Tumgik
#non mais ECOUTEZ
kaantt · 3 months
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Je viens d'unlock des souvenirs de dessins animés de quand j'étais gamine
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Jamy c'est un seigneur du temps, Fred et Sabine ses compagnons, et Marcel c'est le nom de son TARDIS deguisé en camion qui ne communique que par des bruits de klaxons
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lecameleontv · 3 months
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Captures de l’Ep. 4.03 : Le Vol de l'Ange / Angel's Flight (1999) de la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender).
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Distribution : - James McDonnell, qui avait déjà croisé l'actrice Kim Myers dans l' Ep. 1.16 (1987) de la série La Loi de Los Angeles, et qui retrouvera l'acteur James Denton dans l'Ep. 1.16 (2002) de la série Philly, puis dans les Ep. 6.01 (2009) et 6.11 (2010) de la série Desperate Housewives; - Cosimo Canale, qui a retrouvé l'acteur Jason Brooks dans le TVfilm Un Homme Trop Parfait (2013)
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Jarod (arrivant devant un camion de glaces) : "Je voudrais 2 boules à la vanille avec des éclats de noisettes s'il vous plaît."
Marchand de glaces (en train de nettoyer son camion, éponge savonneuse à la main) : "On est pas encore ouvert."
Jarod : "Oh mais j'ai de l'argent vous savez."
Marchand de glaces (agacé, regardant sa montre) : "Ecoutez, il n'est que 7h et demi du matin ! ... (désignant une direction de la main) Allez prendre votre petit-déjeuner en face ..."
Jarod : "Etant donné qu'il y a du fer, du calcium et du lactose dans la glace à la vanille, des sucres lents énergétiques dans le cornet et des fibres dans les noisettes, il est clair qu'en réalité on absorbe plus d'éléments nutritifs dans une ... glace au goût surprenant que dans 2 oeufs au plat avec du bacon et du café."
Marchand de glaces (fatigué) : "Vous êtes pas un peu dérangé ?"
Jarod : "Non (très souriant) ... j'adore les glaces (très heureux)."
Marchand de glaces (blasé) : Ah ... ouais ..."
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Saison 4 : Episodes 01 - 03 - 04 - 05 - 07 - 08 - 09  - 11 - 13 - 15 - 16 - 18 - 19 - 20.
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source : imdb
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lupitovi · 2 years
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Christian Olivier - Chant De Guerre Parisien (poème d’Arthur Rimbaud)
Le Printemps est évident, car Du coeur des Propriétés vertes, Le vol de Thiers et de Picard Tient ses splendeurs grandes ouvertes !
Ô Mai ! quels délirants culs-nus ! Sèvres, Meudon, Bagneux, Asnières, Ecoutez donc les bienvenus Semer les choses printanières !
Ils ont shako, sabre et tam-tam, Non la vieille boîte à bougies, Et des yoles qui n’ont jam, jam… Fendent le lac aux eaux rougies !
Plus que jamais nous bambochons Quand arrivent sur nos tanières Crouler les jaunes cabochons Dans des aubes particulières !
Thiers et Picard sont des Eros, Des enleveurs d’héliotropes ; Au pétrole ils font des Corots : Voici hannetonner leurs tropes…
Ils sont familiers du Grand Truc !… Et couché dans les glaïeuls, Favre Fait son cillement aqueduc, Et ses reniflements à poivre !
La grand ville a le pavé chaud Malgré vos douches de pétrole, Et décidément, il nous faut Vous secouer dans votre rôle…
Et les Ruraux qui se prélassent Dans de longs accroupissements, Entendront des rameaux qui cassent Parmi les rouges froissements !
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Le soleil me fuit (jour 22)
La Terre continue de tourner. Le soleil se lève et se couche chaque jour, tout comme la lune, à sa manière. Vous errez tout autour de moi mais personne ne me voit. Quoi que je fasse, où que je sois, vous ne réagissez pas. Ne me parlez surtout pas, puisque vous vous amusez de ma (non) présence. Ne jouez pas, ne jouez plus avec moi. Par pitié, libérez-moi des abysses de cette vie qui n'est pas. Coincée dans ce voile invisible, traquée et chassée par vous et vos sbires... Ne suis-je bonne qu'à vous faire peur ? Fantasmer de mon existence est bien trop cruel à mon goût, parce que moi, je sais que j'existe. Même si je tente de vous le prouver, vous ne voyez rien. Vous refusez de le voir. De me voir. Votre curiosité n'a de cesse que votre voyeurisme malsain. J'ai peur. Je sais bien que je ne suis plus, mais l'organe qui battait si fort et si vite autrefois est blessé, brisé. Je suis seule, et je n'ai pas de chez moi. Je veux juste en finir. Pour de bon. Le soleil me fuit et la nuit, j'ai beau me sentir libre d'exister, j'ai peur. Vous passez à travers moi, et vous vous souciez de vos propres soucis, de vos vies à vous. Moi, la mienne, on me l'a prise. Je ne la retrouverai plus jamais. Mais arrêtez-vous ! Ecoutez ! Voyez ! Je suis là, je vous appelle, je vous fais signe, je vous implore et je vous prie de m'entendre. Aidez-moi à trouver ma voie. Je n'ai que trop peu connu le bonheur, la sécurité et l'amour de mon vivant... alors par pitié. Aidez-moi à trouver mon véritable chemin dans la mort.
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allen-san · 11 months
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Type : Yaoi
Genre : Action - Lemon - Aventure
Couple : Allen x Kanda .
Ame sensible ou homophobe s'abstenir
Cela à commencer pendant une mission comme une autre; Allen, Kanda, Lenalee ainsi qu'un Finder étaient à Albuquerque pour trouver une Innocence. Ils avaient réussi à avoir une chambre dans un petit hôtel de la ville et avait cherché l'Innocence toute la journée chacun de son côté.
La nuit arrivée, tout le monde étaient rentré à l'hôtel sauf Allen. - Lenalee, Où est Moyashi ? Demanda Kanda. - On a rencontré des Akuma pendant notre recherche et Allen-kun m'a demandé de revenir avant lui. - Tch ! Quel idiot ! . Quelques minutes plus tard Allen arriva la joue droite en sang . - Mr Walker ! Cria le Finder. Vous allez bien ? . - Oui je vais bien Hiroki. Rassura le blandinet. Kanda s'approcha de celui-ci et l'attrapa par le col de sa tenue. - Tu était censé être sous la surveillance de Lenalee, alors pourquoi l'avoir retiré du combat ?. - Je sais très bien combattre tout seul. - Vraiment ?. - Kanda s'il te plaît lâche-le. Fit la jeune fille. C'est entièrement ma faute, j'aurais dû rester. - Peu importe. Dit le brun en lâchant Allen. Demain j'irai avec lui et Lenalee ira avec le Finder. - D'accord . Dit-elle. - Je prend le premier tour de garde avec Hiroki. Annonça Allen.
Dans l'hôtel alors que Hiroki commençait à s'endormir dans la chambre d'Allen, Kanda arriva et le congédia. - Tu es venu me surveiller ou pour me remplacer ?. - Selon toi . - Le 14ème ne c'est pas encore montré et je trouve ça vraiment énervant. - Tu sais que tu es mignon quand tu t'énerve ?.Demanda Kanda avec une voix suave. - Qu...Quoi ?!. S'exclama le blandinet avec stupéfaction . - Tu devrais soigner cette blessure à la joue. Lui dit-il en la lui caressant. - Mais qu'est-ce qui te prend Kanda ?! . Celui-ci lui agrippa la tête et la rapprocha afin de l'embrasser. Cela surpris Allen mais il ne résista pas, puis Kanda lâcha les lèvres de son compagnon . - Ose me dire que cela t'a déplu Moyashi . Lui susurra-t-il. Le blandinet se mit à rougir et le Kendoka ne lui laissa pas le temps de répondre, lui prenant amoureusement ses lèvres; puis le baiser s'intensifia, Allen senti alors quelque chose d'humide entrer dans sa bouche à la recherche de sa jumelle. Ils s'enlacèrent tendrement. Alors que leur baiser devenait sulfureux, Kanda commença à vouloir déshabiller son amant lorsqu'ils entendirent un bruit qui venait de l'autre côté de la porte .Les deux Exorcistes s'arrêtèrent dans leurs mouvements. - Allen-kun tu es encore là ? Je suis venue relever Kanda . Cria Lenalee avant d'entrer et les trouver tout deux . - Je n'avais pas sommeil, alors Kanda est venu me surveiller. Mais je pense maintenant que je vais me coucher. - Je vais le suivre pour continuer la surveillance . Annonça Kanda . - Ok, dans ce cas je monte la garde extérieur seule . Bonne nuit tout les deux . Leur dit-elle doucement . - Bonne nuit . Lui répondit Allen .
Le lendemain .
- Kanda derrière toi ! . Cria Allen. - Mugen !! . L'Akuma de niveau 2 fût taillé en pièce par le Kendoka . - Il en reste d'autres ? . Demanda-t-il . - Non c'était le dernier qui restait . - Aaaah! Oh mon Dieu !! Hurla une femme non loin d'eux. Mais qu'est-ce que c'est que cet oeil ?!! . Tout de suite, Allen cacha son oeil avec sa main gauche. - Euh ... Ecoutez Mme, ce n'est rien, c'est tout à fait normal si je puis dire ... - Normal ? Normal ?!. -Moyashi, regarde ce qu'elle tient . En effet, elle avait à la main une dague dont on ressentait le pouvoir de l'Innocence. - Une compatible. Dit Allen en enlevant sa main de son œil, celui-ci s'étant enfin calmé et revenu à la normale. - Mais qui êtes-vous bon sang ?!. Et qu'avez-vous fait à ces créatures ?! Lança-t-elle. Nous sommes des Exorcistes, des hommes au service du Vatican et utilisant un pouvoir Divin nommé Innocence, que d'ailleurs vous possédez aussi. Lui annonça Lenalee . - C'est n'importe quoi !! . - Activation de l'Innocence ! Cria Allen . - V.. Vôtre bras !. Qu... Que lui est-il arrivé ? . - J'ai activé mon Innocence, c'est elle qui me permet de battre ces créatures que l'on nomme Akuma . - Je ne comprends pas . -Moyashi, emmenons-là à l'hôtel . - Oui tu as raison. Suivez-nous s'il vous plaît.
Une fois à notre hôtel, les trois Exorcistes apprirent qu'elle s'appelait Rose, son histoire et en retour lui parlèrent des Akuma ainsi que du monde sombre des Exorcistes. Cela accompli, les compagnons rentrèrent à la Congrégation avec leur nouvel amie. - Bon retour chers Exorcistes. - Nous sommes rentrés Grand-Frère ! . - Je vois que vous avez trouver une compatible, c'est très bien . Les félicita Komui . - Oui, elle est de Type Equipement . - C'est fort bien, enchanté, je me nomme Komui Lee et je suis le Grand-Intendant de la Congrégation . - Enchantée, mon nom est Rose Cabera. - Je te souhaite la bienvenue Rose ! . Bien, suis-moi je te prie, quand à vous Exorcistes et Finder vous pouvez disposer, Kanda, tu me fera un rapport plus tard dans la journée . - Très bien . - A plus tard Grand-Frère ! . Fit Lenalee. - A pluuuuuus tarrdd Lenaleeeee !! Tu va me manqueeeeeeeer !!!!! .
Les trois amis se séparèrent et se retrouvèrent, sauf Kanda qui mangeais toujours seul, le soir lorsque était venue l'heure de manger. Leur ami Lavi se joignit à eux et parlèrent de leur mission respective. Plus tard, Kanda alla trouver Allen qui ranger son plat et lui demanda discrètement à l'oreille de le rejoindre plus tard dans sa chambre. Allen, gêné, déglutit difficilement et avoua aux deux autres qu'il était fatigué, il fit alors semblant d'aller se coucher , puis alla rejoindre son amant. " Toc, toc " . - Te voilà enfin Moyashi. Fit le Kendoka en lui ouvrant la porte et en s'approchant de lui. - Mon nom c'est Allen !. - Tu es vraiment irrésistible lorsque tu t'énerves. Kanda lui prit tendrement la main et l'attira vers sa chambre, ils commencèrent par s'asseoir sur le lit et le brun pris l'initiative .
* Lemon .
Les lèvres du Kendoka alla sur celles du blandinet et leurs langues entrèrent en contact, tournant et retournant dans leur bouche. Kanda commença à déshabiller son amant, ainsi que lui-même. Alors que celui-ci baisait le cou d'Allen, ses mains touchèrent le torse du blandinet, celui-ci sentit le désir monter en lui; puis le brun se mit à titiller de ses doigts le téton gauche de son compagnon, ce qui eut pour effet de faire gémir Allen. Les baiser du bruns descendirent et se dirigèrent vers le téton, il se mit alors à le lécher goulûment . Allen rougissait de plus en plus et le désir était de plus en plus fort. C'est alors que la main du Kendoka s'immisça dans la partie la plus au Sud du jeune homme qui se mit à gémir de plus belle. -K..Kanda ! Fit-il dans un souffle. Pas là.. Mais celui-ci n'écouta pas et se mit à faire des va-et-vient. La respiration d'Allen était saccadée, ne pouvant plus supporter pour très longtemps le désir de la chair qui grimper en flèche. Kanda délaissa le téton pour aller saisir à pleine bouche le membre de son amant. C'était fini, la goutte d'eau qui fait déborder le vase, il ne pouvait plus tenir et laissa éclater ce qui bouillonnait en lui, un liquide blanchâtre apparu et Kanda se réjouit de le voir enfin venir. Il continua à lécher avec délectation le membre d'Allen et chercha l'entrée de son intimité avec ses doigts. -K...Kanda !!! . S'essouffla le jeune homme. Il lâcha le membre du blandinet avec un sourire en coin. - Je l'ai trouvé. - Hein ?!. - Prépare-toi, je vais " entrer ". Allen sentit alors une chose aller dans son intimité dans un mouvement lascif et tendre. Kanda se pencha et embrassa à nouveau son amant . Au fur et à mesure le brun accéléra, ses coups de reins se faisant sentir, il entendait Allen jouir de plaisir
* Fin du Lemon .
Lorsque ils eurent fini leurs ébats, Kanda murmura un " je t'aime Allen " au creux de l'oreille de celui-ci puis s'endormit de fatigue.
Le lendemain matin.
- Bonjour Allen. - Bonjour Kanda .Susurre-t-il. - Comment tu vas ? Pas trop mal ?. - Si un peu, il faut avouer que tu as été plutôt brusque cette nuit. Avoua le blandinet, rouge comme une tomate. - En effet ... Excuse-moi. Le silence s'installa. - Tu sais ce qui est vraiment dommage ?. Allen ne répondit pas . - C'est qu'on ne pourra pas montrer notre amour aux autres . - Oui, on sera obliger de faire comme cette nuit et se voir dans ta chambre ... Dans la mienne ça sera impossible, je peut échapper à Link mais pas faire des choses de ce genre avec lui à côté ... D'ailleurs, il va bientôt se réveiller et commencer à me chercher, je ferais bien d'y aller . - En effet, nous devrons agir ainsi à chaque fois . Allen eu un regard triste et parut démoralisé. - Ne t'inquiète pas, Le rassura Kanda en lui caressant doucement la joue. Nous pourrons toujours êtres ensemble et je profiterais de chaque occasion où nous serons seuls pour t'embrasser comme je vais le faire maintenant . Il prit les lèvres de son compagnon et joignit leur langue . - Je t'aime Allen et rien ni personne ne m'empêchera de ressentir cela. Ils s'embrassèrent langoureusement de nouveau, puis Kanda s'habilla et demanda à Allen d'attendre quelques minutes après son départ avant de faire de même. Cela fait, la vie reprit son cours et les amants firent ce qu'ils s'étaient promis ce matin-là, ne s'embrassant seulement qu'une fois de temps en temps lorsqu'ils étaient sûrs et certains d'être seuls dans une pièce ou au dehors lorsqu'ils étaient en mission .
Voilà, c'est un One-shot Yullen que j'ai écrit il y à hyyyyyyper longtemps lol et que je réécris ici en l'ayant un peu amélioré ( sauf les fautes, je ne suis pas très bonne ... ) . Qu'en pensez-vous ? .
PS : j'avais écrit cet article en 2017 et ça faisait déjà hyper longtemps que l'avais inventé, alors maintenant elle est encore plus ancienne XD
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claudehenrion · 1 year
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La pédagogie à toutes les sauces. ( I ) : des origines...
  Les médias, toujours prêts à endosser une idée nouvelle pourvu qu'elle soit mauvaise (et, mieux encore, ''très mauvaise''), emboîtent le pas et apportent leur goutte de fiel à chaque débat qui empuantit la France et fait avancer l'humanité vers son néant final. L’un des mots-clés de ce progressisme en marche est : ''la pédagogie'', preuve de la prétention des ''ceux-qui-croient-savoir'' et de leur mépris (Ecoutez-les cacher leurs échecs derrière leur rituel : ''Nous n'avons pas assez fait de pédagogie'' !) pour les autres 8 milliards de crétins --ça, c'est nous, les ''terriens'' qui encombrent et polluent la planète. Mais comment osent-ils être si prétentieux ?
Pour ne pas perdre les bonnes habitudes de ce blog, commençons par ''La minute étymologique'' : le mot ''Pédagogie'' vient, vous vous en doutiez, du grec ancien παιδαγωγια, prononcé pédagôgía, lui-même fait de παιδός (pédos, enfant) et ‘ἄγειν (aguéin, ''pousser devant soi un troupeau de bêtail''... ce qui ressemble très fort à ce que veulent dire nos bergers (au sens de ''chiens-bergers'') lorsqu''ils emploient ce mot contre nous : des êtres immatures (pour tout dire : ''un peu con-cons'') qui ne comprennent rien, et à qui il faut tout apprendre et tout expliquer.
C'est l'un des mots-maux les plus utilisés par nos tyranneaux gauchisants et un de ceux qui m'exaspèrent le plus... Très employé par Mitterrand, ce mot qui avait un sens (''savoir, pour un maître transmettre au mieux à ses élèves''), est devenu un fourre-tout comme la Gauche adore les brandir lorsqu'elle veut (c'est fréquent !) semer la confusion (''Le florentin'' parlait de son idée d'interdire l'enseignement prive, qui est la seule à avoir mis, à plusieurs reprises, jusqu'à 4 millions de braves gens dans nos rues. Il a reculé, mais ses successeurs en progressouillardisme ont parfaitement intégré le célèbre ''Mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde'' d'Albert Camus. Et comme leurs projets ne visent pas le bonheur du monde mais le triomphe (?) de leurs dystopies, ils s'en donnent à cœur joie !
Donc la Gauche, dans la droite ligne (dans la mesure où une ligne de Gauche peut être... ''droite'' !) du rôle qu'elle a réussi à imposer à toutes les forces politiques des pays où elle sévit, s'ébat dans le jeu de rôle pas drôle et totalement usurpé, de donneur de leçons, d'instit', de pseudo-référence morale, de catalogues d'idées-qui-n'ont-jamais-marché-nulle-part, ou d'influenceur ès-modes périmées... Le rôle est difficile, les critères pas réunis, la compétence totalement absente, et le besoin pas évident. A part ça... tout va bien, dans leur tête bourrée d'idées mortifères...
Il est tout de même étrange (ou révélateur ?) que jamais –on va dire : ''presque jamais'', par prudence, mais sans y croire-- aucun homme politique de Droite n'a méprisé ses semblables au point de se persuader lui-même qu'ils n'ont même pas compris tout seuls que ''moi-qui-vous-cause, je sais, et je vais donc vous montrer mon sens de l'abnégation en vous consacrant un peu de mon temps (pourtant si précieux !) pour vous expliquer pourquoi vous avez tout faux, en quoi vous êtes complètement cons et comment moi, qui sais, je vais éclairer votre lanterne éteinte
Ce qu'un homme de gauche appelle “pédagogie, c'est en réalité : ''cent fois sur le métier remettre son ouvrage... jusqu'à ce que l'autre cède.” … Et si l'autre est vraiment bouché... le ''progressisme'' peut alors reprendre ses droits et ''moi et  les miens (puisque nous on sait, vous, non) on passera en force en disant que c'est de votre faute : vous êtes vraiment indécrottables. En jargon ''macronien, cet exercice a un nom : ''le 49-3'' !  On connaît cette histoire qui aurait pu être drôle si elle n'était pas vraie à en pleurer : ''Un homme de Droite qui est contre l'alcool, les armes à feu, la sexualité dé-sexuée, le suicide légalisé, ou que sais-je encore... ne pratique pas ces ''sports'' et les interdit à ses enfants. Mais un homme de gauche qui a les mêmes idées n'a de cesse de faire pondre des lois qui vont interdire à tout le monde ce qui le gêne, lui''... Je crois que cette parabole résume tout : ''Si la France refuse à 80 ou 90 ¨% notre magnifique projet --qui se trouve être à l'opposé complet de notre projet précédent, qui était tout aussi magnifique--, ce ne peut être que parce que (tous en chœur, à trois... Un, deux, trois) : ''Nous n'avons pas fait assez de pédagogie''. Ben voyons !, dit l'autre !
Un bon exemple des ravages que peut faire cette manière de voir le monde –et de ne rien y comprendre-- est fourni par Xavier Bertrand, le gaucho-honteux qui dit se croire de Droite à en être confondant pour les autres et con fondu pour lui-même, qui déclarait sur Canal + : ''Le combat de la laïcité est compliqué. Il réclame de la patience et de la pédagogie, mais il n'est pas perdu d'avance'' (sic !)... Un autre exemple ? Michel Winnock –pas exactement un fasciste-- disait en parlant de la télévision (dans ''le Monde de la Culture'',  comme par hasard) : ''Nous avons besoin de pédagogie, d’émissions qui éduquent''... Toujours cette idée fixe que le citoyen à besoin qu'on pense pour lui et qu'on lui montre le chemin. C'est horrible !
On sait, depuis Durkheim, qu’il n’y a pas d’éducation pure et que ce qu'on désigne par ''éducation'' relève d’attentes sociales et d’idées politiques. L’ex- philosophie politique de l’éducation, qui a été ratatinée de nos jours à un sens de ''Education politisée'', ne sait plus que se nourrir de ceux des apports de la critique sociologique et de la philosophie sociale qui sont susceptibles –disent les haineux adversaires de toute ''sortie de crise''--  de mettre en lumière ‘’les effets pervers du principe méritocratique de l’égalité des chances à l’époque de l’école de masse’’… Et de là à étendre cette perversion à tous les adultes, au delà du cercle de l'enfance, il n'y a qu'un pas que nos faux prophètes (mais vrais salopards) ont vite fait de sauter...
Plutôt que disserter sur leur ''praxis'' du viol de foules –issue de Pavlov-- ou sur son contraire, i.e. la formidable analyse de Gustave le Bon (Psychologie des foules –1895), il semblerait plus explicite et plus convainquant de se pencher sur deux traumatismes qui viennent de blesser durablement la France et les français : la crise du covid et la réforme des retraites. (NB ;J'aurais pu prendre pour exemples la guerre russo-ukrainienne, le suicide mensongèrement dit ''dans la dignité'' pour faire avaler la pilule, ou les gilets jaunes, c'eût été pareil. Mais il faut choisir). (A suivre).
H-Cl.
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aurevoirmonty · 2 years
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"Les banques sont heureuses, on presse, on filtre, on souque, à tout cabestan!… L'instinct fait le reste… Toujours là, présent, tapi, l'instinct, immanquable, intrompable, l'instinct de Mort, au fond des hommes. au fond des races qui vont disparaître, l'instinct dont on ne parle jamais, qui ne parle jamais, le plus tenace, le plus solide, impeccable, l'instinct muet… Lui qui n'est jamais ivre, attend, entend… Que d'affiches! que de promesses! que d'euphories!… la démagogie nectarde, tonitrue, explose!… C'est la foire! le grand carnaval du verbe mentir… Ecoutez ces valets de torture ce qu'ils hurlent à pleins mensonges devant leurs victimes… Ils ont des mensonges plein la gueule: "Que veut le peuple ?… Qu'exige le peuple ?… " Du travail. Et du pain!…" Mais non! saloperies! mais non!… Et vous le savez bien! mieux que tout autre!… Le peuple il exige du loisir et de la vinasse! avant tout. "
Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre.
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selidren · 2 years
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Eté 1894 - Champs-les-Sims
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Cousin Virgile, 
Ne vous tracassez pas tant, un jour Dieu vous fera cadeau d’un enfant. N’en tenez pas rigueur à votre frère, il ne semble pas avoir plus d’envie de gérer vos affaire que mon cousin Constantin. Réjouissez vous pour lui, car je dois quand à moi vous annoncer une mauvaise nouvelle. 
Je vous disais dans mon précédent courrier que la police ne cessait de venir nous ennuyer avec ses lubies concernant le meurtre de mon oncle. J’avais aussi été très clair sur ce que je pensais de leurs idées. Malheureusement, je n’étais pas aussi avisé que je le pensais.
Des affaires m’ont appelé à Paris et à Bordeaux il y a de cela quelques semaines. Comme j’étais loin, cet affreux bonhomme, le Commissaire Malet, en profité pour revenir nous tourner autour. Dans le même temps, les ouvriers étaient venus terminer les allées de notre jardin. Il leur fallait les creuser pour y couler le ciment pour joindre les dalles qui constitueraient le sentier. Malheureusement, à peine avaient-il commencé à creuser qu’ils ont immédiatement cessé car ils étaient tombés sur “quelque chose d’étrange”. C’est Mademoiselle Horideau qui m’a raconté cela à mon retour, et je remercie Dieu d’avoir fait que l’ouvrier venu nous prévenir soit tombé sur elle plutôt que sur ma grand-mère. Notre bonne a ainsi fait mander la police, qui est venue poursuivre l’exploration du trou.
Transcription :
Adelphe : Navré Grand-Mère. Je voulais venir vous voir dès ce matin, mais...
Eugénie : Adelphe ? Mais quelle est cette chose sur votre visage ?
Adelphe : Vous n’allez pas vous y mettre aussi ! Ecoutez moi, je ne viens pas parler ce cela. J’ai du aller voir la police en sautant du train.
Eugénie : Oh non...
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arnaud-cendrin · 2 years
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Taïeb
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Taïeb ne paraissait pas trop saoul ce jour-là. Il arpentait les chemins de terre d’un pas énergique, écartant sans ménagement, à l’aide d’une machette qui paraissait dater des guerres coloniales, les broussailles qui se dressaient sur son chemin. Nous nous extirpâmes peu à peu de cette anarchie végétale et parvînmes à un plateau dégagé où nous pouvions marcher côte à côte.
En bas du plateau s’étendait à perte de vue un paysage préhistorique de nature vierge. En portant le regard vers l’horizon, on apercevait, juste avant les montagnes couvertes de sapins, quelques maisons disposées comme au hasard. Sans ce hameau, nous aurions pu nous croire revenus à l’aube de l’humanité. Quand le monde était fait d’une matière molle, encore malléable. Avant que les continents ne se referment, avant que les langues et les frontières ne nous emprisonnent, avant que les religions ne nous asservissent.
Taïeb me fit signe de m’arrêter et s’alluma une cigarette. Il ne s’était pas rasé depuis plusieurs jours, s’était laissé pousser les cheveux et le double menton, et ses yeux étaient rouges derrières ses petites lunettes cerclées.
- Vous le connaissez depuis longtemps, l’autre, là, le Japonais ?
- Depuis très longtemps. On a fait les quatre cents coups, avec lui et Edgar.
- Ah oui, Edgar… ! Personnage très étrange, également. Et on ne sait toujours pas ce qu’il est venu faire chez Langevin avec cette épée, et ce que cette épée semblait avoir de tellement important.
C’était donc pour ça qu’il voulait me voir. Il avait deviné quelque chose. En mon for intérieur, je me jurai de continuer à ne rien dire à personne à ce sujet, et surtout pas à lui. C’était une décision que je n’arrivais pas vraiment à m’expliquer moi-même. Comme un as caché dans ma manche.
- Moi non plus, dis-je.
Taïeb m’observa de ses petits yeux perçants, comme s’il essayait de voir à travers moi.
- Je n’essaie pas de vous baiser, Gauthier. Moi aussi, je veux coincer Langevin. C’est vrai, peut-être que je ne dis pas tout ce que je sais. Mais je ne peux pas. Et vous savez pourquoi ? Parce que ce que je sais est, au sens propre du terme, incroyable. Ceccaldi le savait aussi, mais il est mort. Je suis le dernier.
Il aspira une longue bouffée de sa cigarette et dit :
- Venez, on va marcher.
Il continua, élevant la voix pour qu’elle parvienne à mes oreilles alors que je marchais derrière lui :
- Vous savez ce que ça fait, d’avoir cru toute votre vie que vous luttiez pour la justice, l’humanisme, l’égalité, et de comprendre, vingt-cinq ans plus tard, que quelqu’un vous a manipulé pour faire exactement le contraire ?
- Non, avouai-je en trébuchant sur une pomme de pin.
- Ecoutez-moi, Gauthier, dit-il en s’arrêtant de nouveau. Je me descends une bouteille de whisky et trois paquets de gitanes par jour. Faire ça, c’est comme téter le sein de sa mère. C’est une mère sadique, bien sur, et son lait empoisonné vous tue petit à petit… Mais si je fais ça, c’est parce que, chaque jour depuis que j’ai eu dix ans, j’ai été lâché au milieu d’une meute de hyènes. Si je fais ça, c’est pour crier à cette bande de salopes : « vous voyez, vous ne m’aurez pas ; je vais être mon propre prédateur, mon propre charognard ». La gnole et la clope, c’est comme une capsule de cyanure, en plus vicelard.
« Vous connaissez Richard Matheson ? Il a écrit un livre, L’homme qui rétrécit. Le mec de l’histoire est atteint d’une maladie extraordinaire, incurable, qui le fait rapetisser, jour après jour. A un moment, il devient aussi petit que l’araignée qui rode dans sa maison. Il a perdu sa femme, ses enfants, tout le monde l’a oublié, et évidemment il n’y a plus aucun espoir de rémission. Dans son état, il pense sérieusement à se suicider. Et pourtant, il lutte de toutes ses forces pour échapper à l’araignée. Bizarre, non ? Matheson explique ce paradoxe sans y prendre garde, par cette phrase : "c’était une forme de vie trop étrangère".
Le mec refuse de finir comme ça, dans le ventre d’une telle horreur vivante. Et bien vous voyez, moi c’est pareil : je refuse de me laisser bouffer par l’araignée. Je ne finirais pas comme elle veut que je finisse.
- Je ne comprends pas. Qui est l’araignée ?
- Vous ne le savez pas ? Alors c’est que vous en faites partie. Vous êtes une de ses pattes, un de ses poils, un de ses yeux. Vous ne vous rendez pas compte, évidemment. Le Système fonctionne parfaitement. Il n’a d’autre fin que lui-même, sa survie et sa reproduction, exactement comme un organisme biologique. On ne peut absolument rien faire.
Si, il y a bien une chose : on peut cesser de lui servir de nourriture. Pour cela, il faut avoir la volonté de pratiquer sur soi-même la tactique de la terre brulée. Se rendre inutilisable, incomestible. Le monstre passera à coté de vous sans vous prêter attention, tout au plus en vous jetant distraitement un regard de mépris. Evidemment, vous vivrez une existence misérable, écourtée. Mais vous cesserez de lui servir de garde-manger. Qui sait ? Peut-être réussira-t-on un jour, de cette façon, à commencer à l’affaiblir, à le faire chanceler. S’il arrive qu’il tombe, étourdi, dans les feuilles mortes, les huit pattes en l’air, alors il faudra se jeter sur lui avec toute la sauvagerie des animaux. Il faudra profiter de ce moment de fragilité pour le massacrer. Sans aucune pitié. Car nous n’avons pas affaire à quelque chose d’humain, ni à un chien, ni à un sanglier, ni à quoique ce soit que nous pourrions comprendre. Nous avons affaire à quelque chose qui n’est pas de notre monde.
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Extrait de mon roman "Wild boys".
https://www.amazon.fr/dp/B0B5PSX9TP...
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tournevole · 9 days
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Ecoutez, vous ne m'écoutez pas
texte de  JACQUES DEBRONCKART
Écoutez, Vous ne m'écoutez pas Alors ce n'est que ça la vie, ce fatras, ce brouillamini ? J'croyais qu'on répèterait moi Mais non, on joue directement Personne ne connaît la pièce on improvise les mots, les gestes Alors c'est mauvais forcément Faudrait pouvoir apprendre non ? Faire 40 ans d'apprentissage, Tout ressentir, devenir sage Et puis renaitre pour de bon, Ça ce serait bien. Écoutez moi vous ne m'écoutez pas. Je vous jure, vous me direz vos aventures après D'abord écoutez moi. D'après vous, est-ce que c'était mieux avant, il y trois siècles, ou quatre, quand on savait vivre et se battre ? Quand on avait pas tué Dieu. Écoutez, écoutez moi, écoutez, écoutez moi, écoutez, vous ne m'écoutez pas... Est-ce que c'est normal d'avoir peur ? Est-ce qu'ils ont peur aussi les autres d'être seuls, d'être pris en faute, de mourir d'un arrêt du cœur Les autres Ils sont pourtant tout près, on ne peut les toucher Ils fuient, se dérobent, se réfugient dans leurs "moi" en ciment armé Les bêtises que j'ai faites enfant, les conneries que j'ai faites adulte, en moi tout ça fait un tumulte Comment le faire taire, comment ? Écoutez vous ne m'écoutez pas. La tombe de mon père est nue, pas de pierre, de la terre battue Fera-t-on de même pour moi ? Je crie du fond d'un sous-marin dans l'océan des mille peines Il me reste de l'oxygène mais pour combien de temps combien ? Écoutez, écoutez moi, écoutez, écoutez moi, écoutez, vous ne m'écoutez pas... Écoutez, vous ne m'écoutez pas Sortez de votre carapace Je suis là, je suis là en face de vous Enfin quoi je ne mendie pas, je ne quête Ni pour cela (ceux-là) ni pour ceci (ceux-ci) Je veux que vous tourniez la tête, Ce n'est pas bien terrible si ? Ça ne vous prendra qu'un quart d'heure, dix minutes Peut être moins Après j'écoute tout au malheur Toute la nuit, jusqu'au matin, jusqu'au matin Écoutez, écoutez moi, écoutez, écoutez moi, écoutez, vous ne m'écouter pas..
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christophe76460 · 1 month
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Un boeuf et un âne sont tous deux des créatures de Dieu, mais ils ne peuvent dormir dans le même box, ni travailler sous le même joug. Pourquoi cela ? parce que leurs natures sont différentes! Si Dieu vous dit non en ce qui concerne une relation avec quelqu'un qui vous attire beaucoup, ce n'est pas parce qu'Il veut être rabat-joie, c'est parce qu'Il veut vous protéger! Ecoutez donc Ses conseils. (Une prière pour notre temps) Bob Gass. SPPA
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eccentric-ocean · 1 month
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I've always been listening to foreign (to me) podcasts for escapism but finally figured out I could also just go to history podcasts from my own country for that.
Je recommande vivement cet épisode de passion médievistes, qui fait voyager non seulement dans le passé mais aussi jusqu'en italie!
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lolochaponnay · 3 months
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Un Anglais, un Américain et un Belge sont dans un bar à Paris. Ils discutent et s'amusent et sont tous d'accord que c'est un endroit plaisant. Alors l'Anglais dit : "C'est bien fun ici, mais à Londres, j'en connais un bien mieux qui s'appelle Chez Andrews. Là, tu achètes ta première bière, tu achètes ta deuxième bière, et Andrews lui-même te paye la troisième !" Mais l'Américain dit : "J'veux pas vous embêter, mais j'en connais un encore mieux ! Y'a un bar à New York qui s'appelle Chez John. Tu achètes ta première bière et John te paye la deuxième. Tu achètes ta troisième bière et John te paye la quatrième !" Alors le Belge dit : "Vous pensez que c'est un endroit tripant ? Ecoutez bien ça. Chez nous, il y a un bar qui s'appelle Chez Jef Vanderbrul. Vous ne me croirez pas, mais, Chez Vanderbrul, tu te fais payer ta première bière, tu te fais payer ta deuxième bière, tu te fais payer ta troisième bière, tu te fais payer ta quatrième bière, et là , tu peux aller dans une chambre au deuxième étage... et tu baises !" "Incroyable ! disent les deux autres. Est-ce que ça t'es réellement arrivé à toi ?" "Non, répond le Belge, mais c'est arrivé à ma sœur.
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yes-bernie-stuff · 4 months
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◀ 28 JANVIER ▶ Tout Pour Qu'Il Règne
Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? Actes 26:14
Comment croire qu'on puisse ainsi persécuter Jésus
Est-ce que je suis décidé à ne laisser agir Dieu qu'à ma guise ? Terrible piège auquel nous sommes toujours pris, tant que nous n'avons pas été baptisés d'Esprit et de feu. L'entêtement et l'amour-propre nous amènent toujours à poignarder le Christ. Nous ne faisons peut-être de tort à personne, mais nous crucifions Jésus. Chaque fois que nous voulons, obstinément, "maintenir nos droits, notre dignité", chaque fois que nous voulons faire triompher nos ambitions, nous persécutons et nous crucifions Jésus. Il n'y a pas de plus affreuse découverte qu'une telle découverte. Quand je vous transmets le message de Dieu, est-il vivant en moi, ardent et vibrant ? Ou bien ma vie dément-elle ce que j'essaye de prêcher ? Je puis prêcher la sanctification et manifester en moi l'esprit de Satan, l'esprit qui persécute Jésus. L'Esprit de Jésus n'admet qu'une attitude : être un avec le Père. Aussi quelle humilité que la sienne : "Ecoutez mon enseignement, dit-il, car je suis doux et humble de coeur." Tout ce que je fais doit se fonder sur ma parfaite union avec Lui, non pas sur ma propre volonté de m'élever vers Dieu. Cela implique sans doute qu'on profitera de moi, qu'on me trompera sans peine, qu'on me laissera de côté. Mais en acceptant tout cela pour l'amour de Lui, j'ai la joie de n'être pas parmi ses persécuteurs. - Lire plus ici :
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the-best-of-tatu · 10 months
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Chapitre 6 (Suite)
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Grand, les épaules carrées, barbue. Drôle d'homme. Homme des cavernes ? Non, je rigole pourtant il y ressemble assez. Je ne vais pas être méchante, je ne le connais pas, mais il n'a pas l'air d'être très sociale...
« Groumf ! grogna-t-il. Qui êtes-vous ? »
« Heu, je m'appelle Yulia et voici Lena. Votre maison est très jolie, nous y avons passé la nuit, si vous voulez, on vous paiera... »
« Me payer ? Haha, ce n'est pas une auberge ici ! Vous n'avez rien déplacé d'important ? »
« Non, pas que je sache. » assura Lena.
« Bien. Quel age avez-vous ? »
« 15 ans. »
« Vous n'avez pas cours ? »
« Merde Yul' ! Heu... Excusez-nous, monsieur, du dérangement, mais nous devons y allez ! »
« Vous n'allez pas partir comme ça ! Peut-être, m'avez-vous volé des choses... »
« Ecoutez, monsieur, nous n'avons rien voler, s'il vous manque quelque chose, signalez-le à la police et décrivez notre portrait, ce sera suffisant ! »
Je ne suis pas sûr des mots qui viennent de sortir de ma bouche, mais le temps était contre nous. Lena ouvrit la porte, me prit la main et courut. Je me sentais coupable de laisser, cet homme ainsi, très malpoli en plus. Sans affaires de cours, ce n'était pas la peine d'aller en cours.
Lena arriva chez elle, ses parents n'étaient pas là, elle monta dans sa chambre avec moi, prépara son sac nerveusement.
Je posai ma main sur la sienne, elle releva la tête et souffla :
« Il faut se grouillez, on va... »
Trop tard, la suite avait été absorbée par mes lèvres. Elle se laissa guider sur le lit. Louper une journée de cours ? Je m'en ferais un plaisir ! Je ne voulais pas y allez, il était trop tard maintenant. Ma main glissa le long de sa jambe, puis une hésitation. De ma main, je cherchais quelque chose, il n'y avait plus son plâtre, celui que j'oubliais à chaque fois, normal, Lena n'avait jamais de béquille.
« Où est ton plâtre ? Tu l'as enlevé ? »
« Je n'ai jamais eu mal à la jambe, je suis sûre que les médecins se sont trompés. »
« Eh bien, pas moi ! Lena, c'est très dangereux ! »
« Yul' arrêtes, j'ai réussi à courir, j'ai réussi à marcher, même à faire quelque chose de très sportif... » dit-t-elle perversement.
Je lui souris, je me rappellerais toujours de cette nuit, cette pensée me fait sourire, tout le temps.
« Je te fais confiance ! Bon si ta jambe a réussi à faire des prouesses pareilles, je veux bien te croire ! » confiais-je, en ajoutant un air plus que coquin pour mettre un peu d'ambiance.
« Bon, je dois préparer mon sac. »
Cette phrase me fait sortir de mes souvenirs de hier soir, j'empêche sa main de se poser sur sa trousse, la ramène sur mon ventre et l'embrasse tendrement.
« Toi, t'as vraiment pas envie d'allez en cours ! »
« Comment t'as deviné ? »
Elle m'embrasse et rigole, puis se redresse et reprend son sac, elle cherche vraiment la petite bête, je le prends fermement et le balance n'importe où, il dégringole, atterrit lourdement et laisse échapper quelques affaires.
« Voila ! Il ne nous embêtera plus ! »
« T'es vraiment folle toi ! » rigola ma rouquine.
« J'aime pas les gens ou bien sûr, les sacs qui m'empêche de flirter avec ma copine. »
« Mmh, t'es accro d'une fille, toi ! »
« Devines, qui c'est. »
« Je sais pas, faut que je réfléchisse ! »
« Prends ton temps ! Sinon, tu savais que je la trompais avec une jolie rousse qui m'empêche de faire de grosses conneries ? »
« Ca dépend de quelle rousse tu parles... » taquina-t-elle en jouant le jeu.
Je lui prend la main, lui vole rapidement un baiser, et l'embarque  en dehors de la maison. Je tourne sur moi-même pour trouver quel chemin prendre, Lena pousse un petit cri d'étonnement :
« Oh ! Un petit chat regarde ! »
Elle courut vers lui joyeusement tandis que je marche pour la rejoindre.
Soudain, des crissements de pneus, un bruit sourd, le choc.
Les larmes ruissèlent sur mon visage, je m'agenouille près d'elle, son corps fragile, son esprit inconscient, je lui prend la main, le conducteur sort de sa voiture affolé, Lena est allongée sur le sol, ne réagissant pas. Je sens mon cœur se serrer, je fixe le conducteur avec haine, je vois le petit chat noir, qui est plus loin, derrière un buisson, lui, il a eu de la chance, si Lena ne s'en sort pas, je m'en voudrais toute ma vie. Elle est la seule chose qui me tienne debout. La voir dans cet état, me forme une boule dans la gorge, les secours vont bientôt arriver, je ne peux rien faire, je me sens désarmer... Un ange ne peut pas mourir, non pas maintenant, je l'aime tellement, si je la perds, je me perds aussi...
Les chambres d'hôpitaux. J'espère ne plus en voir de si tôt. Et cette odeur, si infecte. Je me demande comment je peux respirer. Mais là, n'est pas la question.
Lena respire, je n'ai jamais été aussi heureuse, qu'une personne respire si bien. Elle ne s'est pas éteinte, elle est restée aussi forte qu'un feu de forêt. Mais sa jambe est mal en point. Elle s'était aggravée.
Je suis seule, devant un ange, paradis sur terre. Enfin, peut-être pas le paradis d'être ici mais le paradis d'avoir encore la moitié de mon âme vivante.
Les secours ont été rapide,pour une fois. Je ne cesserais jamais de les remercier.
Ma main est posée sur la sienne, j'essaye de penser positivement. Puis, notre nuit ensemble me revient...Je souris. C'était le plus beau cadeau qu'elle puisse m'offrir. Sur son lit blanc comme neige, elle est endormie, aussi silencieuse que la belle au bois dormant, elle a le sourire aux lèvres. Peut-être qu'elle est heureuse de respirer où même heureuse, tout court.
Sa tête bouge, ses sourcils se froncent. Elle se met à gigoter, et ensuite elle ouvre les yeux faiblement et pousse des gémissements qu'on entend à peine.
« Lena ?! Ca va ?! Dis-moi quelque chose ! »
« ... »
« N'importe quoi, dis-moi n'importe quoi ! »
Puis après quelques secondes de silence prit par un échange de regards mystérieux, je me penche vers elle et lui dit :
« Rien que pour entendre ta voix. »
Elle ferme et ouvre les yeux plusieurs fois, et essaye d'ouvrir la bouche pour dire quelque chose, elle étouffe des petits cris de douleur pour enfin parvenir à balbutier :
« L..Les..Sa..Sacs...Ca..Ca..Vo...Volent... »
Elle racle sa gorge pour mieux parler.
« Les sacs,ça volent... »
Elle fait un sourire amusé, et moi je fais un rire de bonheur, mais, oui, il y en a toujours un, il fut de courte durée. Lena repartit dans un sommeil plus que profond pour me laisser avec sa plaisanterie de bon cœur. Je me lève, m'étire et sors dehors, boire un verre d'eau.
« C'est comme ça quand on ne vas pas en cours. »
« Tu essayes de me faire culpabiliser ? »
« Non, j'essaye de te faire réaliser la gravité de la chose ! » réplique Aleksandr partagé  entre le tristesse et la colère.
« Lena est vivante, c'est l'essentiel. Les choses appartiennent au passé désormais. »
« Mais les choses vont sûrement s'aggraver dans le futur. »
« Aleksandr. Arrêtes. »
« Tu sais que j'ai cru que je n'entendais pas clair quand on m'a dit que Lena était à l'hôpital ? »
« Je sais que tu as eu un choc et j'approuve. Mais maintenant, n'y pensons plus. »
« Yulia, vous êtes mes deux meilleures amies, je ne supporterais pas de vous perdre. »
Il perd son sérieux pour laisser place à un chagrin qui me déstabilise. Je ne l'ai jamais vu dans un état pareil. Je le prend dans mes bras, lui caresse le dos pour le rassurer. Ces paroles m'ont fait plaisir, et en même temps, je culpabilise avec lui.
« Famille Katina ? » intervint le docteur.
« Oui. »
Ses parents, Aleksandr et moi répondirent en même temps. Le docteur fit un sourire et reprit son sérieux rapidement. J'attendais avec un trac terrible les résultats des tests...
« Hum... La jambe de votre fille s'est très aggravée, il va falloir l'opérer. »
L'angoisse s'empare de mon corps, mon cœur se serre, je regarde ses parents avec une certaine peur et incompréhension. Cela pouvait-il vraiment se faire ?
« Elle devra alors rester à l'hôpital, non ? »
« Nous ne savons pas encore tout à fait, mais je pense que oui. »
Eh merde ! Désolé, pour mon expression met la colère ne peut pas me retenir, j'vais le tuer ce chat noir ! Tout ça c'est à cause de lui ! Je m'en fous, je sèche les cours !
Je tape dans un banc qui est installer dans le couloir pour me défouler, Natalia passe son bras autour de mes épaules.
« Calme toi Yulia. Ce n'est pas si grave, tu pourras la voir tous les jours. »
« Tout les soirs, oui. »
« Oui, c'est vrai. Allez viens, on va la voir. »
Mes mains sont enfoncés dans mes poches, mes sourcils fronçaient et ma tête baissée.
« Ca ne vas pas ma Yul' ? »
Ce sont les seuls mots qui lui viennent à la bouche quand elle se réveille, je m'approche d'elle afin de respirer son odeur pour ensuite lui chuchoter :
« Si, ça va depuis que tu es réveiller ma belle. »
« Mmh,... Ce lit me fait penser à quelque chose... » dit Lena en me provoquant.
« Je...Hum... Lena, ça va ta jambe ? »
Elle se redresse sur son coussin et me confie :
« Disons, que ça pourrait allez mieux, mais ça va. »
Je l'embrasse, Natalia avait disparut, nous étions seules, en tête à tête. Ses lèvres m'avaient manquées, elle entière m'avait manquée plutôt.
Nous ne redoutions pas l'arrivée de l'un des parents à Lena, au contraire, on s'en foutait complètement.
Lena est la seule personne qui compte dans ma vie, Lena est l'ange qui m'a sauvée des ténèbres, nos lèvres se joignent, nos langues se cherchent et nos mains se baladent n'importe où. Je sens la fièvre monter en moi comme si j'étais ivre, mais de plaisir.
Mon cœur lui appartient, elle sait qu'elle est dedans, elle sait que seule elle peut le détruire, elle sait que je l'aime.
Que dire de plus quand les mots sont insuffisants ? Que dire de plus quand les mots ne viennent pas ? Que dire de plus quand on aime quelqu'un à en mourir ?
Tout ce que j'ai à dire c'est que... Lena est ma seule raison de vivre...
Fin du chapitre pour Yul' !
Commencement du chapitre 7 pour notre Lena !                                                                                                                                                            
#Posté le vendredi 15 septembre 2006 19:25
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