hello! you can call me woko :>
boring stuff: 21, INTJ, those are the only ones i know ㅠㅠ
favorite bands: the smiths, bôa, tears for fears, hall & oates
psst i love the song “accept yourself” by the smiths!
likes: japanese surrealist novels, taking naps, apples and mandarin oranges
interests: the boys, supernatural, films
this is a new blog for me so if you would like to be mutuals please please interact!
i may post writing if i feel like it but this is my main blog so expect nothing serious. i’m just here to be silly and enjoy my favorite things!
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Voici Noël… Douce nuit… Sainte Nuit… Jouez, hautbois… Résonnez, musettes…
Pour les chrétiens (et pour tous les hommes qui se souviennent que les mots ont un sens), Noël est une fête religieuse... Pour certains, qui ont conservé les plus poétiques des symboles païens (le bel arbre, le Père Noël, les cadeaux, la Bûche), cette fête n'a pas d'autre sens que celui des 4 lettres qui la désignent. D'autres, qui croient trouver refuge dans la boustifaille et la grande foire pour oublier un instant les limites de leur condition humaine, ''font la fête'', mais sans plus savoir ni quoi ni pourquoi... Mais depuis peu, les chrétiens ont pris conscience que leur existence suffit, à elle seule, à provoquer la haine féroce d’islamistes et de quelques poignées de gens qui se croient ''libres'' et qui se disent ''penseurs'' mais qui, n'étant ni l'un ni l'autre, sont devenus les garde-chiourmes maniaco-woko-vétilleux d'une tyrannie qui n’est plus capable de voir le monde qu'en termes de l'interdiction de l’Autre...
Noël... Ce mot était autrefois synonyme de douceur, de beauté et d'harmonie. Il rappelait la naissance d'un enfant dans une crèche, petit bébé sans défense, mais parlait aussi d'un Dieu se faisant Homme pour l'amour de nous, ce qui n'est pas rien (car si le récit chrétien est faux, comment expliquer le tsunami formidable qui a tout balayé devant lui pendant 2000 ans et plus et qui bouleverse et unit, de nos jours encore, 2,3 milliards de terriens, 1/3 de l'Humanité, en progression constante).
Aujourd'hui, les médias et ceux qui se croient intelligents –quelques dizaines ou centaines de mille... mais qui contrôlent les merdias-- voudraient nous faire croire que toute cette beauté, si douce au cœur et à l'âme, se serait abâtardie en une bacchanale consumériste qui tirerait sa pauvre légitimité de son absence de raison d'être et du dépassement de toutes les limites raisonnables. Alors... en réaction contre ce viol de toute vérité, pourquoi ne pas terminer l'année en riant de l’atroce cacophonie que notre époque oppose à tout ce qui touche aux sujets religieux ?
Que l'on soit croyant ou pas, de toute confession et de toute origine, la naissance d'un petit enfant juif dont l’Histoire a conservé la trace a été un bouleversement immense pour l’humanité, nous l'avons rappelé récemment. Deux mille ans plus tard, on a enfin compris que cette heure, arbitrairement fixée à minuit –et au fond, pourquoi pas ?-- a été la plus importante de tous les temps. Mais on ne réalise pas toujours que le contenu non-religieux du message christique est aussi grand que celui (religieux, donc réservé à ceux qui l'ont entendu) qui a forgé notre civilisation, l'Histoire, la pensée, la culture... et le monde, bien au-delà des limites admises.
Les répercussions et les conséquences de la Révélation dans plein d’autres domaines que ceux liés à la foi chrétienne qui a tant a étonné le monde romain, polythéiste, le monde juif, monothéiste, et la suite des siècles jusqu’au nôtre, tout pétri de technique et si fier de son savoir en bribes... sont loin d’avoir toutes été comprises, et sont loin de leur propre essoufflement, comme le démontrent les progrès de la science. (NDLR : si nous en parlons souvent, c'est parce que c'est le phénomène le plus révolutionnaire et paradoxalement le plus civilisateur qui ait jamais existé). Il n'empêche... A l'opposé absolu de la nullité actuelle, systémique, stéréotypée, et franchement moche, vous souvenez-vous comme ils étaient jolis, ces chants qu'on appelait “des petits Noëls’‘ ? Douce nuit… Il est né, le divin enfant… Minuit, Chrétiens… Les anges dans nos campagnes… Entre le bœuf et l’âne gris… Adeste, fideles..., et tant d'autres… (Je suis prêt à parier que vous en avez fredonné au moins un, en lisant : ils sont, simplement, ''beaux, point final''.
La France, seule parmi les nations civilisées, a rétrogradé la “douce Nuit” de Noël au rang d’orgie obligatoire, convenue et con venue, à la fois interdite dans ce qu'elle a de beau, et obligée dans ce qu'elle offre de pire (business commande... fausse tolérance force... et laïcisme militant oblige !). Dieu a disparu du ''quotidien'' de la plupart de nos concitoyens, au ''profit'' (?) de saturnales de dindes farcies et de foie gras à la grippe aviaire : la ''Tolérance-sic'' et la ''Laïcité-re-sic'' ont donné naissance à une néo-pseudo-religion, intégriste, intolérante, impitoyable comme aucune autre sauf, peut-être, l'islam mal compris qui ravage le monde : le laïcisme officiel, sous ses oripeaux et sa fausse bien-pensance, n'est qu'une caricature qui s'ignore d’une espèce d’iso- religion qu'on ferait, tous, beaucoup mieux d'ignorer.
Goinfrerie à tous les étages et gros pères Noël très laids, transpirants, et répétant ''Ho...Ho...'' à chaque coin de rue... le niveau artistique et la poésie de ce qui reste l’événement le plus important de l’Histoire ont ils été significativement “anoblis” par le passage de ce qui était une fête religieuse à ce qui est une fête laïque ? Comme chaque année, nous pouvons évaluer les dégâts : iI faudra au moins des “soldes d’hiver” et des galettes feuilletées (dites ''des Rois''), pour nous faire oublier tout ce gâchis ! (NDLR -- Un détail triste et rigolo tout-à-la fois : une de mes arrière grands-mères, que j'adorais, est morte un 1er janvier, centenaire comme presque tous mes ancêtres depuis 350 ans, des ''suites'' d'un réveillon trop copieux (et –mais on ne me l'a pas dit-- sans doute très arrosé !). La gourmandise peut donc bien tuer ! RIP.
Au nom d'une soi-disant tolérance toute en militantisme intolérant, on a demandé à Dieu de ne plus être ''au centre du village'', et aux cloches de ne plus sonner –ça pourrait heurter “des gens”, nous explique-t-on sans mourir de honte-- et, comble de la crétinerie, on demande à des juges très syndiqués très à gauche de dire si la naissance du Christ a eu lieu ou non dans une crèche ! Au lieu de dire : “Je pense que Dieu n’existe pas”, ils voudraient qu’on précise : “Mais toi non plus, tu ne peux plus croire à de telles sornettes”. Allah, à la rigueur ! Mais Dieu ? Ah ! Ça, non !
L'athéisme, qui rejetait le Dieu, réputé par eux indémontrable, d'un dogme qu'ils prétendent trop structuré, factice et imposé, est devenu une religion qui rejette toute divinité de façon bien plus structurée, tout aussi indémontrable, aussi factice et dix fois plus imposée... et violente à en être incurable... alors que, si l'on va au fond des choses, le fait de dire : “je ne crois pas en Dieu”, c’est reconnaître son existence... tout en se se positionnant personnellement par rapport à Lui, ce qui est un droit non-négociable... ”Dieu”, que ça plaise ou non, est un nom propre devenu nom commun car il appartient à l’humanité, qu'elle accepte ou pas ce cadeau.
Or la France, pour son malheur et le nôtre, est aujourd’hui dirigée (?) par des intégristes du rejet de toute la culture judéo-chrétienne, dont ils sont tous, pourtant, l'impur produit, à 100 % ! Ce refus est grave, mais moins que le vide culturel qui va avec : comme ils le font avec tous les problèmes qu’ils sont incapables de résoudre (chômage, immigration, sécurité, éducation, économie, covid, hôpital, éclatement du pays par leur seule faute...), nos ''Nuls'' abordent celui-ci par le mauvais côté... Par leur faute, nous avons perdu le sens de Noël sans le remplacer par quoi que ce soit (On va me dire : ''Mais ce n'était pas facile''. C’est une raison de plus de ne pas y toucher !). ''Le fait que quelque chose marche à peu près bien n'est pas une raison suffisante pour en changer''. Mais nous avons égaré la sagesse, en chemin !
Voici revenu le temps des vacances ''de Noël''. Par convention, nos chemins, sans se séparer, vont s'écarter, pour quelques jours. Certaines journées vont être vides, sans vous, et j'en suis déjà triste... Retrouvons-nous dès le Lundi 9 janvier 2023, si Dieu le veut, ‘’date à vite reporter sur vos agendas’’, selon la formule consacrée. Et d'ici-là, de tout mon cœur, je vous souhaite un très, très JOYEUX NOÊL, un bon début d'année... et une troisième étoile sur les maillots bleus de ceux qui adorent se déguiser en sportifs-en-chambre : c'est, paraît-il, un nécessaire indispensable pour hurler, devant un poste de ‘’télé’’ !
H-Cl
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A man desparate for an escape route PH
Daily Telegraphhttps://www.telegraph.co.uk/news/2023/04/14/prince-harry-looks-like-a-man-desperate-for-an-escape-route/history←priornext→14 Apr 2023 17:03:28 Prince Harry looks like a man desperate for an escape route – we should give him oneHe returns to Britain again next month. It’s an opportunity to show that, despite the trouble he’s caused, this is still the Duke’s countryCAMILLA TOMINEYASSOCIATE EDITOR14 April 2023 • 5:11pmCamilla TomineyPrince Harry, Duke of Sussex departs after attending the Royal Courts of JusticeMuch is being made of the Duchess of Sussex’s newfound inconspicuousness. It wasn’t long ago that there was no escaping the American former actress turned wannabe People’s Princess as she revealed her “truth” on Oprah, shed tears on Netflix, and shared pearls of wisdom on her “Archetypes” podcast. “I’m particular,” admitted the woman once dubbed “Duchess Difficult” by palace staff, insisting that setting boundaries did not make her demanding.But having been completely absent from the promotional activity around Spare – her husband’s warts-and-all autobiography – and now having decided against attending the Coronation, preferring instead to remain in California, “Duchess Dolittle” would appear to be a better moniker.Biding her time since that South Park episode, there is mounting talk of a rebrand, with Meghan reportedly planning to revive her lifestyle blog The Tig. Think Martha Stewart meets Kim Kardashian, presumably with enough paid endorsements to fund the couple’s quest to maintain “financial independence” from the Crown, and possibly to get a new kitchen.But as the mistress of reinvention works on Megxit: The Sequel, what is the Duke of Sussex to do? The John Lennon to his wife’s Yoko Ono (or, as someone once joked on Twitter, Woko Ono), things aren’t quite as straightforward for a fifth-in-line to the throne, for whom Britain appears to be the third person in his marriage.Like his relationship with the royals, Prince Harry’s connection with his country of birth is complicated. “I love my mother country and I love my family and I always will,” he writes in his book. “I just wish, in the second-darkest moment of my life, they’d both been there for me.”Yet in making a surprise return to London for his High Court case against Associated Newspapers Ltd, and in agreeing to attend the Coronation on May 6, Harry looks like a man with a yearning for Blighty. And if that’s the case – if he does want to come back, at least for a temporary period – shouldn’t he be welcomed, not only by the palace but the public, too?The truth is that Harry will always seem more at home here than in the United States (even after his imminent eviction from Frogmore House). In America, he’s just, as the South Park creators rather cruelly put it, a “dumb prince”.The Sussexes aren’t major influencers there. That job is left to people such as the less middle-aged Selena Gomez and Kylie Jenner. The Duke and Duchess are just another pair of celebrities in a country where they are two-a-penny.Any American dream that Harry might have had appears to have gone a bit stale, with the Netflix glow fading much quicker than he may have hoped. His memoir is still among those topping the charts, but that caused a stir because of what it said about the Royal family as a whole, not just him.In Britain, by contrast, Prince Harry will always be someone. He’s the son of the King, the brother of a future king and the uncle of a future king. And although he may have done his best to destroy these familial ties, they still mean something over here. That’s why Britons have been so reluctant to write him off completely. Positive memories linger of the lad who was a good laugh before he completely fell under his wife’s spell.Indeed, people seem generally pleased he has chosen to support his father on the biggest day of his life – and they will be largely delighted that Meghan won’t be making another appearance in Westminster Abbey. The King loves his “darling boy”. The family knows Harry’s presence at the service will bring Charles joy – and that it’s good for the monarchy.Deep down, I suspect many people hope that Harry, Charles and William will resolve their differences this time. Life is too short for any family to go on like this, be they populated with princes or paupers. It’s reasonable to wonder, too, if Harry can make Britain a home again. Despite his recent penchant for spewing American psychobabble and his insistence that he is loving the LA lifestyle, it does look like he is lost in the States.The cynics would say that even before he met Meghan, Harry was not fond of this green and pleasant land. In 2008, when he was serving his first tour of Afghanistan, the Duke was asked if he would ever return to the warzone. “I don’t want to sit around in Windsor,” he replied. “But I generally don’t like England that much and, you know, it’s nice to be away from all the press and the papers and all the general sh— that they write.”But now that he is sitting around in Santa Barbara – with the press continuing to write about him back home – has he really achieved peace?It always struck me that if there was one place Harry would yearn for outside of Britain, it would be Africa, not Los Angeles. As recently as 2019, he said: “I wish I could spend more time in Africa. I have this intense sense of complete relaxation and normality [there]. To not get recognised, to lose myself in the bush with what I would call the most down-to-earth people on the planet, people [dedicated to conservation] with no ulterior motives, no agendas, who would sacrifice everything for the betterment of nature … I talk to them about their jobs, about what they do.”You get the sense that Harry has always pined for a real sense of belonging: not just to be loved but to be familiar.I previously mentioned Afghanistan because this week we were once again reminded of how the military always brought out the best in the Duke. Responding to the death of Help for Heroes founder Bryn Parry, who made a life-changing difference to military veterans and their families, Prince Harry paid a heartfelt tribute, saying: “We bid farewell to a man who, alongside his wife, completely transformed the UK charity sector for the benefit of those who have served. His vision, determination and brilliance provided a lifeline for thousands of veterans, as well as their families, when they needed it most.”The saddest aspect of all this is how low Harry, a former British Army officer, has fallen in the estimation of his fellow troops, who once admired his determination and brilliance. It is now unlikely he will even wear a military uniform to the Coronation despite all he has achieved with the Invictus Games.The man who was once “our Harry” needs a purpose in life beyond attacking the media and his family. By giving him a warm welcome in three weeks’ time, Britain might help him find it
Thank you 🐼
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