Books of 2024: NEVER WHISTLE AT NIGHT: An Indigenous Dark Fiction Anthology, ed. by Shane Hawk and Theodore C. Van Alst Jr.
This has a bunch of authors I already love in it (Stephen Graham Jones, Darcie Little Badger, Waubgeshig Rice, and Rebecca Roanhorse!!), and several authors I've been meaning to try (like Tommy Orange, Nick Medina, and Kelli Jo Ford, to name a few), so I'm really hyped for them all to be together in one volume! Plus dark fiction is very much my jam (especially when it comes in a bright and colorful package).
Ces derniers temps, je suis assez intrigué par le style de photos utilisées pour illustrer les “liminal spaces” (espaces liminaux) . Bien que je ne me sois que vaguement renseigné sur le sujet, j’ai cru distinguer certaines constantes définissant les photographies de ces lieux. Il me semble que ces photos sont généralement :
- prises de nuit, principalement en intérieur (mais quelque fois en extérieur).
- vides en terme d’humain ou d’activité humaine sur le moment où elles sont prises (donc à des horaires particulières).
- prises avec un flash dans un lieu sombre (dans la plupart des cas), histoire de faire ressortir le premier plan, voir d’estomper volontairement l’arrière plan.
- focalisées sur des structures ou des lieux “architecturalement” insolites, inhabituels, voir illogiques. Parfois cette bizarrerie semble volontairement mise-en-scène par le cadrage afin de camoufler l’utilité initiale d’une telle structure.
Par ailleurs, j’ai cru comprendre que de ces lieux ou photos engendraient chez certaines personnes des sentiments de mystère, d’inquiétude, voir d’angoisse et parfois même de nostalgie. Peut-être qu’elles évoquent des sortes de souvenirs ou des notions de rêves/cauchemars de par leur bizarrerie.
Du coup, intrigué par ce courant, j’ai essayé de créer mes propres photos de liminal spaces. Et bien que je connaisse et comprenne le fonctionnement des lieux photographiés, j’ai essayé de les rendre “dérangeants” grâce au cadrage et à l’utilisation de sources de lumières non-naturelles (flashs ou lampadaires).
Le grain présent sur mes photos et engendré par l’absence de lumière était pour une fois bienvenu ^^. Les seules retouches effectuées jouent sur le contraste, la saturation et les niveaux de luminosité. Ok, j’ai parfois supprimé un panneau ou retiré une inscription, mais rien qui ne modifie vraiment le sujet.
Si jamais une personne s’y connaissant en liminal space consulte ce post, je serais curieux d’avoir son avis / ses conseils.
P.S: les mêmes photos en couleur sont dans le post suivant.
all of the bugs I keep are nocturnal and averse to daylight. this means that although I can get pictures of them sitting still in bright light to show off their appearance, I can’t get any well-lit videos with my phone of them hunting or behaving normally. if I turned the lights on or used a flash, they’d get scared and stop what they’re doing.
here’s a way I’ve found that works well to record bugs in the dark without scaring them: most of these invertebrates aren’t sensitive to red light!
I illuminate the bug with a headlamp with a red light setting, and then just film them normally with my phone. I edit the saturation after so it’s not so glaringly red.
(Blaptica dubia, Blaberus discoidalis)
it’s a little fuzzy especially through scratched-up plastic, but it works well enough in my opinion to see what these creatures are doing in the dark all night!
here is Alfonso stalking a roach but deciding that he isn’t hungry enough to eat one that large: