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#instants chavires
leparfumdesreves · 10 months
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"Il fait chaud, bien trop chaud ! Pour un peu l’on expire !
On ne voudrait que boire, en ne sachant trop quoi !
Quelque chose de frais, de même vraiment froid
Qui flatte votre goût, vous grise et vous chavire.
Prenez un gros citron tout gorgé de lumière
Et pressez en le jus sans perdre un seul instant
Un jus acide et frais, vous cisaillant les dents,
Qui vous fait frissonner de sa saveur amère.
Ajoutez-y de l’eau, puis touillez bien le tout
Et ensuite du sucre, en poudre pour qu’il fonde.
Oh ! Mon dieu que c’est bon… La jouissance inonde
Votre estomac ravi, vous êtes presque saoûl !"
Yvette de Fonclare "Le Citron Pressé"
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lapetiterosenoire · 28 days
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Les souvenirs d'antan
Sont les crépitements
Provenant de l'âtre d'une cheminée
La source délicate
Et sucrée du pain d'épices
Et de cacao chaud
L'amertume d'un café corsé
Ils flottent dans l'atmosphère
Des fragrances de lavande,
Mélangées au doux parfum de fleur d'oranger
S'accorder le temps d'une parenthèse
Le temps d'un récit narratif
Tout en appréciant l'écoute musicale
Des perles de pluie,
Venues délicatement caresser les velux.
Les feuilles d'automne
Cèdent leur place aux flocons hivernaux.
À chacun sa bulle, son petit nid douillet
Cotons tout doux
Plumes d'anges
Enveloppé d'une douce chaleur apaisante.
Que vous soyez amateur de fanfictions
Ou que votre cœur chavire pour des idylles romanesques
Course poursuite vers des thèmes mystérieux et fantastiques
Récits alternatifs et enquêtes à résoudre
Ou encore vous laissez abondamment submerger
Par un côté somptueusement sombre
Passant de l'art gothique à un zeste de poésie
Écrit brut et masculin
En paradoxe a des extraits de fragilité féminine
Jusqu'à s'attarder un instant sur
Le désir ardent d'érotisme...
Et bien dans ce cas,
Vous êtes arrivés au bon endroit.
Ce compte est pour vous et moi.
Plongez dans mon univers.
Venez... et rêvez...
Un espace cocooning
Aménagé spécialement pour vous !
Oui, vous...
Pour tous les rêveurs et destiné à mes lecteurs.
Je vous souhaite du fond de mon cœur un bon voyage,
Une escapade poétique,
Un séjour magique et essentiellement une bonne lecture.
🥀 La Petite Rose Noire 🥀
✦͙͙͙*͙*❥⃝∗⁎.ʚ 🥀 ɞ.⁎∗❥⃝**͙✦͙͙͙
𝕰́𝖈𝖗𝖎𝖛𝖆𝖎𝖓 [𝕽𝖊́𝖈𝖎𝖙 𝖊𝖓 𝖋𝖗𝖆𝖓𝖈̧𝖆𝖎𝖘]
𝕿𝖊𝖝𝖙𝖊 𝖎𝖓𝖙𝖊́𝖌𝖗𝖆𝖑 𝖆̀ 𝖗𝖊𝖙𝖗𝖔𝖚𝖛𝖊𝖗 𝖘𝖚𝖗
𝖂𝖆𝖙𝖙𝖕𝖆𝖉 & 𝕴𝖓𝖐𝖎𝖙𝖙
𝕾𝖔𝖚𝖘 𝖑𝖊 𝖕𝖘𝖊𝖚𝖉𝖔 :
🥀 𝕷𝖆𝕻𝖊𝖙𝖎𝖙𝖊𝕽𝖔𝖘𝖊𝕹𝖔𝖎𝖗𝖊 🥀
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marche-murmure · 1 month
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La preuve que dieu existe
J'ai vu en ce monde l'incarnation de notre dieu, se promenant au milieu de l'humanité, sous les traits d'une femme.
Jamais je n'ai aimé Dieu, jamais je n'ai cru en Lui.
Pourtant, elle était là, tangible, devant moi. Et je l'ai aimé.
Comme après avoir traversé le désert, j’ai devant elle mis genoux à terre.
Dans ses cheveux, mille écrins de couleurs, l’automne en cascade glissant sur ses épaules.
La puissance de son regard, qui bien que fuyant, pouvait d’un bref instant détruire toutes mes certitudes.
Lorsque je me suis approché, mon impuissance s'est animée. 
Elle a serré mon cœur dans une étreinte implacable et achevé de me faire plier l'échine.
Comme si une main invisible m'avait fermement saisi la nuque, me forçant à m'incliner devant sa toute-puissance.
La vieille sentinelle, durcie par les épreuves du monde, fut désarmée par ses quelques murmures ; le souffle glacé du vent sur cette esplanade morne révélant toute l'étendue de la beauté de son visage.
Car, enfin, dans l'étendue vide de mon existence, semblait se lever l'aube d'un espoir. Elle était là, juste devant moi, l'autre moitié de mon âme. Celle dans laquelle je pourrais fondre la mienne, pour l'éternité.
Alors, tel un dévot, je l'ai servie, buvant chacun de ses mots, érigeant en chaque recoin de mon cœur des autels à sa gloire, sanctifiant l'infinité de mon amour dans de longues liturgies que je psalmodiais à mon âme dans une constance fanatique.
Je l’ai loué et adoré, ne trouvant même plus de sens à mes « je t’aime ». Car ces mots-là, ne sont pas pour les dieux, ces mots-là, on les donne en pâture au même que soi, pas à l'incarnation de dieu en ce monde.
Elle incarnait le monde même, l'enveloppe charnelle du bonheur et de la douceur, au-delà de ce que l'âme humaine ne pourrait jamais mesurer ou saisir. Même dans la simplicité la plus extrême, la plus ennuyante, ma mémoire a gravé chaque insignifiante seconde comme autant de sanctuaire de pierre.
Chaque instant passé dans ses draps, ma peau contre la sienne, m'emportait au-delà de la raison, m'envahissant d'un sentiment vertigineux, comme si j'avais perdu tout ancrage avec la réalité.
Une ancre pour y attacher mon âme, une place pour y ranger mon cœur.
Les vagues de l'amour qu'elle m'offrait semblaient, à chaque instant, prêtes à me faire chavirer. Inlassablement, elle me donnait tout, puis le reprenait. Une oscillation constante, un roulis incessant entre dévotion et sanction. Un amour qui était devenu flagellatoire et dont j'acceptais sans broncher la pénitence.
J’aurais au monde arraché des vies pour elle, coupé, brisé, désossé tous les obstacles entravant mon amour incensé. J’aurais été son bras armé, le plus impitoyable et le plus cruel, à sa demande. Dans ma ferveur, j’ai brisé des serments, oubliés des amis, perdu toute compassion, l’appétit, la raison.
Et plus cette amour grandissait, plus cette ferveur se renforçait, plus je me remplissais de haine et de violence. Contre le reste du monde. Contre tout ce qui pouvait l'approcher, l'effleurer. 
Les apôtres que j'avais jadis méprisés, je les comprenais désormais. L'amour pour son dieu n'est jamais suffisant, la gratitude jamais complète. C'est une eau sacrée qui ne parvient pas à étancher la soif, mais qu'on redemande incessamment.
Mon âme s’est fondue dans la sienne, sacrifiée à sa gloire. J’ai abandonné jusqu'au fondement même de ma pensée, cédée ma volonté, livrée la moindre parcelle de ma cohérence. La seule chose que je conservais, c'était la mémoire. Mémoire qu'elle m'avait laissé pour la mieux corrompre. 
À chaque point cardinal de mon existence, elle a déposé son empreinte sur tout ce que je possédais, m'inondant de sa lumière au point que je perdis tout repère, toute possibilité de fuite, tout souvenir d'un passé sans sa présence. Je n'avais plus aucun refuge, plus aucune voie de repli pour souffler, m'égarer, l'oublier.
J’ai tenté de fuir, écoutant les derniers appels au secours de mon bon sens, mais il est vite devenu ma première victime à sa gloire. Mon premier Abel, fut une partie de moi même, comme un Cain autophagique. J'ai à mon corps et mon esprit, retiré tout bon sens, pour que triomphe cet amour sacrificiel.
Nous n'étions pas deux âmes sœurs s'approchant de leur fusion, pas une union où deux êtres se mêlent pour ne devenir qu'un. C'était mon absorption totale. Dans le culte de ce dieu, tout doit être sacrifié pour sa gloire, sa grandeur, sa beauté. Il exige un vœu de pauvreté de l'immatériel, une reddition complète de l'humain. Nos âmes n'ont pas fondue l'une dans l'autre, elle dévora la mienne.
Et le temps avançant je me suis vu m'effacer. J’ai vu des pans entiers de ce que j’étais disparaitre. Plus ce dieu m'éprouvait, me brisait, me détruisait, plus je tentais de fuir, et plus tout ce qui avait toujours constitué mon essence s'évanouissait dans la douleur quand je m'en retournais à elle, la tête basse, le dos toujours plus courbé.
Mais n’étais-je pas de ceux qui s’élèvent dans le chaos, de ceux qui discernent dans les tumultes les finalités les plus heureuses ? Alors pourquoi les issues de cette croyance n'apportaient que malheur et souffrance ? 
Pourquoi, alors que chaque journée pesait plus lourdement sur mes épaules, tentais-je encore vainement de m'accrocher à ses promesses ? Pourquoi ai-je mis autant de temps à m’apercevoir de la vérité ?
Oh, on pourrait penser que j'en serais finalement venu à réaliser : aucune personne ne peut véritablement incarner Dieu en ce monde. C'est une illusion née de l'esprit des errants, de ceux qui cherchent désespérément un sens à leur existence terne. Ce que j'aurais dû comprendre plus tôt, c'est que tu n'étais pas cette incarnation divine. Tu n'étais qu'une parmi tant d'autres, reflétant la déchéance morale de plus en plus répandue dans ce monde ?
Et pourtant, si paradoxal que cela puisse paraître…
Mon amour, mon âme, tu incarnais effectivement Dieu en ce monde.
Tu étais bien la preuve tangible de son existence.
Dieu, dans sa distance, ne dispense pas d'amour aux hommes.
Il ne leur offre rien, se contentant de regarder ce monde qu'il a créé sombrer dans ses propres abysses, avec, je le crains, un amusement cruel.
Oui, tu étais cette incarnation divine, et je ne m'étais jamais trompé.
Tu n'étais que l'ultime témoignage de sa toute cruauté.
Tu étais la preuve que dieu existe, et pourquoi à jamais, je le détesterai.
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abdou-lorenzo · 1 year
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Dansons ma Chère, faisons,
Valser la Terre,
Chavirer les océans,
Enflammer les mers,
Vibrer les instants,
Fleurir le firmament,
Chanter les rivières,
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Dansons ma Chère, faisons,
Jaillir Ta splendeur,
Rugir Ta flamme,
Briller le bonheur,
Croiser nos coeurs,
Embraser nos âmes....💞🎼
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mofred · 1 year
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La prière
Chair
Molle moue
Regarde-moi
Redonne-moi le rêve à l’ombre de la tempête
Avant que je ne chavire dans mes yeux et que
La mémoire n’y puise plus de vœux  
Chair
Molle moue
Regarde-moi
Je secoue les fleurs en l’air
Les morceaux d’hier
Mes trous et
la terre
Chair
Molle moue
Regarde-moi
J’ai perdu mes doigts. La soif me hante
Et mes dégâts. Le silence traîne
La boue de tes lèvres, la chair de ta chair
                                                                    dans mes mains
mofred
Ma librairie online (cliquez ici) ouvrages gratuits
Poésie en mouvement sur www.instagram.com/lafalfy
Ouvrages publiés en papier, à la vente sur www.bubok.es Pelícano mambí (poésie, 2022) Historias para un instante de amor (poésie, 2020)
merci!🌹🌹
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Florent, vendredi 26 avril 2024 : ton odeur
Aujourd'hui, je range ma chambre, remplie de cartons, sans autres meubles que le bureau de ma mère, et le petit meuble étagère que j'ai monté lundi soir, en pleurant toutes les larmes de mon cœur.
En m'occupant des deux sacs de vêtements à ranger dans l'étagère, j'ai découvert une paire de chaussettes d'homme.
Instant de questionnement, est-elle à Thomas, mon petit frère, ou la tienne ? Vous m'avez tous les deux prêté des chaussettes pour que je traverse le froid de l'hiver. Cet hiver qui m'a été tellement agréable à tes côtés.
Je sens les chaussettes (qui sont propres, je te rassure), je cherche un peu. Je sais que je connais l'odeur. Je respire à nouveau, c'est agréable, trop agréable… J'ai le ventre qui se serre, comme des papillons, et je percute. Je n'aime pas vraiment l'odeur de Thomas. C'est forcément la tienne. Et j'ai le coeur qui se sert. Après avoir décider de ne plus te parler, de te bloquer, parce que chaque message de toi est une souffrance, je m'aperçois que mes phéromones n'ont pas compris du tout que mon cerveau avait dit stop.
Stop, je ne veux plus t'aimer. Stop, je ne veux penser à toi. Stop, je ne veux plus essayer de comprendre. Stop, parce que je veux avancer. Stop, je veux oublier ce cauchemar, Stop, je veux me réveiller.
Et toi, avec tes paires de chaussettes, parce que oui, j'en ai trouvé une autre, tu chavires mon cœur. Ton odeur est même sur deux de mes tee-shirts. J'en suis à me demander si je vais les laver une ou deux fois avec des huiles essentielles pour réussir à t'oublier.
Voir ces paires de chaussettes, c'est avoir en tête les moments où tu me les as prêtées, le regard que tu avais, l'attention que tu me portais, la légèreté que j'avais au cœur.
Ton odeur sur mes vêtements, c'est revivre en une après-midi ces 3 mois de bonheur, intense, léger, parfait, que personne ne pouvait m'enlever à part toi. C'est me souvenir que j'étais lovée dans tes bras, que je ne voulais pas quitter ton lit, notre lit, pour que le temps reste sur pause encore un instant.
Et en deux respirations, la colère de la veille s'est comme dissipée. Et je me déteste pour ça. Je me déteste d'être aussi faible, d'avoir cette balance émotionnelle, d'avoir le manque de nous, le manque de ton sourire, le manque de tes blagues pourries, le manque de ces moments de complicité qui ont complètement disparus.
Je dois t'avouer, quand tu as voulu m'embrasser dimanche, j'étais sur le point d'accepter. Mais, je ne me sentais pas aimable, je veux dire par là "être quelqu'un que l'on peut aimer", être quelqu'un dont on veut la présence. Et je ne voulais pas recommencer ce qui s'était passé pendant notre weekend à Bordeaux. Je voulais, avant tout, que tu saches à quel point je souffre. Que tu saches à quel point je me sentais seule. À quel point je me sentais affreuse. Et je n'arrivais pas à parler. Dire tout haut qui est dit dans ma tête depuis 4 semaines, c'était comme me confirmer que c'était vrai, que ça c'était passé. Que j'étais immonde à ce point.
J'ai commencé à parler, les larmes sont arrivées, je n'ai pas pu les chasser, et chaque phrase que j'ai essayé de te dire déclenchait une nouvelle montée de pleurs. Je ne trouvais pas la phrase la plus "douce" pour exprimer mon mal. Alors, j'ai arrêté de parlé. Et lundi (22/04), je ne pouvais plus, plus me taire, plus me contenir, il fallait que je te dise, quoi que tu en fasses, quoi que tu répondes. Juste pour que tu saches. Que tu saches dans quel état TU m'avais mise.
Parce que oui, quand même, c'est toi qui m'a mise enceinte. Je ne l'ai pas fait toute seule, cet enfant. Si ça avait été le cas, je l'aurai gardé. Parce que pendant des jours, j'ai attendu que tu te positionnes, que tu me laisses complétement gérer "cette situation" seule, OU que tu sois VRAIMENT là. Pendant des jours, c'était un entre-deux, j'attendais, je stressais, je ne dormais plus, j'attendais encore et encore. Et quand tu m'as dit "je te soutiens, je vais assumer", je ne t'ai pas cru. Je te le dis maintenant. Tu l'as peut-être senti. Je t'ai juste donné le bénéfice du doute, parce qu'avec tout le flux d'évènements, et d'émotions que je traversais, je me suis dit "je ne suis peut-être pas assez objective, j'interprète mal, je ne le crois pas parce que j'ai mal".
À l'heure où je t'écris, je ressens que j'avais raison. Parce que depuis, je ne me suis à aucun moment sentie soutenue, je n'ai pas senti ta présence. Juste ton envie que je te prenne dans mes bras, que je te dise que je t'aime, que je t'appelle "mon amour", que je te regarde avec le même regard de nos 3 premiers mois. Tu attendais que je sois là pour toi. Avec toute ma douleur, le choix de deux vies, celle de notre enfant et la mienne, je devais m'occuper de toi et notre couple. C'est tout ce qui t'importait à ce moment. Je me suis sentie mise sur silence. À des années-lumière de toi.
Et avec ton odeur, là, dans ma chambre, j'ai été capable, le temps d'un instant, d'oublier tout ça.
--------------
Bidos, 22:45 -> 23:30
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instants-chavires · 4 months
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Antoine VIARD - Tenor Sax Emmanuel BORGHI - Piano Benjamin DUBOC - Double Bass Philippe GLEIZES - Drums
paru le 19 décembre 2023
Recorded live by Benjamin PAGIER @ Instants Chavirés - Nov 10th 2023 Mixed and mastered by Antoine VIARD https://antoineviard.bandcamp.com/album/live-instants-chavires
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astroone · 5 months
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Le vent qui vient se mêler
Se perdre
Et s éprendre
Dans sa chevelure
Laisse à chaque instant
Comme un peigne d almain
Une dentelle familière.
De l inombrabilite capillaire
Surgit un regard , Un nez.
Tout ceci apparaît dans cette forêt
Qui vient du sommet de sa tête .
Elle en a pour ne rien vous cachez
Un sacré port
Un air altier
Qui fait chavirer ou s amarrer .
Cette élégante
A mis nue sous ce voile
Saura , si vous savez la charmer
un collier de nacre, vous offrir .
C est une trésor délicat
Qui vous marquera.
Le temps de son sourire .
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areyouelectric · 8 months
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Panique désordonnée 
Je cours, je perds je me retrouve, je ne sais pas, où est ma tête, je ne sais plus, je suis, j'ai cessé d'être, perdu, les mots angoisses traverse mon esprit, je ne sais plus, je ne comprends plus, épuisé, déstructuré, des ordonnées, je m'engouffre dans le gouffre, je respire, je tente, je me perds, je me repère , épouvantable, stressé, à bout, respire, je cherche, je tente, les mots, les phrases, tout s'échappe, tout part dans tous les sens, je suis, j'essaye, pourquoi, comment, qu'est-ce qui se passe, je suis perdu, perdu, perdu, je me retrouve un instant, cela ne sert à rien, le ravin, je n'ai jamais les mots, les mots, traverse mon cerveau, c'est cool le long de l'eau, rien n'est, tout est à recommencer je structure, je déstructures, je me perds encore, respire, tente, respire, à bout, angoissé, déprimé, perdu, maman, je ne sais plus, tout s'échappe, mon cerveau flasque, mes pensées confuse, ethnographie, compensation, triangle, confusion, démence, folie, je suis, je suis, suis-je fou, essaie, reprend courage, bats-toi, bats-toi, résiste, relève-toi, sors, ta liberté, exister, respire, le mot, le sens je cherche je cherche , espoir, tomber, se relever, soufflé, prendre courage, tenter, debout, ne pas, ne surtout pas, reprendre, recommencer, se dire que, regarder la nuit, elle tire à sa femme, formé de nouveau, formé de nouveau des phrases, les alignés, les structurer, les goûters, le plaisir de les accommoder, le plaisir de s'écouter parler, d'entendre enfin, les mots alignés qui se suivent, retrouver la route des lettres effacer, remettre un paragraphe dans son cerveau, comblé son esprit de texte insouciant, respirer lentement, revenir doucement après ce chavirment, reprendre vie, goûter avec un plaisir inavoué, savourer l'existence, se retourner juste un instant dire au revoir à la folie, au cauchemar, c'en est fini, le calme est revenu, doucement, lentement, respirer...
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franz-robert-wild · 8 months
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Aujourd'hui est bleu-gris
Tu doutes de tout. De tout le monde. De toi surtout. Tu te sens réduit par tes pairs, comme un humain médiocre, pas celui que tu rêverais d'être en tout cas. Et la réussite des autres t'obsèdes. Ton infortune aussi. Peut-être que tu cours après une chimère. Celle que tu as toi-même gonflée. Tu t'es trompé. Tu as mis de l'hélium et non l'air qu'on respire, maintenant la voila qui s'envole. Un instant de distraction et hop... elle est dans le ciel.
Tu demandes pardons à tous ceux que tu as heurté ou déçu. J'en suis le premier. Pourtant tu as de l'amour à donner. Tu es las de tout. De cette course à l'échalotte où il faut jouer du coude. C'est plus de ton âge.
Tu rêves d'un cours d'eau et d'oubli. De vie simple. D'amitié véritable. De la pluie automnale qui refroidit la terre et l'atmosphère. De la brume le matin et des rayons qui dardent un à un cette ouate légère qui recouvre la campagne. Rien ne remplace alors la joie près du feu. Un partage entre amis. Une poêlée de châtaigne, un petit vin blanc d'ici, le temps d'oublier la folie qui fait chavirer le navire "humanité". Peut-être également le silence et le crépitement du chêne dans l'âtre de la cheminée sont un remède conjoint à la sauvegarde de la raison.
Il y a la somme de nos ambitions périssables et futiles. La course dans le vide. Etre. Paraitre. Tout ceci est illusoire. Quelle en est la fin ?
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plumedepoete · 1 year
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12 heures - Daroca Mikael
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Lumière de visage Volonté en arrêt Murailles d ’ avenir Renverse l ’ heure. Songes s ’ éclairent L ’ instant demeure Rêve se divertit D ’ inconnue gaieté. Badinage. Durée de demande Mains d ’ environs Silence me trompe La distance sépare. Aimable connaissance Goûte la remarque Récits d ’ expression Voile une passion. Petit navire. Lumières chavirent Invente glissement Tangible évolution Abondante célérité. Approcher une rive Délire des écumes Aveu des projets Étreint des futurs. Read the full article
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christophe76460 · 1 year
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Je puis tout par celui qui me fortifie 💗🌸
-Philippiens 4:13
Cela signifie que dans les temps d’épreuves et de douleur, tu peux tout traverser si ta fondation est encrée en Jesus, notre créateur. Tu es entre les mains du tout puissant, celui qui a tout créé, celui qui tient le monde entre ses mains, celui qui en un claquement doigt peut tout faire chavirer, celui qui a le plus souffert. Il n’y a rien que nous vivons qu’il n’a pas vécu. Il a même été mis à mort, crucifier pour nos péchés. Il a tout pris sur lui, tout nos offenses et il a tout payé afin que nous puissions être réconcilié avec Dieu. Nous sommes entres les mains de celui qui est parfait dans toutes ses attributs, alors celui qui prends les meilleurs des décisions. Ses pensées ne sont pas nos pensées, alors sa réponse ne sera pas nécessairement celle qu’on s’attendait ou celle que nous souhaitions, mais elle sera la meilleure pour notre vie. Dans le néant, quand rien ne va que tout semble s’écrouler dans ta vie ou autour de toi, avec Dieu tu peux rester debout, car il est notre solide rocher. Il te promet de ne jamais t’abandonner. Loue-le, adore-le, déclare ce que la parole de Dieu dit avec tout ton coeur. Dieu ne donne pas une joie éphémère qui dépend des circonstances, au contraire il nous donne une joie éternelle qui ne dépend pas de ce que nous vivons, mais qui est présente dans tout ce que nous vivons. Nous savons que nous avons le plus grand à nos côtés, que nous ne sommes pas seul, mais toujours accompagné à chaque pas, à chaque instant qui passe. Nous ne sommes pas épargnés de l’épreuve, au contraire nous en vivrons, mais nous nous la traversons pas seul mais avec Dieu à nos côtés. Nous devons pleinement avoir confiance en Dieu et lui donner le contrôle. Il connaît tout de nous et sait tout. Son intelligence est loin de la nôtre et au delà de ce que nous pouvons comprendre, elle est parfaite, alors imaginer à quelle point nous pouvons complètement nous soumettre à lui et lui donner le volant de nos vies sans aucune crainte. ♥️
De Allyson Raîche❤️
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windows11 · 2 years
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je vous aime (on Wattpad) https://www.wattpad.com/story/326667422-je-vous-aime?utm_source=web&utm_medium=tumblr&utm_content=share_myworks&wp_uname=Molaha25&wp_originator=4nWpPK%2BAdt1RYOLiBcX8HvaFXVj17vGmVeiD%2BqW9R1TNcxXn8WU%2FXmUfFafOGEufgtTPkRSbMrKttMfGphf67jL1EfCiiXAY8D3WmfPIg3mp7bKQFo%2BrC%2BDnKlpcHeny Je vous aime, oui je vous aime Et cela lorsque mon coeur saigne Chaque fois que votre regard me sanctifie A long-terme dans une lueur qui se codifie Dîtes-moi que vous m'aimez sans paraître pour autant jolie dans un rêve qui vous fera ruisseler A la moindre rescousse de la jetée Dîtes-moi que vous m'aimez de tout votre coeur sans paraître comme une personne qui à peur Dans un précipice où règne le malheur Soyez concrète, mon âme à besoin de valeur Dîtes-moi que vous m'aimez pour la Vie Sans ignorer les faveurs de midi Dans une contrée où les étoiles s'accommodent A peine les étincelles s'accordent Dîtes-moi que vous m'aimez de toute votre aise Je prendrai soin de vous mettre sur une chaise Sans que votre corps ne soit en léthargie A la moindre petite goutte d'énergie Dîtes-moi que vous m'aimez pour toujours Sans être pragmatique des contours Je viendrai si possible avec un dîner Couvrir cet instant magique de vérité Dîtes-moi que vous m'aimez pour chaque instant Sans que je ne fasse l'effort d'être un combattant A la moindre petite brise qui va la faire couler Dans un monde où règne la tendance et la charité je vous aime, oui je vous aime Et ceci, rien que de penser m'anime Chaque fois que votre regard m'en extermine Dans une idéologie où l'amour reste à chavirer. Molaha Fokam Dimitri Brice ( écrivain et poète)
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anamourofmylife · 2 years
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Vive l’amour.
Vivre l’amour.
Vibre l’amour.
C’est y croire, le réaliser et l’intensifier.
Oui l’amour c’est un rêve qui se vit avec fougue.
C’est pouvoir dire « je t’aime »de mille façons, l’inventer et faire de ces quelques mots, une nouveauté à chaque fois.
Oui un « je t’aime » qui n’en finit plus.
Je t’aime parce-que c’est toi. Tu me manques. J’espère que tu vas bien. Tu me fais sourire. Ton rire rend plus vrai le mien. Belle journée à toi. Je pense à toi. J’ai envie de toi, à cet instant, pour te prendre sauvagement, intensément, d’une tendresse rien qu’à nous. J’ai faim et soif de toi.
Comment se passe ta journée ? Je vais bien grâce à toi. Tu m’impressionnes. Je t’admire.
Aujourd’hui est ton jour, demain ton destin.
Je suis là. Donne-moi la main. Je te fais confiance. Tu es belle. Tu me bouleverses. Tu me chavires. Tu es sublime. Viens, faisons encore l’amour.
Reste dans ce lit, je t’apporte le petit déjeuner.
Je te veux heureuse.
Je crois en toi. Je t’aime, tu sais. Je me fais du souci pour toi. Ce sont des cons, tu vaux mieux qu’eux. Je t’écoute. Je te respecte. J’aime ta liberté. Prends soin de ton jardin secret. J’aime ta vie. J’aime la notre ensemble. Tu peux compter sur moi. Tu es mon amante, mon amie, ma folie, mon vertige, ma plus grande source de bonheur. Ton corps, c’est ton coeur, ton coeur, c’est toi.
Tu es unique. Sois toi. J’ai une surprise pour toi. J’aime ta peau. J’ai cette envie de te pénétrer partout. J’aime ton ambition. J’aime tes rêves.
Tu m’éblouis.
Tu ne me rends pas aveugle mais lucide.
Je suis joyeux de toi.
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instants-chavires · 10 months
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Paru en 2021. Edité par Richard Ramirez https://richardramirez.bandcamp.com/album/les-instants-chavir-s
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luckydreamyouth · 2 years
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La France tombe aussi d'entrée : malgré un nouveau bijou de Benzema, les Bleus chutent face au Danemark (vidéos)
La France tombe aussi d’entrée : malgré un nouveau bijou de Benzema, les Bleus chutent face au Danemark (vidéos)
Les Bleus ont craqué dans les derniers instants de leur duel contre le Danemark, entamant la défense de leur titre en Ligue des Nations par une cruelle défaite 2-1 vendredi à Saint-Denis, où Kylian Mbappé s’est blessé. Six jours après son sacre en Ligue des champions, au même endroit, Karim Benzema avait pourtant fait chavirer les quelque 75.800 spectateurs recensés au Stade de France, une…
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