Tumgik
#j'ai vriller
superiorkenshi · 1 year
Text
J'ai acheter le maudit..
Tumblr media
21 notes · View notes
emiliemaria · 6 months
Text
.
2 notes · View notes
licoeur · 24 days
Text
J'ai mal j'ai tellement mal tout le temps, ça tourne en boucle dans ma tête, si fort que je sens des pulsations intérieures qui échouent dans mes organes, ma peau est parcourue de spasmes tremblants qui m'alertent : something wrong, bitch, dans ta vie de merde.
Je suis à un battement de cil de vriller, parfois je réfléchis tellement que j'ai l'impression de devenir folle et à d'autres moments il semble que mon instinct de survie m'envoie des shoot d'endorphine pour me dire : "calme toi, tu dérailles" et le silence règne. Quelques minutes, quelques heures, un sifflement solaire dans le cerveau. La chaleur aux joues, la respiration en latence. Comme si je venais de faire l'amour, mon malaise se tait.
Avant que les crises stroboscopiques de pensées ingérables ne débordent à nouveau et je suis épuisée, vidée d'être moi. Un putain d'oiseau noir qui se cogne inlassablement aux parrois transparentes de la cage qu'il s'est créée lui même. J'aimerais que mes ailes brûlent et qu'il n'y ait plus de ciel.
Je veux rentrer chez moi. Je ne sais pas où ça se trouve et je ris en hurlant
6 notes · View notes
swedesinstockholm · 3 months
Text
17 janvier
m. est rentrée d'espagne un peu avant minuit et la vie qu'elle a fait entrer dans l'appart m'a fait réaliser à quel point c'était une mauvaise idée, la pire idée de venir passer une semaine ici toute seule sans voir personne parce que la solitude me laisse vriller sans limite. je me demande aussi si mon anxiété diffuse et ma non-envie de sortir de la maison sont liées à mon dérèglement hormonal. je sais pas pourquoi l'idée me rassure, que ce soit mon cors qui est cause et pas moi, ma tête, la partie qui a le contrôle. c'est pas MA faute. très bon moment de la journée sinon: quand j'ai sorti les draps chauds du sèche-linge et que je les ai serrés contre moi sous les yeux du coloc qui attendait que je sorte de la salle de bain et à qui j'ai murmuré bonsoir. j'adore cette salle de bain, le plafond est en bois et il est très bas et je regardais la neige tomber par la fenêtre en contrebas et puis je me suis prise en photo en me souriant dans le miroir parce que je me trouvais jolie avec mes cheveux courts et pour me dire que j'allais m'en remettre. je m'aime je m'aime je m'aime et un jour on va m'aimer aussi mais en attendant moi je m'aime. autre très bon moment de la journée: tout le reste de la journée passée à regarder la neige tomber à gros flocons sur les saules pleureurs en écoutant des chansons douces.
18 janvier
cet après-midi en longeant le parc quand je suis tombée sur un morceau de chris weisman dans ma playlist j'ai dit non et j'ai mis avril lavigne et je me suis dit que j'aurais du faire ça depuis le début. j'ai aussi écouté une playlist de l'été 2022 et en tombant sur un morceau de danitsa que j'avais entendu dans la voiture de c. un jour en allant aux répèts à lasauvage je me suis dit et si la solution pour oublier r. était de me mettre à écouter uniquement du hip-hop féminin? j'ai presque envie de demander à c. de me faire une playlist antidote. il a passé le mois de décembre en grèce à travailler dans une pépinière et maintenant je crois qu'il est à budapest. moi aussi je veux partir. en attendant cet après-midi je suis sortie dehors et les trottoirs étaient pas salés et je marchais tellement précautionneusement que je me faisais dépasser par tous les vieux parce que j'ai zéro confiance en mes jambes mais j'ai pas fait demi-tour parce que j'étais concentrée sur mes objectifs: voir la grosse pomme gonflable sur le toit du musée magritte et ramener des mochis frais de la confiserie japonaise à m. qu'on a finalement oublié de manger parce que j'ai fait des gnocchis de patate douces et elles ont volé la vedette.
20 janvier
hier en allant à esch pour la sortie de résidence d'une autrice de théâtre j'ai mis sexy sushi parce que ça faisait longtemps et j'avais l'impression de me retrouver, comme si je m'étais perdue avec r. et sa mélancolie douce. parce qu'avant qu'il s'immisce je voulais faire des trucs électroniques, au printemps avec ru. et s. on parlait midi controler et ableton live et sampler avec des carrés qui clignotent et pas guitares enregistreurs quatre pistes et beatles. mais je l'avais un peu oublié ça.
j'ai vu f. et n. et celui qui faisait le bourreau à la soirée wip en juin et je me demandais qui d'autre dans la salle était dans le comité de sélection, s'ils avaient déjà lu mon dossier et s'ils étaient embarrassés pour moi à cause de la médiocrité de mes idées et du degré de vulnérabilité dont j'ai fait preuve dans ma note d'intention. j'avais l'impression que tout le monde savait qui j'étais. mais j'ai bien aimé la pièce qu'a présentée l'autrice avec les deux comédiens, ça se passait dans un institut un peu vague de santé mentale et ça m'a donné envie d'écrire sur la clinique. j'ai failli pleurer quand une des personnages se met à parler de sa jeunesse qui lui a été volée par son mari qu'elle a rencontré à 19 ans alors qu'il était plus vieux en listant toutes les expériences dont elle a été privée, comme être frivole avec les garçons et s'amuser et être légère. je me suis pas mariée à 19 ans moi mais c'est un peu comme si. à la fin l'autrice m'a fait un sourire appuyé comme si elle avait deviné et puis j'ai dit bonjour à f. mais j'ai pas osé aborder les autres alors j'ai mangé un mini sandwich triangle au jambon cru pour me donner une contenance et je suis partie.
21 janvier
ce soir je suis allée voir poor things au cinéma et j'ai complètement reconsidéré mon plan d'écrire un roman d'autofiction pour écrire un livre de science fiction à la place. un poor things contemporain et à ma sauce. j'ai réservé le livre à la bibliothèque dès que je suis rentrée du cinéma. je veux écrire un personnage hilarant et cru qui se comporte de façon non encombrée par son égo, qui a un gros désir de savoir et de connaissance et qui soulève le voile sur le monde. le seul truc que j'ai pas aimé: les scènes de sexe qui m'ont mise mal à l'aise. je sais pas si c'est à cause de mon traumatisme du sexe non expliqué, ou si c'est parce que c'était trop douloureux de voir cette fille qui découvre le monde découvrir le sexe avec joie, un truc que je suis censée connaitre mais que je connais pas, ou alors si c'est juste une histoire de male gaze. mais à part ça ce film m'a apporté beaucoup de joie et d'exaltation et j'aime tellement quand le cinéma fait ça.
après le film je suis allée manger une pizza avec maman et d. et n. et pendant qu'il me parlait de rognons et de pattes de poule je voyais l'écran de mon téléphone qui arrêtait pas de s'illuminer avec des notifs de r. qui répondait à mes messages et j'étais contente d'avoir une distraction, même si c'était juste une pizza et le père de a. qui me parlait d'abats. je lui ai raconté mon épopée du weekend dernier avec chris weisman (à r. pas au père de a.) et il me disait qu'il le trouvait un peu agaçant parce qu'il exagérait trop et je me suis dit merde est-ce que je l'ai idéalisé comme j'idéalise r.? mais je crois pas que j'idéalise r. je lui ai pas répondu, j'essaie de le traiter comme le commun des mortels de mes autres amis, c'est-à-dire: mettre trois plombes à répondre.
2 notes · View notes
oceanbornnomad · 1 year
Audio
Indélébile est ton prénom Yeah
Tu sais très bien que je vais céder La première Tu sais très bien comment me faire vriller La première Tu connais la chanson, ne me mens pas Tu connais mes envies et j'en passe et j'en passe Tu sais très bien que je vais céder La première
Je ressens dans mon corps, dans ma tête (Que j'ai toujours un bail pour toi) Je le sens dans mon cœur, dans mes veines (Que j'ai toujours un bail pour toi) Ton parfum est ancré dans mes draps (Que j'ai toujours un bail pour toi) Ton prénom est indélébile dans mes pensées Ton prénom est indélébile dans mes pensées
Tu sais très bien comment me faire rêver Tu sais faire (mmm) Tu sais très bien comment te défiler Tu sais faire (mmm) Tu connais la chanson, ne me mens pas Je connais tous tes vices et j'en passe et j'en passe Tu sais très bien que je vais céder La première
Je ressens dans mon corps, dans ma tête (Que j'ai toujours un bail pour toi) Je le sens dans mon cœur, dans mes veines (Que j'ai toujours un bail pour toi) Ton parfum est ancré dans mes draps (Que j'ai toujours un bail pour toi) Ton prénom est indélébile dans mes pensées Ton prénom est indélébile dans mes pensées Ton prénom est indélébile dans mes pensées Ton prénom est indélébile dans mes pensées
Tumblr media
Just like in French, in English, Indelible means something you can not erase or a permanent mark. This word has a negative connotation, which means that you would rather not remember, but there is nothing you can do to forget!
Your name is indelible
Yeah
 [Verse 1]
You know very well that I will be the first one to give in
You know very well how to make me the first one to spin
You know the song, don't lie to me
I know all your vices and I could go on
You know very well that I will be the first one to give in
 [Chorus]
I feel it in my body, in my head
(That I still feel something for you)
I feel it in my heart, in my veins
(That I still feel something for you)
Your perfume is anchored to my sheets
(That I still feel something for you)
Your name is indelible in my thoughts
Your name is indelible in my thoughts
 [Verse 2]
You know very well how to make me dream
You know how to do it (Mmm)
You know very well how to walk away
You know how to do it (Mmm)
You know the song, don't lie to me
I know all your vices and I could go on
You know very well that I will be the first one to dive back
 [Chorus]
I feel it in my body, in my head
(That I still feel something for you)
I feel it in my heart, in my veins
(That I still feel something for you)
Your perfume is anchored to my sheets
(That I still feel something for you)
Your name is indelible in my thoughts
Your name is indelible in my thoughts
I may do a version in English or Portuguese if I find a way to work the lyrics within the music without hacking the song to pieces, that would not be fair. I would like to give a special dedication to @k-hippie​ @fonfon1818 @cool-despoina-alkionidamera​ and my Princess @bodaccia48​
10 notes · View notes
e642 · 1 year
Text
Chaque fois que j'attends mes notes semestrielles et donc fatalement si j'ai eu mon semestre c'est un enfer. On me dira que c'est un enfer pour tout le monde. Certes. Sauf que pas tout le monde est sur le fil de la moyenne ou de la santé mentale comme moi. On peut penser que c'est ridicule de se rendre malade pour des études. Le fait est que je vais vriller si je n'ai pas mon année. Ça va très mal se passer. Je suis pas sûre d'avoir la force mentale de faire une quatrième année de fac. Dans une filière qui me dégoûte. Cette sensation d'être une merde constamment, d'être médiocre. Je vais pas pouvoir tenir plus. Et comme pour tout, quand tu sais que tu es en train de perdre dès la première mi temps, que tu n'as pas ton 5e semestre ou que tu as raté ton oral d'entrée, comment tenir et te dire qu'il faut faire mieux après quand c'est majoritairement joué d'avance hein ? Je vois tous les gens de la fac qui ont triché et qui ont eu des super notes partout et ça me debecte. À la fois parce qu'ils méritent pas, et que c'est dégueulasse et à la fois parce que ça me ramène au fait que je suis une pauvre merde pas à la hauteur et qui n'a pas sa place dans cette licence. Même dans ces locaux, j'ai pas ma place
8 notes · View notes
sushis4kalyo · 9 months
Text
Rapport de 5ème semaine 🙃
Quand ce n'est plus ta dernière semaine ...
Fermeture à partir du 21 au soir pour 4 semaines en raison des congés d'été. Pour tous ?! Non ! Une poignée d'employés résiste encore à l'appel des vacances ... et j'en suis. J'ai eu mon avenant.
Bon, j'ai changé de mission. On se rapproche un peu plus de mon projet donc ce sera moins difficile que les semaines précédentes !
Par contre, j'ai noté certaines tensions concernant une autre collègue arrivée peu avant moi ... j'ai l'impression qu'elle va se victimiser dès que ça n'ira pas comme elle veut ...et que je fais partie de son problème car opérationnelle là où elle ne l'est pas encore.
Honnêtement, si elle a vraiment un problème avec moi ... personnellement je m'en moque. Je ne veux pas son poste (mais si éventuellement on peut avoir besoin de moi n'importe où dans la boite de façon ponctuelle en temps partiel pendant que je monte mon projet, je prends !) ... c'est juste franchement con si elle fait vriller son service (que je risque peut-être de rejoindre en septembre pour faire la même chose que dans celui où je suis actuellement) ...
M'enfin bon ... on y est pas encore !
Tumblr media
Après les amis, on part en vacances !
3 notes · View notes
quemajoiedemeure · 1 year
Text
Aujourd'hui cest halloween j'ai voulu aller refaire ma carte de bus qui marchait plus pour zéro raison j'ai oublié ma cb j'ai du faire l'aller retour j'étais très énervé comme toujours et puis ça s'est dissipé plus vite qu'en temps normal, peut être que le lamictal fonctionne à nouveau, je me suis pris plein de pluie sur la tronche en promenant le chien mais je suis resté calme, j'ai lu des messages qui m'ont fait vriller mais je suis presque resté calme, quand on marchait sous la pluie une dame est passée à côté en disant à ses enfants "Vous allez pas sortir demander des bonbons ce soir avec ce temps mais vous pourrez quand même vous deguiser" et les enfants avaient l'air OK avec cette idée, j'ai dit à ma meuf "Si ça avait été moi j'aurais chialé", elle a répondu "Quand t'étais petit tu chialais tout le temps", j'ai redis "Oui et maintenant ça m'arrive plus jamais" et c'est vrai, sauf quand ça craque tous les deux mois et que je rattrape tout le temps perdu et que ça fait des litres d'un coup
15 notes · View notes
tchatso · 1 year
Note
Bon... Alors je sais que tu sais que je sais que tu connais mon identité car je suis un clown 🤡 Je pensais mettre mis en Anon mais non.. 💀 Vient on fais comment si de rien étais pour pas gâcher l'esprit de Noël?
OHOHOHOH
Donc je me présente ton père Noël secret sont tu ne connais absolument pas l'identité ! Maintenant que je me suis remis de ma honte je vais essayer de venir plus souvent t'accompagner dans tes ask!
Mes ptits lutin mon dit que tu aimais bien le pendranievre pourrais tu m'indiquer t'es préférence ou bien headcanon sur ces deux la? 👀
❤💚❤💚❤💚❤💚
Bonsoir à toi mon cher papa Noël secret, vraiment très secret
🎄
Je pense que Guenièvre et Arthur sont deux grand romantiques, mais peut-être pas dans le même sens du terme.
Guenièvre, elle a toujours pensée qu'elle se marierait par amour, et à toujours crut à l'amour avec un grand A.
Et Arthur comment dire, lui c'est le romantisme "violent" on vas dire; il à tuer par amour, il à tenu un serment à sa première épouse, alors que ON VAS PAS SE MENTIR mais Aconia (vue son âge) est probablement morte pendant la chronologie de Kaamelott. Le mec rien ne l'arrête.
Et à côté on à quand même Guenièvre qui est complétement dévouée et qui lui à sauvée la vie on n'oublie pas!
Ce couple me fais vriller. Je les adore.
Liste des choses diverses : Je pense que c'est Arthur qui à apprit à Guenièvre à lire, Léodagan ne voulait pas l'apprendre à sa fille il pensait que cela serait un fardeau pour elle et Séli ne sait pas lire (mais elle sait compter).
Si ils avaient des enfants Guenièvre voudrait lors donner des noms Pictes, Arthur voudrait leur donner des noms Latins.
J'ai encore plein d'idées mais je sais pas comment les lister
2 notes · View notes
manue-ringo · 2 months
Text
Le Centre partie 3
Tumblr media
D'accord, écoutez-moi, je dois me rendre au 27e sous-sol, je pense trouver ce que je cherche là-bas. Il faut que l'un d'entre vous se rende à la salle de commande afin de surveiller les lieux au cas où des intrus pénétreraient dans le bâtiment. Proposa-t-elle à ses partenaires.
Très bien, je me porte volontaire pour le faire. Je prends Krycek avec moi. Mulder devrait t'accompagner sur le terrain. C'est son domaine. Dit Scully.
Parker se figea sur le coup. La jeune femme parut très réticente à cette proposition. Elle s'efforça tant bien que mal à finalement accepter au vu de l'urgence de la situation.
Entendu, c'est au 5e sous-sol. J'ai apporté ces appareils de communications pour rester en contact à tout moment. Déclara Parker en leur fournissant des talkie-walkie à ses partenaires.
Krycek les observait d'un regard mauvais avant de déclarer :
Si je comprends bien, on m'évince encore une fois. Ça commence à devenir extrêmement agaçant à la fin !
Parker intervenu avant que Mulder ne perde à nouveau son sang-froid :
Ça suffit ! Tu vas rester sagement avec l'agent Scully et te rendre utile s'il le faut ou sinon tu pourras dire adieu à ton précieux liquide.
Krycek et Parker se toisèrent avec mépris. Krycek répondit en jetant un coup d’œil furtif en direction de Mulder :
Oui, je vois. Il vaut mieux que je te laisse avec ton Roméo.
Il se pencha vers elle pour lui chuchoter à l'oreille :
J'ai vu la façon dont tu le regardais. Tu meurs d'envie de te le faire, n'est ce pas ? Dit-il un sourire narquois aux lèvres.
À ces mots, Parker crut qu'elle allait totalement vriller. Elle se fit violence pour ne pas se trahir devant lui. Sa fierté en avait encore pris un coup, ce qui déstabilisa la jeune femme de quelque peu. Elle tenta de se reprendre l'air de rien, tremblante de rage :
Bon, mettons-nous au travail. On n'a pas de temps à perdre.
Avant de prendre chacun leur chemin, Parker confia un plan détaillé des lieux à Scully pour faciliter sa progression dans les longs et nombreux couloirs du bâtiment.
Parker ne prit pas la peine d'attendre son partenaire, elle accéléra brusquement sa démarche vers sa destination. L'agent Mulder dû faire de grandes enjambés pour la rattraper en chemin. Lorsqu'il arriva près d'elle, il demanda :
Est-ce que ça va ? Qu'est-ce que t'as dit ce crétin tout à l'heure ? Tu as l'air très contrariée.
Laisse tomber. J'ai à faire. Dit-elle sèchement.
Mulder n'insista pas et suivit la jeune femme en prenant soin de rester prudent. Plus ils progressaient dans leur quête, plus le danger était imminent. Parker savait pertinemment que les sous-sols du Centre étaient toujours surveillés. Après avoir descendu les nombreux escaliers métalliques qui menaient au 27e sous-sol, les deux agents arrivèrent devant une porte blindée sur laquelle était inscrite ''réserve – accès interdit''. Cette dernière était soigneusement verrouillée. La jeune femme avait bien évidemment anticiper le problème. Elle contacta Scully qui était à présent sur place pour les guider dans leurs progressions.
Dana, tu m'entends ? Demanda Parker en parlant à travers la radio.
Oui parfaitement. Je vous ai en visu. Je t'écoute. Dit Scully qui attendait ses instructions.
Les portes sont verrouillées. Il faut que tu entres dans l'ordinateur central afin de désactiver le système de sécurité du secteur. Dit moi ce que tu vois, je vais te guider. Dit elle.
Scully s’exécuta. L'accès était évidemment protégé par un mot de passe. Elle reprit :
Je n'ai malheureusement pas accès au système. Il me faut un mot de passe. Tu as une idée ?
Parker réfléchit un instant puis déclara :
Essaie, Catherine pour voir. C'est le prénom de ma mère.
Désolé. Ce n'est pas ça. Tu as une autre idée ? Répondit-elle d'un air confus.
Pourquoi pas Gemini. Proposa Mulder soudainement.
Scully pianota sur le clavier ce que lui dicta Mulder, mais en vain.
Non, ce n'est pas ça non plus ! Je suis navré, mais je crois que nous sommes perdus. Je n'ai le droit qu'à un seul et dernier essaie. Je suis désolé. Dit Scully d'une mine découragé.
Essayez Hillman pour voir. Intervenu Krycek qui se tenait dans un coin de la pièce d'une mine boudeuse. Scully se retourna vers lui avec méfiance puis ajouta :
D’où tenez-vous ça ? De quoi s'agit-il ?
Posez pas de question et contentez vous d'écrire. Répondit-il agacé.
Par miracle, Scully pu entrer dans le système grâce à son intervention. Elle n'en revenait pas. Elle reprit en zyeutant du coin de l’œil son compagnon de route :
C'est bon Andréa, je suis parvenu à accéder au système. Je vais maintenant tenter de le désactiver. Dit-elle en déchiffrant tant bien que mal les données qui lui parvenaient à l'écran.
C'est bon, je crois que j'ai réussi. Peux-tu me le confirmer Andréa ? Demanda Scully.
Parker tourna la poignée de la porte blindée qui se tenait devant elle, un clic retentit avant de s'ouvrir sous ses yeux. Parker déclara dans un soupir de soulagement :
C'est bon, tu as réussi Dana. Bon travail ma belle.
Elle tenait dans sa main une lampe torche et son pistolet, prête à affronter tout danger. En entrant dans la pièce, Parker espérait trouver des preuves compromettantes contre Raines. À peine arrivé, elle fut aussitôt saisie par une odeur nauséabonde et une atmosphère oppressante. Elle alluma sa lampe et balaya les lieux du regard. Elle vit des étagères remplies d'objets étranges : des bocaux contenant des organes, des armes futuristes, des livres anciens, des symboles ésotériques, des photos de personnes disparues… Elle s'approcha d'un bocal qui attira son attention. Il contenait une créature qui ressemblait à un extraterrestre : un corps gris, une tête ovale, de grands yeux noirs, une bouche fine. Elle se demanda si c'était un vrai spécimen ou une imitation. Elle déclara avec stupeur :
Mulder ! Je pense que tu devrais venir voir !
0 notes
réflexion à partir d'une suggestion publicitaire, le titre m'était évocateur : l'art de ne pas dire - clément viktorovitch
j'ai l'impression y'a des licornes qui peuvent faire vriller la raison, notamment autour du concept de manipulation ; savoir évoquer, suggérer, sans expliciter, c'est pour moi une fausse qualité de domination qui sert à enfermer quelqu'un dans une étrange prison par le simple fait de se déresponsabiliser par l'excuse de son interprétation ; mais ça peut être aussi à l'inverse le défaut, l'illusion qu'on se donne à attendre de l'autre qu'il nous comprenne alors qu'on s'est défaussé de la responsabilité à chercher et trouver les bons mots pour s'exprimer, sous réserve donc que l'autre ait su lire entre nos lignes, et tout ce qu'on peut exiger de lui sur ce plan pour ne pas avoir à dire clairement ce qu'on pense…
double méfiance, donc, deux dangers bien distincts : ceux qui consciemment orientent votre pensée là où précisément ils restent silencieux, plutôt des profils intelligents qui peuvent user de ceci avec des bonnes ou des mauvaises intentions ; et ceux qui le font par flemme ou par manque de capacités à la communication, au contraire des profils plutôt moins intelligents et qui s'atrophient le langage en exigeant qu'autrui parvienne à se démerder dans la confusion de leur expression bâclée… dans le premier cas je crois il y a l'illusion de croire qu'on a eu l'idée par soi-même, dans le second la fierté d'avoir réussi l'effort de déchiffrer l'autre ; mais dans les deux cas c'est du silence que se transmet l'idée, et ça ça me fait bien flipper…
le ressort commun de ces deux configurations de l'implicite ? l'évidence : le fait que le discours se suffit à lui-même pour induire la causalité vers un objet mentalisé, qui donc peut se permettre d'être mis sous silence puisqu'il 'coule de source'…
moi j'ai du mal avec les deux, parce que ces liens de causalité je ne les comprends pas, je ne les partage pas, oui en gros j'suis très premier degré et je comprends très peu la logique des gens, du coup il me faut de l'explicite pour me confirmer quelque chose ; les formules du truc genre 'et donc évidemment [blabla]' pour moi ne sont pas du tout 'évidents', quand ils sont explicites je les pige pas forcément, quand ils sont implicites je les devine pas…
mais du coup j'suis friand de ceux qui ne laissent pas de points d'ombre à ce qu'ils racontent, et au contraire j'suis méfiant de ceux qui attendent un peu trop que je lise entre les lignes
0 notes
superiorkenshi · 6 months
Text
Ce sentiment quand un de tes artist fav devient obsess over ton ship du moment et te fais du content 😭
2 notes · View notes
sachasamare · 6 months
Text
Venom c'est comme le trouble borderline. Il peut t'envahir et coloniser quasiment tout ton être; aucun répit, aucune trêve, le seul moment de repos serait le sommeil, si tant est que ton subconscient te laisse tranquille évidemment (cf: rêver de son ex)
Venom s'infiltre dans chaque partie fragile de ton être, et va l'amplifier pour donner un tas de place à la colère et l'amertume. Tu ne ressentiras plus que ça, et quelque part tu ne seras plus vraiment toi-même. Mais, contrairement au trouble borderline, tu peux guérir de Venom, il suffit de l'extérioriser par des sons forts; il n'y aucune échappatoire à être une personne limite; il n'y aucune musique qui puisse l'échapper de ton âme; c'est en toi pour toujours. Et c'est dur.
Parfois je me dis que c'est un super-pouvoir, parfois je me dis que c'est une malédiction; parfois je me dis que c'est ce qui va me mener à ma perte; "ne fais pas du trouble toute ta personnalité" mais parfois le trouble est partout, chaque émotion est décuplée, chaque fait et geste peut me faire vriller; alors je tente parfois de m'isoler, mais la solitude me donne parfois envie de mourir encore plus. Mais je n'ai pas d'autre choix que de rester et d'assumer le mal que j'ai fait; d'aller voir des professionnelles de santé pour arriver à démêler le vrai du faux; car le trouble m'emmène parfois dans les pires endroits: "personne ne t'aime" "tout le monde te déteste" "personne ne te supporte" "tu es une charge, un poids, un fardeau" C'est épuisant. Mon cerveau est inarrêtable dans ces moments-là, on dirait qu'il veut m'infliger le plus de douleur possible, pour voir jusqu'où je peux la tolérer; cette espèce de haine constante que j'ai envers moi-même car je pense ne pas mériter de me pardonner pour ce que j'ai fait subir aux gens que j'aime. Je me sens tellement seule dans cette lutte, dans cette guerre qui n'a aucun sens, aucune réelle utilité �� part rajouter de la souffrance à mes regrets et mes torts. Pourtant je sais que je ne suis pas seule; mais quand certaines personnes me quittent, je le ressens comme un grand abandon et je me dis toujours que c'est de ma faute. Si j'avais été moins "too much", moins intense, moins égocentrique, moins nombriliste, si j'avais été "moins" tout court, ces gens seraient restés, car ces gens sont à chaque fois des bonnes personnes, qui, de base, étaient présentes pour moi et voulaient m'aider. Mais je les ai épuisés, je les ai eu à l'usure, comme avec toutes mes petites-amies. J'ai réussi à me faire quitter par la personne qui aspirait à se marier avec moi; j'ai réussi à la pousser à bout malgré son immense capacité à être patiente, prendre des coups, rester bienveillante. Comment me pardonner après ça ? Comment retourner sur le chemin de la guérison ? Comment arrêter de s'en vouloir ?
0 notes
sunningmoon · 6 months
Text
Son sourire narquois quand j'ai commencé à crier c'est vraiment pour me faire vriller j'ai juré
0 notes
e642 · 1 year
Text
Je réalise que la vie que j'ai actuellement est presque celle que j'ai toujours redoutée. J'ai toujours fuis vers ce qui me déplaisait. Sûrement pour m'y confronter et voir que ce n'est pas si grave ? je ne sais pas. Je suis jeune, si jeune et pourtant j'ai la sensation que tout est déjà gâché. J'ai beau m'être efforcée de garder mes cartes couchées, j'ai fini par les exposer. Je me suis enfermée dans une réalité que je déteste. A défaut de rester enfermée en hôpital psychiatrique. L'atmosphère est pesante. Chaque matin je me lève et je m'aperçois que ça ne me correspond pas. Ce n'est pas moi. Tout le monde a beau me dire que ce n'est pas grave, je peux encore décider de beaucoup de choses, rien n'est réellement acté... je ne pense pas. Ce n'est pas pour rien qu'on dit qu'on commence tôt à bâtir notre avenir. Je suis déçue, de moi, comme toujours. Je me dis que je passe à côté de beaucoup de choses qui me rendraient la vie certainement moins pénible. Je suis trop loin dans les études et trop peu soutenue pour changer entièrement d'orientation, alors je continuerai un cursus scientifique et je finirai par regretter de n'avoir jamais su et pu mettre à profit mes mots, mon potentiel, l'excentricité de ma banalité. Je suis arrivée au point où on m'a perdue en route. Je viens et je repars immédiatement. Je n'apprécie aucune personne de mon entourage. Je me suis entourée de personnes qui n'ont aucun principe qui semble corréler aux miens. Ça fait des mois que je ne me suis pas sentie regardée et jugée à ma juste valeur. Parce que j'ai bien compris que maintenant, la seule valeur que j'ai -puisque je n'en ai pas aux yeux des autres- c'est mes notes. C'est mon niveau scolaire. En fait, on ne peut pas aller mieux en restant dans l'environnement qui nous a fait souffrir. Des fois, je pense très sérieusement à partir et ne plus jamais donner de nouvelles à personne, ni même mes parents. J'ai envie d'être dans un lieu où on ne me connait pas. Ce que me reflète ma vie actuelle c'est que pour la troisième année je suis dans le même appartement qui a accueilli moultes étreintes cocues avec mon ancien partenaire. Que je continue ces études immondes qui me coûtent ma santé mentale. Que je fréquente des gens qui n'ont soif que de mon cul et qui me fatiguent. Que je vois les mêmes gens à la fac qui n'ont toujours pas compris que leur vie n'intéressait même pas leur parents alors pourquoi moi ça m'intéresserait ? Que j'ai les mêmes débats stériles avec mes parents. Que je suis toujours la personne sur qui on veut absolument compter. J'ai cette terrible pensée qui me titille trop souvent et qui me fait peur. J'ai peur de continuer à vivre cette vie infâme sur ce chemin crasseux et un jour péter un câble. Mais pas vriller avec moi même, je veux dire vriller en société. J'ai toujours eu une frayeur de devenir comme les gens qui se lèvent un matin et qui "sans raison apparente" vont faire une tuerie sur leur lieu de travail, dans le bus ou le tram. J'ai peur que toute cette haine, ce dégout, ce chagrin se changent un jour en violence contre autrui et plus envers moi seule. Je suis tellement froide en mon fort intérieure que si je venais à continuer de me briser, ça pourrait être délétère mais plus seulement pour moi. J'ai peur d'être un jour celle sur qui on dira "je ne comprends pas pourquoi elle a fait ça, elle était pourtant gentille et souriante".
9 notes · View notes
penseescafeinees · 7 months
Text
Dans ma tête le 10 - 10 - 2023
Les lives me manquent... :( Ma communauté me manque. Mon taf de vendeuse me manque aussi. Mais je n'arrive pas à mettre mon masque de bonne humeur et à faire comme si tout allait bien. Pourtant, j'adore streamer et faire mon taf de vendeuse.
Hier, j'ai été à ma 2e séance d'hypnose. ça m'a faite du bien. ça m'a permise de me poser des questions que je ne me posais pas. Et d'avoir des réponses qui m'aident à avancer. Je sais que le chemin sera encore long. Mais je sais qu'après cet épisode très sombre de ma vie, j'irais mieux. Et je serais encore plus forte.
Pour le moment, j'ai l'impression que la moindre chose me demande une énergie folle. J'ai passé un super week-end avec A, mon 2e amoureux. C'était super. Il a rencontré mes enfants, mon parrain et une de mes sœurs de cœur. J'ai eu un week-end où j'ai été enveloppée d'amour. ♥ Mais même les interactions bienveillantes me fatiguent. Je suis rentrée épuisée émotionnellement et physiquement de ce week-end. J'ai même fait une sieste hier. Chose que je ne fais quasiment jamais.
Comme si ça ne suffisait pas. Je me suis chopée la crève. Samedi, j'ai rendez-vous avec ma psy. Elle a jugé utile de me suivre de façon rapprochée. Toutes les 2 semaines. Et pas tous les mois. Et elle m'a dit qu'elle pourrait me prendre après journée en cas d'urgence.
Avec Indhara, nous regardons la saison 4 de Sex Education. J'aime bien. Même si je préférais les autres saisons. Il y a trop de choses qui me parlent dans cette dernière saison... Attention ! SPOILE ! La mort de la mère de Maeve, le fait que Beau martyrise Vivienne. Le fait que la mère d'Otis se sent dépassée dans sa vie.
Hier, mon hypnothérapeute m'a dit qu'il faudrait que j'apprenne à pardonner. Pour moi. Pas pour mon géniteur. Je ne sais pas... Quand je vois ma vie de maman... Il est juste inconcevable de faire à mes enfants ce que mon géniteur m'a fait. Mon hypnothérapeute m'a dit d'écrire... J'ai envie de partager avec vous quelques trucs horribles que mon géniteur m'a fait. Attention TW : Violence. Je devais avoir 10 ans. Mon géniteur regardait la télé dans sa chambre. Un documentaire qui parlait des chiens dit "dangereux". Et cela me rendait triste. Car quelques mois plutôt, ma mère avait dû se séparer de Kajou (un chien) car il était trop agressif à cause de traumas. Et qu'elle avait peur qu'il ne me morde. Mais j'avais clairement eu le temps de m'attacher à cet animal. J'ai donc demandé à mon père de changer de programme. J'avais envie de passer du temps avec lui. Mais pas de regarder ça. Il a refusé net. Me sentant incomprise. Et prise par mes émotions. Je lui ai dit: "tu n'es plus mon papa!" Il s'est levé. Et a commencé à me courir après. Voyant que j'allais me faire frapper. J'ai couru jusque dans ma chambre pour me mettre en boule et me protéger. Me mettant mes mains autour de ma tête. Et mon visage contre mes genoux. Il a attrapé mes cheveux. Et mon poignet. Et m'a battue de façon à ce que mon nez s'écrase violemment contre mes genoux. J'ai fini le visage en sang. Et ça a mis beaucoup de temps pour s'arrêter. Anecdote supplémentaire... J'ai recommencé à saigner du nez quelques jours plus tard. Et j'ai fini à l'hôpital pour qu'on me le cautérise. Et j'ai fini Rose m'a déjà dit: "t'es plus ma maman." Quand je lui disais non pour quelque chose. Mais quand c'est arrivé, ça ne m'est pas venue à l'idée de la battre. Je lui ai juste dit que je comprenais sa frustration quant à ma réponse. Et que ça me rendait triste qu'elle me dise ça. Et je lui ai expliqué la raison de mon refus. Alors... Quand je demande des excuses à mon géniteur pour ça. Et que ça seule réponse est "J'ai pas fait exprès." ça me fait vriller ! C'était lui l'adulte ! En vrai... Il me dégoutte. Et des anecdotes violentes... Je pourrais vous en raconter encore beaucoup.
Il y a peu, j'ai parlé avec ma marraine au téléphone. (ma grand-mère paternelle) Elle m'a dites :"Jodie. C'est pas pour reprendre pour ton père ! Mais... Faut pas remuer la merde Jodie ! C'est pour ça que tu es si mal ! C'est ce que ton père pense." A ma marraine, je ne lui en veux pas. Elle a 90 ans. Elle est de la vieille école. Elle a vécu beaucoup de choses. Et elle a un fonctionnement différent du mien. Mais... Pour mon géniteur... Je trouve ça tellement facile de dire de la merde comme ça alors que c'est lui qui est le fautif ! Vous voulez d'autres faits ? Allé ! Parce que la honte doit changer de camp ! Attention : TW : Agression s*xuelle sur enfant. Ce que je vais raconter est arrivé 2 fois dans le même contexte. Je devais avoir 8 ans. C'était en été. Il faisait mourant de chaud. Je venais de prendre un bain. Comme il faisait très chaud et que nous étions le soir. Je m'étais dites que j'allais restée toute nue. J'avais donc mis un essuie sur le lit de mon géniteur. Et je me suis assise dessus. Car j'étais encore un peu humide de mon bain. Mon géniteur regardait la télé. Et c'est alors qu'il a mis sa main bien à plat sur ma vulve en me disant : "Ne laisse jamais un homme te faire ça." Je vais avoir 36 ans. Et je me rappelle toujours de la sensation désagréable de ce contact. Il m'arrive de temps en temps de m'en rappeler lors de moment intime avec mes compagnons. Apprendre le consentement à une gosse en l'agressant s*xuellement ! C'est incroyable ! J'ai banaliser le truc pendant des années. Trouvant des excuses à mon géniteur. Heureusement, le travail avec ma psy m'aide à surmonter ça. Alors... oui. Je sais. Il y a pire que moi. Mais minimiser mes ressentis m'a tellement apporté de négatif. Que je ne veux plus le faire. Et quand j'ai demandé des excuses. Là aussi :"J'ai pas d'excuse à te donner. Car j'ai pas fait exprès." Récemment, je me suis demandée... Si mon géniteur recevait d'un coup... Toutes les violences qu'il m'a faites, tout les humiliations qu'il m'a fait subir. Serait-il toujours en vie ? Si j'étais une sadique. Je serais tentée d'expérimentée la chose. Mais je n'ai pas envie de me rabaissée à son niveau.
1 note · View note