Tumgik
#drame
cinemoments · 4 months
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Drive, dir. Nicolas Winding Refn, 2011
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darkmovies · 3 months
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A Quiet Place: Day One (2024) Date de sortie : 28/06/2024 Réalisateur : Michael Sarnoski Scénario : Michael Sarnoski, John Krasinski, Bryan Woods Avec :  Denis O’Hare, Djimon Hounsou, Joseph Quinn
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francepittoresque · 4 months
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24 décembre 1800 : attentat de la rue Saint-Nicaise contre Bonaparte ➽ http://bit.ly/Attentat-Bonaparte Premier attentat à la bombe contre un chef d’État, l’explosion rue Saint-Nicaise à l’instant même où la voiture de Bonaparte se dirige vers l’Opéra en cette veille de Noël cause nombreuses victimes et considérables dégâts matériels : si le Premier consul n’est pas touché, le drame marque l’opinion publique et donne bientôt lieu à des arrestations massives dans le milieu des jacobins, avant que trois chouans, véritables auteurs de l’attentat, ne soient identifiés au terme d’une enquête tant administrative que scientifique
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vhscorp · 2 years
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Le double drame des gens abandonnés, c’est qu’ils se retrouvent brusquement seuls et qu’ils s’en sentent, en plus, souvent coupables…
V. H. SCORP
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walkcineroad · 4 months
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Faux-semblants [Dead Ringers]
Release date : 1988
Director : David Cronenberg
Country : Canada 🇨🇦 U.S.A. 🇺🇸
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Two identical twins, Beverly and Elliot Mantle, renowned gynecologists, share the same apartment, the same clinic, the same ideas and the same women. One day, a famous actress came to consult them for sterility. The two brothers fall in love with her but if for Elliot she remains a woman among many others, for Beverly she becomes the woman. For the first time the Mantle brothers will think, feel and act differently...
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A story of twins (almost Siamese) where Jeremy Irons delivers a breathtaking acting performance alongside Geneviève Bujold, who is always so comfortable when she crosses the Atlantic. Once again in Cronenberg's journey, the human being is caught in his raw corporeality, alone palpable reality accessible to “scientific” understanding. Everything else, that is to say emotions, pain, pleasure, feelings are a priori neglected by the cynical double, the one who speaks in public and comes to reap the fruits of the other's work... The problem is thatthe other, the sensitive one (the crazy one ?), does not understand it that way and the beautiful, mechanical one "sharpened since childhood" complementary and perfect twins in a double entity will irremediably seize up when love arises, until the inevitable "final solution". Professor Cronenberg's lesson in humanity had perhaps never been so irritating... or so right...
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kamomille9 · 1 year
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Fanfic Pendranièvre : Le Coeur a ses Raisons... Chapitre 2
Bonjour, j’ai oublié le disclaimer à l’écriture du premier chapitre donc le voici ! 😉
Voici le lien pour ceux qui ont loupé le chapitre 1 : https://www.tumblr.com/kamomille9/713215415776575488/fanfic-pendrani%C3%A8vre?source=share
Disclaimer : Je ne possède aucun des personnages de l’univers de Kaamelott et d’Alexandre Astier et ne touche aucune rémunération pour l’écriture de cette fanfiction.
Chapitre 2 : La Confrontation
Arthur Pendragon était d’une humeur massacrante. Ce n’était pas en soit bien nouveau mais la nuit dernière avait été un peu particulière… À la suite de sa confrontation avec sa femme, il n’avait pas osé retourner dans leur chambre de peur de devoir subir ses pleurs et ses cris. Car, même si elle avait été étonnamment modérée lorsqu’elle les avait découvert, il se doutait que sa retenue ne durerait pas bien longtemps. C’est ainsi qu’au petit matin, il retourna dans leur chambre afin de se changer. Quelle ne fut pas sa surprise en découvrant la chambre vide ! Il fit plusieurs fois le tour de la pièce avant d’intégrer complètement l’absence de son épouse. Finalement, il haussa les épaules et commença à se préparer pour une nouvelle journée.
Le Roi ruminait les évènements de la nuit depuis des heures, repensant au regard digne de sa femme lorsqu’il lui avait balancé à la tronche qu’elle n’était rien… Il savait que les mots lui avaient manqué à ce moment précis mais il n’avait rien trouvé à dire de plus… Depuis 15 ans, il s’évertuait à tenir Guenièvre aussi éloignée de lui que possible. Il était désagréable, moqueur et aussi colérique qu’il le pouvait avec elle afin qu’elle ne se sente pas attirée par lui. Il avait vu que c’était peine perdue puisque malgré ses remontrances et les disputes qu’il provoquait souvent pour un rien, il avait remarqué les regards toujours timides qu’elle lui lançait depuis le jour de leur mariage. S’il devait être complètement honnête avec lui-même, il avait, en de rares occasions, les mêmes regards à son encontre… Lorsqu’elle portait une jolie toilette la mettant en valeur, lorsqu’elle souriait sincèrement pensant que personne ne la voyait ou encore la nuit dernière quand elle s’était tenue devant lui. Elle ne lui avait jamais paru aussi belle et forte. Un aplomb digne d’une vraie Reine.
Maintenant, le voilà déambulant dans les couloirs vers la salle du petit-déjeuner pour éviter de le prendre avec sa femme au cas où elle reviendrait dans leur chambre. Il croisa alors le Père Blaise qui semblait visiblement le chercher.
_ Ah bonjour Sire, vous tombez bien !
_ Bonjour… Qu’est-ce qu’il se passe encore ? demanda le roi en levant déjà les yeux au ciel.
_ Je… J’ai vu votre femme ce matin… avoua-t-il en regardant autour de lui avec méfiance.
_ Ma femme ? Oui… et alors ? Quoi ma femme ?
_ Elle est venue me trouver dans la salle des archives me posant des questions pour l’une de ses amies…
_ Une amie ? répéta Arthur, qui savait pertinemment que Guenièvre n’avait aucune amie digne de ce nom, hormis sa bonniche.
_ Oui… Elle voulait savoir comment faire pour annuler un mariage…
Si le roi était surpris, il tenta de le cacher autant que faire se peut. Il ne pouvait bien entendu rien laisser paraitre devant le Père Blaise mais une légère angoisse commença à se former au niveau de sa poitrine.
_ Poursuivez, réussit-il à dire en fronçant encore d’avantage ses sourcils noirs de jais.
_ J’ai réussi à trouver le texte de loi en question et lui ai prêté pour la journée. Je me suis juste permis de vous écrire la liste des éventuels cas pouvant entrainer l’annulation d’une union…
Le cureton tendit alors au roi un petit parchemin révélant les fameux cas en question. A la lecture de cette liste, le roi ferma les yeux en soupirant bruyamment.
_ Même si l’un ou plusieurs de ces cas se trouvaient exacts, il n’existe aucune preuve pouvant étayer de leur véracité…
_ Pour l’un oui mais pour l’autre… se permit de couper le Père Blaise.
_ Comment ça pour l’autre ? Quel autre ?
_ Si la dame en question pouvait, par l’intermédiaire d’un examen gynécologique, prouver l’état de sa vertu…
Arthur leva soudainement sa main afin d’interrompre le prêtre avant qu’il ne finisse sa phrase. Le Roi donnait bien le change mais intérieurement il crevait de trouille… Il avait peut-être poussé le bouchon un peu trop loin cette fois… Il jeta alors un dernier regard au Père Blaise avant de se diriger vers l’extérieur, ou plus précisément vers le laboratoire de Merlin. On pouvait dire ce qu’on voulait sur lui, il connaissait sa femme… Il était impensable qu’elle laisse un inconnu pratiquer ce genre d’examen sur elle. Merlin était le mieux indiqué au sein de ce château pour l’effectuer.
Arrivé à destination, il toqua brutalement à la porte avant d’entrer sans plus de sommation.
Chacun devant leur chaudron, les deux mages relevèrent la tête de leur ouvrage.
_ Bonjour Sire…
_ Oui, oui, c’est ça bonjour… Avez-vous vu ma femme ce matin ?
Les deux enchanteurs se regardèrent de nouveau brièvement avant de lui jeter un regard plein de reproches.
_ Qu’est-ce que vous lui avez encore fait ? demanda Merlin d’une voix triste.
_ Là n’est pas la question ! Je vous demande si vous l’avez vu !
_ Oui nous l’avons vu et permettez-moi de vous dire que, si, là est toute la question justement ! s’exclama Elias avec audace.  
_ Cela ne vous regarde pas !
_ Ah pardon Sire ! Mais quand la Reine vient vous voir pour nous demander de pratiquer un examen des plus intimes pour prouver sa virginité, je pense que ça nous regarde un minimum !
_ Parce qu’en plus vous l’avez fait tous les deux ?!
_ On est censé travailler en équipe je vous signale ! Et Elias a pu confirmer mes résultats grâce à deux ou trois sortilèges, inoffensifs pour la Reine… Nous lui avons donné un document signé de nos mains attestant de nos conclusions…
_ Vous voulez le voir ? Quoique mon petit doigt me dit que vous connaissez déjà le résultat de cet examen, demanda Elias avec le ton le plus sarcastique qu’il pouvait exprimer.
_ Non c’est bon ! Et alors ? Qu’est-ce que ça peut bien faire ?
_ Ça peut faire que la Reine en avait peut-être assez d’attendre que vous manifestiez de l’intérêt pour elle, rétorqua Merlin en tapant du point sur la table.
_ Quinze ans que le royaume attend un héritier et que la Reine s’en prend plein la tronche parce qu’il n’arrive toujours pas ! Et avec votre réputation, personne ne pouvait se douter qu’en fait vous ne l’aviez jamais touchée, ajouta Elias.
_ La pauvre n’y est pour rien si vous ne voulez pas la toucher ! Pourquoi lui infliger cette torture alors que tout ce qu’elle voulait c’était votre bonheur à vous ? Si vous ne l’aimez pas mais que vous ne vouliez pas annuler ce mariage vous-même, pourquoi ne pas lui avoir accorder la seule chose à laquelle elle aurait pu se rattacher : un enfant, votre enfant ?
Arthur se contenait pour ne pas exploser de colère. Tous les membres de son corps tremblaient et il n’avait rien à dire pour sa défense… Il le savait, il savait tout ça mais la promesse qu’il avait faite il y a quinze ans l’empêchait de faire le geste dont sa femme avait désespérément besoin… Sans leur accorder le moindre mot, il fit volte-face et sortit du laboratoire en claquant fermement la porte derrière lui. Merlin et Elias se regardèrent à nouveau. Cette journée ne pouvait pas bien se terminer…
Le Roi devait trouver sa Reine. Il remonta donc au château et fila directement dans leur chambre. Elle avait obtenu ce qu’elle voulait quelle serait maintenant sa prochaine étape ? Arthur avait peur rien que d’y penser… Il croisa plusieurs de ses chevaliers sur le chemin mais les ignora complètement. Lorsqu’il arriva finalement devant la pièce, il entra en trombe, balançant la porte dans la tronche de Perceval qui passait là par hasard.
Elle était là. Pliant une robe avant de la mettre dans le sac posé sur le lit devant elle. En l’entendant entrer, elle avait relevé la tête mais n’avait pas prononcé un seul mot.
_ Je peux savoir ce que vous fabriquez ?
_ Vous êtes aveugle ou quoi ? Je fais ma valise.
La froideur de Guenièvre ne fit pour autant pas reculer le roi qui, au contraire s’avança vers elle.
_ Pour aller où ?
_ Depuis quand ça vous intéresse ? Ce que je fais, où je vais… En quoi ça vous intéresse maintenant ?
_ Qu’est-ce que vous trafiquez à la fin ? Pourquoi avoir demander au Père Blaise un texte de loi sur l’annulation d’un mariage ? Et pourquoi avoir demandé à Merlin et Elias un examen gynécologique ?
Si elle était surprise qu’il soit déjà au courant, elle ne le laissa pas paraître, peu lui importait en vérité.
_ Pour quelqu’un qui me traite de gourde et d’idiote depuis quinze ans, il est surprenant que vous n’ayez pas encore compris où je voulais en venir.
_ Pourquoi vous voulez faire annuler notre mariage ? A cause de ce que vous avez vu hier soir avec Mévanwi ? Je ne suis même pas allé jusqu’au bout avec elle !
_ Vous n’êtes pas allé jusqu’au bout avec moi non plus, qu’est-ce que ça change ?!
Arthur resta interdit un instant. Elle ne le regardait même pas quand elle parlait, continuant de rassembler ses affaires dans un petit sac en toile beige.
_ Qu’est-ce que vous voulez à la fin ? Des excuses ? D’accord je m’excuse, je n’aurais pas dû approcher la femme d’un chevalier, c’était stupide ! Satisfaite ?
_ Vous savez, j’ai toujours admiré votre noblesse. Je vois bien comment vous vous tuez à la tâche pour votre royaume, votre peuple. Je sais ce que ça vous coûte d’écouter tous ses clampins qui vous épuisent toute la journée mais vous le faites parce qu’au fond vous les appréciez. Vous voulez les aider, vous voulez trouver ce foutu Graal et apporter la lumière à tous les peuples. Je me suis sentie honorer au début de notre mariage de pouvoir vous aider ne serait-ce qu’un peu en acceptant que vous vous plaignez tous les soir dans notre lit de vos journées et de vos chevaliers. Je n’ai rien dit encore lorsque les maîtresses ont commencé à s’accumuler alors que je n’avais même pas eu le droit à un simple baiser le jour de notre mariage. J’ai accepté que vous me traitiez de gourde sans me donner ne serait-ce que l’opportunité d’apprendre à vos côtés. Je suis trop idiote et trop moche pour que vous ayez envie de m’accorder ne fusse qu’un peu de gentillesse plus d’une fois par an. Mais aujourd’hui, après toutes les lois que vous avez abolies et créées pour améliorer le pays, vous n’êtes même pas capable de respecter l’une d’entre elle…
_ Guenièvre…
_ Je ne me sens plus à même de vous soutenir quand je sais jusqu’où vous êtes prêt à aller pour obtenir quelque chose que vous pensez vouloir… Je ne peux plus accepter d’être humiliée jour après jour, année après année en sachant que jamais vous ne m’aimerez comme moi je vous aime. Je préfère partir… Vous serez enfin libre de retrouver une épouse qui vous conviendra sur tous les plans et…
_ J’ai obtenu le trône parce que j’ai accepté de vous épouser ! Les différents clans de ce royaume se sont finalement unifiés grâce à notre mariage. Si vous l’annulez, tout foutra le camp ! Les clans ne me soutiendront plus et vous le savez ! Alors arrêtez votre petit jeu, je vous assure que j’ai bien retenu la leçon je ne suis pas près de recommencer…
_ Au bout de quinze ans, les clans sont unifiés et en paix. Ce n’est certainement pas l’annulation de notre mariage qui changera ça ! Les clans auraient beaucoup trop à perdre en renversant votre gouvernement et ils le savent ! Ma présence ici en tant que Reine ne change plus rien désormais… Vous trouverez une autre femme, d’un autre clan qui fera aussi bien l’affaire que moi, si ce n’est mieux !
_ Et vos parents ? Vous pensez qu’ils accepteront bien sagement de ne plus être mes beaux-parents ?
_ Mon père est votre principal conseiller et votre chef militaire. Il ne pourra jamais obtenir une plus haute fonction que celle-ci et il le sait ! De plus, je lui rappellerai les termes de notre accord pour lesquels j’ai accepté de vous épouser…
_ De quoi vous parler ? Quels termes ?
_ Je n’avais pas envie de vous épouser. Mes parents voulaient que je devienne Reine mais je n’ai jamais eu cette ambition ! Ils m’ont harcelé pendant des semaines avant que je finisse par céder à une seule condition : celle de partir avec mon époux et de vivre avec lui loin d’eux !
Arthur se retrouva une nouvelle fois à court de mots. Jamais personne ne l’avait informé de cette condition. Il pensait que sa femme l’avait épousé par intérêt politique alors qu’en fait…
_ Vous aviez raison. Je vous ai épousé par intérêt… Mais pas l’intérêt auquel vous pensiez… Et quand ensuite je vous ai rencontré trois jours avant notre mariage, je me suis dit que ça pouvait peut-être marcher… Vous sembliez sérieux voir triste mais aussi très doux… Alors j’ai pensé…
Guenièvre secoua vivement sa tête sans finir sa phrase. Elle prit ensuite sa brosse à cheveux, son vieux peigne et quelques rubans avant de finalement fermer son sac. Elle le mit en bandoulière avant de se diriger vers la table, prendre les parchemins et les tendre vers Arthur.
_ C’est vous qui m’avez épousé uniquement pas intérêt politique pas l’inverse ! Alors, voici le texte de loi sur l’annulation d’un mariage ainsi qu’un exemplaire des résultats de mon examen signé par Merlin et Elias. Je n’ai besoin de rien d’autre. Même pas de votre signature ou de votre accord et à partir de maintenant je ne suis ni Reine, ni votre femme.
Arthur prit entre ses mains les deux parchemins qui déjà lui brulaient les doigts.
_ Vous croyez sincèrement que vous pouvez partir comme ça ? Vous pensez que je vais vous laisser faire ? tonna Arthur alors que sa respiration se faisait de plus en plus difficile et douloureuse.
_ Cela peut se passer de deux façons complètement différentes. La première : vous me laisser partir sans esclandre et vous n’entendrez plus parler de moi. Le deuxième : vous me retenez contre mon gré et je puis vous assurer que demain tous les nobles, tous les chevaliers, tous les serviteurs et tous les pécores du royaume sauront qu’après toutes ces années, preuve à l’appui, je suis toujours vierge et la question de l’héritier ne vous quittera plus jamais !
Le Roi était à court d’idée. Elle avait tout prévu, avait méticuleusement réfléchi à toutes les éventualités et il était à présent au pied du mur.
_ Où irez-vous ? finit-il par redemander en soupirant tristement.
_ Cela ne vous concerne pas ! Je ne suis plus votre femme, je n’ai pas à vous informer de mes faits et gestes, qui, je le répète, ne vous ont jamais intéressé jusqu’à présent !
Arthur se souvint alors du message que Bohort avait porté à sa femme plus d’un mois auparavant…
_ Allez-vous rejoindre Lancelot ?
_ Lancelot ?! Mais pour quoi faire ?
_ Ne faites pas l’innocente ! Je sais qu’il est amoureux de vous ! Je suis au courant du message que vous a transmis Bohort !
Il vit alors sa femme secouer doucement la tête avec une tristesse infinie. Qu’est-ce qu’il ne comprenant pas ?
_ Alors vous savez aussi que c’était il y a plus d’un mois maintenant et que si j’avais vraiment eu envie de rejoindre Lancelot j’y serais déjà à l’heure qu’il est ! Je suis restée pour vous car la grosse gourdasse que je suis avait encore un peu d’espoir… Quel serait l’intérêt de quitter un homme que j’ai aimé pendant plus d’une décennie pour aller retrouver un homme que je ne suis même pas sûre d’aimer ? J’ai besoin de plus de certitudes ! J’ai besoin d’être aimée mais aussi d’aimer en retour !
Elle avait réussi à définitivement lui clouer le bec. Il aurait voulu lui dire qu’il pouvait l’aimer lui mais ce serait mentir car il savait que sa promesse le rappellerait à l’ordre. Il finirait forcément par revenir à la promesse faite par Aconia… Arthur se détestait de privilégier une femme qui l’avait abandonné à la première difficulté plutôt qu’une épouse qui était restée malgré son attitude pendant des années. Ah, il était beau le Roi de Bretagne… Incapable d’accorder à Guenièvre ce qu’elle était légitimement en droit d’avoir de lui. Il ne reconnaissait qu’en cet instant qu’elle était beaucoup plus digne d’être aimée par lui qu’Aconia ne l’avait jamais été.
_ Je vous ai…
_ Adieu Sire.
Sur ces deux derniers mots, Guenièvre franchit la porte de ce qui fut leur chambre. Le Roi Arthur, quant à lui, était figé sur place. Incapable de se retourner alors qu’une unique larme coulait le long de sa joue.
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Le soleil me fuit (jour 22)
La Terre continue de tourner. Le soleil se lève et se couche chaque jour, tout comme la lune, à sa manière. Vous errez tout autour de moi mais personne ne me voit. Quoi que je fasse, où que je sois, vous ne réagissez pas. Ne me parlez surtout pas, puisque vous vous amusez de ma (non) présence. Ne jouez pas, ne jouez plus avec moi. Par pitié, libérez-moi des abysses de cette vie qui n'est pas. Coincée dans ce voile invisible, traquée et chassée par vous et vos sbires... Ne suis-je bonne qu'à vous faire peur ? Fantasmer de mon existence est bien trop cruel à mon goût, parce que moi, je sais que j'existe. Même si je tente de vous le prouver, vous ne voyez rien. Vous refusez de le voir. De me voir. Votre curiosité n'a de cesse que votre voyeurisme malsain. J'ai peur. Je sais bien que je ne suis plus, mais l'organe qui battait si fort et si vite autrefois est blessé, brisé. Je suis seule, et je n'ai pas de chez moi. Je veux juste en finir. Pour de bon. Le soleil me fuit et la nuit, j'ai beau me sentir libre d'exister, j'ai peur. Vous passez à travers moi, et vous vous souciez de vos propres soucis, de vos vies à vous. Moi, la mienne, on me l'a prise. Je ne la retrouverai plus jamais. Mais arrêtez-vous ! Ecoutez ! Voyez ! Je suis là, je vous appelle, je vous fais signe, je vous implore et je vous prie de m'entendre. Aidez-moi à trouver ma voie. Je n'ai que trop peu connu le bonheur, la sécurité et l'amour de mon vivant... alors par pitié. Aidez-moi à trouver mon véritable chemin dans la mort.
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Paris, 1783
Ma chère Virginie,
Ô mon amante, vous souvenez-vous de notre amour ancien ?
À l’origine, je me pavanais dans cette ruelle pour finalement atterrir dans ce théâtre à Paris. La salle était remplit d’aristocrates, mais seul votre regard m’a attiré.
Après cela, je suis retourné plusieurs fois dans ce théâtre et je vous apercevez rayonnante comme le soleil à chaque rencontre. Cela est venu presque naturellement, nos regards timides sont transformés en parole puis en lettres d’amour.
Nous nous sommes revus maintes fois, encore et encore, sauf que cette nuit là était différent, car envahi par les effets de l’alcool. L’ivresse guidait machinalement nos gestes et nous vêtements froisser atterrissaient est sur le sol. Nos esprits embrumés rendaient nos mouvements pressés mais précis. Nos voix s’entremêlaient dans une symphonie parfaite puis arriva le bouquet final, nous montâmes ainsi au septième ciel avec ce douloureux plaisir.
Ô mon amante, vous souvenez-vous de notre plaisir ancien ?
Au réveil, je me sentais comme sur un nuage, et souvenir de l’extase de la veille en coffret rester dans mon esprit. Les tulipes fleurissaient et les oiseaux chantaient , c’était une journée parfaite pour un thé verveine qui coulera dans nos veines et jouera ainsi de ses phénomènes. Lorsque mon regard rempli d’amour et d’espoir avais croisé le votre, vos yeux maussades me confirmèrent vos intentions. Les draps froid et vos gestes brusques me brisèrent le cœur, à cette heure vous vous souciez plus des mœurs que de nos sentiments si passionnels et réciproques . Vos cris me percèrent les tympans et mes milles supplications ne vous arrêtèrent pas. L’orage hurlait mais ses cris n’était pas aussi fort que mes sanglots.
Ce soir-là était différent, même si j’avais vécu vingt cinq années sans vous, je me sentais pourtant si vide et si brisée . Vos mains tremblantes conséquences de vos sanglots incontrôlable, restaient dans mon esprit sans pouvoir s’enfuir. Ce soit là était différent, je voyais deux fois plus d’étoiles que d’habitude, j’étais belle est vivante, mais ce soir là je finirai inerte sur le sol, avec le seul bruit des insectes me tenant compagnie. Si les larmes servaient de remède au malheur, et le pleurer pouvez la tristesse arrêter, je crois bien que je serai guérite depuis bien longtemps.
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cinemoments · 4 months
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Babylon, dir. Damien Chazelle, 2022
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everyfilmisaw · 8 months
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고양이 (The Cat) by Seung-wook Byeon, 2011
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francepittoresque · 3 months
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15 février 1855 : naufrage de la frégate La Sémillante au large de Bonifacio ➽ http://bit.ly/Naufrage-Semillante Partie de Toulon avec une brise d’ouest assez fraîche le 14 février 1855 avec 694 matelots et passagers pour se rendre en Crimée, la « Sémillante » dut gouverner de manière à passer par le canal qui sépare la Sardaigne de la côte d'Afrique : pour tenter d’échapper à un ouragan d’une rare violence, le capitaine donna dans les Bouches de Bonifacio, mais le navire, emporté par une mer déchaînée, heurta un haut-fond rocheux de l’île Lavezzi avant de couler sans laisser un seul survivant
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vhscorp · 2 years
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La jalousie est un double fléau : elle fait souffrir celui qui la ressent tout autant que celui qui la subit...
V. H. SCORP
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Lovers lost in time loops and organ trafficking to make you heartache o( ̄┰ ̄*)ゞ
TRIAGE (Mystery/Supernatural/Romance/) 2022 – 13 episodes
Thai BL
Rating: 10/10
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Time travel, time loops, murders... Triage has all the action and drama to draw you in at its fast pace in a dense plot that won't leave you time to breathe between episodes. Focusing on the evolution of human beings in contact with each other, this beautiful romantic drama is an amazing elegy to the beauty of human beings in their ability to change to become better.
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Tin is an emergency room doctor who runs between near-death patients every day. His routine is shattered when he comes face to face with Tol, a student who has been in a car accident and is in critical condition. After failing to save him, he wakes up again on the morning of the day of the accident, and has to save him once more, but without success. As the time loops progress, he eventually realises that he must solve the situation that leads to Tol's death if he is to be able to save him and finally break out of this time loop. But as he gets to know the young man, another goal is added to that of saving: that Tol should fall in love with him... Locked in a hopeless struggle, having to juggle his feelings with the boy's recurring amnesia, he is a tortured doctor fighting against a destiny that he wants to change at all costs for the sake of his patient and his own good.
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Tol will gradually change through contact with the doctor. Understanding his own mistakes and trying to repair them, step by step, he discovers himself in a new light, with a lot of maturity and distance. Tin, on the other hand, will see himself changed by his repeated attempts to save the boy. Constantly confronted with the limits of their possibilities in these constant time travels, they will experience a tortured romance, alternately finding themselves having to deal with a repetition of their own history.
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Very well acted and directed, this drama will bring you a breath of fresh air in this vast category of BL drama with its original story. With the air of TENET or Stein Gate but without the technicality, the suspense is maintained until the end and it's up to you to watch it to find out the question that keeps nagging at you throughout the 13 episodes: will their love story have a happy ending? I won't say any more...
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hcdahlem · 8 months
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Vie et mort de Vernon Sullivan
Dimitri Kantcheloff retrace la vie d'un auteur américain qui n'a jamais existé. Vernon Sullivan est l'invention de Boris Vian, mais cette création va faire bien des ravages dans la France de l'après-guerre. Il va secouer tout le milieu littéraire.
  En deux mots Quand Boris Vian relève le défi d’écrire en moins d’un mois un roman à scandale, il ne se rend pas compte combien sa vie va basculer. En inventant Vernon Sullivan, soi-disant auteur américain censuré, il se dote d’un double littéraire qui va secouer la France bienpensante avec J’irai cracher sur vos tombes et va faire de l’ombre à… Boris Vian. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma…
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yoan-le-grall · 8 months
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nebuleuse-cosmic · 2 years
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