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[miyabi-wedding]

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[anglicismes-francais-docnl]

Bien que l'anglicisme

le rush 👎

soit d'un usage courant, n'hésitons jamais à utiliser d'autres tournures ou termes équivalents bien français :

la ruée 👍

l'afflux de personnes 👍

le déferlement de personnes 👍

le flot de personnes 👍

la marée humaine 👍

la vague humaine 👍

la déferlante humaine 👍.

👉 Pinterest : ruée / rush

18-08-2022

#ruée #rush #afflux #déferlement #flot #anglicismes #globish #franglais #anglophilie #français #french #french language #langue française #mots français #french words #termes français #vocabulaire français #french vocabulary #french vocab #anglais #english #frenchblr #french langblr #french stuff #french learning #learn french #language learning #anglicisms #langues #english language

[randomnameless]

Honestly, if people are going to wring their hands over the idea of nobility maybe Fire Emblem isn't the franchise for them

FE is a series were you whack people with swords and axes - there's usually a "traditionnal" story of a prince/lord being chased out of their home and they must recruit allies to return home, with, sometimes, secret dragons popping up.

I think some people might want to play a game that is all about setting up a government - but yeah, that's not FE.

I think there was a post circulating some months ago about how some people took wrong messages from games/animes and used the Sailor Moon example : Usagi is sekrit royalty, but no, Sailor Moon isn't a "pro-monarchy" series or saying "feudalism" (because that's the trendy word nowadays?) is better than every other system. It's a series about magical girls, talking cats and some sort of weird time travel shenanigans.

ASOIAF, rather, GOT's recent popularity might have a hand in this phenomenon, iirc Martin once said something about LotR not dwelving that much in Aragorn's tax policies ? But, that's not what LotR is about ? This isn't a story about absolute monarchies or which form of government is the best!

Anyways, it's just like some people early in the FE16's life who were discoursing like ardent r/atheists redshiters - sure, legit! However, afaik, a lot of "fantasy"/JRPG games/medias often involve a healer or a character who prays to get buffs etc etc. In all FEs, there's always a priest who prays to heal people - FE Elibe we have Elimine, FE Tellius we have Ashera, FE Valentia Silque often mentions Mila, FE Magvel's local saint is Latona but Natasha "prays", etc etc. Sure, Fe Fodlan tried to flesh the "religious" aspect a bit more, but if nobility and the sheer idea of "people praying to a higher being to be healed" is not for you, then you won't enjoy the saga.

#anon #replies #fandom woes #to be honest i think this shitstorm is also caused by the afflux of twatter users? or just a rise in fandom extremism lol #I like Marth doesn't mean I love monarchy and think democracy sucks irl #it's just : i like marth #the bunch of pixels #that's it #but some people can't understand it apparently? #I like ASOIAF but LotR has a different message and story #Brienne's no chances and no choices was so awesome #but i guess only when the series will be complete we will be able to judge the saga in its entirety #Too bad I didn't save that Usagi post

[orageusealizarine]

ferme les yeux au moment de… - je veille, je veux rester lucide, plissée, lisant tant bien que mal à ton corps les sursauts et les plénitudes, je me modère et me ruisselle - refus d'abandon, joie crispée pour voir tonner la tienne - orage si fertile, ondée si salutaire (je meurs de soif au pied de ta fontaine) : la canicule qu'en plein hiver tu me fais - nuits brûlantes sans autre source que le soleil qui point à l'intérieur.

alors, pour supporter - aurore, chaleur, sécheresse - je me dénude. rabattant draps et couvertures - et dans ma gorge, c'est la nuit à peine, séchée. assoiffée. givré février sans écart. mais tu fais affluer mon sang à la surface de ma peau, tu fais bouffées et terres évaporées, arides : gerçures d'été qui fendillent mon corps et sans limite et sans retenu.

soleil - affolant - que je porte en moi, aride terreur qui me mine, tu fais - encore - affluer, à ma bouche, la salive (et je t'abreuverais si tu me le demandais - encore) - car tes prières font le soleil coupant. font le soleil humide. et ni la nuit ni l'hiver ne ternissent cette chaleur à l'intérieur.

la générosité de ton ardeur me dérive, me désancre et me soumet à un autre climat. érection solaire du verbe être que tout pressentait - et presque un siècle à mûrir ! à engendrer. mais mon avidité n'est pas parcimonieuse - elle mord à plein... dans cette chair généreuse, elle décroche - elle arrache, elle écorche - aux branches, les fruits. et les éclate avec les doigts.

ton silence - source fluviale à ma bouche quémandeuse. d'assèchement, excédée (mais de nos canicules, jamais), je ne crains pas de t'épuiser : désir renaissant toujours, source ne désemplissant jamais et soif jamais comblée - je peux attendre. une saison dans le lit desséché de la rivière...

afflux - dérive - désert - désir, tu dévies. dans l'éternel. entre puissance et plaisir. mes envies à ton corps et les liqueurs qu'il faut pour me désassoiffer, pour me combler et pour m'éclore (tonneau percé) - tu les connais. en secret. tu m'abreuves et m'arroses pour, fleurie, me saisir - rassasier la brûlure - soleil, à l'intérieur.

[nereidestuff]

☽ la isla blanca;; version quatre.

hello, hello 💕 trois mois désormais que notre doux cocon, LA ISLA BLANCA, à ouvert ses portes. mes petits coeurs de co-admins, nox, @jeudisgris & moi-même venons vous présenter sa quatrième version sous le signe d'halloween. 👻 au programme:: espace game; afflux en masse du tourisme qui ne cesse de ravager les ruelles de leur belle ibiza; et d'autres surprises encore. la isla blanca se veut un forum où règnera la bienveillance, et où l'on privilégie l'intégration de chacun. un doux cocon où les personnages de tout les horizons, nous l’espérons, pourront trouver une maison. du plus sombre, au plus doux, l'île ne cesse d'accueillir de nouveaux habitants aux nuances illimitées. ✨

un extrait du contexte; loin des néons nocturnes, viennent s'écraser les vagues contre le flanc des roches immaculées. pastichés sur les rochers, gamins des plages observent au loin le soleil se lever. ici, où la nuit est longue et intense, presqu'interminable, mômes guettent le jour, attendant à nouveau, de renaître, juste une dernière fois. autrefois, régnait la paix entre l'homme et la nature. l'île aux mille et une prairies denses de posidonies, les emportait dans de douces insomnies au rythme serein de la méditérannée. berceau hippie dans les années 60, venaient ici un peuple en quête de spiritualité, d'un nouveau monde. des années durant, s'installe une parfaite symbiose entre les nouveaux arrivants, et la population locale. (…) rage gangrène et gronde toujours plus fort dans les ruelles de l'ancienne ville. le taux de criminalité augmente, parmi ceux qui tentent de survivre. l'orage monte sur l'île d'ibiza, et au loin, on peut déjà l'entendre protester.

–

aucun minimum de ligne ne sera exigé sur le forum – un rp par mois. n’hésitez pas à nous rejoindre. 🌸🐚

lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/ lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/

#rpg #rpg francophone #city rpg #forum rpg #roleplaying #la isla blanca #la isla blanca rpg #forumactif

[loonaticskr]

Loonatics KR Bios - Slam Tasmanian

Art created by @purpleluckystar I now adopted. Disclaimer: I now own Loonatics R including the characters and versions of the Loonatics which will soon have updated versions. I'd like you to please do not use or draw this version without permission first.

Name: Slam Tasmanian

Age: 26 (season 1) Nationality: Tasmanian Relatives: Omeo (father), Lowanna (mother), Merri, Daku, Bambam, and Bindi (siblings)

Personality: 

Kind-hearted

Warm

Gentle

Likes to be helpful

Most of the time, he is brawn over brains, but he's not dumb either and is in fact quite clever

Powers/Skills:

Superhuman Strength: Helps him lift heavy objects and takes a lot of damage, as it also enhances his durability. 

Tornado Maximizer: Creates a tornado when he spins around. If the spin reaches its maximum speed, it can create thunder.

Weapons: None.

Other info:

Had ruby eyes before the meteor. The oldest member of the team. Has a speech impediment; only a handful of people understands him, but Lexi can translate for the rest of the team by reading his thoughts. Has a great appetite, is a real chef in the kitchen. Likes taking care of children. Can be scary-looking at first, but has the personality of a teddy bear.

Slam grew up in a large family on the peaceful Tasmania island, located in Oceania. Though technology wasn't as much developed as it was around the rest of the world, its inhabitants were happy and only cared about more simple things. However, that peaceful life came to an end when an Australian businessman came to Tasmania and declared he would buy all the island's natural territories to build his own business on it, including a vacation complex and an amusement park. Doing such a thing would destroy the natural environment of the island and force the Tasmanians to either live with an afflux of undesired tourists or leave their home, something none of them was willing to do. But if they wanted to save Tasmania, they had to collect enough money to buy the wild zones themselves before the businessman did.

The problem was; because of their simple lifestyle and low economy, they hadn't the requested money. All seemed lost until Slam volunteered to go to America to gather the money, they needed by becoming a professional wrestler - the poor education system in Tasmania limited his access to any university. Once there, he met Alonso, a Mexican mouse who agreed to become his manager and train him to the top. Slam was able to make his way to the finals, meeting the three-years consecutive champion, and then...

A meteor fell near Acmetropolis, ending the match and Slam's chances to help his people. While he's not mad to be part of the Loonatics, Slam is still worried for his home, and understandably so; the dreadful date is slowly approaching, but maybe Slam's team will be able to help him.

Original

#slam tasmanian #loonatics r #loonatics kr #loonatics au #loonatics unleashed #loonatics fan reboot #warner bros #wb #looney tunes #slam tasmanian kr

[transparentgentlemenmarker]

Today, President Biden put forward a clear, realistic and just plan to establish an immediate ceasefire and end the war in Gaza a plan that ensures Israel’s security, returns hostages taken on October 7th to their families, increases aid into Gaza and relieves the suffering of Palestinian civilians, and engages Israelis, Palestinians, Arab countries and the broader international community in the process of rebuilding Gaza. A ceasefire alone won’t ease the terrible pain of Israelis whose loved ones were butchered or abducted by Hamas, or the Palestinians whose families have been shattered by the subsequent war. It won’t resolve the longstanding conflict between Israelis and Palestinians, or answer contentious issues surrounding a two-state solution or continuing settler activity in the West Bank. But what it can do is put a stop to the ongoing bloodshed, help families reunite and allow a surge of humanitarian aid to help desperate, hungry people. It can save lives, here and now - and it can lay the foundation for what will be a long and difficult road to a future in which Israel is secure and at peace with its neighbors, and Palestinians finally have the security, freedom and self-determination that they have sought for so long. As the tragedy in Gaza has unfolded over the past eight months, we’ve witnessed an often fierce public debate here at home and around the world - regarding how the United States should respond. But no matter where each of us stand in these broader debates, an enduring ceasefire is something we should all support for the sake of Israelis, Palestinians and the world at large. I am deeply encouraged by the steady, tireless efforts of President Biden, Secretary of State Tony Blinken and our diplomatic team to bring this awful war to an end. Barack Obama 31 mai 2024

Aujourd'hui, le président Biden a présenté un plan clair, réaliste et juste pour établir un cessez-le-feu immédiat et mettre fin à la guerre à Gaza un plan qui garantit la sécurité d'Israël, rend les otages pris le 7 octobre à leurs familles, augmente l'aide à Gaza et soulage les souffrances des civils palestiniens et engage les Israéliens, les Palestiniens, les pays arabes et la communauté internationale dans son ensemble dans le processus de reconstruction de Gaza. Un cessez-le-feu à lui seul ne soulagera pas la terrible douleur des Israéliens dont les proches ont été massacrés ou enlevés par le Hamas, ni celle des Palestiniens dont les familles ont été brisées par la guerre qui a suivi. Cela ne résoudra pas le conflit de longue date entre Israéliens et Palestiniens, ni ne répondra aux questions controversées autour d’une solution à deux États ou de la poursuite des activités de colonisation en Cisjordanie. Mais ce qu’il peut faire, c’est mettre un terme à l’effusion de sang en cours, aider les familles à se réunir et permettre un afflux d’aide humanitaire pour venir en aide aux personnes désespérées et affamées. Cela peut sauver des vies, ici et maintenant et cela peut jeter les bases de ce qui sera un chemin long et difficile vers un avenir dans lequel Israël sera en sécurité et en paix avec ses voisins, et où les Palestiniens auront enfin la sécurité, la liberté et l'autonomie. Détermination qu’ils recherchent depuis si longtemps. Alors que la tragédie de Gaza s’est déroulée au cours des huit derniers mois, nous avons été témoins d’un débat public souvent féroce, ici chez nous et dans le monde entier, sur la manière dont les États-Unis devraient réagir. Mais quelle que soit la position de chacun d’entre nous dans ces débats plus larges, un cessez-le-feu durable est quelque chose que nous devrions tous soutenir dans l’intérêt des Israéliens, des Palestiniens et du monde en général. Je suis profondément encouragé par les efforts constants et inlassables du président Biden, du secrétaire d’État Tony Blinken et de notre équipe diplomatique pour mettre fin à cette terrible guerre. Barack Obama

#barack obama #palestine #gaza #israel

[aurevoirmonty]

«C'est très bien pensé»: Israël reconnaît que son objectif est le nettoyage ethnique de Gaza

«Nous ne leur disons pas simplement: "Allez à la plage. Allez vous noyer."», explique magnanime Danny Ayalon en référence à l'ordre d'évacuation (https://t.me/kompromatmedia/4211) du nord de l'enclave.

Le haut diplomate (https://en.wikipedia.org/wiki/Danny_Ayalon) de préciser la stratégie de Tel Aviv: «Il y a un espace presque infini dans le désert du Sinaï.»

«L'idée est pour eux de s'en aller vers les zones ouvertes où la communauté internationale et nous-mêmes préparerons les infrastructures.»

En d'autres termes, Israël a décidé d'envoyer les 2 millions de gazaouis en Egypte, dans «des villes de tentes».

«Avec de la nourriture et de l'eau», précise Danny Ayalon, alors que Tel Aviv a coupé l'eau dans la bande de Gaza.

«L'Egypte devra jouer le jeu parce que des vies humaines sont en jeu.»

Problème - en dehors du fait que Tsahal bombarde le seul point de passage à Rafah -, Le Caire, pas disposé à gérer un tel afflux, vient de fermer le terminal (https://twitter.com/antoinemariotti/status/1713082692420448286) avec des blocs de ciment.

De nettoyage ethnique à génocide, il n'y a qu'un pas.

[joshuaballsett]

oh please acid reflux was my father, call me afflux

[archesa]

From the past, with all my love - 1335 AE

Dust had gathered in the study, a thin silver lining veiling the furniture and golden specks twirling like snow in the sun filtering through the frosted windows.

A shroud of salt and rust stained the glass and the cascade of fire orchids falling from the heights of the greenhouse onto the side of the fort had rained a storm of withering petals on their courtyard where Trahearne had summoned minions to help him beat the rugs and pillows – a flesh and vines golem repeatedly charging a carpet hanging on the low branches of a plum tree.

In the meantime Anwen dusted the furniture Trahearne had omitted to cover before his hasty departure for Cantha – most of them, really, but how could she blame him – and used this opportunity to declutter and reorganise their quarters.

Their desks in particular required some attention. A pile of heavy leather-bound volumes on magical theory and the dragon cycle were stranded there – vestiges from a time just passed – in the midst of Trahearne's own research on the quaggan and largos' exile from the depths – recently proved not to be owed to the elder dragon of the abyss.

She scoured the notes and slipped them in the escritoire, the familiar scent of parchment and ink filling her lungs and welcoming her with a sense of belonging. Under the canopy of glass and metal, in the shade of orchids and wisteria, lulled by the sound of waves breaking on the fort, she was home.

The stationary barely fit the cylinder desk. Her curiosity piqued, she pulled the escritoire from the drawer, a bundle of letters neatly wrapped with a gold and sapphire blue ribbon, falling on her lap, from the depths of the secretary.

She stared, awestruck, as her own writing spread endlessly on the page – deep blue ink and never sealed messages she had long thought lost and regretted she never sent.

And here they were. Every single one of them – most unfinished, as she had left them, dated from 1325 to 1327.

Dearest friend,

An eternity it seems passed since we last met.

I hope life in Orr is treating you well, and that your duties to Pact allow you some respite.

I am writing from Lion's Arch, on my way to the Black Citadel at Tribune Brimstone's request. Assistance with the constant afflux of refugees from northern Ascalon.

The city is the same as ever but the sight of Claw Island, in the distance, beyond the bay, gives perspective to these last months. So much happened in so little time that neither of us really took the time to process.

I expect our business in the Citadel will conclude shortly – after Zhaïtan, what threat could be so hard to dispose of – and if you so agree, I shall bring you my transfer request for Caer Aval in person within a fortnight.

Yours truly,

Anwen Evergreen

PS : Meryw sends her love!

Dearest friend,

Our business in the Citadel it seems will require my attention longer than I originally planned.

The Dredges and the Flame Legion have formed an alliance and they harass these people endlessly. The Imperators seem helpless to deal with their guerilla – hit and run, scorched land – methods.

I took the liberty to offer the Pact's assistance – even if said assistance was then limited to Meryw and I – and assumed coordination of the agents and vigils already mustered there.

Dearest friend,

My sincerest apologies for not writing sooner.

Since Wintersday the days have grown, and yet they're still too short.

I hope you know you are on my mind-

A celebration of the Pact's victory is to be held in Lion's Arch in a fortnight. I dare hope our paths will meet there. I have so much to tell you. I realise now that you probably received a good dozen reports on the events that kept me in Central Tyria but–

Dearest friend,

I must once again delay my coming to Orr.

Captain Theo Ashford, who was killed during the attack, was a close friend of Logan Thackeray's. He asked me as a personal favour to assist the investigators – a detective of the Reach by the name Marjory Delaqua.

I am to meet her and her assistant – a friend of my brother, from the Academy, it's a small world! - in Lion's Arch today for further investigation of the crime scene.

I hope we can find the culprit shortly and I will then be free to officially file my transfer request to Orr.

I long to see Caer Aval again, and I cannot wait to offer my meager gardening talents to the restoration of the isles.

Yours truly,

Your friend, Anwen Evergreen

Dearest friend,

I wish to reiterate my family's thanks for your kind words and well wishes.

My brother is, I believe, on the verge of recovery as this misadventure did not even harm the most prominent part of his person : his ego is unfortunately unscathed. He seems more concerned by the ladies who witnessed his heroism than the healer's orders. And I worry for Meryw who must now endure him for the fortnight – and who definitely does not seem as annoyed as I had expected at the prospect of spending two weeks at the manor with Faren. I dread to think of the influence he might have on her! For all the love I have for my brother, I fear the world cannot endure another like him!

As for Scarlet Briar – or Ceara as she was once called – her motivations are still elusive... Chaos? Perhaps. But I fear there is more to her assault in the Reach – on the Queen's Jubilee – than most would deem.

The Shining Blade and the Seraph see no further than the immediate threat on the crown and Kryta. And the Arcane Council envoy dismissed her actions as a madwoman errance. But I have rarely met such a conflated ego – even for an asura! – and never seen Meryw have such a strong immediate dislike for someone, and though she remains tight-lipped on her reasons, I trust her judgement. Emissary Vorpp might be a brilliant dynamist but his expertise on the intricacies of the mind seem shallow at best.

But I digress.

These recent developments, I fear, will keep me in Kryta yet again.

Until we meet again, I remain yours truly,

Your friend, Anwen Evergreen

I killed you. Scarlet made me see this, made me do this. I know it was just a hallucination – just a nightmare but I see you every time I close my eyes, I feel your blood on my hands and your head on my shoulder as you breath your last.

Meryw saw Sieran.

Scarlet... This toxin showed us a glimpse of our subconscious, a place I hope my darkest nightmares will never wander back to... Every one of us peered into our deepest fear.

Mine is a world without you.

Dearest friend,

I hope this letter finds you well. I can barely believe it has been a year since last we met. I never expected

Caer Aval must be quite tranquil with the arrival of winter. If your duty allows, I would be honoured happy delighted honoured to have you as my guest for Wintersday.

The winter fêtes of the Faren house are famed for the brightness of their illuminations and the sweetness of their spirits.

If it so pleases you, we could avoid the crowds together.

Merry Wintersday, dear friend.

Letter after letter, she revisited this distant past – two or three lifetimes ago, it seemed – until the familiar sound of footsteps interrupted her.

Trahearne froze on the threshold, seeing her sat on the floor, the letters scattered around her and on her lap.

"You had them... I never sent them, and I thought they were lost forever, how...?"

"Meryw."

She stifled a breathless laugh.

Of course!

If there were anyone she could trust had innocent – or at least unequivocally good – intentions sending her correspondence, it was her shield-maiden.

"She wrote a few words with every unsent message, telling me of the unlikely places she had found the letters – blaming your distraction, your forgetfulness."

"I was busy...", Anwen smiled apologetically.

"I had noticed.", Trahearne chuckled. "These letters offered me a glimpse of you – stories I dared hope you would one day share with me."

"And... did I live up to your expectations?"

He laughed and knelt by her side, considering a moment everything they had been through these past ten years, the promise of tranquility after a decade – a lifetime in his case – of constant crisis almost too painfully sweet to believe.

"Our life together surpasses everything I could have imagined."

She leaned in his embrace, a content hum rumbling in her chest as she rested her head against him.

"Rereading those...", she sighed, "I realise how far we've come... and how close I have been from seeing my nightmare come true."

"A second Faren!", Trahearne breathed, in exaggerated horror. "Meryw is immune, but I believe Canach is a good contender..."

Her laughter filled the room with light and his heart with joy.

With the secondborn returned to Tyria to flaunt his success around the most elitists salons – and incidentally find more patrons to finance the Friends' Detective Agency – and Meryw recently recruited for the preparation of the wedding – and as such not-so-reluctantly entangled in the procession of bridesmaids counting in their ranks the oldest friend of Kasmeer, it seemed their orchard had succumbed to the gravitational attraction of Anwen's brother. And, most alarmingly, did not seem to complain!

He felt rather than heard her breath catch, a tremor in the quiet rise and fall of her chest against his.

“Dearheart?”

He reluctantly broke their embrace, a sinking feeling settling in his chest when he noticed her eyes glistening in the faint light. She blinked rapidly, a broken sob shattering on her lips.

"Anwen, what troubles you?"

“Sorry, I– I'm fine. Don't worry, I– I don't know why–...”

“It's alright.”, he murmured, tenderly holding her while she cried and leaned in his touch when he dried her tears.

“I'm so tired, Trahearne..."

It was a simple admission, but it was a relief.

"I... I think it's the first time since these letters that I cannot see further than the next step."

After they defeated Zhaïtan, she had naively believed there would be peace. They had defeated a dragon awakened for over a century and Trahearne had shattered its hold on the land it corrupted. Hopefully, the others wouldn't wake for a few centuries. And if she knew they would eventually bring the fight to Kralkatorrikk she had secretly hoped, since it was as good as dormant since Glint's death, that it would have taken years - time enough for the Pact to gather intel and reform an army to instill fear in the heart of an Elder Dragon. She had hoped...

"I... wanted nothing more than to spend all my time here, with you. And now we're finally there, now we can finally rest, I'm... ruining it."

"You're not ruining anything...", he breathed, tightening his embrace and resting his forehead against hers.

He knew this feeling. After the completion of his wyld-hunt he had felt… Bereft. Helpless. Forlorn. The great purpose of his life was complete and in its absence only remained emptiness and aching.

"Anwen, you're allowed to be tired. You're allowed to be sad because this chapter of our lives is over and relieved there is not battles left to fight. You're allowed to be unsure about the future and elated by what's to come. You're allowed to regret, to be proud of what you have accomplished."

"I'm– I just want to rest... with you."

"We rest, then.", he said softly.

She nodded feebly, a yelp stuck in her throat when he lifted her off the floor and carried her to the sofa nearby. A breathless chuckle broke on her lips, dispelling the shadow looming over them.

"I shall brew us some tea.", he offered, leaning forth to grab the nearest bundle of letters and laying it on the cushion beside her. "The one we brought from Seitung Province?"

"Would be perfect.", she smiled, the bitterness of nostalgia fading at the mere memory of the scent and aroma of white tea and sweet summer peaches.

Trahearne tenderly replaced a stray lock behind her ear and leaned in to lay a kiss on her cheek.

"Rest easy, Anwen. I'll take it from here."

(special thanks to @your-toxic-cat-universe for this beautiful piece! )

#anwen evergreen #trammander #trahearne x anwen evergreen #meryw #trahearne #trahearne lives au #fluff and a little bit of angst #but mainly fluff #as always comment / feedback / reviews / discussion is always very appreciated! ^^ #(i read somewhere that people did not dare leave comments unless explicitly requested by the author so...) #(here's my permission if you needed any) #set post EoD but pre 'What lies beneath' #post eod #eod spoilers #(slight) #my first real try with the epistolary genre! #morning reblog

[miyabi-wedding]

▷▶▷ ブランド ➷ AFFLUX 作品 ➷ fuwari-ふわり . センターダイヤモンドの左側には 小さな羽をイメージしたパーツがあります໒꒱ . 小さな羽がふわりと舞い降りたような、 優しくウェーブした腕が可愛らしい指輪💍 . 表面の丸みとウェーブが 指にとっても心地良いです🎶 . 是非一度、実物を手にとってご覧くださいませ👩‍💼📢 . #婚約指輪 #結婚指輪 #婚約指輪と重ね付け #婚約指輪探し #結婚指輪探し #エンゲージリング #マリッジリング #プレ花嫁 #プレ花嫁さんと繋がりたい #afflux#細身#プロポーズされました #サプライズプロポーズ #ダイヤモンド#表参道 #京都 #横浜元町ハーフエタニティ#結婚しました#ring#miyabiwedding #wedding #指輪プチエンゲージ#ブライダルジュエリー #ゆびわ言葉®#ふわり#🪶 (雅-miyabi-表参道 （婚約指輪・結婚指輪・ダイヤモンド専門店）) https://www.instagram.com/p/CjhNYmvvUqN/?igshid=NGJjMDIxMWI=

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[lupitovi]

La grève Je m’attends à recevoir le heaume, le bouclier et la lance. Je suis prêt à faire l’impasse sur la barde de croupe et le chanfrein, aucune écurie à l’horizon, je me prépare à défaut au combat à pied. Mais aucun son de marteau sur l’enclume, point de forgeron pour me remettre une épée, ou de devanture cachée sous l’atelier avec armurerie gravé sur l’enseigne. Je peux encore décider au dernier moment d’aller au front ou pas. Bientôt, je devrai remplir une feuille et déclarer mon intention de participer à la guerre, avec possibilité aussi de renoncer. Pour une épopée, stylo bille à la main sur le bois traité de la feuille, cela me semble manquer de ferveur. Perceval aurait-il accepté de compléter les cases vides pour sa quête du Graal ? Je me rassure tant bien que mal, il aurait laissé le scribe rédiger. Je ne refuserais pas d’avoir Excalibur en main, mais j’ai beau parcourir la forêt de Saint-Germain, aucun rocher ne fait office de fourreau. Les chevaliers se révoltent contre le châtelain et ce dernier ne comprend point, il est toujours prêt à discuter. Expert de l’écoute, somnifère de la parole, logorrhée en intra, son champ de bataille est la salle de réunion. Combattre sur ses terres, et plus particulièrement en cet endroit précis, exclusivement en cet endroit, relève en soi de l’épopée. Tenter de grimper le long des remparts constitués d’un lexique poreux, pour ne pas dire grumeleux, s’agripper aux mots glissants, lisses comme une photo retouchée pour faire baver ceux qui scrollent, semble chose impossible, aventure des plus vaines. L’anesthésie par la parole est un beau subterfuge qui peut user si nous laissons le châtelain maître du temps. Ce dernier, que j’imagine du haut de sa tour de briques au fond du couloir troisième porte à gauche, souhaite nous imposer de nouvelles règles et accepte de discuter sur la mise en forme. Les termes, à l’aspect juridique aussi flou qu’indécis, sont déjà tranchés, à nous de choisir la police et la taille. Il ne nous reste plus qu’un moyen d’être entendus, laisser la loc au dépôt, poser les outils, la clé BL et la clé Denys. Nous arrêtons le temps imposé. Je ne mesure pas alors que cette période demandera encore plus d’efforts que le travail, dans le corps et les pensées ; mais ce sont des efforts voulus, sucrés bien qu’avec une légère acidité, pimentés aussi, avec de la corne sur chaque lettre, une épaisseur qui n’empêche pas de saisir chaque information, car nos sens semblent alors s’aiguiser. Nous avançons de pair avec une sensibilité accrue, avec une perception qui s’expérimente au gré des enjeux. Il en est du moins ainsi pour Pablo, Ach et Gaël. Car ils se présentent chaque matin dans le poumon du mouvement, afflux d’air indispensable pour que nous puissions avancer, dans l’assemblée générale, l’AG. Je ne sais pas s’ils sont l’air ou la part constituante de l’organe. Probablement un peu des deux. Il existe des poumons de différentes tailles. À son commencement, le nôtre est grand. Il est composé de ceux qui transforment la tension pour la réduire au voltage de la gare, telles des alvéoles où se déroulent les échanges gazeux avec le sang ; de télécoms dont la salle contient des milliers de jarretières de toutes les couleurs, des nœuds impossibles, telles des bronchioles qui acheminent l’air ; tandis que les aiguilleurs régulent le diaphragme et la cage thoracique. Il me semble reconnaître la voix de l’un d’eux, celui qui décroche avec un PRS pourri j’écoute, le Paris trop mûr pour protester contre la moisissure des murs de leur poste d’aiguillage. J’aperçois celles qui établissent nos fiches de paie et avec qui vaut mieux pas se prendre la tête explique Jacques (pragmatique), venu nous soutenir : responsables de la trachée, je risquerais d’avoir l’air coupé et la carte bloquée. Les guichetiers gèrent les bronches, autant de branches d’arbre comme ces tuyaux à air propulsé dans lesquels ils envoient les cartouches contenant le cash. Je rencontre pour la première fois Miss Ink and Mister Gorgo. Ils sont chefs de bord, les plèvres entourant le poumon. Je découvre aussi des métiers qui, malgré toute la pédagogie, restent à jamais une énigme. Je dois me résigner à accepter mes lacunes en anatomie. La gare est immense dédale de bureaux de salles de couloirs et autres escaliers quart tournant colimaçon ou hélicoïdal l’intérieur s’apparente à celui du Louvre sans les œuvres Il en faut de l’espace pour y disposer un tel poumon le corps humain l’englobe dans la cage thoracique Autour de la marquise, de grandes salles spacieuses pourraient tous nous accueillir mais le maître des lieux n’est pas tenu de nous les prêter Tant bien que mal nous réussissons parfois à en obtenir une exiguë et mal insonorisée mais avec du chauffage et quand le poumon est trop gros nous n’avons d’autre choix que d’occuper un des couloirs extérieurs de la gare malgré le froid et la brise matinale le courant d’air traversant les allées Nous sommes des centaines sous le panneau d’affichage à palettes dont les lettres se meuvent telle une mitraillette mais à une fréquence basse car ceux qui font tourner les trains sont bras croisés Dans ce combat ni coup d’épée ni artère tranchée ça ferait pourtant un si beau film d’aventures Il y a de la tension et du pouls mais ce n’est pas cinématographique Un micro et une sono sont au centre des attentions chacun peut s’exprimer ça grésille ça larsen ça rebondit par ricochet contre les murs Un peu moins de réverb Charlie please Le poumon fait des bruits d’estomac affamé Geoffroy de la Salamandre grève dans son refuge il n’apprécie guère la foule et s’il tolère les heures de pointe c’est uniquement seul dans la cabine de conduite il ne vit malheureusement pas les nombreuses discussions qui se concentrent les raisonnements qui se construisent Le poumon crache des idées de cerveau décloisonné Jacques propose d’organiser les piquets rendez-vous dès quatre heures du mat’ pour occuper le dépôt convaincre ceux qui ne sont pas encore dans le mouvement Si faire grève c’est se lever toujours à trois heures honnêtement je vois pas l’intérêt observe Ach entre deux bâillements Et il est vrai que je préférerais qu’il en soit dispensé quand il me fixe après une extrême mat’ je crois qu’il me provoque en duel Je découvre à travers les piquets de grève un nouveau métier associant communication et exposés un métier d’encadrant mais non rémunéré Je dois convaincre ceux qui n’ont pas quitté leur poste du bien-fondé de notre mouvement ceux qui hésitent notamment dont j’aurais pu faire partie Je tombe aussi sur des sceptiques et découvre ceux qui nous évitent qui se faufilent discrètement dans la cabine mais que nous irons voir au pied de la machine Les premiers jours l’enthousiasme transporte les sceptiques il éloigne surtout pendant un temps le fatalisme cette sangsue qui paralyse les rêves Adama ne prend pas le micro il parle en petit comité mais présente bien les choses Nous devons gagner le plus vite possible car, insensibles au contexte, les factures s’empilent Mais en même temps se battre pour ses convictions ça n’a pas de prix Une interrogation s’infiltre dans la mécanique de ma pensée le numéro un continuerait-il à tenir sa position si, comme nous, il n’était plus payé ? Au petit matin sous les projos du dépôt les néons tremblotants des groupes se forment et se rendent au triage pour convaincre sous le regard de l’huissier ceux qui doivent dégarer Nous marchons sur le ballast et devant les portes des usines pour entraîner celles et ceux qui sont aussi attaqués le poumon se contracte comme un ischio-jambier proche de la ligne d’arrivée Yann entre deux bouchées d’orange conduisant la poussette où trône sa fille qu’il est obligé d’amener suggère de monter un comité de grève pour que nous choisissions nos propres représentants pour que les doléances viennent du poumon même C’est lui qui s’essouffle s’intoxique et se purifie il n’y a pas de raison qu’il ne prenne pas en main l’ensemble du corps Le poumon fait du deux cents battements par minute comme un cœur transi En entendant cette proposition j’ai des réminiscences du séminaire d’histoire prodigué au cours de ma formation par Gérard et Jacques sur le retour de Dijon et si le premier était mon moniteur le second avait Yann pour apprenti Tout en mâchant son agrume je le vois remettre sur les rails du présent un passé conté sur la ligne Willy observe l’huissier et l’essaim de cadres priés par plus haut de sortir de leur lit avant l’aube pour nous surveiller Il laisse échapper qu’à la première heure les grévistes iront bloquer les départs des garages d’Achères suffisamment fort pour que les bourdons l’entendent et se lèvent avant l’aube le lendemain Puis d’un air laconique mais très discrètement se tourne vers nous Je vous propose de faire une grasse mat’ demain Je le découvre machiavélique Je ne saisis alors pas tous les rouages les mots cachés sous les mots les faux amis des véritables ennemis la pression qui s’exerce sournoisement alors que nous usons toute notre énergie pour ce qui nous paraît de plus en plus évident je me sens comme l’air compressé dans le réservoir principal prêt à être propulsé dans la conduite pour servir ensuite à ouvrir et fermer les portes du train Je découvre en substance que le poumon est un organisme à part entière qui se transforme au gré de son expérience qui se contracte parfois mais dont la paroi se renforce Nous finissons par nous essouffler le poumon a lentement rétréci une forme de rancœur chez certains d’entre nous s’immisce comme un courant résiduel qui parcourt le corps des années plus tard elle perdure parfois jusqu’au prochain combat Peut-être ne prenons-nous pas pleinement la mesure de ce que recèle cet organisme ce micro-organisme, ce fœtus, cet être encore tout de nu vêtu dont les habits seront des cicatrices Les particules qui le constituent sont les exécutants de l’Entreprise nous n’intégrons pas la part décisionnaire nous n’avons pas accès au cerveau nous sommes pourtant tous les autres membres tous les autres organes et ce corps en gestation que nous formons devrait se saisir des commandes Chaque gréviste peut prendre le micro intervenir, témoigner, proposer certains ont le discours porté par l’émotion trouvent naturellement l’intonation d’autres comme Willy avancent à tâtons tentent d’élever la voix et la font dérailler J’observe ses progrès À force d’entraînement il trouve son style jongle avec les mots, rebondit sur les syllabes ses phrases purgées des disfluences verbales des débuts En retrait, j’admire Gaël ne prend pas la parole ce qui surprend tant Miss Ink que Mister Gorgo sans que je cherche à en comprendre la raison il reste dans cet ensemble qui écoute et vote la continuité de la grève ou la reprise du travail mais nous tombons sur sa bouille en couverture de La Vie du Rail sa posture regard déterminé et bras croisés est saisie et nous nous empressons d’acheter le numéro La Star ouais ! Gaël étincelle sans avoir besoin de monter sur scène Contrairement à Kamal Lors de la dernière manifestation, un gruppetto en queue du peloton a abordé le cortège des danseuses et machinistes de l’Opéra de Paris. Ils ont eu droit à une visite privée du monument de Garnier, jusqu’aux dessous du plateau présenté comme un bateau avec sa soute, où les machinos installent les rues et les fausses rues qui font apparaître un danseur ou un décor. Sur la scène, Kamal s’est mis à entonner l’air du Commendatore de Don Giovanni. Pablo rapporte au micro l’épopée, prétendant, un brin critique, qu’il manquait un peu de talent lyrique, mais que le public restait silencieux, subjugué, de la fosse jusqu’aux balcons, car en tout point absent. Costière, mât, cabestan et autres cintres permettant d’envoyer les voiles, leurs guides les ont abreuvés de mots d’une autre langue. Et Kamal leur a promis en retour qu’il les fera monter en cabine ; quand les trains rouleront de nouveau. J’aurais aimé les alerter sur cette proposition. Une voix que je crois familière glisse alors sous la caténaire. On lui tend le micro, elle refuse de la main aux phalanges infinies. Elle s’exprime pour la première fois et elle cherche parfois ses mots, non pas qu’elle ne les ait pas, nous sentons qu’elle tente de les remplacer, pour en atténuer la charge émotive, ou tout simplement pour nous protéger. Je plonge dans ses syllabes et son parler kalach, qui parfois coupe les mots ; elle ne s’éternise pas sur eux, elle rebondit, tranche et taille à la tronçonneuse. Elle est plus du genre freinage d’urgence que freinage modulé, bien plus BP Urge qu’électrique. Je pense enfin la reconnaître. La voix qui annonce parfois que le train d’isepteur’ quarant’ quat’ pour Mantes-la-Jolie partira d’la voie quinz’ ! Elle travaille au centre opérationnel escale dont la physionomie s’apparente au centre de contrôle mission d’une sonde spatiale explorant le système solaire. Je perçois cependant qu’il n’y a pas ce r roulé, qui traîne légèrement des pieds, comme une loc marchant au pas. Elle appuie chacun de ses mots par des gestes, je sens qu’elle tente de les retenir, ils sont comme castrés, inhibés dans leur expression, et s’ils étaient libérés je me demande si je n’assisterais pas à un tuto de boxe thaï. J’en fais part à Willy qui estime que je me trompe complètement, ce serait plutôt Dragon Ball après censure. Quant à Pablo, il n’a aucune opinion. Je ne demande même pas à Yann, tout concentré sur son quartier d’orange. Je ne sais s’il serait pertinent pour une mouche de virevolter autour. Suis-je influencé par ce regard noir prononcé dont les mouvements décrivent un mélange d’assurance et d’énergie éhontée, de persistance et de rage comprimée ? Je ne sais pas encore qu’elle se nomme Hidaya, ni qu’elle entamera plus tard une formation Mécano. Je sens simplement qu’elle pourrait me pousser à écrire un jour. Alors que l’usure et l’érosion d’une lutte semblent inévitablement nous aspirer, elle m’inspire. J’ignore encore que le seul fait de lutter est une victoire en soi reste un goût amer dans la bouche, un goût de défaite car désormais nous devrons tous trimer plus Putain, je suis rentré dans la boîte il me restait trente-deux ans désormais, il m’en reste trente-quatre Plus j’avance, plus ça recule constate Ach Malgré cela je découvre pas à pas que Le pire des combats, c’est celui qui n’a pas lieu ce que synthétise Adama à la feuille avant de me commander

Mattia Filice - Mécano 

#mattia filice

[randomnameless]

This is just an appreciation ask but thank you for discussing literally anything about the game's past/world and actually discussing the politics, because so many in the base don't care and it pains me soooooo much, even my sister doesn't give a shit about the Nabataens and Agarthans and takes everything the game says at face value no matter how poorly written. It's really fun to look through your blog and actually see a community of folks in the fanbase tackle what I've been thinking about and thought I was alone on LOL

Oh thank you!

I know it's not really something appealing for a lot of people about the game, hell the game doesn't even care about it either but, haha, I do.

That's why I really like Tumblr, you can find communities for whatever you want and they're public, so if you want to gush about "the importance of golden trinkets in Nabatean culture" you can interact with some loser who wrote a post about it, and you can gush about it together without having someone passing by and hurling insults at you because Rhea BaD

(or at least it used to be that way and still is, in majority)

And if you can't find any, then write your own posts and since they're on a public board, maybe someone, 2 years later or so, will come and tell you it's interesting (or not) !

As for FE16 in particular, I really found it lunar how, in August 2019 the fandom's voice was kind of unified around something, and I felt like I was the only person who had a dissenting opinion - I posted a bit about it, later found out I wasn't the only one and then I shitposted and made memes.

Nerding about proto-Adrestia is just me nerding and honeypotting about stuff based on clothes, Enbarr's coliseum and Adrestia's History of being an Empire that fell from grace and tries to MAGA - but I confess, it was also to poke fun at some seriously, uh, misguided or misinformed takes that pretend to be very serious (tm) and refer to real life history... when the author either doesn't know a thing about what they're talking about, or has an extremely biased POV that was already debunked 500 years ago.

From memory, I can remember the WTF that was the "Agarthans were like the Greeks because greek names and Nabateans stole everything from them like Romans did" when Agarthans got their tech because Sothis gave them said tech, and if someone has the Roman imagery it's definitely not the Nabateans living in a desert among themselves in kind of Shangri-La imagery, but the randoms who had a coliseum in their capital -

"Let them eat brioche", a very serious person really using slander thrown at Marie-Antoinette to support a theory claiming Nabateans don't care about humans - even if this quote was posthumously attributed to MA and there was a, let's say, huge xenophobic context back at that time which MA was hit with -

"Fodlan is set in the 12th Century trust me I have a degree" nonsense that makes me craugh, because it is historically so wrong (laugh) and I really worry about the state of education worldwide (cry) -

And the biggest winner of them all, trampling over the competition "The Church of Seiros is just like the Catholic Church, just don't talk to me about transubstantiation, heresies, christology or tenants : their temples are called Churches and leaders are bishops and they have an army and influence over other countries just like the Pope was the ruler of Europe during the Middle Ages : Trust me I have a Degree v.2"

Like, I can't believe debunking this nonsense made me check Napoleon's wiki page, something I never did when I was in High School because I was busy reading Bleach during the "Napoleon and the First Empire" lectures lol

#androblob #thanks! #if you want to talk about stuff then don't hesitate to send an ask or something #tbh i started this blog because i wanted to vomit thoughts #and a word document wasn't enough #but then people shared my vomit with some of their own #and we became vomit-friends #I think the difference of algorithms in what appears or not between Tumblr and Twitter encourages #let's say dissenting opinions on Tumblr #That's why the afflux of people brigading/harassing other users about FE16 was so weird #If you don't agree you can reblog to discuss and quit it when it won't go anywhere #but that mentality of discoursing until the other supposedly admits defeat or blocks the other is imo imported from Twitter #like dude if you disagree so much then vomit in your own corner but don't do it on my lawn

[whirling-fangs]

❛ I thought we agreed that secrets are bad! ❜

( not really douma just chanted 'dont keep secrets' 50 times in his face )

𝐂𝐎𝐍𝐂𝐄𝐑𝐍𝐄𝐃 /  𝐒𝐄𝐍𝐓𝐄𝐍𝐂𝐄 𝐏𝐑𝐎𝐌𝐏𝐓𝐒.

Inosuke's cheeks had gained an interesting shade of red. It wasn't nearly as dark as the skin above his wounded wrist, the one he had so desperately tried to hide from view, yet Douma would certainly feel the afflux of blood in the boy's face.

He was caught red-handed. Rather literally.

"... they're only bad if they hurt the other person. Like the ones you always say!"

As he pronounced those words, Inosuke was hit with the same doubts that always crept at the back of his mind. The same litany that wormed its way through his thick skull, reaching deeper and deeper every time it assaulted his brain.

Did the monster really mean any harm with his lies? Or was he so caught up in his own delusion that his intent was actually benevolent?

Now wasn't the time to question this. Inosuke gave a sharp tug to free his forearm from the man's grip, which only served to hurt his sprained wrist even more. He bit hard into his lip to muffle a pained whimper, emerald eyes glimmering with hardly contained tears.

"Fine! I didn't trip down the stairs! I was training! I can't stop thinking about that bug-eyed man and his stupid pupil or whatever, and whenever you're not around and I'm done with chores, I go to the cellar and I train! I punch bags of rice until I can't feel my fists anymore!"

His voice cracked somewhere along the middle of his sentence. Out of emotion, partly, but not only. An insect shedding its juvenile skin.

"Is he even coming back? The bug-eyed man. Or was it all just some sort of trick to make me train for no reason?! I bet that's what it was! You just want me to feel tired all the time, so I don't have enough energy to keep finding a way out of here!"

#cryopathiic #[[sounds like a good post to introduce the full tag :) #douma stop you're gonna summon some eldritch monster... wait ]] #no place in heaven / paradise cult verse

[profenscene]

Jeudi 9 mars

C'est toujours un moment délicat. Celui où les môme font face à la frustration.

Aujourd'hui en sixième, nous distribuons les rôles pour la mise en scène du procès de Renart. Chacun choisit ce qui lui convient le mieux, et pour les personnages trop demandés, votes à bulletins secrets.

Et forcément, il y a des déçus.

Je marche sur des œufs. Parce que ça aussi, c'est un apprentissage : apprendre à gérer cet afflux émotionnel violent. La tentation d'effacer ce moment, de le minimiser comme un "caprice", je la ressens à chaque fois. Mais je me mords les lèvres : parce que reconnaître la vérité de ce qu'ils ressentent, sans lui donner trop d'importance, me semble primordial.

"Bon. Vous êtes déçu. Est-ce que vous pensez qu'on peut faire quelque chose au niveau des rôles qui restent ?"

Thibault me regarde, le regard furieux. Ils n'ont jamais l'air furieux, les petits du collège d'Alrest. Sauf quand on leur refuse quelque chose qu'il voulait vraiment. Raison de plus pour faire face à ce souci.

"Moi je voulais jouer le lion. - Oui mais le rôle est pris. (Ton définitif). Comment faire ?"

Je lui mets le problème dans les mains. Parce que ce refus ne lui est pas extérieur. Cette émotion pénible, il a la possibilité de travailler dessus.

"Aucun rôle ne me plaît. - Alors ? - Dans l'autre classe, Sol il m'a dit il a inventé son rôle. - Oui. Vous avez une idée ? - Non... - Si vous voulez, je vous donne jusqu'à demain pour réfléchir. - D'accord."

Cette fois-ci c'était facile Ça l'est rarement autant. Combien il est délicat, combien il est précieux ce moment. Leur montrer que le refus n'est pas violence ou sadisme. Leur permettre de prendre contrôle de qui ils sont. Il est sans doute d'une prétention absolue de ma part de penser que je pourrais y changer quoi que ce soit.

Ça vaut quand même le coup d'essayer.

#saison8

[jojobegood1]

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