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#ça va être SPLENDIDE
majoraajoram · 1 year
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Please welcome Antoine Daniel, alias « Le futur architecte de Notre Dame de la Merde » 👩‍🎨✨
Seeing him interact with Pomme is both very cute and super funny~
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kurosefr · 17 days
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Ooo, okay! 👉👈 So I saw that you made a post about England and France regarding their rivalry. Now I’m curious: do you have any more headcanons about how they interact, how they feel about each other, etc? Take your time answering this ask, I don’t mind, I’m just curious is all! I’m really interested about how you view the relationship between England and France (in Hetalia, but you can talk about real world stuff if you’d like). 🥺🙏
Héhéhé, ne t'inquiètes pas, j'aurais beaucoup de choses à dire, puisque France et Angleterre sont mes deux personnages préférés.
Alors go en faire une dissertation :
On va commencer par la partie Moyen-Âge avec les chibis ✨
J'ai toujours imaginé France grandir seul, loin des autres (en même temps c'est le plus âgé, donc au début il est forcément un peu seul avec les Anciens...). Mais je l'ai toujours vu comme ayant été rejeté par Rome. Pour moi, il y a une vraie rivalité entre France et Rome. Mais genre une vraie rivalité, un truc sérieux. Donc quand Angleterre est né, France a tout de suite voulu le rencontrer et l'élever, car je suppose qu'il connaissait déjà ses grands frères, ce qui serait logique en fait. Donc Angleterre était son premier véritable ami. France a toujours tout donné pour éduquer et donner une belle enfance à Angleterre. En gros, l'enfance que lui-même n'a pas eu et aurait aimé avoir. Même si Angleterre ne faisait que d'insulter France, je pense qu'il lui en était reconnaissant pour ses efforts pour lui. Il savait que France faisait un travail immense. C'est aussi pour ça que France a accepté sans aucun problème de coiffer Angleterre lorsqu'il avait laissé pousser ses cheveux. Car oui, si France était vraiment un salaud qui s'en foutait d'Angleterre, comme pensent certaines personnes, pourquoi alors aurait-il prit la peine de coiffer Angleterre ? Surtout qu'il avait l'air de s'appliquer, c'est un bon coiffeur.
Maintenant, la deuxième et dernière partie, quand ils sont adultes ✨
France et Angleterre étaient tout les deux des pays isolés. On savait qu'Angleterre l'était clairement avec sa "Splendide Isolation". Pour France, c'est plus dur de s'en apercevoir, mais ça restait quand même un peu évident. Lorsqu'il n'a pas été invité à une fête des Alliés et de l'Axe, toutes les nombreuses fois où on se moque de lui ou le rejette... J'ai toujours eu l'impression que la vie de France tournait autour de cinq personnes : Prusse et Espagne, qui sont ses meilleurs amis, Monaco, qui est sa petite sœur, Seychelles, qui est sa petite sœur de cœur et qu'il vient régulièrement voir avec Angleterre, et enfin Angleterre, pas la peine d'expliquer pourquoi. Je n'ai pas mis États-Unis et Canada, car ils sont beaucoup plus proches d'Angleterre, et France a toujours gardé une certaine rancune envers Angleterre, surtout lorsqu'il lui a volé Canada. Mais malgré la rivalité de France et Angleterre, ils étaient de bons amis, même de très bons amis. Ils se battent devant les autres, mais en privé ils sont heureux d'être ensemble. Ils n'hésitent pas à aller boire dans un pub anglais ensemble, à visiter des lieux historiques en France qui leur remémore leur passé, et à faire d'autres choses de ce type. De plus, France est toujours celui qui s'occupe d'Angleterre quand il est bourré.
J'ai même un headcanon assez drôle : Angleterre ne connaissait pas Monaco, et il ne savait pas que France avait une sœur. Un jour, il les a vu être vraiment proches, se faire des câlins, rire ensemble sans cesse... Angleterre a commencé à être déçu et aussi jaloux, car il pensait qu'ils étaient en couple et il avait peur que son meilleur ennemi ne vienne plus le voir et l'oublie.
Voilà voilà, je pense avoir assez bien répondu à ta question
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 115
Samedi Escort-boy
1er WE sans Marc.
Emma a décidé d'aller à Paris à l'opéra. Train 1ère classe, taxi, hôtel de luxe, nous voila installés dans une suite qui doit faire pas loin de 50m². Elle doit être cliente de cet hôtel car le personnel s'occupe de nous comme d'habitués et les habits pour ce soir y ont été livrés. Pas le temps de faire l'amour et pourtant ce n'était pas l'envie qui me manquait de froisser les draps. Mais Emma tenais à faire les boutiques.
A pieds, nous avons rejoint la place Vendôme. Première fois que j'y mettais les pieds, impressionnant ! Ce à quoi je ne m'attendais pas c'est que nous entrions dans une des boutiques. En fait Emma voulait faire changer le bracelet de la montre qu'elle m'avait offerte. Le rose un peu vif la gênait (plus que moi) et elle désirait le faire remplacer par un croco noir plus viril. Pendant que les choses se faisaient, elle a demandé à voir les pendentifs. Son choix s'est fixé, avec mon avis, sur un diamant blanc en forme de larme. Ce n'est qu'après l'avoir payé qu'elle me l'a mis dans les mains en me disant qu'il ne restait plus qu'à me faire percer l'oreille. J'ai rougi comme un collégien. Le vendeur affichait un sourire qui lui barrait le visage. Pour la " punir ", je me suis levé et suis allé lui rouler une pelle. Y'a pas de raison que je sois le seul gêné ! ;En attendant, il va falloir que je négocie serré avec Marc. Moi ça m ;"amuse ce genre de challenge.
De retour à l'hôtel, il était temps de se préparer. Tenues de gala, robe de grand couturier pour Emma, smoking pour moi.
L'opéra : Billy Budd, plus de 3h tout en anglais. Il va falloir que je m'améliore dans la langue de Shakespeare, je n'ai tout compris que grâce au livret. Mais la musique est belle et le thème du très beau matelot soumis à l'horrible maître d'arme à touché mon âme de midinette, ; ; ; ;le thème ou le physique de Billy Budd ?? Après la représentation, Emma m'entraine vers les coulisses pour saluer le rôle principal. Sa loge est pleine à craquer, Emma arrive à capter " Billy ", et lui adresse en anglais ses sincères félicitations. De mon coté je me contente de le manger des yeux, ce dont il s'aperçoit et de bander comme un malade, ce que le costume sait parfaitement cacher. Bousculé, il tombe sur moi. Je le retiens mais sa main vient se poser sur ma queue. Il se relève le visage vers moi et m'adresse un grand sourire. Je ne peux m'empêcher de rougir en lui sortant un petit compliment que je tournais dans la tête depuis que nous étions entrés. Emma me regarde en souriant de me voir ainsi embarrassé. Toujours est-il qu'il était tard quand nous sommes arrivés dans ce grand restaurant. J'ai pu m'apercevoir que là aussi elle était connue du personnel mais aussi de quelques clients, dont certains se sont levés pour venir la saluer. Diner splendide, j'ai rarement mangé des plats aussi élaborés.
De retour à l'hôtel, je lui arrache (en faisant attention quand même) sa robe et je quitte smoking, noeud papillon. Je l'entraine vers le lit king size, l'écrase de mon corps et l'embrasse d'une longue pelle où nos langues bataillent pour savoir qui domine l'autre. Je gagne ou elle se laisse perdre ? Depuis la visite à l'acteur principal, je suis excité. Il faut dire à ma décharge que le panta-court lui moulait bien un paquet des plus intéressants !
Je quitte sa bouche et descend lentement son cou pour arriver à sa poitrine. Un par un j'excite ses mamelons. Je ne les quitte que lorsque ses tétons sont raides et pointent d'un bon cm. Une pause au niveau du nombril et je descends jusqu'à sa chatte. Elle est excitée et mouille toute seule. J'écarte les grandes lèvres pour découvrir son clito. Je me jette dessus et le fait raidir comme les tétons. Au dessus de moi je l'entends haleter. Ma langue tourne autour de cette mini bite, j'utilise mes dents délicatement pour augmenter la stimulation. Ça marche et elle jouit bruyamment une première fois. Je remonte lui manger le visage.
Elle glisse d'elle-même vers ma bite et s'applique à me rendre la pareille. Avec le temps, elle pipe bien, sachant les stimulations qui me sont les plus efficaces. Notamment le passage de la pointe de sa langue sous la couronne de mon gland. Je suis obligé parfois de penser à des trucs gores pour éviter l'éjaculation.
Je me kpote et m'enfonce dans son intimité. C'est chaud, moite, souple, c'est un vagin ! je n'y reste que le temps de lubrifier correctement ma kpote et je lui relève les jambes contre mon torse pour l'enculer. Je m'enfonce d'un seul coup de rein. Elle s'ouvre mais je sens bien son anneau serrer ma hampe. Elle apprécie. Je place une main sur sa chatte, y enfonce mon pouce et masse son clito avec ma paume. Ça plus ma bite dans son cul, elle décolle une nouvelle fois. Je ne quitte pas son anus et je me couche sur elle pou atteindre les tétons, ça lui fait faire un peu le grand écart mais elle est restée souple. Je maintiens ainsi chez elle un degré haut d'excitation qui augmente la pression de son anus sur ma queue. Je me retiens jusqu'à ce qu'elle me demande de finir. Là je la tourne en levrette et mes mains sur ses hanches, je la sodomise selon mon propre plaisir.10 mn plus tard je remplissais ma kpote. Pendant que je lui faisais couler un bain, je me suis pris une petite douche. Nu et mouillé, je suis venu la prendre dans mes bras pour la déposer dans la baignoire.
La nuit fut courte mais bonne.
Dimanche matin,
Petit déjeuner servi dans la chambre, pantagruélique ! Mais j'avais les accus à recharger. Pour le midi, nous étions invités chez le patron de Kev. Déjeuner d'amitié entre Emma et lui et de remerciements entre lui et moi.
Quand nous entrons, la première chose que je remarque c'est le costume trois pièces de Kev. Autre chose que son truc de prêt à porter avec lequel il s'était présenté. Poignée de main à notre hôte et bise pour Kev que je présente à Emma. Nos deux " employeurs " partent vers le salon bras dessus bras dessous pendant que nous les suivons. J'ai le temps de demander à Kev si ça va. Il me répond qu'il faudrait être difficile pour trouver cela dur ! Déjeuner sympathique, le vieux de Kev demandant mon avis sur deux, trois événements économiques en cours (merci mon banquier de tenir à jour mes connaissances sur le sujet par messagerie internet). Au café, Kev demanda la permission de m'enlever pour me faire visiter son nouvel appartement de fonction.
5mn plus tard je découvrais un grand duplex au 5 et 6ème de l'immeuble voisin. Petit tour du propriétaire, cuisine immaculée (Kev me dit qu'elle ne servait qu'aux petits déjeuner puisqu'il passait le plus clair de son temps avec son boss), salon avec installation TV de compétition, deux chambres avec chacune leur salle de bain. Le tout assorti du service d'une femme de ménage.
Quand nous sommes entrés dans sa chambre, il m'a pris dans ses bras et m'a rouler un patin qui m'a fait raidir direct. Collé contre lui j'ai remarqué que c'était pareil pour lui. Nous n'avons pu nous retenir et les costumes ont volés de tous les cotés. Après un 69 vorace, j'ai été le premier à être actif. J'ai l'impression que d'être passif lui manque un peu ! D'ailleurs, malgré toute l'envie qu'il en avait, j'ai du prendre un peu de temps pour le préparer. Quand je me suis enfoncé en lui, c'était trop bon ! Un cul de mec c'est quand même autre chose, plus musclé, plus nerveux, plus exigeant aussi.
J'ai pris plaisir à l'enculer mais je me suis retenu pour qu'à son tour il me mette profond. J'ai fini à 4 pattes entre ses cuisses, enfilé sur ses 21cm. Trop bon !! Ses mains sur mes épaules appuyaient chacun de ses coups de reins. J'ai reconnu là le Kev de mes premières vacances. Il m'a limé pendant un bon quart d'heure avant que nous explosions en même temps. Nous avons pris un pied terrible ! Malgré une douche, nous n'avons pu faire illusion quand nous avons rejoint nos employeurs. Si Emma a pris la chose façon " quel sale gamin ! ", Le vieux de Kev lui a demandé de le prévenir quand il aurait besoin de ce genre de liberté. Ça va, il aurait pu le lui interdire ! Nous avons quand même passé le reste de l'après midi ensemble en devisant très agréablement, parfois même Kev et moi nous nous sommes surpris à rire aux récits d'anecdotes entre Emma et l'autre.
Pendant le retour en train, j'ai appelé Marc. Quand je lui ai dit pour le pendentif, j'ai eu droit à un blanc de bien 1 minute entière (c'est long au téléphone !). Il n'a repris la conversation qu'après que je me sois inquiété de savoir s'il était toujours vivant. Il m'a demandé ce que je voulais faire. Je lui ai dit que je comptais me faire percer des le lendemain. Je l'ai senti résigné quand il m'a dit OK. Yes ! Quand je mets la pendeloque à mon oreille ça fait style - grand d'Espagne XVIème siècle. J'adore ! Et je n'ai pas l'impression que ça me fera paraitre moins viril pour autant et puis de toute manière je n'ai rien à faire de l'avis des autres (seul celui de Marc m'importe et celui d'Emma un peu aussi). Je viens de penser à mes parents, ça risque de les choquer quelques instants. Ça va me faire rire un peu.
JARDINIER
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fantasy-mask · 1 year
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J'ai rencontré @BeuretteCagoule sur MYM. A la recherche de nouveaux fantasmes pour sublimer mes masturbations. Cette femme dévoilant ses charmes, m'a immédiatement attiré. Car son corps est incroyable. Ses formes voluptueuses m'ont fait craquer. J'avais au départ cru reconnaître mon ex derrière ce masque. D'autant plus qu'elles habitent la même région. Cela nous a fait rire, nous avons alors immédiatement sympathisé. Et immédiatement fantasmé. Malgré le fait qu'elle ne m'ait jamais montré son visage, la rencontre était inévitable. Notre attirance était brûlante. Nos perversions étaient trop similaires. Les limites étaient fixées: Elle s'autorisait des escapades extra-conjugales, je la ravissais à son mari l'espace de deux heures. Juste pour du sexe. Que du sexe. Intense.
Arrivé sur le quai de la gare, je regarde machinalement mon smartphone. Un nouveau message de ma mystérieuse inconnue.
"Je te vois. Tu me plais. Je vais te dévorer".
Elle m'espionnait. Elle connaissait désormais tout de mon physique alors que moi j'étais incapable de la reconnaître. Elle jouait avec moi. J'ai adoré. Je n'ai pu m'empêcher de regarder autour de moi. Second message:
"Tu peux me chercher ! Mais tu ne pourras pas me voir 😉. Je vais te demander de patienter encore un peu. On se voit dans une heure à notre lieu de rendez-vous prévu ?"
Elle se faisait désirer. Elle allait me rendre fou mais j'aimais ça. J'ai eu une gaule immense pendant ce voyage en train. Il faudra attendre encore un peu avant de libérer mon chibre excité. L'heure qui suivit fut interminable. Chaque minute qui s'écoulait me rapprochait davantage de la découverte de ce corps tant désiré. L'excitation montait toujours davantage. Elle m'avait cerné. Elle avait gagné.
J'arrivais à l'heure prévue devant la chambre d'hôtel. La porte était entre-ouverte. Je la poussais. Et une apparition se devoilais devant moi. Elle était assise en tailleur sur le lit. Cagoulée. Ses seins splendides et ses fesses opulentes étaient mis en valeur par une lingerie noire provoquante.
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Accordant énormément d'importance au visage et à ses expressions, je n'avais pas su au départ comment appréhender cette femme cagoulée, qui n'existait que par son corps. Puis je me suis mis à l'apprécier et à la désirer follement. Elle est devenue progressivement un fantasme. Je me suis aperçu qu'au delà de la protection de l'identité, cette cagoule était un formidable outil d'émancipation. Cet artifice lui permettait de devenir ce qu'elle voulait être. "BeuretteCagoule" a décidé d'être une salope. Une salope assumée. Débordante de féminité et de force. Jamais sur Internet un homme ne la critiquait. Car elle avait l'image d'une femme forte, sûre d'elle-même. Son corps et ses atours provoquants  était une arme offensive contre les haters. Elle n'avait pas de failles. Aguicheuse et décomplexée, elle me plaisait...
Ce fantasme se trouvait désormais devant moi. Féline, elle me regardait fixement. Intensément. Comme si elle allait me dévorer. J'ai cru qu'elle allait se jeter sur moi. Mais cette déesse orientale m'a encore surpris. Elle s'est avancé lentement vers moi, sensuellement, son regard intense me déshabillait l'âme. Nous nous sommes embrassé langoureusement. Sa main glissa alors rapidement vers ma queue. Elle me souriait:
-Tu l'as longtemps attendu n'est ce pas cette pipe de reine que je t'avais promis ? La voici. Tu ne vas pas en revenir....
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En effet, elle prit mon sexe en bouche, et a entamé une fellation extrême. J'avais l'impression qu'elle voulait me prouver à quel point elle était douée. Elle s'appliquait gouluement. A l'écoute de mes moindres mouvements et gémissements. Mon côté dominateur a alors rapidement pris le dessus. Je ne puis résister à l'envie de saisir sa tête pour enfoncer ma queue dans le fond de sa gorge. Prévoyant mes désirs, elle accéléra alors les va-et-viens. Sa bave se mélangeait à mon liquide et coulait sur sa cagoule et sur ses gros seins, sortis pour moi. Ses yeux continuaient de me transpercer l'âme. J'étais au paradis.
Je sentais que j'allais jouir et me retirais à temps. Je devais faire une pause, reprendre le contrôle de ma queue pour donner à mon mystérieux fantasme la baise torride qu'elle méritait. Il fallait profiter au maximum de ces deux heures à disposition. Nous nous sommes alors vautré sans aucun complexes dans le sexe dépravé. J'avais l'impression que cette figure impersonnelle qu'elle s'était fabriquée était entièrement dédiée au sexe torride. Cette cagoule lui avait permis de dévoiler son identité intimement cachée. Elle était un corps. Entièrement dédié au plaisir. Et quel corps !
Nous avons joui. Plusieurs fois. Et nous sommes restés ensemble un peu plus longtemps que prévu.
Je m'excusais pour cela. Elle n'eu que pour seule réponse:
-Tu restes jusqu'à demain ? J'aimerais te présenter une amie...
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dubalai · 1 year
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LE VÉLO DE BRIGITTE (CHABEUIL, DRÔME) EST AUSSI UNE BELLE OEUVRE D’ART BRUT.
D’ordinaire, Brigitte roule en vélo dans Chabeuil (Drôme) sur la drôle de machine, qu’on voit ici, compliquée et très ornementée. J’ai dû lui demander d’en descendre pour en tirer le portrait ; Brigitte a accepté en souriant, de très bonne grâce.
Brigitte roule au pas, vraiment lentement, et ne quitte pas le centre ville et ses maigres pistes réservées, le plus souvent étroites et accidentées ; ce jour-là, elle allait faire ses courses au super marché, sur la grande route de Valence, encore un peu dans le village. Faut faire gaffe tout de même, ça roule vite...Mais Brigitte va toujours au pas...
Sa machine est belle et bien tenue, pleine de peluches et de gri-gris, hérissée de rétroviseurs aux effets miroitants et éclairée par une imposante lampe à piles attachée sous le panier d’avant. Pas difficile : ‘faut tout démonter pour changer les piles...C’est un jeune du village qui me l’a installée...’ Sur ce panier, elle peut rabattre une planchette taillée à la mesure : une sorte de tablette, très astucieuse. L’auvent qui protège Brigitte de la pluie ou du soleil est formé d’un plastique alvéolé, léger mais rigide, qui couvre l’ensemble du véhicule jusqu’à l’aplomb de la roue avant. Trois parois bâchées encadrent la selle et l’arrière est orné de splendides bandes réfléchissantes de sécurité, rouges et blanches , disposées sur toute la hauteur de la machine. L’ensemble, posé et fixé sur une plate forme arrière, forme un abri, une hutte confortable, une guérite qui se déplace avec précaution, complète et rassurante, protégée du monde extérieur et peut-être aussi des voitures, par ses fétiches.
Brigitte est active dans la ville : elle aide à la distribution des nombreux colis d’entraide que distribue une association locale dévouée à soulager les difficultés des pauvres  à Chabeuil et alentours. Aussi elle participe avec assiduité à un atelier de peinture amateure et je connais deux collectionneurs chabeuillois qui lui ont acheté de petites toiles très bien composées, et qui les exposent en bonne place chez eux.
L’expression n’est guère satisfaisante, et sujette à bien des incompréhensions, mais les toiles de Brigitte, tout comme son vélo, c’est de l’’art brut’. De l’art à part entière qu’on appelle aussi l’art des outsiders tant sont perceptibles les difficultés existentielles de leurs auteurs. Ces artistes ont un grand musée, très beau et intriguant, à Lausanne, et un autre à Montpellier, où on peut admirer leurs oeuvres étranges, rêveuses (ou cauchemardesques) ou torturées, où on trouve justement ces oeuvres ‘brutes’ qui, d’ailleurs, montrent très souvent des avions, des locomotives, des voitures, et des vélos, toute sorte de machines. Bref, l’art brut s’occupe beaucoup de transport (et aussi d’armements, de plans de ville, d’architecture...), une sous spécialité, en somme, qui semble occuper beaucoup ces ‘outsiders’ qui composent comme mécaniquement leur oeuvre de détails et d’obsessions...
Dans cette chronique dédiée aux ‘luftmensch’ (si toutefois ces mots : ‘gens de l’air’... permet de mieux comprendre ce qu’ils sont...), j’ai déjà montré de ces vélos à la fois surchargés de vie et pleins de légèreté, un à Crémone en Italie, et deux autres à Valence. Voici donc maintenant celui de Brigitte, un croquis de fantaisie, amicalement brossé pour lui recommander encore une fois d’être prudente...On comprend en effet trop bien que les automobilistes chabeuillois ne sont pas tous sensibles à l’art brut, pas assez en tous cas pour passer au large du beau vélo de Brigitte......
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De l'art de faire une randonnée sans se préparer.
Aujourd'hui nous avons décidé d'approfondir notre visite du parc national de Phong Nha par une petite randonnée de 6,5km. Sûres de nous, et souhaitant prévoir large, nous nous sommes dit qu'elle serait torchée en 3 heures.
On commence à s'enfoncer dans la jungle sur un chemin tout mignon.
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Ici, tous les arbres du parc sont recouverts d'une sorte de liane, qui donne l'impression qu'un tapis de poussière verte est posé sur la forêt.
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On longe une petite rivière, avec plein d'endroits où se baigner, et même une grotte souterrainne que nous n'avons pas visiter, ne souhaitant pas nager pendant 3 heures.
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Après 2 heures de marches, nous atteignons le but de la randonnée, une immense grotte !
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Ici, lorsque l'eau goutte, cela fait des trous dans la roche plutôt que des stalagmites.
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Nous avançons pendant un certain temps dans la grotte, et pouvons entendre au fond les bruits d'une cascade. N'étant malheureusement pas équipées pour de la spekeo, nous ressortons tristement à la surface.
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Et c'est la que l'histoire se corse. Souhaitant fermer la boucle de la randonnée, nous prenons le premier chemin partant vers la droite, et montons la côte de 20% avec enthousiasme pendant une vingtaine de minutes. D'ailleurs, c'était à se demander parfois si nous étions bien sur un chemin...
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Par mesure de sécurité, nous vérifions sur notre GPS si nous sommes au bon endroit. Et là, catastrophe, on se trouve au milieu de nulle part, le chemin menant vers la direction opposée à celle souhaitée. Retour vers la grotte, nous relongeons la petite rivière en cherchant régulièrement le long de la berge ce fameux chemin sensé fermer la boucle. Et là, recatastrophe. Nous sommes tombées sur une saloperie bien pire que les méduses, les moustiques, les orties, les ronces, et tous les machins destinés à nous pourrir la vie : une sorte de plante qui pique sa mère. On s'est fait piquer il y a 4 heures maintenant et ça brûle toujours !!! J'aime pas la nature, j'veux rentrer à Paris. Ayant compris que le ciel souhaitait qu'on fasse demi tour, le long du chemin emprunté la première fois, nous sommes revenues vers notre point de départ, 5h30 après ledit départ, à 15h30 donc, sans avoir mangé quoique ce soit. Eh oui, on avait juste prévu un peu d'eau.
Au final super balade (la grotte était dingue et les paysages splendides, et on a vu des singes !! ), mais j'espère vraiment que nos bras ne vont pas se transformer plaques purrulentes pendant la nuit.
Et maintenant, c'est partie pour un petit bus de nuit direction Ninh Binh ! Ça va être rigolo vu la largeur des couchettes et le fait que le moindre contact sur nos bras s'apparente à un écorchage à vif.
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silenceauthor · 4 months
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Première fois
Je n’aurais jamais cru commencer une nouvelle année de cette manière. Dormir avec toi, seul à seul, pour la première fois. La première nuit de l’année passé dans tes bras. J’avais beau attendre le sommeil, être dans tes bras si tard faisait disparaître toutes onces de sommeil. La chambre dans laquelle nous étions était imprégnée de la pénombre de la nuit, mais ce qui était sûr c’est que nous étions réveillés. Une tension palpable résidait entre nous, et lorsque je voulu poser des mots dessus tu m'embrassas. Un baiser de passion qui apporte du réconfort. Ce doux mélange de baisers et de câlins était tellement agréable que cela semblait irréel. Je descendis légèrement pour embrasser ton cou. A ce moment je comprit que j’avais envie de découvrir une nouvelle forme de tendresse; la tendresse physique. Tu enlèves ton pull et nous restons immobiles, j'étais allongé sur toi, tes bras enroulés autour de ma taille. Entre deux baisers, je te demande si c’est possible d’aller plus loin. De coller ta peau contre la mienne. Être qu’une boule d’émotion. Tu acceptes mais par manque d'expérience nous sommes un peu perdus. Un stress entremêlé à de la peur vient semer le doute dans mon esprit. Cet instant ressemble à ça: tu es en tailleur et je repose sur tes cuisses. Le silence s’empare de mon esprit et me fait douter. J’ai peur. Peur de ce que tu vas faire, peur de tes mouvements, peur de ton regard, peur de ton jugement. Tu me demandes si je veux toujours essayer cette nouvelle expérience, ce que j’approuve. Une fois le torse entièrement nu, malgré l’obscurité de la nuit qui nous oblige à distinguer chaques formes. Je trouve ce que je vois magnifique, d’une beauté sans égale. Tu es tout simplement splendide. Je découvre ton corps avec mes mains, chaque relief de ta peau. Je sens que tu a peur de deviner comment mon corps est fait. Nous sommes très différents et cela peut effrayer. Mais ce moment avec toi calme toutes les inquiétudes au fond de moi. De l’apaisement, du bien-être, de la confiance et de l’Amour. C’est tout ce que je ressens à cet instant précis. Nous retournons sur une position allongée et cette fois si j’explore ton torse avec ma bouche. Je te couvre de baiser, je te fait ressentir ma respiration sur ta peau tout en continuant de parcourir mes mains sur ta poitrine, puis ton abdomen et enfin tes hanches. Je sens ton cœur battre si vite que l’on dirait un tambours, cela me soulageait de savoir que je n’était pas la seule à ressentir une profonde excitation. Une fois sur le côté je t’invite à découvrir mon corps en prenant ta main et en la mettant sur mes hanches. Tu t'amuses à parcourir tes doigts jusqu'à ma poitrine ce qui me fit ressentir une multitude de papillotements. Nos jambes se sont serrées davantage mélanger à la sensation de tes lèvres sur les miennes. Je crus et je crois rêver. Cette première fois avec toi a été tellement soudaine qu'elle me restera gravé dans la mémoire a jamais.
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euphralivres · 9 months
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Pumpkin Automne Challenge 2023
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L'automne arrive petit à petit, et avec lui, le traditionnel Pumpkin Autumn Challenge du Terrier de Guimause et cette année, pour la première fois, j'ai décidé de relever le défi !
Voici donc la PAL de mon premier Pumpkin Automn Challenge.
AUTOMNE FRISSONNANT
Viens flotter avec nous
horreur - thriller - clown - épouvante - fantastique - rouge
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Cette première catégorie étant inspirée par Stephen King, c'est donc un de ses livres que j'ai choisi de lire : Cujo, du nom d'un Saint-Bernard qui va se faire mordre par une chauve-souris, transformant l'été de tous ceux qui l'approchent en cauchemar.
Cela faisait un moment que je souhaitais tenter de lire des romans d'horreur, je saisis donc l'occasion pour m'y mettre.
L'enfer des backrooms
dimension parallèle - cryptique - labyrinthe - internet - légende urbaine - mystère
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Une uchronie pour continuer ce Pumpkin Autumn Challenge (et donc une dimension parallèle) avec La part de l'autre, d'Eric-Emmanuel Schmidt. Dans ce livre, l'auteur imagine ce qui se serait passé si Adolf Hitler n'avait pas été recalé de l'école des Beaux-Arts de Vienne.
J'avais essayé de lire ce livre il y a quelques années, mais je n'étais pas allé au bout. Néanmoins, le résumé continue de me faire envie, et je vais donc laisser une deuxième chance à ce livre, en espérant que ça marche mieux que la première fois.
Perfectly splendid
fantôme - famille - manoir - possession - gothique - drame
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Avec le mot manoir dès le titre du livre, je me suis dit que Le manoir des dames, de Patricia Wentworth rentrerait parfaitement dans cette troisième catégorie.
Dans ce cosy mystery, Miss Maud Silver, ancienne gouvernante reconvertie en détective, est engagée pour enquêter sur les finances d'Allegra et George Trent tandis que ce dernier veut utiliser les finances de sa femme pour racheter un domaine en ruine.
C'est la première fois que je vais lire un livre de cette autrice, et avec cette enquêtrice. J'en ai lu de très bons retours et j'espère ne pas être déçue.
AUTOMNE DOUCEUR DE VIVRE
Something wicked this way comes
halloween - automne - octobre - fête foraine - enfance - cauchemar
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Ici, je me suis concentrée sur le mot-clé "enfance" et j'ai choisi le premier tome de la saga Animale de Victor Dixen, qui est une réécriture du conte de Boucle d'or.
Ça faisait plusieurs années que je voulais lire ce livre, mais je ne l'ai acheté que très récemment. Je suis donc curieuse de voir ce que va donner cette réécriture.
Poupée de souvenirs automatique à votre service
épistolaire - correspondance - sentiments - émotions - amour - deuil - gratitude - guérison
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Pour cette catégorie, j'ai choisi La police des fleurs, des arbres et des forêts, de Romain Puértolas, un roman policier, mais dans lequel on va suivre les avancées de l'enquête notamment grâce à la correspondance entre l'enquêteur et la procureur.
Une enquête qui porte sur la mort de Joël, retrouvé découpé en morceaux dans une cuve de l'usine à confiture du petit village de P., au cours de l'été 1961. Le crime est si horrible qu'on fait appel à un officier de police de la ville voisine, l'un des meilleurs de la région, pour tenter de retrouver l'assassin.
J'ai totalement craqué pour la couverture de ce livre, et le résumé sur Livraddict m'a beaucoup intrigué, je suis donc impatiente de découvrir ce roman.
La dame chouette des îles bouillantes
sorcière - magie - malédiction - école - parcours initiatique - amitié
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Les mots-clés de cette catégorie m'ont immédiatement fait penser au Livre des sortilège, le deuxième hors-série de la saga Campus de Kate Brian.
On reste dans le même lieu que dans la saga, le prestigieux lycée d'Eston, mais les personnages changent complètement puisque l'action se déroule plus d'un demi-siècle plus tôt, et on rajoute un soupçon de fantastique avec de la sorcellerie qui vient se mêler à l'intrigue.
En général, je n'apprécie pas vraiment quand des éléments surnaturels s'immisce dans un univers qui était jusqu'alors très réaliste et je pense que ça avait un peu altérer mon plaisir lors de ma première lecture de ce livre mais j'ai envie de le redécouvrir, en le prenant comme un livre à part de la saga, dans lequel la sorcellerie est présente dès le départ.
La loi fondamentale de l'échange équivalent
lecture/visionnage commun·ne - partage
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Pour cette catégorie, pas de livre, mais une série puisque je fais découvrir Lucifer à ma maman. C'est donc notre visionnage commun du moment.
Pour ceux qui ne connaîtraient pas cette série, comme le titre l'indique, on va suivre Lucifer Morningstar, le diable, qui a décidé de quitter les enfers pour aller s'installer à Los Angeles où il devient patron de boîte de nuit. Alors qu'une de ses amies se fait tuer sous ses yeux, il décide d'aider la police pour retrouver l'assassin. Il va ainsi commencer à assister Chloé Decker, usant de ses pouvoirs de diable pour l'aider dans ses enquêtes. Mais en parallèle, Amenadiel, le frère de Lucifer, vient sur Terre pour tenter de le ramener en enfer.
Cette série suit le rythme d'une enquête par épisode (que personnellement j'apprécie, mais qui déplaît, je le sais, à pas mal de monde), mais il y a aussi une intrigue suivie qui s'étale sur l'ensemble d'une saison et on s'amuse beaucoup devant le comportement des êtres célestes qui ont parfois du mal à s'adapter aux règles élémentaires du monde des humains.
AUTOMNE DES BOIS ET AU-DELÀ
Pomme alors ! C'est le goût de la tarte aux amaudes !
animaux - mémoire - intergénérationnel - thé - gourmandise - altruisme - tendresse - aide - guide
On arrive sur la première catégorie pour laquelle je n'ai pas trouvé de livre pour l'instant, donc je la laisse de côté même si le titre et les mots-clés me font très envie.
La légende de la hache noire
médiéval - chevaleresque - quête - épopée - illustré - fantasy
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Encore une relecture pour cette catégorie avec La quête de l'oiseau du temps, de Serge Le Tendre et Régis Loisel.
Ici, le dieu maudit Ramor est sur le point de s'échapper de la conque dans laquelle il a été enfermé. Pour l'en empêcher, la sorcière Mara a besoin de temps mais elle en manque. Elle va donc envoyer sa fille, Pélisse, et son ancien amant le chevalier Bragon partir en quête de l'oiseau du temps.
J'ai découvert cette BD quand j'étais enfant, dans la bibliothèque de mes parents et je l'avais adorée. Ça fait des années que je ne l'ai pas relu, et j'ai envie de me replonger dans cet univers. (Et de retrouver le Fourreux. Il est beaucoup trop mignon.)
La mélodie infernale de la corne de chasse
monstre - créature - wyvern - expédition - aventure
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Puisqu'il s'agit de monstres dans cette catégorie, j'ai décidé de lire Les mémoires de Vanitas de Jun Mochizuki, un manga dans lequel le Paris du XIXème est soudain attaqué par des vampires alors que ceux-ci ne sont pas censés s'en prendre aux humains.
Je ne connaissais absolument pas ce livre jusqu'à ce qu'on me le prête, et je suis curieuse de voir ce que ça va donner.
Rocket raccoon on the run
mutation - expérience scientifique - science-fiction - chasseur de prime - gardien - galaxie
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Je ne sais pas si on est vraiment sur de la science-fiction avec Phobos de Victor Dixen, mais ça se déroule dans l'espace/sur Mars, donc on va dire que ça rentre dans la catégorie.
Dans cette saga, on suit le programme Genesis, une émission de speed-dating à l'échelle mondiale qui se déroule dans l'espace afin de créer une colonie sur Mars. Mais au moment de partir, Léonor, l'une des candidates, fait une découverte qui va tout changer.
J'avais beaucoup apprécié les deux premiers tomes, notamment les intrigues à côté de la romance (même si elle reste assez centrale), et ça fait beaucoup trop longtemps que j'ai le tome 3 dans ma PAL, c'est l'occasion de l'en sortir.
AUTOMNE RAYONNANT
We'll always find a way
cristaux - facettes - singularité - diversité - inclusivité - feel good
Une deuxième catégorie pour laquelle j'ai manqué d'inspiration, je n'ai donc aucune lecture de prévue pour cette catégorie pour l'instant.
L'esprit indomptable de Jo March
place de la femme - indépendance - ambition - rêve - sororité - théâtre - écrivaine
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Dans Du miel sous les galettes, Roukiata Ouedraougo nous fait le récit d'une petite fille confronté à l'univers des hommes. Un livre qui me semblait donc parfaitement adapté à cette catégorie.
J'ai découvert Roukiata Ouedraougo en tant qu'humoriste, sur France Inter, et je l'ai entendue s'exprimer sur le sujet de l'excision. Quand j'ai appris qu'elle sortait un livre, j'ai eu très envie de découvrir ce qu'elle avait à raconter. J'ai hâte de me plonger dans ce récit.
Siul a ruin, Maureen
Irlande - petit peuple - mythes et légendes celtes - nature writing - vert
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Et je termine ce Pumpkin Autumn Challenge par une nouvelle relecture : Artémis Fowl, d'Eoin Colfer.
Depuis que son père a disparu, sa mère est malade et Artémis, 12 ans, est donc libre de faire ce qu'il veut. Doté d'une intelligence supérieure, il a donc décidé de reprendre les affaires familiales en devenant un génie du crime. Et il ne faudra rien de moins qu'un génie pour parvenir à réaliser son dernier projet en date : voler l'or des fées.
Une saga qui se passe en Irlande et qui met en scène des fées, des farfadets, des centaures et des nains, et qui colle donc parfaitement aux mots-clés de cette catégorie. Le premier tome est l'un de mes préférés et j'ai très envie de me replonger dedans à l'occasion de ce Pumpkin Autumn Challenge.
Si vous voulez en savoir plus sur le challenge, je vous laisse la vidéo de Guimause. Bon challenge à tous·tes et bonnes lectures!
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martinique2023 · 1 year
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Mardi 23 mai: rencontres improbables...
Marie et Nils sont arrivés en janvier en Martinique et ont fait différents woofings...notamment dans le nord à Balata, leur pti coin coup de cœur: tu es à 20 min au nord de fort de France en pleine forêt tropicale...l'air est plus frais et cela ne t'empêche pas d'avoir la vue sur la mer des Caraïbes.
Marie voulait me montrer l'endroit et a demandé à Murielle si on pouvait venir à 3 passer l'après-midi/soirée et dormir chez eux...
Petit passage par la cascade d'Absalon...petit Havre de paix au cœur de cette végétation verdoyante, puis direction Balata chez Murielle et Olivier...
Un lieu typique et atypique en même temps...
Ils ont pour projet de réhabiliter une ancienne maison créole pour la transformer en hébergement touristique...lui doit être issu d'une famille d'aristocrates et a hérité de nombreux meubles...elle est native de Balata et la demeure appartenait à de la famille éloignée...
Encore pas mal de travail à faire (car ils ont racheté il y a 5 ans dans un état de délabrement)mais le site est magnifique : d'un côté les pitons du Carbet, de l'autre la mer des Caraïbes...4 hectares de forêt tropicale...et une maison créole typique.
Un accueil de Princesse...spécial dédicace à Murielle pour ses accras..
Deux personnes dont je pourrais en parler un moment au vue de leurs différences et complicité...ça vaudrait le coup de revenir dans 3,4 ans...si ils vont au bout du projet, ça va être splendide...
...belle balade entre deux déluges...et de nombreux échanges super intéressants... une très belle journée.
Merci encore à Murielle et Olivier pour leur accueil chaleureux.
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lesombresdeschoses · 1 year
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MICHELLE
On aimerait tous se faire son prof, son patron ou son psy. Si, bien sûr, il est beau et charismatique. Enfin, en même temps pourquoi aller chez un psy, si ce n'est pour sa belle gueule et son répondant ? Du moins, c'est ce que j'en pense. Je n'ai pas besoin d'aide, en tout cas, je n'en veux pas. Je m'en sors très bien toute seule. Mon psy ? Une bombe ! La gueule cassée, grand, très bien bâti. J'adore cette sensation d'être à côté d'un monument imposant, un temple de sérénité et de puissance physique. Mon psychanalyste, je l'ai minutieusement choisi. Mon frère est mort, il y a quelques années. A ce moment-là, sans doute, j'aurais eu besoin d'une écoute. Mais tout le monde me tournait le dos, alors je me suis renfermée. A tel point, qu'un jour, je me suis réveillée pour me rendre compte que je n'avais pas d'amis. A mon âge. Les gens meurent autour de moi. Je déteste ça. La mort. Je me fiche qu'on me dise qu'après la mort il y a une vie. Je n'en sais rien. Ça ne m'enlèvera pas cette boule d'angoisse que je ressens, chaque fois que je pense à une personne que j'ai perdue.
— Vous avez peur de la mort ?
— Non, ça m'est égal de mourir, je voudrais juste qu’elle me rende ceux que j'aime.
A chaque séances avec mon psy, j'ai une envie insoutenable de lui arracher sa chemise.
Michelle marche d'un pas empressé, son téléphone mobile à la main. Elle consulte ses textos, puis sa messagerie, son petit Prada calé sous le bras droit, un sac format raisin, plein à craquer, alourdissant son épaule gauche. Jeune architecte-designer, elle court de contrat en contrat. Si bien, qu'en un an elle a pu acquérir un splendide loft, avec vue sur central parc. Quand Oswin-Michelle Osborne trouve le temps, elle s'adonne à la sculpture et s'y noie complètement. Elle peut oublier de manger pendant des jours. Le contrat sur lequel la jeune femme travail en ce moment, lui prend toutes ses journées et son énergie. Depuis la mort de son frère, il y a deux ans, elle s'est entièrement consacrée à sa carrière et à mis de côté sa vie sentimentale. « Cas classique », vous dirait votre psy. Effectivement. Mais la jolie blonde est une rêveuse. Elle préfère s’imaginer l'élue de son cœur plutôt que de subir un énième échec. La designer essaie désespérément d'attraper un taxi. Humainement. En levant la main. Rien n'y fait. Si ces boites de conserve jaunes continuent de défiler ainsi sous son nez, elle va finir par être en retard. Soudain un homme la bouscule, il se retourne pour s'excuser, puis continue son chemin. Michelle reste figée un instant. Elle semble pensive, mais sa tête est vide. Finalement, excédé par ces yellow cabs la narguant effrontément, Osborne descend sur le boulevard. Un taxi freine brusquement, arrêtant sa course à deux centimètres des genoux de la jeune femme. Le chauffeur commence à crier, en réponse à ses insultes, elle lui assène l'adresse de son client et lui rétorque, en entrant dans son véhicule :
— Oui, Doc, moi aussi je bosse !
Michelle se charge d'aménager une boutique de mode sur la cinquième avenue. Le projet est vraiment intéressant. La façade du magasin est une grande baie vitrée. La lumière inonde tout le volume. Le bâtiment est construit en mezzanine avec un bel escalier centrale, aux marches transparentes.
Les chaises seront des Stark ! C’est indéniable !
La surface totale fait près deux cent mètres carrés. Cent vingt cinq au rez-de-chaussée et soixante quinze à l'étage. La jeune femme a élaboré tous les plans, ainsi que plusieurs perspectives en couleurs de ce que devrait être l’espace après les travaux. Il lui faut convaincre le client, aussi elle pourra diriger le chantier jusqu'à la réalisation du projet. Osborne est confiante. Son idée est originale, esthétique, sobre, efficace. Une pensée la préoccupe maintenant : cette rencontre, ce regard...
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i7traductionfr · 2 years
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DUSK TiLL DAWN
Intro / 17:00 à 18:30 / 19:15 à 21:00 / 21:45 à 01:15 / 03:45 à 06:59
17:00 à 18:30
17:00
??? : Rapport de Beau Gosse. Nous avons atteint le centre de la rue principal. Terminé.
Gzzt.
Voix venant de l’émetteur-récepteur : <Ici, Sucre. Arriver confirmée. Votre objectif, l’Hôpital Général Central, se trouve à environs 1 500 mètre. Le moyen le plus rapide de l’atteindre et de foncer dans le tas. Terminé.>
Gzzt
??? :  C’est moi, Pâtissier. Foncer dans le tas ? Ne sois pas stupide, ils sont de plus en plus nombreux autour de nous.
??? : La rue est suffisamment large pour qu’on puisse éviter tout contacte avec eux.
??? : C’est vrai, mais…
Gzzt
Voix venant de l’émetteur-récepteur : <Si Pâtissier veut tellement les éviter, vous pouvez aussi utiliser cette bouche d’égout pour vous y rendre. Aussi répugnant et nauséabond que ce soit.>
Voix venant de l’émetteur-récepteur : <J’en ai rien à foutre de ce que vous faites les gars.>
??? : Les deux options sont pourries ! De plus, c’est pas une manière de parler à ses supérieurs !
??? : … Mick, tais-toi.
Uooooorgh
Woooooouh
??? : Il y a des civils en danger devant nous.
Mick : Mais, nos directives n’incluaient pas le sauvetage de civils, non ?
??? : J’y vais.
Mick : Attendez, Cap !
17:30
Taratata
Mick : Hé ! Vous là, rien de cassé ?!
??? : Pff, Pff… On-On est sauvé…
??? : Haan, haan…
??? : Haha… Ahahahahah ! C’était INCROYABLE !
??? : J’ai sauté du haut de la voiture et tu as lancé une pierre, Yamarson ! Ahaha !
??? : P-Pourquoi ça l’air d’autant t’amuser ?!
??? : Peut-être que ce gars est devenu fou…
??? : C’était un coup splendide. Hi hi.
??? : Quels sont ces choses… ?! J’en ai assez d’eux…
??? : … Ils semblent être en sécurité.
Mick : Heu, les gars, vous n’êtes pas blessé, n’est-ce pas ?
??? : Oui, vous nous avez sauvés ! J’ai bien cru qu’on était finis une fois qu’ils nous ont encerclés… 
??? : Merci beaucoup !
??? : … Êtes-vous une équipe de sauvetage ?
Mick : Non, nous sommes I.DOL
??? : I.DOL est une unité de forces spéciales…
??? : Ici, Beau Gosse. Nous avons secouru deux civils. Demande de prise en charge, terminée.
Gzzt
Voix venant de l’émetteur-récepteur : <Reçu cinq sur cinq. Envoie d’un hélicoptère de secours. Terminé.>
Mick : Parfait, l’hélicoptère sera là d’une minute à l’autre. En attendant, on devrait vous mettre dans un endroit sûr…
??? : Mick. Faisons un peu de ménage, d’abord.
Wouuuuuh
Uoooorgh
Mick : Hugh… D’où est-ce qu’ils viennent ?
??? : Argh… !
??? : Ah, celui-là a un panneau de signalisation à la place de la tête !
Mick : Rester en arrière, tous les deux. On va se charger de ces choses !
??? : Mick.
Mick : Bien reçu.
Clic
Mick : C’est parti !
Boom
18:00
Taratata
??? : Extermination complétée.
Mick : Très bien ! Zone nettoyée !
??? : Que ce passe-t-il ? Que sont ces monstres ?
??? : Est-ce que ce sont des zombies ?! C’est des zombies, n’est-ce pas ?!
Mick : H-hé, calmez-vous !
??? : J’ai vu quelqu’un se transformer en l’une de ces choses… !
??? : Ils absorbent tout ce qui se trouve à leur proximité…
??? : Ah, si ce sont des zombies, alors leurs morsures peuvent être contagieuses ! J’ai tellement besoin de savoir !
??? : Hé… Les zombies ne sont pas une blague ! Vous savez quelque chose, n’est-ce pas ?! Dites-nous ce qui se passe !
Mick : C-Calmez-vous !
??? : Je viens juste de me faire attaquer ! Comment pourrais-je me calmer ?!
??? : … C’est confidentiel.
??? : Pourquoi ?! J’ai besoin de savoir !
Mick : A-Attendez une seconde !
Gzzt
Voix venant de l’émetteur-récepteur : <Beau Gosse, nous avons des problèmes ! J’ai appelé pour un hélicoptère de sauvetage, mais personne ne répond.>
??? : Comment ça, Sucre ?
Gzzt
Voix venant de l’émetteur-récepteur : <J’ai essayé les autres escouades et la radio d’urgence, mais rien ne se passe. Les choses se présentent mal.>
Voix venant de l’émetteur-récepteur : <Que dois-je faire ?>
Gzzt
Mick : … Tu te moques de moi.
??? : ……
??? : On va emmener ces deux-là avec nous.
Mick : C-Cap ! Vous voulez dire qu’ils vont nous accompagner ?!
??? : C’est pour leur survie.
Mick : Hugh… Compris !
??? : D-De quoi parler vous ? On n’était pas censé être secouru ?
Mick : Désolé, mais le plan a changé. Vous venez avec nous.
??? : Hein ?! Comment ça ?!
Mick : On a affaires à l’Hôpital Général Central. Vous venez avec nous, pour commencer.
Mick : Il devrait aussi y avoir une équipe de sauvetage.
??? : L’Hôpital Général Centre…
??? : … Ah, hum, mon ami est là-bas ! Savez-vous s'il est en sécurité ?
Mick : Je ne sais pas, mais on le protégera si on le trouve. Mais sachez, que notre mission passe en priorité.
??? : A-Attendez une seconde ! Vous devez nous expliquer ce qui se passe d’abord !
??? : Oh, c’est vrai ! Qu’est-ce qu’était le monstre de tout à l’heure ? Un zombie comme je le pense ?
??? : … Si vous nous le dites, on va vous suivre sans nous plaindre.
??? : … Très bien.
Mick : Cap…
??? : Comme il l’a dit, une explication est nécessaire si on veut qu’ils nous suivent.
??? : Super !
??? : Mick, si tu le veux bien.
Mick : … Eh bien, je suppose qu’on aurait à vous le dire tôt ou tard…
Mick : … Comme vous l’avez dit ces choses sont des sortes de zombie.
??? : Je le savais !!!
Mick : Nous appelons ceux que vous avez vus “les Rassembleurs”.
Mick : Tout cela est la cause d’une infection virale.
??? : Rassembleurs… Une infection virale…
Mick : Si des fluides corporels comme le sang ou la salive pénètrent dans votre corps, vous êtes infectés. De même si vous vous faites mordre ou griffer.
??? : ……
Mick : Pour une personne à la santé normale, cela prend environ une demi-journée pour que l’infection se propage.
??? : Incroyable ! Donc les zombies existent ! Comme dans les films !
??? : Vous n’êtes pas sérieux…
Mick : C’est un peu près l’essentiel. D’ailleurs, c’est quoi vos noms ?
Somas : Je m’appelle Somas !
Yamarson : … Yamarson.
Mick : Ok. Yamarson et Somas.
Mick : Je suis Mick, un officier d’I.DOL. Voici le capitaine Nagistopher.
Nagistopher : Ravi de vous rencontrer.
Mick : Somas, tu es un étudiant ? As-tu déjà tenu une arme à feu ?
Somas : Oui. J’ai suivi un cours une fois !
Mick : Alors, prends ça. Vous devriez être capable d’utiliser une arme de poing.
Somas : O-ok !
Nagistopher : Vous pouvez avoir ça.
Yamarson : … Je n’ai pas d’arme à feu ?
Mick : Ces armes sont en cas d’urgence uniquement.
Tchac
Yamarson : Hein ?!
Taratata
Uooorgh
Yamarson : Ah ?!
Somas : Quand est-ce qu’ils ont… ?!
Mick : On s’occupe de la baston. Concentrez-vous sur votre sécurité.
Somas : T-Très bien.
Nagistopher : Bon, en route.
Mick : Ah, par ailleurs. J’ai oublié de vous demander quelque chose d’important.
Mick : … Vous n’avez pas déjà était mordu ou griffé, n’est-ce pas ?
18:30
??? : Hé, Io. On est en sécurité ici, hein ?
Io : Pour l’instant. Mais je ne sais pas combien de temps cette barricade tiendra…
??? : Très bien… N’empêche, vous êtes vraiment fort !
Io : Hein ?
??? : Vous m’avez sauvé d’une attaque, n’est-ce pas ? Les vaincre d’un seul coup relève de l’exploit !
Io : C’était juste de la chance !
Io ; De plus, ces choses sont lentes, donc un coup dans leurs jambes peut les empêcher de bouger.
??? : Oh. Je vois ! Je pense que le fait que vous puissiez les analyser aussi calmement est tout aussi incroyable !
??? : Moi, de l’autre côté, j’ai paniqué et gaspillé toutes ces munitions…
Io : Je suis habitué à l’arc, vu que je fais du club de tir à l’arc.
Io : Tu verras, tout ira bien une fois que tu t’y seras habitué.
??? : Vraiment ?
Io : Oui. Tu peux commencer par prendre une profonde respiration et de détendre tes épaules avant de viser.
Io : Rien qu’avec ça, ta précision devrait augmenter.
??? : Très bien ! Je vais essayer la prochaine fois !
Io : C’est étrangement silencieux tout d’un coup…
??? : … Je me demande ce qui se passe dehors.
Io : … Attends ! R-Regarde ça, la ville est en chaos ! Ces montres sont les mêmes que ceux qui ont attaqué cet hôpital.
??? : C’est…
Io : *Soupir* Je me demande si Somas va bien…
??? : Somas ?
Io : Mon camarade de classe.
Io : On était ensemble jusqu’à récemment, on a dû se séparer, car j’avais affaire dans cet hôpital.
Io : Je n’arrive pas à le joindre.
??? : C’est inquiétant…
Io : ………
??? : … Ah, hum ! Je ne suis jamais allé à l’école, donc je vous envie d’avoir un camarade de classe aussi proche !
Io : N-Non… Cela signifie juste que j’ai une chose de plus à m’inquiéter…
??? : Comment il est ? Ce Somas ?
??? : Ah… Désolé, je ne voulais pas demander quelque chose d’étrange ! Je n’ai pas d’amis, j’étais juste curieux de savoir comment c’est…
Io : Y a pas de problème, je suis un peu comme toi…
??? : Hein ?
Io : Il… Somas a été mon ami depuis qu’on était petit.
Io : C’est un gars ennuyeux qui perd de vue tout ce qui se trouve autour de lui dès qu’il se trouve une nouvelle obsession.
Io : … Je suis sûr qu’il doit s’amuser même maintenant, car il doit penser que tout ceci, c’est “comme dans un film”.
??? : Oh ! Il a l’air d’être une personne intéressante !
Io : Rictor… c’est ça ? Pourquoi es-tu ici ?
Rictor : J’étais appelé ici par certaines personnes, mais je ne les ai pas vus…
Io : Certaines personnes ?
Rictor : Les docteurs qui se sont occupés de moi quand j’étais enfant.
Rictor : Ils m’ont envoyé ceci…
Io : Une lettre… ?
Rictor : “Nous t’attendrons à l’Hôpital Général Central, le 30 octobre à 16:00. Tu vas enfin connaître la vérité.”
Io : …… La vérité sur quoi ?
Rictor : Je ne sais pas. Mais je suis sûr que cela doit être important.
Io : Je vois… Tu dois avoir vraiment confiance en ces personnes.
Rictor : Oui ! Ils sont tous les deux chères à mes yeux.
Rictor : Ah, j’ai reçu ça aussi !
Rictor : “De l’air merveilleux, toujours avec toi, c’est un masque magique~♪”
Rictor : Trop cool, non ?!
Io : *Soupir*… Tu sais, je me demandais…
Rictor : Quoi ?
Io : C’est quoi le problème exactement avec ce masque ?
Rictor : C’est évident, c’est dangereux dehors. L’air est pollué avec toutes sortes de virus et de bactéries !
Rictor : Alors, pourquoi, vous ne portez pas de masque ?
Io : Les gens normaux ne portent pas ce genre de choses !
Io : C’est toi la personne étrange…
Uooooorgh
Rictor : Ah ! La barricade !
Woooooouh
Io : Calme-toi ! On va tous les abattre, un par un !
Rictor : T-Très bien… !
À suivre…
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sweetshysuga · 2 years
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Moonchild
"Nous sommes nés au clair de lune. Ce n'est pas une fantaisie. On ne peut respirer à la lumière du soleil. Il faut cacher son cœur. Nous sommes nés pour être triste, triste, triste, triste. Souffrir pour être heureux, heureux, heureux, heureux
Allez, vous tous, enfant de la lune, enfant de la lune. C'est comme ça que c'est censé être. Oui, toute la douleur et tout le chagrin. C'est notre destin, tu vois ? Ma vie et la tienne étaient comme ça. On doit danser sous la pluie, danser dans la douleur. Même si on s'écrase, on va danser dans l'avion.
Nous, plus que quiconque, avons besoin du paysage nocturne. Moi seul, et personne d'autre, me console. C'est normal de verser des larmes mais ne te déchire pas. Enfant de la lune, tu brilles. Quand tu te lèves, c'est ton heure.
Bien que tu partes, tu ne peux pas vraiment partir, même une fois. Bien que tu dises que tu veux mourir, en fait tu vis encore plus fort. Même si tu dis que tu veux tout laisser tomber, tu portes en fait un autre poids. Même la pensée de ne pas avoir de pensée est une pensée, tu sais.
Ceci est, en fait, notre destin, tu sais. Que nous sourions dans une douleur sans fin, vous savez. Qu'il n'y a pas de liberté dès que l'on dit "liberté" à haute voix, tu sais. Le savez-vous ?
Aux heures de la lune, regardez le ciel nocturne à travers les yeux de votre âme. Il te montrera ta fenêtre et ton temps.
Le saviez-vous ? Ce lampadaire a aussi beaucoup d'épines. Regardez bien cette lumière vacillante.
Un paysage nocturne n'est-il pas si cruel ? Une vue splendide s'est déployée devant nous, mais elle est faite des épines de quelqu'un. Quelqu'un d'autre sera sûrement réconforté en regardant vos épines. Nous sommes le paysage nocturne de l'autre, la lune de l'autre. "
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gilda14 · 2 years
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Comme un jour de vacances
Sous l'impulsion du Joueur de Pétanque qui pour une fois était prêt à moins y jouer, je parviens à rassembler assez d'énergie pour aller vérifier les vélos. Las, le VTT jaune a encore été abimé, le frein arrière et le dérailleur côté cassette, pas de bol. JF ne s'aperçoit pas tout de suite du dérailleur défaillant et je bricole un semblant de réparation de fortune pour le frein (il manque une pièce près de la manette). Nous partons alors pour le parcours des bords de Seine, qui est enchanteur une fois que l'on y parvient (mais pas avant). Soudain il parle de restaurant comme d'une évidence, alors qu'il n'avait fait mention que "d'une petite balade". J'ai accéléré et nous sommes arrivés à la place de Rueil où l'on peut poser les vélos en vue et déjeuner en terrasse sans passages motorisés à 13:45 juste à temps pour déjeuner Chez Lulu, présent depuis 2014. Je ne sais comment interpréter ce 2014, signe de longévité ou pour dire, c'est récent ? C'était bon. Sans doute n'y étions-nous plus venu depuis trois ans. Il continuait à faire un temps splendide mais inquiétant : il ne pleut plus, on dirait. Ce qui fait craindre un déluge, lorsque ça va tomber. Belle, belle, belle balade (2 x 16 km) en allure de touristes. Puis le tour de France admiré dans le lit sur l'ordi (et de la Pétanque pour lui qui après être allé jouer une heure s'est soudain pris d'aller courir une quarantaine de minutes). Je trouve in extremis l'énergie de deux paiements de facture pour La Normandie avant de me délecter des championnats du monde d'athlétisme, commentés par Stéphane Diagana et d'autres qui n'apportent pas autant qu'il ne le fait.
Je m'efforce d'oublier qu'on sera ensuite lundi, que la guerre sévit, que la pandémie se poursuit, que les projets familiaux s'enlisent.
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traitor-for-hire · 2 years
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Les Quatre Sœurs March - Chapitre 35
Peine de cœur
 Quel qu’ait bien pu être son but, Laurie étudia avec constance pour l’atteindre cette année-là, car il fut diplômé avec les honneurs, et prononça le discours en latin avec la grâce d’un Phillips et l’éloquence d’un Démosthène, comme le dirent ses amis. Tout le monde était là, son grand-père - tellement fier ! - Mr. et Mrs. March, John et Meg, Jo et Beth, et tous exultaient avec la sincère admiration dont les garçons se moquent sur le moment, mais qu’ils échouent à obtenir du monde par des triomphes ultérieurs.
 « Je dois rester pour ce maudit souper, mais je serai à la maison tôt demain matin. Vous viendrez me retrouver comme d’habitude, les filles ? » dit Laurie en aidant les sœurs à monter dans la voiture, une fois terminées les joies de la journée. Il disait « les filles », mais il voulait dire Jo, car elle était la seule qui se pliait encore à l’ancienne coutume. Elle n’eut pas le cœur de refuser quoi que ce soit à son garçon splendide, auréolé de succès, et répondit chaudement,
 « Je viendrai, Teddy, sous la pluie ou le soleil, et je marcherai devant toi, en jouant à la guimbarde “Voici venir le héros conquérant”. »
 Laurie la remercia avec un regard qui lui fit penser, avec une panique soudaine, « Oh, pauvre de moi ! Je sais qu’il va dire quelque chose, et que vais-je faire alors ? »
 Une soirée passée à méditer et une matinée passée à travailler apaisèrent quelque peu ses peurs, et ayant décidé qu’elle ne se montrerait pas assez vaine pour penser qu’on allait la demander en mariage quand elle avait donné toutes les raisons de savoir ce que sa réponse serait, elle partit à l’heure convenue, espérant que Teddy ne ferait rien pour qu’elle le blesse. Une visite chez Meg, un câlin à Daisy et des baisers à Demijohn, la fortifièrent encore un peu plus pour le tête-à-tête,* mais quand elle vit la silhouette robuste qui se profilait au loin, elle eut une très forte envie de faire demi-tour et de s’enfuir.
 « Où est la guimbarde, Jo ? » s’écria Laurie, dès qu’il fut à une distance raisonnable.
 « Je l’ai oubliée. » Et Jo reprit courage, car cette salutation ne pouvait être qualifiée de romantique.
 Elle avait toujours eu l’habitude de lui prendre le bras dans ces occasions, cette fois elle n’en fit rien, et il ne se plaignit pas, ce qui était mauvais signe, mais parla rapidement de toutes sortes de sujets jusqu’à ce qu’ils aient tourné depuis la route sur le petit chemin qui menait à la maison en traversant le petit bois. Alors il ralentit le pas, perdit soudain son éloquence, et ça et là un silence terrible s’imposa. Pour sauver la conversation de l’un de ces puits de silence dans lesquels elle ne cessait de tomber, Jo dit hâtivement, « Maintenant, tu dois prendre de bonnes et longues vacances !
 — J’en ai l’intention. »
 Quelque chose dans son ton résolu fit lever vivement les yeux à Jo pour le trouver en train de la regarder avec une expression qui lui assura que le moment redouté était arrivé, et lui fit lever la main en implorant, « Non, Teddy. S’il te plaît, ne fais pas ça !
 — Je vais le faire, et tu dois m’écouter. Ça ne sert à rien, Jo, il faut qu’on en parle, et le plus tôt sera le mieux, pour tous les deux », répondit-il, embarrassé et excité tout à la fois.
 « Dis ce que tu veux dire, alors. J’écouterai », dit Jo, avec une sorte de patience désespérée.
 Laurie était un jeune amoureux, mais il était sérieux, et entendait bien « en parler » dusse-t-il mourir dans sa tentative, aussi plongea-t-il dans le sujet avec son impétuosité caractéristique, d’une voix qui s’étiolait par moment, en dépit de ses efforts virils pour la garder ferme ;
 « Je t’ai aimée dès l’instant où je t’ai connue, Jo, je n’ai pas pu m’en empêcher, tu as été si bonne avec moi. J’ai essayé de te le montrer, mais tu ne m’as pas laissé faire. Maintenant je vais te faire m’écouter, et me donner une réponse, car je ne peux continuer ainsi plus longtemps.
 — Je voulais t’épargner cela. Je pensais que tu comprendrais - » commença Jo, avec beaucoup plus de difficulté qu’elle ne s’y était attendue.
 — Je le sais bien, mais les filles sont si étranges qu’on ne sait jamais ce qu’elles veulent dire. Elles disent non quand elles pensent oui, et font perdre la tête à un homme juste pour s’amuser », répliqua Laurie, en se réfugiant derrière un fait indéniable.
 « Pas moi. Je n’ai jamais voulu faire en sorte que tu tiennes à moi de cette façon, et je suis partie pour t’en préserver si je le pouvais.
 — C’est ce que je pensais. Ça te ressemblait bien, mais ça n’a servi à rien. Je ne t’en ai aimée que davantage, et j’ai travaillé dur pour te faire plaisir, et j’ai abandonné le billard et tout ce que tu n’aimes pas, et j’ai attendu sans jamais me plaindre, car j’espérais que tu m’aimes, même si je ne vaux pas la moitié - » Ici il s’étrangla sans pouvoir le contrôler, aussi décapita-t-il des boutons d’or tout en éclaircissant sa « fichue gorge ».
 « Tu, tu es, tu es beaucoup trop bon pour moi, et je te suis si reconnaissante, et je suis si fière et je t’apprécie tellement. Je ne sais pas pourquoi je ne peux pas t’aimer comme tu le voudrais. J’ai essayé, mais je ne peux pas changer mes sentiments, et ce serait mentir que dire que je t’aime quand ce n’est pas le cas.
 — Vraiment, sincèrement, Jo ? »
 Il s’était arrêté, et lui avait pris les deux mains en lui posant la question, avec un regard qu’elle n’oublia pas de si tôt.
 « Vraiment, sincèrement, mon ami. »
 Ils étaient dans le bois maintenant, près de l’échalier, et quand les derniers mots tombèrent à contrecœur des lèvres de Jo, Laurie lui lâcha les mains et se tourna comme pour poursuivre sa route, mais pour une fois dans sa vie la barrière lui semblait insurmontable. Aussi reposa-t-il juste la tête sur le poteau moussu, si immobile que Jo prit peur.
 « Oh, Teddy, je suis désolée, tellement désolée. Je pourrais me tuer si ça pouvait arranger les choses ! J’aimerais que tu ne le prennes pas si mal, je ne peux pas l’empêcher. Tu sais qu’il est impossible de se forcer à aimer quelqu’un quand ce n’est pas le cas », s’écria Jo sans élégance mais avec remords, tout en lui tapotant doucement l’épaule, se rappelant la fois où il l’avait réconfortée, longtemps auparavant.
 « C’est parfois possible », dit une voix étouffée venue du poteau. « Je ne pense pas que ce soit la bonne forme d’amour, et je préfère ne pas essayer », fut la réponse décidée.
 Il y eut un long silence, tandis qu’un merle sifflait gaiement dans le saule près de la rivière, et que l’herbe haute bruissait dans le vent. Alors Jo dit très gravement, en s’asseyant sur la marche de l’échalier, « Laurie, je veux te dire quelque chose. »
 Il tressaillit comme frappé d’une balle, rejeta la tête en arrière, et s’écria férocement, « Ne me dis pas ça, Jo, je ne peux pas le supporter maintenant !
 — Dire quoi ? demanda Jo, surprise par sa véhémence.
 — Que tu aimes ce vieil homme.
 — Quel vieil homme ? demanda Jo, pensant qu’il devait parler de son grand-père.
 — Ce professeur diabolique dont tu parlais tout le temps dans tes lettres. Si tu dis que tu l’aimes, je sais que je ferai quelque chose de désespéré », et il avait l’air prêt à tenir parole, les poings serrés et les yeux étincelants de colère.
 Jo voulut rire, mais se retint, et dit avec force, car elle aussi commençait à s’emporter  : « Ne jure pas, Teddy ! Il n’est pas vieux, ni rien de mauvais, mais bon et gentil, et le meilleur ami que j’ai, autre que toi. Je t’en prie, ne t’emporte pas. Je veux être gentille, mais je sais que je vais me mettre en colère si tu dis du mal de mon Professeur. Je n’ai pas le moins du monde en tête de l’aimer, lui ou n’importe qui d’autre.
 — Mais cela viendra au bout d’un moment, et que deviendrai-je alors ?
 — Tu aimeras quelqu’un d’autre toi aussi, comme un garçon raisonnable, et tu oublieras tous ces soucis.
 — Je ne peux pas aimer quelqu’un d’autre, et je ne t’oublierai jamais, Jo, jamais ! Jamais ! » dit-il en tapant du pied pour accentuer ses mots passionnés.
 « Que vais-je faire de lui ? » soupira Jo, qui trouvait que les émotions étaient plus difficiles encore à gérer qu’elle ne s’y était attendue. « Tu n’as pas entendu ce que je voulais te dire. Assieds-toi et écoute, car je veux arranger les choses, et te rendre heureux », dit-elle, espérant l’apaiser avec un peu de raison - prouvant qu’elle ne connaissait rien à l’amour.
 Voyant une lueur d’espoir dans cette dernière phrase, Laurie se jeta à ses pieds dans l’herbe, en s’appuyant du bras sur la première marche de l’échalier, et en levant vers elle un visage plein d’espoir. Cet arrangement n’était évidemment pas favorable à un discours calme ou une pensée claire de la part de Jo ; comment pouvait-elle se montrer dure avec son garçon quand il la regardait avec des yeux pleins d’amour, et les cils encore humides des quelques gouttes amères que sa dureté de cœur lui avait arrachées ? Elle lui détourna gentiment la tête, et tout en caressant les cheveux bouclés qu’il avait laissé pousser pour elle - et comme c’était touchant ! - elle dit,
 « Je suis d’accord avec Mère, toi et moi ne sommes pas faits l’un pour l’autre, parce que nos tempéraments emportés et nos fortes volontés nous rendraient probablement très malheureux, si nous étions assez fous pour nous - » Jo marqua une pause sur le dernier mot, mais Laurie le prononça avec une expression de ravissement -
 « Marier, - non, jamais ! Si tu m’aimais, Jo, je serais un véritable saint - car tu pourrais me faire faire tout ce que tu veux !
 — Non je ne le peux pas. J’ai essayé, et échoué. Et je ne risquerai pas notre bonheur sur une expérience si sérieuse. Nous ne sommes pas d’accord, et nous ne le serons jamais ; alors nous serons bons amis toute notre vie, mais nous n’allons rien faire d’irréfléchi.
 — Si, nous le ferons, si nous en avons la possibilité », rétorqua Laurie en marmonnant.
 « Allons sois raisonnable, et adopte une vision pratique de la situation », l’implora Jo, à bout.
 « Je ne serai pas raisonnable ; je ne veux pas adopter ce que tu appelles “une vision pratique” ; cela ne m’aidera pas, et ça ne fait que tout rendre plus difficile. Je crois que tu n’as pas de cœur.
 — J’aimerais ne pas en avoir ! »
 Il y avait un léger trémolo dans la voix de Jo, et, le prenant pour un bon présage, Laurie changea de tactique, rassemblant tous ses pouvoirs de persuasion pour dire, de ce ton qui n’avait jamais été si dangereusement enjôleur,
 « Ne nous déçois pas, ma chérie ! Tout le monde s’y attend. Grandpa y est décidé - ta famille approuve - et je ne peux pas vivre sans toi. Dis oui, et nous serons heureux ! Dis oui, dis oui ! »
 Il fallut des mois à Jo pour comprendre comment elle avait eu la force d’esprit de se tenir à la résolution qu’elle avait prise en décidant qu’elle n’aimait pas son garçon, et ne pourrait jamais l’aimer. Ce fut très dur à faire, mais elle le fit, sachant que temporiser serait inutile et cruel.  
 « Je ne peux dire “Oui” sincèrement, aussi je ne le dirai pas du tout. Tu verras que j’ai raison, petit à petit, et tu me remercieras - commença-t-elle, solennelle.
 — Plutôt être pendu ! » et Laurie bondit sur ses pieds, brûlant d’indignation à cette idée.
 « Si, cela viendra ! insista Jo. Tu t’en remettras après un moment, et tu trouveras une fille charmante et accomplie, qui t’adorera, et fera une parfaite maîtresse pour ta belle maison. Je ne le pourrais pas. Je suis ordinaire et maladroite, et bizarre, et vieille, et tu aurais honte de moi, et nous nous disputerions - on ne peut s’en empêcher, même maintenant, le vois-tu - et je n’aimerais pas la société élégante et toi si, et tu détesterais mes scribouillis et je ne peux pas vivre sans écrire, et nous serions malheureux, et nous souhaiterions ne pas l’avoir fait - et tout serait horrible !
 — Autre chose ? » demanda Laurie, qui avait peine à écouter patiemment cette éruption prophétique.
 « Rien d’autre - si ce n’est que je ne crois pas jamais me marier ; je suis heureuse comme je suis, et j’aime trop ma liberté pour être pressée de l'abandonner pour n’importe quel homme mortel.
 — À d’autres ! s’exclama Laurie. Tu penses ça maintenant, mais il viendra un temps où tu tiendras à quelqu’un, et tu l’aimeras de toute ton âme, et tu vivras et tu mourras pour lui. Je le sais - c’est ta façon d’être - et je devrais rester à regarder » - et l’amoureux désespéré jeta son chapeau au sol dans un geste qui aurait pu sembler comique, si son expression n’avait pas été si tragique.
 « Oui, je vivrai et je mourrai pour lui, s’il vient jamais et se fait aimer de moi malgré moi, et tu dois faire du mieux que tu peux », s’écria Jo, perdant patience avec le pauvre Teddy. « J’ai fait de mon mieux, mais tu ne veux pas être raisonnable, et c’est égoïste de ta part de continuer à me demander ce que je ne peux donner. Je te serai toujours très attachée, - très attachée, comme à un ami, - mais je ne t’épouserai jamais ; et le plus tôt tu le croiras, le mieux ce sera pour nous deux, - voilà. »
 Ce discours mit le feu aux poudres. Laurie la regarda un moment, comme s’il ne savait que faire de lui-même, puis se détourna vivement, en disant, désespéré, -
 « Tu le regretteras un jour, Jo.
 — Oh, où vas-tu ? lui cria-t-elle, car son visage l’effrayait.
 — Au diable ! » fut la réponse réconfortante.
 Pendant un instant, le cœur de Jo cessa de battre, comme il s’élançait vers le bas de la rive, vers la rivière ; mais il faut beaucoup de folie, de péché ou de misère pour envoyer un jeune homme à une mort violente, et Laurie n’était pas quelqu’un de faible, vaincu par un seul échec. Il n’avait aucune pensée de plongeon mélodramatique, mais un instinct aveugle le poussa à jeter son chapeau et sa veste dans son canot, et à s’éloigner en ramant de toutes ses forces, réalisant un meilleur temps sur la rivière que pendant bien des courses. Jo prit une longue inspiration, et desserra les mains tandis qu’elle regardait le pauvre garçon essayer de distancer le trouble qu’il portait dans son cœur.
 « Cela lui fera du bien, et il reviendra à la maison dans un état d’esprit si sensible, si contrit, que je n’oserai pas le voir », dit-elle, ajoutant, comme elle marchait lentement vers la maison, avec l’impression d’avoir assassiné quelque créature innocente et dissimulé son cadavre sous les feuilles, -
 « Maintenant je dois aller préparer Mr. Laurence à être très gentil avec mon pauvre garçon. J’aurais voulu qu’il soit amoureux de Beth ; peut-être que cela viendra, avec le temps, mais je commence à croire que je m’étais trompée sur elle. Oh Seigneur  ! Comment les filles peuvent-elles aimer avoir des amoureux, et les repousser ? Je trouve ça horrible. »
 Certaine que personne ne pourrait le faire aussi bien qu’elle-même, elle se rendit tout droit auprès de Mr. Laurence, raconta bravement la triste histoire, et puis s’effondra, en pleurant si amèrement sa propre insensibilité, que le gentil vieux gentleman, bien que sévèrement désappointé, ne proféra pas un seul reproche. Il avait du mal à comprendre qu’une fille quelle qu’elle soit puisse ne pas aimer Laurie, et espérait qu’elle changerait d’avis, mais il savait mieux encore que Jo que l’amour ne peut être forcé. Aussi il secoua tristement la tête, et se résolut à éloigner son garçon du danger ; car les mots d’adieu du jeune impétueux à Jo le troublaient plus qu’il ne voulait le dire.
 Quand Laurie revint à la maison, épuisé, mais plutôt calme, son grand-père vint à sa rencontre comme s’il ne savait rien, et maintint l’illusion avec succès, durant une heure ou deux. Mais quand ils s’assirent tous les deux au crépuscule, ce moment qu’ils appréciaient tant d’ordinaire, il devint difficile pour le vieil homme de discuter comme d’habitude, et plus difficile pour le jeune homme d’écouter les louanges du succès de l’année passée, qui lui semblait maintenant un travail d’amour perdu. Il l’endura aussi longtemps qu’il le put, puis alla au piano et commença à jouer. Les fenêtres étaient ouvertes ; et Jo, qui marchait dans le jardin avec Beth, comprit la musique mieux que sa sœur, pour une fois, car il jouait la Sonata Pathetique, et il la jouait comme jamais auparavant.
 « C’est très bien, je dois dire, mais c’est triste à pleurer ; jouez-nous quelque chose de plus gai, mon garçon », dit Mr. Laurence, dont le bon vieux cœur était plein d’une compassion qu’il ne savait pas comment montrer.
 Laurie se lança dans un morceau plus entraînant, joua orageusement pendant quelques minutes, et aurait continué bravement, si, dans un moment plus calme, il n’avait pas entendu Mrs. March appeler, -
 « Jo, chérie, rentre ; j’ai besoin de toi. »
 Exactement ce que Laurie se languissait de dire, avec un sens tout différent ! Comme il écoutait, il perdit le rythme ; la musique prit fin dans un accord discordant, et le musicien resta silencieux dans la pénombre.
 « Je ne peux pas le supporter », marmonna le vieux gentleman - il se leva, chemina jusqu’au piano à tâtons, posa une main sur chacune des larges épaules, et dit, aussi gentiment qu’une femme, -
 « Je sais, mon garçon, je sais. »
 Pendant un instant, pas de réponse ; puis Laurie dit vivement, -
 « Qui vous l’a raconté ?
 — Jo elle-même.
 — Alors il n’y a plus rien à dire ! » et il se débarrassa des mains de son grand-père d’un mouvement impatient ; car, aussi reconnaissant qu’il fut de sa compassion, sa fierté d’homme ne pouvait supporter la pitié d’un autre homme.
 « Pas tout à fait ; je veux dire une chose, et puis ce sera fini », répliqua Mr. Laurence, avec une patience inhabituelle. « Peut-être n’avez-vous pas envie de rester à la maison, en ce moment ?
 — Je n’ai pas l’intention de fuir une fille. Jo ne peut m’empêcher de la voir, et je vais rester pour cela aussi longtemps qu’il me plaira.
 — Pas si vous êtes le gentleman que je pense que vous êtes. Je suis déçu, mais la fille n’y peut rien ; et la seule chose qu’il vous reste à faire est de partir pour un temps. Où irez-vous ?
 — N’importe où, je me moque de ce qu’il peut m’arriver » ; et Laurie se leva, avec un rire éperdu, pénible à l’oreille de son grand-père.
 « Prenez-le comme un homme, et ne faites rien d’irréfléchi, pour l’amour de Dieu. Pourquoi ne pas aller en Europe, comme vous l’aviez prévu, et oublier ?
 — Je ne peux pas.
 — Mais vous mouriez d’envie d’y aller, et j’ai promis que vous le pourriez, quand vous en auriez fini avec l’université.
 — Ah, mais je ne comptais pas partir seul ! » et Laurie se mit à arpenter vivement la pièce, avec une expression qu’il était aussi bien que son grand-père ne vit pas.
 « Je ne vous demande pas d’y aller seul ; il y a une personne toute prête et heureuse de partir avec vous, n’importe où dans le monde.
 — Qui donc, sir ? demanda Laurie en s’arrêtant.
 — Moi-même. »
 Laurie revint sur ses pas aussi rapidement qu’il était parti, et tendit la main, en disant d’une voix étouffée, -
 « Je suis une brute égoïste. mais - vous savez - grand-père -
 — Le Seigneur me vienne en aide, oui, je sais bien, car j’ai traversé tout cela auparavant, une fois dans ma propre jeunesse, et puis avec votre père. Maintenant, mon cher garçon, asseyez-vous tranquillement, et écoutez mon plan. Tout est arrangé, et peut être exécuté dans l’instant », dit Mr. Laurence, sans lâcher la main du jeune homme, comme s’il craignait qu’il ne le quitte, comme son père avant lui.
 « Eh bien, sir, de quoi s’agit-il ? » Et Laurie s’assit, sans le moindre signe d’intérêt sur son visage ou dans sa voix.
 « Il y a des affaires à Londres dont il faut s’occuper ; j’avais l’intention de vous les confier ; mais je peux mieux faire par moi-même, et tout ira bien ici avec Brooke pour s’en occuper. Mes partenaires font presque tout ; je me contente de tenir bon jusqu’à ce que vous preniez ma place, et cela peut se faire à tout moment.
 — Mais vous détestez voyager, sir ; je ne peux pas vous le demander à votre âge », commença Laurie, qui était reconnaissant du sacrifice, mais aurait bien préféré partir seul, s’il devait partir.
 Le vieux gentleman le savait parfaitement, et désirait tout particulièrement l’empêcher ; car l’humeur dans laquelle se trouvait son petit-fils lui assurait qu’il ne serait pas sage de le laisser livré à lui-même. Aussi, tout en étouffant un regret naturel à la pensée du confort de sa maison qu’il allait laisser derrière lui, il dit fermement, -
 « Dieu vous bénisse, je ne suis pas encore bon pour le rancard. L’idée me plaît assez ; cela me fera du bien, et mes vieux os n’en souffriront pas, car de nos jours il est presque aussi confortable de voyager que de rester dans son fauteuil. »
 Un mouvement impatient de Laurie suggéra que son fauteuil n'était pas confortable, ou qu’il n’appréciait pas le plan, et pousa le vieil homme à ajouter rapidement, -
 « Je n’ai pas l’intention d’être un fardeau ; je viens parce que je pense que vous serez plus heureux que si vous me laissez en arrière. Je ne compte pas vadrouiller avec vous, mais vous laisser libre d’aller où vous voulez, pendant que je m’amuse à ma façon. J’ai des amis à Londres et à Paris, et j’aimerais leur rendre visite ; pendant ce temps vous pourrez vous rendre en Italie, en Allemagne, en Suisse, où vous voulez, et profiter des peintures, de la musique, des paysages et des aventures tout votre soul. »
 En cet instant Laurie avait l’impression que son cœur était en mille morceaux, et le monde une terre sauvage ; mais, à certains mots que le vieux gentleman avait astucieusement introduits dans sa dernière phrase, le cœur brisé bondit de manière inattendue, et une oasis de verdure apparut soudain dans l’étendue sauvage. Il soupira, et dit, apathique, -
 « Comme vous le voulez, sir ; peu importe où je vais, ou ce que je fais.
 — Cela m’importe - souvenez-vous en, mon garçon ; je vous donne entière liberté, mais je vous fais confiance pour en faire bon usage. Promettez-le moi, Laurie.
 — Tout ce que vous voulez, sir. »
 « Bien ! » pensa le vieux gentleman ; « tu t’en moques maintenant, mais il viendra un temps où cette promesse t’empêchera de faire des bêtises, si je ne me trompe pas. »
 Étant d’un naturel énergique, Mr. Laurence battit le fer tant qu’il était chaud ; et avant que l’être accablé ait suffisamment recouvert pour se rebeller, ils étaient partis. Durant le temps nécessaire aux préparatifs, Laurie se conduisit comme le font généralement les jeunes gentlemen dans ces occasions. D’humeur changeante, tour à tour irritable et pensif, il perdit l’appétit, négligea son apparence, et consacra beaucoup de son temps à jouer tumultueusement sur son piano. Il évita Jo, mais se consola en la regardant depuis sa fenêtre, avec un air tragique qui hantait les rêves de Jo la nuit et l’accablait d’une lourde culpabilité le jour. Contrairement à certains, il ne parlait jamais de sa passion contrariée, et ne permettait à personne, pas même Mrs. March, d’essayer de le consoler ou de lui offrir quelque compassion. Par certains côtés, ce fut un soulagement pour ses amis ; mais les semaines avant son départ furent très pesantes, et tout le monde se réjouit que le « pauvre, cher camarade s’en aille pour oublier sa peine, et revenir heureux ». Bien sûr il souriait sombrement devant leurs illusions, mais laissait dire, avec la triste supériorité de celui qui sait que sa fidélité, comme son amour, est inaltérable.
 Quand vint l’heure du départ il feignit la bonne humeur, pour dissimuler certaines émotions gênantes qui semblaient vouloir se manifester. Cette gaieté ne trompa personne, mais tous essayèrent de faire comme si, pour son bien, et il s’en tira fort bien jusqu’à ce que Mrs. March l’embrasse, avec un murmure plein de sollicitude maternelle ; alors, sentant qu’il ferait mieux de partir très vite, il se hâta de tous les embrasser, sans oublier la pauvre Hannah, et descendit les escaliers quatre à quatre. Jo le suivit l’instant suivant, pour le saluer de la main s’il devait se retourner. Il se retourna bien, revint, la prit dans ses bras, comme elle se tenait sur la marche au-dessus de lui, et leva les yeux vers elle avec une expression qui rendit sa courte plaidoirie éloquente et pathétique.
 « Oh, Jo, ne peux-tu pas ?
 — Teddy, très cher, j’aimerais bien ! »
 Ce fut tout. Il y eut un court silence, puis Laurie se redressa, dit, « Très bien, peu importe », et s’en alla sans un mot de plus. Ah, mais tout n’était pas très bien, et cela importait, pour Jo ; car alors que la tête bouclée reposait sur son bras, elle avait l’impression d’avoir poignardé son meilleur ami ; et quand il la quitta, sans un regard en arrière, elle sut que Laurie le jeune garçon ne reviendrait jamais.
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Après l'embourbement du van, je vous présente aujourd'hui .... *Roulements de tambours*... La panne de batterie !
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Fort heureusement, un gentil monsieur qui promenait son chien nous a aidé à relancer la bête. Cela a inclus un dévissage de protection, forces jurons, un branchement de câbles, un échec, beaucoup de grattages de crâne ... Puis un revissage de plaque et des fouilles archéologiques SOUS LES SIEGES pour accéder au moteur et à la vraie batterie. Dans notre immense talent, nous avons en effet tenté de charger la batterie ... Du frigo.
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Pour conclure, Oh, cher monsieur de la plage, que tous les dieux soient avec toi et protègent tes lessives des lutins voleurs de chaussettes, bénissent ton frigo pour que le fromage n'y moisisse jamais, et empêche pour toujours tes casseroles d'attacher.
Du coup, on est reparties 😇 (et je sais désormais que le câble rouge va sur le +, et que les créateurs de campervans sont des sadiques). On a finalement commencé la journée vers 10h30, ça aurait pu être bien pire ! A noter : visiblement, la batterie de la voiture n'aime pas qu'on charge son téléphone, sa tablette et sa batterie portable dessus toute la journée 😅
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Nous sommes donc parties pour le Te Puna Quarry Park, une carrière transformée en grand parc floral et exposition d'oeuvres plus ou moins contemporaines ! On a été surprises par la quantité de fleurs sur place, on est en hiver quand même normalement !
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Bon, loin de nous l'idée de s'en plaindre, c'était du coup très joli. On postera juste une petite réclamation pour le xylophone géant parfaitement accordé ... jusqu'à la dernière note ... *Ding ding ding ding DZOUIIIING.* Sentez la souffrance de mes tympans (et le fou rire de Clochette devant ma tête).
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Une fois mes tympans crevés réparés, nous sommes allées pique niquer au bord de la plage, sous l'oeil attentif de tout un tas de mouettes visiblement fort intéressées par nos sandwichs. Heureusement pour nous, les voisins avaient l'air de laisser trainer plus de miettes, on avait donc trois oiseaux à nous lorgner ... Contre 25 chez eux !
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On s'est ensuite faite une petite cascade (c'est le rituel hein), toute choupie, les Owharoa Falls ! Touille aime les cascades :3
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On est aussi allées rendre visite à une jolie mine d'or à ciel ouvert ! Dans cette région, c'est une technique que je trouve géniale, je n'en avais jamais entendu parler : ils récupèrent en fait du quartz, dont ils isolent l'or et l'argent présents en infimes quantités !
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On a eu le droit à plus de détails sur le traitement exact dans les gorges de Karangahake (à vos souhaits). Le quartz est broyé très finement, puis mélangé à du potassium de cyanure. Il donne une espèce de bouillie roche en or et en argent, qui est ensuite mélangée à du zinc pour faire précipiter les métaux précieux, et enfin à de l'acide sulfurique pour retirer le zinc !
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Ça demandait un peu de chimie à l'époque ! (Et des bons gants, je ne veux même pas imaginer les conditions de travail ...) Par contre, c'est assez impressionnant, toute la zone est couverte des ruines des anciennes installations, ils étaient sacrément inventifs ! Ils avaient carrément un "tramway volant" capable de transporter 600kg de minerai d'un côté à l'autre de la rivière (très TRES haut au dessus de la rivière) en 30 secondes chrono...
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Et en tous cas, les lieux sont splendides, et on dort littéralement aux pieds des gorges cette nuit, bercées par le bruit de la rivière 🥰 (et avec les yeux qui piiiiiiiiquent, quelle idée de faire des poireaux dans un espace clos)
Bonne journée à tous ☺️
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anfie-in-the-box · 3 years
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Bonjour. Vous pouvez m'appeler anfie, bien qu'en fin de compte ce post ne me concerne pas. Il s'agit de vous.
Laissez-moi vous expliquer.
Presque tous les jours, je vois des créateurs très talentueux et absolument étonnants s'épuiser, s'excuser de ne pas avoir créé, ou de créer depuis trop longtemps, ou de créer une chose différente alors qu'ils avaient "promis" d'en faire une autre d'abord, ou de partager quelque chose de complaisant, ou quelque chose créé initialement pour se sentir mieux, et ainsi de suite. Tant d'excuses inutiles, tant de stress et de douleur. Mon âme me fait tellement mal chaque fois que je vois quelque chose comme ça. Je pense que je pourrais trouver un moyen d'aider un peu. Vous voyez, j'aimerais vous proposer un défi. Il s'appelle NOvembre, ce qui est en fait une signification assez simple. Passons aux règles pour que vous puissiez comprendre.
1. Le défi commence dès que la liste des invités et les règles sont affichées. Vous pouvez vous inscrire quand vous le souhaitez!
2. Le défi se termine en novembre prochain (donc le 30 novembre 2021). Bien que ce ne soit que techniquement possible, vous pouvez vous inscrire beaucoup plus tard et continuer à utiliser le tag (ou non, c'est à vous de décider).
3. Le défi n'est pas destiné à un type de créateurs en particulier. Fanfiction? Cool! Des dessins originaux? Génial! Fanart? Merveilleux! De l'art original? Allez-y! Bande dessinée? Splendide! Des mélodies, ou même des chansons? Fascinant! Aesthetic? Délicieux! Une autre forme d'art? Absolument charmant. Merci d'apporter quelque chose de nouveau à ce monde.
4. Vous n'êtes pas obligé de poster vos œuvres tous les jours, toutes les semaines, tous les mois, etc. Vous n'êtes pas obligé de les afficher toutes en novembre. Vous ne devez rien à ce défi. Ce défi est pour que vous vous sentiez à l'aise et en sécurité, alors faites comme bon vous semble.
5. Ce défi a pour but de rappeler aux créateurs et à leur public qu'il est correct de dire NON à certaines choses. Certaines sont généralement mauvaises et doivent être supprimées définitivement. Certaines sont généralement bonnes, mais il y a des situations où elles ne sont pas nécessaires, où elles pourraient vous blesser et/ou blesser les gens autour de vous.
6. D'où le thème clé du défi — une situation (ou des situations) où vous devez dire NON à ce qui se trouve dans le thème. Par exemple, le premier jour, vous devez créer une situation où vous devez dire NON à la déprédation. S'agira-t-il de pensées autodévalorisantes, ou de la façon dont les adultes ont tendance à déprécier les problèmes des enfants et des adolescents, ou peut-être de quelque chose d'entièrement différent? C'est à vous de le savoir et à nous, votre public, de le découvrir.
7. Il n'y a pas de mal à créer et/ou à afficher hors d'usage.
8. Il est bon de sauter certaines invites et/ou de créer quelques éléments pour une seule invite. Si vous n'avez pas d'idées, ce n'est pas grave. Si une question vous interpelle tellement que vous ne pouvez pas vous empêcher d'y penser et de proposer de plus en plus de concepts, c'est bon aussi.
9. Pas de discrimination ni de haine. Ce défi consiste à prendre soin de soi-même et des autres. Ce défi consiste à se soutenir et à s'améliorer ensemble.
10. Si vous souhaitez participer, veuillez utiliser les tags #anfie NOvember challenge et #it's OK to say NO; vous pouvez également ajouter votre propre surnom (pour vos œuvres uniquement ou pour une forme d'art spécifique, comme #anfie writes NOvember ou #anfie NOvember aesthetics) Toutes les options sont bonnes tant que vous n'oubliez pas d'ajouter mon surnom pour éviter toute confusion. Après tout, il se peut qu'il y ait d'autres défis en novembre.
11. Si quelque chose, quelque chose du tout va mal, s'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît, ne vous excusez pas. Ce n'est pas grave si vous ne pouvez plus continuer le défi, quelle qu'en soit la raison. Ce n'est pas grave si vous avez promis de poster quelque chose et que vous ne l'avez pas fait. Ce n'est pas grave. Expliquez-vous, si vous en avez envie. Mais ne vous excusez pas. Ce n'est pas votre faute, même si vous pensez le contraire.
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Special thanks to @ha-zel-art who translated the prompt list and the rules into French! I have no words to express just how much appreciate your help and support. Thank you so much. Merci!
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