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#les années folles
cabinet-baldo · 2 years
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Shymmy au Boeuf sur le Toit par Pierre Gatier
Gravure en taille douce de Pierre GATIER 1923
numérotée 48 sur 50
(Noter le jazz-band)
Pierre Gatier, chroniqueur de son temps
plus sur lui 
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ftbx · 3 months
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Mémoires du skateboard les années folles de Thierry Dupin
Le skateboard des 70's aux années 2000 Souvenirs de Thierry Dupin
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customcrazy · 1 year
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philoursmars · 6 months
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Je vais poursuivre dans les vieilles photos. Ici, des vestiges du siècle précédent... Des Années Folles aux années 30 en Auvergne !
1925 - Vichel. Les dames sont de sortie
1926 - Ceyrat : ma grand-mère maternelle (à droite) et , je pense, sa cousine
1932 - Château-sur-Cher. Ma grand-mère et ma mère, encore toute petite.
1933 - Clermont-Ferrand (Les Bughes). Peut-être une des usines Michelin en arrière-plan ?
1934 - Domérat. Coupe à la garçonne.
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dagss · 1 year
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je me suis pris photoshop 2023 as a treat
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(Source : Insolentiae.com 221020)
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sportsallover · 1 year
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Ça va être le gros dilemme de savoir sur quelle chaîne regarder le Tour de France cette année, mais Thomas Voeckler est tellement drôle que je pense que je vais aller sur France TV.
Eurosport est super intéressant et je me suis habituée à leur équipe, mais quand même c’est France TV qui m’a fait tomber amoureuse du cyclisme avec, justement, le Tour de France et je veux soutenir la diffusion gratuite des sports sur les chaînes publiques.
En fait le choix est fait, mais les commentateurs d’Eurosport vont quand même me manquer.
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a-room-of-my-own · 2 months
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On a des petites filles qui se font lyncher devant leur collège par des Daech juniors et la réponse des différents partis politiques c’est
- faut plus de moyens
- faut plus de dialogue inter religieux
- faut manger des chamallow autour d’un feu en chanter Kumbaya
NON
Faut me ramasser ces petits connards et les foutre en centre éducatif fermé
Faut arrêter de tout le temps raquer, merde.
Et puis c’est quoi le message qu’on envoie aux filles qui sont en première ligne ? Tabasser des gamines et on vous enverra en classe verte? Non mais on est où ? Ça fait des années qu’en réponse aux émeutes on construit des skateparks pour ces messieurs, est-ce qu’on a vu un résultat ? Et les filles ont leur construit quoi ? On leur propose quoi ?
Des gamines prostituées, tuées, violées, brûlées dans des cabanons, tabassées presque à mort à l’école et tout le monde regarde ailleurs parce que ça se passe dans des cités ! Et personne pour prendre leur défense !
Ça me rend folle.
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hauntedbystorytelling · 8 months
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Danseuse du Bal Tabarin. Collage de dentelles, tissus et plumes et gouache. Attribué à Alice Halicka (1895-1975)
Catalogue de l’exposition « Pionnières, artistes dans le Paris des années folles »
src Gros & Delettrez
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harrysonlylover · 1 year
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Hiraeth
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The roaring 20s, also known as Les Années folles. Where artists and high society people from all around the world flaunted their stay in the Great Paris. Were these years filled with Jazz and all nighters only? Or with stolen glances and tristful fates?
"For she is half what i exist for ; and half what i am"
A book about love, time and Paris ..
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themuseumwithoutwalls · 2 months
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MWW Artwork of the Day (3/15/24) Tamara de Lempicka (Polish, 1898-1980) Les Jeunes Filles (c. 1930) Oil on panel, 35 x 26.6 cm. Private Collection
Bold and stylized in its presentation, "Les Jeunes filles" is a highly charged and suggestive double-portrait. Set against a Cubist-inspired urban background of skyscrapers, Lempicka’s "Les Jeunes filles" is both aggressively modern and overtly sensual in sensibility. Tamara de Lempicka’s distinctive, boldly cosmopolitan portraits and nudes, predominately of women, were the ideal means of conveying the opulence and liberated boldness of the années folles, Paris’s legendary Jazz Age. Perhaps the most representative painter of the Art Deco style, Lempicka’s tantalizing portraits have come to personify the time.
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swgzl · 4 months
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BACK TO THE FUTURE.
Un projet sur lequel j'ai travaillé avec Monocle et Sophie. Design by Monocle, code par moi-même.
Contexte :
2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitant·e·s. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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lerefugedeluza · 5 months
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Bonjour 2024.
Tu viens de commencer, mais j’ai déjà beaucoup d'espérances pour toi. 
Je ne voudrais pas te mettre la pression car ça ne fait que quelques jours que tu viens de d’arriver, mais sache que chacune de tes journées risque d’être bien remplies. 
Je sais qu’en 2023, je disais qu’il fallait que j’apprenne à respirer, à prendre mon temps, à lâcher prise. Mais il y a tout simplement beaucoup trop de choses que je veux faire dans la vie. Parce que je la sais courte, parce que tout m’intéresse, parce qu’il y a trop de possibilités mais jamais assez de temps. 2024, prépare-toi bien car tu vas être chargée ! 
Commençons par le travail, car il faut bien un peu gagner sa vie pour avoir la liberté d’en faire ce qu’on veut : je vais sans doute beaucoup travailler cette année aussi, car mon ambition d’acheter une petite maison à la campagne un jour ne m’a toujours pas quittée. J’espère ne pas trop ressembler à ce vieil oncle Picsou passant son temps à recompter toutes ses piles de piécettes, mais je vais essayer d'économiser comme je peux. 
Maintenant, passons à tous mes plans sur la comète, à tout ce qui me tient vraiment a cœur.
D’abord, il y a mes projets d’écriture, j’ai un roman pour lequel j’ai déjà tracé beaucoup de lignes, et cette année, j’aimerais au moins en terminer le premier jet. Je voudrais aussi essayer d’écrire quelques nouvelles et des poèmes, mais ma priorité pour les textes courts, c’est surtout d’écrire mes vidéos. Une par semaine je l’espère. Ce qui fait 52 vidéos de prévu pour toi, 2024. 
D’ailleurs questions vidéos, j’ai plein plein plein d’idées. Tiens-toi prêt 2024, car sache que j’ai déjà prévu le sujet de mes vidéos jusqu’à mi-juillet. Il y a aussi deux concepts auxquels j’aimerais faire voir le jour, mais je ne sais pas encore trop comment. Tu vas te dire que je suis folle et je sais que mon imagination est quelque peu débordante, mais je t’assure que ce sera une année merveilleuse ! Pleine de passions et de créativité. 
Ensemble, on va dessiner, écrire, lire, tricoter, jouer de la musique, danser et voguer vers mille et une autres aventures exaltantes !
J’adore les débuts de nouvelles années car cette idée de nouveau départ me donne un regain d’énergie et d’enthousiasme énorme et me donne l’impression que je peux tout faire, tout entreprendre. Et d’ailleurs, cette année, j’ai décidé de laisser carte blanche à mon esprit créatif et je n’ai pas vraiment pris d’autre résolution que de suivre les élans de mon cœur.
2024, je ne sais pas ce que tu as prévu pour moi, mais comme tu peux le voir, j’ai déjà prévu beaucoup trop de choses pour toi. Je sais bien que je n’aurais sans doute pas le temps de tout faire et que ça va certainement beaucoup me frustrer, mais peu m’importe. Là tout de suite, je suis tellement heureuse d’avoir tous ces projets dans la tête et dans le cœur, et je compte bien réussir à en réaliser quelques uns ! 
2024, j'espère qu’on s’entendra bien et que, contrairement à ton prédécesseur 2023, tu ne prendras pas un malin plaisir à me mettre plein de bâtons dans les roues. S’il te plaît, donne-moi du courage et de la détermination et je t’assure qu’on passera 366 merveilleux jours ensemble. 
Alors je te dis à très vite, car nous avons tant de moments à vivre tous les deux ! J'espère sincèrement que tu seras une année exceptionnelle, pour moi, et pour tous les autres aussi ♡ 
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homomenhommes · 26 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 156
Dimanche soir Voeux chez Emma
Je prend ma Mercédès et file chez Emma. Il est 18h30 quand j'entre la voiture au garage.
Je sais que son chauffeur et sa cuisinière sont absent, j'entre dans la maison et je la trouve au salon, endormie sur un canapé, nue dans un grand peignoir de soie ouvert. Sur la table basse une bouteille de champagne dans son seau plein de glace.
Je fais très attention de déboucher la bouteille sans faire sauter le bouchon, verse une coupe et m'approchant d'Emma verse doucement le champagne sur ses seins. Elle se réveille quand mes lèvres entrent en contact avec sa peau. Je lèche, aspire le vin renversé. Elle attrape ma tête et la tire vers la sienne. Mes yeux dans les siens, je lui souhaite une bonne année. Elle me cloue le bec en écrasant ses lèvres sur les miennes.
Nous nous embrassons un long moment, suffisamment pour que je me mette à bander ! Je me déshabilles puis m'allonge sur elle. Le canapé est trop étroit et nous ne pouvons exprimer nos envies. Je la prends dans mes bras et la porte jusqu'à sa/notre chambre et sur le lit. Elle commence une phrase mais je lui fait " chut " et entreprend de lui faire l'amour. A 4 pattes au dessus de son corps, ma bouche reprend possession de la sienne. Baisser langoureux puis violent, nos langues se battent. Mes mains bloquent ses poignets au dessus de sa tête, je descends vers son sexe. Je m'attarde sur ses seins et leurs tétons hypersensibles, les faisant se dresser tout gonflés de désire. Je recule jusqu'à être ente ses jambes. Je lâche ses poignets pour les lui écarter et dévoiler ainsi son sexe parfaitement épilé nonobstant le petit triangle de poils taillés qui couronne son mont vénus. Je me penche et passe ma langue sur sa fente. Je recommence jusqu'à ce qu'elle soit folle et m'écrase la tête dessus. Je passe alors ma langue entre les grandes lèvres et cherche son clitoris. Trouvé, je m'amuse avec lui jusqu'à ce que ses cuisses écrasent mes oreilles sous l'effet de son premier orgasme. J'insiste dessus pour prolonger l'effet. Comme je ne veux pas qu'elle se " refroidisse ", je me redresse et m'enfonce en elle. Elle est brulante, mouillée, j'entre mes 20cm sans rencontrer de difficultés. Son vagin épouse parfaitement les contours de ma bite et sans être aussi serré que dans son cul, cela reste correct (en tout cas bien mieux que dans la chatte de la mère de Jean, chez elle les doubles pénétrations à répétition ont eu des effets indésirables !). Je m'applique à bien bouger dedans, finissant mes pénétrations par un bon écrasement de son clito contre mon pubis. Comme elle est encore très souple, je peux mettre ses jambes sur mes épaules et en les écrasant venir l'embrasser quand même. Ainsi collés, je la sens une nouvelle fois secouée par la jouissance. Mon poids l'empêche de me rejeter lors de ses contractions. Je sens ma bite compressée spasmodiquement par ses muscles vaginaux et je me retiens. Ma queue, bien lubrifiée de ses secrétions vaginales, trouve l'accès au trou que je préfère entre tous, son anus. Je profite de sa légère déconnexion avec la réalité pour investir son cul. On a beau dire, y'a rien de meilleur que la sodomie. Sphincter nerveux, résistance à la pénétration autrement plus intéressante que la mollesse d'une chatte, tout me fait préférer l'enculage. L'ayant prise un peu plus rudement que je ne l'avais pensé, elle reprend pied plus vite avec la réalité. D'elle même elle se tourne pour adopter la position de la levrette. Mes mains sur ses hanches, mes genoux écartant les siens, je la possède entièrement. Je la vois passer ses mains sous les polochons et en ressortir avec deux godes. Elle s'en met un d'office dans sa chatte et je ressent bien la progression du gland en plastique contre la queue. Ça me resserre encore plus dans son intérieur, trop bon ! Elle ne se lime pas la chatte avec, c'est juste pour se sentir bien remplie. Elle passe le second (et pas le plus petit !) entre ses cuisses et vient me titiller l'anus avec. Je ne suis pas préparé, le gland est sec, ça ne le fait pas. Comme par magie elle sort un tube de gel d'on ne sait où et après en avoir tartiné le gode, repart à l'assaut. Je ralentis mes mouvements pour lui laisser le loisir de m'enculer avec le second gode. Je me détends et m'arrête de lui limer le cul pour la laisser me pénétrer.
Trop bon, comme toujours, il n'y a rien de meilleur que de se faire un cul tout en ayant le sien occupé aussi. Je recule pour venir à m'asseoir sur mes chevilles, posant l'extrémité du gode sur le lit. Dans le mouvement Emma s'est redressée et toujours planté sur ma bite vient s'asseoir sur mes cuisses. Ses mains retiennent en elle le gode qui lui encombre le vagin. Mes mains sur ses hanches je donne la cadence du va et vient de ma queue en elle comme du gode en moi. C'est tellement bon que je ne tarde pas à lui juter dedans (les analyses sont faites et bonnes pour nous deux !). Je n'en fini pas de me vider (et pourtant c'est pas la première fois de la journée !). mes doigts trouvent son clito et quelques caresses plus tard c'est à son tour de jouir. Ça la couche sur le lit et ses contractions anales tirent la dernière goutte de sperme de mes couilles. Je me couche sur elle et nous sombrons quelques instants dans une non réalité post coïtale. Je me " réveille " à temps pour expulser le gode de mon cul avant qu'il ne soit trop sec et je retire celui du vagin d'Emma dans le même état.
Là, nous nous endormons réellement deux bonnes heures. J'émerge le premier, il est 21h 30, je file sous la douche, la sueur séchée j'aime pas trop. Je suis rejoint par Emma que le bruit de l'eau a réveillé. Nous nous lavons mutuellement étalant le savon par frottement de nos corps l'un contre l'autre. Je suis trop fatigué pour bander.
En peignoirs nous pillons le frigo du diner froid préparé par sa cuisinière.
Alors qu'elle me demande quand je repasse la voir, je lui dis que je reste coucher cette nuit. Elle est contente pensant que j'allais retourner chez Marc direct. Couchés, avant de nous endormir, Emma me fait part de la demande de son ami (celui de Kev) de me voir rapidement en ce début d'année. Quand je lui en demande la raison, elle ne peut me le dire ne la connaissant pas.
Je m'endors sur cette interrogation.
Je ne la quitte que le lendemain matin après un réveil très sexuel et les voeux affectueux de son personnel.
Dès l'arrivée à la maison, je téléphone à Kev pour savoir ce que me veut son patron. Il me dit qu'il n'en sait rien et me dit de l'appeler directement.
Je prend quelques minutes puis l ;"appelle finalement. Je demande si je ne le dérange pas (j'appelle sur son portable). Réponse négative. Je lui dis qu'Emma m'avait prévenu que je devais l'appeler. Il me remercie d'avoir fait aussi vite et me dit que c'est juste qu'il aimerait me voir rapidement. Deux secondes de réflexion pour me remémorer mon planning des jours à venir et décide de le bouleverser pour pouvoir le voir rapidement. Nous nous fixons un déjeuner ensemble le lendemain. Quand je raccroche, je ne sais toujours pas ce qu'il veut.
Je profite de l'après midi pour voir André (mon banquier et père de Ric). Echange de voeux, point sur ma situation financière puis remise à jour de mes connaissances du monde des affaires. Je m'aperçois alors que je n'ai pas trop de retard, il faut avouer que la télé est maintenant plus souvent sur les chaines d'infos en continu et d'analyses économiques que sur celles qui diffusent les mangas !
Mardi 11h. J'arrive en voiture, costard cravate à mon rendez vous. Kev me fait entrer dans le grand bureau officiel de son boss et reste avec nous.
Voeux de vive voix, puis très sérieusement, il me propose de faire partie du conseil d'administration de sa boite en remerciement pour ce que je lui/leur ai apporté. Avant que j'ai pu réagir, il me dit qu'il s'est renseigné auprès d'Emma qui lui a confié que je ne lui fais pas honte dans son propre conseil d'administration. J'allais ouvrir ma bouche qu'il a continué pour me dire que de toute les façons sa décision était prise. Je le remercie. Il se lève de son fauteuil, contourne son bureau et vient me serrer dans ses bras. Je suis limite gêné. Quand il se décolle, c'est pour me dire que ma nouvelle position s'accompagne d'une distribution d'actions à hauteur de 1% du capital. Nouveaux remerciements. Mais ce n'est pas fini ! Kev me tend un petit paquet carré et me dit, " ça c'est de ma part ". J'ouvre et trouve un jonc en or blanc à mettre au poignet. Je le prend dans mes bras et le serre contre moi. Il me glisse à l'oreille qu'il n'avait pas encore les moyen de participer à ma collection de pierre d'oreille, mais qu'il tenait absolument à me remercier pour sa nouvelle situation. Je le mets aussitôt à mon poignet droit. Il passe difficilement ma main. Comme cela je ne risque pas de le perdre.
Son Boss qui en avait fini avec nous, nous chasse de son bureau et donnant d'un ton bourru à Kev son après midi. Comme il est midi, Kev m'emmène dans un de ses restaurants favoris. On nous accueille comme de la famille, c'est agréable. Le patron vient nous voir et nous fait ses propositions. Nous suivons ses avis et déjeunons léger (demande de Kev) et très bon.
Nous profitons du repas pour échanger les nouvelles. Le nouvel an, qu'eux ont passé à l'ile Maurice, nos tafs, puis les plans sexe.
Il m'entraine à son appart où, à peine la porte fermée, il se jette sur moi. En moins de 5 minutes nous sommes à poil dans son séjour et train de faire un 69 sur le tapis. Nous l'interrompons assez souvent pour nous rouler des pelles. Ma bouche glisse et dépasse ses couilles pour aller lui préparer l'oignon. Je sais qu'avec son boss cette partie de son anatomie est délaissée. A grands coups de langue et après maintes déposes de salive, son anneau s'attendri et je lui mets un doigt. Gémissement de plaisir de sa part. je continu jusqu'à ce que je le sente me poser une kpote. OK, pas besoin de faire un dessin, il souhaite que je le prenne ! Comme il est au dessus de moi à 4 pattes, je glisse et sans qu'il ne bouge, je me positionne pour l'enculer. Mon gland à peine posé sur sa rondelle il recule pour s'emmancher. Comme je rentre somme toute assez facilement (en tout cas plus que dans mes souvenirs), je lui demande s'il se gode régulièrement ou s'il a trouvé un plan bite. Sous mes coups de rein, il m'avoue de façon hachée qu'il s'est inscrit à un salle de gym qui s'est révélée une mine de mec. Sans problème il trouve maintenant de quoi se faire monter au moins deux fois par semaine. Mais sans encore être tombé sur un calibre à la Eric. Je dis cela mais c'est quand même pas devenu un garage à bites ! Il est encore bien serré et je prend un plaisir fou à le sodomiser. Comme j'aime cela autant que lui, au bout d'un moment, je décule et lui dit que c'est mon tour. Il se kpote et je ferme les yeux. ;Sa bite me ramène aux vacances. Il a un coup de rein particulier et reconnaissable entre tous, je ne saurais die exactement pourquoi mais je ne peux pas me tromper. C'est, je pense, ce qui faisait alors son succès auprès de ses clients (cf. les premières vacances à La Palmyre).
Je savoure. Ses grandes mains sur mes hanches rythme ses pénétrations. Je veux que nous nous voyions jouir, je passe de 4 pattes sur le dos. Mes jambes relevées et bien écartées, je le tire vers moi et je lui roule un patin. Ça été l'étincelle. J'ai juté abondamment entre nos abdos et comme je bloquais sa queue au plus profond de moi, il a explosé dans sa kpote. Sur le dos, cote à cote, nous avons repris nos esprits. Je le remercie pour ce cadeau supplémentaire et lui dit en riant que cela me rassure, j'avais peur qu'en ne baisant que son boss, il ne devienne un mauvais coup ! Il roule sur moi et me boxe les cotes. Je vais pour me dégager, après tout je suis plus musclé que lui, mais me retrouve bloqué par une clé vicieuse. Quand je lui demande d'où il tient cela, il me dit qu'il s'est inscrit à des cours de self défense type armée Israélienne. Paris n'étant pas exempt de risque pour un Pd, il ne tenait pas à se faire défiguré. J'essaye une nouvelle fois de me défaire de lui, mais impossible malgré ma supériorité musculaire. Efficace son truc. Il me dit que je devrais bien faire comme lui. Sans être paranoïaque, avec mon pendant d'oreille et ma tête provocatrice... Comment ça ma tête provocatrice ?? Il me relâche et me confirme que sans que ce soit marqué sur mon front que je suis Pd, entre mon look choisi, les colifichets que j'ai aux poignets, je l'arrête, avant je n'avait que ma montre, oui mais quelle montre, pas une à moins de 10 ;000 € ! et surtout le pendentif à mon oreille, je suis susceptible d'attirer la convoitise de mecs qui ne pourrait voir en moi qu'une proie rêvée. Ça me fait réfléchir. Changement de conversation, il me dit être content d'avoir opté pour l'or blanc, il se souvenait que j'avais fait faire un cockring dans ce même métal et tirant mon bras vers mon sexe, prouva ses dire en collant les deux bijoux l'un contre l'autre.
Je l'ai quitté content de ce qu'il était devenu et avec l'assurance qu'ils (lui et son boss) nous inviteraient (Emma, Marc et moi) à la fête qu'ils comptaient organiser pour son adoption.
Retour à la maison. Le soir je racontais tout à Marc. Il était tout content de ce qui arrivait à Kev et a admiré son choix de cadeau. Il m'a fait l'amour et là, je me suis dit que lui aussi je ne pouvais le confondre avec aucun autre. Avec lui c'est sexe + amour, le meilleur cocktail possible d'après moi.
JARDINIER
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protagonistes
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au tapin
+
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jeanchrisosme · 3 months
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J'ai aimé connaitre ton autre monde, tes blessures et ta langue inconnue. J'ai aimé recommencer le monde avec toi, jusqu'à l'aube nouvelle. J'ai aimé tous nos instants : du premier regard jusqu’à la dernière étincelle. De la seconde où nos cœurs se sont reconnus, jusqu’aux heures où le feu et l'eau s'avouent un amour impossible. J’ai aimé apprendre de notre rencontre et de nos chemins divergents. J’ai aimé les heures calmes, les minutes folles, les chemins de nos peut-être, quand mes étoiles s'accrochaient à ton ciel. J’ai aimé tes colères, tes doutes, ta tendresse et tous tes murmures de lumières. J’ai aimé tes mains sur mes rides, les pas déjà faits, les mots jamais dits, entre la nuit et l'aurore, sur le bord de l’instant et partout où tu rêvais. J’ai aimé notre premier film, notre dernier train et même tous les lieux où l’on ne sera jamais. J’ai aimé tes gestes maladroits, tes éclats de rire et j’aime quand tu sais que tu dors encore au creux de ma mémoire… J’aime ces souvenirs qui viennent de toutes ces années où je t’attendais. Quand, avec toi, je ne voulais que des premières fois. J’aime parcourir nos instants et les rêves et demi, les graver en moi à l’échelle du temps. Retrouver dans le parfum des fleurs cette idée de nous qui fige nos instants d’éternité. Des paupières d'étoiles, à l'ombre de tes cils, la chaleur de mes mains sur ta peau attentive. J'aime te voir sourire et dessiner au crayon de mes nuits, un rêve où tout m’éblouit. J’aime les étoiles que tu mets à côté du soleil quand je te vois partout. Dans la neige et la pluie, au milieu de mes orages. Dans le sourire des mères quand elles portent la vie. Dans tous les rêves des enfants devant les premiers bruits du monde. Entre les lignes et dans la marge. Dans le blanc, le noir et toutes les couleurs qui prennent feu. Dans les matins qui m’attendent, quand je ne sais plus où je commence et où tu finis. Entre les uns et les autres, entre l'espace que tu laisses et le temps qui nous reste. J'aime tes mots. Quand, venus d’un hasard, l'alphabet conduit au verbe aimer, tes mots redressent les ratures et soulèvent la ligne d’horizon. J’aime tes appels, du premier pas, jusqu’à la dernier syllabe. J’aime même les silences qui les précédent, quand tu te tais pour me dire l’essentiel. J'aime quand tu reviens, quand tu retrouves ma route et que tu rêves plus fort que le destin. Même si c’est pour me dire que ton cœur bat de l'aile et qu’il ne sait plus voler. Et que le passé et le présent coïncident rarement…
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kiiriminna · 22 days
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Horace Horsecollar x Clarabelle Cow is so underrated...
These character desings are based on my favourite series starring Clarabelle as a main protagonist, Les années folles de Clarabelle. In these stories, we meet young Clarabelle working as a reporter and Horace as a photograpter, in a setting that reminds Chicago in the 20s or 30s.
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