes auprès d’un ami du baron. 
Pendant deux ans messire Sebastian va leur apprit tout ce qu’il leur fallait savoir. 
Charles s’avéra à même de savoir tout faire d’instinct, que soit pour le maniement des armes, des chevaux, la musique ou la danse ; il excellait en tout et pour tout. Mick, plus jeune, le regardait faire émerveiller, lui auquel il fallait, en comparaison, tant de temps pour assimiler les nouvelles choses qu’on lui enseignait. Tout autre que lui aurait été jaloux de cet étranger dont le talent semblait éclipser le sien mais Mick avait le cœur trop généreux pour cela et cette âme d’or ne pouvait renfermer aucune amertume, ni aucune jalousie. Après son père et Sebastian, Charles était la personne au monde pour laquelle il avait le plus d’admiration. 
Charles fut le premier à être fait chevalier et debout dans l’église où avait lieu la cérémonie Mick suivait des yeux son ami descendant l’allé centrale éclairée par le soleil couchant qui faisait rutiler son armure en pensant que les anges devaient briller d’une pareille lumière. Le jeune chevalier monta sur son cheval, un magnifique étalon noir que lui avait offert Sebastian, qu’il fit se cabrer, imitant l’image qui se trouvait sur son écu : un cheval noir cabré sur fond de grenat. 
On se réjouit des heureux évènements de cet journée durant un banquet qui se prolongea fort avant dans la nuit. Puis au petit jours Charles se leva, revêtit son armure et fit amener son cheval. Mick n’avait pas osé s’endormir de peur que son compagnon ne parte sans qu’il ait pu lui dire au revoir, et blottit dans sa chambre il guettait le moindre bruit, prêt à s’élancer au moindre signal. Lorsqu’il entendit les pas lourds d’un homme en arme résonner dans l’escalier de la tour où ils logeaient, il se précipita hors de sa chambre juste à temps pour saisir son ami dans ses bras au moment où il arrivait devant sa porte. Charles lâcha un petit amusé en voyant ainsi son jeune camarade se jeter sur lui. Il laissât Mick l’éteindre pendant plusieurs secondes puis doucement il éloigna le corps encore frêle de son ami. Leurs regards se croisèrent et c’est alors qu’il vit que les yeux couleurs d’azur de Mick pleins de larmes. Charles sourit tristement puis il vient passer une main affectueuse dans les cheveux d’or de son compagnon de toujours. Il dit la première bêtise qui lui passa par la tête afin de réconforter le jeune garçon et ayant enfin obtenu de lui un sourire, il se détacha délicatement de Mick et poursuivit sa route. 
Le fils du baron le suivit en silence, il regarda Charles mettre ses gants, monter à cheval, saisir sa lance et son bouclier puis il s’approcha du bel étalon et se collant contre son encolure il lui recommanda de prendre bien soin de son cavalier. Après quoi il se tourna vers Charles et accrochant à sa selle un mouchoir de brocard rouge qu’il avait hérité de sa mère il dit : « Beau doux sire, que la sainte image brodée sur ce mouchoir vous protège et vous garde, et puisse-t-elle vous rappeler celui qui attendra votre retour avec plus d’ardeur encore que les fleurs attendent le retour du printemps. »
Quelques instants plus tard Charles était parti, parti à la quête d’aventure, parti à la quête de gloire afin d’honorer le nom de la grande maison des Ferrari dont il était devenu la grande espérance, il partit en attendant que quelques années plus tard Mick en face de même, pousser lui par le désir de conserver la gloire qui entourait le nom de son père. 
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